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Tainica împărăţie a Domnului cu poporul ales; învăţăturile Sale, în duhul ascultării

Oh, Mes enfants, n’oubliez pas, le signe de la sainte croix c’est le symbole de la victoire. La croix n’est pas un morceau de bois fait à humilier, comme les sectes le proclament. La croix est une arme à craindre contre le diable. Ne prêtez pas vos oreilles à la médisance des sectes, pour vous moquez de la croix, mais adorez-la, car Mon sang l’a consacrée. C’est Ma passion sur cette croix qui a apporté ton salut, âme chrétienne. Voyez, vous, Mes travailleurs, les guides de Mon peuple, que la sainte croix que vous avez mis à sa place, vous a faits invisibles pour vos ennemis et les Miens. C’est ainsi qu’elle vous protégera aussi pour être invisibles, sur votre chemin de retour.


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… Oh, les frères, vous avez oublié la voie de l’église. Oh, les frères, pourquoi faites-vous cela, Mes enfants? Voilà, les églises sont vides, mais les tavernes sont pleines. Ouvrez vos cœurs! Glorifiez Dieu! Chantez et glorifiez-Le, de tout votre être!


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Oh, les frères, que de tristesse il y a dans le ciel à cause de ces vilaines faites que vous faites ! Vous M’injuriez Moi et les choses saintes. Oh, les frères, multipliez les bons faits. Chez vous, Je n’ai pas trouvé de bons faits. Mon visage, où est-il? C’est qui Satan est devenu son maître. La terre s’est remplie de méchancetés. Voilà, J’ai annoncé que c’est le feu qui arrive et vous, pourquoi dites-vous qu’il ne vient pas?


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… Voilà ce que Je vous dis: sortez de ce monde, de ses infamies, c`est-à-dire: fierté, ivresse, débauche, mensonge. Sortez du Babylon de ce monde. Oh, voilà, un ange a jeté une pierre dans la mer et, de la manière qu’elle s’en va, c’est de la même manière que ce babélisme sera jeté au feu.


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… — Oh, les fils, voilà ce que Je vous demande: croyez-vous au jeûne, à l’église, à la prière, aux saints mystères, à la croix, en croyez-vous?

— Oui, Seigneur!

— Alors, pourquoi ne les utilisez-vous pas ? Utilisez-les, Mes enfants.

Voilà ce que Je vous demande: croyez-vous au le bistrot, aux incantations, aux sorcelleries, à la débauche, et aux autres infamies de satan? En croyez-vous?

— Non, Seigneur!

Alors, pourquoi les faites-vous ? Pourquoi y allez-vous? Voilà ce que Je vous dis: Je suis allé dans un salon de danse et J’ai trouvé un démon en dormant, il n’avait pas de travail avec personne, car tous étaient les siens. Je suis allé dans une église et de la porte à l’autel était une multitude de démons avec tous les infamies: inimitié, fierté, ivresse, pensées de débauche, tabac. J’ai trouvé le prêtre même en fumant dans l’autel. Mais vous, les enfants, ne jugez pas, car il y a qui le faire.


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… Elle pleure, Ma Mère, parce que tu pries la tête découverte. Malheur à la femme qui se coupe ses cheveux! car le diable a fait son nid dedans. Pourquoi déshonorez-vous votre tête? Car déshonorée sera devant Dieu la femme à nu-tête. Qu’elle se rase ses cheveux, afin d’avoir honte d’aller ainsi.


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… Ne quitte pas la prière de minuit, car elle va te sauver de la colère qui viendra.


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Oh, Mes enfants, n’espérez pas plus des docteurs, que de Dieu. C’est Moi que J’ai laissé les docteurs, et les guérisons c’est de Moi qu’elles viennent. Vous avez trop d’espoir dans les docteurs et vous avez oublié Dieu, car vous vous êtes écartés de Lui. Oh, les frères, le jeûne et la prière, ce sont le remède, pas selon vos dires que le jeûne tuent les hommes. Le jeûne n’a jamais tué personne, bien au contraire, il l’a guérit. Ne voyez vous pas que mêmes les docteurs de la terre vous recommandent une diète spéciale, et vous leur obéissent et ils vous guérissent? Mais le Docteur céleste, comment ne pourrait-Il pas vous guérir¸ chair et esprit?


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Voilà, Moi, Je suis descendu. Ouvre ton cœur, pour que Mes paroles puissent y entrer, pour pouvoir te parler. Je suis venu, et Je suis blessé et soufrant, car du ciel jusqu’à la terre Je suis frappé par tous vos mauvais faits.

Voilà, Mon Royaume est une pharmacie avec du tout, de tout ce que vous avez besoin: de la sagesse, de la paix, de la foi, de l’espoir, de l’amour, de la santé, du pouvoir pour résister à toute tempête, car Je vous donne seulement, si vous M’en demandez. En voilà du tout, mais faut que vous demandiez. La pharmacie est fermée, car vos demandes ne sont pas accompagnées de prières insistantes et brûlantes, et vous ne demandez pas avec de la foi. Oh, vous avez perdu l’amour, celui qui couvre tout. Vous êtes restés seulement avec la haine et la méchanceté.


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Voilà, Je suis venu pour la troisième fois. Maintenant Je suis en Esprit, et Je suis descendu en plusieurs endroits pour vous exhorter à une vie pure et sainte, car tout est prêt de la fin, et la mort vous prends tel que vous l’êtes, sur la voie large, avec toutes les méchancetés: manque de foi, discorde, haine, colère, orgueil, débauche, pire qu’ont peut trouver chez les païens.

Oh, les enfants, laissez le tabac, car celui-ci vient du diable. Oh, les fils, Moi, J’ai semé du blé et le diable a semé du tabac. Voilà, il M’a dépassé, car beaucoup de gens donneraient le pain pour le tabac. Fais attention, car de l’enfer tu ne sors plus, si tu y entres avec tous ce que tu fais, car il n’y a personne à te sortir.


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Voilà, les enfants, Je suis descendu chez vous pour vous exhorter, pour vous faire savoir d’où êtes-vous tombés, par quels faits avez-vous fermés les portes de la cité.

Oh, quand Je me présente au Père dans le ciel, Il Me demande ce que font les enfants sur la terre. Moi, Je réponds: «Bien» mais Moi, Je pleure et Je suis tout affligé par tant de mauvaises choses. Oh, combien de fois Je vous ai parlé et Je vous ai exhorté vers tous ce que le Père aime. Vous dites que vous êtes fâché parce que Moi, Je ne vous parle pas, mais à Mon tour, combien de fois M’arrive-t-il de partir tout triste de chez vous! Je descends de Ma gloire et Je rentre endolori, car J’y trouve manque de foi, discorde, indifférence, et d’autres, qui ne doivent pas exister chez les chrétiens; Voilà, Je vais descendre encore chez vous, si vous avez de la foi et de l’amour.

… Voilà quelle sorte de foi il y a entre vous: des critiques et du jugement seulement. Satan a étendu toute sorte d’épreuves, par lesquelles il puisse vous ensorceler: le mensonge, la médisance, la méchanceté, la fierté, l’arrogance et tant d’autres. Il y en a quelques uns dont vous vous êtes purifiés, mais il y en a encore beaucoup à faire. Travaillez pour vous en purifier. Luttez sans ménager votre vie, car il n’y a plus trop de temps.


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Soie humble, Mon peuple, pour ne pas perdre Dieu, car voilà qu’ils se révoltent ceux pleins de vanité! Humiliez-vous beaucoup puisque le diable est sur la terre, c’est l’antéchrist, et son audace va jusqu’au ciel pour détruire tout ce qu’il trouve sur la voie, mais il ne peut pas dévier du chemin ceux qui sont humbles.

Oh, mes enfants, ne regardez pas le soleil pour penser que la journée est assez longue et il vous reste encore du temps pour la repentance, pour vous préparer, puisque vous ne savez pas ni le jour ni l’heure de votre appel.

Oh, Mes enfants repentez-vous, car votre récompense est si grande! Oh, si vos yeux voyaient tout, vous ne mangeriez plus, vous ne boiriez plus, et vous iriez lutter pour votre vie, pour les places d’en haut, de la maison de Mon Père, où Il attend chacun de vous, mais sachez-le, vous êtes peu, très peu.


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— Oh, Seigneur, de quoi allons-nous nous nourrir aux jours de jeûne, de quels vivres?

— Oh, les fils, si vous voulez et si vous pouvez, voilà votre nourriture : un morceau du pain et de l’eau, au couchant du soleil. Voilà aussi une autre alternative: vous allez manger des plats sans graisse, et tout vers le soir, car le jour est grand, et la volonté doit être grande aussi.

— Seigneur, comment allons nous procéder pour la communion?

— Demandez la sainte communion, de vous la donner à trois semaines et à deux semaines, puisqu’ils n’accepteront pas vous en donner de plus. Je vous en donnerais tous les jours. J’ai crié dans les églises aux serviteurs.


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Voilà, lorsque Mon vase, a été enfermée avec une femme hérétique, qui lui a demandé pourquoi elle jeûne, Mon vase n’a pas pu répondre. Demandez à Mon vase, sur la conversation qu’elle a eu avec les femmes hérétiques. Et après cette conversation, une femme hérétique a rêvé qu’elle marchait sur un pont au-dessus d’une abime profonde, et arrivée au milieu du pont, elle est tombée, et alors il est apparu un homme habillé d‘un long vêtement noir, qui l’a prise dans ses bras et lui a demandée: «Pourquoi ne jeûne-tu pas?». Et il a dit encore que si elle jeûnait elle ne tomberait pas, et il lui a dit qu’aux cieux on ne peut pas accéder avec toutes les choses du monde. Elle a dit qu’elle jeûne un jour par an, et il lui a répondu: «C’est comme le pharisien a jeûné». Après cette conversation, elle a promis de jeûner tout comme Mon vase.


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…Voilà Ma voie. Le premier portillon c’est de renoncer aux désirs de ton corps, c`est-à-dire de ne plus débaucher, de ne plus mentir, de ne plus voler, de ne plus tuer, de jeûner et de prier. Le deuxième portillon, Mon enfant, c’est la croix que Je t’ai donnée, la croix de la crucifixion. Regarde-la, pour voir si ton visage est bon ou mauvais. Le troisième portillon est la coupe, qui est pleine; bois Mon enfant, pour recevoir du pouvoir de Dieu, car c’est pour vous qu’elle est donnée, pas pour ceux à cœur souillé. Vous, les fils, écoutez-Moi, vous êtes passés par les deux portillons, mais pas encore par le troisième, c`est-à-dire la coupe, laquelle Je vous exhorte de la prendre chaque jour.


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Souvenez-vous de tous vos péchés grands et petits, afin que le diable puisse garder honte. Confessez aujourd’hui même, autant que vous avez à qui, puisqu’il est écrit qu’il n’y aura plus de prophétie, pas de prêtrise, pas d’Ecriture. N’ayez pas honte de confesser ton péché à ton confesseur, puisqu’il est lié à Dieu de ne pas faire connaître à personne ton péché. Confessez, oh, les fils, confessez, puisque le prêtre es laissé entre Dieu et le peuple, et s’il a tort, Dieu S’en soucie.


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Oh, les fils, les fils, oh, peuple préparé par mon Fils Jésus-Christ pour Sa gloire d’aujourd’hui et de demain, voilà ce que je vous dis: celui qui a le Seigneur de son amour, celui-là lorsqu’il aime, c’est le Seigneur qu’il aime dans l’homme, et une telle sorte d’hommes frères dans le Seigneur, ils parlent entre eux pour leur Seigneur, seulement pour Lui, et aucun d’entre eux ne s’aime pas soi-même, aucun d’entre ceux qui aiment le Seigneur par leur amour. Sois comme ce peuple, et prie comme ton ancêtre David en disant: «délivre mon âme de l’infidèle, oh, Seigneur!», et Il va te délivrer le Seigneur, ton veilleur.

Oh, faites grande attention, les fils à votre marche sur la terre, dans le monde, car les chemins du monde ne sont pas les vôtres, mais c’est au monde qu’ils appartiennent! Arrosez chaque fois avec de l’eau bénite vos entrées et vos sorties, puisque le diable est très fâché, très fâché contre vous et il fait toujours des enchantements et des sorcelleries pour ceux qui n’obéissent pas, à cause de leur orgueil, et les voilà abattus de la voie! Oh, ce n’est pas la même chose que le fils de ce peuple aille avec le Seigneur et pour le Seigneur sur le chemin du monde, ce n‘est pas la même chose avec la marche pour lui-même avec le monde sur la voie. Soyez obéissants envers mon Fils, Jésus-Christ et soyez prieurs devant Lui pour l’esprit de l’obéissance! Moi, j’ai été Sa mère et je Lui ai obéi, car Il a été mon Dieu. Le Christ, mon Fils, naît en vous en parole. Glorifiez le Seigneur et accueillez à grande foi Celui Qui vient des cieux à vous en parole sur la terre!

Gardez-vous dans l’esprit d’église, les fils! Que le diable ne se fasse pas d’églises dans votre église, les fils! Soyez tout le temps une seule église, car ceux qui ont travaillé du milieu selon leur tête, en se retirant deux par deux, trois par trois, ceux-là ont fait au diable de petites églises, et ils ont sapé le Seigneur, ils ont travaillé la mauvaise œuvre, celle égarant pour la fraternité, et ils se sont blessés avec le sabre de leurs occupations pas fraternelles, les fils. Oh, soyez obéissants! Gardez-vous de ne pas obéir, en regardant ceux qui n’ont pas obéi comme il faut! Ne vous cachez pas les uns des autres! Ne soyez pas mécontents, car ce péché vous dirige vers le proteste et vers la dissimulation ensuite! Aimez l’œuvre du paradis, tel que le Seigneur a établi le mystère de paradis pour l’homme au commencement, les fils!


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Cette tellement parole de Moi, celle qui enfante des fils pour Dieu, si elle n’est pas toujours lue, il meurt de nouveau celui qui est né d’elle, car elle est le guide de la vie de celui qui en naît de nouveau. Oh, lis-la beaucoup, beaucoup, Mon peuple, car elle porte de la vie, Mon fils, et elle est la lumière qui éclaire dans l’obscurité, dans tout ce qui met à l’épreuve ta vie sur la terre pour l’abattre.


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Oh, soyez fidèles, soyez forts avec la foi et demandez pleins de foi l’accomplissement des Ecritures, les fils! Le jeûne et la prière, c’est cela que vous devez travailler pour les accomplissements de la fin, et Moi, Je peux tout ces choses, travaillés par vous en Mon nom, à condition que vous soyez pleins de charité, pleins de paix, de patience, de dévotion, chassant la mémoire du mal comme Dieu, les fils, en pardonnant à tous qui se lèvent contre vous, en pardonnant comme Dieu, les fils,


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Lève-toi, fils, lève-toi pour grande œuvre de repentance, car Moi, le Seigneur, Je t’accorde cette grâce et Je t’aide toujours dans toutes Mes douleurs avec toi et les tiennes avec Moi, seulement que tu n’aies pas tes douleurs, Mon fils, mais celles de Ma voie avec toi, car voilà, ils se perdent de Ma voie avec toi ceux qui se procurent des douleurs, des mécontentements et ensuite de la vengeance, les fils, car malheur à l’homme qui jette de lui Ma grâce et Ma miséricorde pour lui! Le jeûne, la prière et l’humilité de l’esprit, voilà ce que tu dois travailler, tout comme les saints l’ont fait, Mon fils, et demande-Moi que Je t’accorde la victoire, celle par la prière obtenue et Je vais te la donner. Je te la donnerai pour Ma voie avec toi, Mon peuple, je te la donnerai pour l’amour, pour que tu puisses agir pour Moi, car Moi c’est par toi que Je peux agir, mais tu dois travailler avec beaucoup d’humilité et c’est alors que ta prière pourra tout devant Moi. Amen.


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Je prononce grande parole pour Ton peuple et je lui dis d’intercéder auprès de Toi par les saints pour l’œuvre du pardon de Dieu sur tous ceux en faute, car il a des saints au ciel de son milieu, venus entre les saints, et ceux-là ont connu la douleur de la vie et des épreuves de leur voie avec Toi par cette parole, dans laquelle ils ont cru et ils ont persévéré sur la terre, et aujourd’hui ils se tiennent devant Toi dans le ciel pour Ton peuple d’aujourd’hui et pour Ton travail avec lui.

Oh, peuple comblé de dons venus du Seigneur, cherche d’être utile, le fils, et de tenir en humilité ta raison, car c’est dans ces conditions que le Seigneur peut montrer de grandes merveilles. Le Seigneur porte grande douleur à cause du manque d’humilité d’esprit de ceux qui ont tiré et tirent du milieu sur Sa difficile marche d’aujourd’hui. Oh, demande-Lui par les saints le déliement des liaisons d’au-dessus de ceux qui ont provoqué des douleurs et ils le font encore, et demande-le Lui avec des larmes d’humilité, mon fils!

Récitez les prières dans la force de l’esprit, vous, les serviteurs d’autel au milieu du peuple du Seigneur, et demandez la dissipation de l’œuvre de satan, car c’est lui qui travaille tout son mal sur ceux qui faiblissent dans la foi, et il s’occupe d’eux pour ne pas les perdre, et pour leur faire toujours du mal et les tenir toujours ainsi! Oh, demandez la rémission des péchés de tous, et le déchirement des liaisons de satan, mises sur ceux qui en sont tombés! N’oubliez pas l’eau bénite pour vos entrées et vos sorties! N’oubliez pas le jeûne et les prières, sans du péché auprès d’elles, car ceux tombés de coté font tout cela, mais en les mélangeant avec le péché de la haine contre les frères et de la vengeance, avec le péché de la médisance et de la colère, avec le péché du doute dans la foi, et ils se lèvent contre eux les jours de jeûne et de prière, car ces chrétiens n’ont pas l’humilité du cœur, humilité que, s’ils l’avaient seulement, ils échapperaient du piège du diable, et ensuite ils verraient que toutes les paroles du Seigneur sont vraies, à condition qu’ils puissent ouvrir les yeux pour voir et comprendre. Je leur dirais moi aussi, du milieu des saints, je leur dirais, tout comme le Seigneur je leur dirais que la vengeance pousse en arrière avec son mauvais travail, puisque c’est ainsi sa marche, et je leur dirais d’employer à sa place l’humilité d’esprit et la repentance pour les péchés car c’est difficile sans elle sur la terre, et elle est en grand danger la vie de celui sans humilité d’esprit pour son salut par cet esprit.


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Que le jeûne et la prière vous soient sans péché, les fils. Moi, le Seigneur, Je vous apprends le pouvoir de ces armes sur le diable, ennemi pour Moi et pour vous. Ceux qui ont jeûné et n’ont pas fait de prières, ayant dans leur nature et dans leur cœur des péchés avec lesquels ils nourrissent le diable, médisance, diffamation, colère, vengeance, jugement, mensonge, calomnie, rappel du mal, oh, ceux-là plus ils se sont fait du mal à eux-mêmes, car le diable a gagné de la force contre eux par ces péchés en leur temps de jeûne et de prière. Tous, tous ceux qui ont ainsi travaillé, qu’ils aillent vers le repentir, pour pouvoir détruire l’œuvre du diable contre eux!


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Oh, Mon peuple, il faut que tu aimes le ciel, Mon fils, il faut que tu l’aimes sur la terre, pour qu’il soit comme au ciel sur la terre. Oh, qu’elle est grande la parole que Je te dis, mais elle est grande aussi Mon œuvre avec toi et toutes les choses que Je mets sur la terre en parole, pour qu’elles s’accomplissent ensuite!


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On bénit ta foi et ton amour, peuple venu à la source, et elles se sanctifient avec ce pouvoir de parole, avec le Saint-Esprit le Consolateur, les fils! Oh, baptise ta foi et ton amour dans la rivière de Ma parole, pour qu’elles prennent de la vie et du visage dans ton être! Oh, laisse-toi vers le renouvellement du baptême, car toujours nouvelles doivent être ta foi et son action! Ton pouvoir c’est la foi, Mon fils, et elle est Mon pouvoir en toi ensuite, car voilà, c’est par la foi que Nous devons réaliser la naissance de nouveau du monde, les fils. Un homme sans foi en lui pour Moi, celui-là n’existe pas, car celui qui existe c’est par la foi qu’il existe. Je laisse Ma voix sur toi et Je te prie, augmente en toi la foi, Mon fils, et elle va augmenter ton amour et leurs faits, ceux de la foi et de l’amour, pour que le fruit de ton amour puisse éclairer devant toi et devant Moi, et que ceux qui te regardent apprennent de lui, car tu dois partager le ciel sur la terre et sur les hommes, Mon fils.

Je Me tiens avec la fête du Baptême au milieu de toi, peuple au cœur désireux pour ta venue à Ma source de parole, source de Baptême, le fils. Je t’accorde, Mon fils, la grâce du Saint-Esprit le Consolateur. La grâce c’est grande œuvre, et tu dois l’apprendre du maître, afin que tu l’aies et que tu le travailles, en augmentant par elle la foi et tous ses fruits, comme Jean–Baptiste, dans lequel a travaillé Ma grâce. Voilà temps de grâce, et le ciel est dans l’attente de voir la grâce en travaillant sur la terre et en naissant des fils pour le ciel, avec Mon royaume resplendissant en eux, pour attirer l’attention des hommes, pour qu’ils voient et qu’ils baptisent ensuite leur visage et leur vie dans l’eau de Ma rivière de parole, celle qui naît de nouveau l’homme, en apportant la naissance d’en haut pour l’homme.


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Oh, on a besoin de grande veille pour que le Saint-Esprit vous fasse des travailleurs, fils nourris avec du Saint-Esprit le Consolateur.


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Grâce, grâce sur vous, ceux rassemblés sur la voie du désir saint envers Dieu, et amenés par ce désir saint à la source! Oh, vous n’êtes pas tous, tout aussi beaux, tout aussi chers, tout aussi doux, tout aussi agréables à Dieu. Quelques-uns d’entre vous ne savent pas guérir du mal, qui les rend malades et les enlaidit devant Moi et Mes anges. D’autres parmi vous se trouvent sur des voies embrouillées et ils sont pleins de poussière pas secouée. Il y en a d’autres parmi vous qui ont, qu’ils le veulent ou pas, l’amour de soi, prétention de soi et beaucoup de mauvaise œuvre sur eux, s’ils ne savent pas travailler toujours toute leur œuvre, Ma parole accomplie sur eux. Je vous embrasse tous maintenant en jour de Baptême, et des uns d’entre vous Je fais des débiteurs, mais aux autres Je donne encore plus de grâce, Je les combles de grâce, d’amour, de sainteté, car grâce signifie grand amour, grand œuvre de charité, les fils, œuvre d’obéissance à Dieu et de sainteté par l’obéissance. Amen.


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Oh, grâce, grâce sur vous! Faites-vous demeure et repos de Ma grâce celle pour les fils, et si vous ne le pouvez pas par le sacrifice et difficultés, faites-vous demeure de l’humilité d’esprit, car l’humilité d’esprit se fait Ma demeure dans l’homme et elle console Ma douleur et elle console Mon repos, oh, les fils. Amen, amen, amen.


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Je fortifie ceux qui Me servent de portes pour M’ouvrir et que J’entre dans le livre avec Jean le Baptiste, car il a envie céleste, il veut te parler sur l’esprit de l’humilité, sur l’esprit de la patience des saints, Mon peuple, car l’homme se sent lésé dans ses droits, mécontent, et il se sent grand, il a des prétentions et il oublie, le pauvre, qu’il n’est pas plus grand que les saints que J’ai auprès de Moi dans le ciel, grâce à leur vie vécue pour Moi sur la terre. Oh, l’homme ne peut être plus grand et plus précieux que Jean le Baptiste, le saint ermite, que le ciel a élevé depuis l’enfance et jusqu`à son apparition au Jourdain, pas quelqu’un de la terre, et personne n’a pas pris soin de lui mais seulement le ciel et ses habitants.


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Oh, c’est jour de fête pour toi, que les saints et les pères de l’église ont fixé près de la fête du Baptême, oh, Mon Baptiseur. Allons, donc, mettre la table de parole, car ton désir maintenant est d’exhorter Mon peuple et tout homme qui prend de cette table, l’exhorter vers l’humilité et vers grand enseignement pour l’esprit d’humilité de l’homme devant Moi. Qu’il soit béni ton sacrifice enseignant pour les fils de Ma parole d’aujourd’hui, et pour ceux qui reçoivent d’eux, ou ils se procurent du magasin nourriture pour l’âme et l’esprit, nourriture de Ma table de parole avec Mon peuple d’aujourd’hui et avec les saints du ciel, table de l’enseignement, table de la consolation. Amen.

— Oh, doux Agnelet et bon Maître pour les fils, il n’y a pas d’homme qui mérite la consolation puisque ses péchés sont nombreux et grands et ils pèsent sur Ta douleur venue de la perte de l’homme du paradis par sa désobéissance envers Toi, mais c’est la douleur qui mérite la consolation, oh, Seigneur. La seule consolation sans mensonge est celle qui vient du ciel sur la joie de l’homme, ou sur sa douleur. Celle pour la joie est celle qui partage la joie avec joie, et la consolation pour la douleur est celle qui partage de l’espoir et des pouvoirs saints du ciel sur l’homme.

Oh, la douleur brise mon cœur dans le ciel et sur la terre, quand je vois l’homme qui désire et qui cherche de la consolation pour lui, se considérant lésé dans ses droits. Elle est tombée trop bas la sagesse de l’homme, Seigneur. Oh, comment se fait-il que l’homme ne comprend pas combien nombreuses doivent être ses douleurs pour qu’il ne perde pas sa sagesse, mais, par contre, l’enrichir par des douleurs, puisque par les joies l’homme n’apprend que l’éloignement de Dieu et le manque de veille pour la vie, le pauvre? C’est sur cela que je veux parler à Ton peuple dans mon jour d’assemblée entre les saints, et qu’il donne ensuite à beaucoup d’hommes ce que je descends en guise de cadeau saint pour ceux qui aiment le ciel sur la terre.

Sur la terre il y a des hommes et des hommes, mais c’est un grand péché que l’homme commet quand il se considère injustement traité et il est mécontent, Seigneur. Oh, qu’il est grand dans l’homme ce péché impardonnable envers Dieu dans l’homme, car où se dirige la flèche de ce péché si non contre Dieu, Que l’homme considère toujours obligé envers lui pour l’aider en tout et pour lui donner du tout, par beaucoup de voies Du Seigneur vers lui?

Tu as mis grande, grande sagesse, Seigneur, grande sagesse dans les fils, ceux des portes, et ils essayent de ne pas sentir et voir comme l’homme, mais ils pensent seulement comme Toi, et tout aussi ils essayent d’accomplir, face à la sagesse si coupable de l’homme, puisque l’homme voit et il sent humainement, seulement ainsi, pour sa punition et celle de Tes justes, Seigneur. On a jour d’enseignement précurseur pour la sagesse celle du ciel, pour qu’elle travaille sur les fils de la désobéissance, oh, Bon et miséricordieux Seigneur, mais Ta miséricorde travaille pour le salut de l’homme, et la sienne travaille tout à fait mal et contre son salut et celui de ses semblables. Je demanderais à l’homme : qui M’a consolé, moi, au temps de Mon enfance et jusqu’au temps de mon apparition au Jourdain, quand j’avais à peine passé les trente ans de ma vie selon la chair? Oh, qui m’a allaité, qui m’a baigné, qui m’a nourri, qui m’a fait des vêtements pour m’habiller? Je demanderais à l’homme, qui m’a accordé de la consolation, orphelin que j’étais de tout aide et caresse et garde? Est-ce que Dieu a été sans pitié envers moi s’Il m’a fait part d’une telle vie sur la terre?

Oh, Seigneur, je vois aux hommes de la pitié l’un pour l’autre. Est-ce qu’ils méritent tant ce de quoi je n’ai pas eu part sur la terre? Ils se lament les hommes de disette de vivres, de malheur, de solitude, du manque d’aide, bien qu’ils aient des mains, des pieds, et beaucoup de choses à leur portée sur la terre. Oh, si Tu as donné la femme comme aide à Adam, est-ce qu’elle l’a aidé à quelque chose de bon, sauf la caresse pleine de péché?

Moi, le baptiseur Jean, grand prophète levé sur la terre selon le projet du Seigneur, je parle maintenant, après deux mille ans de l’apparition au Jourdain du Seigneur et de la mienne, je parle à l’homme mécontent de son sort et je le demande: devant qui portes-tu ton mécontentement, homme méchant? Qui est obligé envers toi, pour que tu sois mécontent? Oh, qui es-tu, homme mécontent? Voilà ce que je te dis: j’ai été grand devant le Seigneur et seulement devant Lui, et c’est pour Lui que j’ai été et que j’ai travaillé et je n’ai pas goûté du péché du mécontentement envers la vie.

J’ai entendu l’autre jour, à la fête du Baptême, j’ai entendu grande parole sortie par les portes, parole qui disait qu’il ne faudrait pas que l’homme se dirige seul la vie. Oh, il est sans Dieu un tel homme et il est plus tombé qu’un homme quelconque qui entre sous un maître pour qu’il lui donne du travail, le soumettre et avoir soin de lui en lui assurant le coût terrestre pour sa vie. Pas même les adorateurs des idoles ne peuvent se tenir sans quelqu’un au-dessus de leur vie, et ils se lèvent et se font une idole et le mettent comme chef sur eux. Voilà, celui qui se dirige tout seul la vie, il est fou et il n’a pas de maître à cause de sa folie. Celui qui veut être sans Dieu sur la terre, c’est ainsi qu’il travaille.

Oh, assagis-toi bien et toujours mieux, peuple chrétien. Prends des fils de la parole céleste de la sagesse pour la vie, car si la vie n’a pas de sagesse dans l’homme pour elle, il perd sa vie l’homme. Celui qui foule aux pieds la parole de Dieu pour ne pas l’accomplir, cet homme foule aux pieds sa vie et l’écrase en marchant peu à peu. Oh, gardez-vous de ceux qui tuent leur vie et le Seigneur Qui S’y trouve, par l’insoumission et par la désobéissance face à un maître, de peur qu’ils ne vous fassent mal à vous aussi. Voilà de la sagesse de vie venue de Jean le baptiseur et le prophète du Seigneur, qui réveille maintenant votre sagesse, pour la remplir avec celle d’en haut!

Oh, Seigneur, mon Maître, parle Toi aux hommes de celles d’en haut pour eux sur la terre. Parle leur de moi et de Toi, car Tu as dit que celui qui aime sa vie, celui-là va la perdre, et celui qui la méprise, celui-là va la gagner de Toi, Seigneur. Oh, dis aux hommes que Tu as été Dieu sur la terre avec eux au temps de Ta chair vue, et Tu n’as pas eu ce qu’ils ont, eux, mais Tu as été pauvre et persécuté et haï entre les hommes. Demande-leur, est-ce qu’ils sont plus que Toi, plus grands, plus méritoires que Toi, s’ils désirent toujours tant de bien pour eux sur la terre ? Mais dans le ciel qu’est-ce qu’ils amassent pour avoir et trouver après avoir fini leur marche sur la terre ? Oh, avec le bien qu’ils désirent sur la terre ils n’amassent rien, rien dans le ciel, mais les hommes ne pensent pas à leur vie celle du ciel, à celle qui vient après leur vie sur la terre, et c’est pour cela qu’ils n’ont pas le bonheur accompli et en paix. Oh, Tu as de grands mots sur Toi et sur moi. Dis-les aux hommes ces mots qui parlent de nous, mon Maître, le mien et Celui de ceux qui veulent comme Maître Dieu sur leur vie, tel que moi, j’ai voulu et je L’ai eu ! Je Te prie de parler aux hommes de moi en mon jour de fête, de ma vie sur la terre, oh, Seigneur. Amen.

— Oui, Mon Baptiseur, mais Je ne veux qu’elle soit pour leur jugement ta vie sur la terre face à face avec leur vie, mais Je veux qu’elle soit enseignement céleste pour eux Ma parole sur Ma vie et la tienne, sur l’obéissance et ta soumission et la Mienne, sur Mon pouvoir et le tien devant le Père et devant les hommes. Amen.

Oh, Mon peuple, que tu ne cherches pas, Mon fils, de la consolation, mais que tu cherches la sagesse de la vie pour ta vie, car la vie c’est la lumière des hommes, lorsqu’elle vit vraiment dans l’homme, entre les hommes qui ne comprennent pas ce qu’ils ont à faire avec leur vie sur la terre.


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Oh, Mon peuple, oh, les fils, les fils, Je Me tiens au milieu de vous en parole de Pasteur, Mes fils. Appréciez-la et accomplissez-la, tel que Je le fais avec la parole de Mon Père, et Je lui obéis quand Il Me donne du travail, quand Il Me donne Son travail à l’accomplir. Exhortez-vous l’un l’autre vers l’obéissance à Ma parole, car voilà quelle grande grâce sur vous! Je parle avec vous pour vous veiller la vie et vous exhorter à M’obéir. Il arrive le jour où vous allez voir tout ce que vous amassez pour vous par l’obéissance, les fils. Changez-vous de gloire en gloire par l’obéissance à Dieu, les fils. Ceux qui connaissent les Ecritures et la vie qui s’y trouve et ils n’accomplissent pas ainsi, ceux-là n’amassent pas pour en avoir quand Je viendrai. Beaucoup d’érudits, beaucoup de monde, des multitudes d’hommes savent les Ecritures et en entendent, mais ils ne meuvent pas un brin de paille pour leur accomplissement sur eux, en eux et entre eux, et ils se croient fils de Dieu sur la terre. Oh, ayez grande veille sur votre accomplissement des Ecritures et des commandements de la vie, des Béatitudes, les fils, et de l’amour, Mes fils ! Tenez de toutes vos forces à l’amour d’entre vous, à la fraternité en Mon nom, tout comme les Ecritures vous conseillent, car là où il n’y a pas d’amour il y a la haine, Mon fils, là où il n’y a pas la parole douce il y a la parole dure, pleine d’orgueil, les fils, là où il n’y a pas de sainteté il y a le péché, Mon fils, et où il n’y a pas de foi il y a la chute. Oh, apprenez des Ecritures, pour en savoir comment l’homme est tombé du paradis, et veillez ensuite avec Moi, à ce qu’il n’a pas veillé ! Tout est possible à celui qui a de la foi, mais aussi de l’obéissance à Dieu, les fils. Tuez votre nature et ses habitudes et faites de la place à la vie de Ma parole en vous, faites le toujours, toujours, car si vous n’accomplissez pas toujours, toujours ainsi, le mauvais esprit trouve petite porte d’entrée et il vous mène à la ressemblance avec lui, toutes les fois que vous ne veillez pas. Oh, soutenez-vous l’un l’autre pour la voie de la sainteté, mais n’oubliez pas que la sainteté n’est pas seulement ce que vous pourriez comprendre qu’elle signifie en vous, car elle doit être ornée ensuite de votre bonne conduite l’un vers l’autre, conduite pleine d’humilité et de bienséance, Mes fils, par laquelle vous devez vous honorer l’un l’autre sans fatigue, car autrement vous vous donnez du mépris, qui porte en lui la poison de l’orgueil, Mes fils. Oh, n’essayez pas de vous montrer l’un plus grand ou plus fort que l’autre en parole ou à la vue, mais passez le temps en actions agréables pour Moi, car si vous ne M’êtes pas tous agréables tout le temps, vous êtes coupables l’un pour l’autre, les fils, et vous ne pouvez échapper à cette faute devant Moi, car vous devez être tous de bon pain pour Moi, tous ensemble et toujours, les fils. Soyez sages pour le temps du jeûne, puisque le jeûne du manger n’est rien, si vous n’êtes pas beaux avec votre esprit et votre âme face à Moi et l’un devant l’autre. Il est difficile que l’homme ait un jeûne agréable pour Moi. Ceux qui se sanctifiaient pour Moi se donnaient grande peine au temps du jeûne, et ils évitaient le plus de troubler et de se troubler avec l’esprit de l’âme, avec la parole et l’action, car l’amour se nourrit difficilement dans l’homme et d’un homme à l’autre. L’esprit de la vérité se tient d’habitude sur la langue de l’homme, il n’aime pas d’autre lieu meilleur, et de là il commence à vider l’homme de sa richesse sainte, et cette faiblesse entrée dans la nature de l’homme se transmet de l’un à l’autre, lorsque l’homme n’apprend pas des Ecritures la stature celle pour la vie, mais vous, veillez, les fils, veillez avec amour l’un sur l’autre et aidez-vous réciproquement pour Mon plaisir en vous et entre vous tout le temps, car c’est tellement facile à l’homme de tomber de Mes belles choses sur lui, les fils, et Moi Je souhaite rester avec vous tout le temps, Mes fils, et avoir le lieu pour prendre place, pour que J’y reste et que J’y sois avec vous.


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Voilà, les fils, pourquoi Je vous ai rangés dans une vie monacale, et votre nourriture de même. Les gens n’ont plus des jours de jeûne, les prêtres non plus, ni les moines. Du plus grand au plus petit ils aiment la viande comme nourriture, et toutes les choses sorties de la viande d’animal, les fils. J’ai eu besoin d’aide pour l’accomplissement des Ecritures de la fin et Je vous ai demandé de M’obéir avec du jeûne et avec de la prière, Mes fils, puisque la prière sans jeûne n’a pas de pouvoir.


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Qu’elles soient bénies votre paix et la parole, l’amour et l’esprit de la fraternité, les fils! Que le peuple de partout prenne l’œuvre celle profitable du jeûne: le manque de méchanceté, la pitié et le pardon, la paix et la bienveillance entre les frères, entre Moi et Mon peuple, et Nous irons ainsi, avec amour, vers la fête de la résurrection, les fils. Amen, amen, amen.


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Oh, il ne faut pas beaucoup à l’homme de pécher contre Dieu et devenir malade par l’esprit de l’orgueil, et ensuite par l’incrédulité et le manque d’amour envers Dieu et envers les hommes.


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Oh, fils élevés avec la parole venue du ciel, celui qui se considère meilleur et plus juste qu’un autre, celui-là est comblé d’orgueil et il insulte, humilie, accuse, diffame et il agit par ruse avec sa langue sur son prochain, mais celui humble à cause du péché lève sa voix vers le ciel et il dit avec douleurs: «Souviens-Toi de Ta miséricorde, Seigneur, car elle est éternelle, et ne Te souviens pas des péchés de ma jeunesse, et pour Ton grand nom, selon Ta bonté, pardonne mes tors, car ils sont grands. Tourne vers moi, l’abandonné et le malheureux que je suis, car l’angoisse de mon cœur a grandi, mais vois ma peine et pardonne-moi, Seigneur, et garde mon âme, car c’est en Toi que j’espère!». Oh, Mon peuple, c’est ainsi que tu dois être devant Moi et devant tes semblables, puisque l’humilité élève l’homme et elle rend miséricordieux le Seigneur envers lui, tel que Je suis allé au-devant de la samaritaine à la fontaine et Je Me suis découvert à elle pour l’humilité de son cœur, puisqu’elle voyait ses péchés et c’était à grande difficulté qu’elle les portait, mais Je suis venu en Sauveur dans sa voie et Je lui ai donné la possibilité du déchargement. Je lui ai donné l’eau de la miséricorde et ensuite l’esprit du témoignage pour avoir du travail, pour ne plus avoir de temps pour elle, mais pour Dieu, pour Son témoignage sur la terre, oh, et il y a eu beaucoup de peuple qui s’est levé vers Moi par cette femme qui témoignait du Christ, et toute sa famille s’est donnée à Moi en sacrifice de foi et d’amour, devant les incroyants et les persécuteurs de Mes fidèles.

Oh, parle toi, grande martyre de Mon nom, parle à Mon peuple, et donne-lui parole de foi, parole d’humilité pour ceux qui vont t’entendre par Ma venue avec les saints aujourd’hui sur la terre. Amen.

— Je leur parle, oh, Seigneur, je leur dis à tous, que Tu es le Sauveur de mon âme et de ma famille et de ma cité, devant lesquelles j’ai témoigné de Toi au jour où je T’ai rencontré à la fontaine d’Israël. Je les exhorte à la prière pleine d’envie sainte et de douleur pour la rémission de leurs péchés, pour leur humilité face à Toi, et qu’ils disent tous comme l’empereur David: «Un cœur pur crée en moi, Seigneur, et renouvelle en ma poitrine un esprit ferme. J’ai péché contre Toi Seul et ce qui est mal à Tes yeux je l’ai fait, mais parce que Tu aimes la vérité au fond de l’homme, dans le secret, enseigne-moi la sagesse, purifie-moi avec l’hysope et je serai pur, et rends-moi le son de la joie, pour qu’ils dansent mes os que Tu as broyés, et détourne Ta face de mes fautes et efface-les, Seigneur, et rends-moi la joie de Ton salut, et ma bouche annoncera Ta louange, car Tu ne prends pas aucun plaisir au sacrifice, mais l’esprit humilié et le cœur brisé et contrit, Seigneur, et ensuite j’enseignerai Tes voies à ceux qui les transgressent, et les pécheurs reviendront à Toi, en quittant leur péchés».

Oh, je n’ai pas d’autre parole à dire au jour où on fait mémoire de moi avec Toi à la fontaine d’Israël, mon Rédempteur. Je les stimule tous à une foi ferme, car la foi est celle qui ne tombe jamais, tout comme l’amour, Seigneur.

Oh, aimez de toutes vos forces l’œuvre de l’humilité en vous et en dehors de vous, travaillez beaucoup pour le Seigneur, le Rédempteur en ces jours, quand Il vient et se tient avec vous et Il Se donne à ceux qui viennent vers la foi à Sa voix entendue au milieu de vous! Il vient le Messie et Il vous apprend tout, tel qu’Il a dit qu’Il viendra. Les saints vous regardent et ils voient l’accomplissement de cette Ecriture du Seigneur avec vous, mais qu’elle est petite la foi sur la terre, et qu’ils sont grands les ventres et les gueules de ceux assis sur les chaises d’église sur les multitudes inconsolées et affamées! Il vient le Messie et Il vous apprend tout! Donnez à tous ce que vous avez de Lui, car l’Esprit n’est pas avec mesure!


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Oh, Mon peuple bien-aimé, dans lequel Moi et le Père Nous avons mis toute Notre affection en ces jours-ci! Quand l’homme se tient sous la soumission selon l’ordre mis sur lui où sous lequel il se soumet, un tel homme et plus bon, plus chaud, plus fidèle envers tous et il est léger pour lui-même et léger à porter de tous, mais quand l’homme a des soumis conformément à l’ordre fixée, l’homme est plus pressé, plus tendu et on voit cela, car il est plus tensionné un tel homme, plein de soucis, plus difficile à porter par ceux d’auprès de lui, plus difficile à comprendre par les autres, qui n’ont pas une réponse à donner pour toutes les choses, et tous le regardent comme on regarde celui dont on a peur, auquel on doit obéir, et elle est bonne cette crainte, et elle n’est pas difficile à porter, car il est facile pour celui qui obéit, du moment qu’il y a quelqu’un qui prend soin de lui, à condition qu’il aime l’œuvre de la soumission sainte, l’œuvre de ceux qui aiment Dieu sous Sa peine, celle pour l’homme.

Oh, ne soyez pas en faute envers la patience, les fils, car la patience qui fait mal à l’homme c’est la révolte intérieure de l’homme, pas la patience, ce n’est pas la charité pleine de patience sainte et douce pour son amour dans l’homme, mais c’est l’orgueil de soi dans l’homme. Celui qui n’endure pas avec contentement, celui-là n’a pas peur de Dieu et sagesse non plus. Dans la prière du début du jour, Mon fils, dis au Seigneur: «ne me laisse pas, oublier, Seigneur, que tout vient de Toi!» et tu ne seras plus mécontent à cause de l’homme dont tu dis qu’il pèse ton âme, car il est possible qu’il soit lui aussi pesé de toi, et pense à lui aussi, pas seulement à toi, pour la difficulté se trouvant entre vous, et que ton amour ne connaisse pas l’hypocrisie, mais que tu aimes par lui ton prochain et pas toi, et alors tu ne vas plus élever la voix pour te plaindre de lui, de ce qui vient de Dieu et pas de ton frère, qui couvre Dieu devant toi, pour que Dieu puisse parler avec toi, avec ta vie, avec ton action, quand Il veut faire cela et te débarrasser du contentement de toi, et te donner de la foi à sa place, et le don de la soumission sainte.

Il faut que tu saches, Mon peuple, que la charité est celle qui se donne, pas celle qui attend de la charité, celle qui prête à usure. Oh, cherche à aimer et à bien comprendre cette œuvre secrète de l’amour sans hypocrisie dans son action. Evitez l’esprit du mécontentement, les fils, car cet esprit vous met sous la charge et vous porte vers le murmure, il vous mène vers l’amour de soi et vers un autre homme pour vous plaindre, il vous mène vers le parler en deux, Mes fils, et rappelez-vous de Ma parole d’ entre vous d’il y a longtemps, lorsque J’ai dit qu’alors qu’en Israël quelqu’un était en faute, tout le peuple souffrait, et, encore, rappelez-vous du navire avec lequel Jonas s’est enfuit de Ma face, et comment par sa faute devaient périr tous ceux qui s’y trouvaient, et quand Jonas leur a dit que sa faute, dont il leur avait parlée, c’est la cause de leur perte, la cause des vagues qui élevaient la mer, il leur a dit de le prendre et le jeter dans les vagues pour sauver la vie de tous, et c’est ainsi que l’on a fait, et ensuite les marins et tous ceux du navire priaient Dieu avec peur pour Jonas, pour qu’ils n’aient pas à donner réponse pour le sang de celui qui n’était pas coupable envers eux, mais envers Dieu, et alors Moi, le Seigneur, J’ai travaillé merveilleusement à leur prière pour Jonas et J’ai ordonné à un grand poisson de l’engloutir et le porter en bonne santé jusqu’au rivage, car J’avais envoyé Jonas avec parole prophétique vers la grande cité de Ninive, qui aurait du périr pour ses méfaits, tout comme Jonas aurait pu périr dans la mer, si le grand poisson ne l’avait pas couvert dans ses entrailles, et elle n’est pas passée non accomplie Ma parole prononcée sur Jonas, mais il est allé ensuite et il l’a accomplie dans la cité de l’infamie. Et voilà, la faute de Jonas a mis en péril tous les marins et ceux qui ce trouvaient dans le navire, avec lequel il voyageait dans sa fuite de Dieu.

Oh, ne fais pas de fautes par rapport à la patience, Mon peuple! Cette sorte de faute te porte vers d’autres fautes, et voilà, Je dis encore, ne commets pas de faute par rapport à la foi, à l’amour avec soumission et pour la soumission, de peur de mettre en danger ceux avec qui tu voyages sur ton chemin avec Mon peuple! Fais attention qu’il ne te trompe pas l’esprit de la perfidie, pour travailler avec lui! Il est trop caché pour que tu puisses le voir, beaucoup trop subtil pour le comprendre, et il est bon que tu sois tranquille, sage, et que tu ne fasses pas de fautes dans l’obéissance à Dieu et à tout ce qui vient de Lui pour t’éprouver. Ils se jettent dans le monde comme Jonas dans la mer ceux qui n’obéissent pas à Dieu, et c’est ainsi que Je protège le reste de Mon peuple, qui obéit avec soumission, par l’esprit de la patience sainte, oh, mais Jonas était aimant de Dieu, doux et humble de cœur et avec grande fidélité en lui, sauf que sa grande humilité M’a brouillé alors que J’ai voulu faire de lui Mon messager, pour la cité de l’infamie, et Je l’ai ressuscité encore une fois d’entre les morts pour faire par lui Mon œuvre et sa confirmation et son exemple à travers le temps.


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Oh, Mon peuple, l’homme a besoin de beaucoup de réprimande, Mon fils, de beaucoup d’enseignement, de beaucoup d’observations, car il est toujours en faute, mais cette bienfaisance ne lui plaît pas et ne fait pas de bien à son cœur, et malheur à ceux sans réprimande toujours envers eux, et qui ne cherchent pas quelqu’un pour les purifier de leur faute et la punir! Oh, ne fuis pas la réprimande, le fils, car c’est plus facile ainsi, c’est mieux comme ça pour toi, que lorsqu’elle viendra la grande douleur sur beaucoup d’hommes.

Paix à toi, Mon peuple, il faut que tu aimes la justice car elle est la Mienne la justice, puisque l’homme ne l’a pas ni au moment où il a l’impression d’avoir raison contre un autre homme fautif!


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L’homme s’intéresse à ses affaires, mais il ne s’y connaît pas et il ne trouve rien de tout ce qu’il cherche, car rien ne reste à l’homme devant Moi. Celui qui se leurre soi-même, c’est tout aussi qu’il perd sa raison quand il a besoin de raison et il lui convient cela à un tel homme, car c’est ainsi qu’il a nourri sa raison, et cela ne signifie pas que l’homme se procure de raison. L’homme a besoin de raison et il ne s’en procure pas, car il dit qu’il en a lui, mais la raison s’accomplit de Dieu par l’esprit de l’humilité, si l’homme en a, car c’est seulement l’humilité qui fait mettre Dieu dans l’homme, elle lui fait chemin dans l’homme, et c’est justement ainsi qu’il a la raison l’homme, car la raison signifie Dieu dans l’homme, et autrement il est laid l’homme, il est homme et c’est tout.


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J’ai des fils et des filles pleins de Ma souffrance en eux, pas de la leur, mais il y en a assez de lieu en lieu de ceux qui veulent venir après Moi et ils sont comblés de leur souffrance, car ils n’ont pas voulu apprendre de Moi et de Mes saints leur formation selon la volonté du ciel et de la naissance d’en haut, car personne ne peut bâtir tout seul sa nouvelle formation, parce qu’il ne peut se voir tout seul avec tous ses problèmes, mais il a besoin d’une aide, il a besoin d’un miroir qui l’aide à se voir.

Oh, fils qui avez de vos douleurs et non de Mes douleurs! Lorsque l’homme est méchant, son cœur devient âpre, son visage aussi, sa parole de même, tout comme son action, mais quand il fait la paix avec tout ce qui vient vers lui, n’importe comment et n’importe d’où il vient, son cœur s’humilie, ils s’attendrit, il se plie et il construit son être selon Mon visage et Ma ressemblance, puisque Moi, Je Me suis donné Moi-Même à ceux qui M’ont soumis, sous la main de celui qui M’a livré dans la nuit où J’ai été vendu, et même si J’ai été si comblé de douleur, J’étais doux et humble de cœur, plein de patience et d’amour, car la sévérité du cœur ne M’a pas connu, parce que tout venait de Dieu, et c’est ainsi qu’il doit se dire tout homme: tout vient de Dieu pour la nouvelle formation, celle du ciel. Amen.


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Oh, fils travailleurs à la source de Ma part sur ceux qui choisissent leur croissance celle de Dieu, Moi, le Seigneur, Je souffle sur vous, et Je vous donne et Je veux qu’ils prennent ceux qui prennent de vous du conseil et de la sagesse, mais qu’ils travaillent ainsi ensuite, pour leur vie celle d’en haut. L’esprit de l’humilité c’est la plus grande œuvre de Dieu pour l’homme, car J’ai montré Mon humilité pour que l’homme apprenne d’elle, et que l’homme ne veuille pas être plus grand que Dieu, car le chemin avec Dieu a son or, il a sa richesse et il resplendit d’en bas jusqu’en haut par cette lumière, par l’esprit de l’humilité, échelle qui monte l’homme au ciel pour qu’il soit du ciel sur la terre, non plus de la terre qu’il soit ensuite.

Je suis venu sur la terre pour la déification de l’homme. C’est cela qu’ils doivent savoir ceux qui sont et qui veulent être avec Moi sur la voie de Ma parole d’aujourd’hui, sur la voie de Ma venue d’aujourd’hui sur la terre en parole, et il doit se déifier celui qui veut être avec Moi, par le renoncement à soi et par sa déification ensuite, car c’est cela que J’ai travaillé sur l’homme.

Apprenez au peuple de partout, fils qui vous faites voie de Ma parole, afin qu’elle vienne pour l’évolution de ceux qui s’amènent pour leur croissance. Apprenez à tous qui veulent être avec Dieu, qu’ils sachent que ce n’est pas Dieu qui doit Se faire comme eux, mais ce sont eux qui doivent se faire comme Dieu.

Je ne veux plus de douleur venue d’eux, puisque celui qui souffre pour lui-même dans le corps de Mon église, celui-là devient Ma douleur et Mon fardeau et le vôtre, les fils, et Nous devons leur dire de temps en temps qu’il est obligatoire qu’ils aient croix et patience pour la croix tous ceux qui veulent être avec Dieu, car Ma croix est lourde, elle n’est pas comme la leur, et s’ils ne peuvent aider ou réduire le poids de Ma croix, qu’ils portent du moins avec patience et apaisement leur croix, car il ne s’agit pas de couper de la croix, mais de l’orner avec les beautés de l’amour et de la patience sainte, de la sagesse parfaite, et surtout de la non révolte, car l’homme n’a pas le droit de se révolter, si seulement il ne s’arroge pas ce droit contre son humilité, qu’il devrait avoir pleinement pour son rédemption.

Oh, l’homme ne sait pas ce que c’est la croix, quelle gloire est elle, quel chemin vers la résurrection représente-elle, et c’est pour cela qu’il se plaint toujours, et c’est pour cela qu’il s’affaiblit toujours homme par homme, se plaignant toujours, comme si c’était cela son œuvre. L’homme devrait recevoir tout ce qui vient sur lui comme de la main de Dieu, et ne pas Lui frapper la main, puisque Dieu sait ce qui est profitable à l’homme, selon ce qu’Il voit être nécessaire pour la créature toujours nouvelle de l’homme, car Moi c’est par la souffrance que J’étais venu sur la terre, et c’est toujours comme ça que J’ai vécu ensuite, et Je suis revenu et Je suis resté auprès du Père, car c’est cela la couronne de ceux qui aiment Dieu, et la joie et le plaisir c’est la voie des païens, pas celle des chrétiens, car les chrétiens ont de joie la croix et leur Seigneur, le Seigneur de la croix, le Pasteur Celui avec la croix, Celui Qui Se tient après les brebis pour leur donner Son pâturage et leur donner l’exemple d’avoir soin de la croix, la gloire de ceux qui aiment Dieu selon Son image et Sa ressemblance, car c’est par la croix que J’ai montré Ma gloire, et c’est par elle que J’ai aimé chaque homme, pour le racheter, et le donner au Père, là où il rencontrera son repos, qu’il a perdue en quittant Dieu, dette qui doit être payée à Dieu, de chaque homme, pour recevoir de nouveau son adoption perdue. Amen.


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Oh, Mon peuple, J’accomplis avec toi parole de naissance d’en haut pour la raison de l’homme et Je lui dis que s’il n’y avait pas les puissances célestes et leur œuvre établie de Dieu pour toute la création, il n’y aurait plus rien, et il y aurait de nouveau les ténèbres et l’abîme et les eaux, tout comme avant la création celle qui existe. Oh, Mon peuple, il faut que l’homme se conduise tout aussi, Mon fils, l’homme avec lequel le Seigneur parle aujourd’hui sur la terre! Il faudrait que l’homme se tienne avec crainte et attention, non pas tel qu’il le fait sur la terre, avec le service et la protection des puissances célestes, qu’il connaît très peu, qu’il appelle très peu, sur lesquelles il connaît trop peu, sur elles et sur leur œuvre puisque la nourriture de leur pensée c’est la présomption. L’homme oublie qu’il y a Dieu puissant sur tout, il l’oublie alors qu’il s’enorgueillit face à face avec Dieu, et il oublie de Moi, tout qu’il l’a fait Adam au Paradis, en agissant à sa gré et non pas selon la volonté de Dieu.

L’homme ne se tient pas sous la direction de Dieu, il ne le fait plus dès son début au paradis, et il ne sait plus se tenir sans la veille du Créateur du ciel et de la terre, tel qu’elles le font toutes les choses par leur création. Mais Moi Je suis resté et Je reste sous la veille du Père, car Je suis né, non pas crée, de même nature que le Père, Duquel J’ai été né avant tous les siècles, et par Lequel tout a été fait.

Je viens sur la terre en parole pour apprendre à l’homme le mystère de la naissance, puisque l’homme est le fruit du péché qui travaille en lui, c’est pourquoi son œuvre c’est la présomption, qui a comme serviteurs les anges tombés du ciel et qui luttent dans l’homme depuis lors et jusqu’aujourd’hui contre lui et contre Dieu, et l’homme ne peut laisser Mon royaume en lui, que par grande guerre contre Lucifer, celui qui a établi sa domination dans l’homme, et ne se laisse pas facilement vaincu, car elle est en état de guerre avec Dieu cette force tombée du ciel.

Oh, Mon peuple, Je donne table de parole et J’y mets de l’enseignement sur la crainte de Dieu dans l’homme. Si l’homme n’embrasse pas la crainte de Dieu, s’il n’obéit pas de veiller avec crainte ses jours, et pas avec indifférence ou selon sa raison, Moi, le Seigneur, Je ne peux être pour lui Pasteur du ciel, car l’homme ne peut Me connaître s’il ne s’impose des limites et la crainte de Dieu dans son cœur, et bien s’y tenir ensuite.


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Oh, J’aimerai tant te parler d’avantage, peuple du Seigneur, et de toute chose je te parlerai, mais elle est petite la mesure humaine, et Nous, ceux du ciel, Nous savons cela et Nous travaillons avec attention. Oh, peuple plein de parole venue du ciel sur ta table, prends la main de la sagesse cela du commencement, les fils, car tu ne dois pas être comme les hommes de la terre, parce-que tu es nourri du ciel. Ta raison et ton cœur ne sont pas les tiens, ne l’oublie pas! Tu dois toujours, toujours chercher de ressembler à ceux du ciel, car le ciel te sert en grand secret maintenant, pour que le Seigneur puisse achever Son œuvre d’aujourd’hui. Il faut que tu sois céleste sur la terre! Tu dois être le ciel de mon Fils Jésus-Christ, parce-que le Seigneur est du ciel, pas de la terre, et Son royaume de même, et celui-ci est avec toi, et tu es Son royaume au milieu des hommes, maintenant en grand secret de leurs yeux.

Je laisse parole du ciel maintenant et je dis en témoignant: ceux qui partent de cette œuvre de parole, ils partent du ciel et ils tombent du ciel sur la terre comme Adam, qui est tombé par la désobéissance à Dieu en paradis, et encore, celui qui vient de la terre pour vivre dans cette œuvre de parole, il vient dans le mystère du ciel, pas n’importe où, et il doit se faire le ciel de Dieu celui qui vient, et ensuite temple de Dieu, demeure de Son royaume, avec tout son visage invisible, comme celui des anges qui ne se voient pas, mais dont le nombre de cieux et de pays est si grand que la raison de l’homme ne peut connaître ce mystère, et moi, je suis grand témoin pour les mystères de Dieu, tout comme pour le mystère de la naissance du Seigneur entre les homes sur la terre il y a deux mille ans. Amen.


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Oh, Mon peuple, garde-toi à l’écart, Mon fils, car c’est pour Moi que Je t’ai accrue. Tiens-toi toujours dans Mon attente pour que Je t’apporte du ciel, pour que tu aies de nourriture chaude et Ma chaleur avec toi, Mon fils, parce que tu ne dois pas prendre froid, tu ne dois pas te refroidir, car c’est seulement ceux qui se refroidissent, seulement ceux-là prennent froid et deviennent malades, et ils ont besoin de médicaments, de potions amères pour la guérison.


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Je conseille le peuple de Ta parole, Seigneur, je lui dis cela: Oh, faites-vous des disciples les uns pour les autres et aimez d’être disciple pour vous rendre beaux, pour devenir le fruit qui existe toujours en donnant du fruit. J’ai toujours été obéissant à l’Esprit-Saint et je me suis tenu sous la direction des apôtres du Christ, par Lequel on m’a donné à travailler l’œuvre de disciple. C’est le Saint-Esprit Qui était mon œuvre et c’est avec Lui que je dirigeais les affaires de l’église, tout le temps que j’ai vécu, dans ce service. Oh, ne vous séparez pas de l’œuvre et du fruit du Saint-Esprit en vous et entre vous au moment où vous devez diriger les affaires de l’église, les besoins de la vie fraternelle! Soyez inséparables de Dieu-le Saint-Esprit, et vous serez des disciples, fils du Père et du Fils et du Saint-Esprit, le Baptiseur, le Seigneur de la vie Créateur, Qui du Père procède, et avec le Père et le Fils est adoré et glorifié par les disciples, Celui du haut parleur dans Ses prophètes, et par l’église avec son assemblée, confessez vos péchés dans le baptême du Saint-Esprit, gardant votre vie dans le Christ, l’Epoux des saints. Tenez-vous avec le ciel ouvert au milieu de vous et fermez au monde la fenêtre vers vous, puisque le monde c’est de la terre. Bénissez tous le Seigneur, en tout temps bénissez-Le, car Il témoigne de vous à ceux du ciel et au monde, que vous êtes Son peuple sur la terre, le lieu de Son repos et de Sa venue d’aujourd’hui. Faites-vous des disciples l’un pour l’autre ! Entrez l’un sous la main de l’autre pour l’esprit de la charité et de la soumission, qui vous élèvent en haut, au ciel, car vous avez besoin de soumission, dont pas Même le Fils de Dieu n’a pas été exempté, ni dans le ciel, ni sur la terre. Mais soyez travailleurs, d’obéissants travailleurs et très sages pour l’œuvre obéissante, qui est au service de l’église du Christ. Soyez sur la terre comme dans le ciel, ne l’oubliez-pas! C’est cela que je vous souhaite en ces jours de naissance, quand le Seigneur Jésus-Christ est en fête avec vous, Epoux et mariée, à table de noce, et de beaucoup de parole sur la table. Amen.


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Oh, que d’esprit d’humilité doivent avoir les saints pour être des demeures célestes de la charité, Seigneur ! Il faut beaucoup d’enseignement pour les saints de la terre. Ils ne doivent pas mesurer d’eux-mêmes leur charité, en considérant qu’ils l’ont en eux, mais il faut qu’elle se montre d’elle-même par sa preuve, et que l’humilité couvre tous les dons du ciel dans les saints de la terre, puisque ce n’est pas sur la terre que l’on paie la gloire des dons célestes dans les saints, mais seulement dans l’humilité, seulement dans le ciel, seulement après, Seigneur. Les grands saints habillaient par-dessus l’aspect des incapables, sous lequel ils cachaient leur trésor venu du ciel, de peur qu’ils ne le perdent pas ou qu’il leur soit volé. Une multitude de continuateurs se sont montrés toujours à la suite de Tes saints, par lesquels Tu témoignes d’eux ensuite.


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Lève-toi, peuple fidèle, réprimande satan au nom du Seigneur Jésus-Christ, pour qu’il perde le pouvoir et qu’il se soumette, car j’ai prophétisé sur lui parole de réprimande, qui doit s’accomplir jusqu’au bout, mais prononce-la Toi-Même ici au-dessus de la terre, réprimande pour satan et pour tous ses serviteurs, car ils ont caché mon livre et ma prophétie laissée contre satan, mais chez Toi qu’on la prononce chaque jour pour la mémoire, et qu’elle ordonne au nom du Saint-Esprit la destruction de l’œuvre de satan sur la terre, sur les hommes et sur tous ses nids et cachettes. Amen.

Vous serviteurs de l’autel du Seigneur du milieu de ce peuple recueilli par le Seigneur pour Sa gloire d’aujourd’hui, venez devant le Seigneur avec les prières pour Sa victoire et admonestez satan chaque jour, puisque chez vous il y a tout le temps sur la table des plats propres, du jeûne, pas de nourriture du monde, car le Seigneur vous demande de manger toujours de la nourriture monacale, et d’être toujours prêts, jour par jour, avec du jeûne et des prières, et vous avez aimé cela et vous l’avez accompli à la parole du Seigneur, puisque ce genre de diables qui fourmillent maintenant du ciel jusqu’à la terre, ils n’ont pas peur que de ceux qui sont fidèles, passant le temps avec du jeûne et des prières le jour et le nuit, pour la venue du Seigneur et pour Sa victoire, celle de la fin du temps, celle d’aujourd’hui. Le Seigneur vous a demandé de vous nourrir toujours monacalement, et vous avez ainsi aimée et accompli, à la parole du Seigneur et vous êtes obéissants à Lui. Il vous a sorti du monde, le Seigneur, vous êtes sortis du monde pour être Son peuple, celui mis de coté pour Sa gloire. Ayez grand cœur! Le Seigneur est avec vous dans Sa venue, dans Sa gloire celle pleine de parole! Donnez-Lui du pouvoir pour venir et pour bâtir, pour qu’Il soit sur la terre le Seigneur! Amen.


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Il y en a beaucoup de ceux qui s’allument pour peu de temps et ensuite leur amour sèche, car ceux qui ne sont pas jusqu’à la fin avec Moi, ceux-là ont un amour faible et ils n’ont pas de pouvoir pour lui, puisqu’ils ont le cœur penché sur leurs affaires et l’amour faiblit et ils ne restent plus les Miens, tout comme Je reste avec les Miens jusqu’à la fin, tel que Je leur ai promis.

Oh, il vient le temps de l’amour sans fin, le siècle à venir, le siècle de l’amour, car le Seigneur c’est l’amour et Il est sans début et sans fin. Je souffre pour celui qui ne peut travailler jusqu’à la fin, et toujours davantage avec son amour pour Moi. Elle est grande l’œuvre de l’amour, ce n’est pas petite chose tel qu’il croit l’homme, qui sent en lui l’amour qui le nourrit. L’amour doit être nourri pour qu’il existe, qu’il ne périsse pas, autrement il ne reste pas dans l’homme, car l’homme est partagé. Il a besoin de beaucoup de propreté, de nourriture propre, de pain propre, de vin propre, d’enseignement propre et saint, nourriture pour ceux humbles d’esprit tout comme Abraham l’était toujours devant Dieu.


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Prenez de Mon Esprit! Quand vous prenez de votre esprit vous êtes faibles et elle vous tente votre faiblesse, mais lorsque vous prenez de Mon Esprit ceux qui vous voient habillés dans Mon Esprit deviennent eux aussi forts pour Moi et, au moins, ils n’embarrassent plus votre marche sainte. Oh, soyez saints, car Moi Je suis saint! Voilà la vie qu’on demande à ceux qui M’aiment ainsi, et ils ne peuvent plus ni mourir, car ils sont comme les anges. Soyez très sages quand Je vous parle, car les anges chantent toujours. Chantez vous aussi comme eux, chantez toujours, car ceux qui ne chantent pas ne sont pas comme les anges. C’est un grand mystère de chanter comme les anges, ce n’est pas petite chose ce mystère, puisque les anges sont Ma gloire et ils s’humilient beaucoup, pour ne pas se bruler auprès du feu de Ma gloire, celle annoncée par eux, car ils remplissent le ciel et la terre et ils disent en chantantet en annonçant: «Saint, Saint, Saint notre Seigneur Dieu Sabaoth, pleins le ciel et la terre de Sa gloire!».


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Il y en a beaucoup de ceux qui regardent dans Ma parole avec toi, même de ceux qui ont été avec toi de nombreuses années et ils ont aimé Dieu tout comme toi. Même parmi ceux-ci il y en a qui disent que Je n’ai pas de parole neuve mise dans le livre, qu’il n’y en a rien de nouveau, et ensuite ils ne regardent plus dans Ma parole et ils ne la mettent plus à l’oreille pour l’entendre, tel que J’envoie maintenant au-dessus de la terre la voix de Ma parole pour que l’on entende. Mais Je dis à ceux qui jugent ainsi avec leur cœur et raison, Je leur dis que Dieu est toujours aujourd’hui, toujours maintenant, toujours le Même, hier, aujourd’hui et demain, et Il est comme nourriture sur la table de ceux qui se nourrissent de Dieu, car le pain aussi est toujours du pain avec le même goût, mais l’homme le prend et le mange chaque jour, pour qu’il ne meure pas à cause du manque de pain; c’est la même chose que Je dis sur l’eau aussi à ceux indifférents à Ma venue en cette parole. Oh, que de présomption terrasse ces gens-là, et ils la reçoivent en eux, mais la nourriture de Ma parole toujours fraîche ils ne la prennent plus comme pouvoir pour eux de Ma part, car cette nourriture c’est plus que l’air pour ceux qui vivent par elle devant Moi, et ceux qui aiment Dieu sont ceux qui écoutent de Dieu et qui vivent en Lui, tel qu’il est écrit.


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Je Me fais parole dans le ciel et sur la terre, Je Me range en livre écrit et Je Me donne avec Mon conseil, avec Ma bénédiction à ceux qui Me cherchent pour leur donner, et Moi, le Seigneur Jésus-Christ, Je viens sur la terre en parole, Je viens et Je viens toujours et Je Me donne toujours, pour qu’il s’attache à l’homme le désir de se donner à Dieu de tout son cœur, et de toute son âme et tout son esprit, car l’amour partagé ne laisse pas à l’homme le cœur pur, et le diable l’attire vers beaucoup de choses, et il fait cela avec l’homme depuis sept mille ans, mais Moi aussi, le Seigneur, Je travaille en même temps, et Je travaille toujours pour retourner à l’homme ce qu’il a perdu, parce qu’il n’a pas obéi à son Créateur dans le jardin d’Eden, il s’est partagé, son amour n’a plus été entier, et le cœur n’est plus resté pur dans l’homme bâti par Dieu, et il n’a plus habité en paradis s’il n’a pas obéi. J’ai eu pitié de lui alors, et J’ai eu pitié de Moi, mais Je Me suis trouvé face à face avec la loi du paradis et J’ai pleuré face à face avec elle, J’ai pleuré par pitié de l’homme et de Moi, au jour où l’homme est sorti du paradis. Par pitié de lui Je Me suis fait parole sur la terre maintenant, à la fin de temps, et par ce qu’il Me manque l’homme Je descends après lui, afin de le faire M’entendre et Me croire, et que seulement ensuite il M’apporte les preuves de sa foi et puis de son amour, car sans amour la foi ne suffit pas, tout comme dans l’Eden il ne s’est pas passé autrement avec l’homme. Il parlait avec Moi l’homme en l’Eden, et Moi Je parlais avec lui, mais sa désobéissance qui est venue du manque d’amour a ruiné Ma demeure en lui, et voilà que d’enseignement doit avoir l’homme pour la vie en lui, ici et pour l’éternité ensuite.


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J’embrasse dans la bénédiction le pouvoir de ton âme et de ton corps et Je t’en maintiens pour la loi sainte du jeûne, qui commence maintenant pour aller au devant de la fête de Ma Résurrection, oh, Mon peuple. Prends soin, Mon fils, de te garder en Moi toujours, de garder en toi Mon image et te donner avec Moi autour de toi toujours durant ce temps, et que chacun de vous travaille ainsi, Mes fils, car l’amour a de l’obéissance et l’obéissance fait la preuve de l’amour pour elle, et c’est ainsi que Je peux Me réjouir de l’homme qui vit pour Moi et pas pour lui.


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Oh, peuple de Ma parole, oh, Mes fils, que pas un d’entre vous ne se tienne la bouche sèche de parole du ciel prononcée sur vous, et de louange pour ceux du ciel! Qu’elle travaille de l’un à l’autre Ma parole prononcée entre vous. Il faut que vous vous donniez de l’un à l’autre Ma consolation, car les fidèles doivent se nourrir beaucoup les uns les autres avec le paradis, avec la nourriture du paradis, avec les saints, avec les anges et avec toutes les puissances célestes, et au moment où Moi, le Seigneur, Je dis à l’homme ce qu’il doit faire sur la terre homme face à l’homme, c’est juste ainsi qu’il doit accomplir, puisque Je suis Dieu de Dieu, et il ne faut pas prendre en vain la parole entendue de Dieu, mais elle doit être accomplie avec crainte, et la crainte de Dieu est avec ceux qui agissent tel que Dieu le demande et comme le Seigneur attend de l’homme, du petit vers le grand, Celui Qui prend soin d’apprendre à l’homme se faire Dieu par la grâce et par l’obéissance venue de la grâce, car la grâce signifie le renoncement à soi avec de l’humilité et du repentir, avec beaucoup de travail et de merveilleux travail pour ceux-là, avec beaucoup de désir saint dans l’homme, car sans désir saint envers Dieu, oh, personne ne peut aimer Dieu sur la terre, personne ne peut languir après Lui sans cesse, après la vie éternelle, et la vie c’est Moi. Je suis la Voie, la Vérité et la Vie, dont les orgueilleux n’ont pas la chance, car ceux-là prennent de leur raison même les choses pour Dieu de leur part, et ils ne prennent pas de Dieu s’ils agissent comme ça, car ce n’est pas ainsi que l’homme puisse avoir la grâce, parce que la grâce signifie inclination, obéissance avec humilité, tel que Ma mère a toujours eu et elle a toujours travaillé ainsi, toujours, elle a travaillé comme Dieu sur la terre et elle a enfanté le Fils de Dieu Homme sur la terre, et l’homme elle l’a fait dieu par la grâce, par son œuvre, celle comblée de grâce pour Dieu et pour l’homme.


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Celui qui se tient jusqu’à la fin est celui qui ne se laisse pas trompé de rien et de personne, il est celui qui ne se montre pas sage et ensuite mécontent par son orgueil, comme Adam en Eden, car celui qui s’enorgueillit se voit sage, et par cela juste, et il juge ceux d’autour de lui, et voilà, c’est ainsi qu’ils tombent de Dieu et de la foi ceux qui se donnent de l’importance sur la voie de la croix, sur la voie de Mon Evangile avec l’homme.

Oh, celui qui ne jeûne pas de lui-même, c’est en vain qu’il mange maigre au temps de jeûne, car c’est l’orgueil qui accompagne l’homme sans constance sur sa voie avec Moi,


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Oh, prend sagesse du ciel, Mon fils, prend soin de Moi pour être intelligent, car voilà quelle sagesse Je te donne pour Mon amour, pour ton amour en Moi, et voilà ce que Je te dis! Oh, Mon fils, ton comportement envers ton prochain c’est le même que tu adresses à Dieu, car l’esprit est esprit comme celui de Dieu, ou bien comme celui de l’homme,


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Je dis encore et encore à tous ceux qui ont cru et qui croiront dorénavant que Moi, le Seigneur, Je parle sur la terre au milieu d’un petit peule fidèle à Ma venue d’aujourd’hui en parole, et voilà ce que Je leur dis:

Oh, ne dénigrez pas cette œuvre de parole, ni ceux qui la portent et la partagent au-dessus de la terre, car malheur à ceux qui frappent cette lumière, et on a vu ce malheur sur beaucoup déjà! Ceux qui dénigrent et frappent et diffament, ceux-là marchent ensuite dans l’obscurité et ils tombent aux mains du monde et ils se séparent de l’esprit de la consolation, de Mon Esprit, Qui parle à un peuple fidèle, mais s’ils veulent retourner le bien, après le mal qu’ils se sont fait eux-mêmes en se séparant du corps de ce peuple fidèle, qu’ils se purifient du péché de la médisance, de la diffamation et du jugement et qu’ils fassent la paix avec Moi, par le repentir pour leur pardon ensuite, et si Moi Je vois qu’ils ont le cœur pur par une vraie et entière repentance, Je vais les délivrer de leur obscurité et Je leur retournerai la lumière, à condition qu’ils puissent aimer humblement la voie, la vérité et leur vie, c`est-à-dire la Seigneur, Moi, le Premier et le Dernier, Celui Qui est et Qui travaille de nouveau comme au début, car Je suis le commencement et la fin, et Je suis et Je serai, et tous ceux qui croient ainsi seront sauvés, et ils seront. Amen.

Qu’ils prennent cet enseignement de vie vivante tous les chrétiens orthodoxes, selon le nom de la foi dont ils font partie, mais pour qu’ils y soient, ils doivent comprendre que pas tous ceux qui disent «Seigneur, Seigneur», entreront dans le royaume des cieux, mais seulement ceux qui se conduisent avec Mon prochain et le leur tout comme avec Dieu, car à ceux qui déclarent être dans la juste foi, Je leur dis que de la même manière qu’ils se conduisent avec ceux d’auprès d’eux, ils le font avec Dieu aussi, ainsi et pas autrement ils ont Dieu comme leur Seigneur et Maître, comme des fils qui obéissent ou pas à Celui Qui peut les délivrer et les racheter du péché.

Ils est grand Mon enseignement d’aujourd’hui, il est grand, et intense, et il va demander grande réponse à ceux qui entendent Ma sagesse, celle avec laquelle Je conduis aujourd’hui sur la terre, sur ceux qui veulent et sur ceux qui ne veulent pas que Je conduise Moi, mais Je conduis et en secret Je travaille et J’accomplis et Je coupe par milieu, Je passe partout et Je sépare à Ma droite et à gauche, et Je donnerai à chacun selon son action car c’est ainsi qu’il est écrit. Amen.


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Oh, gardez-vous, les fils, gardez bien votre petit âme et n’ayez aucun mélange avec ceux qui se sont détachés d’entre vous, puisque vous êtes petits, et l’obscurité où ils se sont laissés est grande et elle est du monde, elle vient du manque d’humilité de leur esprit, et leur manque d’humilité c’est l’esprit du monde, l’esprit qui sépare l’homme de Dieu au moment où il ne s’en rend compte, et l’homme se laisse vers l’envie de sa raison, vers le chuchotement de sa raison, qui le mène vers l’envie de la chair et des yeux, et tout cela mène vers la présomption et ses faits dans l’homme, ce qui est l’obscurité dans l’homme, selon laquelle il se conduit soi-même. Mais vous, gardez votre vie, les fils, car Je vous garde bien et Je vous apprends bien vous garder, pour que Je puisse vous protéger et vous avoir les Miens jusqu’à la fin. Amen.


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Ma parole doit être toujours avec toi et te tenir éveillé, elle doit toujours bâtir en toi la veille, l’amour et la foi sur Ma voie avec toi. Oh, Ma parole ne doit pas t’inquiéter, ni quand elle te fait des reproches, ni quand elle te donne de l’enseignement, ni quand elle te montre les ténèbres de la terre, ni quand elle annonce les Miennes pour toi, mais elle doit te veiller et te rendre obéissant à Dieu, car autrement comment pourrais-tu Me montrer le commandement de l’amour de Dieu, s’il arrivait que tu ne M’obéisses pas en tout ce que Je te demande pour ta compagnie avec Moi?

Oh, personne ne pourrait Me montrer autrement l’amour que J’ai mis dans l’homme pour le travailler, s’il arrivait que l’homme n’obéisse pas à Dieu tel qu’Il le lui demande. Il est écrit dans les Ecritures que Moi, le Seigneur, Je trouve Mon plaisir dans ceux qui sont prêts avec peur et grande émotion pour tout ce que Je leur transmets, et c’est cela que signifie obéissance à Dieu. Qui peut plus aimer, plus entièrement aimer le Seigneur, que celui qui Lui obéit? Seulement ceux qui L’aiment Lui et pas eux-mêmes, oh, c’est seulement ceux-là qui s’inclinent vers l’amour de Dieu, par leur obéissance envers Lui.

Oh, Mon peuple, prends soin de l’amour, Mon fils! Quand tu Me rends tout ce que Je te donne pour avoir, alors tu es parfait dans l’amour, mais si tu retenais pour toi aussi, tu ne l’aurais plus entier ni pour toi, ni pour Moi de toi.

J’ai Mon amour entier à toi, car quand tu aimes Dieu d’un amour entier de Lui, ne L’as-tu pas en Son entier? Quel amour te donnerai-Je de plus, si tu accomplis ton amour de Moi en tout son entier? Nous n’aurions plus quoi donner l’un à l’autre, nous serions entièrement dédiés l’un à l’autre, et cette perfection n’a plus besoin davantage, et elle serait suffisante sur la terre avec l’homme qui pourrait comprendre en elle son prochain et le faire semblable à lui dans l’amour et son perfectionnement en eux et entre eux ensuite, pour qu’il soit en Moi lui aussi, et qu’il soit lui aussi celui qui M’aime parfaitement, en ne pas réservant pour soi.

Oh, voilà pourquoi il Me manque l’homme et pourquoi il Me manque tellement! L’homme ne Me donne pas d’amour, ce n’est pas Moi son amour, et celui qui ne M’a pas de son amour, celui-là n’a pas d’amour que pour lui-même et il Me demande de lui donner toujours à lui, et personne ne peut amasser ainsi pour avoir dans le ciel, pour être accueilli par son épargne acquise avec Dieu sur la terre. Oh, celui qui n’amasse pas avec Moi, celui-là travaille le gaspillage et il ne reste rien de tout ce qu’il fait et de tout ce qu’il est, et celui qui amasse avec Moi, celui-là aime Dieu et il se donne à son prochain avec son être, avec Dieu, avec l’amour qui se trouve en lui, car Dieu c’est l’amour, et celui qui a le Seigneur en lui, celui-là c’est lui aussi de l’amour et il est comme Dieu. Amen.


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Celui qui veut apprendre cet escalier, l’obéissance pour la croissance, que celui-là se bâtisse soumission parfaite de lui jusqu’à ceux qu’il veut obéir, puisque personne ne peut obéir si on ne soumet pas son être pour l’œuvre de l’obéissance et pour obéissance avec amour. Celui qui n’obéit pas doit être attentionné pour savoir et pour obéir ensuite, car le saint dont on parle aujourd’hui est tombé une fois sous la médisance de ceux dont les âmes se trouvaient sous sa main protectrice pour eux, et alors il n’a plus longtemps fait ce qu’ils disaient que ce n’est pas bon, et il a arrêté sa main forte qui les dirigeait, en leur montrant ainsi soumission et obéissance, mais ils ont été effrayés ensuite en voyant le grand dommage produit par le manque d’enseignement et de veille sur eux, venus de leur maître et puis ils se sont repentis et corrigés et ils ont quitté leur raison, qui les a menés à protester contre leur chef, responsable de leurs âmes, de leur conduite.

Oh, Mon peuple, soumission signifie amour, et sans amour l’homme montre son obstination, et le parler de sa bouche et de sa pensée, ou le manque de parler, ce qui est la même chose, esprit entêté. Oh, qu’elle est grande la grâce de l’enseignement saint, et il faut que tu aimes cette grâce divine plus que tout autre don, car plus grand don que l’amour de Dieu, qui se met à l’œuvre par la soumission, celle pour l’obéissance il n’est pas possible à l’homme d’en avoir, et toi, que tu sois comblé de ce don, car Je suis entièrement au milieu de toi, don entier, don parfait par son entier, tel que Je souhaite que tu sois, don toujours entier pour Moi offert de ta part, pour que Je sois comblé du don venu de toi, et que nous ressemblions les uns avec les autres par ce que Nous nous offrons et Nous recevons,


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Oh, prends soin de Moi, Mon peuple, prends soin de cette demande venue de Moi! Tiens-toi sous le conseil, tiens-toi sous celui qui te guide, Mon fils, tiens-toi sous l’amour, fils porté! Il faut que tu aimes le conseil, l’observation accompagnée de conseil, et tiens-toi sous leur garde, et que tu n’aimes pas, que tu ne désires pas autre sorte de paix, car les fils des hommes perdent toujours leur vie intérieure, puisqu’ils n’ont pas de guides avec pitié pour les pas de leur vie. Mais, toi, tu en as, et habitue-toi d’en avoir et qu’il ne te manque pas ce don, car c’est pour ta vie avec Moi que Je t’ai donné des dons près de toi pour t’en servir, Mon peuple, car autrement l’homme meurt, les empereurs meurent et les hommes ils meurent à cause de l’absence de ceux descendus du ciel sur eux et auprès d’eux, car c’est du ciel que Je laisse près de toi garde forte sur ta vie, et toujours de la garde sur elle, et il faut que tu aimes Ma protection sur toi, et qu’elle te réjouisse beaucoup, et tu vas Me remercier avec grand amour et douceur, quand tu verras que de bien Je t’ai donné pour avoir sur la terre, et tu dois dans la même mesure en partager à ceux qui cherchent Dieu à toi le Conseiller des hommes fidèles et doux après Lui dans leur vie, oh, Mon peuple, travailleur avec Moi dans la vigne de Mon Père Sabaoth, maintenant, à la fin du temps, à Ma venue celle d’aujourd’hui. Amen, amen, amen.


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C’est de lui que tu as besoin tout d’abord, et tous les autres services destinés à son service viennent après lui, comme son œuvre. Cette grâce divine c’est l’esprit que vous tous deviez avoir, Mes fils. Nourrissez-vous les uns les autres avec l’amour de Dieu, et c’est avec grand humilité que vous devez vous offrir les uns aux autres cette grâce céleste. Aimez le jeune et la prière, qui ont la source dans l’amour de Dieu, qui se trouve en vous, et entre vous, et desquels prend source l’amour de Dieu. Voilà donc les signes selon lesquels Moi, le Seigneur, Je reconnais les Miens, et par lesquels les Miens Me reconnaissent. Amen.


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Il M’appelle le menteur celui qui voit que Je Me tais face à son péché ou à celui de son frère, et il M’appelle aussi le menteur celui qui entend cette parole de Ma venue pour nourrir dans l’homme la foi et l’amour et ensuite l’espoir, pour son repentir. Oh, si Je ne parle pas à l’homme de ses faits cachés, cela ne signifie pas que Je les aime, ou que l’homme n’est pas en faute par cela, ou que Je ne vois pas et Je ne sais pas, mais cela signifie que Je Me tais et Je supporte plein de douleur, de peur que Je ne fasse pas un plus grand ennemi de celui désobéissant, qui n’a pas peur de la justice d’entre Moi et lui, et celui qui regarde à l’homme qui commet le péché pour en faire lui aussi, celui-là sera plus gravement puni que celui dont il dit d’avoir pris le mauvais exemple, car il y en a beaucoup de ceux qui ont vu les péchés de ceux d’auprès d’eux, mais ils n’ont fait autant, au contraire, avec sagesse ils ont veillé sur eux, et ce n’est pas Moi Qui ne pardonne pas l’homme, mais c’est le payement du péché qui ne le pardonne pas.

Je prononce parole douce de force, pour qu’ils prennent Mon enseignement ceux qui connaissent Ma table avec Mon peuple au milieu du peuple roumain, où Je le mets afin d’être partagé, parce que l’esprit de l’église c’est cela qu’il fait: il observe, il travaille et il partage la parole de l’enseignement partout où l’obscurité qui se trouve dans l’homme le tient sous le péché caché en lui, et qui punit ensuite l’homme.

Faites attention, vous, les fidèles, et vous, les infidèles, et apprenez de Dieu d’éviter le péché, car le payement du péché ne vous évite as! Oh, entrez sous la veille, venez à la lumière, prenez de la lumière, et déshabituez-vous des faits de l’obscurité qui se trouvent en vous! Lorsque l’homme se veut seul pour ses péchés le diable le pousse à se cacher et il oublie de son ange et de Dieu, un tel homme. Quand on se sépare deux par deux c’est toujours mal, car c’est toujours le choix, toujours le piège diabolique pour l’impuissant qui se tient sans veille, mais lorsqu’il y a des frères ensemble trois et cinq et dix ou plusieurs à vivre et à offrir les uns aux autres leur sacrifice plein d’amour, alors la bénédiction du Seigneur travaille beaucoup et les frères ont de la veille les uns sur les autres envers le Seigneur, si c’est pour cela qu’ils se réunissent, comme des frères. La prière avec le jeûne auprès d’elle faiblissent le pouvoir de satan et de ses anges, qui fourmillent avec pouvoir dans les airs et dans l’homme entre homme et homme, et voilà du conseil pour le jeûne, car il faut jeûner de toutes les mauvaises choses qui se trouvent dans l’homme, pas seulement d’aliments puisque l’homme fait beaucoup de fautes par sa pensée, par sa parole, par son cœur, pas seulement par la nourriture au temps du jeûne. Ceux qui pratiquaient le jeûne, pieux et ascètes, essayaient d’éviter le péché au temps du jeûne, et de garder les autres du péché se trouvant en eux, et ils allaient vers l’ermitage au temps du jeûne, car ils savaient que le payement du péché est lourd, et ils luttaient ensuite de toutes les forces de leur âme contre le pouvoir de la chair, qui demande pour elle, et beaucoup d’entre eux gagnaient la lutte et ils recevaient grâce sur grâce, et de la grâce célèbre ensuite, travaillant pour la guérison de beaucoup d’entre ceux qui cherchaient Dieu, mais ceux qui habitent ensemble en Mon nom pour Mon amour au milieu d’eux, ceux-là vainquent les uns pour les autres contre les mauvaises choses de leur intérieur, et ils s’entraident pour leur vie ensemble en Mon nom, et pour le profit de leurs âmes.

Dans huit jours finit le temps du Carême et beaucoup d’entre ceux qui ont jeûné ont péché avec leur bouche par des paroles vaines au profit du diable, et ils ont péché avec la méchanceté, avec la tension d’âme et le manque de veille pour l’amour de Dieu, puisque l’homme ne jeûne pas pour l’amour de Dieu, mais il le fait pour que le Seigneur lui accorde réussite dans ses actions, oh, un tel homme n’a pas en lui l’amour de Dieu, mais il a besoin d’aide pour lui, et le Seigneur lui donne s’il demande, mais s’il ne donne pas au Seigneur ce qu’Il attends de l’homme, de l’amour de tout son cœur, son âme et son esprit, alors il est en vain le jeûne de l’homme, et il est visible qu’il n’a pas en lui l’amour de Dieu, et il est visible qu’il n’a pas de grâce mais il a de l’amour seulement pour lui un tel homme.

Oh, Mon peuple plein de Ma parole de Maître sur toi, rassemble-toi maintenant, Mon fils, sous l’ordre d’église de ton milieu et agenouille-toi avec beaucoup d’humilité devant Moi, avec esprit de repentir pour toutes les fautes que tu as faite comme un homme au temps du jeûne, car tu as grandes et nombreuses charges pour porter Mon œuvre, et ces soucis durcissent de temps en temps la paix du cœur, ou le manque de veille parfaite t’a mené à des fautes dans le travail, ou dans la parole ou dans tes pensées, et purifie-toi frère par frère, et recevez-vous l’un l’autre pour le repentir, les fils, car Mes vrais frères veillent les uns sur les autres, pas sur eux-mêmes premièrement, et il faut recevoir avec soumission, les fils, tel que Ma mère la Vierge, s’est soumise à l’ange annonciateur et elle a obéi à la volonté de l’ange annonciateur pour elle de Dieu et pour Dieu. Elle est exemple d’église de Dieu, elle est pleine de grâce à cause de son amour de Dieu et de sa soumission parfaite devant son Créateur. Amen.


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Oh, prends soin, Mon fils, prends soin qu’il y ait en toi de la nourriture pour l’amour de Dieu et que tu l’augmentes entre frère et frère, car Moi J’ai toujours ce souci, et Je viens toujours en parole à toi, Je M’offre pour être ton Maître afin que les hommes Me prennent et qu’ils comprennent Ma volonté, puisque les choses que l’on voit sont passagères, et celles que l’on ne voit pas sont éternelles, et il faut bien expliquer cette vérité-là. Les choses que l’on voit sont passagères, et il est bon qu’elles soient visibles, car on peut effacer les choses mauvaises, pour qu’elles passent et qu’elles ne restent pas pour le mauvais payement dans l’éternité, et les choses qui ne se voient pas sont éternelles, tout comme les mauvaises actions de l’homme, qui ne peuvent être vues par un homme qui peut guérir l’homme, et elles restent non-effacées dans l’éternité, tout comme leur payement.

Oh, il ne se réjouit pas l’homme de s’échapper du péché et de ses choses cachées en lui, mais il se fâche contre Moi, quand Je lui montre que Je le vois et que Je connais son péché, et quand J’essaie de le délivrer de son obscurité et l’aider d’aimer la lumière, ses faits et ses fruits ensuite. Il doit être nourri l’amour de Dieu, celui Qui aide l’homme seulement vers Dieu, seulement vers le témoignage de Dieu par ses faits, vus du ciel et de la terre, ou cachés en Dieu, par l’humilité de l’homme qui aime Dieu et lutte contre le péché.


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Vous, ceux qui venez et buvez de la rivière de la vie, soyez fidèles jusqu’à la fin, car grande douleur monte au ciel de ceux qui viennent vers la source du Seigneur et ils n’y restent pas! Oh, travaillez la foi et les prières pour elle, car tout est possible à celui qui croit, et toutes les choses de Dieu viennent vers lui et prennent place, et l’homme travaille lui aussi ensuite. Rien de rien pour l’homme sans foi, et celui qui a la foi domine le monde tant que Dieu. Ne cherchez pas de voir et d’obtenir de plus grands miracles que la foi. Les miracles de votre foi sont travaillés dans le ciel, pas sur la terre, et ils réjouissent les puissances célestes. Des miracles pour ceux du ciel sont ceux qui croient Dieu être avec les hommes sur la terre. Soyez des hommes-miracle et réjouissez-vous d’être ainsi! Soyez pleins d’humilité et réjouissez-vous de vous garder ainsi! Oh, soyez le fruit de la foi du Seigneur en vous, puisque le Seigneur a besoin de croire en vous pour Lui.


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Je parle avec toi maintenant, oh, Mon peuple, peuple de la source. Sois brave dans la foi et ses faits, car tout le ciel regarde ton choix et se repose beaucoup dans ta foi. Vous êtes Mes jeunes. Vous n’avez pas dépensé votre vie pour l’esprit du monde, mais vous Me l’avez confié dès votre jeune âge et vous avez travaillé dans Ma vigne, et votre payement est grand, Mes fils. Sachez, Mes jeunes, qu’il ne va pas bien au monde avec vous, lorsque vous le traversez de vos pas. Sachez, Mes fils, qu’il ne vous va pas bien avec le monde quand il veut s’approcher de vous et vous voir, car le monde a son esprit et il vient avec lui lorsqu’il vous cherche parce que vous êtes les Miens, mais vous montrez lui tels que vous êtes, pour qu’il voit cela et qu’il comprenne bien que l’esprit du monde vous est étranger. Oh, heureux ceux qui vous portent dans leurs cœurs à nom de fils de Dieu sur la terre, car elle ne sera pas négligé cette foi au jour de leur examen. Demeurez dans Mon amour! Je vous porte en lui, et tout s’arrête en Moi de ce qui pourrait vous frapper, puisque Mon amour vous protège en lui, les fils.


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Oh, Mon peuple de la source, nous avons mis parole dans le livre pour l’amour de Dieu de ceux qui viennent et prennent le Seigneur de vous. J’ai montré que J’ai l’humilité du fils face au Père, Je l’ai montré dans la prière, dans la conduite et dans l’obéissance au Père avec humilité. Même face à face avec l’homme J’ai montré Mon humilité divine, l’humilité du Fils de Dieu. L’humilité entre les frères leur apprend l’amour de Dieu, et alors qu’elle n’existe pas entre les frères, ils n’apprennent pas ce que c’est l’amour et ce que Dieu c’est. L’humilité sainte entre les frères leur apprend l’obéissance l’un à l’autre, l’inclination vers l’autre par l’esprit de l’amour de Dieu, car l’amour se soumet et ne soumet pas.

Voilà un grand enseignement: l’amour ne soumet pas car il se soumet, il ne peut autrement. Ceux qui ne montrent pas ainsi l’œuvre de l’amour, ceux-là ne sont pas des frères entre eux en Mon nom, et personne ne peut autrement aimer Dieu sur la terre et dans le ciel, et personne ne peut dire qu’il aime le Seigneur s’il n’y a pas entre les frères l’humilité sainte, celle qui apprend aux frères l’obéissance à l’autre, l’inclination vers l’autre par l’esprit de l’œuvre de Dieu entre les frères, puisque l’amour ne soumet pas, mais il se soumet, car il ne peut autrement, et l’homme ne peut être autrement selon l’image et la ressemblance du Fils de Dieu, Celui Qui avec humilité sainte s’est soumis dans le ciel et sur la terre à Dieu et à l’homme, en montrant l’œuvre de l’amour de Dieu, l’œuvre des fils de Dieu. Amen.

Oh, Mes fils, l’humilité sainte qui se soumet apprend aux frères la plus haute conduite, la plus haute sagesse de ceux qui s’appellent entre eux des frères en Christ. Ils ne sont plus comme sur la terre, mais ils s’élèvent en haut, toujours en haut, par leur haute conduite entre frère et frère, et la soumission les uns aux autres est la preuve qu’ils ne sont plus de la terre, mais qu’ils sont eux la terre nouvelle pour le ciel nouveau, où habitent la justice et la paix. La justice c’est la volonté de l’autre et pas la tienne. Voilà le visage de la justice, l’esprit de la fraternité et l’humilité la plus haute pour lui, l’esprit qui fait dieu l’homme, et l’homme Dieu, car Moi, le Seigneur, Je Me suis montré Dieu parce que J’ai obéi de Me faire homme, parce que l’amour se soumet, les fils, l’amour c’est Dieu et il fait Dieu l’homme. Celui qui aime la mère et le père, femme et enfants, frère et sœurs, parents et amis et la richesse sur la terre, celui–là reste dans son sang, car c’est ainsi qu’il veut servir à Dieu, mais celui qui se soumet à l’amour de Dieu, celui-là devient dieu par la soumission et il fait Dieu homme dans son propre être, devenant la maison de Dieu, le ciel de Dieu sur la terre entre les hommes, par l’esprit de la soumission sainte, l’esprit des fils de Dieu.

Je M’incline avec soumission devant Mon Père Sabaoth et Je Le glorifie par Ma soumission et Je Lui présente action de grâce pour tout Son amour, qui passe par Moi sur vous, ceux qui venez et apprenez de Dieu.

Allons mettre Notre amour plein de soumission sur eux, oh, Mon Père, et que l’esprit de la soumission leur apprenne l’humilité celle d’entre frères, et ceux qui viennent à la source, qu’ils viennent et qu’ils prennent et qu’ils apprennent l’amour de l’amour de Dieu, l’amour du fils de Dieu, oh, Mon Père. Amen.


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Oh, Mon peuple mariée, va au devant des dons célestes avec toi sur la terre, et travaille-les à la vue pour ceux qui viennent voir et comprendre que Je suis avec vous sur la terre, que vous êtes nés de l’Esprit, les fils, et que vous n’êtes plus du monde. Surveillez toujours vos sentiments avec Moi, surveillez-les, de peur qu’il ne s’y mélange quelque chose du monde et de son esprit, et l’œuvre de vos sentiments est visible, on la voit du ciel et de la terre aussi, et ils doivent être veillés vos sentiments, pour qu’ils soient dans l’Esprit, tout comme c’est que de l’Esprit vous êtes nés. Je vais vous apprendre une plus grande œuvre de l’Esprit des uns aux autres, pour que Nous comprenions toujours plus pleinement à vaincre le monde et son esprit, quand ils veulent s’insinuer avec leur visage dans les sentiments visibles et invisibles de ceux qui sont un esprit avec Dieu, car Mon temps passé avec vous c’est toute une école toujours, c’est tout un enseignement et une œuvre, et Nous allons vaincre les choses qui passent, et Nous bâtiront ainsi les choses qui restent. Amen.


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tout homme qui a obéi à son temps à ses parents, à ses frères, à ses maîtres, à ses enseignants, celui–là obéit à Dieu aussi, au moment où ce temps de Dieu vient vers lui. Et Je dis encore de ceux qui n’ont pas été habitués d’obéir ni aux parents, ni aux pères, ni aux maîtres, ni aux professeurs, dans leur passé, et ceux-là s’ils viennent à Dieu, ils n’obéissent à Dieu non plus, car ils ne sont pas habitués depuis leur enfance, ou depuis toujours avec la sagesse de leur esprit, avec un guide pour leur marche, et ceux-là n’ont pas une belle âme, qu’ils puissent laisser vers l’esprit, celui qui peut faire l’homme beau, et Moi, le Seigneur, Je Me réjouis des uns, car ils sont habitués avec l’amour, celui pour leur obéissance et pour leur direction, et des autres Je pleure, puisqu’ils sont habitués avec l’esprit de l’entêtement, et de la tension d’esprit, et tout cela éloigne Dieu de l’homme. Et toi, chrétien entêté, tu es sur tes gardes face à l’homme qui n’agit pas selon ton plaisir, mais quand tu provoques de la tension, par ton entêtement et ton manque d’inclination vers ceux d’autour de toi, comment se passe-t-il que tu ne ressens pas toi aussi ce qu’il ressent celui aux nerfs tendus à cause de toi?


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Celui qui n’a pas obéi au conseil des parents, c’est la même chose qu’il fait avec Dieu et ils sont trop rares les parents qui veuillent le mal de leurs enfants, même si leur parents ont péché contre Dieu, Et même si les parents ont péché, ils doivent être obéis par leurs enfants, et c’est cela la bonne volonté de leurs enfants, et voilà ce n’est pas bien que l’enfant dit que ses parents n’ont pas obéi à leur bien, à leurs parents ou à Dieu, mais il est bien qu’ils fassent eux-mêmes d’avantage, surtout pas moins, car chacun peut faire beaucoup de bien à sa famille, qu’il a été ou qu’il est désobéissant à son bien et à Dieu, s’il travaille le bien au temps de sa vie, tout que le disciple Pantelimon a travaillé le bien de Dieu sur lui, et sur les hommes, par l’enseignement de son maître, qui a retourné son père au Père céleste pour le bien éternel.

Oh, fils chrétien, ta conduite envers ceux de ton entourage c’est la même que celle entre toi et Dieu, car Moi, le Seigneur, Je ne peux prendre pour Moi la bonne conduite de l’homme envers Moi, mais Je prends celle qu’il montre devant Moi pour ceux d’autour de lui, car c’est cela la note de sa conduite avec Moi, et il n’y a jamais eu autrement qualifiée par Dieu la conduite de l’homme envers Dieu.


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Entrez sous l’œuvre de la réprimande celle pour les fils, vous ceux qui voulez appartenir à Dieu et à Son royaume qui va rester, car rien ne prouve pour le chrétien être fils de Dieu, que l’œuvre de la réprimande, celle pour les fils, et son acceptation, puisque l’homme est en faute, toute qu’il chercherait de e pas l’être. Faites bien la différence entre disciple et maître et soyez sages avec l’humilité et la raison, car Moi, le Seigneur, J’ai dit il y a deux mille ans: «Heureux celui pour lequel Je ne suis pas une occasion de chute!». Il y avait beaucoup de ceux qui Me cherchaient des coulpes, et ils M’en trouvaient, car c’était cela qu’ils cherchaient, mais ceux-là ne pouvaient ressusciter un mort, guérir un aveugle, faire revenir quelqu’un de la mort à la vie, du péché à la sainteté, et ils ne le pouvaient pas parce qu’ils avaient en eux l’esprit de jugement, le mauvais œil, l’esprit d’inculpation de frères et de Dieu, esprit que Dieu-Même n’utilise pas, bien qu’Il soit Dieu, car ceux jugés le sont par leur faits-mêmes et par la parole de Dieu prononcé d’avance, pour que l’homme ne pèche pas, parole que l’homme foule aux pieds ensuite, pour son jugement. La chair de l’homme aime le péché, même si l’esprit soupire pour la vie dans l’homme, mais l’homme sans guide pour sa vie, pour sa chair, n’as pas d’autre sort. C’est pourquoi il faut que l’homme puisse obéir à Dieu, et l’obéissance va sauver sa vie. Amen.


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Oh, fils de partout, arrachez de vos jardins toutes les mauvaises herbes, même leurs brins, toujours, les fils, et serrez de près cette garde, afin d’empêcher la levée d’autres mauvaises herbes et d’autres racines. Oh, les fils, émondez vos arbres pour que le bois mort ne les ronge pas, car l’arbre pleure quand le bois mort apparaît et il a honte devant son ange, et l’ange de l’arbre pleure car le bois sec se montre, il ne fait pas comme l’homme qui couvre son péché, pour ne pas se voir et faire honte à l’homme si on le voit. Oh, chrétien, si tu ne peux faire ainsi dans ton jardin, ni dans ta vie avec Dieu tu ne peux faire autrement. Que tu le saches et que tu croies ce que Je te dis.

Elle manque la pluie sur la terre. Il ne pleut pas parce que les jardins sont pleines de mauvaises herbes auprès des maisons des chrétiens, et les mauvaises herbes sucent profusément l’eau venue de Dieu, l’eau de la pluie nourrissante, et elles poussent plus grandes que les fleurs, qui réjouissent le Seigneur et les anges, et les mauvaises herbes se font parade devant Dieu parmi les fleurs. Elles sucent les eaux du Seigneur les mauvaises herbes inutiles pour Dieu et pour l’homme, tout comme le chrétien faible d’abnégation et de vie, qui suce du produit des frères et il grandit et se fortifie de corps, mais il est sans dévouement, inutile pour Dieu et pour l’homme.

Il ne pleut pas parce qu’il y a du bois sec dans les arbres d’autour des maisons des chrétiens, et les arbres où apparaît le bois sec en éprouvent de la honte. Il ne pleut pas parce qu’il y a des maisons et des jardins auprès d’elles pas soignées, où il manque le travail. Moi, le Seigneur, lorsque J’ai donné à l’homme une habitation et un jardin avec des arbres et des fleurs, Je lui ai dit de les soigner et les garder en travaillant et ne pas laisser qu’elles apparaissent les mauvaises herbes dans le jardin du paradis, dans la place d’habitation de l’homme, puisque les mauvaise herbes sont toujours de la nielle, elles sont la nielle des fleurs, tout comme dans le blé il y a la nielle du blé, que c’est le diable qui sème et pas Dieu.

Ce n’est pas la même chose la verdure des fleurs, ce n’est pas la même chose que la ronceraie et les chardons et les mauvaises herbes, qui ont de mauvais nom et du visage laid et poussent sur la terre par des endroits non habités des hommes. Celui qui ne travaille pas son paradis, il ne sait le garder non plus, car la garde c’est cela qu’elle signifie: que l’homme travaille le paradis et ne pas le laisser sans travail. Moi, le Seigneur, Je ne Me nourris pas toujours comme l’homme. Je Me nourris avec la beauté et l’odeur des fleurs, et l’homme se nourrit avec l’odeur et le goût des plats, et celui qui s’attache à la chair, ne peut s’attacher à Dieu aussi, car celui qui s’attache à Dieu a fini avec le péché, avec sa soumission à la chair, car l’homme a habitué son corps à manger toujours et beaucoup, et cette activité lui donne beaucoup de travail, beaucoup de courses, beaucoup de fatigue, du matin au soir, et le temps pleure en passant en vain et sans rachat, se perdant sans bénéfice pour le ciel, et l’homme n’a pas au moins de repentir pour son impuissance d’aimer Dieu avec sa vie.


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Oh, mon peuple de partout, prends de la sagesse de Ma parole pour toi, et lève-toi pour servir à Dieu avec beaucoup de vie en toi, comme Elie, Mon prophète, et on verra ta vie, elle fera de la lumière tout autour, et des faits de résurrection, pour beaucoup d’hommes, car ce n’est pas avec beaucoup de paroles, mais c’est avec l’action qu’il rend témoignage de Dieu l’homme illuminé par l’amour de Dieu de lui. Amen.


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Je serai en parole avec vous et Je renforcerai Mon mystère sur vous, pour que vous ayez toujours grand soin de l’uniforme que vous devez avoir devant Moi, les fils. Tout d’abord cherchez d’avoir tous la même forme, la même fidélité, car Je vous ai donné de beaux vêtements lorsque vous êtes venus pour prendre Mon visage, Mon signe sur vous. Soyez donc, semblables les uns aux autres devant Moi, les fils, pour ne pas perdre votre uniforme, que vous devez porter devant le Seigneur. Elle vous garde l’unité de l’esprit et de corps et de l’âme entre les frères, elle vous mène à la ressemblance entre vous, les fils. Soyez sages, soyez propres, soyez beaux, soyez doux, soyez miséricordieux et soyez très obéissants, tous dans la même mesure, les fils, et l’uniforme extérieure portez-la sans changements et sans fin, tout comme l’engagement entre Moi et vous, unique pour l’éternité, et travaillez pour Moi par lui, oh, les fils.


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Je vous ai dit de prendre soin de l’uniforme que vous devez porter, les fils. En ce jour Je veux perfectionner d’avantage ce mystère, pour que vous vous perfectionniez par lui, et le traduire en fait toujours plus entier sur vous. Mon visage, que vous devez porter, c’est Mon signe sur vous. C’est ainsi que Je vous ai expliqué au moment où Je vous ai mis sur la table l’enseignement sur l’emploi de l’uniforme, dont J’ai revêtu chacun de vous, quand vous êtes venus pour vous donner à Moi, pour être les Miens ensuite, et quand Je vous ai appris comment vous devez vous revêtir.

Oh, il est difficile que l’homme soit le Mien, car il a besoin de croix pour Me ressembler, s’il veut être le Mien, et il a besoin d’uniforme sans changement et sans fin portée, afin que les fils des hommes voient cette lumière entre eux et qu’ils la suivent, allant après celui qui obéit à Dieu sur la terre entre les hommes, et si l’homme change son uniforme, il change son obéissance, et il n’est plus à Dieu celui qui perd le signe, qui le montre comme appartenir à Dieu sur la terre.

L’uniforme c’est la croix portée, les fils. L’homme met la croix à la gorge pour avoir et porter le signe de chrétien, mais comment porter sa croix, il n’en sait rien. Je viens expliquer cette question, car pour que l’homme ait la croix, il doit la recevoir pour lui.

Il fait mal à l’homme de porter la croix, et cela parce-que il n’aime pas la soumission, il n’aime pas obéir à Dieu et à celui qui est de Dieu, et il préfère se cacher pour sa volonté, car pour l’accomplir, il doit se cacher l’homme.


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L’homme n’a pas peur de Dieu, parce qu’il n’aime pas être avec Lui, mais il aime se cacher pour sa volonté. Alors l’homme laisse la croix, il laisse l’uniforme, il quitte la volonté de Dieu, il n’aime pas être avec la croix il n’aime pas avec Moi et il se fait adversaire à Dieu, car la croix signifie fidélité et obéissance à Dieu avec soumission, et cela est le signe qu’on est à Dieu, mais celui qui a honte d’obéir et de s’incliner, celui-là a honte avec la croix, et il ne se tient pas sous ce signe, sous le signe de celui qui est soumis sous l’action de la soumission face au Seigneur, pour porter la croix.

On reconnaît l’homme porteur de croix, tout comme on reconnaît celui qui n’a pas d’amour pour suivre le Seigneur, afin de porter la croix. Tout comme on ne peut se tenir sans chemise sans qu’on ne voie pas sa nudité, tout aussi l’homme ne peut être à Dieu sans porter sa croix, sans avoir cette uniforme, l’obéissance avec soumission pour elle, tel que J’ai demandé à l’homme en Eden sa conduite entre lui et Dieu, pour la volonté du Seigneur en lui et avec lui. Le mécontent est ainsi parce qu’il ne comprend pas le mystère du port de la croix. Il a besoin d’amour, il souffre après l’amour le mécontent, comme s’il le méritait. Il ne sait pas donner de l’amour sans attendre remboursement d’amour et considération.

Le mécontent ne peut se nommé porteur de croix et ne peut se frayer un chemin vers Dieu et vers son repos avec Dieu. Comment pourrait-il dire: «Sainte croix, aide-moi!», comment le mécontent pourrait-il dire cela? Il ne peut demander au mécontentement de l’aider, du moment que c’est lui celui qui l’abat. Oh, c’est ta vie portée qui peut t’aider, homme. C’est elle que tu dois avoir comme aide, et la prier de t’aider ensuite vers le Seigneur. C’est ta vie la croix qui peut te porter et t’aider, mais si tu n’es pas porteur de croix, et tu deviens maussade sous les difficultés, et tu es mécontent, à quelle croix demandes-tu du secours, quand tu n’es pas porteur de croix?

Oh, fils de Ma parole, qui vous élève pour être les Miens, voilà, les fils des hommes s’apprêtent à qui mieux mieux, plus peints, plus ornés, plus parfumés, plus imposants, pour attirer les regards tout autour d’eux et avoir de grande influence, disent-ils, et vous les fils, parez-vous de plus, souhaitez de plus de vous orner avec Dieu, pour attirer vers Moi tous ceux qui vous regardent et Me voient en vous et avec vous, pour que J’aie grande influence par vous sur eux, et qu’ils Me prennent de leur amour, de leur vie, de leur guide, comme lumière du ciel sur la voie avec eux, comme croix portée qu’ils Me prennent, et ne pas prendre celles des hommes pour eux, mais du Seigneur avoir et porter.

Prenez soin de la garde de votre vie, les fils, tel que les fils de Dieu doivent avoir soin de garder le jour de repos du Seigneur avec eux. Oh, ne dormez pas dans Mon jour de repos, mais vivez-le en état de veille pour son pouvoir pour vous. Soyez comme ceux qui sont en veille pour la garde à la frontière, car c’est une frontière ce jour, jour de garde est-il pour la vie de l’homme, car l’homme n’a pas monté la garde en Eden comme Je lui avais appris, il ne s’est pas reposé dans le Seigneur, mais il s’est levé pour le mauvais esprit, et il n’est pas resté dans Mon travail l’homme.

Porter la croix signifie respecter les commandements pour la vie, mais les orgueilleux, quand ils attrapent cette maladie à cause de l’insoumission et de la désobéissance, c’est avec difficulté qu’ils peuvent guérir, s’ils ont dans leur sang ce levain, dont ils tirent leur pouvoir. Les hommes répondent avec insolence, ils se vengent les uns contre les autres par leurs mots, ils se passent en justice, ils sont vengeurs et ils ne savent rien du mystère du port de la croix, même s’ils la mettent au cou et ils comptent sur elle, ou ils s’en orgueillissent. Il est autrement le signe de la croix portée, pour ceux qui savent ce que cela signifie la croix et leur aide venu d’elle.

Oh, ils ne savent pas les hommes que les ennuis et les souffrances qui viennent sur eux sont vraiment leur aide sur la voie vers le Seigneur. Ils sont peu nombreux sur la terre ceux qui savent selon la vérité, dire à leur vie difficile: «Sainte croix, aide-moi!». Oh, qui pourrait mieux aider l’homme vers Dieu que les ennuis qui lui arrivent?

Le salut ne vient pas vers l’homme par autre voie que par les ennuis et par la patience pour eux,


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Qu’elle soit douce ta conduite face à Moi et entre les frères, Mon peuple. Oh, ne sois pas irascible, le fils, ne sois pas mécontent, ne sois pas dur, ne perdes pas la patience, n’oublies pas le don de la crainte de Dieu pour les pas de ta vie, car sans elle l’homme perd la sagesse, qu’il a de Dieu. Que Je sois Moi ta sagesse, pas toi, car tu es enseigné de Dieu, oh, Mon peuple. Prends de Ma source de parole, prends ma parole des fils porteurs de Dieu, et mets sur toi tout son accomplissement, pour te nommer porteur de croix et l’être ainsi, car les fils des hommes sont restés seulement avec la croix liée au cou et ils ne savent pas la question qu’ils vont recevoir de Moi pour eux, pour le port ou non de la croix, pour leur vie devant Moi, bonne ou mauvaise, vraie ou mensongère, éclairés ou non de Ma lumière, qui vient sur la terre pour être avec les hommes, pour qu’ils aillent dans la lumière.


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Celui qui est avec Moi et qui va après Moi, on le reconnaît par la vie, par l’action et par Son fruit apporté à Dieu, et pas par la croix de sa main, ou celle portée au cou.


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Mettez sur vous chaque jour tout le conseil de Ma parole, les fils, et faites-vous des vêtements tissus de Ma parole pour vous, et que vous soyez Mon livre d’aujourd’hui. Ceux qui ne lisent pas Mon livre d’aujourd’hui avec vous, mais ils vous voient, qu’ils puissent comprendre la parole de Mon livre avec vous, les fils, la croix portée, votre uniforme celle de Moi devant ceux du ciel et devant les fils des hommes, pour qu’ils voient cette lumière, le vêtement de ceux qui M’aiment sur la terre, leur ornement venu du ciel, porté par eux à la vue, et celui qui vous verra et vous recevra et se lavera dans cette rivière de parole et de vie par la parole, celui-là sera délivré et il sera le Mien, Mon fils sera-t-il, tout comme vous, oh, Mes fils. Amen, amen, amen.


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Je vous enseigne, vous, fils obéissants à Dieu, fils de Ma parole d’aujourd’hui, car Je souhaite qu’il y en a beaucoup de ceux qui prennent de vous Mon enseignement, qu’ils le trouvent pour le prendre. La prière doit être vécue, Mes fils, et pour son accomplissement elle a besoin de foi. Ma plus douce joie est de voir que celui qui prie sait Me réjouir avec sa prière, avec sa manière, avec son levain, car il y en a beaucoup qui M’inclinent très difficilement pour les satisfaire et leur donner ce qui n’est pas utile à leur âme, mais seulement à leur vie sur la terre. L’homme a besoin de prière pour le pardon de tous ses péchés, avec lesquels il M’a rempli de douleur et il M’a mis en croix, car c’est pour tous les péchés des hommes de ce temps-là et d’ensuite que J’ai été crucifié alors. C’est par le péché que J’ai été mis en croix, mais combien sont-ils ceux qui frémissent pour leur péché pour lequel Moi, le Seigneur, J’ai été piqué, J’ai été outragé par la mort sur la croix et le supplice humiliant de la part de ceux qui ont accompli cette Ecriture alors?

Oh, les fils, elle doit être vécue la prière et ils doivent vraiment prier ceux qui se rassemblent pour prier. Si la prière est vécue, on voit ensuite son visage par son accomplissement, mais avant toute sorte de prière, il faut que l’homme prie beaucoup et toujours pour la remise de ses péchés.

Oh, si la voix de celui qui prie ne tient pas éveillés et vivants ceux qui entendent la parole de sa prière, c’est que celui qui prie n’est pas attentif pour ceux rassemblés près de lui pour la prière. Oh, c’est autrement qu’il montrera et retournera l’accomplissement de la prière vécue par ceux qui la lisent du livre, c’est la manière dont la prière est prononcée qui amène ou non son accomplissement. Le serviteur qui ne se donne pas toute la peine pour que la prière qu’il prononce soit pénétrante et vécue pas tous, celui-là n’a pas soin au moment de la prière, ni de Dieu, ni de ceux qui viennent se montrer à Dieu par son entremise. La prière celle venue vers Dieu provoque le cœur et la larme et le frémissement de la rencontre avec Dieu de ceux qui prient, et autrement elle est sèche, tout comme son fruit, qui est sec, cœur dans lequel la prière n’a pas vécu. Oh, si le temps de la prière n’apporte pas de découvertes d’en haut pour l’âme, et la compagnie des saints et de celles qu’on ne voit pas, alors elle n’a pas dépassé la frontière vers le lieu qu’elle cherche, et le temps de la prière n’est pas racheté, il ne demeure pas pour l’éternité et il ne mène pas l’homme vers l’éternité.

Oh, si l’homme vivait la prière par son âme, il serait autrement l’homme. Celui qui est en prison se couche plein de douleur quand il s’endort, et se lève toujours en douleur, car il se voit toujours fermé, car il n’est pas libre et il est loin des siens de la terre, il attend avec douleur la venue du jour de la libération, et il espère toujours sous la douleur. Oh, c’est ainsi qu’il devrait être l’homme, il devrait qu’il ait toujours mal pour ses péchés qui le tiennent sous eux, puisque c’est le péché la vraie prison pour l’homme, l’esclavage illusoire de sa vie, de sa marche vers la maison.

Le péché c’est l’éloignement de l’homme de son Père, de son Sauveur, Celui Qui sait que l’homme est fermé du diable sous le péché. Il devrait qu’il soit plein de douleur l’homme toutes les fois qu’il se couche et se lève et il sait qu’il a le péché sur sa vie, le péché dans lequel il a été et il est encore. C’est pour son pardon qu’il devrait prier le plus, le plus douloureusement l’homme, car il est très pécheur, et le péché apporte son fruit, et c’est seulement après que l’homme se dirige vers les lieux sanctifiés par les saints, pour demander du Seigneur et des saints de l’aide et intercessions pour leurs ennuis venues du péché.

Oh, c’est de la prison que l’homme veut s’échapper, mais s’il s’agit du péché, pas tout à fait. Il se console avec le péché, le pauvre. Il devrait qu’il se console avec la douleur venue du péché aussi, car le Seigneur est juste envers l’homme, mais l’homme ne s’est pas habitué avec la justice, celle pour toutes choses et il court aux lieux de prière, aux icônes célèbres comme faisant des miracles, et il cherche du secours pour ses impuissances, il s’humilie et il demande et il reçoit, car Moi, le Seigneur, Je M’humilie beaucoup, selon l’humilité où ses ennuis porte l’homme.

J’ai pitié de l’homme. Il veut de Moi beaucoup de pitié et il s’incline et Me demande de lui en donner. C’est seulement pour cela qu’il a besoin de Moi. Que puissé-Je lui faire s’il n’a pas autrement appris à faire, à pouvoir? Qui pourrait lui apprendre à avoir lui aussi pitié de Moi, à Me donner lui aussi ce que Je lui demande? Je lui demande l’amour envers Dieu, Je demande à l’homme son bien, sa compagnie avec Dieu et la compagnie du Seigneur avec lui, en chair et en lieu sanctifié par lui, mais il ne sait pas comment accomplir cela. Ils le savent pourtant ceux qui viennent et se donnent à Moi pour M’aider, et ceux-ci ne doivent pas s’habituer avec Dieu, mais ils doivent travailler pour Lui, en L’attendant de venir, en L’attendant toujours, et ils doivent L’aimer ainsi, en L’entendant, car s’ils ne L’aiment pas, ils ne travaillent pas pour Lui et ne L’attendent pas. Oh, qui est celui qui ne fait rien quand il sait qu’il y a quelqu’un de grand qui va venir chez lui? Oh, peuple de Ma parole d’aujourd’hui, oh, les fils, c’est ainsi que vous devez être, c’est ainsi que vous devez travailler lorsque vous savez que Je viens toujours chez vous, que Je suis votre Maître, et c’est ainsi que vous devez M’attendre, en travaillant pour Moi. Oh, travaillez ainsi si vous vous êtes inclinés pour être les Miens, auprès de Moi, et avec Moi à Mon difficile travail d’aujourd’hui pour le renouvellement de toute chose. Le beau et le propre, que vous travaillez devant Moi pour toutes vos choses, ceux-ci sanctifient tout, ceux-ci préparent Ma demeure et compagnie avec l’homme sur la terre, et voilà, ils ne savent pas cela ceux qui courent vers les lieux saints. Oh, ce ne sont pas les lieux qui sanctifient, mais les hommes saints sanctifient les lieux saints, en les gardant ainsi ensuite, et en se gardant eux-mêmes saints pour eux, pour que le Seigneur puisse être avec les hommes sur la terre, puisque Je peux demeurer seulement sur des lieux purifiés et sanctifiés et gardés propres et saints, et Je peux être avec ceux qui se purifient et se sanctifient et qui veillent ainsi, en gardant de cette manière pour le Seigneur les lieux sanctifiés par eux. Oh, qui sait comprendre ainsi le pouvoir des lieux saints? Qui encore sur la terre attend ainsi le Seigneur?


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L’homme se réjouit qu’on parle du bien de lui par Dieu et par les hommes, il se réjouit d’être consolé et loué, mais la tristesse le prend quand on dit du mal de lui, oh, Seigneur. Oh, l’homme ne sait pas bien ce qui est bon pour lui, mon cher Fils. A peine dit-on quelque chose de bon, quelque chose sur son côté positif, à lui directement où par un autre, qu’à l’instant même le diable se prépare de faire tomber de quelque sorte, de le maculer de quelque sorte avec le contentement de soi, le piquant du cœur, lui détruisant l’humilité et l’inclination, et son bon pouvoir, et ensuite on peut le voir en train de changer l’humilité et sa beauté d’en haut, la soumission du cœur et sa douceur, l’humilité de ses actions.

Oh, cher Fils, mon Jésus, si la prière de ceux rassemblés devant Toi n’apporte pas sur eux des découvertes célestes elle est faible, elle est petite leur prière, et elle ne devient pas merveille pour eux. On a besoin de voix de prière, cher Fils. On a besoin de cœur brûlant pour Toi et de beaucoup de douceur en elle, et la foi de la prière doit fortement remplir ceux qui prient. Il faut avoir de forts serviteurs pour la voix de la prière de l’église, car Tu dois venir maintenant avec les derniers accomplissements de Ton royaume avec les hommes, cher Fils, et tout cela doit être demandé, et c’est de la terre que doivent venir des voix suppliantes avec brûlant cri, avec doux appel pour que Tu viennes. Il ne faudrait plus entendre d’autres sortes de paroles de prière vers le ciel, venues de ceux avec ardente prière, que des voix qui T’appellent de venir, de dépêcher Ta venue et affermir Ton royaume avec eux, oh, Seigneur, Empereur sur toute créature.


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La foi de la prière va T’amener, et ensuite elle va amener l’homme à Toi, elle va amener la venue de l’homme, et Ta venue ensuite, oh, cher Fils, Qui attends de venir et d’être avec les hommes sur la terre.


***

Oh, console-Moi toi aussi, Mon peuple, et parle avec Moi, le fils, car Je n’ai plus à qui M’adresser sur la terre, puisque l’homme n’aime pas que le Seigneur parle avec lui, car sa bouche est habituée avec des vanités et ça sent mauvais la parole de sa bouche, selon son enseignement qui pue sur la terre, à cause de la vanité qui s’y trouve. Et tout comme ce que l’homme mange avec sa bouche sort par le dos de con corps et ça sent mauvais et altère l’odeur tout autour, de même tout ce qu’il cueille avec la raison et le cœur, en quantité et sans mesure, tout cela sort ensuite par le parler de sa bouche, par le souffle de sa bouche, et ça sent mauvais et dérange beaucoup d’hommes tout autour, et le Seigneur ne peut se tenir à la bouche de l’homme avec parole vaine, parole comme sur la terre.


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Oh, Je suis heureux dans Ma douleur venue de l’homme, Je suis heureux d’avoir un peuple accueillant, auquel Je viens et où Je suis trouvé par ceux qui Me cherchent ici. Ils ne sont pas nombreux ceux qui viennent ici, car en ce lieu l’homme doit mourir pour lui-même, pour que le Seigneur prenne vie en lui avec Ses pas, avec Sa vie. Ils ne sont pas nombreux ceux qui viennent ici, mais ils viennent ceux qui aiment être enfants et avoir un maître pour eux, car J’ai dit aux enfants de venir à Moi, pour qu’il soit le leur Mon royaume, et voilà la confirmation de Ma parole d’il y a deux mille ans, car celui qui ne peut laisser pour Moi mère et père ne peut être Mon enfant, mais il est celui de sa mère et de son père, même s’il croit en Moi et il suit Mes commandements, mais si Je ne peux l’avoir sous Ma croix, pour Mon apaisement sous elle, il ne peut être Mon enfant et avoir en cadeau Mon royaume.

Oh, on ne vient pas ici en grand nombre, tel qu’on va en multitude dans d’autre lieux connus d’avoir la grâce, mais où personne ne demande pas à l’homme de se séparer du monde pour Mon royaume, et c’est pour cela que Je suis heureux, heureux car J’ai un peuple accueillant auquel Je viens et auquel Je suis trouvé par ceux qui Me découvrent ici en fête céleste, que Je désire tant.


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Malheur à ceux qui disent qu’ici chez vous on parle avec les morts, et Moi, le Seigneur, Je leur dis qu’ici c’est la parole des saints, pas des morts, et c’est la parole de ceux qui reprennent la vie dans la gloire, tout comme Abimalec le petit est ressuscité après qu’il ait beaucoup, beaucoup dormi, pour la prière du prophète Jérémie, qui a demandé au Seigneur que ce frêle enfant ne voie pas la chute de Jérusalem. Il n’y a pas de parole avec les morts ici, car les morts ne parlent pas. Ce sont seulement les vivants qui parlent, seulement les vivants vont avec le Seigneur, tout comme Enoch est toujours allé avec le Seigneur, Enoch qui n’est plus mort, mais il a déménagé en haut auprès de Moi.


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Je vous prends dans Mon divin embrassement, en laissant Mes bras ouverts, et Je vous prie divinement, soyez constants pour Ma grandeur par cette parole dans laquelle Je vous comprends, et ne reculez pas, car le pas en arrière c’est pour les traîtres, que le diable console ensuite avec l’esprit du doute, du jugement, de l’incrédulité et du revenir au monde ensuite, car que pourraient-ils mériter ceux qui quittent le Seigneur pour leur propre volonté? Mais, vous prenez de Moi et en donnez pour en avoir, afin d’accumuler de mon côté, selon Ma volonté, et garder ainsi votre fidélité, et son œuvre avec vous. Mais la fidélité ne peut être prouvée qu’au moment où l’homme a sur lui une main forte pour lui, quelqu’un plein de Dieu, par lequel Dieu puisse lui tenir la main et lui mettre toujours à l’épreuve la fidélité, car il n’y a plus d’autre voie pour ceux qui connaissent le Seigneur, ici, puisqu’il descendrait et on écrirait abandon de Dieu pour toute voie qu’il prendrait , et il n’aurait nulle part de fidélité celui qui cherche autre sorte de voie pour ses pas, après avoir goûté de tant de joie, s’inclinant sous elle avec l’âme brûlé de désir saint et de soin pour ce désir, pour qu’il ne s’éteigne pas.

Demandez au Père une nouvelle conscience, un cœur toujours renouvelé, qui puisse vous aider pour l’esprit de la fidélité, esprit plein de patience et de couronnes. Ma parole s’incline maintenant pour vous présenter des remercîments, car vous vous êtes faits de la joie pour le Seigneur en ce jour, Je vous exhorte plein de désir saint, aimez la sainteté. Elle découvre tout mal qui voudrait vous atteindre. C’est avec elle que vous serez Mon peuple, et c’est pour elle que vous avez le nom comme celui de mon ange: «Celui qui est comme Dieu». Amen.


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Oh, les fils, ne soyez pas Egyptiens, car Moi, le Seigneur, J’ai besoin de tous vos membres visibles et invisibles, de tous vos sens et ce n’est pas beau au ciel ni sur la terre avec vous, ce n’est pas beau que vous ne rependiez une odeur céleste et agréable pour ceux du ciel et pour ceux de la terre avec vous. Oh, soyez attentifs à ce que vous mangez, les fils! Ne mangez pas comme les Egyptiens, dont la chair et le souffle de la bouche sentent l’oignon et l’ail, la rance, l’aigre, le piquant, mais ayez soin de rependre les odeurs du ciel, où il n’y a plus de pouvoir pour les corps et l’odeur qui rendent les corps laids et toujours plus laids et de mauvaises odeurs, car Moi, le Seigneur, J’ai promis que Je vais Me planter un peuple et J’ai écrit que Je remplirai la terre avec des milliers et de milliers de lys et de roses, pas d’oignons et d’ail, pas avec des goûts mondaines sur la voie avec l’homme. Oh, obéissez aux signaux que Je laisse entre vous, tel que Je peux le faire, et accomplissez comme au ciel Mon conseil pour vous, car voilà, le monde met des odeurs sur les odeurs de leur chair et il fait ce péché, puisque les odeurs saintes sont du ciel et elles viennent de l’intérieur de l’homme lorsqu’elles existent, elles ne viennent pas des choses de la fausse science, oh, non, les fils, non.

Oh, mangez des plats douces, les fils, car vous n’êtes pas du monde pour chercher des goûts et de l’odeur de toutes sortes pour les plats, mais vous êtes des fils du ciel et vous devez vous montrer comme des aromates pour les anges et les saints.


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Oh, Je t’apprends aujourd’hui le mystère d’un beau don afin que tu le travailles pour ta richesse, celle du ciel. Fais attention à l’œuvre de la reconnaissance, Mon fils. Garde-toi dans une obéissance pleine d’amour, avec grande reconnaissance envers ceux qui t’aident et prennent soin de ton esprit et de ton travail, celui pour Moi, travail qui s’amasse dans le ciel comme ta richesse, là où la mite et le ver ne la gâtent pas, n’arrivent pas à avoir de la vie et gâter dans le ciel. Il faut que tu saches avec quoi on travaille le mystère de la reconnaissance, car si tu ne le sais pas, tu ne le travailles pas, tu ne l’aimes pas, et tu ne t’en rends pas cher à Dieu, précieux devant Lui, tout comme les saints sont précieux à Dieu.

Oh, c’est très beau pour Moi de voir sur la terre de la reconnaissance dans l’œuvre de l’homme! Vous n’auriez pas pu être ce que vous êtes et vous devez être, si vous n’aviez pas été soutenus et beaucoup aidés et instruits par quelqu’un qui vous donne du ciel. Il y a en a beaucoup sur la terre qui prouvent leur reconnaissance envers quelqu’un qui les aide du ciel, avec celles venues du ciel, car il y a beaucoup de ciel sur la terre, ciel qui peut être partagé aux hommes avec la richesse de ses grâces divines, s’il y a quelqu’un à partager à ceux qui se tiennent loin de Dieu le Trésorier, et il y en a beaucoup qui reviennent pour remercier, qui reviennent eux-mêmes jusqu’au lieu d’où leur aide est venu.


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Oh, malheur aux parents qui n’apprennent pas aux enfants de servir dans la maison plus que leurs parents, car ceux-là n’ont pas d’où apprendre l’œuvre de la reconnaissance envers ceux qui leur ont donné la vie et les ont soignés! Malheur à ceux-là, malheur aux parents comme aux enfants, car voilà, c’est cela le visage de ce monde gâté de la tête aux pieds, où on démolit les uns aux autres toutes les fortifications, car elles sont construits sur le sable, tel qu’il est écrit de ceux qui bâtissent sur le sable.


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Oh, gardez-vous comme de la mort de la joie venue de l’amour pour vous de ceux d’auprès de vous, puisque l’homme ne mérite sur la terre, sauf Dieu, pour Son pardon envers l’homme, car il est pécheur l’homme et il a besoin de reconnaissance envers Dieu et de repentir continu devant Lui. Celui qui ne prouve pas de grande reconnaissance envers Dieu et ses semblables et surtout envers ceux qui lui dirigent les pas et la vie, celui-là aime le péché et il demeure dans le péché de l’ingratitude, et se tient indifférent dans ce péché.


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Lorsque l’homme va à la châsse ou à la tombe d’un saint, il prouve sa reconnaissance envers son bienfaiteur, celui qui l’a sorti de l’obscurité, des maladies et de beaucoup d’ennemis et de soucis, et il va, il s’incline, il croit ce qu’il fait et il désire la présence de son bienfaiteur. Oh, voilà un exemple pour en apprendre! Mais la plus belle reconnaissance a celui qui travaille beaucoup l’œuvre que son bienfaiteur lui a donné et qui montre le fruit de l’œuvre de la reconnaissance, le fruit de l’obéissance et du sacrifice à celui qui lui a confié du service et du salut par lui, et une belle conduite pleine de fruit saint, pleine de la vertu de la reconnaissance.


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Oh, soyez pleins de reconnaissance et de conduite reconnaissante, car vous ne pouvez être beaux sans cette merveille qui rend l’homme fils de celui qui le porte. Pas un fils fidèle ne commande, ne change pas le conseil venu pour lui, ne montre par sa sagesse devant celui qui sagement lui partage pour qu’il existe, et qu’il ait Dieu sur lui sur la terre et dans le ciel.


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Oh, on a besoin de parole, de beaucoup de parole sur la terre. Les hommes ont beaucoup de mots, mais peu de parole, c’est pourquoi Moi, le Seigneur, Je viens en parole sur la terre et J’essaie d’habituer l’homme avec Moi et de faire parti de sa vie plus qu’il en veut, car l’homme serait beaucoup meilleur, beaucoup plus beau, beaucoup plus céleste et plus sage s’il ne se conduisait pas comme si Je n’existais pas. Oh, il y a des anges en groupes partout, il y a des saints en groupes partout, il y a les puissances célestes, celles qui portent et accomplissent tout ce qu’il y a à travailler, et il y a l’Esprit de Dieu dans tout l’espace et beaucoup d’yeux, et Moi, le Seigneur, Je suis Celui Qui est, Celui Qui a été et Celui Qui vient toujours et toujours plus avec Sa parole au-dessus de la terre.

Oh, on a besoin d’amour sur la terre, de beaucoup d’amour, toujours de l’amour et il faut beaucoup travailler pour le garder, car l’homme ne sait pas se garder dans l’amour, et même s’il le sait, il oublie toujours, il oublie le travail qu’il a, il oublie et il fait toujours les choses de sa nature. Il faut que l’homme ait un grand désir de recevoir de l’amour, de recevoir un conseil, une correction, une réprimande, une question, car autrement c’est satan qui lui donne le conseil, car satan se tient dans la pensée de l’homme qui n’a pas quelqu’un de la part du Seigneur, pour que le Seigneur lui donne par celui-ci de la vie de Sa vie, de tout ce qu’il a, et beaucoup d’accomplissement sur la voie épineuse de la vie sur la terre.


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Oh, accueille-Moi le cœur ouvert, fils de Ma parole, car J’ai mal de la terre, venu de l’homme qui fuit ses mauvais faits et ne les montre pas par les punir ouvertement, se libérer d’eux ensuite, et se montrer exemple d’humilité et d’enseignement à retenir pour beaucoup, pour que personne ne commette plus le mal et en souffrir ensuite. Oh, accueille-Moi avec beaucoup de parole de joie entre toi et Moi, car sans parole sainte et chère tout est désert et froid et lourd et douloureux, et Moi Je vous ai appris les deux œuvres de l’amour de Dieu: le désir saint envers Dieu et la purification des fautes pour ce désir, car comment pourrait-il dire l’homme que Dieu lui manque, s’il ne purifie pas ses fautes entre lui et le Seigneur? Le saint désir de Dieu pousse l’homme à se purifier devant Moi et se tenir propre ensuite. Qu’il sache cela l’homme! Amen.


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l’amour de soi essaie de chuchoter à l’homme qu’il se réserve pour lui aussi, et la vie qui ne se sacrifie pas est une vie sans joie et sans payement, puisque c’est un grand mystère que l’homme ait de la joie. Oh, qui puisse apprendre à l’homme de quoi se bâtir de la joie pour lui? Elle se bâtit en se sacrifiant, et le sacrifice vient de l’amour, vient de Dieu dans l’homme, car Moi, Je Me suis sacrifié totalement et Je n’ai pas jugé si quelqu’un est digne ou indigne, quand Je Me suis sacrifié également pour ceux qui se sont inclinés et s’inclinent pour croire en Moi, pour que l’homme puisse recevoir de Moi son sacrifice, se sacrifiant lui-même.


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il doit se renoncer celui qui vient après Moi quand il vient, de peur qu’en venant il ne vienne pas, et qu’en ne venant pas, il parte après être venu pour rester. Oh, qu’il va bien l’homme qui peut renoncer à lui, oh, qu’il va bien! Seulement celui-là goûte en vérité pleinement la joie de la vie. Mais aussi si le renoncement à soi n’a pas dans sa pâte l’amour celui venu de Dieu et de l’esprit aimant d’hommes, il peut échouer dans la honte lorsqu’il est mis à l’épreuve. C’est pourquoi il faut toujours de l’enseignement sur les bonnes choses de l’homme et sur sa foi


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Oh, il n’est pas difficile pour l’homme de se sacrifier et se donner par toutes les siennes, par tout ce qu’il est, mais s’il ne sait pas quel goût donner à son sacrifice et quel renoncement de soi lui donner, voilà, il se découvre le manque de l’amour quand il est mis à l’épreuve dans l’homme.


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Voilà, il est écrit en ce jour pour le peuple chrétien de la terre, jour de carême-prenant pour les plats gras et savoureux, selon l’envie de la chair. On dit qu’il y a sept jours, l’homme chrétien a renoncé à la viande, et dès aujourd’hui on dit qu’il va renoncer à manger du fromage et des œufs jusqu’à la fête de Ma Résurrection, mais c’est que l’on dit seulement, car qui pourrait apprendre à l’homme le vrai jeûne, la vraie vie établie par les saints et les parents, ceux nourris avec Mon Esprit, tel qu’ils ont laissé sur la terre ordre céleste et salutaire et écrite pour être connue et aimée ensuite par ceux qui sont fiers d’être chrétiens, d’être baptisés dans le Christ et vêtus en Lui? Oh, c’est difficile tout cela pour l’homme baptisé avec Mon nom pour lui. L’homme est attiré vers toutes les choses du monde et il en est tenté à chaque pas et à tout instant, et à ceux qui perdent le don de la foi à cause de la désobéissance à Dieu, à ces gens-là il manque très peu pour qu’elle se dissipe toute leur stature chrétienne et recevoir le payement de la désobéissance, le payement de leur incrédulité.

Oh, peuple de Ma parole, tu n’as plus de carême-prenant pour la viande, le fromage et les œufs, car tu M’as obéi et tu as pris la vie monacale pour ta nourriture, tes habits, tes goûts pour tout ton corps, et tu t’es donné à Moi comme maison et royaume. Mais tu as restriction d’huile pour le temps du jeûne. Oh, réjouis-toi et sois gai de tout ton cœur et ta pensée et ton âme, sois ainsi durant tout ce temps, et que tu saches à qui accordes-tu ta joie et ta gaité, car c’est à Moi que tu dois les consacrer, et couronner avec eux ton amour de Dieu, ton choix de Ma part, Mon peuple. C’est pourquoi Je te prie de faire attention aux paroles, attention à ta conduite sainte, attention, Mes fils, à l’amour pour tout cela, puisqu’il commence maintenant un temps très saint, et on doit bien le combiner avec la paix de tout ce que tu vas travailler et Me présenter. Je t’exhorte d’être appliqué avec l’âme, mais aussi avec le corps, car c’est lui qui porte tout et il a besoin d’être racheté, et pour cela il faut beaucoup de peine, pas un peu, mais il faut beaucoup de travail.

Oh, les fils, ne vous lamentez pas pour la chair, ne cherchez pas à ses vœux, car elle a besoin de grande peine, puisque c’est elle qui a fait sortir l’homme du paradis, de la maison que J’ai fait à l’homme dès la fondation du monde, quand Je l’ai établi dans son bonheur et Je lui ai prescrit d’accomplir la loi du bonheur, la loi du paradis, à laquelle l’homme devait obéir sans protester, mais il n’a pas obéi l’homme, et qu’elle est difficile à payer la désobéissance envers Dieu, oh, Mon peuple. Cette peur de la chute de l’obéissance à Dieu doit être pour vous une veille éternelle, oh, les fils, car voilà, l’homme n’a pas veillé pour elle et il l’a perdue, oh, les fils. Oh, que l’homme ne s’imite l’un l’autre pour la désobéissance à Dieu, car voilà ce que s’est passé dans le paradis si les deux se sont imité l’un l’autre pour la désobéissance!


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Après que Dieu ait fait l’homme selon Son image et Sa ressemblance, Je lui ai donné du travail, Je lui ai donné d’obéir à Dieu, de travailler et de garder ainsi le paradis, qui lui avait été donné comme sa maison, pour y habiter avec le Seigneur et pas autrement. Oh, il n’a pas voulu faire ainsi l’homme. Lorsqu’il s’est vu fondé de pouvoirs par Moi sur les choses confiées à ses soins, il s’est voulu maître absolu et il a essayé de Me mettre dehors, pour qu’il reste lui seul. En même temps que son désir de domination, ce mal s’est réveillé dans les choses de la création par la parole, et elles ont obéi à l’homme, tout comme le mauvais esprit né dans l’homme est entré dans le serpent, qui a servi à la pensée de l’homme et il l’a glorifié, et Ma création a quitté l’obéissance envers Moi et elle a obéi à l’homme, et dans l’Eden est apparu la désobéissance à Dieu et elle a commencé ensuite la peur pour la désobéissance et pour le besoin de se cacher, et la lutte contre Celui Duquel l’homme avait déjà peur, la lutte de l’homme contre Moi, sa haine contre Moi, en temps qu’il devait avoir Mon amour en lui, et lorsque l’amour change en haine, l’esprit du satan peut tout pour la suppression de Mon existence dans l’homme. Oh, ensuite le monde des anges a vu le péché de l’homme contre Moi, son désir de domination sur toute chose, plus que Moi, et même au-dessus de Moi domination, et elle est devenue satan cette conspiration de l’homme, servie par les anges, et depuis lors l’ange serviteur de l’homme et son armée tentent l’homme de toute façon pour le punir, puisque c’est par lui que ces anges sont tombés d’auprès de Dieu, et ils voient leur chute et ils se vengent contre l’homme, contre sa vie, celle éternelle avec Dieu.

Oh, peuple de Ma venue à toi, et vous, ceux qui Me prenez de cette source, qui coule d’ici vers vous pour vous en nourrir, oh, les fils, il M’a donné au jugement, il M’a jugé l’homme dans l’Eden, il a dit que c’était Moi le coupable pour sa désobéissance, et ensuite ils se sont culpabilisés l’un l’autre les deux, et puis le serpent, mais la faute était fixée sur Celui Qui les avait fait homme et femme et ils M’ont mis en justice de l’un à l’autre, et ils sont restés ensuite l’un pour l’autre, mais pas pour le paradis aussi. Oh, qu’il aurait été bon pour eux s’ils s’étaient repentis, le front bas pour leur désobéissance, quel bien pour eux, quel bien pour Moi et pour eux, et pour les anges tombés à cause de la pensée élevée en eux au-dessus du pouvoir et de Ma chaise de gloire dans le ciel et sur la terre.


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Qu’on entende maintenant la voix pleine de pleurs de l’homme bâti de Ma main et qui est tombé du paradis après l’avoir bâti. Amen.

— Oh, Mon Bon et Miséricordieux Maître et Créateur,


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Oh, que les Tiens ne jeûnent pas avec mécontentement, difficilement et en pensant au manger, mais qu’ils jeûnent dans l’esprit du pardon entre frère et frère, car à celui qui ne pardonnera par les fautes du frère, Dieu le Père ne lui pardonnera pas, Lui non plus, ses fautes. Oh, qu’ils n’oublient pas de jeûner dans la sérénité du cœur et du visage et ventre, car l’hypocrisie qui enlaidit les visages de ceux qui jeûnent pour montrer le fait qu’ils jeûnent, c’est cela leur payement, le payement venu de l’éloge le soi et de l’hypocrisie avec laquelle ils se nourrissent. Oh, c’est seulement le Père Celui Qui voit et paie en secret à ceux qui se retiennent des bons plats et d’amasser des richesses, car l’homme doit avoir ses biens dans le ciel, pas sur la terre, où ils sont consumés par le temps, les voleurs, les mites, en temps que les biens amassés dans le ciel ne se gâtent pas, parce qu’ils ne sont pas pénétrés par le mal et l’ennemi, et l’homme qui amasse dans le ciel, c’est là qu’il a son cœur aussi, car Tu as appris à l’homme que là où il y a son trésor, à ce même lieu il y aura son cœur aussi. Oh, je le sais, Seigneur, car j’ai perdu mon trésor du paradis lorsque j’ai pris mon cœur de Toi et je l’ai mis à la femme et pas à Toi, selon Ta décision pour lui quand Tu l’as bâti, et ma douleur est longue de plus de sept mille ans, et elle est dure la douleur de la séparation de Dieu, et il n’y a personne sauf moi pour dire à l’homme la douleur de la séparation de Dieu, la douleur du cœur de l’homme qui, pour son cœur, se sépare de Ton cœur, et Tu ne peux jouer au plaisir de celui qui Te fait cela, car Tu es Celui Qui a créé le ciel et la terre, et ce n’est pas l’homme à les avoir faits. C’est un grain de poussière l’homme qui essaie de lutter avec Toi, tout comme c’est une partie de Ta gloire l’homme qui lutte pour être seulement à Toi, dans tout le contentement de son âme devant Toi, et moi je n’ai pas pu faire ainsi au paradis, et j’ai payé ensuite par des larmes sans consolations mon injustice envers Toi, alors que je me suis vendu à la présomption celle contre Toi.

Vous, ceux qui essayez de lutter contre Dieu pour vous-mêmes, oh, laissez les armes, laissez de mécontentement, laissez la présomption venue de lui, le proteste et la médisance, l’esprit de mépris envers les frères, le jugement avec sa suite, et prenez dans vos bras et dans votre cœur le désir saint et l’esprit du repentir pour vos péchés, et n’oubliez pas qu’ils ne seront pas pardonnés si vous ne pardonnez pas de tout votre cœur à n’importe qui est en faute envers vous. Mais n’oubliez pas, oh, n’oubliez pas que face à un vrai chrétien du Christ personne ne peut être en faute, car personne n’est pas capable pour lui, mais c’est seulement en lui que se trouve la couple, car elle est dans l’homme, pas en dehors de lui, non, jamais en dehors. Je vous parle de cette douleur moi, car c’est moi qui ai souffert dans l’Eden à cause de cette fausse idée, et j’ai cru que c’est en Dieu la faute, ou qu’elle va de l’un à l’autre entre nous, les deux, homme et femme, mais cela n’a pas été ainsi, mais c’est en moi qu’elle a été toute la faute, et elle est tombée ensuite sur tout le genre humain, et je me repens maintenant devant Dieu et je pleure avec joie consolée, puisque le Seigneur est venu sur la terre en parole de préparation du genre humain pour le jour du jugement de la créature, et moi, Adam, l’homme bâti de Dieu, j’ai, par Sa venue à Son peuple d’aujourd’hui au sein du peuple roumain, j’ai le pardon promis et la permission de parler à l’homme issu de moi de l’un à l’autre, et lui dire que le Seigneur est Celui Tout-Puissant et seul Maître au ciel et sur la terre pour les siècles des siècles, et l’homme doit au Seigneur sa vie, avec obéissance et l’amour pour tout cela, pour qu’elle se montre la face du paradis sur la terre et pour qu’elle se repose ensuite de l’attente toute la créature, toute la création de Dieu, depuis le début et jusqu’à la gloire qui ne va plus finir, mais qui va dans l’éternité, et au-dessus d’elle, le Seigneur Empereur. Lui et tout Son peuple obéissant et pardonné par grand repentir, élevé par son pouvoir au rang de fils et héritiers du paradis, mon jardin du début, vers lequel je regarde et je pleure, puisque le lieu duquel le Seigneur a fait mon corps de la terre se trouve sous pression, sous douleur venues de ceux qui, tout comme moi dans le paradis alors, ils se cachent de Dieu et ne cherchent pas l’esprit du repentir, mais celui du jugement et de la pression venue des côtés, et du mépris pour ceux restés, mais le Seigneur et le Maître de Sa création, et c’est Lui l’espoir, et toute son œuvre celle du commencement et jusqu’aujourd’hui pour le salut de l’homme pécheur.

Oh, viens, Seigneur, viens avec les saints, prends place dans tous les hommes et purifie-les de toute souillure et sauve-les, Seigneur, sauve-les tous ensuite! Amen.

— Oh, c’est cela que Je veux Moi, le Seigneur, et J’ai écouté avec douceur la parole de celui bâti de la glaise par Ma main. Oh, que vous souhaitiez cela, vous aussi, ceux qui entendez Ma voix et vous nourrissez de Ma bouche, si vous pouvez Me laisser être votre Maître. Amen.


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Oh, paix à vous, saintes femmes de Ma souffrance de ce temps-là ! Vous M’avez fortement aimé le long de toute Ma voie d’alors, mais plus fort encore sur la voie douloureuse de la croix, et ensuite sur la voie du témoignage pour Moi, après M’avoir assis près du Père, par Mon ascension auprès de Lui. Oh, apportez de la gloire au Seigneur et de la joie sur la terre, car Je suis avec vous à table de parole maintenant, sur la terre. Amen.

— Nous apportons, Seigneur, le pouvoir de la foi stable dans ceux qui Te cherchent, et auxquels Tu Te laisses trouver à table de parole ici. Amour sans fin qu’ils aient en eux ceux qui se donnent à Toi, et qu’elle soit sans fin leur vie, car Tu as dit: «Celui qui croit en Moi ne mourra jamais». Oh, quelle honteuse mort c’est pour l’homme alors que l’incrédulité vient sur lui, Seigneur, quand elle meurt sa foi ! Celui dont la foi ne tombe pas ne meurt jamais, oh, Seigneur, et Celui qui meurt est celui qui n’a plus de foi, car il s’égare pour la foi. Qu’est-ce que c’est que cet égarement? C’est du doute cet égarement. Mais comment vient-il le doute? L’esprit du jugement naît ce péché, qui tire l’homme dans le reniement de la foi. Oh, il est plus grand l’amour! Il ne tombe pas, puisqu’il souffre pendant longtemps, et il est le plus léger fardeau, car il se tient dans l’humilité.


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Oh, enrichissez votre amour, car le Seigneur a un tamis à la main pour trier le blé entier de celui qui devient sec avant d’être mis sur la table. Soyez comblés d’amour, pleins de ses vives émotions, car Il vient l’Epoux de la noce du ciel avec la terre, et il va rester le ciel nouveau et la terre nouvelle. Soyez saints pour la nouvelle création, pour laquelle vous ne pourrez pas être dignes si vous êtes partagés. Habillez-vous comme ceux du ciel et ne prenez pas exemples de la terre pour le vêtement. Habillez-vous comme fils de Dieu et donnez-Lui tout le pouvoir sur vous, en ne jugeant rien pour vous, car l’homme n’a pas de sagesse comme le Seigneur, mais il l’a comme l’homme, et l’homme est passager, car il ne veut autrement et il ne croit pas autrement.

Nous vous parlons avec l’amour qui se trouve en nous et avec le Seigneur en nous. Nous souhaitons que le Seigneur soit en vous tel qu’Il l’a été en nous sur la terre, et chère récompense il y a dans le ciel pour notre amour de Lui, qui ne s’est pas éteint en nous, et entre nous et Lui. Oh, filles de la foi, faites attention à la façon de présenter devant le Seigneur votre foi et le désir saint envers Lui. Aimez la sainteté pour ceux qui vous entourent et pour vous ensuite. La femme sainte doit être maîtresse sainte pour la sainteté autour d’elle. Il y défaut de saints et de sainteté sur la terre, pendant que la débauche et son esprit vont sur la voie avec tout homme comme avant le déluge. La femme ne s’habille plus, elle se tient nue aux yeux de tous les passants, et l’homme est plus habillé que la femme, et il n’y a que Sodome et Gomorrhe partout où règne l’homme, et là où l’homme sait qu’il est écrit le nom de Dieu, là-bas vit sur grande chaise l’hypocrisie, le levain dont le Seigneur a appris à ses disciples de se garder et ne pas tromper les peuples de la terre, comme ceux qui disent et ils ne font pas ce qu’ils disent à d’autres de faire.

Oh, beaucoup de femmes ont pris des habits d’homme, seulement pour prendre soin du Christ se trouvant en elles, et d’elles ensuite en Christ, et de ceux d’autour d’elles pour ne pas faire tomber quelqu’un, homme faible à la vue de leur corps de femme, car la femme a affaibli l’homme dès le début vers elle, et elle l’a déshabillé du Seigneur pour l’amour d’elle. Oh, la grandeur de la femme c’est d’être couverte et de mettre sur la tête le voile pour les anges, car les anges ont le signe de la soumission sur leur tête angélique, au moment où ils se montrent pour être vus, et décrite ensuite leur image, de laquelle les hommes ont à apprendre. La femme qui aime le Seigneur n’aime plus l’homme avec le même amour, mais elle l’honore seulement, et elle se fait agréable à son Epoux, à son Mari du ciel, et c’est seulement pour Lui qu’elle se fait belle avec ce qu’Il aime Lui, mais la femme qui s’aime soi-même, elle cherche des soumis à ses désir et attire ceux d’autour d’elle en produisant la chute de la vie de l’homme, et qui est celui qui puisse se sauver de cet abîme de l’âme?

L’homme cherche, il cherche toujours, il cherche de la vie pour le péché. Il est écrit dans le livre d’aujourd’hui de la parole de Dieu qu’on ne verra plus un homme vieux, puisqu’il va et il entre vieux par une porte et il sort jeune par une autre, et il se fait beau l’homme pour le péché.

Toi, homme qui es en grande faute et punis Dieu en dedans et en dehors de toi, ne cherche plus, ne cherche pas toujours le bonheur! Cherche les larmes pour tes nombreux péchés, car si tu ne te repentes pas pour les mauvais faits de ta vie, tu rencontreras un jour quand tu te verras comme dans le miroir avec ta vie, celle pleine de péché. Oh, qui pourrait sauver l’homme de la femme, du moment qu’il est utile à la femme même après la mort.

Voilà donc, si la femme n’aime pas la sainteté et le Seigneur, elle devient occasion de chute pour l’homme. Nous avons parlé avec grande joie pour vous, et toujours avec joie nous avons voulu vous donner de l’enseignement pour la sainteté, et du conseil contre le péché qui punit Dieu dans l’homme. Ils sont peu nombreux ceux à qui est donné de comprendre le mystère de Dieu avec l’homme pour la pureté du corps, et c’est pour cela qu’il y a tant de souffrance, tant de larmes sur la terre et au ciel.

Oh, Seigneur, fais de notre amour pour Toi, fais sur la terre de saintes femmes pleines de saint désir envers Toi et de sainteté sur les hommes ! Oh, Seigneur, fais de notre foi en Toi, dans la parole de Ta bouche, fais beaucoup de foi dans les hommes en Ta parole, dans Ton histoire d’amour d’entre le ciel et la terre, par laquelle Tu appelles et Tu attends que les hommes se fassent fils de Dieu! Oh, Seigneur ressuscité, fais de notre grande énergie des disciples hommes et femmes en grand nombre sur la terre, pour que nous ayons au ciel consolation de Ta consolation venue de l’homme, car notre amour pour Toi brûle en nous et dans le ciel, et il est plein le ciel de saints vivants dans l’amour de consolation pour Toi.


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Oh, quelle grande merveille c’est la foi! Celui qui croit en Ma venue parole sur la terre, celui-là est un faiseur de miracles, elle amène Dieu sur la terre avec table de parole.


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Oh, prenez soin de vous aimer les uns les autres tel que Je vous aime Moi, car Je vies avec le ciel à vous et Je vous aime avec lui. Faites vous de même, venez les uns vers les autres avec le ciel en vous et aimez-vous les uns les autres de cette manière, car un autre genre d’amour n’est pas amour, puisque l’amour vient seulement du ciel, car son lieu c’est le ciel. Prenez soin de faire de vous demeure céleste pour que l’amour habite en vous, car son lieu c’est le ciel. Lorsque vous ne vous aimez pas les uns les autres avec beaucoup de désir saint en vous, avec beaucoup de ciel en vous, l’amour n’est pas en vous, mais cherchez-le et prenez-le en vous, ne restez pas sans amour, ne restez pas sans cette merveille en vous, car on a besoin de beaucoup de lumière sur la terre. La terre est déserte de lumière et il y a une profonde obscurité sur la terre, tout comme au début lorsque l’Esprit du Seigneur Se portait au-dessus des eaux et quand Dieu a dit: «Que la lumière soit!» et la lumière s’est faite, et Dieu a séparé la lumière d’avec les ténèbres et Il a nommé la lumière jour, et les ténèbres Il les a nommées nuit, et Dieu a fait ensuite le ciel et la terre. Voilà, tout d’abord on a besoin de beaucoup de lumière sur la terre, et ensuite le ciel nouveau et la terre nouvelle. Ne restez pas sans amour en vous, sans ce miracle en vous, car on a besoin de beaucoup de lumière sur la terre, et personne n’a pu faire ce miracle sans avoir beaucoup d’amour en lui.


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— La souffrance, cher Fils, voilà la parure de mon âme, c’est elle qui m’a tellement embelli, c’est elle qui m’a appris à être sage pour elle, à la porter modestement, pour être la plus belle, mon cher Fils. Oh, qui entre ceux venus de la terre au ciel pourrait croire que l’homme beau est celui comblé de bonheur sur la terre entre les hommes? Oh, ce n’est pas ici qu’on peut connaître la beauté de l’homme, ici où tout se fane et puis n’est plus, mais elle peut se mesurer seulement ensuite, seulement après que les faits de la vie de l’homme se mettent en lumière pour être mesurés, et les faits de la vie sont ici, sur la terre.

La souffrance a été ma sagesse, mon cher Fils. Dès mon enfance le Père m’a partagé de la souffrance et Il m’a crû par elle et pour elle, pour que je Te ressemble en tout, mon Fils Jésus. Tu as souffert dès le temps où je Te portais petit Enfant dans mes bras, Tu as souffert ensuite jusqu’à la croix, et Tu as souffert dans le ciel ensuite jusqu’à présent, et jusqu’à la fin Tu auras à souffrir, puisque le bonheur de l’homme tombé du paradis demande cher payement, il demande de la souffrance pour Dieu, mon cher Fils, et cela parce-que c’est Dieu Qui a bâti l’homme. Quand l’enfant produit un dégât à quelqu’un sur la terre, c’est lui qui souffre quelque honte, quelque souffrance? Oh, non, mais c’est son père qui en souffre, c’est sa mère, et si l’enfant reçoit une punition les parents souffrent encore plus douloureusement.

Voilà la souffrance c’est de la sagesse, elle maintient sage celui qui souffre, et qui a été plus sage que moi et Toi, mon cher Fils? car c’est la souffrance que Tu es venu porter sur la terre. Tu as souffert dans le ciel avant de venir, Tu as souffert ensuite tout le temps sur la terre, et Tu as souffert encore dans le ciel avec le Père, avec moi et les saints, et nous souffrons pour l’homme, mon Fils Jésus. Je me console dans la souffrance, je me console avec l’amour pour Toi, car l’amour de Dieu c’est le désir saint le plus consolateur pour celui qui connaît ce mystère de la consolation, celle venue des lieux très haut, et voilà pourquoi j’ai été si sage, moi, et il y en a beaucoup qui pourraient être de même, s’ils peuvent comprendre le désir saint de cette consolation, la plus haute consolation pour ceux qui aiment en souffrant avec amour et en espérant fortement dans les jours de l’éternité, le siècle sans fin, le siècle qui va venir, mon cher Fils.


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Vous devez avoir l’amour apostolique, mais il faut que vous l’appreniez pour l’avoir, oh, les fils.


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Oh, on a besoin d’amour apostolique et de beaucoup d’esprit d’humilité, beaucoup d’esprit de douceur. L’homme doit montrer sa mauvaise nature, pas celle bonne, s’il va sur la voie de l’humilité d’esprit avec sa vie vers le ciel. Ceux qui vont vers le ciel sont ceux qui apprennent en allant et en apprenant des saints, qui se sont donnés comme exemples d’amour apostolique , se séparant des choses de la terre et en luttant pour celles des cieux. Oh, quelles sont les choses du ciel?


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Oh, peuple de Ma parole celle d’aujourd’hui, pourquoi peux-tu rester avec Moi et croire ainsi? Si tu étais toi et ton prochain seulement, réunis en Mon nom, oh, les fils, si ce n’était pas toujours Moi le troisième pour animer l’amour et la foi et la fraternité entre les frères, oh, tu ne pourrais pas rester uniquement le Mien, et tu t’en irais d’auprès de Moi, mais Ma crèche de parole garde la force de ta foi, de ton espoir de ton sacrifice, et pour le sacrifice tu reçois du payement, tu reçois de la foi par grâce. C’est toi et ton frère, mais c’est Moi aussi, et Je suis Celui Qui vous garde les Miens, et c’est près de Moi que Je vous garde. Oh, quel mal se sont-ils fait ceux qui sont partis! Ils sont partis faute de raison, c’est pour cela qu’ils sont partis d’auprès de vous et d’auprès de Moi et d’auprès du lieu de Ma source de parole, et il n’y a plus personne à les aider, à les protéger là où ils sont, mais seulement votre amour envers Moi et envers les hommes, votre charité seulement est restée pour faire mémoire de leur nom devant Moi, sur la table de chez vous, fils intermédiaires par la prière devant Moi. Mais leur état n’est pas bon, les fils, car ceux qui Me quittent, Me quittent, et ils ne peuvent se disculper pour cela.

Oh, rappelle-toi, Mon peuple, de ma mère la Vierge, qui avait dit aux convives de la noce de Cana de faire tout ce que J’allais leur dire de faire et d’accomplir. Faites tout aussi, faites tout ce que Je vous dis de faire et d’accomplir, et c’est ainsi que vous allez Me retenir avec vous, et c’est ainsi que vous allez rester auprès de Moi, et Moi auprès de vous, et le monde ne va pas nous séparer.

Je vous ai demandé: pourquoi le monde ne peut-il être avec Moi? Mais celui qui aime l’esprit du monde et ses faits, oh, comment pourrait-il être avec Moi? Tout aussi, celui qui aime Mon Esprit et Son œuvre sur la terre, comment pourrait-il rester sans Moi, s’il a choisi d’aimer ainsi? Oh, vous pourrez rester avec Moi et Moi avec vous si seulement vous faites toujours tout ce que Je vous dirai de faire, les fils, et autrement il ne peut rester avec Moi celui qui veut être le Mien. C’est pour cela que Je vous ai appris et que Je vous dis encore et encore de faire attention au devoir de l’obéissance, puisque pour ceux qui n’obéissent pas c’est le péché qui suit, les fils, c’est la séparation de Dieu qui suit, par le péché, les fils. Oh, s’ils apprenaient bien cela tous ceux qui se proposent de croire dans Ma parole d’aujourd’hui et d’être les Miens par l’accomplissement total de cette parole dans leur vie!

Oh, ne péchez pas, vous, ceux qui vous vous êtes choisis et vous voulez être les Miens, et Moi le vôtre. Voilà ce que Je vous dis: S’il y a parmi vous de ceux qui, pour leur justice et position pèsent et mettent sous la coulpe ceux par lesquels Je porte le fardeau de l’œuvre de Ma venue en parole sur la terre, pour Me préparer ainsi le jour de la gloire, oh, s’il y a parmi vous de ceux qui frappent autour d’eux des âmes, dont la foi et l’amour pour Mon œuvre et ceux qui la portent peuvent souffrir, si vous êtes habitués à vous disculper en jetant autour de vous des paroles de mécontentement sur ceux qui vous dirigent et vous élèvent minutieusement, oh, guérissez-vous et allez guérir ensuite ceux que vous avez abattus par vos mécontentements versés sur eux, puisque l’homme glisse facilement vers la haine, car l’homme a besoin d’amour, non pas de haine. Prenez garde car si la haine apparaît dans l’homme et elle grandit en lui, elle tue en deux côtés ensuite, et même en trois côtés si elle est nourrie, si les cœurs faibles ne peuvent la repousser afin qu’elle parte, afin qu’elle ne fasse pas son nid pour y demeurer, pour la chute des faibles.


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Avant tout, dans Ma parole Je vous conseille tous, en ce jour d’enseignement sur vous, ceux rassemblés à Ma parole pleine de pitié, et Je vous dis: ne vous enivrez pas de vin, mais d’amour de Dieu, les fils. Il n’a pas l’amour de Dieu celui qui boit du vin, entre ceux qui s’appellent des chrétiens. Pas ceux qui ont du vin dans la maison, pas ceux-là sont ceux qui boivent du vin, s’ils étaient de ceux qui pèchent en faisant du vin un péché pour eux, oh, le vin n’existerait plus dans leur maison. Ceux qui font du vin un péché sont ceux qui aiment le vin et ils sont tenté par lui, et ils grisent leur tête et leur raison en buvant du vin, qu’ils cherchent ouvertement et en cachette, ou avec ceux qui boivent aux lieux où on boit.

Oh, fils chrétien, ne bois pas de vin avec le diable, avec lequel tu te caches poussé par lui, ou avec lequel tu te montres en buvant, mais bois-le avec le Seigneur, comme les Pâques nouvelles, et que de cette manière se réjouisse ton cœur, avec le vin nouveau, avec les Pâques du Seigneur, car c’est le Seigneur qui est la nourriture et la boisson les plus chères, les plus saintes, les plus vivifiantes, les plus saines et qui donnent de la joie au cœur affligé, tel qu’il est écrit.

Oh, prenez soin, les fils, car c’est le vin qui M’a anéanti le genre humain sauvé du déluge, car il l’a de nouveau mené à la chute, après que Noé soit sorti du navire avec les siens et qu’il ait planté de la vigne, après avoir fait du vin et s’en être grisé, il a maudit de sa bouche, et sa malédiction s’est accomplie. Le vin a fait naître peuple sur la terre de la débauche, au temps de Loth, celui que J’ai sauvé du feu, et il a dû que Je vienne du ciel et Me sacrifier, pour sauver de quelque sorte celui né du péché.

Oh, le vin est fort, il est le plus fort lorsque l’homme fait de lui ce que n’est pas de Dieu que l’homme fasse avec le vin. Oh, les fils, Je viens Moi-Même, vous apprendre l’enseignement sur l’amour de Dieu et du désir saint, et vous aurez de la consolation, les fils. Attention à ne pas pécher, car celui qui n’a pas le cœur blessé pour le Seigneur, c’est le péché qui va le blesser, et cette blessure et mortelle. Oh, voilà combien de veille doit-on avoir contre cet ennemi: le péché.


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Oh, prenez exemple de fidélité, de désir saint et d’amour, prenez-en de ceux qui l’ont, prenez et apprenez, les fils, car un poète que J’aime a écrit une fois une parabole et il a dit pour ceux qui n’aiment pas le Seigneur, les mots que voici:

…. «Sachant que dans le monde certains chiens souvent sont morts de nostalgie, quand, par malheur, ils ont perdu leur maître, moi, je pense à ces chiens-là : quel exemple d’amour profond, que nous n’avons pas encore prouvé face à notre céleste Maître. De son maître qu’est-ce qu’il reçoit chaque jour comme nourriture un pauvre chien? Une boulette de polenta froide, et rarement de sèches croûtes de pain. Mais combien de rares friandises et combien de consolations toujours, pendant sa vie, tout homme reçoit du Bon Dieu! Et j’ai honte devant tous les chiens qui sont morts tel que je l’ai dit, car, en qualité d’homme, je ne puisse encore m’élever si haut».


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Oh, Mon peuple d’aujourd’hui, c’est un jour de parole avec toi, pour ta croissance, pour la stabilité de ta foi, pour l’expérience de vie, et pour le partage de Ma parole avec toi, pour que les hommes comprennent que ce n’est pas la même chose la vie de l’homme et Ma vie dans l’homme. Quand l’homme se tient avec Moi et en Moi avec son œuvre, quand Moi, Je Me tiens avec lui dans Mon œuvre et Je lui donne quelqu’emploi pour Moi et pour Ma marche parmi les hommes, alors il vit pour Moi, et Moi pour lui, tout en faisant Ma volonté, mais lorsqu’il se tient de côté, même s’il essaie de ne pas transgresser Mes commandements dans sa chair, alors il ne vit pas pour le Seigneur, oh, non, mais il vit sa vie. Celui–là n’a plus sa part à la table de Ma noce, à laquelle on est tous appelés pour être ensuite les élus et ensuite Mes fidèles pour Mes nombreux ouvrages, et voilà, beaucoup d’appelés, peu d’élus pour Moi, parce que l’homme se choisit toujours soi-même lorsqu’il essaie de choisir, le pauvre, et Moi à ma table Je reste avec ceux qui restent avec Moi à Mon travail, et ceux appelés qui restent avec leur vie, ceux-là ne viennent pas, car ils ont leurs affaires, pas celles de Dieu, tel qu’il est écrit.

Oh, qu’il est petit le nombre de ceux qui se séparent de leurs affaires pour qu’ils se donnent à Moi et à Mon travail, et qui restent pour Moi ensuite, qu’ils sont peu! Elle est très riche Ma table, mais ceux appelés ont leurs affaires, ils ont leur vie et ils la vivent comme bon leur semble, ils n’ont pas de temps pour Mon travail avec l’homme. J’ai beaucoup de travail sur la terre, et qu’ils sont peu ceux qui viennent pour M’aider, qu’ils sont peu! Il ne sait pas l’homme quelle difficile réponse il doit donner à Dieu lorsqu’il sera interrogé sur son travail, sur ce qu’il a fait sur la terre et ce qu’il a travaillé en son temps.


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Jean–Baptiste est glorifié entre les saints au jour de son assemblée, car il a vécu sa vie seulement pour le Seigneur sur la terre et il a été Mon travailleur, celui qui a témoigné de Moi, Mon disciple, puisque le Père s’est servi de lui pour les œuvres de Dieu sur la terre.


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Oh, combien de soin ont pour se laver, se parer richement ceux qui se rencontrent pour pécher entre eux! Un chrétien qui connaît Dieu ne se prépare si minutieusement, ne se prépare beaucoup à l’extérieur, il ne lave pas sa vie lorsqu’il vient s’unir avec le Seigneur, avec l’Esprit et avec Son Corps. Il est écrit pour l’homme de s’examiner lui-même, de se laver bien, et ainsi préparé qu’il vienne, car les choses intérieures de l’homme, celles qui ne se voient pas sont les plus sales, les plus souillées, celles qui souillent l’homme, mais le diable est découvert lorsqu’il se met sur le blanc, il se voit et il ne peut se cacher avec sa mouche. Lorsque les esprits volants du diable invisible se mettent sur le cœur pur, celui-là ne cache pas la mouche ennemie, mais la pousse à la lumière pour qu’elle soit jugée.


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Les paroles haineuses entre les hommes sont la preuve de l’inclination vers le péché de l’homme. C’est l’homme pécheur seulement qui est capable de cela. Oh, celui qui voit au moins une fois le Seigneur et il a la chance d’avoir le cœur humble à cet instant-là, celui-là se remplit ensuite de la crainte de Dieu, et il ne s’enchante plus d’une autre pensée ou conduite d’où Il puisse S’absenter le Seigneur, Celui humble, le Seigneur à cœur doux, mais cet homme se tient avec peur toujours dans le Seigneur, en faisant seulement Sa volonté à tout instant, en aimant et en veillant. Mais celui qui ne voit jamais le Seigneur mais seulement il Le croit et il Le sent par toutes Ses paroles, tout comme il Le verrait toujours, un tel homme peut aussi vivre dans l’esprit de la crainte de Dieu à tout instant, il le peut grâce à son amour de Dieu reçu en cadeau par sa foi.

Elles n’ont rien de commun avec l’esprit de l’humilité sainte et de la crainte de Dieu la conduite inconvenante de l’homme, la force de la parole prononcée avec autorité et les nerfs prouvés dans son sang et son langage ensuite. Tous les mécontentements qui font éclater l’homme d’une manière inconvenable, n’ont rien en commun avec l’esprit de la crainte de Dieu.


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D’une extrémité à l’autre de la terre les hommes sont comblé de l’envie du péché, mais que le peuple de Ta parole soit plein de Dieu, plein de Toi, Seigneur, que chaque fils de ce parole Te montre en témoignant de Toi dans lui-même, avec Ton visage, avec Ton amour entre eux seulement pour ceux du ciel, Seigneur. Voilà les dons que j’ai pour Ton peuple d’aujourd’hui dans mon jour d’assemblée entre les saints, et pour Toi, honneur et louange, Seigneur, groupe par groupe, nous Tes saints, Amen.


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Oh, peuple de Ma parole, écrivons dans le livre pour apprendre comment porter la croix.


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Oh, il y a beaucoup d’impuissance sur la terre chez les hommes. Il y a toutes sortes de maladies sur les hommes, mais la plus impitoyable de toutes est celle que l’homme supporte sans rien faire à cause de l’insouciance envers son âme, la maladie de l’incroyance, une maladie des hommes, car l’homme qui n’a pas la foi ou qui perd sa foi est plus à pleurer que l’animal dont le maître c’est l’homme.

Elle pleurait Ma parole, Il pleurait Mon Esprit par les prophètes et Il disait de Mon peuple Israël: «Le bœuf connaît son maître et l’âne l’étable de son maître, mais Israël ne Me connaît plus, Mon peuple ne Me comprend pas, car il a quitté le Seigneur, il L’a nié et Lui a tourné le dos, puisque leur tête est malade, et le cœur aussi, de la tête aux pieds il n’y a rien de sain». J’ai appelé Mon peuple au nom d’Israël. Peuple qui voit Dieu, c’est ainsi que Je l’ai nommé, mais il s’est laissé vers l’incrédulité et il en est devenu malade, et Je lui ai dit que les animaux n’ont pas cette maladie, et voilà, l’incrédulité est une maladie des hommes.

L’homme qui ne mange pas de Dieu, il n’a pas Dieu en lui. J’ai dit à l’homme qu’il ne doit pas se nourrir seulement du pain, mais avec toute parole qui sort de la bouche de Dieu, et il a choisi de ne pas manger de Dieu, de ne pas se faire Dieu par la grâce et s’asseoir à table avec le Seigneur, mais il a choisi de rester malade.

Oh, Mon peuple, oh, les fils, Je vous ai toujours conseillé de rester sur la croix et Je vous ai exhorté de ne pas couper de la croix, les fils. Comment l’homme peut-il couper de la croix? Il le fait toujours, mais il ne se rend pas compte de cela. Oh, les fils, c’est seulement le coupable qui est sous la croix. Celui qui coupe de la croix c’est celui qui ne connaît et ne reconnaît pas sa faute, mais il veut toujours s’en affranchir, il dit qu’il n’a pas de faute, et cela est devenu une habitude pour l’homme. Alors il coupe de la croix au nom de la justice, dit-il, et il le dit dans le désir d’être connu de juste, pour la honte d’être injuste, et un tel homme a honte de porter la croix et il ne ressemble pas au Seigneur, celui Qui n’a jamais dit à personne qu’Il n’était pas coupable, qu’Il n’avait jamais commis ce qu’on Lui reprochait par ceux qui L’auraient ensuite mis sous la croix, et sur la croix ensuite.

Je Me suis laissé sous la croix, et sur la croix ensuite, pour montrer à l’homme comment Me ressembler avec sa vie, surtout parce-que l’homme est coupable, lui. Toi, homme, tu ne devrais jamais te cacher de ta faute quand quelqu’un voit ta faute ou te parle d’elle. Tu n’es qu’un homme et tu te débarrasses de la coulpe, et Moi J’ai été Dieu et pourtant J’ai assumé la coulpe, Je ne M’en suis pas débarrassé devant personne, mais J’ai porté tout ce qui est venu vers Moi pour être porté et supporté, J’ai pu assumer la coulpe imposée, et par la patience J’ai vaincu la mort celle pour la coulpe, bien que Je fusse Celui sans faute, puisque J’étais du ciel, pas de ce monde, et Je n’avais rien de lui, ni lui en Moi.

Voilà, l’homme n’a pas d’humilité, il a de l’orgueil, il est très infatué de lui-même devant un autre homme, c’est pour cela qu’il ne reconnaît pas sa faute, et il a pris l’habitude de faire ainsi toujours et toujours. Oh, si l’homme voulait être comme Moi, il se réjouirait dans l’humilité et il chercherait d’être porteur de coulpe et d’être humilié par elle. Oh, c’est seulement pour Dieu l’humilité et la soumission, car pour que l’homme ne soit pas malade d’incrédulité, il devrait aimer lui aussi de porter la coulpe et de croire en Dieu, parce qu’il est coupable devant Lui, et il devrait avoir besoin de médecin pour son manque de foi, pour le manque d’humilité, par lequel il ne reconnaît pas sa faute, comme quelqu’un qui a honte d’être coupable. Mais l’homme est coupable à tout instant et en tout, et s’il ne mange pas de Dieu il ne guérit pas, il n’est pas purifié de sa coulpe, et il faut que l’homme sache de Dieu toutes ces choses et ne pas s’habituer de couper de sa croix, car la croix est un grand mystère, et l’homme doit embrasser la terre et le ciel, car le ciel touche la terre, et la terre touche le ciel par le corps de l’homme, qui porte âme vive et mouvement entre la terre et le ciel.

Oh, Mon peuple, oh, fils de Ma parole pour vous, cherchez toujours de vivre en douceur. Menez une vie douce, les fils. Vie douce et celle pleine d’humilité dans le cœur et dans l’action, dans la parole et la conduite, dans la compagnie du Seigneur sur la terre, et vie amère est celle troublée, semée de pressions, oppressive, dépourvue de la présence de Dieu entre les hommes, et tout cela vient du manque d’humilité et de tendresse du cœur de l’homme qui ne porte pas sa croix, action qui ne le laisserait pas se cacher et se débarrasser de la coulpe par la parole de sa bouche.

Oh, ne coupez pas de la croix, les fils! Dans vos douleurs ne cherchez pas de consolation, mais seulement de la patience et l’amour de Dieu, car voilà ce qui se passe avec ceux qui cherchent de consolation au temps des épreuves de la vie! Les consolations provoquent à l’homme le désir de joies non constructives, de la pitié nuisible d’une partie et de l’autre, l’éloignement de Dieu ensuite et puis l’envie du péché. Dans les douleurs et les épreuves petites ou grandes, prenez seulement de Moi patience, sagesse, prudence à travers les douleurs, car ce sont les douleurs qui bâtissent l’homme, non pas les consolations, et Je vous apprends tout cela pour qu’ils entendent aussi tous les hommes de la terre Mon enseignement pour vous, et qu’ils en prennent, les fils, et qu’ils sachent que les douleurs, non pas les consolations apportent à l’homme des joies, et plus que cela, les consolations corrompent l’homme, et les douleurs le rendent sage. Les consolations mènent l’homme à oublier Dieu, elles le font glisser vers les faiblesses et s’en laisser trompé, même aux temps des épreuves, et alors il perd sa raison celui qui cherche des consolations pour les douleurs. Mais Moi, le Seigneur, Je laisse alors l’homme à la main des consolations qu’il cherche, et Je M’éloigne avec Mon aide, tout comme l’homme s’éloigne de Dieu et se rapproche de l’homme au temps de tentation.

Oh, gens de la terre, malades ou non de la maladie de l’incrédulité, maladie des hommes seulement, voilà ce que Je vous dis Moi, le Seigneur, en jour de fête pour Ma croix: Je vous dis que Dieu supporte patiemment et que l’homme ne le fait pas, et il faudrait que l’homme supporte, pas Dieu, car Dieu supporte celui qui ne supporte pas, Il le supporte longuement. Oh, pourquoi l’homme ne support-il pas ? Et s’il ne supporte pas, qu’est-ce qu’il fait? Voilà, l’homme ne porte pas sa coulpe et la patience pour elle. Il ne reconnaît pas sa faute devant les autres parce qu’il ne veut supporter sa coulpe, et ce n’est pas correct de procéder ainsi, de faire injustice à Dieu, Le laissant supporter le poids de sa faute. Comment cela se fait que le Seigneur supporte à la place de l’homme? Oh, Il souffre le Seigneur les railleries du diable, Il souffre toujours la joie du diable contre Lui et l’homme, puisque le diable vainc toujours l’homme et il va ensuite au Seigneur pour Lui montrer ce que l’homme fait, et pour prendre la part qui lui revient de la lutte contre l’homme, car l’homme se laisse vaincu et ensuite il a honte de reconnaître ce qu’il a fait, bien plus il se justifie toujours et il s’y est habitué, il a pris l’habitude de ne pas reconnaître sa faute, de l’excuser toujours, et de ne pas se l’approprier devant ses semblables, mais Moi Je n’ai pas eu cette conduite, Moi Je ne Me suis pas débarrassé, Je n’ai pas dit: Je n’ai pas fait cela.

Oh, gens de la terre, apprenez de Moi, car Je Me suis tenu sous la coulpe, et Je n’ai pas dit: Je ne suis pas coupable. Bien plus, Je Me suis laissé sous la coulpe à la place des coupables. Oh, apprenez le pouvoir de la croix, et vous allez guérir de l’incroyance, car l’incroyance c’est une idée, et elle disparaît tout comme l’homme incrédule, mais la foi c’est du pouvoir, c’est la croix portée, elle est celle qui procure à l’homme le salut et la victoire pour la vie et pour l’éternité ensuite.

Oh, Mon peuple, peuple avec la croix comme ton Seigneur, incline-toi comme un coupable, le fils, incline-toi toujours, car Moi aussi Je Me suis incliné. Oh, incline-toi et tiens-toi ainsi devant la coulpe, car il n’y a pas d’homme plus élevé que celui agenouillé, que celui qui porte la croix. L’homme est coupable, et la croix et son poids c’est de porter et de purifier ses péchés et l’humiliation volontaire, celle qui délivre l’homme de sa coulpe.

Oh, les fils, soyez humbles un face à l’autre! Soyez-le toujours et menez une vie douce par l’humilité, car celui qui n’en a pas, il est séparé du Seigneur, mais vous êtes Mon peuple, les fils, et Je viens à vous et Je vous nourris du ciel, et Je vous donne parole de Ma bouche pour que vous soyez vivants, pour que vous existiez, les fils.

Le fait de porter la croix sainte c’est Mon enseignement d’aujourd’hui. Qu’ils en apprennent tous ceux qui veulent venir après Moi, et qu’ils soient comme Moi et comme vous, oh, les fils. Amen.


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Oh, les fils, conduisez vous comme les fils. Apprenez de cette parabole de ne pas vous conduire comme les serviteurs, pour que votre cœur ne sois pas comme celui du frère aîné de cette parabole, celui qui a osé montrer son cœur et dire avec amertume à son père: «depuis de tant d’années je te sers sans transgresser ton ordre et tu ne m’as jamais donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis, mais pour ce fils qui s’est séparé, tu as tué le veau gras». Oh, quel manque de douceur à ce fils, qui se sentais comme un serviteur sous ordre, mais auquel revenait tout le bien de son père, après être devenu le seul héritier, car pour le fils rentré comme mercenaire, il n’est rien resté de la fortune, mais il est rentré humblement pour devenir mercenaire de son père et de son frère aîné, mais la joie pour sa rentrée devait être pour son père, joie que seulement le cœur de père puisse connaître, mais frère pour frère est trop faible, quant il s’agit de droits.

Oh, il y a beaucoup à apprendre de cet exemple de sagesse, car Dieu est très doux, et Il veut qu’ils prennent de cet esprit tous ceux qui Le croient et L’aiment comme des fils, pas comme des serviteurs, puisqu’une sorte de conduite ont les fils, et toute autre les serviteurs.

Oh, fils élevés d’en haut par Ma parole sur vous, oh, apprenez de ces leçons, les fils. Les fils sont doux et chauds, tendres et aimables envers les parents et les frères, et les serviteurs sont froids, ils sont pour être payées et ils se conduisent comme sous le pouvoir du maître, et les maîtres ne sont pas aimés, car c’est ainsi que l’homme sait se conduire. Mais les fils savent ce que c’est le père et le cœur de père et ils respectent leur père et le consolent avec de la douceur et de la chaleur, douceur plein de la tendresse du cœur, tout comme les données de la nature de leur père pour eux, pour les fils. Oh, conduisez vous comme les fils tout le temps, en tout moment, car les employés sont froids, et l’homme a besoin de charité, de miséricorde, de chaleur de la part de son père, et si son comportement envers son père est froid, alors celui-là n’a pas ce qu’un père a, il n’a pas de chaleur il n’a pas de charité. Dans la parabole mentionnée aujourd’hui on voit le manque d’amour et la froideur envers le père du fils aîné, qui se sentait serviteur sous ordre face à son père, et s’est montré cœur sans charité, sans douceur pour le père et pour le frère échoué.

Oh, les fils, se sentir serviteur et pas fils du Seigneur, cela se voit de la conduite de l’homme, de la manière qu’il reçoit la veille sur lui. Le fils désobéissant de l’exemple d’aujourd’hui se sentait fils, mais celui obéissant parlait comme un serviteur, pas comme un fils, pas comme un frère. L’aîné se conduit comme un serviteur, mais avec des mécontentements de fils, et le cadet et en faute, il est venu comme un fils fautif chez son père, mais content d’être mercenaire, à condition qu’il soit de nouveau auprès de son père, et voilà quel bon et grand enseignement garde Mon Evangile, citée aujourd’hui par l’ordre de l’église. Oh, si l’homme apprenait à reconnaître le Seigneur comme père pour lui, il serait enfant de Dieu, et les enfants sont veillés, et malheur à eux s’ils ne seraient pas surveillés et s’ils s’habitueraient ainsi ensuite! Et les grandes personnes sont ceux qui ne sont plus surveillés, et malheur à eux pour cela, car ils s’habituent comme ça ensuite, et ils ne sentent plus d’affection pour le Seigneur, pour le Père, et voilà, et tout homme doit se demander quelle est sa position face au mystère de fils de Dieu, et de toute cette œuvre et ce sentiment.


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Les fils, les fils, servez vous beaucoup, beaucoup de votre cœur et pensée, de votre bouche, pour Mon nom et pour l’esprit du témoignage, amenez-Moi entre les frères, pour qu’elles soient sanctifiées toutes ces choses-là à tout instant, car malheur à ceux qui font autre chose avec leurs pensées et avec leur cœur et avec leur bouche! Que sur vos lèvres soit toujours présent votre amour de Dieu, affirmé avec la parole, celle qui est de la nourriture pour le cœur, les fils, et sanctification sur la terre. Gardez-Moi dans votre pensée tout le temps, car Mon joug est léger, c’est ainsi que J’ai dit lorsque Je suis venu sur la terre aux hommes. Faites que J’aie de doux logis dans votre cœur, car J’ai dit à l’homme: «Fils, donne Moi ton cœur!»

Oh, les fils, les fils, sanctifiez la terre, sanctifiez les airs et toute parole pleine de Dieu entre vous, car c’est Dieu qui devrait être l’amour de l’âme de l’homme, de son esprit et de son cœur, et celui qui ne prouve pas de tel amour, celui-là n’aime pas le Seigneur, et il est écrit que: «Celui qui n’aime pas Dieu, qu’il soit anathème!». C’est ainsi qu’il a dit Mon grand apôtre il y a deux mille ans, oh, et qu’il est gros ce mot prononcé pour tout homme, car l’homme s’attire tout seul l’anathème, puisqu’il va avec le monde et son esprit, et il ne cherche pas d’être avec les fils de Dieu et avec Ses prophètes, et le diable ne fait que gagner à la suite de celui éloigné de Ma voie avec l’homme sur la terre.

Oh, les fils, soyez tout yeux, tout oreilles pour l’amour de Dieu en vous et entre vous. Parlez celles d’en haut, pas celles d’en bas, dans vos soucis, avec votre bouche. Oh, parlez pour le Seigneur avec les mots de votre bouche, car autrement votre bouche passe devant et vous parlez avec elle seulement des choses d’en bas, celles de tous les jours, celles travaillés avec la main et c’est tout, et que ce conseil comprend tous ceux qui se nourrissent avec cette parole divine, puisque Ma parole c’est l’enseignement de la vie éternelle, car J’aimerais, Je désire tant d’avoir sur la terre des saints et des prophètes, des apôtres et des disciples, pour que Je puisse travailler par endroits avec ceux du ciel sur la terre, et quiconque entend cet enseignement, Moi, le Seigneur, Je le prie d’entre les saints, Je le prie de l’accomplir. Amen.


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Les fils, les fils, encore et encore J’inscris en ce jour grande parole, qui doit être accomplie à grande obéissance par tous ceux qui sont Mon peuple de la proximité, et par tous les chrétiens qui viennent menés par le désir saint à la source dans les fêtes à Mon appel, s’ils veulent rester avec Moi sur cette voie jusqu’au bout. Oh, c’est le sujet des rencontres les uns avec les autres en Mon nom que Je veux leur parler, car cela c’est autre chose que ce que cherchent les chrétiens qui se rencontrent ici, et ensuite les uns avec les autre à leurs maisons pour eux-mêmes, pas pour Dieu. Oh, on n’organise pas de rencontres à la maison, mais on fait en esprit d’église leur rencontre en Mon nom, et si cette rencontre est autrement, elle n’est pas en Mon nom, mais c’est de la folâtrerie qui se transforme en péché plus grande qu’elle, car Moi, le Seigneur, Je regarde du ciel et Je vois, et c’est pour cela que Je descends Ma parole et J’enseigne par elle, parce qu’il ne sied pas que ceux qui veulent venir voir et suivre le Seigneur cherchent Le tromper, mais si cela arrive alors des douleurs viennent sur Moi, et elles viennent sur eux aussi. Quand tu trompes le Seigneur pendant ton temps, où d’un autre lieu, dans ton autre disposition de toute la journée, c’est une chose, mais quand tu Le trompes après avoir commencé d’aller avec cette parole et vers ce lieu, cela devient le plus grave péché qu’il pourrait commettre celui qui décide pour lui-même de marcher avec Moi, sur la voie de Ma parole d’aujourd’hui. Oh, qui pourrait encore croire en celui qui trompe le Seigneur et s’intéresse de lui-même ensuite? Comment pourrait-il avoir encore la pureté du cœur celui qui frappe le Seigneur, en le quittant après Sa venue pour être avec Lui?


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l’incrédulité de l’homme le sépare de Moi, et il prend sa vie dans ses propres mains, il s’éloigne de Moi avec elle, celui faible, si faible ensuite et toujours plus faible. Mais Moi, Je reste avec ceux qui restent près de Moi et Je prends soin d’eux, et quand ils dorment et se reposent Je Me porte parmi eux sans plus Me couvrir. Je passe par la bergerie, par toute la cité avec les armées célestes, Nous y allons découverts et Nous observons la cité dominée par Dieu, et Nous veillons beaucoup car le loup vient aux moutons quand elles se reposent, il vient pour attaquer, mais Mes anges veillent, et le loup ne peut agir sur ce qui est le Mien quand les moutons dorment, puisque J’ai enseigné aux Miens à se lever du lit et se tenir avec Moi à minuit et veiller avec Moi pour eux, et le loup voit cela et il arrache ses cheveux de désespoir, et heureux le serviteur qui veille pour lui et pour son Maitre, car le sommeil ne l’alourdit pas, mais il se lève le serviteur fidèle et il chante au milieu de la nuit: «Il est Saint le Seigneur», et le loup s’enfuit quand il entend cela, il s’enfuit de celui qui a du zèle pour son Seigneur. Oh, c’est ainsi qu’il a été Elie, et sa prière inclinait le ciel et Dieu au-dessus de la terre, car c’est du grand zèle qu’il mettait dans sa prière ce disciple, et il portait de grande douleur pour son Seigneur et pour l’éloignement de Dieu des hommes, et des chefs des hommes, qui érigeaient des idoles et engageaient leurs prêtres à des services idolâtres, c’est pourquoi une grande douleur envahissait Mon prophète ces jours-là, et aujourd’hui il fait de même entre Mes saints, car celui qui a souffert sur la terre pour Moi, il ne peut être autrement entre ceux du ciel, mais c’est toujours pour le Seigneur qu’il vit, lui et son éternité.


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C’est pourquoi Je t’exhorte peuple de Ma parole, et Je t’enseigne de ne pas te séparer de Mon Esprit, et de la prière devant Moi, de ne pas t’en séparer ni lorsque tu pries, ni au temps du travail de la peine pour Ma gloire avec toi, ni quand tu manges, ni quand tu marches, ni pendant ton repos, oh, que tu ne te sépare pas de la prière, et tu seras comme le feu, tu seras comme Elie, le fils du feu saint, lui qui se porte en char de feu entre le ciel et la terre, car c’est ainsi qu’il existe et qu’il ne meure pas, et qu’il brûle de son feu les infamies de la terre.


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Oh, les fils, les gens de la terre ont leurs joies. Ils ne peuvent vivre sans le péché, oh, ils ne peuvent sans cette menteuse consolation et sa joie, puisque l’enfer est sur la terre, les fils, il est là où on péché contre l’amour de Dieu dans les hommes, et il n’y pas d’autre enfer, mais ceux que les hommes disent être l’enfer, celui qui suit après la vie dans la chair, là-bas il n’y a que le payement pour les choses travaillées par l’homme de façon diabolique sur la terre. Mais vous, vous ne pouvez pas vivre sans le Seigneur, sans Moi, les fils, vous courrez après Moi, cherchant la joie avec Moi, chez Celui si endolori à cause de l’homme pécheur, et voilà, le paradis est sur la terre, là où il y a de l’amour et de la lutte contre l’amour du péché dans les hommes, et il n’y pas d’autre paradis, et ceux que les gens disent que c’est le paradis qui vient après la vie dans la chair, là bas il n’y a que le bonheur pour lequel luttent les fils de l’amour, le payement pour les choses travaillées par l’homme de façon céleste sur la terre.


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Je vous enseigne la voie de la croix. C’est la voie de l’obéissance cette voie, les fils, car c’est à Moi que vous devez obéir. Tous les hommes n’ont pas à qui obéir, et c’est pourquoi ils n’obéissent pas et ils n’ont pas le devoir de l’obéissance, et vous, si vous avez cette grâce, soyez tout yeux, tout oreilles de ne pas tomber d’elle, de ne pas vous séparer du travail de l’obéissance, mais d’obéir à l’esprit de la découverte qui travaille entre vous de Ma part, puisqu’un jour Je vais vous annoncer un ordre que vous devez accomplir avec obéissance rapide et fidèle, et si vous n’étiez pas habitués à obéir à Ma parole, vous seriez perdus en ce jour-là, Je resterais sans vous après tant d’attente pour Moi et pour vous. A cause de cela soyez obéissants, et pour l’obéissance on a besoin de foi et de soumission, les fils, on a besoin d’amour, car l’obéissance sans amour n’amène ni bénédiction, ni récompense pour l’obéissant, parce que Dieu est amour, et c’est seulement l’amour qui monte chez Lui et il y reste. Regardez Mon obéissance d’il y a deux mille ans, car J’ai obéi même pour la souffrance sur la croix, afin d’accomplir la volonté du Père, et racheter l’homme perdu par le péché. Je Me suis donc fait exemple vivant pour ceux qui M’obéissent avec amour, tout comme J’ai obéi, car J’ai obéi et J’ai accompli le devoir de l’obéissance, et quand Ma parole vient chez vous, après Mon regard entre vous et en vous et pour vous, oh, accomplissez précisément Ma parole sur vous, puisque l’homme, le pauvre, est habitué de ne pas obéir, et surtout de cacher des autres avec sa désobéissance, et il est difficile pour ceux qui n’obéissent pas, en se cachant pour la désobéissance, car ceux–ci n’ont plus ensuite la volonté et le pouvoir de confesser leur désobéissance et ils restent non purifiés, non guéris de la désobéissance et ils s’attirent de la souffrance, et leur esprit reçoit de l’inquiétude et de la pression ensuite, et le fruit de la désobéissance devient grande impuissance pour celui qui n’obéit pas, et ensuite il s’en va d’auprès de Moi le désobéissant, et il travaille les siennes, il ne porte plus de Dieu et pour Dieu, car le payement de la désobéissance c’est la séparation du désobéissant de Dieu.


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J’ai au ciel une nouvelle écrite, fraîchement venue de la terre, annonçant la mise à l’épreuve de la vérité de Ma parole d’aujourd’hui par un group de chrétiens, qui ont choisi pour eux d’être saints, mais s’ils se nourrissent toujours des faits de leur sainteté et les claironnent toujours entre eux et autour d’eux jusqu’au ciel pour être glorifiés, oh, que ferais-Moi de leur présomption ? Ils se croient des saints ayant le droit d’observer de près Ma descente, et Moi, le Seigneur, à leur demande envoyée vers le ciel par Mes portes d’ici, Je leur ai dit cela: Celui qui a des oreilles à entendre, qu’ils entendent Dieu lorsqu’Il vient et Il parle au-dessus de la terre. Mais si leurs oreilles saintes n’entendent pas, à qui serait la faute qu’ils n’entendent pas le Seigneur au temps de Son parler?

Elle M’a choqué cette nouvelle venue au ciel, et J’exhorte avec pitié paternelle tous ceux qui travaillent à leur sainteté, Je les exhorte d’être humbles de cœur et de ne pas tendre la main selon leur vouloir et savoir, puisqu’à celui qui s’incline, c’est Moi-Même Qui va à sa rencontre, Qui va au devant de lui pour lui en donner. C’est Moi Celui Qui voyage de Dieu à l’homme, et Je n’ai pas dit à l’homme qu’il monte lui au ciel, car c’est Moi Celui Qui vient, parce qu’il est écrit que Je vienne, et J’attends que l’homme viens vers la foi, et c’est ainsi qu’elle doit être sa venue vers Moi avec son désir, pour qu’il comprenne ensuite l’œuvre de Ma parole. Oh, qu’est- ce que Samuel avait de plus face au prêtre sous la main duquel il se tenait soumis avec l’obéissance? Mais il avait des oreilles à entendre, et le prêtre sanctifié avait la foi de recevoir du Seigneur par le petit Samuel, et d’accomplir justement la parole entendue.

Et maintenant voilà, J’explique la voie de Ma parole lorsqu’elle vient sur la terre, et Je dis: Le porte-parole n’est pas plus grand que celui qui reçoit la parole venue pour son savoir, et plus grand sur l’un et sur l’autre est Celui dont la bouche est la source de la parole du ciel, pour être partagée par le porte-parole, celui qui a des oreilles à entendre. Amen.


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Et vous, ceux qui M’avez trouvé ici avec Mon travail, oh, venez à la source, venez toutes les fois que Me laisse avec festin saint, en attendant avec du saint désir que Je Me mette à table avec vous, que Je M’y réjouisse, les fils, et que tout aussi vous, vous réjouissiez avec Moi. Oh, n’oubliez pas, oh, n’oubliez pas qu’aller sans guide sur la voie c’est du danger. Celui sans conseiller arrive surement à la chute, ou le pire peut arriver la perte de la raison, puisque le désespoir vient à celui qui voit ses pas enlisés parmi des épines de toute sorte. Je vous embrasse par la ronde des anges et Je vous serre à Mon sein. Oh, aimez la sainteté, les fils. Je vais vous enseigner plus clairement un jour, plus profondément ce mystère, car il y a peu de connaissance aux chrétiens sur cette œuvre sainte entre l’homme et Dieu.

Et vous disciples de la source, tenez-vous sous Ma parole qui travaille avec vous des mystères et des œuvres sur la terre. Vous, qui connaissez l’amour, soyez des étrangers les uns aux autres afin que Mon amour puisse agir entre vous. C’est ce mystère que Je veux apprendre à ceux qui viennent à Ma source de parole, pour qu’ils sachent comment l’homme doit-il aimer Dieu. Bientôt, très bientôt Je laisserai cette lettre sur votre table et J’expliquerai le mystère de ceux qui aiment le Seigneur, la vraie vie et le vrai visage des fils de Dieu. Amen.


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Apprenez la charité et gardez ensuite son œuvre, les fils. Elle est contente avec ce qu’elle a, et il a une grande richesse celui qui est content. Celui qui s’arroge le droit d’être mécontent, celui-là est le plus pauvre entre les hommes, et il est comblé du péché de la présomption et de ses petits, ceux qui travaillent dans sa raison et sa chair, et voilà, il est pauvre l’homme mécontent.

Oh, les fils, voilà ce que Je vous enseigne: Ne soyez jamais mécontents, les fils, car ceux qui deviennent mécontents perdent peu à peu l’amour et la fidélité de leur présence avec Moi, et ils cherchent Me culpabiliser. Mais vous, faites que vous soyez les uns pour les autres richesses et don venu de Dieu, et gardez ce que vous avez, afin que personne ne puisse vous arracher ce don. Oh, qu’est-ce qu’il lui reste à celui qui se perd de ses frères, des biens du Seigneur sur la terre? Un tel homme reste avec les fils des hommes, pour lesquels ils changent leurs frères et les fils des hommes se font les uns aux autres des désillusions seulement, des amours qui ne durent pas, mais ils périssent comme une vision.


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Oh, les fils, que le conseil paternel du prélat Spiridon reste avec vous et que vous le mettiez en œuvre, les fils, car voilà, Je lui donne la place pour parler maintenant pour Mon église de Nouvelle Jérusalem et la conseiller, et qu’elle soit mise dans Mon livre d’aujourd’hui sa parole.

Bénie soit ton entrée dans Mon livre, Mon serviteur fidèle! Moi, le Seigneur Jésus–Christ, Je te donne la place pour travailler. Amen.


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Je parle à Ton peuple et je l’instruis tout comme Toi, Seigneur, à aimer je l’enseigne et apprendre la charité je lui conseille, car la charité doit être apprise en travaillant pour elle et avec elle, et elle doit être prouvée entre les frères, et beaucoup conseillée, car il faut que l’homme soit semblable à Dieu lorsqu’il a la charité comme œuvre.

Oh, fils du Christ la Parole, apprenez à aimer. Ne vous trompez pas en pensant que vous avez la charité ou que vous savez aimer. Soyez humbles, soyez humbles, ayez beaucoup d’humilité. Soyez soumis, car l’amour s’incline, et donnez cette leçon d’aujourd’hui à tous les fidèles, pour qu’ils apprennent eux aussi que l’amour dans l’homme ne cherche pas, oh, il ne cherche d’incriminer personne et rien. Celui qui aime n’accuse pas, et celui qui n’aime pas accuse, et il tombe ensuite et il fait ainsi la preuve du manque d’amour envers les frères.


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Oh, les fils, apprenez la charité. On voit celui qui a de la charité par toute son œuvre pleine de soumission et de patience, de sacrifice et de vie de Dieu, allant des uns aux autres entre ceux qui aiment. Celui qui a de la charité est celui qui se rend compte de ses péchés, se considérant plus pécheur que les autres, qui se tient humble, jouissant de la bienveillance des autres, et celui qui n’a pas l’amour voit toujours le pou des autres, mais il ignore la tique gonflée, qui suce son sang, enfoncée dans sa chair, et tout cela à cause du mépris envers les frères et au manque de l’amour, par lequel il est puni, et qui le conduit à l’infidélité, à l’égarement de la raison ensuite.

Oh, habituez-vous d’être doux et aimants même avec les malfaisants, pour qu’ils voient le fait de l’amour et son œuvre et la joie venue de leur part, et qu’ils souhaitent recevoir eux aussi le bonheur ressenti par le cœur de celui qui travaille l’amour de tout son être.

Oh, ce n’est pas pour le péché, mais pour la foi qu’ils viennent et qu’ils restent ceux qui se tiennent auprès du Seigneur et ils demeurent avec Lui à jamais, et ce mystère appartient à ceux qui sont propres de cœur et de foi, et qui pensent aimablement de ceux qui font des fautes, en se disant que la faute de leurs frères se trouve en eux-mêmes, pas dans leurs frères, car c’est ainsi qu’il se présente le cœur de ceux qui aiment et ne cherchent pas de coupables.


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Oh, il y en a beaucoup de foi malade dans beaucoup d’hommes, et elle ne peut être n’importe comment rétablie. Toi, celui qui as, ou tu dis que tu as la foi, prends soin, oh, prends soin de remercier comme à un médecin envoyé vers toi par le Seigneur, de remercier à celui qui t’a traité injustement, puisque celui qui est humble et doux il va bien, n’importe comment et n’importe où, même s’il était dans l’enfer. Oh, si tu es diffamé et tu pries le Seigneur pour ceux qui te diffame, alors le Seigneur montre clairement la vérité à ceux qui s’égarent, car plus nous nous inclinons, plus nous nous voyons plus indignes, plus disposés à l’inclination, plus fidèles et plus aimants, plus prieurs et plus prêts de crier à l’aide le Seigneur. Oh, fils, priez et dites en toute humilité criant vers le Seigneur: «Incline, oh, Seigneur, les cieux, descends et viens nous sauver et viens!». Amen.


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Oh, qu’il est bon que l’homme soit soumis, les fils! Je vous apprends la soumission, Je vous l’apprends par Ma propre obéissance et soumission, oh, les fils, car Je suis venu petit Enfant né sur la terre, et Je Me suis soumis à la loi du peuple Israël, et J’ai été présenté pour la circoncision dans la chair, pour en prouver clairement que J’ai été aussi pleinement homme, si Je suis venu pour être Dieu et Homme sur la terre. L’enfant va à l’école pour apprendre, pour s’instruire, mais s’il n’utilise pas ses connaissances, il se révèle homme sans instruction. Celui qui apprend de Dieu est celui qui prouve ensuite par son œuvre sa ressemblance avec son Seigneur et Maître, dans lequel il s’est bâti celui qui a appris. Oh, c’est ainsi que l’homme s’édifie en Dieu, et c’est pour cela que Je suis venu en parole sur la terre maintenant, et Je montre la voie céleste, pour que l’homme la trouve.


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Oh, fils de Dieu, faites le signe de la croix sur vous, sur toutes vos choses, signez-vous toujours. Faites le signe de la croix sur le ciel et sur la terre et sur vous. Faites le signe de la croix sur les eaux et sur les arbres, sur la nuit et sur le jour, sur les airs. Oh, signez-vous toujours, fils fidèles. Faites le signe de la croix sur les hommes, sur les bons et sur les méchants. Signez les animaux afin qu’ils aient le signe de la croix sur eux. Faites le signe de la croix sur tout ce que vous travaillez, ou ce que vous touchez, sur tout ce que vous portez, sur tout ce que vous mettez à la bouche pour manger ou pour boire. Oh, signez vos pensées et sur celles qui vous viennent dans la mémoire, de peur qu’elles puissent être le diable, sans que vous le sachiez, puisque moi, j’ai beaucoup chassé le diable et je l’ai menacé avec cette arme laissée à nous, les chrétiens, par le Seigneur, pour qu’elle nous défende, car devant la croix le diable fond comme la cire, face au feu. Oh, faites le signe de la croix sur les tentations et sur les mauvais désirs. Ne laissez pas votre main droite sans travail pour le signe de la croix, car le vrai soldat pendant la lutte est celui qui ne laisse pas de la main son arme, pas même un instant, et les chrétiens sont toujours en lutte, parce que le diable guette chaque pas des fils de Dieu, pour les surprendre en faute et leur enlever le pouvoir venu de Dieu, pouvoir que l’homme laisse beaucoup s’affaiblir par ses fautes.

Que tous les fils des hommes prennent de ce conseil, et qu’ils luttent eux aussi pour devenir fils de Dieu, qui ont la croix sur leur front, le sceau du Dieu Vivant, pour laquelle les diables sont en pleurs et s’efforcent de l’effacer.


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Oh, les fils, il faut que vous ayez de l’habit saint, et celui-ci va se sanctifier par la vie sainte, par un grand amour envers le Seigneur, car c’est le Seigneur Qui est votre vie, c’est Lui la vie des hommes, sur la terre et dans les cieux.


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Et vous, fils qui Me partagez, donnez-Moi aux hommes, soyez Mes parrains pour ceux qui prennent de vous Dieu la Parole, pour que les hommes soient nés de la parole de Dieu, et qu’ils revêtent la chemise du baptême et en prendre soin jusqu’au jour de la gloire, car Ma gloire viendra sans faute sur la terre, la gloire du Seigneur, et tout homme va se taire, va s’incliner et demander de la miséricorde, les fils. Oh, prononcez des paroles saintes sur tout, sur toutes les choses. De la terre jusqu’aux cieux, qu’elle travaille Ma parole, et votre parole sainte, pour la naissance de nouveau du monde, et tous les airs se réjouiront, et toutes leurs lois, mais il faut que vous aidiez à Ma victoire, les fils.


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Oh, les fils, en ce jour de fête Je vous rappelle de l’habit de la naissance d’en haut, dont vous devez tenir compte, puisqu’il faut que vous ressembliez à ceux du ciel, car tous ceux-là ont des chemises, les fils, et comment pourrait-il être autrement dans les cieux, car voilà qu’il est laid l’homme sur la terre! L’homme se porte déshabillé sur la terre. Oh, c’est seulement le diable qui fait cela. Il ne faut pas que les hommes ressemblent aux diables, mais il n’y a pas qui leur dire que Moi, le Seigneur, Moi et Mes saints, Nous avons des chemises de lin, et c’est ainsi que Nous Nous portons entre le ciel et la terre, et Moi, Je Me suis montré à vous en chemise toute plis, toute gloire, toute une gloire, et vous, prenez-Moi et montrez aux hommes Ma chemise, les fils, pour qu’ils aient honte de leur nudité.

Les fils, les fils, J’ai promis de vous raconter une belle histoire pour savoir aimer les parures du Seigneur et comprendre ce qui est beau et ce qui n’est pas beau entre la terre et les cieux. J’avais Ma chemise comme parure pour Mon corps sur la terre, et Je ne l’ai jamais laissée défaite, sauf au moment où l’homme, aveuglé d’orgueil M’a voulu crucifié et outragé, Me déshabillant de Ma chemise, et il n’a pas eu d’autre occasion de Me voir sans Ma chemise.

Oh, il y a sur la terre des hommes qui se nomment et sont nommés grands, et ils exposent devant les hommes des modèles de corps découverts et ils sont fiers du travail de leurs mains et de leur raison.

Oh, voilà ce que la raison de ces hommes leur apprend et comment tourmentent-ils à d’autres aussi leurs idées? Oh, non, les fils, c’est du vilain cette œuvre-là. Elle n’est pas agréable à Dieu la raison d’un tel homme, et le travail de ses mains non plus.

Voilà ce que Je vous dis: Prenez une fleur à la main, une fleur fort belle par son aspect, et enlevez lui la parure qui montre sa qualité de fleur, c`est-à-dire enlevez-lui sa chemisette, sa petite robe, ses petites pétales. Quelle fleur peut-on encore nommer fleur, après l’avoir dévêtue de sa parure, et son corps est resté sans gloire, sans beauté? Peut-on encore la nommer fleur?

Oh, c’est la même chose avec l’homme qui ne porte pas sa chemise, la parure qui le rend beau. A-t-il encore l’aspect d’un homme, où c’est autre chose que l’on voit? Oh, Moi, Je ne Me suis jamais tenue sans chemise, mais toujours habillé, bien plus, Je portais ceinture, si c’était le cas.

Voilà donc, l’homme sans chemise est sans parure, il ressemble au diable, car le diable n’a pas de chemise, mais seulement sa peau, lorsque l’homme le découvre et l’appelle diable. Voilà, le corps de l’homme a toujours besoin de chemise devant le Seigneur et devant les hommes, mais l’âme, elle aussi en a besoin, car les saints et les anges ont tous des chemises de lin, tous, tel qu’ils sont dans Ma venue avec eux, tous comme Moi. La terre, les fils, porte elle aussi de robe, le ciel de même, car autrement on verrait tout, par manque de chemise.


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Oh, qu’elle est belle la souffrance sainte! Mais toute souffrance sur la terre n’est pas sainte. La souffrance sainte et celle pour le Seigneur, toute comme celle qui naît au temps du jeûne d’aliments, lorsque le fils qui jeûne ne peut le faire avec de la joie dans l’âme, mais parce qu’il est écrit le temps du jeûne. Oh, la joie réduit de moitié la charge que l’homme porte avec joie, en pensant à la victoire, pour laquelle il peine. Comment cela est-il possible? Oh, tant que l’homme aime sa vie sur la terre et la nourrit de choses agréables à la chair et à l’âme, la joie sainte n’est pas possible, cette joie qui puisse suivre le besogneux pour le Seigneur.

Tous les hommes sont malades à cause de la nourriture utilisée contre l’obéissance à Dieu en ce qui concerne la façon de se nourrir. Si sur la terre les lois établies pour les hommes punissent par leur pouvoir ceux qui les transgressent, oh, comment serait-il possible de ne pas tomber sous la punition ceux qui foulent aux pieds les lois de Dieu, ordonnées aux hommes pour les respecter, en vue de leur bien, pas de leur mal? Voilà pourquoi il y a tant de malades sur la terre!

Oh, qu’elle est grande la joie de l’homme quand il mange et quand il boit! Sans cela il n’a pas de joie, quand il se réjouit. Est-il juste d’être ainsi entre l’homme et Moi? Je souffre comme un Dieu à cause de la désobéissance de l’homme. Est-ce juste cela? Il serait de justice que l’homme Me donne à Moi aussi des joies, pas seulement à lui-même. J’aimerais voir qu’il jeûne au temps du jeûne, voir qu’il se réjouit pour cela aussi, qu’il fait pour Moi aussi de la joie, puisque J’ai beaucoup souffert et Je souffre beaucoup pour les joies de l’homme.


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Sur la terre le temps est toujours, toujours difficile et dangereux. Alors quand devrait-il jeûner et crier vers Dieu, si non au temps de danger et de grande tristesse et de difficultés de toute sorte? Les douleurs viennent sur la terre à cause de la désobéissance envers Dieu, et il y a beaucoup de gens pleins de douleurs, qui viennent sans cesse, puisque les hommes-mêmes les provoquent. Les hommes crient vers Moi au temps des douleurs, ils crient pour que Je les entende, mais Je crie Moi aussi vers eux, et Je leur dis de ne plus travailler pour leur mal, car ce n’est pas Moi Qui leur donne des douleurs, pour que Je les enlève ensuite. Ce sont eux-mêmes qui les travaillent, alors qu’ils soient toujours eux à les arrêter, qu’ils arrêtent leur travail et qu’ils se tiennent devant Moi en jeûnant et en priant pour que Je leur écrive du pardon ensuite, pour les choses de Dieu qu’ils ont foulées aux pieds.

Je crie Moi aussi aux hommes, Je les appelle et Je leur dis: Oh, si vous aimez vos enfants et si vous voulez qu’ils soient en bonne santé et sages, ne leur donnez plus à manger d’aliments qui ne sont pas permis pour le temps de jeûne, quand on ne mange que des plats maigres. Ce n‘est pas la faute des plats mangés pendant le temps de jeûne, mais la faute vient de la désobéissance au temps du jeûne. Ce n’est pas l’alimentation tolérante qui rend la bonne santé de l’homme, mais l’obéissance celle pour la santé, voilà la guérison pour les impuissants et les malades, et maintenant Je vous dis que l’homme doit manger comme en Eden, s’il veut être en bonne santé et qu’il soit vigoureux?

Tous les gens qui mangent meurent, ils meurent tous, mais ils ne meurent pas tous ceux qui ne mangent pas pareillement à tous ceux qui mangent du tout, comme ceux désobéissants en ce qui concerne les choses qu’on doit manger. Oh, il y en a beaucoup qui ne meurent plus, et ils passent à pied des choses visibles à celles que l’on ne voit pas, et ils sont avec Dieu à table ensuite, mais ce mystère c’est pour les saints et très aimants de Dieu, avec leur désir saint et avec leur obéissance, et c’est ainsi que Moi, le Seigneur, J’arrive à avoir un peuple fort, avec lequel J’aide du ciel ceux qui peinent sur leur voie avec Moi, et ils sont les fils de la juste foi, qui ne se réjouissent pas de manger, mais c’est dans le Seigneur qu’ils trouvent leur joie.

Moi, le Seigneur, Je bénis ceux qui ont obéi et qui obéissent au temps de jeûne et Je leur donne Mon amour. La souffrance sainte est celle pour le Seigneur, toute comme celle du temps de jeûne. Oh, nourrissez-vous de joies saintes, vous, ceux qui respectez l’obéissance envers le temps de jeûne. Nourrissez-vous de Dieu et de la bonne humeur entre vous, pour que J’en puisse prendre pleinement et être avec vous et souffler sur vous de la vigueur, les fils.


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Demandez au Seigneur de la foi et de la charité dans les cœurs des hommes de la terre, et surtout dans ceux baptisés, car ils n’ont pas de conseillers eux non plus. Que les hommes Me trouvent, Moi, en parlant pour eux et qu’ils Me reçoivent dans leurs cœurs et qu’ils Me croient. C’est dans cette œuvre que Je veux M’aider avec vous, vous qui Me partagez sur la terre.

Que le dimanche de l’orthodoxie aie beaucoup de vrais fils dans les églises, et qu’ils donnent au Seigneur leurs cœurs. Priez devant cette créature céleste, qui est le dimanche, priez que vous arriviez d’être ses vrais fruits, des fruits agréables à Dieu.


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Vous fils et filles du peuple de la parole de Dieu, malheur à vous si vous n’obéissez pas entièrement à la parole du Seigneur, pour la sainteté et pour la fidélité avec de la patience jusqu’à la fin! Ouvrez vos yeux et vos oreilles pour accomplir tout l’enseignement du Seigneur pour vous, car il vient du ciel beaucoup de conseil pour vous, obéissez jour et nuit au Seigneur, puisqu’Il n’a plus d’espoir dans la foi des hommes. Travaillez tout par obéissance complète, car le diable poursuit ceux qui aiment le Seigneur pour les pousser vers la désobéissance, vers l’impatience et vers la dissimulation ensuite, et vers l’esprit du jugement, et voilà, ceux qui jugent sont ceux jugés, et on voit qu’ils sont ainsi. Oh, soyez pleins de veille, vous, fils et filles de la parole sainte! Pas de moment sans veille pour l’esprit de la vie en vous. Aimez la peine sainte, aimez l’humilité et la dévotion entière, tenez-vous près du conseil et n’osez pas de vous tenir ou de travailler sans conseil. Oh, il n’y a que la mort sur toute la terre. Donnez au Seigneur de la puissance sur vous et pour vous. C’est ainsi que je vous conseille par l’esprit de témoignage.


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Oh, soyez les biens venus à la fête, fils voyageurs vers le Seigneur! Prenez de la direction, les fils, prenez-en des uns aux autres comme de Dieu, pour avoir la vie avec de la veille et de l’obéissance, et voilà ce que Je vous dis: Il n’est pas chrétien selon la vérité, que celui qui se tient sous la direction avec tout son amour, animé de doux plaisir pour elle, et ceux qui n’ont pas de direction sur eux, ne peuvent pas être comptés parmi ceux qui font parti de Mon armée sur la terre. Appréciez donc les moments où vous êtes auprès des fils de Ma parole, auprès de ceux qui vivent sous Ma direction comme à l’armée, ne désertant pas au temps de la marche avec le Seigneur, car beaucoup de ceux qui ont trahi et sont partis vers les plaisirs du monde, ils voudront venir et dire: «Oh, Père, j’ai terriblement péché contre moi-même puisque j’ai pris ma vie et mes pas de Tes mains pour me conduire moi-même sur la voie, et je regrette maintenant d’être sans maître sur la terre, sans parents, ni frères des tiens, et toujours avec le monde du dehors, oh, Seigneur».

Oh, ils n’aiment pas le service militaire pas même entre les gens du monde, les soldats appelés au service militaire pour leur pays, la plus grande œuvre des fils d’une cité, mais ils aiment vivre en paix dans le pays, et voilà, ils veulent être libres, que le temps du service passe et que la liberté vienne, pour agir selon leurs vœux, mais il y en a d’autres qui restent enrôlés pour toute la vie et ils aiment la vie sous la direction et sous l’obéissance, car ceux qui donnent la direction sont ceux qui veillent la bonne marche de la cité, et au temps de guerre, ils ont devant eux celui qui est instruit, et ils vainquent, en obéissant à la parole de leurs chefs, mais de celui qui n’a pas de conseil pour les jours de sa vie, oh, que puisse sortir d’un tel homme libre, que seulement la même chose qui est sortie des fils errant, qui a voulu vivre en liberté sa vie, jusqu’à ce qu’il l’a dissipée totalement, et parmi les étrangers du Seigneur, et voilà, malheur à ceux sans guide du ciel sur les pas de leur vie, car ils tombent toujours à la main de satan, celui qui hait les hommes.

Oh, on a toujours besoin de grande veille car une chute peut arriver à tout instant, et cela parce que le péché se faufile sous l’esprit de l’innocence et sous le plaisir, auquel l’homme ne peut s’opposer, à cause de sa chute de Dieu, car le péché se découvre devant l’homme, pour qu’il le commette, et il est puissant, il a la force de l’abattre, c’est pourquoi habillez-vous, les fils, avec la puissance contre le péché, et veillez tout le temps pour ne pas tomber dans le péché, ou pour ne pas être occasion de péché à ceux de votre entourage, et tenez-vous contre le plaisir du péché, et pour cela, vous avez besoin d’une raison travailleuse, sereine, sans nuages, comme le bleu du ciel sans nuages, les fils.

Oh, Je Me tiens sur la voie avec vous et Je vous exhorte et Je vous enseigne sur le bien et sur le mal, tout comme Je le faisais avec Mes disciples, car c’est à grande peine que Je trouve des fils pour Moi, des fils habiles, et J’essaie toujours à apprendre l’homme comment mettre le pas sur Ma voie et le rendre utile. Au moment où quelqu’un veut former une troupe de danseurs, celui-là cherche beaucoup pour trouver ceux qui doivent pouvoir mettre tous à la fois le pas, ou changer les pas, ou le saut, ou la pirouette, et, il leur confectionne des vêtements pareils à tous, il cherche qu’ils se ressemblent tous entre eux, et ensuite il commence le travail, après quoi il se présente avec eux devant les hommes.

Lorsque quelqu’un veut représenter l’exemple de la vie d’un personnage qui a vécu il y a longtemps, il cherche un homme qui rappelle par son visage la figure de celui duquel on veut faire souvenir. Oh, c’est la même chose avec le peuple chrétien, il doit ressembler à Celui dont le nom il porte, et il y a là à travailler à la vie de l’homme, montrer comment on peut être chrétien selon la vérité.

Oh, qu’elle est grande ta joie, Ma mère, quand tu Me vois au jour de ta fête en enseignant celui qui cherche Dieu avec son amour, et la raison doit être assagie, Ma mère. Ils se réjouissent Mes disciples aussi, ils se réjouissent d’auprès de toi lorsqu’ils voient qu’elle est la vie de Mon église de ce temps et combien on a travaillé à la stature de ses fils, toujours, toujours, Ma mère, car de leur époque cela n’était pas possible, oh, Ma mère. Oh, quelle fête puisse être plus grande dans les cieux et sur la terre que la leçon de saint conseil pour Mon église, Ma mère?

Oh, venez, venez à Mon appel, venez quand Je vous appelle, venez et prenez de l’enseignement, oh, les fils! Dans le livre de Ma parole de ces jours on trouve tout le conseil pour la vie de chrétien agréable à Moi, et pas n’importe comment chrétien. C’est avec douceur que Je vous parle, c’est avec douceur que Je vous regarde, et J’aimerais que vous soyez doux pour Moi et pour les saints, et c’est pourquoi Je vous donne toujours du conseil et de la stimulation. Mon pays roumain est dépourvu de beau peuple avec sa vie pour Moi, et le père connaît Ma grande tristesse pour Mon pays d’aujourd’hui, puisque sans la foi et ses faits, sans le jeûne et la prière, elle ne dure pas une cité selon Ma volonté, mais, il s’affaiblit le soin pour elle, car la garde d’une cité est formée des saints qui s’y trouvent, ceux du ciel et ceux de la terre d’entre ses fils.

Oh, fils voyageurs vers la source de parole avec le pas et avec votre saint désir, oh, il est doux ici pendant les fêtes. C’est avec peine qu’on prépare l’accueil à la fête et on partage de la consolation ensuite. Oh, si Je ne vous enseignais pas tant, avec tant de beauté et consolation, il ne vous serait pas utile le pas jusqu’ici, et Moi, Je serais endolori pour le péché qui se trouve dans l’homme, et que Je frappe souvent dans son hardiesse sur l’homme, lorsque Ma voix se fait entendue d’ici, voix qui exhorte l’homme à la sainteté.

Il est tout blessé Mon Esprit à cause de l’homme qui ne veut pas avec Dieu, mais Je suis tout une joie puisque Je fais Ma venue et Je Me partage avec elle au-dessus de la terre. Oh, annoncez-Moi, fils annonceurs de Ma venue, et dites à ceux à qui vous pouvez le dire, dites-leur que Je suis venu pour guérir d’incrédulité et le manque de reconnaissance de celui qui dit qu’il est chrétien. Allumez-vous feu du feu et partagez le feu de l’amour des uns aux autres, et Moi, le Seigneur, Je vais vous remercier, les fils. Regardez comme Je travaille Moi, et prenez de Moi et annoncez le Seigneur et soyez le miroir où on voit Ma belle image, avec esprit de Pasteur, quand Je souffle et Je partage.


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J’inscris parole sainte dans Mon livre pour ceux qui viennent vers la cité de parole dans les fêtes, et Je dois absolument laisser de l’enseignement fort, puisque pas tous ceux qui viennent, ou vont venir dorénavant, oh, pas tous sont sages envers Moi et envers vous et la place de Ma gloire ici, et Je dois leur apprendre de ne pas venir n’importe comment alors que Moi, le Seigneur, Je sonne et Je les rassemble à la table, pour leur donner de Moi, car voilà elles viennent souvent des rencontres à la source, les fils, et vous peinez et préparez et servez ceux qui viennent et Je leur apprends maintenant comment remercier Dieu chaque fois et avec combien de piété ils doivent regarder vers ce lieu et vers vous, ceux établis par Moi pour veiller ici.

Vous, ceux que le désir saint porte et vous vous rassemblez auprès de Moi ici à la source, dans Mes jours de fête et ceux de Mes saints, oh, vous devez croître votre amour, mais ne le faites pas seuls, car vous avez besoin de Mon enseignement sur vous pour savoir ensuite qu’en ce lieu on vient avec de la timidité sainte, et à la fin des rencontres on part avec l’esprit plein de contentement, d’amour saint et avec beaucoup de vie en vous. Il y a parmi ceux qui s’approchent et viennent, il y en a entre eux des gens qui n’ont pas de bons regards, de bonne lecture, de l’amour et des parlers comme il sied, et Moi, le Seigneur, c’est pour cela que Je sonne et Je les rassemble et Je les enseigne, pour que Mon conseil s’attache à eux.

Oh, tout est pur pour ceux qui sont purs, c’est cela que vous devez apprendre, et tout va se purifier : le regard, la lecture, l’amour, la parole, et tout. J’ai dit qu’ici on vient comme à Dieu, et celui qui va retenir ce que J’ai dit, celui-là va accomplir ainsi, mais ceux qui viennent doivent savoir comment Dieu est-Il, et comment l’homme est-il.

Oh, ce n’est pas comme dans n’importe quel lieu de la terre qu’ils doivent être et venir ici ceux qui viennent et se présentent au Seigneur, oh, non, voilà, pas tous de ceux qui viennent, pas tous savent, surtout ceux qui viennent pour la première fois, et ils ne savent pas qu’on ne vient pas ici avec des cadeaux, puisqu’ici il existe un ordre fixé par Moi et on doit préserver cet ordre. C’est Moi Celui Qui Me donne un cadeau, et il ne faut pas qu’il M’offre des cadeaux celui auquel Je Me donne en cadeau, avec toute Ma parole, pleine d’enseignement et de salut. L’homme qui cherche le Seigneur est habitué à porter des dons aux églises, aux monastères, mais ici cela n’est pas possible, car on travaille du dedans seulement, et pas du dehors pour l’ordre qui règne sur toutes les choses ici. Moi, le Seigneur, J’ai conseillé à ceux qui veillent ici et Je leur ai toujours dit de garder leurs mains propres de tout, de tout ce qui n’est pas avec Mon savoir pour les choses d’ici.

Vous qui venez, oh, apprenez comment venir! N’apportez pas de dons! Ceux qui travaillent ici doivent rester les mains propres, et c’est Moi, le Seigneur, Qui a tout établi de ce qui se trouve ici. Oh, on ne peut avoir ici de ramassis de partout. C’est seulement sur ceux qui se sont purifiés complètement que Moi, le Seigneur, Je M’appuie pour tout ce que J’ai ici.

C’est avec grande veille que Je garde cet établissement et tout ce qu’on travaille ici, et J’ai pris comme appui ceux que Je connais bien et de près et Je les enseigne come au temps des premiers chrétiens, même plus encore, et l’esprit du monde doit être loin de tout ce qui se trouve et se travaille ici.

Ceux qui viennent à la table d’ici doivent quitter leur habitudes et façon de parler, car Moi, Je prends soin de l’esprit et des oreilles de ceux d’ici, qui se tiennent attentives à Moi, et à celles d’en haut, et le langage personnel, oh, il n’est pas bon qu’il cherche de place ici dans les fêtes avec réunion à la source, mais c’est seulement avec de la joie pleine de modestie sainte qu’il faut passer le temps ici.

J’ai regardé et J’ai vu le comportement de quelques uns, qui parlaient beaucoup et à haute voix, de toute sorte de sujets en deux, J’ai vu du va-et-vient sans raison et manque de gêne sainte. J’ai vu de l’inattention et de l’agitation. Tous ceux qui viennent doivent apprendre que ce lieu est le mystère de Dieu, sur la terre et Sa lumière sur les hommes et Son Esprit connaisseur de l’homme, même si ceux qui vivent ici ont une conduite si chaleureuse, si naturelle, face à ceux qui viennent à la source. Ceux qui se mettent en route pour venir ici dans les fêtes doivent porter des vêtements chrétiens, décents, pour ne pas provoquer de trouble entre ceux qui s’assemblent à la table de parole.

La table de la parole de Dieu est comme un pain, que Moi, le Seigneur, Je romps et Je partage, et ceux qui viennent à Ma table n’ont rien à partager, puisque c’est Moi Celui Qui a, Celui Qui partage, et c’est ainsi en ce lieu, on prend de la table, on n’apporte pas pour mettre sur la table, et c’est ainsi qu’il faut se conduire ceux qui viennent ici, à Ma table de parole.

Oh, il ne faut pas envoyer des lettres vers Mon lieu d’ici, car ce qui est écrit reste écrit, et ceux qui vivent ici doivent prendre seulement du ciel, et seulement ce que Moi, Je leur donne à prendre de la terre. Celui qui veut envoyer quelques chose vers ce lieu, parlé ou écrit, oh, il ne sait pas si c’est bon ou avec faute envers Moi ce qu’il écrit ou il parle, et c’est pourquoi Moi, le Seigneur, Je le conseille d’avoir de la gêne sainte envers Ma cité d’ici. Ceux qui n’apprennent pas d’ici à connaître Dieu venu en parole pour conseiller l’homme, un tel homme peut apporter des médisances, du mépris, l’esprit de jugement, et même des douleurs sur ceux qui veillent ici. Et que peut-on faire avec ceux-ci qui n’apprennent pas ce que c’est ce lieu et Mon mystère qui s’y trouve?

Et, en fin, J’apprendrais à tous qui viennent à la source de parole, et Je voudrais qu’ils puissent apprendre à manger de la nourriture préparée, telle que J’ai donnée à l’homme à manger dans l’Eden. C’est le jeûne de la venue du Seigneur le nom de cette sorte de nourriture, et cela signifie de la pureté d’esprit et de la chair cette occupation, et J’ai toujours conseillé ceux qui aiment et qui croient à Ma venue, Je leur ai dit de se tenir en sainteté auprès de Moi, et pour cela qu’ils embrassent Ma volonté sur eux et devenir des moines avec leur vie entière : nourriture propre, corps propre, vêtements décents, esprit doux et humble, patience, foi et beaucoup d’amour en même temps que tout cela, puisque Dieu c’est l’amour, et même si Je suis venu pour les pécheurs, pour les aider en vue de leur salut, Moi, Je ne suis pas le Dieu des pécheurs, mais Celui de ceux qui M’aiment.


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Oh, il Me fait mal celui qui ne se soucie pas de Dieu, ni de lui-même et il marche de côté, il n’avance pas vers la table de noces, et le monde rend coupable et retient celui qui se montre faible. Oh, c’est un jour d’examen des pas de la vie, et Je parle à ceux de Ma table secrète, et surtout à ceux qui marchent de côté et Je leur dis que le temps du jeûne exige beaucoup de choses pour qu’il apporte de la puissance et de l’aide sainte dans la vie de ceux qui jeûnent, en cherchant vers le Seigneur par leur abstinence et leur foi pour elle. Au temps du jeûne l’abstinence doit être complète, les fils, car l’homme doit plus jeûner des attaques de sa nature et de ses mauvaises habitudes, et sa raison doit jeûner des choses étrangères à Dieu, et aussi son cœur doit jeûner tout comme ses yeux, qui mènent vers le cœur toutes les choses qui le séparent du Seigneur. Oh, et il faut aussi que le chrétien jeûne de méchanceté, d’impatience, de désespoir, d’insouciance envers l’âme, de désobéissance, les fils, de dissipation, de colère, de mensonge, de dissimulations, d’orgueil et de beaucoup d’autres actions diaboliques, envie, diffamation, parole vaines, manque de charité, et les fils de Dieu doivent jeûner du monde, du monde, oh, les fils.


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Oh, les fils, les fils, vous qui êtes les Miens, mais aussi vous qui voulez être dans la voie avec Dieu, voilà Mes conseils saints, des conseils pour les saints, les fils! Tout d’abord Je vous conseille et Je vous exhorte de ne pas prendre conseil du diable, lorsque vous avez quelque chose à faire, quand vous voulez résoudre un problème qui se présente à vous; Oh, et comment pourrait-on savoir, ou accomplir cela? Ceux qui sont faibles par rapport à l’obéissance et à la veille ne peuvent pas facilement vaincre leur volonté et ils n’échappent pas au piège du diable, s’ils ne sont pas habitués à l’enseignement chrétien et à son obéissance, celle qui veille sur le chrétien tout le temps. Mais ceux qui sont aimants et obéissants sont familiarisés avec l’obéissance, avec la vie à bénédiction en tout et pour tout, et avec la veille pour l’obéissance, et ils savent ceux-ci accomplir cette veille, puisqu’ils ne prennent pas conseil d’eux-mêmes, s’ils sont fils de Dieu. Oh, il arrive souvent de pouvoir apprendre par le travail-même que tu fais, c’est lui qui t’apprend comment t’y prendre, mais si à ce moment un conseil qui vient pour toi, celui-ci est spécialement envoyé, il vient vers toi pour te conseiller de ne pas prendre une décision de toi-même, si éventuellement tu en es habitué, c`est-à-dire de prendre de toi-même. Mais si tu as près de toi, ou dans la proximité quelqu’un de Ma part, et tu essais le convaincre de faire lui aussi comme toi, lui qui est formé par Ma grâce tout le temps pour ceux qui se tiennent sous Ma direction, oh, qu’est-ce que tu peux encore choisir et comprendre pour ta stature, celle de chaque instant devant Moi? Oh, prends de Dieu si tu ne veux prendre conseil du diable ou de toi-même, si tu veux, le fils, et tout ce que vient vers toi, c’est de Dieu que vient, sache-le, puisque c’est ainsi que le Seigneur travaille lorsque tu veux être guidé par Lui, et c’est Lui Qui t’envoie le guide, si seulement tu le veux. Celui qui se reconnaît chrétien, mais il protège de toutes ses forces et de tout part sa propre volonté face à ceux dont il fait partie, oh, quelle sorte de croix peut-on voir qu’il porte celui-ci, du moment que la croix que J’ai donnée à l’homme qui Me suit c’est le renoncement à soi, le sacrifice de la volonté propre au bénéfice de la volonté de Dieu sur lui?

Le dévouement et le sacrifice pour le dévouement, oh, cela signifie obéissance, cela signifie vaincre sa volonté, cela signifie l’œuvre, le travail, la loi que J’ai donné à l’homme dans l’Eden, comme son travail, et ne pas rester les bras croisés. Oh, il n’y a pas d’instant à perdre pour le chrétien, car il y a beaucoup, beaucoup à travailler, pour chaque instant il y a du travail et la veille pour lui, mais si l’homme prend conseil du diable, oh, peut-il encore se situer sous le nom de chrétien, sous le nom du Christ? Le nom de chrétien vient de Mon nom: le Christ, et ceux qui appartiennent au Christ sont ceux qui Lui obéissent, puisqu’à la Création de toutes les choses, viables et invisibles, toute chose a reçu le loi du travail, que tout travaille, et voilà, l’herbe pousse, les ruisseaux coulent, le soleil réchauffe, les arbres verdissent, fleurissent et donnent des fruits, le vent souffle légèrement et fait du bien, ou il souffle fort et il bouleverse tout, quand il faut, et ainsi de suite, les fleurs fleurissent et couvrent les montagnes, les collines, les champs, la terre travaille et donne aux hommes et aux animaux de la nourriture en abondance, résultat de son travail, et la pluie vient du ciel et abreuve la terre et ses vivants, oh, et tout , tout travaille et rien et personne ne reste sans travail, car mêmes les pierres travaillent et prennent de Dieu de différentes couleurs, et le bois s’offre comme abri et nourriture pour tous les êtres qui l’habitent et voilà, le travail est la loi sainte pour toutes les choses de Dieu, et toutes ces choses, Dieu les a soumisses à l’homme, dans lequel devrait habiter l’amour céleste, celui qui est la nourriture pour l’âme et le jeûne en ce qui concerne le diable, puisque l’homme est le lieu de repos du Seigneur, et c’est dans l’amour de l’homme que Je trouve Mon repos, mais si lui, il n’a pas dans son cœur Mon repos, c’est parce qu’il n’a pas l’amour dedans.

Oh, fils obéissants, ne cherchez pas de repos dans vos activités liées à votre formation de Dieu, car la formation de l’homme est continue jusqu’à la fin, pour la beauté de l’âme dans le corps, puisque vous êtes chrétiens. Oh, ayez soin surtout des armes avec lesquelles vous luttez comme les anges: l’humilité toujours et en tout, la prière sainte, les lectures saintes en commun, les actions saintes pour l’âme et pour les frères, et l’action sainte est celle qui se présente à toi, par celle que tu cherches et tu te choisis à ton plaisir, et si tu le fais, tu es coupable et tu n’arrives pas qu’avec cette faute devant le Seigneur par ton action et, en plus, tu tombes aussi dans l’égarement qui vient pour n’avoir pas vaincu ta volonté, c`est-à-dire que tu tombes sous le conseil du diable.

Et voilà, les fils, Je présente une question ici, aux portes et Je dis: Qu’est-ce que les femmes peuvent faire quand elles veulent se rencontrer et se rassembler, oh, qu’est-ce qu’elles peuvent faire que de médire, diffamer, se lamenter, se justifier, chercher des consolations et de la justice, parles de leurs préconceptions, de leurs souhaits, de leurs volontés, en détournant ainsi la volonté qui se présente à elles pour la travailler en vue de leur salut? Et J’ai fait savoir tout cela pour celles qui se croient des chrétiennes de l’œuvre de Ma parole.

Oh, ce n’est pas bien, pas bien, les fils et les filles, ce n’est pas bien d’aller de maison en maison. C’est ainsi que J’ai dit à Mes disciples il y a deux mille ans, de ne jamais chercher de faire la volonté des hommes avides de bien et non pas de Christ, pour ne pas tomber au gré de ceux qui suivent leurs volontés et peuvent les y attirer eux aussi.

Oh, pendant le jeûne ne pars pas, chrétien, ne vas pas dans d’autres maisons pour y rester. Garde ta maison et donne-toi la peine de travailler le repentir et arrête ta bouche de pécher et ton cœur de l’esprit de jugement, de l’esprit de femme, et maîtrise le souhait de la justice pour ta part, car toutes ces choses-là sont des péchés, et cela en temps que tu déclares que tu t’abstiens de manger gras pendant le jeûne. Oh, voilà, Je regarde ceux qui viennent et suivent l’œuvre de Ma parole au temps des fêtes, et J’observe qu’ils ne savent pas ce que c’est le temps du jeûne, où on ne mange pas beaucoup ou n’importe quoi, et, de plus, on doit arrêter les péchés de la raison, ceux du cœur et ceux du désir, et on jeûne de la méchanceté, de la colère, de l’orgueil, de la diffamation, des plaintes gênantes, de l’impudeur, de l’audace malséante, toutes celles-là étant des péchés mortels, pour lesquels l’église n’a pas la permission de prier pour ceux qui les ont en charge. Oh, et on jeûne aussi du monde, les fils, de la sortie dans le monde, de la compagnie du monde, de la conversation avec lui et son esprit, c`est-à-dire on jeûne du diable, le maître et le visage laid du monde dépouillé, dépourvu de la beauté d’en haut, et voilà, l’homme ne peut jeûner de diable et de ses œuvres, s’ils ne sait pas que toutes ces choses-là sont des péchés, et on a besoin de jeûne pour elles, jeûne comme celui d’aliments, et même de plus.

Oh, vous ceux qui savez ce que c’est le jeûne dans son entier, oh, les fils, ne vous arrêtez pas de glorifier le Seigneur tout le temps et Lui chanter, car tous les anges, toutes les armées et puissances célestes, tous les saints chantent au Seigneur, toute la nature Lui chante dans des langues et des chants mystérieux, et vous, ne soyez pas paresseux, ne prenez pas de repos en glorifiant Dieu, car Moi, le Seigneur, Je souhaite que vous soyez tous là où Je le suis, si vous ne vous distinguez pas les uns des autres sur la terre, par ce que vous devez vivre et porter devant Moi, choses fraternellement travaillées.

Oh, vous devez donner des fruits, les présenter devant Moi, car voilà un saint conseil venant des saints et qui dit que la paresse, le souci pour beaucoup de choses, le souhait de dominer, les vaines paroles, ce sont ceux dont vous devez jeûner longuement et tout le temps, vous qui savez ce que c’est le vrai jeûne chrétien, auquel il faut ajouter l’œuvre de la purification de l’esprit, l’humilité de la pensée, l’esprit de la patience et de la charité, le repentir pour les fautes et la non-incrimination du prochain, et tout cela avec des temps de louange et de la prière vers le Seigneur, tout que les saints le faisaient; puisque tu ne peux pas dire et avec de la vérité le dire: «Je crois en cette œuvre parce que c’est ainsi que je le veux». Et voilà, c’est cela que prouvent ceux qui essaient d’aller travailler Ma parole sans bien savoir ce que cela signifie et ce que le Seigneur attend de ceux qui croient à Ma venue, parole maintenant sur la terre. On doit tout d’abord apprendre et savoir ce que l’on fait, et seulement ensuite passer au fait, et si on procède autrement, on le fait n’importe comment, comme on veut, et ceux qui ne vont pas bien dans la voie de cette œuvre et sous son nom, oh, ceux-là font mal à Mon nom, tournent en dérision Ma venue, sa marche et son enseignent et tout Mon petit troupeau, et c’est ainsi qu’ils font mal à Dieu et ils ne Le suivent pas du tout, car lorsqu’on ne trouvait pas de faute pour accuser la Seigneur et Ses saints, le monde et ses maîtres mettaient à leur front le péché le plus laid, le péché de la débouche, celui des menteurs face à Dieu et fils du diable.

Et voilà, Je vous enseigne encore: Oh, les fils, les fils, si vous ne pouvez pas donner de fruit et vous montrer le fruit de l’œuvre de Ma parole, fruit accompli et mûr vous-mêmes, et plus encore d’amener d’autres aussi comme fruit pour Dieu, selon Ma volonté, non pas selon la vôtre, pour en gagner le payement, du moins ne renversez pas d’auprès du Seigneur ceux qui viennent Lui donner leur vie et en prendre d’en haut. Oh, toi celui qui t’occupes à faire des chemins vers d’autre maisons avec des médisances, avec tes faiblesses et tu racontes à un frère ou à une sœur dans le Seigneur les péchés de quelqu’un ou même tes péchés, tu as affaibli sa foi, son accomplissement et ensuite la charité de ceux à qui tu partages ta parole et ton souci pour les péchés des autres, et voilà, pas seulement que tu ne donnes pas de fruit de la vigne, mais tu empoisonnes le sarment en voie d’être greffé sur le cep et de pousser ensuite de Dieu, et Moi, Je dis et Je dis encore pour ceux qui ne sont pas sages, Je leur dis: n’allez pas de maison en maison, car Moi, le Seigneur, Je ne l’ai pas permis ni aux apôtres, d’autant plus aux simples chrétiens du troupeau qui suit le Seigneur. Oh, surtout ne courrez pas les rues au temps du jeûne, restez à la maison dans le repentir et la prière spécifique au jeûne, n’allez pas de-ci de-là, et surtout sans vous annoncer, sans être envoyés, car qui pourrait vous permettre ces voyages et dire de vous faire bien par cela? Si Je ne t’envoie pas à la vendange ou au travail, Je ne t’envoie pas parce que tu ne t’y connais pas, et si tu y vas en Mon nom, tu tournes en dérision Mon nom et tu pèches, toi celui qui prends à ton compte et tu n’es pas capable de faire les choses du Seigneur pour Sa gloire, car pour amener quelqu’un au Seigneur, cela signifie de pouvoir le faire aimer le Seigneur et suivre Sa volonté vers la sainteté, et non pas te suivre toi, celui qui prends tout seul le travail, bien que tu n’y sois pas envoyé et tu ne t’y connaisses pas.

Oh, Je vous dis tout cela maintenant, car voilà, il M’arrive de recevoir des douleurs et de la honte de la part de ceux qui essayent de s’approcher et de croire qu’ils sont des chrétiens de cette œuvre, mais non, ils ne le sont pas, puisque seulement ceux qui prennent conseil de Moi, et du travail et de l’obéissance pour ceux-là, c’est seulement sur eux que Je M’appuie et Je leur accorde de connaître le Seigneur et de comprendre Ses mystères et leur œuvre et c’est seulement ainsi qu’il peut être admis au festin de noce, celui qui entre avec le Seigneur à table.

Toute Ma parole d’aujourd’hui, tout l’enseignement mis dans le live en ce dimanche de la croix, de la moitié du carême, tout c’est pour ceux qui obéissent à tout l’ordre et à la loi entière et véritable du temps du jeûne, jeûne de tout qui est diabolique, mondain, humain, terrestre, face à face avec l’homme chrétien. Les chrétiens qui accomplissent tout le nécessaire pour la marche avec la croix sont les fils de Dieu, et ceux qui n’accomplissent pas, qui ne portent pas de croix sont les fils des hommes, et une voie de milieu n’existe pas, même s’il y en a beaucoup qui y croient et agissent, mais il n’est pas possible d’être fils de Dieu en servant à satan aussi avec sa vie, en restant dans son monde avec ton esprit.


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Voilà, les fils, il y en a des joies et des joies. La joie de celui qui ressemble au Seigneur est une joie sans péché, elle ne mène pas au péché, elle n’est pas bon marché, elle a du poids, elle est pleine du pouvoir des mystères d’en haut, telle qu’elle a été la joie de la Vierge, qui s’est inclinée lorsque l’ange l’a saluée et lui a annoncé qu’elle sera porteuse de Dieu, et elle s’est réjouie en glorifiant le Seigneur, son Rédempteur, Qui a baissé Ses regards sur son humilité.

Et une autre sorte de joie est celle de l’homme qui n’a pas le Seigneur avec lui, c’est une joie coupable envers le Seigneur et le mystère de la vie de l’homme, car la joie de ceux sans Dieu est le péché, les fils, le péché de tout genre, et même si tous les gens sont à la recherche d’une telle joie, Moi le Seigneur, Je leur dis que le péché n’est pas une consolation, ni une joie ne peut-il pas être, d’aucune façon, mais c’est une chute, chaque fois, pour l’homme qui ne tient pas compte de l’être et de l’œil de Dieu, et qui donne main libre et force sur lui au diable, lequel l’attaque pour le rendre impur par le péché, et Moi, Je suis venu sur la terre il y a deux mille ans afin d’être blâmé et diffamé pour ceux qui ont péché et pèchent encore, avec ou sans leur volonté, et qui ne donnent pas place et pouvoir en eux au Seigneur, ils sont faibles de veille et n’ont pas reçu de formation pour l’âme, la chair et l’esprit, toutes ces choses-là étant saintes au Seigneur, toutes dans le service de la grandeur céleste, comme celle des fils aimés de Dieu, et ceux qui plaisent au Seigneur sont ceux dans lesquels Il se repose avec Sa sainteté et Ses œuvres saintes en eux et par eux.

J’ai appris à Mes disciples quelle sorte de joie peuvent-ils avoir en eux, et Je leur ai dit: «Ne vous réjouissez pas que les mauvais esprits vous sont soumis, mais réjouissez-vous du fait que vos noms sont inscrits dans les cieux». Oh, voilà donc quelle doit être la substance de votre joie, fils élevés avec le mystère et le pouvoir de Ma parole, qui vient et vous nourrit, vous et beaucoup d’autres, qu’elle change de pécheurs en saints, par Sa puissance!

Oh, attention à vous, ceux dont le Seigneur fait mémoire dans ce livre, faites attention de ne pas effacer vos noms du livre du ciel, le livre de Ma parole en votre temps, Mes fils. Certains d’entre vous c’est Moi que J’ai toujours et toujours écrit, il y en a d’autres qui se sont écrit eux-mêmes, et voilà il y a de ceux qui ont demandé que leur nom soit effacé de ce livre et ils ont obtenu ce qu’ils ont demandé, et il y a aussi ceux qui se sont effacés par leur manque de stature, par l’inconstance envers le Seigneur, et ils se sont dirigés vers le monde, ils ont perdu la crainte de la réponse à donnée, et plus que ça, ils ont trouvé bon de vous combler d’insultes.

Ils ont eu tort ceux qui vous ont méprisés, vous ont jugés et insultés entre eux et devant le monde, les fils, et l’oreille qui a reçu les insultes destinées à vous est coupable, tel qu’il est écrit, car la haine du diable attire à la culpabilité les inconstants, et ils entrent avec les détournés de la voie, et ils choisissent de faire cela. Mais vous réjouissez-vous, gardant l’espoir pour vous et l’humilité, mais aussi le pardon pour eux, s’ils regrettent sincèrement et s’ils viennent au repentir pour leur esprit du jugement, esprit par lequel l’homme tombe, les fils, il tombe dans le jugement, tel qu’il est écrit.

Oh, les fils, ne faites pas comme ceux qui sont trompés par leur propre raison et vue et puis par l’opinion qu’ils se forment, celle qui amène vers leur jugement ensuite. Je vous dis à vous et Je le dis à eux aussi, en jour de fête de joie céleste et comblé de puissance par la parole, et Je dis: Oh, ne vous laissez pas conduits ou poussés par le diable afin de penser selon que vous voyez et entendez. Vous êtes en danger de vous tromper, de ne pas bien voir, ou de ne pas bien entendre, car le diable a de nombreuses sortes d’obstacles qu’il emploie pour ceux qui sont à la recherche du Seigneur, et il veut se moquer d’eux, et les faire se perdre honteusement, mais eux, ils doivent s’humilier et chercher la miséricorde du Seigneur pour eux et leurs frères dans le Seigneur, et point du tout juger, oh, non, les fils, car ceux jugés ce sont eux-mêmes, lorsqu’ils jugent, et le mal est en eux au moment où ils arrivent à juger, donc il vaut mieux s’humilier pour le Seigneur, Celui Qui est bon pour les bons et pour les mauvais aussi, et Qui a à Sa main la balance juste, les fils, et Qui a un regard miséricordieux, qui voit dans le cœur de l’homme, et Il défend ceux qui sont fidèles, même s’ils ont une raison plus faible, mais s’ils sont constants dans leur foi, ils sont veillés par Lui.


***

Oh, les fils, les mains de la terre et de toute la création sont seulement les mains de l’homme. Lui seul a des mains, lui seul peut servir et soigner, il peut laver, coudre, tisser, il peut travailler et servir à tout ce qui n’a pas de mains. Les mains de l’homme sont celles qui servent à la réalisation de tant de merveilles, tant de beautés, tant d’amour, les fils. Oh, c’est pour cela que l’homme est reconnu empereur sur les créatures, partout entre la terre et le ciel. Les mains de l’homme sont créatrices, comme les mains de Dieu, car elles font ce que Dieu doit faire, ce qu’il y a à faire, et la terre nourrit l’homme à l’aide des mains de l’homme, tel qu’il est écrit.


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Oh, les fils, que le travail de vos mains soit toujours fait de tout cœur et avec générosité, jours et nuits, puisque le Seigneur a besoin des mains de l’homme, et toute la création a besoin de l’homme. Rien et personne ne peut panser une blessure sauf les mains de l’homme, celles qui peuvent arrêter le sang d’une plaie profonde, qui peuvent extraire une épine enfoncée dans la chair, oh, et toute la création, tous les êtres reconnaissent l’homme comme empereur, et il y en a certains qui s’approchent de lui et font du service sous ses mains, et d’autres fuient la main humaine et ont peur, ils ont peur de l’homme, car Moi, le Seigneur, J’ai fait l’homme selon Mon image, avec des mains Je l’ai fait, tout comme Dieu, et il est créateur comme Dieu, car il a des mains et il en travaille beaucoup et merveilleusement, et voilà elle sert beaucoup la main de l’homme sur la terre, et ses mains sont les mains du Seigneur.


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Oh, rien de plus complet, de plus vrai pour guérir l’homme que le repentir. C’est cela que Je vous dis Moi, le Seigneur, en jour de fête de guérison, fils rassemblés à l’eau sainte et à la parole, celle qui nourrit votre croissance et votre constance ensuite, si seulement vous aimez l’humilité, tel que Je l’ai aimée et travaillée pour être votre Maître, car un vrai maître est celui qui montre, sur lui-même, comment vous devrez être si vous venez à l’apprentissage. Ceux qui n’ont pas voulu apprendre de Moi il y a deux mille ans, oh, ils n’ont rien appris, mais ils ont seulement épié, tenté, insulté, dénigré, ils se sont enhardis et ont enchaîné Ma parole et Ma marche, pourtant ceux qui ont voulu apprendre ont appris et ils sont restés vivants pour l’éternité, car Ma grâce leur a donné naissance d’en haut, les a vêtus dans le Christ et leur a offert un cœur nouveau, de la vie sainte, de l’amour qui ne meurt pas, les fils.

Oh, ils n’ont pas joui de ces saints et éternels dons tous ceux qui ont entendu, qui sont venus et qui ont bu de la source de parole de ce temps, car voilà la confirmation de Mes dires d’il y a deux mille ans, à savoir qu’il y a beaucoup de ceux qui sont appelés, mais peu de choisis, et moins encore de ceux qui restent fidèles jusqu’à la fin. Oh, il ne veut pas l’homme qu’il ne soit plus faible et qu’il puisse avec Dieu, mais le Diable a beaucoup de droits sur l’homme, il l’accompagne et avec lui l’homme devient capable et il peut, même lorsqu’il veut être avec Dieu, mais cela ne va pas, le service à deux maîtres, et au moment où le diable trouve l’homme, oh, il ne le lâche plus facilement, si ce n’est pas qu’un grand repentir de l’homme, un grand et saint réveil, aussi saint qu’il ne puisse plus le perdre, qu’il ne puisse plus vivre sans lui, car sans un repentir complet et continu, l’homme meurt toujours, même lorsqu’il souhaite sa résurrection et le Seigneur comme son salut.


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Oh, le plus grand soin, le plus efficace de tous c’est de ne pas croire que le Seigneur soit loin de vous, les fils. Oh, les fils, tenez-Moi près de vous, ressentez toujours Ma présence. C’est seulement ainsi que vous allez faire toujours les choses à Mon plaisir, celles qui Me gardent près de vous, et vous allez éviter de vous cacher avec les choses, qui ne conviennent pas à la vie dans la lumière du chrétien. Lorsque l’homme tient le Seigneur loin de lui, il peut commettre le mal contre sa propre âme, c`est-à-dire que le Seigneur ne le voit pas. Oh, louez le Seigneur, les fils! Lorsque vous Le louez, vous vous louez avec Lui et Satan entend et faiblit et s’en va, car il voit avec qui vous vous louez.

Oh, si l’homme savait ce que le péché lui procure, il ne pécherait plus. Le péché amène la souffrance, les fils, mais la pression sur le péché amène le repentir. Lorsque vous savez que l’homme attire la souffrance par le péché, oh, voilà la guérison en cadeau offerte: le repentir, les fils, et vous, comme des fils du Christ, veillez qu’il n’arrive pas entre vous la discorde, que vous ne soyez pas acharnés deux contre trois, et trois contre deux, et pour cette lutte sainte contre la dissension on a besoin d’une raison douée d’intelligence d’en haut, d’une habilité spéciale, et cela n’est pas possible n’importe comment, puisque l’homme est partial, le pauvre, il choisit ce qui lui est favorable, oh, et on ne travaille pas ainsi sur la voie de la croix avec le Christ, mais avec renoncement de soi doit aller celui qui va avec le Seigneur et à la suite de Seigneur.

La raison, le fils, doit être donné pour une nouvelle création, avec du renoncement de soi, telle que Moi, le Seigneur, J’ai donné au chrétien pour s’en servir à sa marche à Ma suite, et au moment où il est gagné par le désir d’aller sur Mes pas, sur les voies de Mon œuvre avec l’homme, à ce moment arrive la discorde, celle que J’ai prévue dans la voie de l’homme, celui qui choisit la voie de la croix, celle de l’amour envers Dieu et elle est écrit Ma parole qui dit: «S’il y a cinq dans une maison, ils seront divisés, deux contre trois, et trois contre deux», et la sainte lutte commence pour ceux chargés de l’amour de Dieu, et la vraie fidélité ce sont seulement les vrais chrétiens qui l’ont, guidés selon la vie et l’esprit du Christ, non pas selon leur raison, oh, pas du tout, les fils, et ceux-ci ne sont capables de faire quelque mal, ou tromperie, ou trahison, pas même à leur ennemi, puisqu’ils ont leur cœur et l’action purs, la parole et le sentiment pleins du Christ, ils demeurent dans la lumière avec tout ce qu’ils font et ils n’ont rien à cacher, bien au contraire, ils donnent de la force à d’autres aussi, pour qu’ils puissent avec Dieu et comme Dieu, ils ne pèchent aucunement, ils n’ont pas à faire avec le mensonge, la dissimulation, la méchanceté, mais, par contre, jour après jour ils travaillent seulement la vie, qui mène vers la rédemption, pour eux et pour ceux qui les entourent, car autrement il n’y a pas de chance de victoire jusqu’à la fin, oh, les fils.

Je vous apprends la guérison, la marche sainte Je vous apprends, et la marche avec de la lumière sur la voie ne vous fait pas honte, pour vous cacher avec elle, et Moi, le Seigneur, Je vous veille toujours et toujours, oh, et que vous êtes heureux lorsque vous venez ici, pour Moi, les fils ! Mais combien Je suis heureux, Moi, le Seigneur, vous ne le savez pas, c’est seulement Moi Qui le sais, Moi et ceux du ciel, qui Me voient comme Je compte vos pas, comment Je cherche dans vos cœurs, pour voir si vous avez de l’amour, du désir saint, de la fidélité, de la foi édifiante, les fils, si elle ne baisse pas, ou si vous avez des instants dans lesquels vous oubliez de Moi, de Ma présence continue auprès de vous, oh, et c’est pour cela que Je viens toujours et vous rassemble près de la parole de Ma bouche, pour apprendre ce qui est bon et ce qui est mal, pour que vous fassiez le bien, les fils, pour ne pas être jugés, les fils.

Et voilà, ce n’est pas bon pour Mon chrétien de prononcer parole de jugement sur les faits des frères de la même voie que lui, puisque Moi, J’ai des yeux et de l’attention pour tous, les fils, Moi, et pas l’homme. Oh, pas même de ses propres actes ne doit pas parler l’homme n’importe comment et n’importe à qui, mais seulement au Seigneur, ou à celui qui hait le péché, serviteur fort d’âme envers Dieu et les hommes, car l’homme est faible, il incline vers la faiblesse, et on ne trouve plus de ceux qui puissent le purifier et lui prononcer la rémission de la part de Dieu, c’est pourquoi il serait mieux pour l’homme qu’il ne pèche plus, qu’il ne se range plus du côté du diable, celui dissimulé et malfaiteur en cachette contre l’homme, puisque c’est seulement avec le péché que l’homme se cache, oh, et c’est la déroute qui intervient alors et sort à la lumière ensuite, et voilà qu’il vaut mieux pour l’homme de marcher dans la lumière, pas dans l’obscurité, oh, non les fils, non.

Je vous donne parole de guérison en ce jour et Je vous apprends, et vous appliquez sur vous Mon enseignement. Oh, les fils, n’épiez-pas, ne soyez pas mécontents, rouspéteurs, méfiants, oh, ne péchez pas ainsi, les fils! N’oubliez pas la parole sage qui dit que le voleur fait un seul péché, celui du vol, mais les soupçonneux en font plusieurs, autant qu’ils veulent soupçonner, et s’ils ne trouvent pas le voleur, ils restent dans ces péchés et ne peuvent plus s’en repentir et voilà, c’est ainsi qu’on comment le péché du soupçon, c’est dans l’habitude de l’homme, il n’est pas accoutumé d’être sage, de faire se taire sa raison, ou chercher en lui-même la faute, non pas aux autres, pour les choses dont il est endommagé, car lui aussi il a et il commet tant de péchés, le pauvre, pour lesquels il est puni par le voleur qui l’attaque, et l’homme n’a pas de justification lorsqu’il est mécontent et soupçonneux, lorsqu’il se fait juge.

Oh, les fils, les fils, le mal s’apprend de l’un à l’autre plus facilement que le bien, et voilà, ils apprennent de l’un à l’autre la dissimulation ceux qui se cachent, et il arrive ensuite le doute, l’incrédulité, il arrive leur chute de la barque, oh, et il n’a plus honte celui qui tombe en dehors, mais il a honte de la possibilité d’être découvert avec ses choses cachées, par lesquelles il rend incroyant celui qui se cache de Dieu et des hommes, et ensuite il devient serpent près de la route, serpent venimeux qui mord le pied du cheval pour renverser le chevalier, tel qu’il est écrit de celui qui empoisonne en chemin le voyageur faible de marche et non instruit, pour la veille sur son âme, et qui est facilement abattu de la voie.


***

Oh, vous a-t-il cherché, ou vous est-il sorti en chemin le serpent, ou bien c’est vous qui lui êtes allés au devant et il vous a mordu et versé en vous son venin. Oh, les fils, Je veux vous guérir, mais comment M’y prendre encore? Comment le ferais-Je? Voilà, une abeille vous pique, elle laisse son venin et son aiguille dans votre chair, et elle ne sait pas qu’elle mourra elle aussi par sa morsure venimeuse, tout comme de serpent qui mord et verse son venin dans sa victime. Oh, les fils, le venin est entré puisqu’il a été cherché, puisque c’est vous-mêmes qui lui avez ouvert le chemin.

Ils sont curieux les chrétiens et ensuite ils reçoivent le payement de ce péché, en voyant comment on meurt par la morsure venimeuse survenue au bord de la route. Oh, si cella leur ferait quelque bien l’action de ceux qui partagent des morsures venimeuses, en piquant les mordus avec la médisance, la diffamation des frères, pour séparer d’autres aussi, les séparer des frères, de la marche avec le Seigneur, tel qu’ils l’ont fait pour eux-mêmes! L’intention de ceux qui mordent est de faire mourir d’autres aussi, tout comme eux, et vous ne vous rendez compte pour pouvoir éviter le mal qui guette en route. Mais Je viens Moi, les fils, Je viens et vous apprends comment vous guérir avant qu’on vous partage la morsure venimeuse.

Oh, guérissez votre cœur du venin qui s’y trouve, les fils! Oh, guérissez-vous des faiblesses, de l’envie, de la méchanceté, du mensonge, de la suspicion, de l’instigation et de beaucoup d’autres qui vous accusent, pour qu’ensuite vienne la punition de ces péchés, le serpent qui va devant vous avec sa morsure venimeuse, les fils.

Oh, ne soyez pas mécontents, ne soyez pas irascibles, ne soyez pas orgueilleux, ne soyez pas méfiants, les fils. Ces choses-là amènent la discorde entre vous, et Moi, Je suis la source de guérison et Je suis maintenant avec Ma mère la Vierge ici, en jour de mémoire sainte, à table avec vous.


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Oh, Mon fils, si tu n’as pas de souffrance, si tu n’as pas d’épreuves et des tentations à passer, sacrifice toujours chaud, une vie ardente, toujours vécue pour les semblables, temps sans repos pour être utile avec ton travail, oh, tu tombes si tu ne travailles pas ainsi et tu arrives à la chute de la grâce, tu te procures des pièges inattendues, des chutes de la bénédiction, celle pour le travaille de la sagesse de la vie, puisque l’homme est faible et se laisse abattu par des paroles forgées de toutes pièces, par des pensés envoyés, par des fautes ensuite, à cause de ceux qui sèment la discorde, et son cœur se refroidit, se cache, après avoir commis la dissimulation, il n’essaie plus s’incliner, se réveiller pour voir le mal qui bat vers lui, car le cœur froid n’est pas ainsi sans raison, mais il l’est parce qu’il a été frappé, attiré de coté, mené vers le doute ensuite, et vers l’insouciance d’âme, et malheur à l’âme froide qui pleure, incomprise, en secret, sans aide de la part de son porteur!

Oh, vous, les fils qui aimez le Seigneur et venez pour Lui ici, oh, soyez comme les saints, pas comme les hommes. Les saints demeuraient avec le Seigneur, avec les anges, ils avouaient leurs pensés, leurs mauvaises actions, ils savaient éloigner à temps satan, ils ne le ménageaient pas, ils ne le gardaient pas en eux, ou devant eux, oh, et c’est seulement ainsi qu’ils vainquaient, et se travaillaient l’immortalité, et leur âme recevait du repos toutes les fois qu’ils étaient vainqueurs sur le satan, pour elle.


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Oh, voilà ce que Je vous dis: Entre vous et eux, ceux qui croient à Ma venue chez vous en ce temps, ceux-ci doivent savoir que la manière dont ils se conduisent envers Moi et devant Moi, lorsqu’ils croient et ils vivent et ils agissent, en secret ou ouvertement, cette manière de se positionner et de se conduire, Je la prends d’eux, entre Moi et eux, et aussi la fidélité ou l’infidélité, et Je leur dis cela maintenant, comme mystère de sagesse, et heureux seront ceux qui ont eu le don de comprendre cette sagesse, contenue par la parole de Ma descente ici en parole.

Oh, Je vous dis à vous, ceux qui vous vous rassemblez devant Moi aux jours de fête, et vous vous présentez au Seigneur ici. Je vous dis, les fils, grand mystère de sagesse, à savoir que par la façon de vous conduire envers ceux qui Me portent vers vous, c’est la conduite envers Moi que vous prouver, donc par la conduite entre vous et eux, ceux qui Me donnent à vous, lorsque Je Me donne à eux, afin qu’ils vous donnent le Seigneur.

Oh, tel que vous vous placez à chaque instant dans leurs cœurs, tout ainsi à chaque instant vous êtes placés en Moi, ainsi et pas autrement.


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Oh, les fils, voilà, c’est un grand secret que vous apprenez maintenant. J’ai dit à ceux qui essayent de Me suivre: qu’ils ne regardent pas en arrière s’ils viennent après Moi, oh, qu’ils ne le fassent pas, afin qu’ils ne pleurent pas beaucoup ensuite, sans consolation, s’ils se perdent de Moi, J’ai dit qu’il n’est pas digne de Moi celui qui partage encore son amour, après qu’il soit venu et qu’il ait frappé pour entrer et aller à Ma suite.

Oh, fils, toi qui viens et qui tombes ensuite de la promesse par laquelle tu t’es donné à Moi, voilà, tu n’es pas digne de Moi, si tu viens et tu n’aimes pas, tu ne demeures pas sur place, et de plus tu espères que tu seras auprès de Moi dans les cieux, là où Je serai avec ceux qui Me suivent jusqu’à la fin. Oh, si sur la terre tu n’as pas été capable d’être et de rester auprès de Moi, comme celui qui est digne de Moi par l’amour dans la fidélité, crois-tu que dans le ciel tu sois digne d’être auprès de Moi et avec Moi, si ton amour n’a pas été entièrement pour Moi sur la terre? Oh, être dans le ciel auprès de Moi, cela est un mérite gagné sur la terre, c’est une dignité gardée avec de la fidélité et avec le tout de ta part pour Moi. J’ai dit que dans la maison de Mon Père il y a beaucoup de places, et J’ai dit que je prépare la place pour ceux qui sont dignes de Moi, de sorte que là où Je serai Moi, qu’ils le soient eux aussi. Mais que personne n’oublie que tout, même l’enfer, tout est sous la maîtrise de Mon Père, ainsi que la place que chaque homme mérite selon la conduite de sa vie sur la terre. Et voilà, le Père l’a dit maintenant, encore et encore: «Heureux ceux qui voudront et Lui obéiront, mais jusqu’à la fin».


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Maintenant Je parle avec vous, ceux qui mettent Ma parole dans le livre, pour qu’Il soit sur la terre le Seigneur, oh, les fils. Oh, celui qui s’éloigne de vous, s’éloigne de Moi aussi, mais tout d’abord c’est envers Moi qu’il devient indifférent, et par la désobéissance il s’éloigne, sachez-le, et ensuite il s’éloigne et devient indifférent envers vous aussi, petit à petit. Oh, sans Ma grâce personne ne peut M’aimer et demeurer avec Moi jusqu’à la fin, et la grâce se procure par un amour constant, et si on la perd, la grâce, c’est le remords qui vient, les fils.


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Oh, comment pourrait-il l’homme prouver qu’il est chrétien, qu’il est dans le Christ, s’il n’est pas et ne travaille pas comme le Christ ? Oh, voilà, fils de la source, il faut que l’homme sache d’où doit-il apprendre Dieu, pour qu’il Le connaisse ensuite, s’il est digne de Dieu. Il est écrit que: «Si quelqu’un veut accomplir la volonté de Dieu, oh, celui-là connaîtra ensuite le Seigneur et Sa parole sainte, et le Seigneur va l’écouter».

Oh, les fils, les fils, voilà, d’une telle volonté agréable à Dieu de la part de l’homme, oh, c’est de là que l’homme va connaître Dieu,


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Oh, celui qui ne fait pas ses devoirs et celui qui n’obéit pas à Dieu, et ne fait pas Sa volonté pour réaliser la stature sainte entre les frères, stature convenable à un fils soumis à la volonté de Dieu, qui est l’amour d’en haut. Voilà donc, l’obéissance va avec celui qui fait ses devoirs et qui devient instruit ensuite, et il prend sa raison du livre, de Dieu, pas de soi-même, les fils.


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En ce jour de fête de Saint-Esprit Je vous réunis dans Ma parole, fils venus à Ma source de parole. Et Je vous dis, observez-vous de n’avoir pas d’orgueil, pas d’esprit de jugement ou de mépris envers les semblables et des mécontentements, les fils. Vous ne pouvez pas faire tout seuls cette obéissance et ce choix entièrement de Ma part, les fils. Moi, Je suis doux et humble de cœur. Soyez-le vous aussi, soyez comme Moi, les fils. Mettez-vous sous grande observation. Lorsque le mauvais esprit voit cela, il affaiblit considérablement ses œuvres avec lesquelles il occupe la raison de l’homme, afin que le Seigneur n’ait plus de place avec les Siennes en ceux qui se rangent de Sa part. J’ai ici aux portes des surveillants et des conseillers comme Moi. Ils peuvent vous observer et ils savent de Moi la stature de ceux qui obéissent ou n’obéissent pas à Dieu de l’amour, si seulement ils pourraient avoir accès devant vous pour l’examen, car voilà, toutes les fois que vous venez à la source, Moi, Je passe par eux vers vous et Je vous enrichis d’en haut la volonté et la vue et votre désir saint de Me ressembler, car celui qui ne cherche pas la ressemblance avec Moi, celui-là ressemble au monde, et voie de milieu n’existe pas, les fils et Je M’incline à vous prier de croire ce que Je vous dis.

Oh, les fils, ne cherchez pas d’interpréter les paroles de ceux qui se tiennent devant vous de Ma part, pour pouvoir ensuite porter du jugement sur eux, pour vous-mêmes. C’est ainsi qu’ils M’ont fait ceux qui ont interprété la parole de Ma bouche-disaient-ils- et ils sont tombés dans le jugement en Me condamnant, et J’ai dit alors: «Maintenant le maître de ce monde a été jugé».

Oh, J’ai dit et Je le dis à tous: ne jugez pas pour ne pas tomber dans le jugement, c’est ainsi que Je t’ai dit et que Je le dis toujours. Mais comment cela se passe-t-il? Oh, voilà comment: Au moment où l’homme trouve l’occasion de juger quelqu’un, au même moment il est tombé sous le jugement, car oubliant combien de châtiment il se procure pour ses propres faits, il se lève encore sur un autre, le pauvre, et il se révèle coupable, car seulement les coupables jugent ceux qui sont jugés par eux, et ils tombent aussi sous le jugement de leurs actes, ils tombent de Dieu, Auquel ils se substituent, pour qu’ils jugent eux-mêmes à Sa place.

Oh, fils réunis à table ici, il n’existe pas de plus grande consolation pour vous que votre guérison des faits qui vous accusent devant Dieu. Ne vous diffamez pas les uns les autres en médisant de ceux d’entre vous dont vous êtes mécontents. C’est de la diffamation de ta part envers ton frère si tu cherches à lui parler des fautes des autres, ou lui montrer tes mécontentements.

Oh, ne diffamez pas et vous ne serez pas diffamés! Observez-vous de n’avoir pas d’orgueil, les fils! Il vous amène à la diffamation des frères devant d’autres frères. Oh, examinez la santé de votre amour de Dieu, et guérissez-le quand il souffre sans pouvoir.

Oh, combien aimerais-Je vous enseigner et vous conseiller selon chaque état, les fils! C’est le Saint-Esprit en œuvre d’amours saint sur vous, et le voilà comment et combien Il travaille en planant par-dessus tout, comme à la création du monde, les fils. Il sait tout, selon qu’il est écrit, et Il remplit tout le monde et rien ne Lui échappe, pas même le plus obscure chuchotement, et tout arrive au Seigneur pour l’examen et le triage ensuite.

Je vous remplis de la sagesse du Saint-Esprit et J’attends de vous le Saint-Esprit, les fils;


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sur la voie de la croix il faut avoir des devoirs, plus de désirs, et tout doit être travaillé en se renonçant toujours, puisque J’ai dit qu’il ne reste pas avec Moi celui qui ne renonce pas à soi-même, et il vaut mieux qu’il ne vienne pas, car s’il vient et il reste un temps et puis il part, oh, il aura à répondre ici, non pas ailleurs, il se présentera devant Moi celui qui a été à cette table et n’a pas gardé son amour.

Oh, Ma trompette, oh, Verginica, celui qui choisit de suivre l’amour de Dieu, celui-ci a besoin de croix, car J’ai dit: «Qu’il prenne sa croix celui qui veut Me suivre!», oh, et pourquoi cela? Puisqu’autrement il gambade en cherchant les plaisirs l’homme, et il s’enfonce dans le péché, et ce n’est pas ainsi la vie pour laquelle Dieu a créé l’homme, et voilà de quelle douleur J’ai dû payer Moi, le Seigneur, la déviation de l’homme du chemin de la vie, et cela ne le fait pas souffrir de M’avoir destiné aux douleurs!

Oh, l’homme veut avoir du tout et il n’aime pas porter la croix. C’est pour cela que J’ai été condamné à la croix, et Je ne trouve pas de pitié de la part de l’homme, oh, Ma trompette. C’est ton jour de fête entre les saints, et nous nous parlons pour nous apaiser, Ma chère, nous écrivons le livre de ce jour et on va entendre Ma parole avec toi, notre travail ensemble en ce jour saint.


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Oh, quel dommage que le chrétien ne garde pas sa stature! Il n’y a pas de pire sur la terre, que ce mal sur l’homme. Oh, on ne peut oublier les douleurs de la croix, Seigneur. Elles se sont transformées en fleurs et nous accompagnent dans les cieux, pour s’en souvenir.

Oh, les fils qui amenez le Seigneur en livre sur la terre, lorsqu’Il parle pour que vous L’entendiez, oh, aimez la douleur, les fils! Oh, tous les hommes cherchent d’échapper aux douleurs, d’échapper à la croix, oh, mais qu’est-ce qu’ils vont faire au moment où ils verront qu’on leur demande le fruit de la patience? Sans couronne on ne peut pas entrer dans l’empire d’en haut, celui des saints, et se sont seulement les douleurs qui tressent cette couronne. Les douleurs sont des fleurs. Oh, qui sait soigner ces fleurs, ces jardins célestes?

Oh, les fils, lorsque vous voyez qu’on vous médise, cherchez de vous comporter ainsi que personne de vos alentours ne puisse croire à ce qu’ils disent de vous, ceux qui n’ont pas appris de parler de bien, mais seulement de mal, oh, les fils. Mais vous, arrosez ces fleurs et faites en des couronnes pour le ciel, car les douleurs sont des fleurs. Oh, ceux qui vous médisent font cela parce qu’ils n’ont pas appris à parler de bien, parce qu’ils ne se sont pas habitués avec l’amour, les fils. Et vous, demandez avec des larmes, demandez au Seigneur d’accorder du temps pour le repentir à ceux qui médisent et se laissent entrainés par ce diable nuisible pour la raison et l’âme.

Je parle aux médisants et je leur rappelle que le Seigneur a dit: «Aimez vos ennemis et faites du bien à ceux qui vous haïssent». Je vous rappelle cela maintenant pour leur dire qu’ils haïssent ceux qui les aiment et qui leur font du bien pour la part de Dieu avec eux et pour eux. Voilà donc, pas question d’amour, mais bien au contraire, de la haine envers ceux qui aiment ceux qui haïssent et médisent.

Oh, vous, chrétiens qui entendez du Seigneur la parole de la vie sur vous, oh, apprenez comment vous pouvez être chrétiens, apprenez cela, car voilà, vous ne savez pas travailler comme ça. Oh, fils mécontent, ne cherche pas tirer de ta part le résultat de l’examen de quelque dispute survenue entre vous. Si tu procèdes ainsi, tu ne comprends pas encore ce que c’est un chrétien. Oh, qu’est ce que le Seigneur pourrait faire avec ceux qui se frappent les uns les autres, avec ceux qui se disculpent sans connaître l’amour?

Oh, les fils, les fils, les mécontents arrivent à guetter la vie de leurs frères et commettre des péchés et des persécutions par la médisance, car voilà, ceux qui sont partis ont choisi d’être médisants, péché par lequel le diable travaille sur ceux qui quittent le Seigneur. Oh, ne vous faites pas instruments du diable si vous ne pouvez pas rester jusqu’au bout sur la voie de la venue du Seigneur avec cette parole sur la terre.

Et vous, ceux qui n’avez pas réussi de rester sagement et avec obéissance pour une vie sainte, en sachant ce que le Seigneur veut de ceux qui entendent Sa voix, partagée lorsqu’Il vient, oh, ne venez plus, les fils, auprès de la source de parole, si vous ne vous libérez pas du péché. Oh, voilà déjà tant d’années depuis que le Seigneur vous a partagé Sa parole, mais vous n’avez pas voulu la vie sainte pour vous, mais vous avez choisi faire autrement votre vie, avec désobéissance envers le Seigneur, fils désobéissants. Oh, pleurez, puisque vous en avez pourquoi! Pleurez pour le pardon, pleurez pour le repentir, car le Seigneur vient, Il vient toujours, et Il vous trouve séparés de Lui pour vos désirs coupables, par lesquels vous tachez le front du Seigneur.

Oh, heureux ceux qui reconnaissent leurs fautes en demandant pardon au Seigneur, comme les chrétiens qui sont attentifs aux pas de leur vie, car le chrétien se purifie par la prière, après avoir passé encore un jour et un autre des jours de sa vie, et il dit au Seigneur ce qu’il a fait du mal, ou pas de mal, il se confie au Seigneur en vue de la veille, en demandant Son pardon.

Je ne veux fâcher personne, oh, je ne le veux pas, mais je vous en prie, apprenez d’être chrétiens, être obéissants, avoir de l’obéissance dans la parole et la conduite, le tout en humilité sainte les uns envers les autres. Oh, suivez l’amour qui ne tombe pas, qui ne vous fait pas tomber, et cherchez d’avoir un conseiller car autrement vous allez faire des fautes encore et encore, s’il n’y a pas celui qui réveille, et recevez le frère qui vous réveille.

Le diable veut se servir du chrétien pour lui-même, pour pouvoir culpabiliser ensuite celui qui croit à la venue du Seigneur. Oh, humiliez-vous tout le temps pour la correction de vos fautes et restez ainsi, humiliés, car si vous allez voir que vous ne travaillez pas comme ça, vous allez vous laisser davantage du côté du diable, les fils. Oh, mais comment allez-vous échapper aux mauvaises habitudes fixées en vous? Vous allez réussir par beaucoup de persévérance et par l’humiliation, par la veille fraternelle l’un sur l’autre, par l’humilité, les fils, du moment que l’homme n’est pas méritoire, car il est pécheur.


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— Oh, Ma Verginica, l’obéissance amène seulement de l’harmonie céleste entre les frères, entre ceux du même esprit que Nous. Il y en a beaucoup qui croient qu’il est trop difficile d’obéir, c’est pourquoi il y a du manque d’obéissance, Ma Verginica, mais celui qui veut voir des signes et des merveilles, qu’il obéisse celui-là, et il va voir le fruit de l’obéissance à côté du fruit de la foi, car la foi naît l’obéissance dans le cœur et la raison de ceux qui se confient à Dieu pour être Son peuple.


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J’apprenais à vire à Mes disciples et Je leur disais: «Réjouissez-vous toujours!»? C’est la même chose que Je vous dis à vous aussi, les fils, passez le temps en vivant des sentiments saints, ceux qui amènent les plus vrais joies, car il y a eu une fois sur la terre quelqu’un qui a dit qu’un peuple qui ne se réjouit plus est un peuple qui ne vit plus.

Oh, les fils, c’est d’une très grande raison qu’ils ont besoin les chrétiens pour savoir le mystère de la vie avec le Seigneur, les sentiments saints, les plus doux moments de l’homme, les plus célestes, les fils. La tristesse après Dieu c’est un doux sentiment pour celui qui le porte dans son âme, puisqu’elle signifie la vie avec le Seigneur, les fils, c’est l’aspiration vers le Seigneur, et cela signifie la joie. Le Seigneur signifie la vie, Il signifie la vérité, et Je veux en ce jour éclaircir le mystère de Jésus avec les disciples et que le peuple de la parole sache ce que cela signifie d’être Mon disciple, celui qui se veut fils de ce peuple maintenant et jusqu’à la fin.


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Oh, disciples bien-aimés, Nous nous arrêtons ici, à table de parole et elle s’appelle A la maison Ma cité de fils et de beautés visibles et invisibles, les fils, tel que vous le voyez maintenant, comme témoins d’en haut. Nous sommes sur les nuages et c’est ainsi que nous venons à table ici, car Notre position est céleste, sur les nuages et sur de la gloire mystérieuse, et Je précise cela pour la joie, pour la vie céleste avec Nous de ceux qui nous reçoivent ici maintenant avec Notre travail céleste.


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Voilà, Je vous donne parole de votre fête, entre ceux du ciel et ceux de la terre les Nôtres ici. Oh, paix à vous, paix à vous en votre jour de fête, après deux mille ans depuis Mon parcours avec vous dans le pays d’Israël, oh, les fils!

— Oh, doux Maître, douce parole, notre douce joie d’alors et présente, oh, Seigneur, Tu Te consoles en nous parlant aussi tendrement. Oh, Seigneur Maître, tout comme le Père et compatissant envers les fils, Tu as eu de la compassion pour nous et Tu nous as choisi pour être les Tiens et Te craindre, afin de nous nous assagir et nous séparer du monde, Seigneur. Ceux qui ne se séparent pas du monde pour Toi, ceux-là n’ont pas la crainte de Dieu et ne restent pas auprès de Toi jusqu’à la fin, car le monde et sa compagnie les rendent sales toujours, et avec Toi et auprès de Toi on ne peut rester et vivre n’importe comment, si ce n’est d’une façon favorable pour Toi et selon Ton Etre, Seigneur. Celui qui ne haït pour Ton nom tout ce qu’il a eu et qu’il a aimé, oh, celui-là ne peut T’aimer seulement Toi ensuite, c’est ainsi que Tu l’as dit, et ça se voit aujourd’hui aussi entre ceux qui essaient de Te suivre, se tournant ensuite comme Sarah de Loth, endurcissant leur cœur petit à petit, jusqu’à ce qu’ils arrivent à s’arrêter sur la voie et ne plus Te suivre, Seigneur, ils n’avancent plus ceux qui ne sont pas dignes de Toi, mais ils se retournent honteusement en arrière, ayant ou pas honte, après s’être montrés menteurs à l’égard de Toi avec leur cœur.

Mais maintenant, Seigneur, nous voulons parler avec ceux du peuple de Ta parole pour nous associer pleinement avec eux en notre jour de fête et les aider à comprendre profondément la réponse qu’ils auront à donner, s’ils ont choisi la marche sainte avec Toi, Ta venue, celle qui demande à l’homme de la fidélité, mais pas seulement pour quelque temps, oh, Seigneur.

Voilà, maintenant, au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, avec le Seigneur auprès de nous, nous vous parlons comme Ses disciples, comme successeurs de Son œuvre entre les hommes, oh, fils de Sa parole en votre temps, maintenant. Nous nous étonnons toute fois de la bonté de la parole de Son enseignement sur vous, vous qui êtes à présent fidèles à Sa venue d’aujourd’hui. Nous vous conseillons chaleureusement de ne pas regarder en arrière si vous avez choisi le Seigneur de voie et de vie et de libération de toute difficulté et péché. Oh, ne choisissez pas la lâcheté. Soyez plein de zèle, frères bien-aimés, exigez de vous-même de la fidélité et soyez honnêtes envers le Seigneur, Celui Qui pardonne, aide et aime de tout cœur en attendant.

Oh, il y en a beaucoup de ceux qui sont venus et de ceux qui sont partis de cette glorieuse voie de la venue du Seigneur en parole sur la terre depuis le temps de Sa trompette, Verginica, et Jusqu’aujourd’hui, temps où les saints du ciel se sont étonnés et émerveillés et s’émerveillent encore de la grandeur du Seigneur dans cette venue sur la terre. Voilà, recevez frères bien-aimés, notre compagnie et prenez dans vos cœurs ce que nous vous donnons, à savoir le fait que sur la terre il y a une plus forte et plus grande œuvre et mystère de l’infamie que jamais, et vous, n’oubliez pas le Seigneur, Celui Qui a dit dès Son temps avec nous, à propos du temps de la fin, qu’à la suite de la multiplication de l’infamie, l’amour de beaucoup de cœurs va se refroidir. Nous sommes témoins du moment où le Seigneur vous a conseillé par la parole en ce temps et Il vous a dit de ne pas chercher la face de l’infamie sur la terre, par laquelle il pourrait arriver que votre amour refroidisse et que vous quittiez le Seigneur, le Rédempteur. Oh, on n’a pas suffisamment tenu compte de ce conseil, puisque beaucoup de ceux qui connaissent la venue du Seigneur ici n’ont pas obéi et accompli l’ordre de se retirer de la face de l’infamie et de ses armes destructives, ils n’ont pas fermé la porte vers le laid visage de la débauche de la terre, car il est tellement difficile à décoller cette glu du cœur de celui qui est désobéissant à Dieu, lorsqu’Il lui montre le danger, pour qu’il l’évite le chrétien, celui qui a choisi la pureté avec le Seigneur pour le Seigneur, afin qu’Il puisse rester avec lui sur la voie, car elles sont saintes les voies du Seigneur entre la terre et le ciel.

C’est un grand jour de grand réveil ce jour et nous répétons encore et encore la parole du Seigneur: Celui qui ne hait pas pour le Seigneur mère et père, frères et sœurs, femme et enfants, fortune et habitudes et toute sorte d’occupations, un tel homme ne peut être avec le Seigneur, il ne reste pas fidèle envers Lui, puisqu’il ne peut se partager en deux, mais seulement celui qui offre son amour entier peut demeurer auprès du Seigneur.

Nous vous embrassons comme des enfants et nous vous exhortons à la fidélité, puisqu’elle sera grande la honte et nombreuses seront les larmes dans les cœurs sur les joues de ceux qui sont venus et ont quitté ensuite le Seigneur et Sa voie d’aujourd’hui, après avoir essayé de se donner à Lui. «Oh, l’amour de beaucoup d’hommes se refroidira» c’est ainsi qu’Il a dit le Seigneur. Et comment cela va se passer? Voilà, le chrétien retourne en arrière, aux choses qu’il a quittées pour aller ensuite avec le Seigneur. Lorsque le Seigneur voit que le chrétien n’a plus de fidélité, ni de crainte, quand le Seigneur le voit en jouant à la tombée en arrière, oh, la tristesse L’envahit et la honte devant le diable aussi, et dans cette grande douleur, Il quitte le menteur, Il ne l’aide plus et alors elle s’accomplit la vraie parole qui dit qu’au moment où Dieu voit que l’homme est en train de se perdre de Lui, Il lui prend la raison. Oh, c’est ce qui est arrivé à ceux qui ont quitté cette barque, la marche avec le Seigneur sur les vagues de l’infamie, qui augmentent en heurtant et en attirant vers elle ceux qui sont faibles et infidèles envers l’engagement fait au Seigneur, de Le suivre avec leur amour, celui qui s’est montré ensuite nul et menteur toute fois.

Oh, frères bien-aimés, à part l’amour de Dieu, tout autre genre d’amour c’est du péché et mène au péché et à la mort. Quand vous vous rendez compte que vous déraillez du chemin demandé par le Seigneur pour rester les Siens, oh, arrêtez l’égarement de l’instant, écoutez et comprenez les signales du Seigneur, de peur que le Seigneur ne prenne votre raison et vous laisse de décider vous-mêmes contre votre vie avec Lui et pour Lui. Oh, si vous l’avez fait, alors faites que pas même le coucou sache rien de vous, ni de votre logement avec le Seigneur, et soyez sages et loin du monde, afin que le monde vous oublie, qu’il ne vous reconnaisse pas, et cela arriverait seulement si vous fuirez du monde et le monde, pour habiter avec le Seigneur et vivre en Lui, pas dans le monde, oh, fils du Seigneur, car l’amitié avec le monde signifie inimitié envers Dieu, c’est ainsi qu’il est écrit. Oh, rappelez-vous de L’Israël qui disait: «Nous ne chanterons pas les cantiques du Seigneur et de Sion sur une terre étrangère, et si nous n’y obéissions pas, que notre langue s’attache à notre palais, afin que le Seigneur ne nous laisse pas pécher contre Lui, en nous mêlant au monde et à ses voies».

Le Seigneur donnait de l’enseignement aux chrétiens et Il leur disait: «Oh, les fils, ne recevez pas dans vos maisons vos parents incroyants, puisqu’il est possible que ton parent vienne d’une femme, d’une taverne et qu’il souille ta maison bénie, ton pouvoir, ta propreté, comme celle de ta maison». Et Il disait encore le Seigneur: «Ne cherchez pas de rester seuls dans la maison, la femme et son mari, pour que vous ne soyez pas attirés l’un vers l’autre, vers la faiblesse, vers la désobéissance envers le Seigneur, Celui Qui est saint».

Oh, que les parents soient tout le temps avec leurs enfants, et de même , que les enfants soient tout le temps avec leurs parents, pour pouvoir vous protéger du péché les uns les autres, les fils, et qu’il était beau l’enseignement du Seigneur pour ceux qui venaient à la source de cette parole sainte, au long de plus de soixante ans de parole. Oh, si les chrétiens avaient obéi au Seigneur durant tout ce temps, est-ce qu’ils seraient encore tombés autant de ceux qui s’étaient levés pour venir et appartenir au Seigneur?

Oh, combien de choses aimerions-nous rappeler et exhorter à vous, ceux qui travaillez aujourd’hui avec le Seigneur, mais c’est le Seigneur Qui est notre Maître et le vôtre, fils guidés par Lui. Et, Toi, Seigneur, donne-leur de la raison, pour en avoir, pour en travailler et la garder, de sorte qu’ils ne la perdent pour la désobéissance, arrivant ainsi à Te perdre Toi, par leur propre raison, qui ne travaillerait plus pour leur salut. Oh, parle Toi, Seigneur, et que nous nous réjouissions de Ta parole, car Tu es la Parole, et nous, Seigneur, nous sommes Ton fruit. Amen.

— C’est Moi, Moi et Mes disciples avec lesquels J’ai marché il y a deux mille ans, fils d’aujourd’hui de Ma parole.

Oui, c’est vrai, les fils. L’homme perd tout d’abord sa raison et seulement ensuite il quitte le Seigneur et ses frères. C’est pour cela que Je vous ai dit que seule la raison collective est bonne, car celle individuelle c’est de la présomption, c’est la chute qui sépare l’homme de Dieu et des frères, et voilà ceux qui sont tombés par leur propre raison ont aidé à l’affaiblissement d’autres frères, et ceux qui sont restés sont ceux qui aident la marche de l’œuvre de Dieu, la fidélité des frères et ils appartiennent au Christ.

Oh, fils hésitant par ta raison, toi qui fais des projets et toujours des projets pour tuer ton temps et ne pas le passer avec Dieu, oh, voilà ce que Je te dis, Moi, le Seigneur! Tu ne peux de toute façon être avec le Christ et Lui appartenir si tu n’as pas quelqu’un de capable de Sa part, à qui tu dois soumettre ton être et tout ce que tu as, quelqu’un qui sache de près tes choses, visibles et invisibles, pour pouvoir guider tout le temps tes pas et la vie avec le Seigneur, car autrement l’homme se permet de tout, lorsqu’il ne rend compte à personne de son travail sur la terre, et malheur à celui qui a la vie dans ses propres mains, à sa libre volonté, avec celles intérieures et celles extérieures de lui et de sa maison, car un tel homme n’appartient aucunement au Seigneur, le Seigneur ne le connaît pas par le témoignage de quelqu’un sur lui, sur sa vie vue de près.


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J’ai conseillé Mon peuple de se réjouir dans la pauvreté, avec le peu de tout, de peur qu’il puisse être attiré vers le monde et aller avec le monde, chercher dans le monde de l’occupation et beaucoup de choses nécessaires à la vie de la chair. Oh, celui qui laisse la pauvreté et le peu de tout, celui-là n’aime plus le Seigneur, et il est gagné peu à peu par l’esprit et le visage du monde et il délaisse ensuite la marche sur la voie avec le Seigneur et, aujourd’hui il enlève la chemise chrétienne, demain le voile ou le béret pour la piété, ensuite il laisse la peur de Dieu et il cherche avoir de tout comme le monde, il quitte le Seigneur, et seulement des blessures, des douleurs et de la tristesse restent après lui.

Oh, chrétien, fais ainsi que ni le coucou ne sache de toi et de ta maison, voilà Mon conseil pour toi depuis toujours, et maintenant Je t’ai montré tes fautes qui te font tomber, car l’oiseau nommé le coucou est un oiseau connu, un mauvais exemple, c’est l’exemple du monde et de l’esprit du monde et de la chair du monde, car il n’a pas de maison, il va laisser ses œufs dans les nids d’autres oiseaux, dont ils jettent des œufs pour y mettre les leurs, et au moment où les poussins sortent des œufs, ils jettent dehors les poussins légitimes du nid, et en grandissant, ils chassent du nid la mère adoptive, celle qui les élève. Oh, voilà, c’est ce qui M’est arrivé à Moi, le Seigneur, puisqu’ils sont venus des cœurs ayant l’amour de soi, pour être eux aussi dans Mon peuple, et ils M’ont jeté des enfants du nid et ils les ont emportés d’auprès de Moi, les menant vers le monde sans raison, car ils ont été comme les prédateurs, ils font comme le coucou qui endommage le nid et la couvée d’autres oiseaux, mais J’ai dit: fais que ni le coucou ne sache de toi et de ta maison et de tes voies avec le Seigneur, oh, chrétien, qui as pour Moi de l’amour et de la fidélité, car autrement tu tombes du nid, et tu n’as plus de protection, puisque le monde ne te protège pas quand te vas vers lui, mais il te déshabille de toute ta parure sainte et te porte vers la ruine peu à peu, et il Me laisse sans toi, sans Mes poussins, sans ceux élevés par Moi et nourris du ciel avec de la nourriture propre, sainte et douce pour l’âme, car ensuite tu cherches peu à peu de ressembler au monde et Mes anges ne peuvent plus t’aider sur la voie qui peut égarer, oh, et tu Me fais soupirer et tu Me donnes de la douleur et des larmes, fils sans fidélité jusqu’à la fin.

Faites attention, les fils, à l’exemple que Je vous ai donné, puisque J’ai perdu beaucoup de poussins, après les avoir nourris du ciel, et le monde les a gagnés pour lui. Je vois beaucoup des chrétiens travaillant pour eux dans le monde, mais le corps est petit et passager, et c’est dommage d’écouter la chair seulement, c’est un péché, oh, et Je vois beaucoup sous ce péché, Je les vois dans le monde, et le monde a un langage tout grossier, une vie toute mauvaise, il se complaît dans de lourds péchés et amène tout l’enfer sur la terre, et les chrétiens nourris du ciel partent et se laissent enchantés des choses du monde, de l’œuvre des hommes et ils prennent des hommes, comme si les hommes et leurs créatures seraient plus sages et meilleurs que Dieu, oh, et c’est ainsi qu’il méprisent le Seigneur et Sa création, c’est ainsi qu’ils font les chrétiens aussi avec le Seigneur, ils le font comme le monde et ils prennent du monde et non pas de la loi de l’Eden, pour la travailler elle aussi, et Moi, le Seigneur, Je ne peux voir cela et ne pas en avoir mal profondément, mal venu des chrétiens-mêmes. Qu’est ce que tu vas faire, oh, chrétien, celui qui Me remplit de tant de mal tous les jours, en portant ta chair par le monde, en l’écoutant et en prenant de lui? Oh, ne Me dis pas que tu es un géant et que le monde ne te vainc pas, du moment que Moi, le Seigneur, Je te vois vaincu par lui, par ses choses, après lesquelles tu cours, et ensuite tu ne peux plus comme le Seigneur, et tu ne peux plus rien faire de beau, et ton oreille et ton cœur et ton âme, ton être s’enchantent en profondeur, et J’ai si mal de voir Mon travail perdu, après t’avoir nourri pour que tu sois le Mien, et voilà que tu t’en vas d’auprès de Moi, tu t’en vas vers le monde et tu t’y installes. Oh, tu n’as pas aimé la vie comme en Eden et voilà, tu aimes la vie comme dans le monde, monde qui fuit du travail, et qui t’y pousse toi aussi, pour ne plus travailler le paradis, pour ne plus le garder propre, tel qu’il est écrit pour l’homme.


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Oh, fils chrétiens, ne viens pas au Seigneur pour une raison ou quelque désir de ta part, oh, ne fais pas ainsi, car tu Me quitteras, si tu ne vois pas tes vœux accomplis. Ne viens pas même pour le bénéfice de ton salut, car c’est toujours de l’amour de soi, et Moi J’ai demandé à l’homme de se renoncer pour aller sur sa voie avec Moi. Viens seulement puisque le Seigneur, est Créateur et Dieu pour toi et pour tous. Viens pour l’amour de Lui, si seulement tu l’as cet amour, car si tu veux le construire selon ton savoir et vouloir, oh, tu ne vas pas bien, mais prie le Seigneur de demeurer toujours en toi, et ne pas te laisser seul dans ton âme, oh, et aie pitié de Moi, afin que Je t’écrive dans mon livre, dans le livre de la vie de l’Agneau, fils chrétien, car Je donne Ma vie à ceux qui M’aiment avec de la pitié.


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Oh, voilà ce qui arrive à l’homme, les fils, il est toujours pris de vertige, autant qu’il puisse se sentir au-dessus de Dieu, dont les vœux il transgresse toujours par la volonté de soi, et c’est l’illusion de soi que s’appelle ce péché-là. Et tout comme le vin monte à la tête de l’homme quand il en boit, de même il arrive avec l’illusion de soi, la présomption et le manque d’humilité, qui montent à la tête et donnent du vertige à l’homme, et voilà pourquoi J’ai décidé, Moi, le Seigneur, que l’homme ait un conseiller, pour lui obéir entièrement, car autrement l’illusion de soi va lui monter à la tête, et ce péché apprend l’homme à se cacher en soi, d’être son propre Dieu, se réserver pour lui-même et ne pas se laisser connu dans l’intimité de son âme.

Oh, les fils, les fils, lorsque l’homme vient se donner au Seigneur, voilà, il ne sait pas qu’il ne doit plus garder des siens, de ses vœux, de sa façon de voir les choses, de ses habitudes, il ne sait pas se purifier pour le Seigneur de tout ce qui le sépare de Lui. Si tu viens te soumettre au Seigneur, alors change-toi, oh, chrétien. Tu ne peux être guidé et maintenu dans la lumière si tu ne quittes pas l’habitude de ne te laisser pas connu avec toutes tes choses, puisque le Seigneur ne force pas l’âme de l’homme si celui–ci se réserve des pensées, des sentiments, du travail et des parole personnelles, et c’est ainsi qu’il se tient devant le Seigneur. Oh, devant le Seigneur on doit se tenir droit, ou pas du tout, puisqu’à moitié ce n’est pas possible, tel que l’homme est habitué à faire entre lui et Dieu, Celui Qui voit tout, et voilà pourquoi Je n’ai plus de saints sur la terre, ni d’harmonie entre l’homme et Moi, telle que Je l’ai eue entre Moi et les trois disciples, avec lesquels Je suis monté à part sur la montagne et Je leur ai montré Mon visage céleste, resplendissant de sa lumière. Ces trois disciples n’avaient plus entre Moi et eux quelque chose qu’ils se réservent, même quelque chose de très petit, et ils étaient ouverts totalement envers Moi, et Je regardais si facilement en eux, du moment qu’ils ne gardaient rien qui les sépare de Moi, et tout était dans la lumière entre eux et Moi, tel qu’ils ont pu se rendre dignes de voir un instant la gloire du Seigneur, moment suffisant à ceux purs de cœurs pour témoigner du Seigneur ensuite, alors et le long des temps, que Je suis venu du ciel, que Je suis le Fils du Père et que Je le suis depuis l’éternité, puisque l’Esprit a pu S’installer en eux et Se découvrir à eux, et pas seulement la vue de Mon visage dans la gloire du Père, et la voix du Père, Qui leur a parlé des airs Me proclamant comme Son Fils, Celui en Qui le Père a bien voulu.

Oh, fils du peuple de Ma parole, Je ne peux rester maintenant avec vous en parole pour vous en donner de plus, puisque maintenant ils n’ont pas de forces ceux qui Me soutiennent, quand ils ont des souffrances à porter. Je vous annonce pourtant que Je parlerai dans dix jours, lorsque J’aurai ici sous la tente le peuple réuni pour la fête de Ma mère la Vierge. Mais maintenant, les fils, Je mets dans le livre parole écrite et Je vous dis:

Qu’elle soit bénie la préparation du jour de la fête et la voie vers la cité de Ma parole de ceux qui prendront le chemin pour venir à Dieu!

Qu’elle soit bénie l’harmonie et la paix de vous et d’entre vous, ceux qui préparez ici l’emplacement, pour l’arrivée solennelle de ceux du ciel et de ceux de la terre ici, avec la fête!

Oh, les fils, les fils, la paix se réalise par l’harmonie entre vous, et l’harmonie naît de l’amour, celui d’en haut, celui pour le Seigneur. Le bon comportement et l’harmonie, cela vient de l’amour, et celui qui ne les a pas dans sa conduite envers le Seigneur et les frères, celui-là n’a pas d’amour, il n’a pas l’ordre du ciel sur sa raison et son cœur ensuite. Je vous conseille donc d’agir en faveur de la paix entre vous, et Je vais vous regarder, les fils.

Oh, celui qui n’apprend pas, il ne peut rien faire. Celui qui n’aime pas son maître, celui-là est hypocrite en amour, quand il veut montrer qu’il aime. Lamour n’est pas d’hypocrisie, les fils. L’amour c’est Dieu, tel qu’il est écrit, si seulement l’homme veuille se rendre agréable à Dieu, et à Lui seulement.


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Mettez au travail la vue de la foi, pour pouvoir vous réjouir de la grandeur de celles qui viennent du ciel, puisque les ancêtres avec lesquels Je viens portent des chemises blanches, ils ont des vêtements saints, car ceux du ciel ont des chemises de lin et ils sont Ma gloire. Vous allez dire: «Cela veut dire quoi, ils ont des chemises ceux du ciel?». Oh, mais comment ne pas avoir? Cela signifierait qu’ils soient nus sans chemises, sans Ma gloire. Moi aussi, le Seigneur, J’ai une chemise, et c’est ainsi qu’elles ont toutes les armées de saints, c’est des chemisettes de lin qu’ils portent.

Oh, voilà ce que Je vous dis encore: Ceux des cieux ont le signe de la soumission sur leurs têtes, car c’est Moi l’Empereur entre eux. Sait-il encore aujourd’hui l’homme de la terre comment se présenter devant Dieu l’Empereur? Le bonnet est le signe des bénis, des soumis, ayant sur eux le Seigneur l’Empereur. Pourquoi les soldats ont-ils des bonnets, les grands comme les petits? C’est parce qu’ils sont sous la soumission. Oh, mais l’homme, il est libre, le pauvre, et tous ils agissent à leur guise sur la terre, tous à nus-têtes, femmes, hommes, enfants, maîtres et serviteurs, personne n’a plus le signe de la soumission, personne n’a plus de Dieu, et ils se présentent tous devant Dieu la tête découverte, oh, et comment ne pas venir la fin du monde, comment serait-il autrement, du moment que c’est cela qu’ils demandent tous? Au temps des ancêtres c’était seulement ceux qui perdaient par la mort quelqu’un de leur famille, qui allaient la tête découverte, et alors ils se rasaient leur barbe et leur tête, et les autres reconnaissent ce signe. Mais aujourd’hui tous montrent le Signe de la mort, et personne ne sait plus le mystère de la tête couverte pour la soumission, et les anges mêmes se montrent à petit ruban blanc sur la tête, signalant leur soumission envers le Seigneur, leur Empereur, mais en ce temps, à l’approche de la fin de toutes et du début de toutes, ciel nouveau et terre nouvelle, tel qu’il est écrit d’être et de se montrer, oh, tous se présentent indépendants, insoumis, et presque personne ne sait plus que c’est seulement l’esprit de satan qui montre l’homme séparé de Dieu sur la terre, et plus que ça il cherche apprendre à l’homme de croire et de dire qu’il n’y a pas de Dieu, et tous ceux qui croient cela et le disent sont les fous, tel qu’il est écrit.


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Oh, paix à toi, peuple nourri du ciel! Des ailes de chérubins devraient avoir ceux tellement nourris et doués par le Saint-Esprit, le Consolateur, par les mystères descendus d’en haut sur ceux nourris de lait venu du ciel.

Oh, les fils, les fils, celui qui veut être quelque chose, qu’il ne cherche pas autre chose que le Saint-Esprit, Celui Qui donne de la vie et toutes les bonnes choses et de la consolation et du pouvoir et de la purification et de la sagesse, et ensuite un visage, les fils, mais que personne ne dise qu’il ne veut rien, qu’il ne veut être quelque chose, puisqu’au moins de purification chacun a besoin, et cela par le Saint-Esprit, les fils.


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Oh, apprenez, apprenez à allumer la lumière toutes les fois que les ténèbres luttent contre vous, puisqu’il ne faut pas culpabiliser les ténèbres, mais il vaut mieux allumer le cierge lorsque la lumière tombe, et ne pas accuser l’obscurité.

Oh, les fils, les fils, allumez le Saint-Esprit! Sans Lui, sans Moi vous ne pouvez rien faire, c’est ainsi que J’ai dit, et J’ai dit encore que tout ce que vous allez demander au Père en Mon nom, Moi, J’accomplirai, si seulement vous allumez le cierge, si seulement vous demandez, et Moi, J’y ferai attention.

Oh, quand tu es en faute, n’y reste pas, prie le Seigneur de te lever, mais prends garde de ce que tu as à faire ensuite, à savoir de pleurer au Saint-Esprit, qu’Il vienne prendre place dans ton cœur par ta foi, et ne fais pas autre chose au moment où la lumière disparait à l’improviste, et la lumière c’est le Saint-Esprit, et elle s’enfuit quand vient l’obscurité, mais cette lumière attend de tendre ta main après elle et de l’appeler pour s’approcher.

Oh, les fils, c’est un grand enseignement que Je vous donne. Tout ce que vous pouvez comprendre, c’est seulement par l’amour que vous pourrez le faire. Vous ne pourrez rien sans l’amour, vous ne comprendrez rien, et le renoncement à soi vous remplira de sa connaissance et d’amour ensuite, et tous ceux-ci on les voit comme dans le miroir, les fils, lorsqu’ils travaillent. Je parle avec vous sur ce mystère et Je parle clairement, car le visage de l’homme c’est le miroir qui le montre, tel qu’il est à l’intérieur, et voilà, chacun choisit lui-même le miroir par lequel ceux de son entourage le regardent et le voient avec son intérieur. Si le miroir te montre dans l’obscurité et tu ne resplendis plus avec le cœur et le visage, oh, du moins ne culpabilise plus rien et personne, ne frappe plus dans l’obscurité qui t’entoure, mais plutôt allume le cierge, appelle le Saint-Esprit pour prendre place en toi, pour Se faire lumière en toi, car Il vient si tu L’appelles, Il vient et Il te purifie, car c’est pour cela qu’Il vient, mais c’est pour cela qu’il faut que tu L’appelles, pas pour autre chose, et une fois qu’Il est présent en toi, tu ne sens plus le besoin d’aller vers tes prochains accuser l’obscurité et ce qui ne te convient pas, et tu vas te laisser illuminé et purifié et renouvelé, et c’est seulement ainsi que ton visage va changer et va partager l’amour, la lumière, le fils, car c’est un péché de punir ceux d’autour de toi avec les choses qui ne sont pas lumière en toi, oh, et c’est comme ça que tu vas te laisser gagné du côté de l’amour, et vous allez Me ressembler, Mes fils, à Celui Qui est doux et humble de cœur, tel que Je vous ai dit que Je vous parlerai encore sur ce grand mystère, votre beauté, celle du cœur et de sa lumière, l’amour qui se trouve en vous, les fils.

Oh, Il a tant aimé le monde Mon Père, qu’Il M’a donné pour venir homme sur la terre et sauver l’homme du châtiment, et encore, Moi, J’ai tant aimé les Miens et tous par leurs intermédiaires, que J’ai envoyé le Saint-Esprit le Consolateur pour purifier tout homme, qui cherche vers sa lumière. Voilà donc c’est seulement par la douceur et l’humilité du cœur, seulement par celles-ci que celui qui les possède puisse allumer le cierge lorsque l’obscurité essaie de le mener à culpabiliser un autre, et le visage de l’homme se remplit de la lumière intérieure, car celui qui a l’amour de la lumière, celui-là est doux et humble de cœur, tout comme Moi, les fils.


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Oh, voilà en quoi consiste la sagesse de Dieu dans l’homme! Il ne peut pas avoir le renoncement à soi celui qui n’est pas comme Moi, doux et humble de cœur. Il ne peut avoir la croix et le pouvoir de Me suivre celui qui n’a pas la sagesse de Dieu en lui, à savoir la douceur et l’humilité du cœur, les fils. Ce n’est pas l’image et le visage du Christ l’homme qui n’a pas dans le cœur, sur le visage et dans sa conduite la douceur et l’humilité du cœur, cette croix douce à porter, et c’est seulement ceux qui les ont qui peuvent aller avec Dieu pour la vie du siècle à venir, et qu’elles sont nombreuses les choses à ranger selon ce miroir, pour que l’homme Me connaisse dans cette œuvre de parole, avec laquelle Je viens sur la terre, afin de montrer l’image de Mon royaume, l’homme avec Dieu sur la voie, homme ayant Mon visage sur le sien, et Mon visage est celui de l’intérieur de l’homme, qui se révèle à l’extérieur et se fait miroir, dans lequel on peut voir et connaître et suivre Dieu.


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Oh, si celui qui M’est fidèle doit choisir une voie, un but, voilà, qu’elle soit la vie du siècle à venir, la cherchant ensuite toujours et toujours, ayant compris qu’il faut la distinguer durant sa lutte pour elle toujours et toujours, car il n’y a pas d’autre temps pour elle, mais il faut que l’homme ne laisse pas cette voie pour le moment choisi à son gré, dans sa vie de lutte, au temps de la connaissance, de la science celle pour la volonté de Dieu en l’homme.

Il est grand le mystère du miroir. C’est l’homme dans lequel il faut qu’on voit le Seigneur avec Son visage, pour la résurrection de beaucoup de gens, et par le jugement de ceux qui s’opposent, dans lesquels Dieu ne peut pas être vu et suivi pour Son royaume dans l’homme.


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Lorsque tu vois un frère entouré de brouillard, oh, ne cherche pas d’estomper le brouillard par lequel il ne se distingue plus, mais cherche seulement de redoubler en toi l’éclat du royaume des cieux, le pouvoir du Seigneur, Celui doux et humble de cœur, Mon visage qui réchauffe tout autour et en partage, oh, et le brouillard se dissipe par la chaleur d’auprès d’elle et le soleil apparaît et le nuage s’en va, et voilà de nouveau l’esprit de la vie qui console et ressuscite, et cela c’est l’œuvre de la fraternité, oh, et quel grand accueil doivent avoir les frères l’un de l’autre, car malheur à celui qui est seul, lorsqu’il peut avoir de petits frères, et Ma bénédiction qu’ils ont sur eux.


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Oh, apprenez bien, et cherchez de ne pas avoir embrouillé le chemin de la prière vers le Seigneur. Soumettez-vous quand c’est votre tour à vous soumettre. Humiliez-vous lorsque cette épreuve vient sur votre cœur, pas sur votre raison, car la raison est toujours contraire à Dieu et à l’homme et ne le laisse pas d’être libre d’être beau, du moment que lorsqu’elle travaille, elle est presque toujours l’ennemi de l’homme et du Seigneur dans l’homme, puisqu‘elle n’a pas de maître, elle est seule, elle fait ce qu’il lui plaît, elle devient infatuée et elle passe au cœur son travail, et la prière n’a pas libre chemin vers le Seigneur, car J’ai appris à l’homme d’être libre de l’esprit de soi et d’autres esprits, et Je lui ai dit de ne pas s’approcher du Seigneur s’il y a quelque problème qui lui rendre dur le cœur, pour garder en mémoire le mal , la colère, le mépris envers quelqu’un qu’il a de travers dans son cœur, et alors il est fermé le chemin de ta prière vers le seigneur, et voilà, il faut que tu veilles, le fils.

Oh, quand tu te considère lésé dans tes droits, humilié, méprisé, sans patience ou sans amour pour la patience, voilà ce que Je t’apprends: Oh, prends garde à la sagesse du salut, le fils. Il est possible qu’alors le Seigneur veuille effacer de tes nombreux péchés, car David, le fidèle disait: «Efface, Seigneur, mon péché, car il est constamment devant moi, entre moi et Toi toujours, et Je le connais, mais, Toi, détourne Ta face de mes fautes et efface-les, ne me rejette pas et crée en moi un cœur pur, ne m’enlève pas Ton Esprit Saint, et rends-moi la joie du salut».

Oh, les fils, au temps de l’épreuve de ton humilité ne te mets pas sur la chaise de la justice, car c’est le droit du Seigneur, c’est Lui Qui apprécie, c’est Lui Qui connaît la justice ou l’injustice dont tu es mécontent. L’empereur David avait toujours ses péchés devant lui et c’était ainsi qu’il gardait l’esprit de l’humilité, cette grande justice, que l’homme éloigne toujours de lui, puisqu’il ne sait pas comme Dieu et comme ceux qui sont comme Dieu, et celui qui est comme Dieu, celui-là connaît Dieu, et il ne cherche pas son intérêt, et il travaille comme Dieu.

Oh, les fils, les fils, prenez garde de ne pas vous débattre pour votre justice, de ne pas être mécontents, puisque vous, en commençant des problèmes d’entre vous, sans vous rendre compte, vous pouvez diriger le jugement sur ceux dont Je M’aide pour venir chez vous, pour venir sur la terre, et ceux-ci se tiennent de Mon côté, du côté de la justice de tout. Ils savent, eux, que tout ce qui vient sur l’homme n’importe d’où et n’importe comment, tout cela arrive à Mon savoir, pour éliminer quelques unes des fautes multipliées par le manque de vigilance, pendant que l’homme ne porte pas pleinement sa croix, le renoncement à soi devant toute épreuve qui vient vers lui pour prouver s’il a la croix, la crucifixion comme Dieu, pour avoir ensuite la résurrection comme Dieu, et il est bon que vous disiez alors: J’ai toujours vu le Seigneur devant Moi, car Il est à ma droite pour que je ne chancelle pas.

Oh, il est difficile sans Dieu, les fils, et vous le constatez chaque fois que vous avez le cœur gros, chaque fois que votre amour faiblit, c’est pourquoi Je vous exhorte à ne pas restreindre Ma place en vous, en votre cœur et en votre raison ensuite, et prenez exemple des saints qui faisaient des miracles avec l’humilité de leur cœur. Celui qui est doux et humble de cœur a les anges de Dieu près de lui, car il leur convient un tel cœur et pouvoir, et les anges vont à Dieu avec les belles choses du cœur doux et humble.

Et ayez le cœur sans tache, les fils. Oh, comme faire cela? En toute circonstance et événement cherchez de comprendre ce qui est à la volonté de votre cœur, et ce qui est le droit du Seigneur, puisque vous ne voyez pas comme Dieu le voit, et cela est seulement pour ceux qui sont comme Dieu pour la justice de tout.


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Je vous ai dit il y a trois jours, qu’encore un jour ayant passé, nous nous motterons de nouveau dans le livre pour nourrir ceux qui se nourrissent de Ma source de parole. Oh, si Je ne vous parlais pas, vous aurais-Je encore comme fruit de Ma parole, aurais-Je encore de la joie? Oh, les fils, c’est vous Ma joie, et nous disons à tout le peuple de Ma parole que le discours d’entre les frères est le fruit de leur prière vers Moi, c’est la preuve que vous travaillez tous la prière, qui vous apporte la réponse de Dieu, et celle-ci a comme fruit de fruit le don de la prophétie, et David, lorsqu’il envoyait sa prière vers Dieu, il la mêlait à la prophétie, car elle est le fruit de la prière, oh, c’est pour cela qu’elle vient sur la terre la prophétie et son accomplissement, et elle vient de l’état de l’homme parlant avec Moi, et elle vient de l’humilité de l’homme, qui s’incline au Seigneur par la prière d’amour, de pardon, d’appellation du Saint-Esprit au travail avec l’homme, dans l’esprit de la prophétie et voilà, il est loin de Dieu l’homme, les fils, loin avec la prière, loin, car David disait: «Je me suis levé et voilà, je suis encore avec Toi, Seigneur».

Oh, ils sont tourmentés, les hommes. Ils n’obéissent pas à Dieu les hommes. Elle est toute une souffrance leur vie, celle de ceux qui n’obéissent pas, car le diable torture à sa volonté ceux qui sont séparés de Dieu avec leur vie. Mais vous cherchez toujours d’être unis avec Moi par votre parler avec Moi, et ensuite, les fils, osez vaincre et être vainqueurs, et vainquez le monde et le diable, tel que Je l’ai fait, car ceux–ci sont les ennemis qui se trouvent entre vous et Moi, mais vous, soyez les fils de votre discours avec Dieu, pour ne pas donner de lieu et du temps au diable, qui prend l’homme de Mes bras, et sans Moi avec vous et en vous, vous arriverez ensuite à devenir mécontents, c’est-à-dire privés de Dieu, comme ceux qui se plaignent les uns aux autres sur leurs mécontentements, oh, les fils, mais ceux-ci les uns et les autres feront mieux d’apprendre par cœur de se garder l’un l’autre de ce péché horrible, car la justice de toutes choses n’est pas à la porté de n’importe qui , non, les fils, et il est dangereux que l’homme se mette sur la chaise de la justice, car c’est le lieu du Seigneur sur cette chaise, puisque le Seigneur ne voit pas comme l’homme, ne se plaint pas, comme l’homme. Le Seigneur pleure seulement, mais Il ne Se plaint pas, Il ne Se mécontente pas pour Se plaindre.

Oh, l’amour de Dieu reconnaît Dieu dans l’homme-même et dans son prochain, et il ne tente pas Dieu pour l’homme. Que personne donc d’entre vous n’exhorte au mépris envers les frères devant quelqu’un auquel il se plaindrait contre d’autres frères, quand cela lui viendrait dans l’esprit, et soyez tout amour, les fils.

Oh, ne vous accommodez pas trop avec l’homme, car entre homme et homme il arrive des séparations pour beaucoup de motifs, Je vous l’ai dit déjà. Mais vous, habituez-vous toujours plus avec le Seigneur tout près, car entre l’homme et Dieu, ne vient pas la séparation, et l’homme ne peut plus demeurer sans Dieu, ni durant sa vie sur la terre. Tout ce pouvoir vient de l’esprit de la douceur, douceur comme la Mienne, qui ne passe pas, qui ne diminue pas, et c’est elle la vraie vie, le vrai amour de la vie de l’homme, l’œuvre de l’amour d’entre les hommes, et il est grand, et il ne tombe pas. Oh, habituez-vous avec les choses qui demeurent, avec les sentiments qui demeurent et qui ne finissent pas, et qui ne terminent pas l’homme, tout comme ils ne finissent pas.

Je t’ai enseigné Mon peuple, d’être toujours préparé pour Dieu et de travailler pour Lui comme si tu n’aurais de fin, et d’être prêt à tout instant pour ta présentation devant Lui, s’Il vient pour t’appeler. C’est pour cela que Je t’ai conseillé comment vivre chaque jour, comment te lever, comment travailler et comment te reposer ensuite pour le jour suivant, et faire ainsi sans arrêt, jour par jour. Mais si tu ne fais pas tel que Je t’ai dit de le faire chaque jour en toute obéissance, oh, alors cela signifie que c’est la crainte de Dieu qu’il te manque, crainte d’où vient la sagesse de la vie, c’est –à-dire l’obéissance, les fils, car c’est elle qui te garde le Mien, tout comme elle aurait pu garder Adam, pour qu’il ne périsse pas de la Main de Dieu, et voilà, que personne ne dise qu’il est à Dieu, s’il ne Lui obéit pas, s’il fait comme Adam dans l’Eden, désobéissance envers la parole de Dieu.

Oh, il suffit à l’homme Ma volonté, mais s’il agit selon sa volonté, pas comme Moi, il ne M’a plus comme son Dieu, mais ce qu’il a c’est seulement soi-même, et il n’est plus un homme conseillé, oh, c’est seulement celui qui est conseillé par Dieu qui appartient à Dieu, qui Lui est utile, mais Moi, le Seigneur, Je n’ai pas de bénéfice de la part de l’homme, car il n’est pas habitué à obéir, il n’est pas habitué avec Dieu, puisque celui qui n’obéit pas à Dieu, il n’a pas Dieu de père. Les enfants seulement obéissent à leur père, mais s’ils perdent l’obéissance, ils perdent aussi le père.

Oh, J’ai bâti l’homme et Je lui ai donné âme vive et Je l’ai mis ensuite dans le jardin d’Eden, dans l’obéissance Je l’ai mis, et voilà un autre nom pour le paradis de l’homme: c’est l’obéissance ce nom, les fils, et si l’homme n’obéit plus à Dieu, il n’a plus le paradis, il s’en va dans la désobéissance, le pauvre, comme l’un de ceux qui n’ont plus de père à lui obéir. Restez donc dans l’Eden, restez dans l’obéissance, les fils, car Je dois découvrir sur la terre le mystère du paradis et le jardin ensuite, et voilà, Je n’ai pas avec qui accomplir cela, et le temps est venus, les fils.

Oh, priez sans cesse car c’est ainsi qu’il vient l’esprit de la prophétie, c’est l’Esprit-Saint Qui vient par la prière, Il vient avec de grands accomplissements, les fils, Il vient et réveille de plus en plus l’harmonie et son sentiment entre les frères, oh, et ils vont pleurer beaucoup de gens qui ont rejeté ce mot, lorsqu’ils l’ont entendu et ils n’ont pas voulu le comprendre et en croire, pour leur intérêt.


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Oh, les fils, les fils, aurait-il été possible que Je ne trouve pas la foi pour venir? Oh, cela aurait été possible si Je ne mettais pas la foi en vous pour Ma venue d’aujourd’hui. Mais Je vous ai accordé un grand don: la foi, celle qui M’a amené pour accomplir ce que J’avais dit alors: que Je viendrai à celui qui croit et je ferai Ma demeure chez lui, et Je dinerai avec lui et Je Me montrerai à lui, et c’est cela que J’ai accompli avec vous, et c’est seulement ce qui est écrit dans les Ecritures que J’accomplis, par la foi que j’ai mise en vous, oh, et il n’y a plus de foi sur la terre dans les hommes, pour qu’ils croient comme vous eux aussi, et pour Me recevoir comme vous eux aussi, puisque la foi ne s’avère pas comme foi, si elle n’amène pas le Seigneur sur la terre, les fils, et c’est cela que signifie l’église de Jésus-Christ, église selon la vérité, car autrement l’église est une institution, sous ce nom. Et voilà arrivé, plus que jamais, le temps que tout homme distingue Ma vraie église d’avec celle qui a seulement le nom d’église sur elle. Oh, au milieu de Mon église il y a l’esprit de la prophétie, c’est ainsi qu’elle a commencé il y a deux mille ans, lorsque Mon apôtre avait dit pour Mon église: «Aspirez aux dons spirituels, mais surtout aspirez à celui de la prophétie, de bâtir l’église du Christ sur sa pierre!».


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Oh, que la paix et le calme soit toujours avec vous, en tout, les fils! Et maintenant partagez Dieu à ceux qui viennent à Sa source de Parole, car Moi, Je leur enseigne en ce jour de fête de l’Epiphanie et Je leur dis de veiller par toute la force de leur esprit, pour ne pas mettre en danger le sacrement du baptême, tel qu’ils le font tous les hommes, s’ils oublient leurs devoirs chrétiens venus avec le baptême, qui consacre l’homme à Dieu. Oh, les fils, ils détruisent totalement l’habit du baptême d’un petit enfant ceux qui rentrent de l’église, car ils se prosternent aux idoles: à l’ivresse, à la débauche, aux joies du monde, aux expressions malséantes, oh, les fils, et qu’est-ce qu’il en reste du sacrement du baptême, celui si négligé par l’homme? Mais vous, les fils, Je vous exhorte à la veille, puisqu’il faut bien comprendre le mystère de la consécration de celui qui est amené devant Dieu pour le baptême, au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Et ce que Je vous dis maintenant, il n’y a pas qui l’apprendre au monde, pour que tous les baptisés sachent quels sont leurs devoirs afin qu’ils puissent appartenir à Dieu ensuite, et ne pas tomber.


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Oh, les fils, les fils, qu’elle ne vous manque pas l’humilité entre vous et Moi, et surtout celle entre vous et vous, comme fils de Dieu, car l’humilité est un grand don, puisque c’est l’amour qui travaille et qui naît l’humilité, celle qui est l’action de l’amour, les fils. L’esprit contraire à Dieu et à l’homme essaie toujours de durcir le cœur de l’homme et ses sentiments et le rendre laid, laid de cœur et de personne aussi, mais le chrétien est celui qui veille, qui se prépare toujours pour son Seigneur, pour Lui ressembler, pour l’humilité, les fils, car c’est elle qui montre que l’homme a l’amour et la paix de l’amour, et toutes Mes paroles naissent de Mon regard vers la terre, vers vous, les fils, du moment que Je suis votre Maître et Je veille sur vous avec le regard et la parole.

Oh, évitez même le plus petit péché, les fils, et vous aller vous sauver de son châtiment. Mettez l’esprit de l’âme et le corps sur la voie de la prière, lorsque le mauvais esprit tourne autour de vous et il s’efforce de vous abattre de l’esprit de la vie. Je suis prêt à entendre que vous M’appelez pour vous éclairer, vous rafraîchir ensuite par de nouveaux pouvoirs, et tout cela si seulement vous M’appelez aux temps de votre séparation de Moi, car vous savez Ma volonté, elle doit être accomplie, pour ne pas arriver au mal, comme Adam, qui a perdu Dieu, et Moi, Je viens à votre aide aux temps des épreuves, si vous M’appelez, les fils.

Oh, apprenez à dire comme Moi: «Que Ma volonté ne se fasse pas, mais la Tienne, Seigneur!».


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Oh, les fils, les fils, Nous Nous inclinons pour descendre, afin d’être avec ceux qui s’inclinent. Nous nous inclinons, car l’inclination signifie amour, oh, et de combien de travail de l’amour on a besoin pour que le chrétien s’y accommode et le pratique ensuite. Lorsque sur la terre il y a quelqu’un qui veut gagner la première place dans une compétition entre plusieurs concurrents, il travaille beaucoup, il a un conseiller qui veille sur son travail en vue de la compétition à laquelle il s’inscrit. Oh, le chrétien aussi a grand, grand besoin de travail, de conseil, de veille, pour qu’il puisse ensuite atteindre l’œuvre du pouvoir de l’amour.

Ils se demandent de la marge ceux restés avec Moi sur la voie de l’amour ici, ils se demandent pourquoi ceux partis de Mon petit bateau sont tombés de lui. Moi, Je leur réponds pourquoi et Je leur dis que c’est à cause de l’infidélité qu’ils ont fait cela, et l’indifférence à laquelle arrive celui séparé de Mon bras avec vous, c’est le fruit de l’incrédulité, du manque d’amour, puisque l’amour ne tombe jamais, les fils, il existe toujours et toujours et il passe dans le ciel avec lui, celui qui l’a de surveillant sur sa vie avec Dieu.

Oh, les fils, les fils, celui qui veut toujours appartenir à l’amour, il cherche toujours et toujours l’apprentissage de l’amour et il cherche ardemment, et J’ai dit il y a deux mille ans sur ce désir ardent, J’ai dit que c’est du feu que J’étais venu à jeter sur la terre, et combien J’aimerais qu’il s’allume! Et voilà, le cœur qui tient Mon amour est tout un feu, et ce feu garde dans la pureté l’homme et le lieu réservé en lui pour Dieu et pour les frères. Oh, celui qui n’a pas ce feu en lui, inextinguible ce feu, celui-là se refroidit, le feu s’éteint, et le feu qui s’éteint par le manque de veille, ce feu là ne s’allume plus, les fils, et lorsque l’hiver des épreuves approche, oh, que peut-il encore faire face à lui, celui qui n’a pas gardé le feu allumé et la chaleur convenable à Dieu et aux frères?

Oh, les fils, l’homme chrétien ne peut suffisamment comprendre combien il est difficile pour lui de se garder chrétien utile à sa rédemption. J’observe les chrétiens et Je vois ce qu’ils font. Ils imitent les uns les autres seulement à ce qui n’appartient pas à la pureté du cœur envers Dieu et les frères et à lui-même, mais imiter ce qui est agréable à Dieu dans les autres, qui suivent avec crainte le Seigneur, se relevant toujours de leurs fautes, oh, cela ne se voit pas dans le travail de la veille, du moins celle de l’un pour l’autre, et voilà pourquoi Je ne peux pas Me former un peuple plus nombreux, au cœur plus pur, plus capable à aider Dieu sur la terre.

Oh, il a tant besoin de baptême l’homme toujours, et toujours, de tant de relèvement, de tant de connaissance sur salut de son âme, de tant de tout cela, et d’autres encore, les fils, et de s’en enrichir chaque jour de plus! Et on peut tout réaliser par l’inclination, les fils.

Oh, si Jean le Baptiste s’est tellement incliné, demande-toi, chrétien, combien tu dois t’incliner toi, pour que tu ne perdes pas le Seigneur, comme Adam L’a perdu, lui qui ne s’est pas incliné à la sagesse de la vie. Moi, Je suis venu alors et Je viens aujourd’hui aussi et Je jette sur la terre du feu de Mon Esprit pour qu’il allume beaucoup de gens, mais l’indifférence envers Dieu est trop grande dans l’homme, et elle se trouve aussi au chrétien qui prend du feu de Ma parole, mais il prend, il prend encore et encore, et le Seigneur attend, Il attend le fruit vif de l’amour de Dieu dans celui qui a Ma parole d’en haut comme nourriture de la vie, et voici le manque de ressemblance avec les saints, qui avaient des chars de blé amassés, face à ceux qui réunissent à peine d’acquérir une poignée de grains, les fils!


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Hier J’ai parlé aux eaux et elles M’ont entendu et ont reçu Ma parole et son œuvre, elles se sont inclinés et ont travaillé, mais aujourd’hui Je parle aux cœurs pour leur apprendre l’inclination et l’œuvre de Ma parole sur eux, et celui qui ne s’incline c’est l’homme qui sort de sous l’influence de l’œuvre de Ma parole, pour ne pas l’accomplir, en temps que ceux qui s’inclinent ne regardent pas de côté pour voir si les autres accomplissent ou non la parole du Seigneur, mais ils regardent vers Moi avec pitié, pour accomplir Ma volonté, et que Je l’inscrive comme vase du cœur pur envers soi, envers son prochain et envers Dieu, et cette grande œuvre n’est plus visible au chrétien, et ils disent tous que ça va comme ça aussi, mais autre chose c’est que le Seigneur s’exprime sur la marche du chrétien, puisqu’il y a quelques uns qui tombent, mais ils se relèvent par la vérité et par la veille ensuite, et il y en a d’autres qui se tiennent seulement sous l’œuvre du manque de sagesse du cœur envers eux-mêmes, envers les frères et envers Dieu, oh, et J’ai dit qu’on ne peut pas entrer ni du ciel ni de la terre, dans le cœur qui se cache avec ses faits, du moment qu’il ne se tient pas dans la lumière celui qui choisit de se cacher.


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Oh, paix à vous, les fils! Nous ouvrons le livre, parce que Je vous rassemble chaque fois sous Mes ailes, tout comme l’oiseau qui défait ses ailes sur ses petits pour les protéger et les nourrir de son bec, pour les avoir et ne pas les perdre, car l’amour de mère ne dort pas, mais il veille, les fils, et vous, habituez-vous avec Moi et Ma protection sur vous, car Mon enseignement toujours sur vous, vous rassemble, vous appelle et il agit comme Mes ailes, qui rassemblent Mes petits toujours auprès de Moi, et leur apprennent de se tenir sous la veille, puisque les solitaires sont ceux qui agissent selon leur volonté, sans Mon aide, et ils se cachent pour agir selon leur impulsion intérieure, car ils se sentent grands, ils ne sont pas sages, et ils s’éloignent ensuite pour accomplir leurs vœux, et ils restent sans aucune protection et ils perdent le chemin vers à la maison, et il se passe avec ceux-ci tout comme à la Jérusalem de Mon temps, qui n’a pas appris de Moi la voie, qui n’a pas écouté Mon enseignement, qui aurait pu la rassembler sous Mes ailes, mais elle n’a pas voulu, la Jérusalem, même si Je leurs avait dit que c’étais Moi la voie.


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Vous, ceux qui choisissez d’obéir à Mon enseignement, qui vous protège, Moi, Je vous dis encore, impérieusement Je vous le dis, pour qu’elle reste comme un sceau sur vous Ma parole de protection: oh, les fils, les fils, gardez la distance, tenez-vous loin de ceux qui se sont révolté, mécontents et désobéissants à Ma parole, et qui ont produit du trouble sur la voie avec vous et ils se sont retirés ensuite de la voie. Qu’ils se tiennent tranquilles, tel qu’ils ont choisi de faire et de vouloir, et s’ils veulent, qu’ils gardent aussi la sagesse pour le repentir et pour la miséricorde celle de la fin, pour ceux qui reconnaissent la désobéissance et l’entêtement, c’est cela qu’il vont choisir, car ils sont libres de choisir, du moment qu’ils sont sortis de sous Ma protection pour aller dans leurs vœux solitaires, après avoir attristé profondément Mon Esprit et Mon visage. Oh, ne discutez pas avec eux, puisqu’ils ont du venin sur la langue, puisque pas seulement qu’ils ne M’ont pas porté de fruit, mais ils ont endommagé Mon plant et M’ont laissé pauvre de fils, et ils ont besoin de repentir.


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Oh, les fils, les fils, il est temps que vous croyiez et travailliez de plus en plus pour l’obéissance, car voilà où mène la désobéissance! Elle mène à la séparation de Dieu, mais prenez comme un sceau sur vous la parole de David l’empereur, car il disait: «Celui qui dénigrait en secret son prochain, celui à regards hautains et cœur enflé, celui-là je l’ai chassé et je n’ai pas mangé auprès de lui». Oh, si jusqu’à présent vous n’avez pas suffisamment obéi pour travailler ainsi, faites le saut d’un coup et regardez seulement vers le ciel, seulement vers Moi, seulement à l’amour de Dieu, comme occupation de votre raison, de votre cœur et votre esprit, et vous allez échapper à ce mauvais péché de la médisance, de l’accusation, et évitez d’être curieux et comme ceux qui espionnent, parce que cela n’est pas l’œuvre des fils de Dieu.


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Oh, fils instruit par Dieu, sais-tu comment suivre à Dieu? Je vais te le dire Moi, et toi tu vas montrer ensuite que tu le sais. C’est avec les faits de Dieu que tu peux suivre à Dieu et avec Dieu, pas avec tes propres faits pour Dieu, car ceux-ci peuvent être avec intérêt, pour rendre Dieu ton débiteur, mais une chose c’est qu’un pauvre sorte dans ton chemin, ou Dieu-Même sous l’apparence d’un pauvre, et autre chose c’est que tu le cherches expressément pour entrer dans les grâces de Dieu. L’un a été le sacrifice de l’Abel et autre celui de Caïn. L’un a été le sacrifice du zèle d’Elie, et autre le sacrifice de ceux sans Dieu, le Vrai. Quand tu fuis furtivement de l’œuvre du Seigneur, oh, ne Lui tends plus ton petit morceau, ne le Lui donne plus, car le Seigneur est le Seigneur, et Il n’ouvre pas à n’importe qui, ou à l’orgueilleux qui ne marche pas dans la lumière avec ses choses, du dedans et du dehors.


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Oh, les fils, les fils, que de péchés fait l’homme en racontant autour de lui ses mécontentements, ses propres sentiers sur la voie des chrétiens! Oh, que de péchés produit un tel conteur dans ceux à qui il raconte ce qu’il veut, lui, que l’on sache! Voilà, c’est ainsi qu’on arrive à des chutes, venues d’autres chutes sur les faibles qui s’éloignent, faute de conseiller et de veilleur sur leur âme, sur leur raison aussi, si ignorante des connaissances d’en haut, et qui tombe si facilement.


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Je viens Me réchauffer avec vous et auprès de vous, fils de Ma parole. Il fait froid sur la terre et ce froid arrive jusque dans les Cieux chez Nous et on le ressent plus que sur la terre, puisque la sensibilité de ceux du ciel est grande, les fils, c’est tout esprit, même s’Il est tout un feu l’Esprit Saint, Celui Qui nourrit et console, mais Il souffre à cause du froid de la terre, qui s’accumule de plus en plus chez Nous, car ceux de la terre attendent de Nous, pendant que Nous, Nous attendons encore plus de ceux de la terre, pour en recevoir le bien, la chaleur et l’amour pour Nous. L’homme de la terre, quand il a froid il se fait de gros vêtements chaleureux et il s’habille au temps froid, mais Nous, Nous avons seulement une chemise, la même pour tous, et personne ne Nous envoient de la terre des chemises telles que nous portons, car les hommes ne savent pas quoi envoyer. Ils envoient des habits comme sur la terre, pour ceux qui sont partis, mais dans le ciel on a seulement des chemisettes blanches de lin, et les hommes ne donnent pas de pareilles choses pour ceux du ciel, oh, et ils ne peuvent se couvrir ceux du ciel au temps de froid sur la terre, et ils en souffrent.


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Oh, les fils, les fils, Je Me réchauffe avec vous et Je vous avoue Mon froid. Ma parole avec vous est douce, mais aussi endolorie, quand Mon Esprit pleure et crie de douleur pour tous ceux de la terre. Quand dans un orchestre on joue de tous les instruments, et des uns on joue plus doucement, d’autres sont plus retentissants, les uns émettent des sons plus aigus, d’autres plus graves, mais la mélodie est formée de tous, et elle a une signification qui témoigne d’un état d’âme soit de joie, soit de douleur, soit d’attente ou d’amour, ou d’espoir, si seulement nous aimions cette mélodie et nous la comprenions, tout comme nous comprenons le vent doux ou violent, l’eau qui coule doucement ou à grand bruit, le discours chaud ou sévère de notre prochain, et que tout cela nous semble une mélodie, toutes une œuvre à laquelle nous travaillons, et que Dieu nous présente pour la formation de l’homme intérieur et qui se voit à l’extérieur: l’homme nouveau.

Mais pour la mélodie, oh, le fils, vous devez savoir de Moi ce que J’aime, Moi, et que vous aimiez la même chose, et surtout que vous aimiez chanter beaucoup au Seigneur, et Me chanter de plus en plus. Oh, n’aimez pas, ne vous consolez pas que le monde vous chante, n’aimez pas écouter ceux du monde lorsqu’ils chantent, même s’ils le font pour Dieu, parce que ceux-ci n’accomplissent pas la volonté de Dieu, oh, et Je ne trouve pas Ma consolation par eux. Mais chatez vous, les fils, car voilà, pas n’importe quel homme et n’importe quel chant arrive à Dieu. Oh, cela ne Me réjouit pas si le monde chante de Dieu, puisque le monde trouve la douceur dans le péché, pas en Dieu, même si c’est de Dieu que l’homme a besoin dans ses ennuis. Oh, chantez, chantez-Moi vous, les fils, car c’est vous que Mon désir suit. Chantez sagement comme pour Dieu, chantez avec humilité et douceur. Chantez pendant le travail et à la prière, chantez, les fils. Chantez sur la voie, pour que Je sois avec vous sur la voie. Chantez en vous couchant, chantez en vous levant, chantez dans le lit avant de vous endormir. Chantez en esprit de prière et d’entretien avec Moi, afin qu’il soit doux votre cœur et tout ce qu’il y a dedans à tout instant, oh, parce que c’est seulement vous que J’ai encore à M’aimer, à Me consoler avec votre amour non partagé, mais en entier pour Moi, Mes chers fils.

Oh, et J‘ai encore à vous enseigner en ce jour d’habituer votre raison et votre cœur avec la connaissance venue de Moi, et ne pas oublier ensuite Mon enseignement. Oh, les fils, habituez-vous de ne dire de personne qu’il est bon, ou de dire de vous que vous êtes bons et d’autres qu’ils sont mauvais, ou qu’un homme est bon et un autre méchant, puisque J’ai dit que Dieu seulement est bon, et Je n’ai pas permis à personne de Me dire que Je suis bon. Cela ne fait pas bien à l’homme que Dieu soit bon avec lui, ou ceux qui l’entourent, car meilleure que toutes c’est la justice des choses, et celle-ci est à Dieu, pour être mesurée, car cette mesure n’est pas selon la raison de l’homme. Oh, ne vous laissez pas enchantés par l’apparence de la bonté de quelqu’un, par la parole ou par la conduite, car l’homme est l’inconnu l’un envers l’autre, et c’est pourquoi il faut de la veille de votre part tout le temps, pour qu’il n’arrive pas d’être dans l’erreur face à la vérité sur l’homme, celle connue par Dieu seulement, et J’ai dit à l’homme: «Ne Me dis pas bon, parce que Dieu seulement est bon».

Oh, ne soyez pas tristes quand vous n’êtes pas compris, mais soyez humbles et sages, car Dieu seul est bon, les fils, et voilà combien de choses il y a encore à mettre en ordre en ce qui concerne la sagesse, dont vous devez vous servir à chaque instant dans le travail avec la raison et la parole, passant par le cœur celles-ci, et ensuite toutes les pensées et les paroles étincelants vont s’éloigner de l’œuvre de votre esprit, et il restera le fruit de la sagesse de la réflexion et de la parole, car Moi, le Seigneur, J’attends depuis sept mille ans que l’homme arrive à ressembler à Dieu en cette direction.

Oh, à quoi ça sert à l’homme les paroles vaines, les mots non passés au tamis et agglomérés à la bouche pour le parler? Toutes ces choses font parti de l’esprit de l’hypocrisie dont J’ai dit que les fils de Dieu doivent se garder. Oh, et cela ne sera pas facile, mais ça va être beau par la difficulté même, non pas par la facilité, puisque le facile ne fait pas croître l’homme, ne le forme pas riche en sagesse ensuite.

Oh, chrétien, tu dois reconnaître celui qui essaie te faire tomber dans le péché par sa parole étincelante et pleine de venin de l’homme sans Dieu en lui, car voilà arrivée la moisson, les fils, et celui qui est resté l’ivraie par tout ce qu’il fait et qu’il parle, celui-là se sépare comme l’ivraie, pour que Je puisse trier le blé et le préparer pour Moi.


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Oh, les fils, les fils, Je passe aujourd’hui aussi très peu de temps avec vous, selon votre disponibilité, car Je mesure tout attentivement pour Moi et pour vous et pour ceux qui se nourrissent de Ma bouche par la source de Ma parole. Les chrétiens de ce peuple se préparent eux aussi de jeûne sans de l’huile, mais du jeûne avec l’esprit aussi, du moment que l’esprit passe par la raison, par le cœur, par la bouche, et c’est cela l’œuvre de ceux qui sont selon la vérité des chrétiens obéissants.

Oh, les fils, pourquoi les saints allaient-ils dans le désert au début du carême? Ils y allaient pour jeûner d’aliments? Oh, non, les fils, ils y allaient pour se garder des fautes avec la raison, avec le cœur, avec la parole ensuite, et avec l’âme pour la garder pure, et ils allaient pour se garder de l’impatience, du manque d’humilité, du mécontentement et de tout ce qui se passe encore désagréable à Dieu au temps du travail entre les frères, en non pas pour le jeûne avec la chair allaient-ils là-bas, tel qu’ils le croient beaucoup de gens, puisque le jeûne d’aliments est établi pour les chrétiens qui vivent en communauté, et aussi dans le désert, mais un autre genre de jeûne est écrit pour ceux qui se donnent à Moi avec leur amour de Dieu et de frères.

Vous, les fils, vous devez prendre soin des bonnes choses spirituelles au temps des longs jeûnes, car vous avez beaucoup à travailler alors, et votre âme a besoin de beaucoup de pardon, d’amour et d’accomplissement de Ma parole entre les frères, et vous devez garder douces votre parole, votre humilité et tout le pouvoir du cœur et de la raison, et tout cela pour Mon amour qui se trouve en vous.

Oh, voilà ce que Je vous dis, et pas seulement pour le temps du jeûne Je vous le dis: oh, les fils, les fils, rester toujours le doigt sur les lignes et les mots du livre duquel vous apprenez de Moi la vie avec Dieu et les frères, puisque vous devez agir selon ce que Je vous dis de travailler, et Je suis votre Dieu et Pasteur car les anges doivent vous noter et présenter leurs notes devant Moi pour l’obéissance à Ma parole sur vous.

Oh, voilà ce qu’il est important que vous ayez de la racine, les fils, car ceux sans racine sont emportés par le vent le plus faible, puisque les hommes faibles ne savent pas combien les saints ont souffert, et que rien n’a pu les séparer de Dieu, puisqu’ils avaient de racine, ils avaient le renoncement à soi pour Moi, et c’est cela qu’ils avaient les saints, et c’est par cela qu’ils restaient sous le fardeau de la croix tout comme Dieu, et celui qui n’a pas de racine, il ne sait pas ce que cela signifie Dieu pour lui, lorsque le Seigneur lui apparait avec miséricorde sur la voie, oh, et le payement de la séparation de Dieu est toujours douloureuse ensuite, car seulement celui qui perd voit ce qu’il a perdu. C’est pourquoi le vrai jeûne c’est le renoncement à soi, celui qui te maintient avec Dieu et il fait croître ta racine dans le Seigneur, et tu as un pays stable, oh, chrétien, et qu’il est beau Mon enseignement pour toi, fils de la croissance d’en haut!


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Oh, les fils, l’œuvre de l’humilité du cœur amène la paix dans l’âme de l’homme et autour de lui ensuite, mais le trouble de l’amé amène le mécontentement, qui se propage autour de l’âme qui ne jeûne pas de l’amour de soi. Oh, et tout ce que Je vous dis, c’est pour que vous apprenez comment le jeûne de nourriture arrive d’avoir du pouvoir vers Dieu au temps du jeûne.


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Oh, n’oubliez pas les fils, le travail de l’humilité d’esprit et sa grande œuvre, car c’est l’élévation de l’esprit qui lui est contraire, mais il est écrit que: «Quiconque s’élève sera abaissé, et quiconque s’abaisse sera élevé». Oh, vous ne pourriez pas garder tout seuls votre humilité, et évitez de croire que vous le pourriez, et laissez-vous être protégés et aidés, afin que l’on puisse travailler à votre formation, comme l’arbre qui est arrosé toujours pour renforcer sa racine et ne pas être déraciné par les orages et par les ennemis.


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Oh, les fils, les fils, voilà le temps que personne n’attend qu’il vienne, mais qui viendra à cause de la débauche des hommes, qui aiment l’argent et la vie dans la richesse et c’est tout, puisque tout va s’ébranler à Ma voix, et il reviendra le temps d’autant, lorsque les gens n’avaient pas de salaires et des pensions de retraite, et ils auront de nouveau l’occasion de vivre comme ceux de jadis, qui labouraient, semaient, binaient et chataient lorsqu’ils travaillaient la terre, en s’approchant de plus en plus de la vie de paradis. Oh, il n’y aurait alors un seul homme sur la terre à ne pas regretter infiniment et à ne pas ressentir un profond mal pour la vie donnée à lui sur la terre par Dieu, et qu’il a dissipée sans porter de fruit pour le ciel, sans travailler pour sa dot, utile dans l’éternité, tout comme sur la terre lorsque les hommes mettent de l’argent à la caisse d’épargne, pour le temps de l’impuissance, mais qui n’a pas de profit éternel, et voilà, pour la vie de paradis l’homme doit travailler sur la terre ce que Dieu lui a dit de faire, au moment où il a été établi dans la vie du paradis.


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Oh, les fils, les fils, voilà venir le temps du carême, et vous savez comme le jeûne arrive d’être un vrai jeûne. Oh, soyez obéissants avant tout, avant le jeûne, et soyez sages devant Dieu, et faites-le par l’humilité du cœur, pas superficiellement, les fils, et pour cela ne faites et ne travaillez rien, sauf ce qui vient du Seigneur à faire, puisque c’est Moi seul à vous apprendre Mon bien et celui pour vous, car autrement vous faites, sans y penser, le travail de Lucifer, le surpassement de Dieu, celui qui pousse le chrétien vers la chute, comme Adam en Eden, comme les anges qui sont tombés d’auprès de Dieu.

Pour le temps du vrai jeûne Moi, le Seigneur, Je vous apprends maintenant encore une œuvre, les fils, si seulement vous étiez bienveillants à obéir et travailler, et vous nommer ainsi fils de l’obéissance envers Dieu. Oh, voilà, ne vous dépêchez pas à déchiffrer le visage d’un événement ou de ton homme intérieur. Tout homme à cela dans sa nature, et elle n’est pas bon une telle chose. Il pourrait arriver que tu aies honte de toi-même, de ta conduite, de ton action ensuite, lorsque le temps, tôt ou tard, découvrira que tu n’as pas été vrai et juste, et tu vas te découvrir tout seul que tu n’as pas eu sur ta langue la vérité sur toi et sur ton action. Il vaut mieux que tu t’humilies, le fils, en tout, et confie-toi au Seigneur avec tout ton dedans, ou du moins ne te disculpes pas pour tes choses vraies sur toi, et cachées aux autres, puisque si tu te montres à tes semblables par les faites qui te sont favorables, oh, il est possible que tu ne sois pas pris au sérieux, et par contre, tu peux entrer dans l’amour de soi, et te faire justice tout seul, par l’impureté de ton cœur. Oh, ne ment pas pour cacher une vérité ou une contrevérité, car la vérité se présente un jour, et tu seras découvert, tel qu’il ne va te plaire ni à toi, ni à tes semblables, mais humilie-toi, le fils, pour être purifié par Dieu, car toi seul, tu ne peux purifier ton âme, ce n’est pas à toi de le faire, mais c’est le Seigneur Qui accomplit cela, lorsque l’homme se donne à Lui pour la purification.


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Oh, chrétien de Ma parole, J’ai appris à Mon peuple qu’il ne fasse pas lui aussi ce que le monde fait, mais Je lui ai conseillé d’être différent du monde, et ce genre de jeûne signifie amour de Dieu, puisque ce n’est pas le jeûne du monde, de l’esprit du monde, car le monde est mêlé et toujours plus caché dans ses corps sur ceux qui aiment Dieu sur la terre, et Moi, J’enseigne au peuple de Ma parole le genre de jeûne et son travail pour le jeûne, et au cours du jeûne il faut avoir de l’amour de Dieu et sa grande œuvre, et on mesure tout à chacun selon sa conduite envers tous et toutes ce qui l’entourent pour la justice de Dieu, et celui qui n’a pas ce souci, celui-là n’a pas l’œuvre complète du mystère du jeûne. Moi, le Seigneur, J’ai travaillé au temps du jeûne contre l’esprit du monde, contre le diable et ses attaques, et il doit faire de même le chrétien, car le monde et son esprit doivent être vaincus audacieusement comme Dieu le fait, et voilà le mystère et le pouvoir de la foi en œuvre par l’amour, celle qui place l’homme devant Moi pour sa vie éternelle ensuite, tel qu’il est écrit.

Vous, ceux qui Me cherchent dans cette rivière de parole, oh, apprenez de Moi comment vaincre le monde, les fils. Je vous ai conseillé avec miséricorde d’être et de rester les Miens, et Je vous ai prié de fermer la fenêtre vers le monde, car voilà quel malheur s’est abattu sur les hommes de la terre, et même sur les chrétiens ce cette parole, qui n’ont pas voulu et ne veulent pas écouter Mon conseil. Oh, n’ouvrez pas la fenêtre vers le monde, et purifiez-vous de celles du monde, car voilà quel miséricordieux enseignement Je vous donne pour la lutte contre votre ennemi!

Aimez vous tenir sous la veille, les fils, c’est-à-dire de ne pas sortir de Mon enseignement pour vous, car si vous n’en écoutez pas, vous serez jugés pour votre désobéissance à Dieu et vous perdrez la bénédiction, celle de droite, les fils. J’ai annoncé ici pour ceux qui n’obéissent pas à Ma parole, et J’ai dit que ceux qui regardent par la fenêtre vers le monde ressemblent aux hommes issus dans le chemin au milieu des loups prêts à déchirer, et d’accuser ensuite, ils ressemblent à ceux qui vont seuls dans le monde, tout comme les gens des rues agglomérées, et ils perdent la veille sur eux.

Oh, la plus grande veille est l’obéissance, et la désobéissance fait sortir l’homme de Dieu, les fils. C’est pour cela que J’ai dit que le chrétien ait des occupations saintes et les travailler volontairement, pas n’importe comment, et qu’il gagne chaque instant pour la beauté de l’âme et du Seigneur dans son âme, pour ne pas arriver de survenir d’autres désirs et faire leur nid dans le cœur de celui qui Me choisit de sa vie sur la terre.

Oh, ce n’est pas à plaisanter avec la veille pour la vie, les fils. Remplissez donc, votre âme avec de la nourriture d’en haut, avec de l’amour d’en haut, avec des occupations saintes, pleines de paix en elles entre les âmes ensuite, et que vous passiez ainsi le temps, surtout le temps du carême, et que de cette manière vous vous présentiez devant Moi, en fils obéissants, pour que Je puisse vous accorder Mon aide pour Ma marche avec vous, et la vôtre avec Moi, et que Je bénisse tous ceux qui croient en Moi et à Ma parole d’aujourd’hui avec vous, en s’enquérant de vous pour Moi et Me prenant de vous pour eux, car impénétrables sont les mystères de Dieu, pour le salut des hommes, oh, les fils.


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Doux et humble de cœur à tout instant, c’est cela que vous devez apprendre et travailler tout le long du carême, mais vous avez besoin d’amour et de mémoire, les fils, pour assimiler cette nature qui est la Mienne, car c’est ainsi que J’ai été, doux et humble de cœur devant le Père et les semblables. Vous allez vous inquiéter pour ce devoir, mais Je vous conseille d’avoir et de garder le Seigneur auprès de vous toujours, c’est-à-dire que votre conduite envers ceux d’autour de vous soit tout comme celle envers Dieu, doux et humbles de cœur, et cela est possible seulement à celui qui ne cherche pas d’être plus haut, plus important que les autres, mais qu’il soit plus insignifiant, et c’est ainsi qu’il pourra réaliser cette obéissance. Oh, cette œuvre accomplie amène le Seigneur cohabiter avec celui qui L’aime, et elle lève celui qui la pratique auprès du Seigneur, et voilà l’amour qui pousse le chrétien à jeûner de lui-même, du monde et du diable et se remplir de celles d’en haut, du paradis, et travailler sur la terre tout cela, et voilà le mystère du paradis, il descend sur vous et travaille sur vous, il travaille le paradis sur la terre, puisque le paradis est à gagner par chacun de ceux qui se sont séparés du monde en choisissant le Seigneur.

Oh, les fils, les fils, voilà ce que Je vous dis: Celui qui aime le Seigneur ne s’aime plus soi-même, il ne peut plus faire cela, puisqu’il aime et son cœur et comblé de veille pour Celui Qu’il aime. Oh, si Adam avais voulu faire cela, il serait autrement aujourd’hui sur la terre, mais s’il n’avait pas voulu faire ainsi, allez le pouvoir vous, les fils! Oh, n’aimez rien et personne, mais seulement Dieu, de tout votre être, et que cette sorte d’amour soit entre vous, en L’aimant Lui en tout, en Lui consacrant tout, en même temps que vous-mêmes, oh les fils, et quel beau paradis peut se montrer sur la terre entre l’homme et Dieu, entre les frères et Moi, les fils, et Moi à leur milieu avec tout ce que J’ai à ranger et a travailler pour le salut de la créature, qui a été et qui est, et qui a perdu le paradis à cause de la perte de l’amour envers Dieu.

Oh, les fils, les fils, n’oubliez pas l’œuvre de l’amour du paradis. Conduisez vous tout le temps les uns envers les autres tel que vous le feriez envers Dieu, car vous ne devez pas être homme et c’est tout, mais vous devez être déifiés, et toute aussi votre conduite. Oh, prenez soin de la douceur de votre cœur, de votre raison sainte, des sentiments désireux de Moi en vous, de l’amour comme le Mien entre les frères, et c’est ainsi que vous devez passer le temps du carême, puisqu’on a besoin de prière pleine de puissance et ensuite d’accomplissement, du moment que c’est avec du jeûne et de la prière que s’accomplissent les grandes demandes, les grandes victoires sur le monde et ses tentations et sur leur diable. C’est seulement ainsi que vous pouvez vous échapper de ce qu’Adam a fait en Eden, puisque c’est le temps de la grâce, depuis deux mille ans c’est le temps de la grâce, ce n’est plus le temps de la chair. Il y aura des éternels regrets lorsque les péchés vont lire le châtiment pour eux, à ceux qui ont aimé la chair et c’est tout.


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Oh, soyez sereins, sereins de cœur et de visage au temps du jeûne. Observez bien vos pensées, votre parole et votre amour, les fils. Ne tachez pas le temps du jeûne, ne soyez pas oublieux quand il s’agit de ce que vous devez travailler avec du jeûne et de la prière. S’il vous arrivait à manquer d’amour entre vous, oh, ne vous attendez pas d’avoir part de fruit par le jeûne d’aliments. Si vous avez des paroles vaines, des pensées vaines, du manque de dévouement, des plaintes, de l’amour de soi, protection de soi, des protestes, du mécontentement, oh, il est faible le pouvoir du jeûne par tout cela. Que chacun travaille pour l’autre, pas pour lui-même, car en cela consiste le pouvoir de chacun de vous, et tout par l’amour les fils, puisque celui qui ne travaille pas ainsi, travaille le péché, il travaille ce que n’est pas agréable à l’amour de Dieu et des semblables.

Oh, n’aimez pas le sommeil, ne l’aimez pas, mais veillez, les fils. Si le manque de sommeil vous fait souffrir, oh, c’est seulement la souffrance qui peut vous faire croître pour le Seigneur, elle seule, pas le repos, les fils, mais le sacrifice de bon cœur, l’espoir dans votre pouvoir venu de Dieu, pas de vous, pas de la chair, les fils.

Oh, qui vous enseigne encore aussi paternellement, comme aux disciples ? Oh, aidez-Moi de vous avoir et de travailler avec vous par le jeûne et la prière, car voilà, notre pays se trouve dans la séparation de Dieu et il n’a pas d’appui saint, et Moi, J’espère en vous afin de travailler avec vous pour Mon pays d’aujourd’hui, pour Ma Roumanie, car sur son foyer Je vous ai vous, et Je veux la rendre belle, faire d’elle une fleur douce et pleine d’odeur sainte, qui puisse attirer les nations de la terre, puisque J’ai ici Ma rivière de parole pour la résurrection, pour le renouvellement du monde, les fils.

Oh, ayez la pensée seulement à Moi, seulement à ceux du ciel, seulement aux anges qui vous guident, seulement aux puissances célestes, qui travaillent avec vous pour ces choses à accomplir, car l’attente est grande, les fils. L’esprit du monde est partout, et vous, nourrissez-vous de l’Esprit de Dieu, et vainquez le monde, tel que Je l’ai fait au temps du jeûne de quarante jours, car au temps du jeûne toutes les tentations sont vaincues, tout comme Moi, le Seigneur, J’ai eu à travailler au temps du jeûne.

Et maintenant prenez conseil pour le jeûne, car Je vous apprends à vous tenir sous la veille, les fils, et a travailler sous la connaissance, sous l’obéissance à Ma parole sur vous, et ayez peur de travailler autrement sur la voie avec Moi, car c’est dangereux les fils, aussi dangereux que vous l’avez vu à ceux d’entre vous qui n’ont pas obéi comme cela, et ils ont perdu Ma cité et Ma veille sur eux, et ils sont maintenant à l’écart de vous, dans des lieux dangereux, dans le monde, les fils.

Oh, qu’il soit béni pour vous le temps du jeûne et l’esprit de ce temps de jeûne jusqu’à la fête de Ma résurrection, et que vous soyez vainqueurs alors, les fils! Oh, tenez vous sous grande veille et soyez heureux et toujours sous la correction, et n’oubliez pas l’esprit de l’humilité, celle pleine de contentement saint, les fils. Moi, le Seigneur, Je vous accompagne toujours avec la parole de veille et d’enseignement, et vous devez seulement l’accomplir et donner du fruit centuplé, tout comme le brin d’herbe qui donne de jeunes pousses, et paix à vous, les fils!

Et maintenant chantez au Seigneur, demandez Son aide et commencez avec bénédiction le temps du jeûne. Oh, n’oubliez pas, demeurez dans Mon bras, travaillez les choses de Ma cité avec vous en toute paix, en sainte harmonie, avec une belle conduite fraternelle, avec douceur, une grande douceur, et que tout soit saint, que vous soyez un ciel serein, oh, les fils.


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Oh, combien, à quel point doit-on pétrir la pâte pour qu’il en sorte un bon pain profitable! Tout aussi doivent être pétris le cœur et la vie du chrétien qui cherche le lieu du bonheur du paradis, puisqu’on ne peut entrer n’importe comment au paradis, mais seulement par l’obéissance parfaite, les fils.

Voilà que tous les chrétiens qui veulent être avec Dieu sur la terre et dans les demeures célestes ensuite, qu’ils sachent tous que le peuple chrétien ne doit pas manger tous les jours, oh, non, les fis. Il ne faut pas que le chrétien batte si impitoyablement son corps, car la chair aussi a besoin de repos, de purification de toutes les choses de la terre soumisses à la dégradation, et cela est possible seulement par une grande foi, qui travaille sur le chrétien et le forme tel que Dieu veut qu’il soit le chrétien, qui doit donner de ses jours à Dieu aussi, lors de son séjour sur la terre et s’accumuler dans les cieux aussi des jours vécus sur la terre, car s’habituer doit être suivi de se déshabituer, alors que l’homme veut édifier son éternité en même temps que sa vie passagère sur la terre.

Oh, qu’elle est grande la douleur des anges du ciel, ceux qui servent aux hommes selon l’ordre céleste! Oh, quelle douleur lorsque dans une communauté de disciples ils ne sont pas tous égales dans l’amour envers Dieu, et quand les anges serviteurs n’ont pas le pouvoir entier en tous, pour la vie avec obéissance du chrétien.

Oh, les fils, les fils, tant que possible, éliminez d’entre vous les différences spécifiques à la nature et à la conduite. Ces différences ne vous donnent pas la possibilité d’être unis, les fils. Prenez la nature de l’obéissance à Dieu, égale à tous, pour qu’il n’arrive pas que les services des uns aux autres vous provoquent du mal par l’esprit d’incompatibilité dans l’amour et l’obéissance envers Dieu. Oh, essayez de ressembler à ceux des cieux à tout instant, les fils, et avec toute l’harmonie d’entre vous. Soyez les fils de Ma droite, fils de la foi droite, puisqu’ils ne sont pas orthodoxes selon la vérité les chrétiens, et il y a tant de mélange dans leur vie quotidienne et dans le service du Seigneur ensuite, et ils ont dans leur tête l’idée qu’ils ne peuvent de plus, que c’est cela leur mesure et leur pouvoir, et ils oublient que c’est la volonté qui leur donne du pouvoir, que c’est Dieu qui devrait être leur volonté, et voilà, très nombreux sont ceux qui ne peuvent, qui ne veulent être avec Dieu qu’autant qu’ils décident eux-mêmes de vouloir et de pouvoir, et combien il est difficile pour ceux-là de préparer de leur propre volonté leur repos du paradis, après la peine de la vie sur la terre.


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Oh, presque tous les hommes disent et croient qu’ils ne peuvent pas obéir à Dieu et pas à la chair, mais si le sort conduirait l’homme et lui montrerait qu’il est possible, quand l’homme tombe et va en prison, voilà, alors il peut, il renonce, qu’il veuille ou pas, à la volonté de la chair et à toutes ses habitudes, et cela est possible pas des tristesses et des privations et des larmes, et c’est par la souffrance qu’il peut contre l’impuissance de pouvoir comme Dieu. Oh, mais pour Dieu on a besoin d’amour, pas de punition pour pouvoir, pour voir qu’il est possible, et c’est une grande vérité le fait que partout où la douleur accompagne l’homme, la terre et sainte, car la douleur et ses souffrances l’aident à comprendre, avec une profonde sagesse d’en haut, les choses et les mystères qu’il n’a jamais su jusqu’alors, et à cette occasion on découvre pleinement que l’homme ne peut se croire chrétien avant de l’être, puisque le vrai chrétien ne transgresse aucunement la loi chrétienne et écrite clairement pour le troupeau du Christ par les saints, et l’homme ne fait plus appel à l’aide des frères pour savoir quoi et combien accomplir, quoi et combien ne pas accomplir.

Oh, voilà, deux mille ans depuis que Mon livre d’alors se trouve au milieu des chrétiens, et son enseignement n’est pas suivi fidèlement et les chrétiens ne savent pas sortir du monde pour ne plus être avec le monde et comme le monde, car elle n’est pas possible en même temps la compagnie du monde et celle de Dieu, puisque c’est de l’hostilité qui apparaît d’une côté et de l’autre, tel qu’il est écrit. Oh, et J’ai enseigné dès le début de cette parole de plus de soixante ans, et J’ai dit à ceux qui entendaient de leurs oreilles cette parole, Je leur ai dit de se tenir loin de leurs parents du monde, de ceux qui ne font pas la volonté de Dieu avec leur esprit et leur chair, car les vrais parents, mère, père, frères, mari, enfants sont ceux qui accomplissent la volonté de Dieu, et si vous ne pouvez pas accomplir ainsi, Je leur disais, vous allez demeurer loin de Dieu, par la transgression de Ma parole sur vous, puisqu’ils ne peuvent avoir de plus grands ennemis que ceux de leur maison, que leurs parents, les chrétiens qui aiment la vie obéissante aux commandements de la vie, ceux que les hommes n’ont plus dans les occupations de leur vie.


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Oh, fils chrétiens, donnez-vous la peine de connaître le Seigneur et cherchez de Le connaître de plus en plus. Faites cela et vous allez voir venant vers vous l’esprit de la sagesse d’en haut, pour connaître le Seigneur. Vous pourrez le connaître même par Son absence de vous, puisque Son absence vous donne du trouble, la sensation d’abandon, elle vous donne des douleurs. Oh, regardez quelqu’un dans lequel Dieu n’est pas en œuvre, et vous allez vous reconnaître vous-mêmes, au temps de l’absence du Seigneur en vous, et lorsque vous avez des pensées accablantes, des dialogues troublantes avec vous-mêmes, des décisions peu réfléchies qui peuvent vous coûter le salut. Quand votre âme est oppressée et sans défense, quand vous n’avez pas la tranquillité des petits enfants et vous vous sentez fatigués et sans aucune valeur, c’est alors que le Seigneur Se fait sentir par votre humilité, les fils. Oh, reconnaissez le Seigneur dans ceux d’auprès de vous, dans les grands discours, dans les éclaircissements des grands mystères, par lesquels vous sentez comme votre âme embrasse d’un coup le passé, le présent et l’avenir, et la vie gagne de prix, en changeant de visage comme dans le Thabor. Oh, lorsque l’homme ressent une grande humiliation, c’est que le Seigneur est près de lui et Il S’incline et fait sentir Sa présence en celui qui se fait petit, c’est ainsi que vous apprenez à connaître le Seigneur et de sentir quand Il est parti de vous, mais voilà, on a besoin de sagesse, et pour elle de l’inclination, les fils, car l’âme pure est humble s’incline pour elle-même et pour les autres qui ne s’inclinent pas, les fils.


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Oh, l’esprit de la fidélité comblée de pitié, c’est cela que Je vous accorde pour l’avoir en abondance, fils nourris du ciel, et vous allez pouvoir agir ainsi jusqu’à la fin, si seulement vous gardez en vous la pitié envers Moi, les fils, et Moi, Je vous apprend de le pouvoir ainsi, et Je vous dis à tous: Oh, n’oubliez pas, ne laissez pas qu’elle s’échappe de votre cœur l’idée que Dieu est mort pour vous. Moi, c’est pour vous que Je suis mort, pour que vous viviez pour Moi, les fils. Lorsque Dieu meurt pour que tu vives, est-il encore possible que tu ne vives pas pour Lui, et pas pour toi?


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Oh, gardez-vous des ennuis les uns les autres les fils, ne vous faites pas des pressions les uns aux autres. C’est la paix qui est bonne, c’est un médicament la paix, c’est pourquoi Je la mettais toujours, toujours, entre Mes disciples, et Je leur disais toujours: Paix à vous!

Mais comment vous garder des ennuis les uns les autres? Comment cela? Oh, les fils, les fils, choisissez tout d’abord la partie qui ne sera pas prise de vous, la paix entre Moi et vous, le Seigneur à tout instant avec vous, vivant en vous et entre vous, et travaillez ainsi ce que vous avez à travailler pour Mon travail et le vôtre jour par jour, les fils. Oh, apprenez de ne pas être prétentieux, de ne pas être mécontents. Fuyez le contentement de soi et vous allez éviter les blessures des uns aux autres, car l’esprit de l’homme est faible, à chacun, les fils, et il faut avoir un amour saint des uns aux autres, car l’amour saint remplit les âmes de pitié, de douceur, d’inclination, et alors on ne supporte pas de produire de tourments, on ne peut plus cela, et on se laisse soi-même petit et préjudicié pour la paix de ceux d’autour de toi, car la quiétude est douce, c’est l’esprit sain dans l’homme, c’est une bonne occasion pour ceux des cieux en toi, et voilà des moments et des états de résurrection et de joie de résurrection, les fils, car J’ai dit à ceux opprimés et endoloris: «Réjouissez-vous!».


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Voilà, Je vous enseigne le mystère de la résurrection, les fils. C’est un jour de guérison cette fête d’aujourd’hui, et vous avez besoin de vous guérir des mauvaises habitudes, des parole vaines, les fils, de la paresse spirituelle, de l’esprit du mécontentement, de la convoitise de sommeil et de bonne nourriture toujours en quantité, convoitise de vêtements de toute sorte, comme ceux du monde, qui n’a pas le Seigneur de vie et de visage, les fils, et Ma balance voit que vous avez besoin de beaucoup de guérison, les fils. Voilà, la mode change toujours selon la bêtise de la raison de l’homme, raison terrestre et comblée de désirs, mais vous, les fils, fermez les yeux dans la direction du monde sans Dieu, et prenez toujours le Seigneur comme source de savoir et de conseil pour vous. Oh, ne cherchez pas de ressembler au monde pour pouvoir demeurer au milieu de lui, selon ses habitudes, selon sa tenue, oh, non, les fils, non, pas comme cela. Vous devez chercher à Me ressembler à Moi et aux saints par la stature et la tenue, puisque le monde est laid, les fils, et quand vous vous conduisez comme lui, vous l’êtes aussi, laids, repoussés par ceux des cieux, par ceux qui sont beaux et ne ressemblent pas à ceux de la terre, qui sont laids par la tenue et la conduite.

Quand J’ai commencé Ma parole par Ma trompette Virginie il y avait des chrétiens qui venaient M’entendre, et Moi Je leur disais de ne pas porter de montre bracelet, Je leurs disais cela pour ne pas ressembler au monde, et J’ai dit encore au chrétien de ne pas porter de chemise ou de robe à manches courtes, les bras restés nus, et J’ai dit que la femme chrétienne ne porte pas de robe courte, les pieds découverts. Oh, J’ai dit que le chrétien n’aille pas, tel le monde, la tête découverte, comme une annonce mortuaire, car il y avait une vieille habitude, qui marquait par la tête nue, la mort de quelqu’un de la maison.

J’ai exhorté au chrétien de s’habiller de beaux vêtements, magnifiques à voir, comme les princes et les princesses, comme les voïvodes, comme les saints, oh, les fils. Voilà, l’esprit de la résurrection du milieu du monde et de la mort est ce qui amène la résurrection et dépêche sa venue, c’est cela que J’enseignais Moi, le Seigneur, aux chrétiens qui cherchaient Me suivre et entendre le Seigneur en parlant et en enseignant la vie avec le Seigneur à ceux qui cherchent accomplir la volonté du Père sur la terre comme dans les cieux.

Oh, les fils, les fils, celui qui obéit à Ma parole est gardé de tout mal, le mal l’évite, et celui qui n’obéit pas se trouve à la portée du mal, qui le suit toujours, pour qu’il apprenne le redressement vers l’obéissance.


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l’homme s’achète une voiture neuve, il fait le plein et va avec elle le chemin qu’il se propose, et il arrive au bout, tel qu’il a programmé au départ. Mais quand il achète une voiture vieille et usée, et il ne fait pas le plein, et le réservoir perd de la substance nécessaire à sa marche, alors l’homme n’est pas sûr qu’il arrivera là où il est parti pour arriver.

Oh, les fils, les fils, il est bon que vous renouveliez entièrement votre vie et la faire neuve dès le début, un nouveau début, et lui faire le plein dès son début avec Moi pour le voyage, et il est bon que vous faisiez vous aussi que Noé a fait, en passant bien le temps du déluge et en accomplissant la mission de son salut et de ceux qui ont été sauvés avec lui dans l’arche salvatrice, pendant que tout le nombre des hommes de la terre ont péri, tous, tous, par la désobéissance envers Dieu. Oh, tout aussi Moïse, tout comme Noé, il a obéi au Seigneur, il a porté Israël là où il est parti avec Son peuple pour y arriver, et voilà l’exemple duquel vous pouvez apprendre.

Oh, les fils, les fils, que chacun de vous se dise à lui-même: Si moi, j’ai connu cet appel et parole du ciel, ou si c’est lui, cet appel qui m’a embrassé par l’accueil du Seigneur, qui est venu Me guider la vie et ses pas, pour tout cela Je dois effacer de ma feuille toutes mes choses passées, et y laisser mon travail de jour et de nuit reçu du Seigneur, pour le travailler et être ainsi les fils de son église et de Sa mission de mise en place de Son empire sur la terre et dans les hommes, en commençant par moi. Oh, alors seulement tu pourras échapper à toi-même, à tes péchés de chaque jour, et le Seigneur va te combler de grâce pour Lui, et ensuite sois sage avec les choses anciennes de ton cœur, qui, voilà, se réveillent pour te culpabiliser avec ta vie devant Dieu, mais toi, lève-toi vite et appelle-Moi par ta prière, pour que je te sauve de la chute, et dis-Moi avec des larmes, dis-Moi comme ça: Oh, guéris-moi, Toi, Seigneur, guéris-moi de l’esprit de la chute d’auprès de Dieu, et que l’esprit adversaire soit impuissant envers moi, et pour cela donne-moi un esprit d’enfant obéissant et donne-moi de l’amour pour la réprimande vigilante, qu’elle me tienne dans le bonheur de ceux qui vont recevoir la couronne pleine de vie de la vie éternelle, et aide-moi de ne plus oublier Ton amour pour moi, celui qui a fait Te découvrir à mon cœur, et Tu m’as donné la foi et le désir saint envers Toi et Ta voie. Oh, garde-moi en tout cela avec fidélité, et que ma croix soit constamment portée, et qu’elle soit ma voie avec Toi, oh, Seigneur. Amen.


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Oh, les fils, pendant tout votre temps avec le Seigneur, dans vos prières et les lectures saintes demandez que le Seigneur vienne et qu’Il vous découvre Ses mystères, ceux pour vous et ceux pour les hommes de la terre, les fils. Oh, demandez que l’amour vienne et vous entoure tout le temps, et qu’il coule de vous sur les hommes, les fils. Le refroidissement de l’amour amène le désert dans l’âme de l’homme chrétien, mais l’amour qui est amour brûlant sans cesse, celui-là ne tombe jamais, et il demeure l’amour du cœur de l’homme, le travail de son cœur toujours. C’est cela que nous avons à fixer dans les cœurs des hommes: Dieu et Son amour, oh, les fils.


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Demain, les fils, c’est jour de mémoire pour le martyr Georges, celui qui attend comblé de désir saint son tour pour entrer avec Moi dans le livre, avec un désir impatient il attend d’entrée à Mon peuple avec Moi, et Moi, le Seigneur, Je lui accorde l’entrée pour ne pas vous fatiguer demain aussi; et le voilà en parole pour son jour de fête entre ceux des cieux!

Va donc, enfant bien-aimé, apaise la douleur de ton attente.

— Ta miséricorde, mon bon Seigneur, est toute consolation dans le ciel et sur la terre, et je veux moi aussi faire place à mon désir saint envers Toi, dans les cœurs des fils et des filles de Ta parole d’aujourd’hui avec eux, et je leur dis: c’est le désir saint qui maintient la vie de l’homme, oh, fils, et filles de notre Epoux, le Seigneur bien-aimé de ceux qui Le souhaitent ardemment. Mon désir saint pour Lui et mon éternité avec Lui m’ont fortifié, afin de ne me perdre pas de Lui avant d’arriver au bout de ma marche dans la vie sur la terre.

Oh, il n’y a rien de plus fort, de plus propre à la victoire que le désir saint envers Dieu dans le chrétien, le vrai chrétien. Que pourrait-Il faire notre Seigneur avec les chrétiens qui n’aiment pas, qui n’ont pas de désir saint sans repos dans le cœur désirant l’éternité? Le désir saint est éternel, c’est la vie qui ne meurt pas dans l’homme et qui le suit dans l’éternité ensuite, oh, les fils, bien-aimés des cieux.


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Oh, les fils, pour que l’homme ne mange plus de viande, Je lui ai donné du pain. J’ai fait savoir à l’homme par la parole en Eden, ce qu’on doit manger, mais qu’est-ce qu’il mange l’homme? Oh, qu’est-ce que les animaux, les oiseaux mangent, puisque Je leur ai donné aussi quoi manger?

Oh, les fils, les fils, s’il n’y avait pas eu de meurtre au début, il n’y aurait plus la mort, il ne mourrait plus l’homme ou l’animal. J’ai essayé de pousser Caïn au repentir. Je l’ai conseillé de faire le bien, pas le mal, Je lui ai dit cela lorsque J’ai vu qu’il voulait tuer son frère, lorsque J’ai vu cela dans sa raison et dans son cœur. Oh, il n’a pas reçu Mon conseil, quand J’ai vu son visage sombre. Il a tué ensuite son frère et Je suis de nouveau allé à sa rencontre, le demandant sur son action. Mais il l’a cachée en lui, et alors Je lui ai dit: «La voix du sang de ton frère crie vers Moi du sol: Oh, qu’as-tu fait?».

Depuis lors, les fils, l’homme a toujours mangé de la viande et Je suis préoccupé et endolori quand Je dis qu’il y a deux mille ans Mon corps s’est fait pain et vin par Ma parole et par Mon nom et Mon être sur eux, et il aurait dû cesser de manger sur la terre des corps porteurs d’âme, ou du moins le peuple chrétien ne le fasse plus, le peuple du Christ, l’homme uni avec Mon corps et Mon sang, qui se sont transformés en du pain et du vin. Mes apôtres pêchaient et mangeaient du poisson, et Je leur ai dit que ce n’est pas de poissons qu’ils doivent pêcher, et J’ai dit à Pierre: «Viens et Je vais te faire pêcheur d’homme!». Pierre mangeais du poisson et il donnait aussi aux autres pour de l’argent, comme si c’était ses poissons ceux élevés par Dieu, et Moi Je leur apprenais les mystères de Dieu, et J’attendais qu’ils comprennent.

J’ai donné au peuple d’Israël de la viande, s’il a demandé cela, lorsqu’il a commencé à murmurer et ne plus se contenter de la manne venue de Dieu pour eux, mais ils ont reçu le châtiment pour leur envie, et elles ne seront pas autrement payés toutes les envies de l’homme, et pour chaque mal ou bien l’homme reçoit le payement, et Moi, J’ai mal depuis sept mille ans à cause de son manque de sagesse. J’ai donné à l’homme Mon corps et Mon sang pour nourriture, et surtout pour la remise de ses péchés, et J’ai mal quand Je vois que l’homme cherche des corps charnels, et il ne Me cherche pas Moi comme nourriture, et l’homme a besoin de foi pour croire que c’est Moi le pain et le vin, que c’est Mon corps et Mon sang que ceux-là signifient.

Oh, les fils, celui qui reste Juif mange la chair d’agneau, il mange de la viande, mais celui qui veut être le Christ, il mange de sa mère, du Christ, il mange Ma sainte cène et il rachète son sang, son âme, les fils.

J’ai fait l’homme de la glaise, et J’ai pu cela. J’ai fait du fils de Dieu du pain et du vin, le corps et le sang de Dieu pour nourriture, et J’ai pu cela, et c’est pour l’homme que Je l’ai fait, pour que l’homme soit inséparable de Moi jusqu’au bout, et Moi dans l’éternité inséparable de lui, pour qu’on ne tue plus des animaux et des oiseaux pour la nourriture de l’homme, car c’est du mal que l’homme a commis quand il a provoqué la mort de l’homme, de son frère, les fils, et des hommes sont nés de celui qui a tué, et dès lors on a entendu du cri vers le ciel, la voix du sang de ceux mis à mort pour le Seigneur, en criant: «Jusques à quand, Maitre saint et vrai, oh, jusques à quand tardes-Tu à juger et à tirer vengeance de notre sang sur les habitants de la terre?» et on leur répond: «oh, tenez-vous en repos quelques temps encore, jusqu’à ce que fut complet le nombre de ceux mis à mort comme vous, pour avoir témoigné de Dieu».


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Oh, les fils, faites que les jours se réjouissent de vous chaque jour, c`est-à-dire que vous devez leur donner de la vie et du travail et du mouvement, vous devez vous inscrire avec eux dans le ciel, avec toute leur œuvre, pour qu’ils restent à votre bénéfice et comme fruit accumulé, tous vos jours, surtout puisque vous habitez la cité de Ma parole, pour qu’elle soit la Mienne avec vous aussi, tout votre travail, celui obéissant à Dieu, pour votre vie avec Moi, pour qu’ensuite vous arriviez à vous réjouir des jours vécus et travaillés ici, et que vous les ayez rachetés tel qu’il est écrit de ce mystère du rachat des jours.

Oh, les fils, les fils, avec quoi pouvez-vous racheter les jours et leur mystère éternel? Oh, lorsque vous utilisez tous les jours pleinement, par sacrifice et amour de Dieu et des frères, pour toutes Mes œuvres avec vous, plus nombreuses de jour en jour, c’est alors que vous rachetez le mystère de vos jours, mais si de leur nombre il y en a qui passent en vain, sans travail bon et beau et grand telle la durée du jour, vous aurez très mal en les voyant passés sans aucun bénéfice.

Oh, voilà ce que Je vous dis en ce jour, le dimanche qui fait mémoire de l’infirme de Bethesda, comme un conseil de foi et d’exemple avec une richesse d’enseignement en lui, et voilà, aussi comme exemple d’incroyance de ceux contraire à Dieu en ce temps-là et en ce temps-ci, puisqu’ à cet homme totalement impuissant, les jours passaient sans aucun profit pour lui, ou pour ceux d’auprès de lui, ou pour Dieu. Mais si les jours de celui qui est bien portant passent de la même façon, aura-t-il quelque bien accumulé dans les cieux, trouvera-t-il le rachat du temps de ses jours passés l’un après l’autre?

C’est pourquoi, les fils, Je vous exhorte à prendre grand soin de votre vie, celle des cieux, où vous devez accumuler tout votre temps de la terre, oh, tout, les fils, tout dans les cieux, car pourquoi restera-t-il sur la terre, quand celle-ci aura un sort douloureux pour sa naissance de nouveau, tel qu’il est écrit?

L’homme sage envoie dans les cieux tout le trésor de ses jours, tout son temps, et il a des biens dans les cieux et il est riche entre les riches du ciel. Celui qui n’est pas sage amasse des biens sur la terre, il perd son temps sur la terre parce qu’il n’amasse pas ses jours dans le ciel, et il appelle le feu qu’il vienne sur la terre, sur ses choses, qu’il n’a pas accumulées dans les cieux.

Oh, les fils, travaillez pour l’éternité de votre temps sur la terre. Que vos jours ne passent pas sans d’œuvre utile, les fils. Aidez le Seigneur jusqu’à la fin, oh, les fils. Voilà, quelle magnifique destinée on vous a réservé sur la terre: aider le Seigneur, les fils! Oh, demandez-Moi l’esprit de l’intelligence, l’esprit du conseil et consultez-le, et il vient l’esprit de l’intelligence, il vient du Seigneur à vous, les fils.


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Oh, il faut qu’ils aient des devoirs les fils de Ma parole. L’amour de Dieu t’oblige d’avoir des devoirs, de les porter et travailler, cela veut dire les sacrifices, qui prouve que l’amour existe, qu’il a de l’amour celui qui est en son service.

Oh, les fils, tout comme le vêtement monacal t’oblige d’appartenir à Dieu, tout aussi le costume saint de ta patrie, celui de l’intérieur et celui de l’extérieur t’oblige d’aimer ton pays, d’en être fier, il te met en évidence, et il te demande cela quelquefois au temps d’ennuis plus que dans les autres moments, états d’âme et sentiments puisqu’aux temps difficiles il t’exhorte à l’héroïsme. Oh, c’est la même chose avec l’amour de Dieu, il t’oblige au sacrifice, et c’est seulement lui, s’il existe, qui soit capable de sacrifice pour ce qu’il aime. Ceux qui sont les Miens et à Mon travail avec eux, ils ont le devoir du sacrifice de chaque jour et ils sont ceux qui se réjouissent de leurs jours tous les jours, puisqu’ils leur donnent de la vie et de l’œuvre et ils les inscrivent dans les cieux, et ces jours restent comme fruit accumulé.


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Lorsque l’humilité est absente de votre âme, l’humilité celle qui est sainte depuis la terre jusqu’aux cieux, c’est alors qu’il vous arrive chaque foi quelque chose venu du diable, puisque Dieu existe et le diable existe, les fils, et le diable a été et est crée par la désobéissance et le manque d’humilité, en paradis et sur la terre ensuite, depuis lors et jusqu’aujourd’hui.


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Oh, les fils, les fils, il est tellement obéissant l’homme au chuchotement du diable, qui vient et travaille la pensée de l’homme face à face, et l’homme écoute tant son chuchotement, qu’il ne sait plus combien est Dieu et combien le diable mêlé dans la raison de l’homme sorti de l’homme, celui bâti de glaise! Après avoir mené l’homme à obéir et a parler comme un diable, celui-ci lui dit: oh, tu es en faute, tu as péché, tu n’es pas propre à Dieu, ne t’approche pas, tiens-toi à distance, va-t-en, car le Seigneur est saint. Mais cet examen n’est pas le diable qui doit le faire à l’homme pécheur, mais voilà, toi, homme, c’est seulement du diable que tu prends la pensée, et Moi, le Seigneur, Je Me suis en vain sacrifié pour toi, puisque tu t’éloignes de Moi, au lieu de M’obéir, de te laisser examiné et purifié et corrigé par le péché punissable, et t’unir ensuite avec le Seigneur, pas toujours avec le diable et son chuchotement, avec lequel il vient tenter l’homme.


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Je vous ai dit, les fils, que Je vous prépare pour toujours plus haut, toujours plus près de Moi, pour que vous soyez là où Je le suis, tel que J’ai promis, et pour que vous soyez protégés des choses mauvaises qui viennent encore et encore sur la terre et sur les hommes. Je viens vous clarifier le mystère de Ma volonté en tout, car vos cœurs sont en pleurs, puisque c’est Moi qui pleure en eux, fils qui aimez et qui avez pitié du Seigneur avec votre amour et avec l’obéissance. Oh, les fils, Je pleure, c’est Moi Qui pleure en vous, pas vous, les fils, pas vous, puisque J’ai une blessure éternelle à cause des non accomplissements de Ma volonté de l’homme, et satan déborde de joie pour Mon temps perdu en sa faveur, car le peuple nourri par Moi avec la parole du ciel, oh, il n’a pas été fidèle jusqu’à la fin, jusqu’à la frontière. Certains M’ont quitté quand J’ai dit qu’il ne mange plus de viande le peuple de Ma parole. D’autres M’ont quitté pour demeurer avec leur eau-de-vie, d’autres pour manger du pain fait par le monde aux mains et raison non lavées, d’autres encore pour pouvoir porter des habits comme le monde, d’autres pour des envies et des désirs, d’autres pour la mode d’aujourd’hui et la désobéissance à Dieu, oh, et ils sont tombés les parents par les enfants et les enfants par les parents ensuite, insoumis à Dieu, ceux qui ont choisi de tomber de Mon bras plein de parole, oh, et au long du temps ils sont peu nombreux ceux qui sont restés les Miens, très peu, depuis le début de Mon œuvre jusqu’aujourd’hui.


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Il est arrivé de l’un à l’autre partout la confusion sur le mode de se nourrir de celui qui est vraiment le peuple de Ma parole.

Oui, les fils, d’une manière chrétienne il y a déliement pour le vin et l’huile dans les jours de fête qui tombent aux jours de jeûne (lundi, mercredi, vendredi) et il n’existe pas d’autres choses comme nourriture pour le peuple de Ma venue, préparé à part en ce temps par Dieu, et qui a de Moi le conseil pour la nourriture, celle du paradis, tout comme J’avais dit à l’homme de se nourrir devant Moi, pour le nettoyer, le sauver de la mort, et ensuite pour pouvoir le protéger, le gardant sous Mon recouvrement,


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Je vous ai dit, les fils, de nettoyer votre maison et votre jardin et de prendre grand soin de Ma vie en vous. Je vous ai appris à ne plus manger de viande, à ne plus élever des animaux et des volailles pour les manger, à ne plus vous nourrir de chair, et Je vous ai délié les mains de ce travail, qui vous éloignait de Moi, et Je vous ai conseillé vers la nourriture de paradis, des légumes, des grains et de fruits, et tout ce qui vous sanctifie et vous garde vos âmes et vos corps. Oh, Je vous ai appris cela parce que Je vous ai aimé, les fils. J’ai dit: que chacun mange de sa mère, car vous êtes le peuple du Seigneur en ce temps. J’ai dit de ne pas manger de l’animal ou de la volaille, ou d’autre chair vive, mais de manger comme dans le paradis, pour qu’il vous aille bien et que vous soyez Mon abri chaud avec vous.

Oh, il y a maintenant grand trouble dans le peuple, puisque la nouvelle a couru que Mon peuple ne doit pas manger la nourriture des abeilles. Oh, c’est vrai les fils, et Je M’incline maintenant et Je vous demande pardon, puisqu’il y a parmi vous qui disent: «Pourquoi le Seigneur ne nous l’a-t-Il pas dit? Pourquoi a-t-il fallu que nous nous nourrissions ainsi pendant si longtemps?.

Oh, pardonnez au Seigneur maintenant, les fils! Je M’incline et Je console vos petits cœurs endoloris et Je vous promets que Je vous pardonne aussi et Je vous purifie de votre coulpe, du trouble qui se trouve dans vos petits cœurs. Oh, Je travaille pour garder Mon œuvre et Je mets de la patience pour la marche de Mon œuvre, pour ceux qui veulent Me suivre sur la voie de la préparation de Ma venue en parole sur la terre, et pour la vie de paradis de ceux qui Me sont fidèles maintenant.

Je ne peux pas, les fils, apporter Ma volonté sur la terre, du moment que Je vois qu’il est petit l’amour de Dieu que le chrétien a sur la terre, et Moi, Je dois claironner Ma parole et avoir à qui la partager, et attendre le chrétien qu’il fasse Ma volonté pas à pas, et Je suis comblé d’attente après les pas saints, toujours plus saints des fils de Ma parole, et Je leur dis: oh, il n’y a pas de différence entre manger le lait de la vache qui mange de l’herbe, ou des œufs de la poule qui mange des grains et de petits vers, et la nourriture des abeilles qui mangent le nectar des fleurs, car cette nourriture passe par la chair, les fils, mais vous, Je vous prépare pour la vie de paradis pour le paradis, puisque vous avez vu comment l’homme est tombé du paradis, et qu’il est difficile le travail du Seigneur pour rendre l’homme digne de paradis d’où il est tombé au début.


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Voilà donc, le vraie peuple de Ma parole ne doit pas manger de la nourriture ni de la vache, ni de la poule, et cette loi sainte c’est pour ceux qui aiment et obéissent au Seigneur et à Sa venue d’aujourd’hui avec le mystère du paradis sur la terre chez l’homme.


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pour que tu sois le beau de Dieu, Mon fils, cela signifie que tu aies une belle âme, que tu ne mènes pas vers la dureté, vers l’irritation, vers la tension, la méchanceté et le manque de pardon, cela signifie de ne pas dire non, mais tenir ton âme toujours près de ton Seigneur, tel qu’ils l’ont fait après Mon ascension Mes disciples, par le Saint-Esprit le Consolateur, l’Esprit Qui élève celui qui est beau par son âme, et Il fait de lui demeure céleste sur la terre,


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Oh, les fils, quelle chance pour l’homme qui se rend compte de ses fautes et en apprend l’esprit aimant d’hommes, l’esprit qui aime et qui pardonne! Un tel homme possède la sagesse de la charité de Dieu et il veille pour ne pas s’éteindre sa lumière, oh, puisqu’il est grand le danger de se coucher et s’endormir fâché contre quelqu’un, sans réconciliation avec le Seigneur pour ces sentiments qui prendraient possession de ton cœur dans ton lit. Oh, s’il rendait son âme dans une telle nuit, oh, quel serait le sort d’un tel homme?

Oh, les fils, les fils, vous avez besoin tout le temps de bonne humeur dans le cœur, sur le visage et dans votre conduite. La bonne disposition du cœur M’aide à demeurer avec toi, près de toi, les fils, elle apaise les airs et fait apparaître les rayons de lumière dans l’état d’obscurité, que le diable bâtit entre la terre et les cieux, car le diable et ses serviteurs n’ont pas de lumière, ils n’aiment pas les joies, mais ils ont un esprit opprimant, et ils ont seulement l’apparence de bon état, ils ont de la glace qui s’installe partout. Mais la consolation du Saint-Esprit est une œuvre et une lumière partout, une puissance sainte de vie et de joie, d’harmonie, et elle chasse l’obscurité, elle chasse la laideur, les fils, et retient le Seigneur tout près,


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Oh, vous, fils de Ma parole, pour échapper à ce qui va venir sur le monde, comme il est écrit, vous devez monter toujours plus haut, et que Je vois cela et que Je puisse vous protéger, les fils, c’est pourquoi Je vous demande de choisir la préparation toujours plus étendue, choisir toujours plus d’accomplissement, celui pour le salut, car il est écrit que: «Les malheurs ne viendront pas vers toi, et la calamité ne s’approchera pas de ta demeure».

Oh, car voilà, les fils, le Seigneur passe, Il passe et on voit bien qu’Il passe par ci, par là. Il passe le Seigneur comme du temps du prophète Elie avec du vent et de la tempête, avec tremblement de terre et grande peur. Il passe le Seigneur et les montagnes tremblent, et devant Lui les lits des eaux chancellent et les caniveaux des cieux débordent et la terre se débat sous Ses pas comme au temps de la création. Mais Sa parole sur vous souffle légèrement ici, comme une consolation sainte, et le Seigneur passe près de vous, d’une côté à l’autre. Il passe le Seigneur tout comme alors quand Il est passé par la mort sur la croix, et il est arrivé grand tremblement de terre et il y a eu de l’obscurité au lieu du soleil, et les morts se sont levés des tombes devant Lui, mais les vivants non, et il L’a salué l’enfer, mais les vivants non, oh, et l’homme ne sait pas à quel point Il est grand le Seigneur, et combien Il souffre puisque l’homme ne craigne pas le Seigneur et qu’il n’a pas de reconnaissance envers le Créateur de tout.

Et voila, Il passe le Seigneur au-dessus de la terre roumaine aussi, d’un côté à l’autre et Il examine la vie et la fortune celle sans Dieu des hommes, et Il pleure le Seigneur et il pleure le Roumain aussi, mais voilà, voilà, le retour au Seigneur est difficile pour l’homme.


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J’ai appris au peuple dirigé par Ma parole et Je lui ai dit de ne pas prendre de l’homme, mais de se préparer tout seul aux mains lavées, tout ce qui entre dans son corps, dans le fils de Dieu entre les hommes, puisque les hommes ne se lavent pas, ils ne se lavent pas les mains, ni le cœur, ni la raison, ni l’esprit, et ils ne gardent pas la demeure de leur vie sur la terre, et si toi, homme, tu n’es pas propre, tu ne te gardes pas dans la pureté, oh, Dieu ne siège pas avec toi, et on voit clairement qu’Il n’est pas avec Son visage en toi.


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J’ai dit à ceux qui sont pour Moi un peuple instruit et toujours plus instruit, Je lui ai dit qu’il ne mange plus de chairs, mais qu’ils se nourrissent avec les choses indiquées du Seigneur en paradis pour être utilisées par l’homme comme nourriture. Oh, Je n’engage et Je ne pousse personne vers de plus en plus nombreux pas pour l’accomplissement de plus en plus entier de la prière avec du jeûne, pour la réalisation de la victoire par cela. Mais Je dis, les fils, que satan doit être vaincu, qu’il est temps que nous le vainquions, oh, et il ne peut être vaincu, lui et ses diables, que par le jeune et la prière, forces qui s’entraident dans la lutte contre l’ennemi, le diable, né dès le temps du paradis ennemi de l’homme, par la désobéissance de l’homme à la volonté de Dieu sur lui.

Lorsque J’ai bâti l’homme, Je ne l’ai pas bâti pour manger des chairs douées d’âme vivant, ni de ce qui sort de la chair, car J’ai voulu qu’il soit immortel l’homme, et Je l’ai conseillé quoi manger pour vivre pour Dieu, pour Celui Qui l’a bâti.

Oh, l’homme n’a pas accepté l’obéissance à Dieu en paradis, mais maintenant Je viens Moi sur la terre en parole, et Ma voie de venue est bâtie par des hommes obéissants à la loi du paradis et de la vie. Et Je vous dis maintenant, à vous ceux qui êtes étonnés et qui posez des questions sur votre choix à droite ou à gauche, face à l’obéissance à Dieu, Je vous dis, les fils, ne soyez pas étonnés. Oui, Je suis venu et J’ai dit que le peuple de Ma parole ne mange pas le fruit du travail des abeilles, mais Je n’ai pas forcé personne de faire ce que J’ai demandé au peuple de Ma parole, peuple dont J’ai besoin pour qu’il travaille le jeûne et la prière entièrement, mais celui qui ne choisit pas d’accomplir ainsi, celui-là n’est pas de Mon peuple, car il a choisi tout seul de ne pas être le fils de l’accomplissement de la volonté du Seigneur, et s’il choisit ainsi, il reste ainsi, il reste à gauche.

Oh, les fils, ils viennent des jours de plus en plus difficiles parce qu’il n’y a pas l’accomplissement de l’amour envers Dieu chez les hommes sur la terre. Les hommes ne peuvent pas être gardés des malheurs que s’ils se tiennent sous les vœux de Dieu, oh, et on ne peut marchander pour avoir la garde du Seigneur sur l’homme. On a ce qu’on choisit, et Moi, J’ai le devoir de dire, car Je suis Celui Qui voit en avant, et J’annonce l’homme d’éviter la voie du mal, car le mal vient par la désobéissance de l’homme, celle de sept mille ans, oh, les fils, puisque l’homme a voulu agir selon sa volonté dès le début, il n’a pas voulu agir selon la volonté de Dieu.

Oh, J’ai les mêmes conseils pour le peuple de Ma parole et pour sa tenue vestimentaire agréable à Dieu, celle qui garde le chrétien du feu, des péchés, de grandes pertes. La même chose pour la conduite sainte et la protection contre le péché que l’homme fait de la part du diable, qui pousse l’homme vers le péché.


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parce qu’à Dieu on n’entre pas à portion, à tranche, le partage n’est pas possible, mais il se peut tout ou rien, et il n’y a personne qui comprenne cela.


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Ma venue celle d’aujourd’hui a porté du fruit à Ma patience et à celle de Mes saints et J’ai réussi tant bien que mal d’avoir pour Moi un peuple attaché à Mon cœur, et de M’aider avec lui dans Mon grand travail entre le ciel et la terre, et le mener vers un état, un sentiment richement vécu dans la volonté de Dieu, une vie qui n’est pas vaine, tel qu’il se passe avec la vie de ceux nés sur la terre, vie dont le Seigneur n’a pas de bénéfice, et eux non plus.

Oh, les fils, comment l’homme peut-il vivre en vain sur la terre? Il le peut, les fils. Celui qui n’amasse pas dans le ciel le fruit de sa vie, c’est en vain qu’il passe parmi ceux de la terre. Celui qui n’a pas sa vie épargnée dans le ciel, et son éternité ensuite, un tel homme vit en vain sur la terre le temps de sa chair.

Mais comment l’homme peut-il ne pas vivre vainement sur la terre? Oh, il le peut l’homme, les fils, il peut s’il choisit cela, l’homme peut donner au Seigneur sa vie, il peut ne pas la garder pour lui-même, si seulement il choisit pour lui cette sagesse.


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Le miracle du renoncement à soi c’est le mystère d’entre l’homme et Dieu, oh, et combien aimerais-Je qu’elle existe cette sagesse dans ceux qui essayent de Me suivre, et pas sans croix Me suivre! La croix c’est la vie de l’homme. Si l’homme ne prend pas sa vie pour Me la donner, afin que Je la conduise, oh, il ne peut pas, il ne sait pas venir après Moi et Me suivre. C’est le renoncement à soi qui commence la naissance de nouveau de l’homme, qui veut être d’en haut ensuite, né du ciel, et qui Me suit avec sa vie sur la terre, jusqu’à sa venue dans les demeures célestes à la maison, auprès du Père.


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Oh, c’est ainsi que J’ai crié tout le temps par Ma trompette, par toi, Ma Virginie, et tu n’as pas vécu en vain sur la terre, car Moi, le Seigneur, Je t’ai donné un glorieux emploi,


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si l’homme choisit combien et comment être son amour pour le Christ, un tel amour ne fait pas partie de l’amour de Dieu, car cet amour existe en tout, ou pas de tout, il n’y a pas de solution intermédiaire pour l’amour de Dieu, et il oublie cela l’homme, quand il choisit de lui-même combien d’amour avoir pour le Seigneur.

Oh, le Seigneur ne hait pas les pécheurs, mais ceux qui sont hypocrites par leur levain, Seigneur.


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Lorsque l’âme de l’homme s’allume pour le Seigneur, les ennemis viennent et soufflent dans le feu, et l’âme de l’homme gèle de nouveau, même s’il fait très chaud, et sa recherche après le Seigneur diminue, le feu diminue, tout comme le désir saint, elle diminue la grâce du Seigneur dans l’homme, l’intérêt pour les choses de la terre grandit, la préoccupation pour Dieu baisse, et le chrétien décroît lui aussi, et ils meurent les uns par les autres ceux qui meurent, oh, et qu’il est difficile pour l’homme d’aimer le Seigneur jusqu’à la fin, Seigneur, oh, et l’homme ne porte pas sa croix, mais il l’ajuste, dit-il, jusqu’à ce que, toute mutilée, il reste sans elle sur les épaules, mais sans le Seigneur aussi.


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Les fils, les fils, procurez-vous, chez vous, des moments et de jours de lecture sainte et de parler d’en haut sur vous, parole du Seigneur et de Ses saints, car vous avez besoin de l’intervention des saints, de leur conseil, de l’exemple de leur vie, les fils. Ils ont écrit du Saint-Esprit et vous devez avoir du temps pour la rivière de leurs enseignements de vie exemplaire. Soyez comme les fleurs de paradis, qui ont toujours besoin d’eau à leur racine, oh, puisqu’il n’échappe plus l’homme de soi-même sur la terre, mais vous, prenez grand soin afin que le Seigneur et Ses saints soient toujours entre vous, en toute largeur, car d’autres occupations vous éloignent de la face du Seigneur, mais vous, accordez au Seigneur du temps et du lieu avec vous tout le temps, parce que tout le temps doit être racheté dans le ciel, les fils.


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Oh, Mon fils, voilà combien de veille et combien de remémoration pour elle Je dois toujours mettre sur la table d’enseignement! Et toi, quand tu as besoin de sortir, oh, que tu sortes avec Moi et jamais seul, mais seulement accompagné, car celui qui est seul, il est péché tant qu’il ne s’imagine pas, car une telle proie convient à merveille au diable, un tel manque d’ordre, par lequel il peut travailler sur toi.


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Oh, l’obéissance à Dieu est la plus précieuse vie à vivre, mais l’homme ne connaît pas ce grand prix de la vie, et voilà, ceux qui n’obéissent pas ont et auront à souffrir, et il n’y a jamais été autrement sur la terre avec l’homme, et la souffrance est bonne seulement quand ‘on la supporte pour le Seigneur, comme tous Mes saints, mais pas pour la désobéissance, homme qui souffre pour cela.

Oh, les fils, Je ne veux pas que vous souffriez. J’affirme cela pour tous ceux qui veulent être aimés par Dieu. Voilà quel enseignement Je mets sur la table en ce jour, et Je dis cela: Les fils, les fils, ne nourrissez pas de vous-mêmes votre esprit! Ne faites pas cette laideur d’âme et d’esprit devant Moi et Mes saints, car l’homme n’a pas de mérites, du moment qu’il est pécheur, le pauvre, et vous, nourrissez-vous tout le temps avec l’esprit de l’humilité, avec le repentir de tout cœur pour vos péchés, et portez votre croix sans bruit, sans tourment, comme Moi, les fils, car l’homme n’est pas plus méritoire, plus grand que Dieu, pour qu’il choisisse de lui-même le mécontentement sur la terre, mais il est plus petit que Dieu, si seulement il puisse prouver cela en toute humilité, le front baissé devant le Seigneur et devant l’homme,


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Oh, les fils, les fils, ne vous réjouissez pas pour vous-mêmes si quelqu’un vous accorde plus d’attention, car le danger de l’égarement de sous l’esprit de l’humilité se tient comme une piège prête à vous couper le voie avec Moi.


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Oh, les fils, les fils, Je porte toujours Ma main après vous parmi les épines et les chardons, toutes les fois que le diable vous mène entre des fils emmêlés, et non démêlés ensuite, et Je vous ai toujours conseillé de ne pas mourir les uns par les autres, mais de Me laissez Moi de vous aider au temps de désobéissance, et ne pas essayer de vous débrouiller les uns les autres, si vous M’avez Moi, votre veilleur. Oh, Je vous ai dit toujours et toujours, ne faites pas conseil avec une femme, les fils, car vous êtes des fils de l’obéissance à Dieu, et si vous ne L’écoutiez pas, que seriez vous encore, les fils?


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Oh, les fils, n’allez pas dans le monde et avec le monde! Sortez du monde, Mon peuple ! Je crie cela depuis des milliers d’années, pas seulement maintenant. Oh, comment pourrais-Je le dire, pour vous faire obéir à Ma parole? Voilà, ceux qui sont dans le monde sont surpris par l’eau et le feu, et Moi Je vous enseigne d’avoir pitié de votre vie d’ici, et de celle d’après elle, car celui qui cherche vers le monde pour gagner, dit-il son âme pour lui-même, cet homme va la perdre, puisque le monde ne mène pas qu’à la perte jour après jour, tel qu’il est écrit.


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Les fils, les fils n’oubliez pas que vous êtes des chrétiens, à part, si vous voulez être précieux sur la terre et dans les cieux, pour toutes les œuvres que Je dois accomplir en ces jours avec vous, avec ceux obéissants. N’oubliez pas dès votre lever, oh, n’oubliez pas comment vous devez parler, comment travailler selon le conseil de Ma parole et comment manger, les fils. Oh, ne mangez pas entre les repas, ne mangez pas en cachette des autres, ne mangez pas seuls, ne mangez pas sans bénédiction, les fils. Oh, ne comptez pas sur votre prière de chaque jour, de chaque soir, par laquelle vous dites: «Pardonne-moi, Seigneur, puisque j’ai mangé en cachette, ou avidement, ou pour une deuxième fois!». Oh, ce n’est pas de pardon quand tu pries pour le pardon, car tu ne demandes pas le pardon pour un seul jour, mais c’est pour le péché que tu Me demandes de te pardonner. Oh, ne faites pas ainsi les fils, car ce n’est pas un jeu le parler avec Dieu, ni la prière pour le pardon. Vous, les fils, soyez amateurs de jours de jeûne et de nourriture modéré, tant qu’elle soit bénéfique pour le corps, avec lequel vous Me servez, mais obéissez à l’amour de Dieu, pas de la chair, oh, les fils. Oh, donnez de la vie en vous à l’amour, et la nourriture pour la chair qui vous fait du bien est celle servite à la lumière, celle bénie par un serviteur oint par Moi pour ce travail entre vous et Moi, pour une vie douce pour Moi, venue de vous, les fils.

La chair doit être éduquée, les fils. Ce n’est pas la chair qui doit être le maître, mais le Seigneur votre Dieu, Dont vous êtes les fils.


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«Celui qui parle, que ses parole soient comme celles de Dieu».

Oh, les fils, voilà quelle grande faute font ceux qui ne parlent pas comme Dieu, la parole de Dieu ! Vous devez tout le temps utilisez Ma parole, vous mesurer avec elle tout le temps, en toute occasion que vous avez de parler, et travailler et de vous déplacer, les fils. Ma parole sur vous c’est de la lumière pour vous tant que Je suis avec vous et autrement c’est de la nuit, autrement Ma parole n’éclaire plus, et là ou elle n’existe pas il fait nuit, les fils, là c’est l’homme qui fait comme il veut, et pas comme Dieu le veut. Oh, c’est depuis plus de soixante ans que Je travaille sur la terre avec la lumière de la parole, pour que Je puisse allumer un cierge et la mettre dans le chandelier et prendre grand soin d’elle afin de ne pas s’éteindre sa lumière.

Les fils, les fils, J’allume cierge de cierge, entre vous pour vous garder dans la lumière, pour être votre lumière, les fils,


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Oh, que vos paroles soient comme celles de Dieu, les fils. C’est pourquoi vous devez employer Ma parole entre vous et l’accomplir, oh, et Je vais vous appeler tout le temps Ma parole accomplie.


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Moi, Je ne suis pas obligé de faire le plaisir de l’homme, mais c’est l’homme qui doit M’apitoyer, et si Je veux être miséricordieux envers lui, c’est Ma décision, l’homme ne peut pas M’obliger, et c’est cela que l’homme ne veut pas savoir, mais c’est la vérité. Je ne suis pas obligé envers l’homme, même s’il Me servirait en allant aux coudes et aux genoux le long de dix vies, s’il en avait.


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Oh, le fils de cette parole doit prouver la source d’où il prend son enseignement et à quoi sert-il avec sa vie. Demande-toi donc, Mon fils, à quoi Dieu est-Il bon pour toi, et réponds avec sagesse et intelligence à cette question. Ensuite demande-toi, le cœur éveillé, demande-toi attentivement de quoi es-tu bon pour Dieu, et seulement ensuite tu vas comprendre pourquoi tu vas bien ou tu ne vas pas bien tant de fois, et en tant d’occasions où tu as besoin de Dieu, quand Il serait bon Dieu pour te soutenir, oh, et humilie-toi si tu n’es pas utile à Dieu, et cherche de vivre utilement la vie, puisque tu resteras ou tu ne resteras pas avec les choses que tu as travaillées, avec celles utiles à Dieu et à toi, si tu les travailles , et voilà pourquoi Je te conseille de te demander à quoi es-tu utile à Dieu et à Son œuvre, celle qui va rester, car c’est seulement Dieu qui va rester, Lui et Son œuvre et tous ceux qui ont avec Lui leur travail sur la terre.

Oh, les fils, fuyez l’orgueil, allez vers l’humilité du cœur, toujours vers elle, que chacun de vous se considère plus bas que l’autre, et vous allez ainsi échapper à l’attaque de la présomption et des mauvaises conduites, contre lesquelles vous avez toujours l’humiliation et la réprimande, car elles vous tiennent dans l’humilité, elles vous soutiennent pour ne pas tomber d’auprès de Dieu par la fierté, oh, et ils ne savent pas les hommes être à Dieu, ils ne savent pas que c’est l’humilité de cœur qui tient l’homme avec Moi, et surtout lorsque l’homme aime la soumission, les fils. Il est écrit dans les Ecritures sur les bœufs, les chevaux, les ânes, qu’ils sont au service et à l’aide de l’homme, dans son pénible travail pour la vie, et ils connaissent leur maître, ne le quittent pas, ne se fâchent pas contre lui et ne le punissent pas ainsi, même s’il arrive que le maître les fouette pour qu’ils aillent et transportent des fardeaux, ou pour obéir aux ordres du maître, ou pour ne pas s’abandonner à la paresse quand il s’agit de préoccupations du maître, accomplies avec leur aide. Oh, mais l’homme n’est pas comme cela, il n’est pas soumis, il n’aime pas l’être, il se veut important, il s’élève au-dessus de celui qui prend soin de lui, il le médit, le juge, il lui trouve des coulpes, il s’en plaint et en raconte partout des paroles diffamantes et son mécontentement, il lui répond insolemment, sans honte, tel qu’il est écrit dans les Ecritures, au sujet des entêtes et des désobéissants, insoumis et diffamateurs envers ceux établis pour veiller sur la vie qui doit être surveillée, la vie de ceux qui choisissent d’être avec Dieu.


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Oh, Mon Baptiseur, ils sont ceux que Nous avons pour Nous, et c’est à eux que Nous montrons la grande tristesse et Nous la portons avec eux, et ils ont à apprendre comme à l’école toute la sagesse de laquelle ils ont besoin contre le péché qui embrasse toute l’humanité, et Moi et toi, Nous soupirons encore et encore, et il soupire le ciel de saints et d’anges sous cette tristesse, et elle soupire la terre, oh, Mon Baptiseur, et elle crie la terre, elle crie à Dieu la terre, elle crie au ciel.


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Moi, le Seigneur, Je dis à tous ce que c’est la belle âme. La belle âme c’est la demeure de Dieu entre les hommes, c’est le palais des beautés du ciel et la voie vers les palais célestes, les palais des belles âmes, qui se réunissent ensuite dans le ciel, après leur transformation en voie du Seigneur avec elles sur la terre.

Oh, qu’est-ce qu’il fait sur Ma voie celui avec une belle âme? Il se fait voie vers Dieu pour ceux qui sont étrangers à cette voie, et il se fait saint désir envers Dieu, dans ceux qui ne Le connaissent pas, et ensuite l’homme aspire aux beautés du saint désir, beautés vers lesquelles il tend ce désir. La belle âme ne s’afflige jamais de rien et ne se fâche pas contre personne sur la terre, quel que soit le nombre des épreuves qui l’envahiraient, oh, et il ne se fâche pas contre quelqu’un spécialement. Il prend soin d’être beau tout le temps, de ne pas faire mal à quelqu’un de son entourage, de ne pas tourmenter, et de ne pas mépriser personne. Il amène Dieu dans l’homme et Le partage de son dedans, il est tout une harmonie pour tous et pour toutes de la terre, et le ciel se réjouit de lui et en lui.

Oh, les fils, réjouissez-vous des fleurs, des arbres, des papillons, des oiseaux qui chantent à Dieu et à ceux de la terre, oh, réjouissez-vous des anges d’auprès de vous, des frères et des sœurs, car ceux qui ont des frères ont des anges, et malheur à celui qui est seul, qui n’a personne à le réprimander aux temps de ses fautes, du manque de sagesse, d’éloignement de Dieu sur la voie de la vie, puisque la vie sur la terre est pleine de dangers lorsqu’on n’a pas à qui obéir comme à Dieu sur la terre. Oh, mais celui qui n’obéit pas à Dieu, n’obéit à personne sur la terre, et celui qui n’obéit pas à quelqu’un de la terre, celui-là n’obéit ni à Dieu, il ne peut vraiment pas obéir à Dieu un tel homme.

Oh, les fils, l’œuvre de la belle âme c’est la loi de l’amour, que Je vous ai appris à rappeler chaque jour à votre cœur, la loi de l’amour et sa mise en pratique, votre vie avec Moi et avec les frères, vie dans laquelle doit se refléter tout le temps Mon visage, la belle âme, par laquelle Dieu habite dans l’homme.


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Oh, mon cher Fils, Jésus bien-aimé, qu’est-ce qu’elle fait la belle âme dans l’homme? Elle assume toute faute propre, ou celle de ceux de son entourage, et cette épreuve est encore difficilement à passé pour tout homme, mais elle est très grande pour le ciel cette épreuve-ci. Oh, c’est ainsi que Tu es allé au ciel, par des douleurs souffertes pour tous, c’est ainsi que Tu es allé vers le ciel en T’assumant la coulpe pour chaque homme, qui veut gagner par Toi la vie dans les cieux. Mais l’homme ne veut, on peut recevoir n’importe comment cette sagesse de la vie, du chemin vers le ciel. L’homme refuse la coulpe, il la passe sur un autre, il fait comme Adam, il se disculpe, il raconte ses problèmes à d’autres, il se sent injustement frappé, il oublie de faire des pas vers le ciel, par l’humiliation de la charité envers les frères, il oublie de porter de tout cœur charges et coulpe, il oublie de porter lui-même la coulpe, et pas les autres. Toutes les fois qu’ils lui viennent dans le chemin des charges à porter, afin que sa voie soit vers le ciel, l’homme rejette la charge, rejette la faute sur un autre, il se disculpe, s’il ne connait pas l’amour et ses biens, la voie vers le ciel, mon cher Fils. Oh, devant qui fait-il cela, Fils plein d’humilité?

Oh, fils de la sagesse de la parole de mon Fils Jésus-Christ, oh, fils de partout, d’où que vous soyez et que vous veniez vers la rivière de parole d’ici, oh, les fils, fuyez les fils, fuyez l’esprit de la présomption dans lequel est tombé Adam. Ne vous donnez pas de l’importance comme Adam. Veillez attentivement sur vous en marchant sur la voie vers le ciel, pour qu’elle ne vous vienne pas en tête l’idée que vous méritiez plus que les autres comme vous, pour l’habilité, pour l’intelligence qu’il vous semble avoir. Oh, les fils, il aurait pu qu’un autre que vous soit ce que vous dites d’être, sous la croix d’aujourd‘hui de mon Fils, sous les charges portés pour la marche du Seigneur. Oh, ils sont tombés d’auprès du Seigneur ceux mécontents. Le mécontentement est l’œuvre de la présomption, elle n’est pas l’œuvre de la douceur et de l’humilité du cœur, mais c’est la nature infatuée de l’esprit, qui a fait tomber l’homme d’auprès de Dieu.

Oh, que de choses Dieu vous a-t-Il pardonné, et combien d’autres va-t-Il vous pardonner encore, si vous allez Lui obéir de rester de Sa part, pour qu’Il puisse se faire gloire avec vous devant le genre humain, depuis la création du monde et jusqu’aujourd’hui, oh, puisqu’aujourd’hui, quand, tel qu’il s’est passé toujours sur la terre, personne ne cherche d’être avec Dieu qu’un petit peu, ce qui ne compte pas à Dieu, car Dieu c’est l’amour, Il est entièrement amour Dieu.

Oh, les fils, veillez pour votre position auprès du Seigneur, selon Son bon plaisir, car il y a tant de choses qui pourraient enchanter ceux de la terre, tel que l’argent enchante l’homme pour qu’il suive sa voie, la voie de l’argent, et l’homme va des extrémités aux autres extrémités pour l’argent. L’argent n’est pas de Dieu. L’argent a sur lui la tête du césar et des grands de la terre entre les hommes. L’argent est une fenêtre de laquelle le diable cligne de l’œil pour attirer l’homme vers le monde, pour dépenser sa vie, car on ne peut rien acheter avec de l’argent, mais seulement gaspiller sa vie, et on perd toujours, toutes les fois qu’on l’emploi. Sur l’argent est imprimé le visage de l’homme, dont les yeux font des signes à l’homme en clignant, il le charme et le pousse à gaspiller le temps de la vie, et l’homme vend son âme pour l’argent, et il se sépare de Dieu l’homme, et il choisit l’argent, qui va son chemin , et l’homme n’a rien au bout du chemin de la vie.

Mais vous, les fils, veillez les yeux rivés Sur le Seigneur et tenez-vous avec le Seigneur, et travaillez pour Le gagner pour vous, car c’est Lui seulement Qui va rester, Lui et ceux qui marchent avec Lui sur Sa voie. Et moi, je vous ai levé vers la veille, vers la garde de votre vie avec le Seigneur, avec Mon Fils Jésus-Christ, et c’est ainsi que vous aurez et vous garderez une belle âme, douce et humble pour sa beauté, chaleureuse et tendre envers Dieu et les frères, sainte et merveilleuse pour le resplendissement de Dieu dans l’homme, et sentier pour beaucoup de gens vers le Seigneur. Oh, qu’elle est grande ma joie et ma paix, car j’ai pu laisser sur vous le pouvoir du conseil et une nourriture forte, et vous, prenez-les de consolation, les fils puisque mon Fils le Christ souhaite habiter en vous, et que Sa gloire en vous soit visible jusque loin.


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il y a un proverbe qui dit que tout oiseau c’est par sa langue qu’il périt, et voilà, c’est des paroles de la bouche que Je vais parler maintenant, les fils, puisque l’amour ou l’absence de l’amour de Dieu et des frères, la fidélité ou l’infidélité, l’humilité ou la non humilité du cœur, la pureté du cœur ou son absence, tout cela se reconnaît par les paroles de la bouche, par leur manifestation à l’extérieur, car par une toute petite tension, c’est–à-dire manque d’amour, les mauvaises choses des cœurs débordent et elles prouvent clairement quel est l’intérieur de l’homme, et il n’y a personne qui puisse se cacher en soi, quelle que soit sa dissimulation, et c’est pour cela que Nous mettons aujourd’hui sur la table la leçon du service pour Dieu.


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L’école où on apprend la vie dans la fidélité envers Dieu, c’est l’humilité du cœur cette école, mais il est très cher un tel don dans la vie de l’homme et on ne le trouve plus pour que Je puisse le mettre sur Ma plaie, celle de sept mille ans, celle reçue dans le paradis, car l’homme a perdu le paradis, la soumission et l’humilité du cœur, il les a perdues très vite, et il est tombé ensuite comme l’oiseau qui périt par sa langue, puisque le cœur de l’homme est un oiseau qui vole autour du corps qui le porte, et c’est ainsi qu’il périt, c’est par ses paroles qu’il périt, et il perd Dieu, Celui Qui est doux et humble de cœur, car voilà, comment pourrais-Je demeurer dans le cœur qui devient arrogant et qui n’a pas de constance, de fidélité envers Moi, et un œuvre douce comme la Mienne?

Je vous exhorte vous, ceux qui essayez de comprendre la marche et la station auprès du Seigneur, oh, venez, demandez-Moi de vous parler du don du service pour Dieu, car si vous ne prenez pas de Moi le travail pour votre vie, et pour le réaliser selon Ma volonté, vous resterez dans vos vœux,


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la marche avec la croix, pleine de gloire et de beauté, elle est d’autant plus difficile et il ne peut venir celui qui s’aime lui-même, venir et rester sous la croix de Ma venue d’aujourd’hui, puisque le manque du renoncement à soi ne lui permet pas de pouvoir agir pour Dieu et comme Dieu, et comme sa liberté de faire ce qu’il veut est grande, il n’y a pas autre chose à aider l’homme pour l’humilité du cœur et l’amour saint envers le Seigneur et les semblables.


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Ma mère, la Vierge, met de l’enseignement sur la table, les fils, car sa pitié envers Moi, et Ma souffrance venue de l’homme est tellement grande.


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Ce n’est pas sur la terre la consolation, mais seulement quand on arrive à la maison. La consolation la plus douce pour l’homme sur la terre c’est le conseil saint. La consolation c’est la sainteté de la vie, car celui qui l’a et la garde, elle lui suffit comme consolation, car elle aide beaucoup l’homme, elle console le Seigneur et Le tient dans l’homme saint,


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Oh, n’attendez pas de consolation, fils, vous qui voulez connaître le Seigneur. Considérez-vous dignes de souffrance, de mépris, car c’est ainsi qu’il pense celui qui craint le Seigneur, et voilà, le Saint-Esprit vient avec mon Fils Jésus-Christ et vous apprend tant. C’est mon Fils Qui mérite votre consolation, pour vous faire grâce ensuite quand ils viendront les temps des impuissances et des épreuves.


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le service pour Dieu c’est la sainteté, et sans elle vous n’arrivez pas de pouvoir consoler et rendre service à Celui Qui est descendu du ciel chez vous, pour vous apprendre la rentrée, et la voie du retour à la maison. Moi, je suis Sa mère parce-que je me suis faite Sa voie pour qu’Il vienne chez vous, et je peux être votre voie aussi, afin que vous soyez avec Lui, mais vous devez apprendre de moi, de ma vie sur la terre, apprendre ce que cela signifie accomplir Sa volonté et pas la vôtre. Oh, si vous ne savez pas cela, apprenez-le de moi, de l’histoire de ma vie. Apprenez de la mère du Christ, pour savoir ensuite servir à Dieu avec votre vie, oh, les fils. Amen.

— Tu leur as parlé, Ma mère, du don de la grâce, de la sainteté, par laquelle ils peuvent Me suivre ceux qui veulent venir et se tenir sous la croix de Ma venue d’aujourd’hui, Ma mère. Cependant s’ils ne servent pas à leur sainteté avec tous ses fruits, avec la parole de la bouche et du cœur, avec la charité, avec l’humilité celle jusqu’à la fin, avec la patience celle portée jusqu’au bout de leur marche, jusqu’en haut, oh, elle ne peut les aider la sainteté favorable pour Moi, pour pouvoir Me tenir dans l’homme avec Ma volonté.


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Oh, les fils, l’homme ajuste sa vie à son choix et il dépasse l’enfance, il grandit, il se fait une famille, femme et enfants, et c’est tout ce qu’il sait faire, le pauvre, il ne sait pas ensuite se donner pour gagner de la vie pour lui et les siens, oh, il ne sait pas que la vie doit être gagnée pour Dieu, Duquel il a reçu la vie, et il en est obligé envers Celui Qui lui a donné la vie, oh, et c’est pour cela que Je sors dans son chemin et Je lui présente l’occasion de Me choisir, pour que Je lui dirige Moi la vie, pas à pas, désir par désir, mais pas pour le bien celui de la terre, qui est passager, et pour lequel l’homme ne choisit que de la terre, mais c’est pour Mon ciel dans le chrétien que Je veux le diriger, car voilà une chose c’est que l’homme lutte lui-même pour aller vers le ciel, mais plus grande chose c’est que J’amène Moi le ciel chez toi, oh, fils peu guidé, car tu ne veux pas que Je te guide davantage.


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Voilà, l’homme veut avec Dieu, mais il ne veut pas se renoncer pour que Je puisse l’avoir à Mon travail, avec de la lumière, réalisé dans Ma famille de fils, comme tout fermier qui procède ainsi avec ses fils et le travail de sa propriété.

Les fils, les fils, Je viens chez vous à l’occasion des fêtes des saints et Je laisse Ma parole avec laquelle Je nourris Mon peuple, celui obéissant et celui qui ne peut pas cela, oh, et qu’il est petit l’amour resté dans l’homme, les fils, et ceux qui s’approchent ainsi de la voie d’aujourd’hui de Ma parole, ceux-ci mettent toujours en danger la marche et les accomplissements attendus par tous les saints, comme récompense de leur service et de leur amour de Dieu, à travers les temps, jusqu’à la fin.


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Je rassemble maintenant sous la miséricorde de Ma parole ceux qui se sont rapprochés de Ma venue et Je leur parle en jour de fête de saints et Je les dirige en Pasteur avec le bâton de la justice, partout où ils se trouvent. Je crie pour qu’ils M’entendent ceux de la proximité et ceux qui sont venus de plus loin, et qu’ils M’ouvrent pour entrer, qu’ils ne Me laissent pas dehors, si Je veux entrer, les diriger et leur dire que Je les ai consultés minutieusement, pour les guérir s’ils Me reçoivent, s’ils Me permettent, s’ils Me sont fidèles dans les difficultés comme dans les choses faciles, car pour Moi la difficulté Me vient de ceux qui n’aiment pas et ils n’obéissent pas pour avoir de l’amour et de la lumière sur la voie. Car voilà, il vient le diable et Me dit de les considérer comme opposants. Oh, que faire, oh, que pourrais-Je faire? Comment lui répondre? Il serait normal que chacun réponde pour lui-même. Je ne Me mets plus en gage pour le chrétien, pour celui qui n’a pas voulu que Je prenne soin de lui, avec son âme et avec l’œuvre de sa vie, après tant de parole que J’ai eue pour lui, après l’avoir si longtemps conseillé, et voilà le diable Me demande sa part, plus encore, il la veut tout entière.


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Oh, peuple dirigé pastoralement par Dieu, c’est Moi seul à savoir ton nombre, combien il est grand ou petit en son ensemble, et Je te l’ai dit déjà que tu es libre de choisir ce que tu veux, mais Je le suis, Moi aussi, et Je choisis.


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Ce n’est pas bien que tu donnes toi à Dieu, car demain tu renonces et tu ne veux plus avec Lui, par des fautes et par la perte de la bonne nature, et tu foules aux pieds tes actions et tu mets le Seigneur à la bouche du monde, provoquant diffamation et imputation de ta part, et Je sais pourquoi Je dis cela, et il vaut mieux que tu aies toi de Moi, car Moi, Je ne te rappelle pas de ce que Je t’ai donné. Oh, c’est mieux de cette façon, afin qu’il n’arrive pas que Je sois puni par toi, pour t’avoir endommagé, et dire ensuite que tu as perdu en vain le temps de la vie avec Moi.

Oh, voilà ce qu’il peut Me faire celui qui vient et ne sait pas ce que signifie Dieu et Son église, et ensuite il n’aime pas le fait qu’il est venu et qu’il est resté! C’est pourquoi qu’il Me laisse Moi de donner à celui qui vient, tel qu’il ne lui arrive pas de penser que Je suis à sa disposition et qu’il peut Me demander de lui donner raison pour ses injustices contre Moi.

Oh, il n’est pas comme ça l’assistance quand il s’agit de Mon Eglise, de ceux saints, auxquels Je prends soin sur la terre, et c’est tout autrement cet œuvre, et c’est avec autorisation de Ma part. Quand quelqu’un envoie pour ceux endormis paquet avec de la nourriture et vêtements, avec des dons, oh, il faut qu’un employé officiel fasse le document de transport pour le don, pour qu’il arrive le don dans le pays nommé et il se passe comme sur la terre, pas autrement. Donc, vous, les vrai fils de Mon église d’aujourd’hui, vous ne devez pas vous donner les uns aux autres, après votre gré, mais après le règlement établit pour Mon église. Il faut que vous savez ça par cœur, et ceux qui savent et travaillent de cette manière, ceux-ci appartient à Mon église, et autrement, ils ne sont pas y compris ceux qui agirent d’autre manière. Et voilà, comme Dieu a laissé son œuvre.

Que l’on amasse ensemble les dons pour les besoins de l’église, et que personne de ceux qui en reçoivent ensuite ne sache pas d’où vient le don, et qu’on sache que c’est le Seigneur Qui prend soin par Son église, et que c’est à Lui qu’appartiennent la gratitude et la louange, car malheur à ceux qui manifestent de la vantardise envers les semblables!

Voilà donc, si on travaille autrement ils apparaissent de mauvais esprits entre les frères, quand ils se font des dons les uns aux autres, mais pas innocemment, mais par intérêt, ou par préférence, par quelque coulpe, oh, et pas n’importe qui doit être engagé à faire le partage pour les besoins de l’église, mais seulement ceux qui se renoncent en tout, comme le Christ, seulement ceux qui choisissent de vivre leur vie pour les autres, pas pour eux-mêmes. Oh, et J’ai dans Mon peuple des scellés pour ce travail, J’en ai dans Mon Eglise d’aujourd’hui de ceux sur lesquels Je M’appuie pour prendre soin d’elle.


***

Ceux qui se cachent tyrannisent leurs âmes-mêmes, et le manque de lumière les éloigne de Dieu. Et ceux qui apprennent la dissimulation à ceux d’autour d’eux, ils sont comme le loup qui tue la brebis, lui suce le sang, la laisse par terre et s’enfuit, et voilà, l’homme a plus d’ennemis que d’amis, et les ennemis deviennent des ennemis du rang des amis, et pas autrement.

Les fils, les fils, ils M’ont fait et ils Me font grand douleur les chrétiens qui se sont réunis et se réunissent quand Moi, le Seigneur, Je sonne et Je les appelle de venir à la direction pastorale, de venir pour que Je sois leur Pasteur, et Moi Je fais Mon devoir, pour lequel Je suis venus et Je viens, pour lequel Je viens et Je dirige. Mais voilà, ils se réunissent et se préparent des voies de communications entre eux, comme sur la terre, oh, et il n’y a pas de plus grand mal que celui-ci sur eux, de l’un à l’autre, car le diable a écrit qu’ils ne sont pas venus, qu’ils ne viennent pas pour la direction, mais ils viennent pour se faire des relations, comme on dit sur la terre. Oh, les fils, une telle fraternité ne signifie pas amour et saint désir envers Dieu, mais l’intérêt ou la légèreté, ou le péché commis dans l’obscurité ensuite, des gens sans gouvernail pour eux, après avoir dit et cru qu’ils viennent pour le Christ, et voilà, les relations entre eux sont semblables à celles du monde, et ils emploient comme gage l’œuvre et le lieu de Ma parole, pendant qu’ils sont du côté terrestre, et si Je ne dis pas la vérité, qu’ils prouvent le contraire.


***

Oh, fils, vous qui souhaitez prendre votre croix et Me suivre avec elle, oh, ne faites plus votre volonté si vous voulez choisir d’être dirigés par Moi et d’aimer Ma volonté. Elles vous perdent vos vœux, les fils. Voilà, regardez ceux qui n’ont pas voulu agir comme Dieu. Celui qui veut ne pas périr d’auprès de Moi et de cette source vive, voilà ce qu’il doit faire: renoncer à tout ce qui peut le tirer en dehors de Mon royaume. Et s’il ne veut et ne peut agir ainsi, il n’y aura rien encore pour aider la vie de celui qui choisit de tomber de Mes vœux, pour sa propre volonté. La volonté de Dieu ne lutte pas contre la volonté de l’homme pour la renverser, mais celle de l’homme lutte contre la volonté de Dieu pour la renverser et la vaincre ainsi, dit-il, et c’est comme ça que la volonté de l’homme reste avec lui, et Moi, Je Me retire de sa vie et l’homme demeure avec son dieu, avec sa volonté.


***

Oh, voilà, quelle sorte de relations ont lié entre eux les chrétiens qui connaissent Ma venue en parole, et ils ont établi des relations comme sur la terre et c’est tout. Et le téléphone, l’arme meurtrière, qui accomplit le péché de la conversation en deux, la médisance pleine de bruits d’une extrémité à l’autre, par l’arme avec laquelle il se blesse lui-même celui qui l’emploie, arme qui est devenue cachette pour le chrétien, et celui-ci se cache dans le téléphone et il se dit que personne ne le sait, et il dit qu’il l’aide à se cacher de Dieu et des frères et de passer la coulpe sur Dieu et les frères ensuite, tel qu’il est arrivé et il a travaillé Adam en Paradis, après son action de se cacher de Dieu et des anges de Dieu, qu’il a tirés eux aussi en bas, tout comme ils entrainent loin de Moi d’autres gens aussi, ceux qui tombent de Dieu par des dissimulations face à Dieu et aux frères et ils s’en vont follement dans le monde noir de péché, et qui meurent totalement avec leur âme, celle mise de Dieu dans l’homme, et de laquelle l’homme ne prend plus soin.


***

Oh, c’est un jour de grand enseignement ce jour-ci. Les présents ici à la fête, qu’ils apprennent que Ma marche est difficile à cause de ceux qui ne savent pas se donner à Dieu, lorsqu’ils viennent pour s’approcher, et Moi, Je viens et Je dirige en Pasteur ceux qui sont près et ceux qui sont loin, et Je les prie de s’incliner, de prendre de Ma bouche et de mettre de la consolation sur les douleurs qui nous viennent d’eux.


***

Oh, mais n’oubliez pas, oh, les fils, n’oubliez pas de vous, n’omettez pas vos fautes, et agissez pour vous purifier d’elles à temps, et Je vous prie en pleurant, Je vous prie de regretter de tout votre cœur les fautes par lesquelles vous M’avez plus ou moins endolori, et qu’ils regrettent surtout quelques uns d’entre vous qui ont si peu compris l’œuvre de Ma parole avec vous, et Je dis à tous ceux qui croient, Je leur dis cela:

Les fils, les fils, vous devez voir vos fautes, et ensuite travailler à les faire disparaître de Ma face, et pour cela il faut que vous ayez Mon œil en vous, pas le vôtre, puisque l’homme cherche de se ranger de la part de soi-même, et si par sa nature, il n’a pas l’humilité celle qui donne la vie, il ne peut prendre soin de son cœur, de Mon temple dans l’homme, duquel il devrait Me laisser de le diriger Moi-Même toujours, toujours, les fils, pour qu’il comprenne l’homme Mon mystère d’aujourd’hui,


***

Oh, les fils, Mes anges vous font toujours des photos. Faites attention d’être beaux comme Moi, pour pouvoir vous réjouir quand vous regardez votre fortune accumulée chez Moi, car ils seront dans la honte ceux qui n’ont pas été soucieux à tout instant pour leur ressemblance avec Moi, pendant la vie passée sur la terre.

Oh, les fils, quand vous vous trouvez au milieu des vagues dangereuses et les tentations vous attaquent, appelez-Moi comme Pierre pour venir vous aider, mais ne doutez pas de Moi si vous M’appelez, attendez-Moi de venir, et ne méprisez pas les douleurs lorsqu’elles viennent. Elles sont vraies, et les joies ne le sont pas, les fils, et vous, cherchez tous l’amour, mais l’amour spirituel, car il ne meurt jamais, puisque son œuvre c’est la vie, les fruits de la vie que vous connaissez des Ecritures, et surtout la tendresse et la douceur, l’humilité du cœur et le pardon, les fils. Et si quelqu’un serait prêt à tomber, celui-là perd tout d’abord l’amour, et ensuite les dons spirituels l’un après l’autre, et il n’a plus besoin de Moi, il se fabrique lui-même de l’amour, employant des choses qui le font tomber de Moi.

Voilà, voilà réveil saint pour vous: effacez de Moi les paroles de votre langue, celles qui vous rendent coupables et vous guettent pour vous faire des douleurs, et pour lesquelles le diable attend le moment pour les accomplir aux dépens de la vie de vos âmes, car la vie de l’âme est sans fin, et peut être avec de la douleur éternelle, avec des larmes éternelles, oh, c’est pourquoi ayez soin de faire disparaître de Ma face l’accusation du diable pour les choses échappées par votre langue et favorables à lui ensuite. Ne parlez pas sans bien réfléchir, pas même mentalement! Il est dangereux, les fils, car il est écrit que «Chaque oiseau périt par sa langue».


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Les fils, les fils, soyez attentifs de ne pas perdre la foi à cause du manque de charité. Attention à la présomption qui est l’ennemi mortel de l’amour de Dieu et des frères, puisque c’est à cause de ce mauvais péché qu’ils sont tombés de Moi ceux qui ont joué avec ce péché qui amène la condamnation sur le peuple chrétien entre frère et frère, entre l’homme et Dieu. L’homme accumule des fautes et ensuite vient l’orgueil, l’âme froide et dure, une raison trouble et grossière, et il perd la finesse de l’esprit, par lequel il voit et il se voit.


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Oh, Mon peuple d’aujourd’hui, oh, Mon fils, l’homme a tant de péchés par lesquels il peut perdre la direction du Seigneur et il peut se perdre lui-même du Seigneur, et son insouciance s’accroît avec chaque péché, car c’est cela qu’il fait le péché, il grossit l’homme pour ne plus sentir, pour ne plus se sentir soi-même et se relever quand il tombe, et s’affranchir du péché.


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Les fils, les fils, celui qui a ses actions à part les Miennes avec lui et pour lui, celui-là veut et va sur deux voies, et un tel homme va avec deux ou trois ou même quatre melons à la main, car c’est ainsi qu’il s’est habitué de faire lui- même, de pouvoir lui- même, de vouloir lui- même, et il n’aime pas avoir sur lui une main qui guérisse de la part de Dieu, et c’est ainsi que l’homme reçoit ce qu’il travaille, car c’est lui- même qui le choisit.


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Oh, il y a peu de ceux qui viennent pour l’amour de Dieu avec leur cœur, et ceux-là peuvent être avec le Seigneur le long de tout le chemin de leur vie. Une autre sorte de venue auprès du Seigneur ne te maintient pas avec Dieu jusqu’à la fin de la vie, et cela parce que les plaisirs te font reculer, plaisirs qui te tentent pour les aimer, pour les désirer et qui s’attachent à ton cœur pour t’incliner vers elles.

Oh, ayez soin, les fils, ne vous lamentez pas les uns aux autres avec des mécontentements sur votre voie avec le Seigneur, tel qu’ils l’ont fait les fils d’Israël, car, attention, la parole une fois prononcée par la bouche, elle est prise du diable comme péché du mécontentement, et il vous guette ensuite pour vous faire tomber par vos propres paroles, dirigées de côté.


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puisqu’il y en a beaucoup de gens qui cherchent le Seigneur aux temps des ennuis, tout comme il y a deux mille ans, lorsqu’il y avait de grands troupeaux d’hommes qui Me cherchaient pour leur donner la guérison de leur impuissance. Mais à Moi, il Me manque l’homme qui vient après Moi mené par le désir saint, et c’est un tel homme que Je souhaite à Ma suite, tout comme il se passait alors, quand seulement en entendant témoigner de Moi, le désir saint de Dieu se constituait dans les cœurs de ceux que J’avais choisis pour être Mes disciples ensuite.


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Oh, les fils, ayez toujours Mon amour en vous et entre vous. J’ai dit qu’on n’a pas besoin de foi seulement, mais on a besoin d’amour, avec lequel l’homme puisse aller après le Seigneur ensuite. La leçon de l’amour doit être mise au travail toutes les fois que l’homme l’oublie. L’amour pardonne, il oublie le mal, il passe sur les fautes, il rend l’homme petit, afin que Dieu soit grand en lui.

Oh, l’œuvre de l’amour est grande et sainte, les fils. Il soutient la présence de Dieu entre les frères, il ne punit pas, il ne s’intéresse pas à ses choses, mais il s’offre à tous tout le temps. Il se tient debout et ne tombe pas puisque l’amour c’est Dieu dans l’homme. L’homme a toujours besoin de miséricorde de la part de Dieu et de tout le bien, et s’il partage de l’amour tout le temps par toutes ses actions, alors l’homme prouve sa qualité de logis de Dieu, d’homme de la charité, Mon repos en lui.

L’amour qui se trouve dans l’homme aime ses ennemis, les fils, et il ressemble à Dieu l’homme qui partage de l’amour à ceux qui sont froids avec lui et maladroits par rapport à l’amour. Celui qui a Dieu logeant en lui laisse au Seigneur à juger toute controverse qui apparait sur la voie avec le Seigneur, et lui, il aime comme Dieu, et surtout il s’humilie comme Dieu devant ceux qui sont froids envers Lui, car c’est ainsi que le ciel et la terre se tiennent à leur place depuis la création, par l’amour et la patience de Dieu, les fils, et l’homme n’est pas habitué de prendre soin des choses faites de Dieu, et de leur obéissance à Dieu tout le temps.


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Oh, évitez beaucoup, toujours et attentivement, évitez l’esprit du jugement de votre frère, les fils. Tous les hommes ont une grande séparation entre eux et Dieu à cause de l’esprit du jugement, et des jugements entre eux, puisqu’ils pèsent les uns sur les autres, ils prennent le droit de se faire justice eux-mêmes, se croire droits et capables à juger ceux coupables envers eux, ils se permettent de s’élever les uns au-dessus des autres, mais s’humilier les uns pour les autres, pour être beaux comme Dieu, doux et humbles de cœurs comme Dieu, oh, il ne leur passe pas par la tête ce genre d’amour, l’amour des semblables, les fils, car le commandement de la vie c’est l’amour de Dieu et des semblables, et il est écrit ce commandement dans les Ecritures pour l’homme, pour qu’il l’accomplisse.


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Oh, les fils, n’oubliez pas de pardonner tout et toujours à n’importe qui. Oh, n’oubliez pas de ne pas faire souvenir du mal, ou de juger vous à la place de Dieu les controverses qui apparaissent et vous provoquent des mécontentements. Tout homme a besoin de pardon de la part de Dieu, et Moi J’ai dit il y a deux mille ans: «Pardonnez, et on vous pardonnera vos fautes!». Oh, ne laissez rien entre vous qui puisse vous séparer de l’œuvre de l’amour et du pardon, car l’amour, c’est seulement lui qui pardonne. Et s’il s’agit d’orgueil, gardez-vous en comme du feu, car il ne pardonne pas, il punit, il prend la place de Dieu dans l’homme, pour qu’il ne s’humilie pas en vue de la paix entre les frères.

Les fils, s’il y a un problème apparu entre les frères, oh, qu’est-ce qu’on doit faire? Que chacun n’oublie pas qu’il a besoin du pardon de ses fautes de la part de Dieu et de ses prochains, et qu’il n’éloigne pas tout seul le pardon de Dieu pour lui, s’il ne pardonnait pas à l’autre. Oh, que rien ne procure au diable des joies par le manque de pardon, pour une longue durée, et pour le manque d’humilité du cœur, puisqu’il n’y a pas d’homme qui ne soit pas coupable face à Dieu, les fils, et c’est pourquoi, du moment qu’on lui pardonne, il doit lui aussi pardonner, afin que le Père lui pardonne la faute commise.


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Oh, les fils, quelle belle chose aurait été, quelle bonne chose serait si l’homme avait fait attention ou qu’il fasse attention à ce que J’avais dit alors pour le jour de Ma gloire, lorsque les anges du trône de la gloire et Celui Qui sied sur le trône, rassemblera tous les peuples pour l’examen et pour le payement selon le travail de leur vie. Pour toute récompense il faut travailler d’abord, et c’est la même chose avec la vie éternelle, pour sa joie, puisqu’il faut travailler pour l’avoir pleinement avec le Seigneur, auprès du Seigneur, à Sa droite, surtout parce que le temps du travail c’est ici, au temps de la chair, et ensuite on reçoit ce que l’on a travaillé pour avoir, et si tu ne fais pas ainsi, la peine éternelle sera ta part, et on ne peut plus réparer, car c’est pour maintenant le travail, pas après, c’est ici le travail, pas ensuite, quand on reçoit seulement ce qu’on a amassé. Si dans ta vie, si dans ton action de te consacrer à Dieu il y a quelque chose qui va mal au temps de ta chair, dépêche-toi de la réparer ici, maintenant, tiens-toi toujours attentif à toi, de peur qu’il ne reste quelque chose gâté et pas réparé maintenant, et que ta prière demande toujours Ma miséricorde pour le fait d’alors, et ensuite qu’elles aillent devant toi les prières qui demandent ton éternité avec le Seigneur, avec les anges, avec les beautés d’en haut.


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Voilà, les fils, celui qui ne partage pas les sentiments de son âme à ceux avec qui il vit, celui-là n’a pas le cœur pur, ni pour lui, ni pour ceux avec qui il vit, puisqu’il est fermé en soi avec les siennes, pensées, actions, séparées de la pensée et des faits de la communauté, et il a sa propre vue sur les choses, sur leur signification, sur leurs faits, et tout cela produit de la séparation et des frères et de Dieu, car le Seigneur habite là où il y a l’union et l’unité entre les membres de la même communauté.


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Oh, les fils, demandez au Seigneur ce dont Il a besoin que vous ayez, que vous pussiez et que vous travailliez pour Lui. Oh, paix à vous! Réjouissez-vous et soyez gais tout le temps des sept semaines de jeûne, car celui qui montre un visage triste, il perd sa récompense dans le ciel, mais vous, soyez vifs et pleins du Saint-Esprit de l’un à l’autre et nourrissez-vous avec la parole de Dieu, tout comme avec du pain, car elle est grande la force de Ma parole, les fils, et vous savez cela.


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Ceux qui ont le cœur pur devant Dieu se repentissent toujours pour leurs fautes, ils se repentissent en brisant leur cœur, et ils M’y font place, pour Mon siège dans leur cœur, et ensuite ils s’en rendent compte et ils voient cela, car ceux au cœur pur voient Dieu avec Son aide sur eux.

Il y a deux mille ans, c’est la douleur pour Moi de Mes disciples, hommes et femmes, c’est leur douleur qui M’a élevé du tombeau pour aller chez eux, pour qu’ils Me rencontrent si Je suis ressuscité, car c’est pour eux que Je l’ai fait, pour qu’ils Me voient. Je suis ressuscité, selon la promesse faite à ceux au cœur pur en eux. Mon Esprit en œuvre pour les disciples les a réunis, tous, pour qu’ils Me voient ressuscité, et Thomas aussi, qui n’était pas avec eux à Ma première apparition après Ma résurrection, et son cœur languissait, brûlait du désir de Me voir, pour parfaire totalement la foi, que J’étais ressuscité selon la promesse que Je leur ai faite, et J’ai répondu au désir de son cœur, Je Me suis montré à tous à la fois, et J’ai scellé leur foi dans Ma résurrection, oh, puisque J’ai découvert Mes blessures des mains et du côté, et ainsi J’ai pleinement avéré que c’était Moi, que J’étais vivant, Celui vivant dans les siècles des siècles, et que J’étais leur Dieu, oh, et ils se sont repentis de tout cœur pour toutes leurs fautes envers Moi et leur foi en Moi, qui chancelait quelquefois, surtout lors de Ma crucifixion, mais ils avaient le cœur pur, même dans leur chancellement dans la foi envers Moi, et si Je les ai vu purs de cœur, Je Me suis montré pour qu’ils Me voient.

Oh, comment aurais-Je pu ne pas Me montrer à Mes disciples hommes et femmes, après leurs avoir si longtemps enseigné les mystères de Dieu, Me déplaçant par endroit avec eux, le long du temps décidé par le Père pour que Je sois avec eux, pour que Je le sois jusqu’à la croix?

Les fils, les fils, Je pouvais Me montrer à beaucoup d’entre eux, même aux grands du temple, Anne et Caïphe, même à Pilate, ou aux pharisiens qui ont instigué l’acte de Ma crucifixion, oh, mais leurs cœurs n’étaient pas purs, mais comblés de l’esprit du mensonge, qui servait à leur orgueil d’occupants des hautes chaises du peuple d’Israël, ils avaient honte de leurs méfaits diaboliques, car le père du mensonge est le diable, le père de ceux qui travaillent les faits du mensonge, oh, et Je ne peux Me montrer à ceux qui n’ont pas le cœur pur, qui ne se repentissent pas de tout cœur, pour les fautes des ténèbres qui se trouvent en eux.

Oh, voilà pourquoi ils ne peuvent Me voir ceux qui n’ont pas le cœur pur, et voilà pourquoi ils Me voient ceux purs avec le cœur! Qu’ils entendent cette parole les uns et les autres et qu’ils comprennent pourquoi ils Me voient ceux qui Me voient, et pourquoi ils ne Me voient pas ceux qui ne Me voient pas.

Oh, fils qui portez et diffusez la parole de l’enseignement céleste sur toute la terre, oh, les fils, les hommes n’ont pas le repentir pour leur vie si éloignée de Dieu, par la transgression des commandements de la vie. C’est pourquoi au su de Dieu ils arrivent sur les hommes des dangers, des troubles d’âme, des craintes, des coups, et la mort, puisque le diable a raison quand il vient et il demande à Dieu de la punition pour les hommes qui pèchent sans crainte devant Dieu, pendant qu’ils commettent leurs péchés.

Oh, qu’est-ce que pourrait arrêter les hommes dans la voie de leurs infamies que le payement selon le fait? Mais Moi, J’attends le repentir et ensuite la sagesse de l’homme, et puis Je peux travailler pour faire honte à satan, mais sans le redressement de la vie de l’homme, oh, avec quoi M’opposer au diable et l’arrêter de chercher ses droits, puisque ce mauvais pouvoir lutte avec le pouvoir de Dieu, pour abattre les coupables pour leurs péchés, mais le cœur de l’homme, oh, lui seul peut vaincre et sortir de la domination du diable, s’il le veut, et il le peut par des regrets devant Dieu, qui écoute le crie de ceux devenus esclaves, et Je leur donne le salut et le redressement ensuite, et c’est pour cela que J’attend l’homme M’appeler, pour venir à l’appel du cœur pur.


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On a besoin de crainte de Dieu, d’en veillez, vous, ceux qui êtes de la part du Seigneur sur la terre. Lorsque les armées d’anges on vu l’armée de Lucifer en train de tomber et de se noircir en entier, elles ont été prises d’effroi, et ont entendu alors la voix de l’archange Michael en criant: «Tenons-nous dans la peur, et faisons attention à Dieu, chantons Lui tout le temps des louanges, pour ne pas tomber nous aussi», et depuis lors les armées célestes chantent sans cesse: Saint, saint, saint notre Seigneur Dieu Sabaoth, le ciel et la terre sont pleins de Sa gloire, par les anges, qui Lui chantent sans cesse.

Vous, ceux qui avez choisi d’être avec Dieu sur la terre, entre les hommes, chantez et louez continuellement le Seigneur, pour ne pas tomber de la sainteté et de la foi et de l’amour et de la veille, de la fidélité et de la sagesse, car le temps actuel c’est pour la veille ininterrompue. Levez la croix comme une arme de victoire, que la foi soit de la force pour vous, et tout est possible par la foi, et par les actes de la foi, les fils.


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Oh, les fils, les fils, ceux qui fouillent curieusement avec leur raison, ceux-là n’ont pas encore trouvé la voie, même s’ils ont été et se trouvent auprès de la voie de Ma parole, oh, puisqu’ils cherchent avec leur raison, selon la science humaine. Mais les saints du Seigneur, ceux qui sont vigilants et sages, ceux-là renversent les recherches curieuses de la tête de ceux qui épient les mystères de Dieu et les mystères des hommes, puisque la présomption de l’homme s’élève comme l’huile au-dessus de l’eau, et elle ne permet pas à l’homme de trouver le sentier de sa vie, s’il espionne par sa raison, où par ce qu’il a lu dans les livres. Mais il faut savoir que ce sont les choses travaillées et inspirées de Dieu qui fortifient la voie chrétienne et l’église, et elles sont utiles seulement à ceux dont la raison leur apprennent à ne pas se nourrir de l’esprit de la présomption humaine, mais si tu ne sais pas moissonner, et que faire de la moisson, c’est parce que ta tête ne t’aide pas que pour espionner, et puis pour l’esprit de présomption et d’incrédulité, aidée par la présomption, qui ne peut éclairer l’homme. Et tous ceux qui ont été nourris avec Ma parole, et ne sont pas restés sur la voie jusqu’au bout, ceux-là ne se sont pas retirés à cause de leurs péchés, mais c’est à cause de l’esprit de présomption qu’ils sont tombés de Dieu, tout comme les anges, qui se sont enorgueillis et sont tombés.


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Tous les saints te regardent à grand plaisir, et ils attendent ton parler sur Ma cité de parole et sur leur fête et la tienne, Ma Virginie. Je suis tout ce que tu es, Je le suis tel que tu as été, Je suis tel que tu as été ce que J’ai du pouvoir par toi dans Mon temps avec toi sur la terre, et maintenant Je suis Moi, et tous Mes saints vivent en Moi comme il est écrit.

— Oh, qui Seigneur, qui peut se venter avec quelque chose selon la vérité, sinon seulement avec Ton Etre, existent en lui? Ma gloire c’est Toi. Je suis née pour Toi sur la terre, selon Ta volonté et Tu M’as élevée ensuite selon Tes volontés, et Moi je T’ai obéi. Mon obéissance à Toi a été tout Mon appui sur la terre, dans les douleurs de la vie, douleurs qui nous gardent les Tiens, nous qui supportons des douleurs.

Oh, je leur dirais moi aussi Seigneur, je leur dirais d’auprès de Toi, je leur dirais à tous ceux de la terre, à tous qui connaissent où ne connaissent pas suffisamment Ton mystère, le mystère de Ta parole, travaillant au-dessus de la terre depuis plus de soixante-cinq ans, venu avec Toi sur la terre, et voilà ce que je leur dis:

Oh, gardez-vous, et qu’elle soit sainte pour vous cette parole, gardez-vous d’espionner où de médire, où de dénigrer sur la venue du Seigneur Jésus Christ, en parole au-dessus de la terre maintenant, et sur le peuple chez qui Il s’arrête avec Son œuvre d’aujourd’hui, car tous ceux qui ont mis à l’épreuve le long du temps cette épée à deux bouts de la gloire de Sa parole, pour l’espionner, où pour la diffamer, où ne pas la croire, tous ceux-là sont restés sans pouvoir, ils ont tous souffert et ils souffrent pour leur incrédulité, pour leur infidélité. Oh, mordez votre langue, quand vous êtes prêts à médire sur cette parole ! Restez de coté si vous ne pouvez pas vous incliner avec la foi, mais ne levez pas la main vers cette épée qui protège le mystère de Dieu, travaillant maintenant pour la venue du Seigneur en parole au dessus de la terre, pour la naissance de nouveau du monde, tel que le Seigneur a dit qu’il s’accomplira.

Au peuple de Ta parole, à tous ceux qui croient et qui Te sont fidèles, Seigneur, je leur dis aussi : les fils, les fils, ne vous nourrissez pas, oh, ne nourrissez vous pas de vous-mêmes. C’est dangereux, il est très dangereux pour le salut éternel de l’âme. Et vous ne savez pas ensuite si vous avez encore de temps pour vous humilier de votre cœur et redresser la vue de votre raison.

Oh, c’est seulement la charité d’entre eux, c’est elle seulement qui peut garder jusqu’à la fin les frères ensemble, n’oubliez pas cela. Celui qui ne peut se tenir dans une grande humilité face à Dieu et aux frères de la communauté, je l’exhorte à considérer son passé plein de fautes et de honte vis-à-vis de Dieu, où, par contre, s’il est si saint qu’il se veut et qu’il se montre, un tel homme, doit s’imaginer quel pécheur aurait-il pu être, et qu’il aurait pu mourir dans cet état, si Dieu n’était pas mort pour son péché, pour le réduire, pour l’effacer par Sa passion sur la lourde croix, qu’Il a si difficilement relevée pour la porter et S’y mettre ensuite cloué, Dieu condamné à mort sur la croix, et cette honte où cette douleur vont t’aider d’échapper à cette toute aveugle présomption, et des ténèbres, qui en viennent, et ainsi tu vas voir qui tu as été où qui tu pourrais être, et quel prix on a payé pour toi, pour que tu ne périsses pas en pécheur.

Vous, fils qui êtes plus faibles avec l’amour et la stature dans le Christ, oh, changez votre conduite dans une timidité sainte envers tous, de laquelle il va venir un fort sentiment d’amour pour l’esprit de la fraternité sainte, et de la joie qui vous unit, tous en un, et ensuite une paix sainte va venir sur vous, une joie neuve ensuite, consolante, une foi forte, œuvre d’un espoir encourageant, et vous vous remplirez de force, de santé, car tous ces sentiments signifient santé et guérison de l’homme du passé, les fils, et renouvellement de la raison, des désirs saints, beauté céleste dans un cœur nouveau, beaucoup d’esprit et peu de chair, englobé de l’esprit en quantité, et c’est ainsi qu’on peut passer de la chair en esprit, et l’esprit c’est le bonheur inconnu par les charnels, et trop charnels, et ce bonheur permet à l’homme d’éclairer le passé de sa vie, pour voir ses fautes, du milieu des quelles il est sorti pour flotter au-dessus de la chair et guérir la coulpe du passé, car celui qui considère ses péchés il change totalement, et par une honte sainte il se remplit de la joie de l’humilité envers lui-même, car la chair ne sert à rien de bon, mais c’est l’Esprit, les fils, Celui Qui donne de la vie et la joie de vie.

Gardez-vous du mécontentement les fils, car un tel homme a l’amour de soi, il est présomptueux et il cherche de l’appréciation pour lui, il la cherche de la part de l’homme, non pas du ciel. Il y a un belle petite histoire qui raconte de cinq amis qui vivaient en bonheur, même s’ils étaient différents selon la chair, et ils s’étaient réunis pour habiter tous ensemble, et ils étaient tous petits, cinq amis petits, et les petits vivent dans l’amour, ils vivent ensemble par l’amour, et leur communauté était formée de deux nains, un petit oiseau, une petite grenouille et une petite souris, tous ensemble dans une petite maison, et ceux qui sont petits restent ensemble jusqu’à la fin parce qu’ils sont petits. Cet exemple c’est pour ceux qui sont chrétiens, et qui peuvent vivre ensemble, plus ou moins nombreux, en paix, et en amour saint, à condition qu’ils soient petits.

L’homme le mieux portant, le plus guérisseur pour lui-même est celui qui voit et qui reconnait les péchés de sa vie, il s’humilie pour eux, et il va bien celui qui voit ses péchés, il a raison s’il fait ainsi, s’il voit le mal qu’il fait pour en sortir dessus, et il fait du bien à sa vie par l’humilité du cœur, qui s’humilie. C’est cela que je vous apprends, en mon jour de fête entre les saints, et votre penchant vers l’enseignement ne l’oubliez pas, car si vous n’apprenez pas, vous ne saurez pas travailler, les fils.

Oh, obéissez au Seigneur! Il vous apporte toujours ce que vous devez obéir, et il est dangereux de ne pas obéir à Dieu, les fils. Je vous prie Moi, celle qui prie toujours le Seigneur pour vous, pour qu’Il vous aide de vous garder les Siens, à Sa suite toujours, toujours, et c’est ainsi que vous devez apprendre la marche, marche selon la parole pour vous, oh, les fils.

Et pour Toi, Seigneur, oh, gloire à Toi Seigneur, à Toi, et à Ta gloire, avec le peuple de Ta parole! Ma voix est devenue trompette pour lui en mon jour de fête entre les saints, et gloire à Ton grand nom sur eux, oh, Seigneur, gloire à Toi pour eux! Amen.

— Oh, tu les as levés à grande veille, Ma Virginie. Tu es voix de Ma voix, tu es esprit de Mon Esprit et c’est ainsi que tu travailles quand tu parles pour eux. Oh, paix à toi entre tous Mes saints! Tu es comme leur trésor entre eux. Tu as été promise pour Me porter au temps de la fin, Ma Virginie. Ta souffrance est devenue toute une gloire dans le ciel, et elle brille dans la gloire de Dieu maintenant. Oh, paix à toi, paix à toi, Ma trompette!

Oh, fais attention, Mon peuple, oh, fais attention avec l’esprit! Ma trompette a sonné, fais attention!


***

J’annonce maintenant aussi au-dessus de la terre, Je le fais Moi-Même, et Je dis qu’on a besoin de grande repentance, de grand cri vers le ciel, de prières brûlantes de la terre vers le ciel. L’indifférence à l’égard de son âme est le plus grave péché qui peut perdre l’homme, le plus dur châtiment que l’homme attire sur lui, petit à petit. Oh, parle, chrétien, avec ton âme aussi, elle attend que tu prennes soin d’elle, puisqu’elle est éternelle, et ton corps ne l’est pas. Oh, ne dors plus, car il est venu le temps pour grande veille et beaucoup de sainteté, et l’homme qui dort beaucoup ne peut être un homme saint, car la chair ne le laisse pas, il aime son corps, pas l’éternité, celle qu’on obtient par la sainteté en œuvre toujours et beaucoup.

Oh, heureux celui qui voit sa bêtise, lorsque sa raison l’aide à la voir et s’en humilier à temps, puisque le plus souvent il est si tard, si tard, parce qu’on s’amasse au diable trop de bêtises, l’une après l’autre trop de bêtises de la raison de l’homme, celui qui ne s’humilie pas à temps, ou durant toute sa vie.

Le chrétien mesure son frère et le voit plus pécheur, plus coupable que lui, c’est pourquoi il ne prépare pas de tout son cœur, par toute son œuvre, sa belle conduite devant Moi, et ses semblables, mais par contre, il se fait lourd pour l’autre, oh, il n’a pas peur de le faire du moment qu’il a comme défenseur l’amour de soi, celui qui est en réalité son dénonciateur devant Dieu. Mais qui puisse croire cela? Oh, il ne le croit pas, à cause de son aveuglement venu de l’amour de soi, c’est pour cela qu’il ne croit pas.

Quand l’homme ne voit plus avec ses yeux, il va s’acheter des lunettes pour bien voir. Mais la présomption c’est le plus grand aveuglement de l’homme, et pourtant, pour en guérir il ne cherche pas de lunettes, afin de voir la bêtise de sa présomption.

Mais comment faire pour que l’homme comprenne cet aveuglement: la présomption. Oh, les fils, les fils, les impulsions vives de la nature, du cœur, de la bouche ensuite, naissent de l’esprit de présomption, lorsque l’homme oublie qu’il est pécheur et incapable de faire le bien devant Moi, et il se met à montrer son épée à celui qui ne lui convient pas, et Moi, le Seigneur, Je passe alors comme impuissant, Je suis mis de côté avec Ma vue, et l’homme Me dit qu’il sait lui ce qu’il fait, ce qu’il dit, ce qu’il travaille, et c’est ainsi qu’il se fait dieu pour lui–même, en décidant à l’égard de son être. Oh, ce n’est pas ainsi que Dieu a fait sur la terre, ce n’est pas ainsi qu’Il a fait Celui Qui a bâti l’homme, Celui dont l’homme ne tient plus compte quand il donne libre cours aux impulsions vives de sa nature, de son cœur, de sa langue, à l’esprit de la présomption en œuvre dans l’homme, les fils, et Moi, Je viens en parole sur la terre, et J’exhorte à la repentance ceux qui choisissent la voie vers Dieu avec leurs pas, et ne savent pas de quel façon soit leur marche.

Oh, chrétien qui désire aller sur la voie avec Moi, observe-toi, tel que Je t-observe Moi. Demande-toi si tu aimes Dieu ou c’est toi-même que tu aimes. Oh, dans la mesure où tu dors, dans la mesure où tu manges, selon la quantité de choses que tu amasses sur la terre pour en avoir, selon ton inclination devant les autres pour l’esprit de l’humilité intérieure envers Moi, selon la qualité et la quantité de ta parole, selon la qualité et la mesure de ton obéissance, selon l’attention que tu prêtes à ton aspect extérieur, selon tous cela et d’autres comme celles-ci, on peut se rendre compte si tu aimes Dieu et combien, puisque, soit confient à ce que Je te dis, tu dois de tout ton entier aimer Dieu, si tu l’aimes, de cette façon et toujours, pas seulement de temps en temps, pas seulement quand tu le veux.


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Oh, les fils, aimez être timides, être beaux, être saints. La timidité sainte, céleste, tu ne peux démontrer l’avoir que si tu l’as envers les frères, comme devant des êtres de grandeur céleste, et si seulement tu as besoin de ces êtres magnifiques pour toi, face à face avec toi, et autrement tu ne peux souhaiter d’être timide, tu ne pourras te ressembler à ceux du ciel, qui s’inclinent tout le temps, les uns devant les autres, car ceux du ciel ont la timidité comme leur œuvre.

Oh, les fils, les fils, gardez vos mains propres, pour la chair et pour l’esprit, afin que le diable ne puisse vous enlever de Mon royaume avec vous, car il est votre ennemi et il vous apprend de ne pas être propres avec les mains et avec le cœur, avec l’action, les fils. Oh, si vous ne réussissez pas de vous humilier, d’avoir le cœur pur envers Dieu et les semblables, pour ne pas vous cacher avec des choses que satan vous exhorte à faire lorsque vous êtes seuls, oh, n’allez plus seuls, ne vous tenez plus tout seuls, ni pour une seconde, d’aucune façon, les fils, car il est dangereux de vous mettre à l’épreuve avec l’esprit de l’hypocrisie ensuite, tel qu’il l’a fait Adam dans l’Eden avec Dieu, Qui l’a examiné, après sa désobéissance à la parole de Dieu mise sur lui.

Oh, soyez le cœur pur, et si vous ne le pouvez pas, au moins n’allez plus, ne restez plus seuls, pas même pour un moment, les fils, car la marche sans compagnon c’est une piège mise chaque fois, par satan, pour t’aider à tomber dans la faute, pour faire ta volonté en cachette, et si ensuite tu n’acceptes pas de bon cœur la coulpe que l’autre te montre, dirigé par Mon esprit, Celui Qui travaille du ciel et d’auprès de toi, oh, tu n’as pas l’étoffe de chrétien, même si tu prononces toujours des paroles d’humilité, de repentir, mais c’est toi qui les dit, et ce n’est pas difficile pour toi, car l’homme est indulgent avec lui-même, mais procédant ainsi sa stature pour la marche avec le Seigneur ne progresse point, mais seulement s’il se laisse toujours formé avec de l’humilité dans son cœur, à chaque épreuve qui se présente à lui.

Oh, les fils, prenez soin de votre foi en Moi, et dans Ma parole, puisqu’il y a de grands orages qui viennent de partout, et on va parler d’elles pour savoir comment nous en abriter et protéger, les uns les autre, pour la foi, pour vous avoir dans la foi les fils, pour que vous n’affaiblissiez pas la foi de ceux qui croient, les fils. Quand tu essaies de faire le chrétien perdre sa foi, affaiblir sa foi, tel qu’ils l’ont fait les uns vers les autres, ceux qui se sont arrachés de Mon bateau et sont tombés au milieu des vagues, oh, ce péché va peser lourd pour toi, tellement lourd, beaucoup plus lourd que si tu avais pris la vie du corps de celui que tu as fait chanceler dans la foi.


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Oh, les fils, Cherchez d’affermir votre foi, vous, et ceux avec lesquels vous allez sur la voie, et que cela soit pour vous une grande œuvre, en vous aidant pour elle avec tous ce que Je vous ai démontré, que Je suis avec vous, que J’accomplis avec vous et que Je vaincs pour vous, que Je peux prendre soin de vous si merveilleusement, de vous et de Ma marche avec, et vous, affermissez votre fidélité pour vous tenir avec le Seigneur sur la voie, et L’aider pour la marche, afin que cela s’ajoute pour ceux qui ne sont pas restés jusqu’à la fin, pour aider à Ma marche et à Mon grand travail.

Oh, les fils, parlez seulement, seulement comme dans l’église pour les choses d’entre vous, et évitez de parler autrement, séparés deux par deux, puisque cela c’est un péché, une mauvaise habitude, qui montre du mépris envers les frères, les fils, oh, et croyez ce que Je vous dis. Priez sans voix, chantez, regardez vers le ciel, mais ne prenez pas l’habitude de mesurer de l’extérieur les choses d’entre vous, car voilà, c’est pour cela qu’ils ne sont plus restés ceux qui n’ont pas voulu de vous, et sont partis car ils ont médit avec mécontentement, avec accusation vénéneuse, ou bien pour l’esprit de leurs faiblesses, vers lesquelles ils ont glissé et ils ne se sont plus redressés ensuite, et vous, faites attention de veiller si vous savez tout cela.

Oh, les fils, gardez-vous du diable! La mouche se met à table avec l’empereur et picore de ses assiettes, et on n’a pas la possibilité de l’en arrêter, car le diable est esprit tout comme Dieu, et vous, sachez cela et gardez-vous de lui donner à manger, du moment que vous connaissez son hardiesse et son œuvre. Apprenez de l’empereur David qui a dit: «Celui qui dénigrait en secret son prochain, celui-là je l’ai chassé», oh, et il s’humiliait l’empereur en disant: «Je suis près de tomber, et Ma douleur est toujours devant moi, car je connais mon offense, je la confesse, et je suis dans la crainte à cause de mon péché, mais, ne m’abandonne pas, Seigneur, ne T’éloigne pas, et viens à mon secours!».


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Oh, personne ne peut être avec Dieu et pour Dieu, s’il n’a pas pleinement le renoncement à soi, et ce que Je vous dis maintenant c’est visible. L’indifférence envers soi, telle que Je l’ai eue Moi, le Seigneur, de façon que J’aie pensé seulement à l’homme, seulement à tous ses descendants durant les temps, personne n’a jamais eu un tel grand souci à tout moment.

Oh, personne ne peut être comme Dieu, et avec Dieu, s’il ne se sacrifie pas et ne vit pas tout le temps avec de la joie pour ceux d’autour de lui, et pas pour lui-même, tout peu qu’il en soit. Toi, homme, tu n’auras pas la possibilité de sentir le bonheur avec Dieu, si tu ne peux, si tu ne sais pas aimer les autres, et ne pas te fâcher si tu les aimes, car comment pourrais-tu te fâcher contre quelqu’un que tu aimes avec tout ton renoncement à toi-même?

Les fils, les fils, l’homme n’a pas l’œuvre de Dieu sur lui pour pouvoir s’humilier tel que Dieu l’a fait. Il n’y a pas un qui puisse se sentir, se croire plus bas, plus bête, plus mince, plus petit que les autres, même si les autres sont sur des positions plus haut ou plus bas, et cela c’est à cause du manque d’amour qu’il ne le peut, oh, et il a de l’amour de soi celui –là, et comment pourrait-il l’homme Me suivre si c’est ainsi qu’il travaille, si c’est ainsi qu’il est?

Voilà, c’est ainsi qu’il est l’homme, il ne peut se laisser petit devant un autre homme d’auprès de lui, oh, il ne le peut pas, et il se met à persécuter celui sur qui Moi, le Seigneur, Je M’appuie avec Mes charges, avec Mon lourd fardeau, en cherchant de le partager de quelque façon pour pouvoir le porter.

Oh, celui qui ne peut, il ne le peut parce que le présomptueux ne connaît pas sa présomption, la bêtise de sa raison, car il est si dépourvu de raison le présomptueux, l’homme plein de soi, celui qui sert à lui-même comme à un idole, comme un serviteur aux idoles, comme un qui se fait des idoles, comme les peuples de la terre, des idoles faits en or, en argent, fabriqués par les mains des hommes, et qui ont une bouche et ils ne parlent pas, des yeux et ils ne voient pas, des oreilles , mais ils n’entendent pas avec elles, et dans les narines il n’ont pas le sens de l’odorat. De même, avec les mains, les pieds, la gorge, par lesquels ils ne touchent pas, ils ne marchent pas, ils n’ont pas de voix, oh, et ils sont tous comme leurs idoles ceux qui les fabriquent, et ils ont confiance en eux, tel qu’il est écrit sur ceux qui ne se renoncent pas pour avoir de la raison, pour pouvoir être avec Dieu en eux


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Cinq petits amis se sont rassemblés dans une petite maison, les uns pas plus grands que les autres, mais tous petits, de petits amis, car les grands ne peuvent être amis, ils n’ont pas d’amis au cœur pur, avec de l’amour dedans. Mais vous, les fils, cherchez la charité, pas le mécontentement et observez-vous si vous avez de la charité, car si vous en avez, elle ne finit jamais, puisque c’est seulement le manque de renoncement à soi qui est l’ennemi de l’amour fraternel, oh, les fils. Prenez grand soin de votre amour de Dieu, et regardez les Ecritures pour voir ce que vous devez faire avec Mon enseignement pour ceux qui Me suivent avec leur amour, car les ennemis de l’homme sont ceux de sa famille, les frères germains, et ceux qui sont sur la voie avec Moi et avec leur amour consacré à Moi, ceux-là n’ont plus de parents et de frères, mais seulement les Miens, et celui qui fait autrement, celui-là oublie Ma parole concernant l’amour de Dieu, par lequel l’homme ne doit plus se partager, car J’ai dit à l’homme: «Que tu aimes Dieu de tout cœur, toi, homme!». Oh, J’ai appris à ceux qui essaient de se renoncer pour pouvoir être avec Moi, Je leur ai dit: «Les fils, n’amenez pas dans vos maisons bénies vos parents selon la chair, et qui n’accomplissent pas les commandements de la vie, et vivent charnellement, car s’ils viennent chez toi, chrétien, ils diminuent Mon état avec toi et le tien avec Moi, car Je demeure avec ceux qui se sanctifient pour Moi», c’est ainsi que J’ai dit.


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Oh, l’homme n’a pas la création de Dieu sur lui, il ne l’a pas les fils. Mon œuvre doit travailler chaque moment sur l’homme pour qu’il soit fait par Dieu, il faut toujours travailler à sa création, car lorsque l’homme s’arrête du travail il meurt, et lorsque la création de Dieu s’arrête du travail sur l’homme, celui-ci meurt, les fils, oh, et on n’a plus rien à dire pour celui qui ne s’est pas donné à la création de Dieu, à cause de la raison de soi, avec laquelle il n’a pas la possibilité d’aller sur la voie avec la vie, avec Dieu sur elle.


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J’ai dit à l’homme dans l’Eden qu’il fasse lui aussi ce que Dieu fait, ce qu’Il fait l’Empereur de la création. J’ai dit à l’homme, Je lui ai donné et Je l’ai mis au travail, puisque Dieu travaille, et il faut que l’homme travaille aussi, qu’il fasse lui aussi ce que fait Dieu, son Créateur, oh, puisque dans le ciel on ne reste pas inactif, mais on travaille tout le temps, et qu’il soit tout aussi sur la terre, car malheur à ceux sans travail saint sur la terre ! La raison de l’homme, lorsqu’elle reste libre de travail saint, elle tombe vers les mauvaises choses, elle glisse vers le péché, comme Adam dans l’Eden, mais le travail avec le renoncement à soi relève au-dessus de soi celui qui aime travailler, s’incliner vers l’amour de Dieu et des prochains, et travailler pour ceux-ci comme pour Dieu, et se tenir toujours, toujours, dans le repentir pour lui, pour ne pas lui arriver, en se trouvant sans repentir, de tomber vers le mal, vers le péché.

Les fils, les fils, celui qui ne travaille pas sur la terre pour Dieu, le Créateur, celui-là tombe. Mais Moi, le Seigneur, Je vous ai appris vous et J’ai dit par vous à tous: Louez le Seigneur, pour ne pas tomber dans l’indifférence envers Dieu, comme les anges qui sont tombés! Oh, louez le Seigneur à tout instant, les fils, pour ne pas vous soumettre à votre raison où à la raison humaine! Les anges ont peur de ne pas tomber du ciel comme leurs frères qui n’ont pas veillé au devoir, et ils sont tombés et c’est pourquoi ils louent le Seigneur sans cesse et ils travaillent pour le Seigneur tous Ses anges.

Et vous, apprenez pour savoir ce que cela signifie le jour du Seigneur et la présence continuelle dans le Seigneur, les fils, car voilà, Je vous apprends, pour qu’on trouve chez vous la parole de Mon enseignement pour l’homme, les fils.

Oh, apprenez pour savoir ce que cela signifie le jour du Seigneur, vous, les chrétiens! Il réunit les frères pour louer le Seigneur ensemble, tous en Christ et pour le Christ, et malheur à ceux qui perdent ce devoir, se prêtant à d’autres habitudes!

Oh, les fils, tous les êtres non parlants de la terre, ceux vivant dans les eaux, dans les abimes, dans les airs, sur la terre partout, tous les êtres, tous savent que s’est dimanche, et que le dimanche c’est le jour du Seigneur, et ils glorifient tous le Seigneur, tant que l’homme ne sait pas, à savoir le mystère du jour du Seigneur, tel que ces êtres le connaissent tous. L’arithmétique, ce mystère et grande œuvre, ce sont les êtres non –parlants qui la connaissent mieux que l’homme, les fils, et ils la suivent fidèlement quand ils content toutes les choses du Seigneur, et croyez ce que Je vous dis, les fils.

Oh, fils chrétiens, ne soyez pas froids de cœur face aux choses établies du Seigneur pour qu’elles existent et qu’elles soient travaillées, les fils! L’esprit et le désir saint pour la louange et la prière adressées au Seigneur, la compagnie active avec le Seigneur et Ses saints, que tout cela soit votre riche fruit, votre moisson abondante, toujours plus abondante devant Moi, et sans ébréchure, les fils. Oh, que peut être cette moisson si non le repentir de tout instant, la prière de toute instant, la louange de tout instant que vous élevez vers le Seigneur, et les jours du Seigneur, les fils? Oh, votre prière tant que vous consacrez au Seigneur, tant que vous vous accumulez, voilà votre épargne, mais si elle est froide et sans force et sans flamme, oh, n’oubliez-pas ce qui est écrit des tièdes, de ceux qui ne sont ni froids, ni bouillants, car ceux-là ne seront pas avec Dieu, ils n’auront pas la fortune vers laquelle ils puissent se diriger et hériter ses fruits, les fils.

Vous, ceux qui vous vous tenez de Ma part devant le peuple chrétien, oh, les fils, observez la force et l’esprit de la prière de ceux qui veulent être avec Dieu, de ceux qui essaient de venir vers la porte de la miséricorde, car la clé c’est l’esprit de la prière incessante et pleine du pouvoir de la foi, et elle ouvre, elle est avant-crieuse, elle vous accueille avec ceux auxquels vous avez parlé dans vos prières, celles élevées humblement vers le ciel, les fils.

L’esprit du repentir, oh, les fils, cette œuvre est celle que vous devez bien comprendre aussi, et savoir comment elle travaille et comment elle peut placer le chrétien devant Moi. Il faut donc que chacun apprenne par cœur et qu’il se dise ainsi à soi-même: «Toutes les choses par lesquelles J’ai affligé mon Seigneur Dieu et Sa place en moi, Sa présence en moi, et dans mon œuvre, dans ma parole, dans ma raison, dans ma vue et mon ouïe, dans ma marche, dans tous les sens de mon âme et de mon corps, tout cela me fait mal, toutes ces choses frappent l’Amour, le Seigneur».

Voilà l’œuvre du repentir, du regret, c’est le souci de ne pas affliger Dieu et Sa place en toi, chrétien, c’est ta présence inséparable de Dieu par le repentir, le souci que le Seigneur n’ait pas de mal venant de toi, par ce que tu fais, et ce que tu es.

Oh, Je donne à ceux qui ont quitté Ma marche avec eux, Je leur donne aussi un remède, un pardon, s’ils le veulent, s’ils obéiront, car voilà pour eux de l’enseignement de Ma part:

Oh, chrétien faible en amour et patience pour ta vie avec le Seigneur, oh, fils, oh, fils, ne médis pas Ma voie pour le temps où tu es allé avec Moi sur elle, et le lieu où tu as séjourné et ceux avec lesquels tu as vécu, car pas seulement que c’est un péché, mais c’est aussi de la honte pour toi, et tu sèmes méfiance en toi dans ceux avec qui tu vas habiter, et qui vont apprendre un jour de Moi et de toi, et auxquels tu essais maintenant de dénigrer le lieu où tu as siégé et sa gloire, que tu foules aux pieds en médisant, à l’intention de ne pas t’approprier aucune faute pour ton chancèlement, pour ta chute du bras de Dieu, oh, parce qu’il vas te rattraper le châtiment pour le péché du manque de reconnaissance et tu vas te voir ignoble et pécheur, pire que tous les pécheurs, puisque si l’homme ne se sent pas toujours indigne face au Dieu et aux hommes, il vas voir lui-même plus tard, qu’il a été indigne à cause de la grandeur de soi, qui l’a fait tomber et l’a puni ensuite, comme l’on fait pour un indigne.

Oh, obéis à Dieu pour la repentance, toi, celui qui est devenu faible, et l’humilité va travailler pour toi, pour ta repentance, celle qui peut t’apporter beaucoup de bien, du pardon et de l’apaisement.

Oh, les fils, en ce jour de mémoire du commencement de Ma sortie avec le mystère de Ma parole au-dessus de la terre, Je vous ai engagés pour Mon enseignement, celui si utile pour Moi avec vous et pour vous avec Moi, car Ma venue en parole sur la terre est avec vous d’abord, et ensuite, en commençant de vous jusqu’aux extrémités, les fils. C’est Moi, Celui Qui vous fait dignes de Mon œuvre avec vous, et vous, soyez toujours dans l’esprit du repentir, les fils, et que personne n’oublie que le chemin vers la repentance c’est l’humilité du cœur, la beauté des fils de Dieu, de ceux doux et humbles de cœur, tout comme Dieu.


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Oh, comment faire pour retourner l’homme vers Toi, Seigneur endolori? Oh, comment faire pour pouvoir Te donner de la consolation dans Ta grande douleur, Seigneur? Oh, l’esprit du monde ne laisse pas l’homme, ne le relâche pas, il le nourrit toujours, et c’est la même chose avec ceux qui se croient de Tes chrétiens, et qui mélangent en eux Ta nourriture avec celle venue du monde, et ils sortent toujours vers le monde par la porte qui va vers le monde, oh, Seigneur, puisque le chrétien se tient la télé devant les yeux, le téléphone à l’oreille, il se nourrit des choses du monde, et il est malade du monde le chrétien, il n’y a pas un qui obéisse à Ta parole sur lui, tel que Tu attends jour après jour, à la suite de chaque chrétien qui T’a connu dans cette parole, oh, Tu perds tous de Ta main par ces occupations mondaines, mises à la disposition de n’importe qui par l’homme adversaire à Dieu, et son œuvre perfide n’est plus ressenti par le pauvre chrétien, parce qu’il le travaille toujours, il le travaille beaucoup, il le travaille tant, oh, Seigneur, et Toi, Tu essais de parler au chrétien et lui dire de s’en débarrasser, mais Tu ne trouves pas du parler avec Toi au chrétien, Tu n’en trouves pas Seigneur, oh, Tu n’en trouves pas.

Je veux parler à ceux qui se nourrissent de la nourriture de Ta parole, et qui devraient avoir comme fruit en eux l’obéissance, Seigneur. Je voudrais les retourner le visage vers Toi, vers les parents, vers le ciel, et je leur dis à tous, où qu’ils soient, je leur dis cela:

Vous, ceux qui connaissent et cherchez la parole de Dieu par cette source vivifiante pendant ces jours difficiles, oh, les fils, faites bien attention à ce que je vous dis : vous êtes trop terrestres, les fils. Il paraît que vous ne désirez plus le ciel et ses mystères. Il paraît que c’est seulement l’œuvre pour la chair qui vous reste comme travail pour chaque jour. Oh, même au dimanche, le jour où vous voulez donner du repos à votre chair, même alors vous restez toujours charnels, toujours terrestres. Oh, vous n’avez plus de paroles spirituelles, purificatoires de péchés, par des états célestes entre vous, purificatoires du mal qui se trouve en vous, saint amour partagé entre les frères, oh, et la vague vous porte toujours seulement vers celles qui vous sont nécessaires à vous, et c’est tout. Oh, mais pour le Seigneur, voulez- vous encore être et pouvoir agir?

Les fils, les fils, choisissez la voie, les fils. Faites le pas décisif. Prenez comme votre œuvre l’esprit de l’obéissance, de la soumission.


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Oh, les fils, si Je ne vous avais pas vous recouverts par Moi du don de la foi dans Ma venue en parole au-dessus de la terre, oh, avec qui, et comment pourrais-Je parler pour laisser Ma parole sur la terre? Oh, les fils, Dieu n’est pas apprécié sur la terre. L’homme ne connaît pas cette œuvre pour la réaliser entre lui et Dieu. Vous souffrez en Moi, et Moi Je souffre en vous cette grande peine, le manque de l’amour de Dieu dans l’homme, les fils, oh, mais Nous, Nous ne devons pas finir notre espoir. Ils vont se lever ceux qui vont porter en eux la grâce de l’amour de Dieu, les fils. C’est ainsi que J’ai dit au prophète Elie aussi, c’est ainsi que Je l’ai consolé lui aussi, dans sa douleur pour Dieu, Celui si dépourvu de l’amour venu de la part de l’homme.


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— Oh, Seigneur endolori, la blessure de mon esprit est plus grande maintenant qu’à l’époque où j’avais mal sur la terre à cause du manque d’amour de Dieu de tous les hommes. Tu attends les hommes, Tu les attends toujours et Tes saints de même. Oh, et Tu attends les chrétiens au moins, Tu les attends se retourner le visage vers les saints, vers les parents du ciel, oh, mais les chrétiens aussi ont ce péché du manque d’amour de Dieu, Seigneur. Ils ne peuvent sortir du monde les chrétiens, ils ne sortent pas de l’esprit du monde, les pauvres et ils restent le visage vers le monde les chrétiens dans lesquels Tu mets encore de l’espoir, Seigneur. Tu les attends se tenir le visage vers Toi, mais ils se retournent et regardent en arrière, ils regardent dans le monde, ils regardent le monde, Seigneur, et Toi, Tu pleures, Tu pleures, Tu pleures ayant pitié d’eux, pitié d’eux et de Toi, oh, car Tu n’as pas d’amour de Dieu dans le chrétien, Tu n’en a pas Seigneur, non, et les chrétiens ne savent pas ce que c’est l’amour, ils ne Te connaissent pas de leur amour.


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Nous fêtons en ce jour l’enfant guidé par le pasteur de sa vie, qui l’un après l’autre ont mis leur vie pour le Christ devant les incroyants de leur temps, et qui se sont fait ensuite des guides dans le ciel pour ceux qui veulent apprendre la marche et la vie de chrétien entre les hommes sur la terre, oh, et puisque ce n’est une plaisanterie que de vouloir être chrétien, et ne pas arriver à comprendre, à savoir ce que tu dois faire avec toi, et si tu ne comprends pas cela, oh, tu n’as pas encore goûté de Dieu, et de ta venue après le Seigneur. Tu ne dois plus travailler, tu ne dois plus rien faire de toi-même, quand tu viens être formé pour devenir chrétien avec les faits de ta vie, oh, et c’est ainsi que l’on peut reconnaître que tu es venu pour être formé, et c’est ainsi qu’il a fait le martyr Pantelimon, au moment où il avait appris qu’il existe la vie en Dieu, si tu veux la trouver et l’aimer, sans chercher d’autre amour pour toi.

Oh, il est dangereux qu’il t’aime ceux d’autour de toi, et que cela te fasse plaisir, car ce fait peut te priver de Mon amour pour toi, fils chrétien. Et encore, il est dangereux que tu n’aimes pas ceux d’autour de toi, car cela te montrerait fils de l’esprit de l’orgueil et du jugement des frères, et tu peux perdre Dieu, car l’amour venu de Dieu et de l’humilité du cœur, tu ne dois pas les travailler de temps en temps, ou au besoin, mais tu dois prendre tout ce qui te vient comme de Dieu, et que l’humilité du cœur te soit tout le temps comme le levain, dont ton cœur, ta conduite, ton amour de Dieu sont faits.

Oh, il devrait que l’homme pleure pour tant de douleur qu’il Me fait par sa stature, celle pleine de l’envie de la chair, et ne pas se venger de Dieu comme Adam l’a fait, tel qu’il a écarté et éloigné Dieu de lui et de sa vie dans le péché, et pour laquelle il a donné en échange sa vie dans l’Eden.

Oh, il est vraiment dangereux que l’homme chrétien n’aime pas Dieu sans cesse. Celui qui n’aime pas Dieu de désir ardent et avec le souci de ne pas Le perdre, cet homme là est travaillé du diable de différentes façons, car il lui fait place par son manque d’amour de Dieu. Oh, on ne peut aimer comme on veut, comme on peut, où comme on veut pouvoir le faire. L’homme aimant de Dieu doit être l’amour-même, tout comme Dieu par l’amour, car l’amour c’est seulement celui envers Dieu, et celui incité par le cœur de l’homme, par la chair, par l’agitation de la nature humaine, tout cela c’est de la débauche, ce n’est pas de l’amour, tel que l’homme essaie de dire, et celui–ci tombe tout comme l’homme, qui tombe toujours, puisque l’amour n’est pas charnel, oh, toi homme. Il est céleste, il est Dieu, et sa place est dans le ciel, et l’homme qui aime Dieu il est dans le ciel avec l’amour, et le ciel est en lui, pour son amour envers le ciel.

Oh chrétien, toi qui as sur ta table Ma parole celle d’hier et celle d’aujourd’hui, oh, tu devrais comprendre comme étant ton œuvre ta formation, celle de Dieu, homme fait de Dieu, tu devrais laisser que l’on travaille sur toi, si tu es venu te rapprocher de cette œuvre de création de l’homme. Il y en a beaucoup de ceux qui s’assemblent en groupes, en toutes sortes de groupes, qui se nomment d’eux- même des chrétiens sauvés, et ils se rassemblent et ils chantent et ils s’enorgueillissent en parlant de Christ, mais leur création de nouveau ils ne la veulent pas, car ils se réunissent pour se réjouir et c’est tout, mais ici, dans l’œuvre de Ma parole, on intervient à la conduite de l’homme, à son esprit, à sa permission de se laisser travaillé par Dieu, oh, et on voit cela par le comportement envers le Christ de l’homme, pas par des paroles, pas par des promissions et c’est tout, pas par des prières et des chants et c’est tout, oh, ce n’est pas ainsi qu’on fait un chrétien dans l’homme. On reconnaît l’homme par ses faits, par ses fruits, par la conduite face au Christ dans l’homme, tout comme, par cette-même conduite on reconnaît le visage du diable, par l’impiété de l’homme, par l’insoumission, par la méchanceté, par des paroles, par l’esprit du jugement sur l’autre, pour qu’il fasse le mal celui qui regarde vers le mal de l’autre, pendant qu’un chrétien ayant le Christ en lui, cherche à corriger celui qui commet le mal, et d’aucune façon ne pas augmenter, multiplier le mal.

Oh, les fils, vous qui portez Ma venue, J’essaie d’apprendre à l’homme l’humilité du cœur, l’œuvre qui guérit, les fils. Celui qui n’a pas l’humilité du cœur toujours, pas de temps en temps, oh, celui-là c’est pour cela qu’il n’aime pas Dieu, et ensuite son prochain! Oh, le Seigneur ne te donne pas la grâce de L’aimer, puisque le Seigneur ne veut pas être aimé par celui qui n’a pas l’humilité de cœur, par celui sans formation sur lui, oh, et là où il n’y a pas de réprimande, il y a de la débauche, ils sont les fils de la débauche ceux qui sont libres du travail de la réprimande, tel qu’il est écrit, tel qu’il se confirme aussi.

Ils tombent les hommes, elles tombent les cités, elles tombent à cause du manque d’amour de ceux qui les habitent, mais s’il y a l’amour de Dieu, elle ne vient pas la destruction, oh, elle ne vient pas, et c’est pour cela que J’ai dit Moi, le Seigneur, qu’on prenne grand soin pour le peuple de Ma parole, et qu’il se ressemble ceux qui vivent en communautés chrétiennes, car autrement on fait place au diable par l’esprit du mécontentement, qui vient du mauvais esprit de la présomption, oh, et c’est le mécontentement qui a fait tomber d’après de Moi les mécontents, car le mécontent a de l’orgueil, et il ne peut avoir de repentir, celui qui puisse mener l’homme au pardon du Seigneur, et voilà, elle est bonne l’humilité, elle est bonne la repentance, l’une de l’autre ces deux œuvres du cœur d’un chrétien, celui qui se soumet pour l’amour de Dieu par sa vie.

Oh, les fils, les fils, ceux pleins d’humilité n’ont peur de rien, sinon de ne pas perdre le Seigneur de leur vie, et ils ont peur du péché, puisque le péché c’est de la mort, c’est de la chute de Dieu, et voilà, les martyrs ont eu peur de ne pas perdre le Seigneur, mais ils n’ont pas eu peur de ceux qui tuaient leurs corps, car l’amour de Dieu, c’est un grand pouvoir dans le chrétien, et on passe avec lui par la mort en souriant


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Vous, les fils, vous et tous ceux qui croient en Moi et dans Ma parole tout comme vous, oh, cherchez bien connaître Jésus Christ, de peur qu’elle ne vous vole pas la raison et la bonne intelligence les philosophies de ce siècle passager. Si la génisse entre dans la luzerne, elle se gonfle et il se peut même qu’elle meure. C’est ce qui se passe avec ceux qui prennent de ceux qui se nomment hommes de science et philosophes, ou de quel autre nom veulent-ils être nommés, oh, c’est ainsi qu’ils sont ceux qui mettent sur la pierre leur appât pour ceux baptisés et non baptisés dans l’église, selon les traditions saintes venues du début, pour ceux qui veulent suivre le Christ sur la terre, car il y a l’ordre que le Saint-Esprit se pose sur les baptisés, mais celui qui a reçu le baptême ne travaille pas ensuite dans l’Esprit Saint du baptême chrétien, par lequel il est devenu chrétien, et il incline vers des sources étrangères à celles venues sur la terre, pour que l’homme soit chrétien par elles.

Les fils, les fils, prenez grand, grand soin de vous, prenez soin de la chemise de baptême, qu’elle ne soit pas déchirée et que le Seigneur ne vous connaisse plus comme les Siens, car lorsque vous êtes sur le point de croire quelque chose qui ne vient pas de Dieu, et en croyant vous êtes pris du vertige sur la pierre de la fidélité envers le Christ, vous perdez la grâce, les fils, et vous tombez dans le vide, et vous ne vous reconnaissez plus vous-mêmes, ni Dieu, car si vous voulez être avec Dieu le Seigneur, vous devez être sages comme des enfants protégés par Lui de tous les ennemis, et vous devez rester, vous devez témoigner et vous garder en Lui, les fils. Car Je regarde tout le temps sur ceux qui prennent Ma parole comme gouvernail, et Je vois comme ils prennent aussi de l’homme de la présomption de ce siècle obscure, à cause du manque de la lumière de Dieu au milieu du monde, oh, et Je veux en prendre soin, mais seulement qu’ils puissent être obéissants ceux qui se laissent sous Ma protection, parce qu’il est dangereux de donner à son cœur n’importe quelle nourriture à ruminer, car vous savez comment il est mort Adam, au chuchotement étranger et ennemi de la vie de l’homme en Dieu.

L’homme devrait pleurer sur la terre, pour qu’il soit ensuite heureux pour l’éternité, car J’ai dit: «Heureux ceux qui pleurent, car ceux-là vont se consoler», et dans l’éternité ils auront de la consolation pour les larmes de la terre, pas de larmes humides, car il existe aussi des larmes dures, ce sont celles des grandes douleurs, celles de la nostalgie qui attend dans l’espoir, et elles ne s’expriment pas, mais elles sont retenues et elles font mal à l’intérieur, en secret, les fils.

J’ai dit alors: «Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux, sur la terre et au ciel ensuite». Ceux-là ne souillent pas leur pensées avec la science des hommes qui ne savent pas de Dieu, puisqu’à ceux qui passent leur vie dans les péchés, Je ne peux leur donner à porter de Moi, car ils sont orgueilleux tous, tous, oh, et ils devraient s’humilier du moins pour leur manque de mérite spirituel. Les fils de Dieu ont des liens seulement avec Dieu, pas avec les hommes, car il n’y a pas de science dans les hommes qui espionnent les choses abrités sous leur mystère parce-que les hommes inventent et se partagent entre eux des verres comme au bistrot, ils se grisent en grisant les autres aussi, et ils tombent les uns sur les autres, comme les ivres de vin, mais les pauvres en esprit ne prennent pas des hommes, car ils ont Dieu, Celui Qui partage selon Sa volonté quoi et combien doit chacun savoir, et c’est à eux qu’appartient le royaume de Dieu, pas le royaume de la terre qui appartient à satan, le maitre de ce siècle, celui qui trompe l’homme avec des illusions, avec des découvertes, dit-il. Mais, il ne peut rien bâtir, car ce n’est pas lui le créateur, et il ne peut faire ce que Dieu fait, et Moi, Je viens bientôt, bientôt, et on va tout séparer à droite et à gauche, et celui qui est saint qu’il se sanctifie encore, et celui souillé qu’il le fasse de plus, car c’est ainsi que le Seigneur dit: que chacun prenne son payement.

Oh, ils ne craignent pas Dieu les hommes, et les chrétiens non plus. Si au-moins les chrétiens avaient cette crainte de Dieu, Je leur donnerais des dons à porter et en travailler de Moi à Mon projet sur la terre, et les trouver ainsi habillés, et pas nus, pas inactifs, le talent caché, car c’est cela que signifie d’être trouver habillé, c’est d’avoir des dons venant de Moi et les porter, pour recevoir du payement et pour que J’aie de quoi te payer au jour de l’examen.

Je te prie, chrétien, toi qui prends de Moi parole d’enseignement, Je te prie, peuple avec lequel J’ai parlé du ciel le long de tant d’années, oh, apprends comment on peut dire que tu es avec Dieu sur la voie, car Il ne t’a pas demandé les pieds sur la voie avec Lui, mais le cœur avec Son amour et l’obéissance venue de la foi et selon l’action de la foi, pas la marche avec la chair, avec les pieds de la chair et l’esprit vivant toujours dans le monde, c’est-à-dire avec la pensée et son œil, car si on prend du monde, on n’est plus sur la voie avec Moi, mais on est avec le monde, et c’est du monde que l’on est.

Oh, les fils, prenez du Saint-Esprit pour naître toujours de Lui, afin que vous puissiez être des Miens et de Mon Père. Le Saint-Esprit a été la semence de laquelle Je suis né Petit Enfant comme l’homme, et Je suis venu en passant par sein de Vierge, pour Me montrer né sur la terre. C’est le Saint-Esprit Qui a annoncé par les prophètes Ma venue par la Vierge, Fils du Père céleste, car le Saint-Esprit procède du Père, et le Père parle par l’Esprit–Saint tout comme le Fils, et le Saint-Esprit parle par les prophètes, tel que le Père veut accomplir et montrer Sa volonté, et que tu te nourrisses de la même façon, fils chrétien, et que tu ne cherches pas de savoir du scientifique, puisque tu entends se propager les dires de l’homme de science, tu ne le vois pas, mais tu le crois, et tu dis ensuite que tu crois. Oh, fais de même avec celles de Dieu partagés et entendues et tu vas voir ce qu’il y a de bon et ce qu’il y a de mal à prendre et savoir.


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Oh, c’est Moi la voie, les fils, et ceux qui comprennent suffisamment cela, ce sont ceux qui restent avec Moi sur la voie, et Moi Je reste avec eux et Je marche, et Je marche en parlant, car c’est cela que signifie que Je marche, et Ma marche c’est la parole, Ma parole et vous.

Oh, paix à vous en ce jour de témoignage, les fils! Ma parole et vous, c’est cela Ma marche, c’est cela la voie. Les autres voies ne sont pas la Voie, car la Voie signifie le Christ et la marche avec le Christ, et personne ne peut aller complètement avec le Christ que sur la voie de Ma parole avec vous, et c’est pour cela que J’ai dit: «C’est Moi la Voie». Celui qui choisit une autre sorte de voie pour les pas de sa vie, ce n’est pas Ma voie qu’il choisit, mais autre chose, qui ne mène pas à la vie. La voie, la Vérité et la Vie, c’est seulement sur la voie avec le Christ que l’on trouve, et voilà, il est sans raison tout homme qui tâtonne toute sa vie sur la terre, en cherchant ce qu’il doit faire, et en quelle direction aller avec les pas de sa vie. Mais quand l’homme choisit sa voie, il doit premièrement savoir des choses sur Dieu et comment on va sur la voie avec Dieu, de peur qu’il ne soit vain son choix, et ne pas recevoir ensuite la vie éternelle.

Les fils, les fils, Je dis aux hommes de la terre que cette œuvre de parole c’est la Voie. Je suis venu Moi dans la voie de l’homme pour lui montrer, pour que l’on voie, et que l’homme voie et qu’il ne puisse dire qu’il n’a pas vu, qu’il n’a pas entendu Mon cris du long en large, celui qui dit que c’est Moi la Voie.


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Toi, homme errant et sans pays, quand tu ne fais pas au Seigneur de repos en toi, à cause de ta raison et de ton amour de soi, dont tu ne veux te laisser, oh, tu n’as pas de repos toi non plus, car ton repos c’est le Seigneur, et sans Lui tu perds le repos, tu perds la paix, tu te troubles, tu es mécontent, tu cherches de pouvoir agir par le trouble qui est en toi et pour lui, et ensuite tu vois ce que tu reçois, après ne pas avoir laisser le Seigneur se reposer dans l’humilité de ton cœur, dans le travail de ton amour, puisque l’homme qui n’a pas, ou qui quitte l’amour et son esprit, oh, il devient tout étranger de l’amour, de son visage sur le sien, de son mystère, étranger de ceux du ciel.

Oh, Mes fils, aimez le Seigneur par la pauvreté, par le manque d’amour de soi, pour pouvoir L’aimer Lui, et pas vous. Aimez-Le en fuyant le monde et l’esprit du monde, par la non ressemblance avec le monde, oh car si tu ressemble au monde, tu agis comme le monde et tu prends du monde, le Seigneur ne te connais pas, fils chrétien.

Oh, Mes fils, aimez le Seigneur par beaucoup d’humilité d’esprit, car l’homme est pécheur et il a besoin de pardon de la part de Dieu toujours, toujours, et de prière pour le pardon toujours, toujours, les fils.


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Oh, fils de Ma parole d’aujourd’hui, Je vous ai pris sous Mon enseignement et Je vous ai appris de ne pas orner vos maisons, votre corps et vos vœux, car Je vous ai voulus les Miens, Me ressemblent en tout, pour pouvoir être les Miens. Oh, combien de choses Je vous ai apprises durant ces difficiles années depuis que Je descends sur la terre en parole! Satan et son œuvre étalent devant vous toutes les choses qui ne sont pas de Dieu pour vous, et Moi Je Me tiens en attendant de certains d’entre vous, J’attends que vous vouliez agir comme Dieu et que vous aimiez les choses qui ne passent pas, que vous soyez doux et humbles comme Moi, que vous soyez toujours contents, et participants toujours actifs à Ma gloire, par le mystère, l’action et les vœux, de peur que, vous ne vous sépariez pas pour une autre sorte de conduite ou d’occupation pour la vie passagère, et que vous n’oubliez pas que vous deviez orner votre vie avec le Seigneur, la vie éternelle, Mes fils, et voilà, ils M’ont quitté tour à tour certains de ceux qui ont entendu Ma voix pendant toutes ces années de parole.

Oh, enfant nourri du ciel, Je t’ai conseillé tant d’années et Je t’ai si longuement, si chaudement parlé! Et voilà Je dis encore: Ne travaille plus les choses qui te séparent de Dieu, avec lesquelles tu te caches ensuite puisqu’elles sont du diable et c’est toujours lui qui t’apprend à te cacher avec elles , à ton détriment, oh, et c’est ainsi que es tombé, c’est ainsi qu’il t’a poussé pour tomber de Dieu vers lui, et pour que Je pleure maintenant par pitié, quand Je te vois étranger face à la vie sainte et languissant après celles que tu as perdues.

Oh, travaillez, fils nourris de Ma bouche comme de petits enfants, en croissance. Travaillez les choses qui peuvent être montrées, pour n’avoir pas besoin de mentir pour les choses que vous devez couvrir, car les choses de Dieu sont elles-mêmes de la lumière, ce sont elles qui sortent pour se présenter en lumière et qu’on les voie, et voilà, Je vous donne saint conseil pour le travailler sur votre voie avec Dieu, oh, et qui pourrait encore enseigner aussi saintement, peuple nourri du ciel?

Oh, fils chrétien, Je suis descendu et J’ai dit qu’on t’annonce de Ma part, pour que tu te demandes depuis quand tu n’as plus parlé avec Dieu? Oh, parle avec le Seigneur, parle davantage. Prends l’habitude de parler davantage avec le Seigneur sur toi, sur tes problèmes, sur tes difficultés. Parle au Seigneur comme à un ami, bon, chaud et miséricordieux ami, comme à un Père, comme à un doux Pasteur. Raconte-Lui toujours de toi, de tes états d’âme et événements, de tes douleurs d’âme et de chair. Saches que tu seras entendu. Il y a eu tant de ceux qui ont fait des prières en Israël pendant les temps de détresse: David, Daniel, Isaïe, et ils ont été entendus et aidés, ils ont reçu la réponse désirée.

Oh, parlez vous aussi avec le Seigneur pour le temps d’aujourd’hui, pour vous, pour les frères, pour Ma victoire, les fils. Prenez place pour Me parler et que Je vous écoute. Asseyez-vous pour parler avec le Seigneur. Dites les prières de début et racontez ensuite au Seigneur, montrez Lui votre cœur, les besoins, le temps et son état, les événements que vous traversez, les problèmes difficiles, vos craintes, les troubles qui vous frappent, les fautes que vous commettez, Mes fils, car peut-être c’est à cause d’elles qu’elles vous viennent et vous pèsent des épreuves et des embarras. Connaissez ensuite que si vous vous mettez dans les bras du Seigneur avec tous vos affaires bonnes et mauvaises, vous allez voir tout de suite, du soulagement et du serein dans les âmes, du changement, de la paix, du calme, de la bonté de cœur, de l’espoir, les fils. Oh, suppliez le Seigneur pour les bons et pour les mauvais, et le Seigneur va travailler et va faire grâce d’un côté et de l’autre, s’Il voit que vous pensez aussi à l’état des autres, pour lesquels vous criez vers le Seigneur, qu’ils soient des proches, ou des ennemis, et le Seigneur va rafraichir, va assagir, va éclairer partout avec Son Saint-Esprit, oh, Mes fils.

Voilà, dites comme il suit: «Notre Père, Seigneur, viens près de moi, prends-moi toujours près de Toi, car je suis faible. Donne-moi de Toi la sagesse, donne moi Ta patience, celle que Tu as eue sur la croix, donne moi Ton amour que je le porte et je le travaille, accorde moi que je Te ressemble et que je n’aie rien de ce monde, mais seulement de ce que Tu me donnes de Toi, de peur que je ne me perde pas, que je ne Te perde pas, oh, et aide ma foi, afin que je me garde près de Toi par ses actions, et aide mon amour pour Toi, pour que Je fasse par elle Ta volonté et non pas la mienne. Amen».

Oh, Mes fils, soyez doux, soyez timides face à Dieu et les uns devant les autres, pour être beaux quand il s’agit de la charité et de la conduite, puisque le ciel, celui plein de Ma volonté vous mesure, les fils. Ils vous viendront en aide les péchés que vous avez commis, vous allez vous tenir plus gênés dans votre conduite et raison et parole et vous allez vous échappes à l’œuvre de la présomption, les fils, et vous allez persévérer ensuite pour une édification sainte l’un devant à l’autre et vous serez timides, vous aurez honte devant le Seigneur, et vous allez vous corriger avec humilité, et le Seigneur verra cela et vous allez échapper au châtiment des péchés commis et de ceux que vous pourrez toujours commettre si vous n’avez pas le cœur soumis et la raison en veille et en souffrance à cause de votre manque de diligence, oh, et voilà venir l’occasion d’accomplir Ma parole, pour ceux qui veulent venir après Moi en prenant leur croix et en la portant à Ma suite! Oh, Moi, le Seigneur, J’ai souffert crachats et honte, affronts et mise en croix ensuite pour votre salut, et si Je vous voyais toujours distraits, toujours en riant, Je serais comblé du mépris, celui venu de vous pour Ma souffrance de sous la croix et celle de sur la croix, pour Ma douleur d’alors et celle présente, venue de tout homme qui oublie de Dieu en servant au diable.

Oh, Mes fils, en quelle beauté Je vous pais! Je veux que vous Me ressembliez dans l’amour avec de la souffrance pour lui, car sur la terre, si tu ne portes pas de croix, tu perds la gloire de la vie éternelle. Ils perdent le ciel ceux qui ne portent pas de croix sur la terre, et la croix signifie l’amour et sa souffrance, signifie la patience, l’humilité, elle signifie le mépris et la haine de statan tout autour, la haine de ceux sans croix sur la voie, puisque le monde aime et loue seulement ceux qui n’ont pas de croix et de voie avec le Seigneur et comme le Seigneur, et J’ai vécu avec beaucoup d’humilité sur la terre, avec le fardeau qui serre l’homme près de Dieu, car voilà, celui qui possède quelque chose sur la terre ne m’aime plus, ne M’a plus, car il a quelque chose à faire, il a autre chose, et le souci de ne se pas séparer de Moi et de ma gloire, il ne peut le porter, oh, et sans l’amour envers Moi, l’homme perd sa raison celle du ciel, il perd la place où Je veux Me tenir avec lui, être son Dieu et Maître, parce-que les constructions bâties pour la prière et ornées comme dans le monde, oh, ce ne sont pas pour Moi, ce ne sont pas pour Mes chrétiens, ceux vivants, car ce n’est pas de telle manière que les chrétiens ont commencé l’œuvre de l’église du Christ, oh, car ils étaient très humbles, ils étaient en secret, ils aimaient le renoncement à la gloire, ils se réunissaient en compagnie de Dieu et ils oubliaient de leurs chair, des choses pour la chair, car ils aimaient beaucoup et ils aimaient comme Marie, la sœur de Marthe, et ils se tenaient dans les choses humbles et ils persévéraient, oh, et Je n’ai pas aimé, Moi non plus de M’arrêter dans les temples, et entrer dans les palais et des richesses terrestres, mais J’ai aimé être au milieu de la création de Dieu, la maison de l’homme, Ma maison, oh, et voilà ce que l’homme fait et où veut-il chercher Dieu, pendant que Moi, le Seigneur, Je le cherche et Je l’attends à Me trouver là où Je peux habiter, car il M’a demandé un disciple: «Seigneur, où habites-Tu?» et J’ai répondu: «Viens voir!», c’est ainsi que Je lui ai dit: «car les renards ont des tanières, les oiseaux ont des nids, les chiens ont leur coin, mais le Fils de l’Homme n’a pas où reposer Sa tête», c’est ainsi que J’ai dit.

Les fils, les fils, pour porter la croix il faut que vous parliez beaucoup à Dieu, beaucoup et toujours, car autrement l’homme n’est pas en Dieu avec son lieu, et le Seigneur n’est pas dans l’homme avec Sa présence à la direction de sa vie. Celui qui parle beaucoup avec Dieu, celui-là a une belle parole avec ceux de son entourage, il sait comment se conduire, car il a de Dieu la belle conduite, il en a, les fils, puisque de la manière dont tu te conduis envers Dieu, c’est de la même manière que tu te conduis avec l’homme, et tel que tu te conduis avec l’homme, de même façon tu le fais avec Dieu, c’est cela ta conduite, oh, et l’homme ne sait pas cela, il ne sait pas travailler ainsi, pour qu’il soit vrai, l’homme.

Oh, les fils, apprenez de vous tenir en Dieu et faites une crèche au Seigneur en vous, car Il se plaît entre les choses humbles, Il aime l’humilité, Il se plaît entre les humbles tout comme Lui.

Je vous apprends d’avoir une conduite angélique, les fils, pour que vous ayez part avec les anges, et ensuite nous allons affermir les frontières avec les nomes des anges de Dieu et avec la force de la croix.

Maintenant J’ouvre Mes bras comme sur la croix et Je vous embrasse dans Mon amour, dans Ma miséricorde pour vous, car vous êtes sur la terre, les fils. Oh, aimez d’obéir à Ma parole, pour que vous soyez Mon peuple!


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Oh, fils de Ma parole, restez éveillés, veillez, de peur que vous ne perdez pas ce que vous avez obtenu de Dieu, par la foi qu’Il vous a accordée pour Le suivre sur la terre! Vous, les fils, n’amassez pas sur la terre, oh, non! Gardez la voie avec le Seigneur, car tous les hommes vont perdre leurs biens accumulés sur la terre, et le prix de cette accumulation est trop cher, trop douloureux, oh, et ils n’ont pas de trésor dans le ciel, vers lequel ils puissent se diriger et s’en réjouir, ceux qui amassent sur la terre.

Oh, prenez soin de l’âme, fils nourris du ciel. Je regarde du ciel vers les fils des hommes pour voir s’il y a quelqu’un qui comprenne et qui cherche Dieu, mais tous sont égarés, tous sont pervertis, et il n’en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul, tel qu’il est écrit. Oh, elle est disparue l’image de Dieu du visage des hommes. La parure de la figure de l’homme et celle de sa tête se sont en allées depuis longtemps de la terre.

Lorsque J’ai bâti l’homme Je lui ai donné parure d’homme, Je ne l’ai pas bâti glabre, mais très beau de figure. Oh, où est le beau visage de l’homme? Je ne prononce pas parole de jugement, mais de douleur, de nostalgie après l’homme bâti de Dieu à belle figure. L’homme imite l’homme, et personne ne regarde en arrière, aux ancêtres et aux saints, à ceux agréables à Dieu, et dans le ciel il y a de la douleur à cause de l’insouciance de l’homme, qui ne M’a plus de son Dieu. Les hommes sans prières vers Dieu sont facilement capturés par le crochet de satan. L’homme ne Me reçoit plus, il ne crie plus à Moi qu’aux temps d’ennuis d’amertume, et ensuite il M’oublie, encore et encore il M’oublie.


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Tous ceux qui cherchent de l’aide à Dieu, que tous ceux-ci apprennent à faire le bien pour échapper aux douleurs et réjouir de Dieu et de Sa protection, car Moi Je veux de la consolation pour l’homme et c’est pour cela que Je dis: Heureux celui dont Dieu est son amour!

Portez-Moi donc, les fils, dans votre corps, dans votre conduite, dans votre pensée, dans votre parler, dans votre regard, dans votre aspect visible, dans l’esprit de l’amour qui se trouve en vous. Et alors que tu veux parler avec ton frère, parle-lui, Mon fils, comme à Dieu, pas comme à un travailleur du méchant, car autrement tu ne sais te conduire avec Dieu comme avec l’homme, et avec l’homme comme avec Dieu. Mais Moi, Je suis le Maître et il est si beau Mon enseignement, Mon peuple, et Je veux que tu aies une belle conduite, qui puisse attirer les anges de Dieu et qu’ils regardent et se réunissent autour de toi pour leur joie, car Moi, le Seigneur, Je veux que la consolation soit dans le ciel et sur la terre aussi, consolation qui doit être travaillée et partagée ensuite, oh, et il ne reste rien à faire alors que Ma face s’installe sur la face et la conduite de ceux qui entendent Ma voix et se mettent à Mon travail, mais qu’ils Me fassent demeure aussi entre eux, entre ceux qui vivent sur la terre avec les anges et avec les saints.


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Oh, n’oublie pas, que tu n’oublies pas, peuple nourri du ciel, oh, n’oublies pas qu’il fait de grands miracles l’accomplissement de Ma parole par ceux qui la prennent de Moi lorsqu’elle vient sur la terre. Oh, prends soin que tu sois de ceux qui accomplissent, et que rien ne soit plus désirable pour toi que le Seigneur accompli en toi avec Sa volonté, avec Sa parole sainte, car voilà ce que l’homme fait sur la terre! Il amasse des richesses, et il ne sais pas pour qui le fait, tel qu’il est écrit, puisqu’il perd ensuite tout ce qu’il amasse pour lui, il perd comme ce serviteur qui, en travaillent un jour pour un homme riche, il a reçu le soir un pot de lait comme nourriture à la maison et le riche lui a dit: «Prie le Seigneur qu’Il l’augmente» commençant de bouillir, il criait en se réjouissant et en priant: «Fais le croître, Seigneur», oh, et il a crû pour le feu. Voilà, c’est comme ça avec les richesses, et l’homme ne sait pas pourquoi il les amasse, le pauvre, et il oublie de Dieu et l’oublie de l’âme et il oublie de la vie, jusqu’à ce que toutes les joies finissent, jusqu’à ce que tout se verse dans le feu. Mais l’accomplissement de Ma parole fait des miracles qui ne passent pas, oh, c’est pourquoi tu dois savoir, Mon peuple, faire ce miracle et tu seras protégé par lui, par ton amour de Dieu, celui Qui Se donne à toi en parole par cette source.

Oh, fils qui vous nourrissez de Ma table de parole, tenez-vous près de votre ange gardien, gardez-vous près de lui, gardez-le près de vous, et apprenez cette œuvre protectrice de la part de Dieu pour vous. Ils ne savent pas les hommes, ils ne le savent pas les chrétiens non plus le pouvoir de ce mystère, la protection celle partagé de Dieu pour que l’homme l’ait près de lui. C’est pourquoi voilà longtemps que Je vous dis toujours: gardez-vous sous Ma protection, marchez dans la lumière, soyez vigilants!


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Oh, souviens-toi de Dieu, homme! Tu es très pauvre des choses du ciel. Je réjouissais beaucoup d’hommes tristes et Je les encourageais en disant: «Réjouissez-vous toujours!».

Oh, il est difficile sans joies. La joie est la nourriture de l’âme. Tant que tu vis sur la terre, cherche de partager des joies à ceux d’autour de toi. Le refus de te rendre joie pour ceux qui se trouvent autour de toi c’est un non existence de toi. Quand tu ne ressens pas l’envie de faire des joies tu es froid d’âme. Oh, cherche d’avoir envie de faire des joies, homme chrétien! Cherche de sentir besoin d’avoir des joies, d’offrir des joies, et alors on peut dire que tu aimes, que tu vis, que tu partages de la vie et de l’espoir de vie.

Partagez des joies entre vous, les fils, et prenez soin de vivre votre vie, car la vie non vécue est celle sans le fruit éternel du bonheur de la vie reconnaissante, Mes fils. Oh, ne perdez pas votre vie, ne ladormez pas, ne restez pas sur place avec son mystère qui doit travailler, mais vivez-la, les fils, car elle est de Dieu, et Dieu c’est de la vie. Evitez de vous séparer de Dieu, ayez peur de le faire, évitez tout ce que vous sépare du Seigneur et de l’obéissance à Lui! Il y a des enfants à l’école qui ne veulent point apprendre et ils passent en vain par l’école. Les saints choisissaient pour eux de très difficiles besognes, car ils savaient bien que la chair tire l’homme vers l’inactivité et le péché, vers le gaspillage de la rédemption, ils savaient que si on n’est pas plein de Dieu, on est plein d’autre chose, on est plein des choses étrangères de Dieu.

Il y a deux mille ans Je parlais du Père aux disciples et ils ne comprenaient guère, et quand Je suis parti Je leur ai dit le nom entier de Dieu, et Je les ai envoyés à travers la terre au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit, l’Unique Dieu dans Sa Trinité, et voilà, maintenant, prenez soin, Mes fils, de vivre votre vie en ce grand nom, mais apprenez bien l’œuvre de la naissance d’en haut, pour savoir ensuite la vie avec Dieu.

Les fils, les fils, faites l’aumône entre vous par des joies, pour qu’elles s’accumulent au ciel et qu’elle vous accueille cette richesse. Quand quelqu’un te donne Dieu ou de Dieu, en partageant de cette richesse éternelle, tu dois lui dire «Bogdaprosti» (Dieu remercie -slavonne)et puis remercier à Dieu pour tout cela, et ensuite il faut que tu donnes à ton tour, pour avoir toi aussi le travail qui te sera payé comme à un travailleur actif qui ne vit pas sans travail saint.


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L’homme ne peut avoir une vie de chrétien, de fils de Dieu n’importe comment ou à sa guise. Cette vie est douée d’une grande dot, d’un constant travail des traditions chrétiennes laissées par les saints et continuées ensuite comme grand devoir saint de ceux qui sont chrétiens toute leur vie sur la terre. Si tu es chrétien avec ta vie, tu la garde non-mélangée et tu ne transgresses pas les devoirs de fils de Dieu. Dans l’église du Christ il y a tout l’enseignement de la juste foi et les devoirs d’un chrétien. Ceux qui quittent tout cela et se servent du nom de chrétien en ne pas respectant l’ordre et le pas selon la tradition, ceux-là tombent dans le paganisme, ils s’abattent de la droite œuvre de fils de l’église du Christ, et voilà, une grande douleur monte au ciel, car ceux qui se nomment chrétiens, n’ont pas, ils n’ont plus une vie de chrétien, ils ne vivent pas dans l’ordre du Christ, ils restent dans les péchés, ils foulent aux pieds les directives celles pour les saints, ils ne ressemblent pas aux saints, mais plutôt aux fils du monde, ils vont avec eux et comme eux, ils aiment ce siècle passager et toutes ses occupations, ils n’ont pas de liaison étroite inséparable avec le Seigneur, le Rédempteur, Celui Qui a donné Sa vie pour la vie de Son église, ils n’ont pas l’œuvre de l’obéissance et de la bénédiction sur leurs pas et leur travail, oh, et c’est de la douleur qui monte au ciel, elle n’est plus comprise l’œuvre et la vie de chrétien, et satan a de la joie contre Moi, à cause de ceux qui ayant le nom de chrétien ils n’ont pas aussi la vie chrétienne, ils n’ont pas le Seigneur inséparable d’eux, et sans le Seigneur personne ne peut échapper à l’aiguillon de satan, qui porte sa marchandise à la vue et ne s’arrête pas de son travail, avec lequel il trompe à chaque instant le cœur de l’homme.

Oh, c’est facile que ton cœur et ta bouche chantent le Christ est ressuscité! Si tu ne réjouis pas pleinement le Seigneur en toi dans ton œuvre, Il pleure à cause de toi, Il pleure parce que tu ne L’aimes pas, parce que tu ne Le suis pas, parce que tu n’as pas peur de faire cela. Il pleure le Seigneur quand Il voit que Tu n’essaies pas d’apprendre la vie et l’œuvre de chrétien, l’amour et ton devoir face à ton Seigneur.


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J’ai à la table de résurrection Ma mère la Vierge et les disciples de Ma résurrection, hommes et femmes. En jour de Pâques Je Me suis arrêté avec les saints dans Mon jardin de parole et Nous sommes avec vous en parole, fils du jardin et Nous chantons le Christ est ressuscité! Nous affermissons votre amour de Dieu entre vous et Nous attendons que plusieurs cœurs comprennent Mon mystère avec vous, le mystère et la vie de chrétien, le vrai nom du fils de cette œuvre de parole. Je vous ai dit que Je souffre du fait que les chrétiens ne Me désirent, ne M’aiment pas à cause de leur amour de soi, à cause du manque de désir saint envers Dieu, mais avec vous Je veux effacer Ma douloureuse larme et aussi vous consoler dans vos douleurs, oh, car vous en avez beaucoup à porter, et vous êtes peu nombreux face au grand travail demandé pour Ma marche, et pour la cité et pour le soin envers le peuple , les fils, et le peuple ne Me donne pas de joies, à cause de son amour de soi, Mes fils.

Nous avons besoin de patience et d’amour, Nous avons besoin de prière pleine de douleur vers le Père, tel que J’ai supplié il y a deux mille ans pour Mes disciples qui allaient passer par l’épreuve de Mon arrestation par trahison, et ensuite Ma crucifixion, mais Je leur ai apporté la joie ensuite, et à ceux qui se réjouissaient de Ma capture et puis de Ma crucifixion, pour ceux-ci est venue la grande peine, la peur et la douleur ensuite.

Oh, c’est ainsi que Dieu travaille après avoir supporté longuement avec amour et pitié, et si ceux qui ont été supportés ne fléchissent pas leur orgueil et leur cœur, ils ne verront pas le fruit de l’amour du Seigneur, et ils choisissent eux-mêmes de rester du côté de la douleur ensuite.


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Oh, les fils, toutes les fois que J’ai Ma venue chez vous ici, Je travaille avec vous et ensuite on lève la table de rencontre et Je retourne dans le Père, chaque fois avec tout ce que J’attends de pouvoir parler et qu’il ait quelqu’un sur la terre pour comprendre Mon attente après l’homme. Il est épais le rideau qui sépare Dieu de l’homme, oh, les fils. L’homme le tisse à gros fils, et il devient toujours plus épais, plus difficile à tomber pour qu’ils puissent se regarder les deux, ceux qui attendent des deux côtés.

Je regarde pendant les fêtes ici, aux rencontres de ceux d’en haut avec ceux d’en bas. Entre ceux qui viennent, il y a certains qui viennent comme en promenade. Je les crois qu’ils viennent par désir saint, mais leur désir n’est pas rangé, ils ne savent pas ce qu’ils veulent par ce désir. Oh, il n’y a pas d’obéissance parfaite pour tout ce que Je prie le chrétien de respecter, comme il sied dans sa vie.

J’ai dit à Moïse d’ôter ses chaussures pour accéder au lieu d’où Je lui ai parlé, et Je lui ai donné parole à apprendre et à comprendre par sa raison. Oh, comment faire que le chrétien apprenne le lieu de Dieu, et sa rencontre avec le Seigneur et avec le lieu du repos du Seigneur? Oh, elle est trop grande la différence entre le désir de Dieu envers l’homme et celui de l’homme envers Dieu et cela parce que l’homme n’essaie pas de comprendre ce que cela signifie Dieu avec l’homme sur la terre tel que Moïse a compris quand il est venu parler avec le Seigneur sur la montagne sainte, de laquelle il est descendu comme un saint, pas comme un homme, oh, et il a pénétré ce mystère et J’ai pu alors lui dire: «Je ferai de toi un dieu pour le peuple Israël et tu iras l’affranchir de l’esclavage».

Oh, Mes fils, Mes fils, c’est seulement avec Dieu que Moïse a travaillé ensuite, seulement de Dieu, et il s’est rendu compte plus tard, sur la voie vers Canaan avec le peuple du retour dans le pays de la promesse, il s’est rendu compte Moïse ce que cela signifie de travailler même un moment sans Dieu, car il a eu ensuite à supporter souffrance et grande tristesse lui et Dieu mais aussi le peuple entêté, par lequel Moïse a boité sur la voie, puisque l’homme ne sait pas ce que cela signifie disciple et ce que cela signifie Dieu, oh, et Israël n’a pas su comprendre l’œuvre de Moïse, comme disciple du Seigneur et comme un dieu du peuple, comme un envoyé, tel que Je l’ai été Moi, l’envoyé du Père il y a deux mille ans, et il est arrivé à Moïse ce qu’il M’est arrivé à Moi aussi alors de la part du peuple, oh, et voilà, il ne tombe pas le rideau qui fait séparation entre Dieu et l’homme, et Moi Je veux préparer un peuple, soit-il très petit, mais pour avoir ainsi partout de la semence nouvelle et pour renouveler la terre de lieu en lieu, pour tailler de quelque sorte les chardons, pour avoir des disciples saints et sans épices, pour que J’aie du pouvoir sur la terre par ceux qui sont saints, et pour racheter au Père beaucoup d’hommes ensuite, oh, et Je donnerais libre cours au temps des merveilles saintes, mais J’ai besoin de sainteté dans l’homme, J’ai besoin de disciples saints, oh, les fils.


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Voilà, Nous avons à veiller toujours plus difficilement, et il faut que Nous Nous tenions sur la pierre de la sagesse, qui montre clairement le visage caché du mauvais esprit, car Moi, le Seigneur, Je n’ai pas eu la chance d’avoir des chrétiens au cœur pur pour Moi, oh, ils ne l’ont pas réussi ni pour eux-mêmes, puisque celui qui ne se tient pas en Dieu, mais dans ce monde avec l’esprit et le sentiment, un tel homme ne peut être pur ni pour soi-même ni pour les semblables, ni pour Dieu, et Moi, J’ai toujours eu à souffrir des brisements de la part de beaucoup, et ceux qui s’approchaient de l’esprit de la vie, de Ma parole qui partage de la vie, si l’homme en veut, s’il sait comment est la vie de celui qui a de la vie par Ma parole de Pasteur, oh, les fils.

Il y a eu et il y en a encore au long du temps de ceux qui M’ont livré aux bourreaux pour de l’argent et ils en ont mis de côté, les pauvres, et ce péché, s’attache à beaucoup d’hommes, il enchante tout homme pour le porter vers tout péché issu de ce péché. Oh, mais il y a encore un péché avec lequel l’homme tourmente le Seigneur jusqu’à la fin, car il y a eu et il y en a encore de ceux qui M’ont acheté avec de l’argent, pour que Je sois à leur merci ensuite. Oh, mais qui réussit de se tromper plus que celui qui fait cela malicieusement, par le péché de l’amour de soi, de la grandeur de soi? Et voilà c’est la gloire venue des hommes que cherchent celui qui commet un tel péché, se payant la tête de Dieu par les faits injustes, comme si Moi, le Seigneur, Je pourrais être pris au milieu comme un homme. Malheur à ce défaut de raison, par lequel l’homme aimant de gloire venue de Dieu et des hommes essaie de M’agenouiller et de Me tenir à genoux devant lui, selon qu’il pense tenir ses comptes aux dépens de Dieu!

Oh, si Je M’incline par pitié pour l’homme dépourvu de la sagesse du cœur et de la raison, voilà ce qu’il fait ensuite avec Moi! Je dis donc à tout homme de la terre de prendre de la sagesse de Ma parole, de ne pas se pencher à l’esprit inconnu, mais qu’il examine les faits et leur racine. Et Je dis Moi aussi comme l’homme, car c’est comme avec un homme qu’il se conduit avec Moi celui qui n’a pas le cœur et l’action pure, et Je dis: Celui qui agit comme Moi, qu’il lui arrive ce qu’il M’est arrivé à Moi, et qu’il s’assagisse ensuite!


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Je dirais maintenant à ceux qui vous guettent la marche et la paix et la vie, Je leur dirais de ne plus se soucier, de ne plus chercher à découdre, à examiner, car par vous Je ne fais que du bien et de la paix, de l’amour, du salut et de la rédemption, car Je suis Pasteur miséricordieux, très miséricordieux, et J’exhorte vers l’esprit de la joie ceux qui se font des soucis pour vous, et Je leur dis de se réjouir pour vous, comme de ceux qui veillent avec Moi pour le bien, la paix et la garde contre le mauvais esprit, ennemi de l’homme, car voilà, Je suis au milieu de vous et Je dirige attentivement au-dessus de la terre, et Je prononce parole avec accomplissement contre les troubles et les tensions entre les hommes et entre les peuples, et voilà, ce que Je dis à tous ceux qui s’inquiètent pour vous et pour Moi avec vous, et Je leur dis cela:

Amen, amen vous dis-Je, ne vous inquiétez pas pour ceux qui M’aiment et vous aiment vous aussi de Ma part, car s’il n’y avait plus de chrétiens saints et de la foi sur la terre, elle s’effondrerait tout de suite avec tout ce qu’il y a sur elle comme au déluge, comme à Sodome et Gomorrhe, parce que sur la terre fourmille l’esprit de la débauche, le plus affreux péché, le plus hostile péché contraire à Dieu de la part de l’homme, péché pour le plaisir duquel l’homme veut se délivrer de Dieu, afin que Dieu n’existe plus pour l’empêcher dans la réalisation de ses plaisirs.

Oh, mais Dieu est Celui Qui est, pas comme l’homme qui meurt et n’est plus, car l’homme est maintenant, mais dans un instant il n’est plus, parce qu’il meurt et il n’est plus ensuite, mais Dieu est et Il demeure, et l’homme est ennuyé parce que Dieu existe, qu’Il Se tient contre le péché aimé par l’homme, car Dieu est saint, Il est sans péché, oh, et ils guettent les hommes de toute sorte sur la terre, ils guettent de peur qu’il n’y ait quelqu’un d’entre leurs chefs, qui puissent affaiblir leur projet et leurs mauvais pouvoirs.

Oh, réjouissez vous, ceux de la terre, qui ne pouvez pas agir du côté de la sainteté, mais réjouissez-vous qu’il y a des chrétiens parmi vous de lieu en lieu, et que c’est pour eux que la terre est encore, c’est pour eux que vous avez encore le temps de venir vers la sagesse de la vie, vers la vie celle contre la mort, tellement maîtresse sur le genre humain de partout.


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Oh, Ma mère, montre ton amour et ta pitié par la parole et allons fortifier le peuple de Ma parole, celui qui croit et Nous aide avec fidélité de venir et Nous mettre l’œuvre en pratique! Je suis le Fils du Père et Je suis Ton Fils par la naissance, oh, Ma mère, et tu es de Ma part la mère des chrétiens, de Mes frères de foi et de voie, Ma mère. Donne-leur maintenant du pouvoir et de la consolation, donne-leur, car tu as de Moi pour en donner, pour qu’ils aient de Dieu, Ma mère!

— Je leur donne, Fils Jésus, car je T’ai donné il y a deux mille ans pour être avec les Tiens jusqu’à la fin, selon Ta promesse. Et maintenant je dis aux plus petits du temps de Ta parole, je leur dis cela:

Vous, les plus petits du temps de la parole de mon Fils, vous devez savoir que le temps de Son début avec la trompette Virginie, et ensuite le temps du milieu, en ces deux temps il a été très difficile pour Nous et pour ceux qui ont été persécutés sur la terre à cause de la parole du Seigneur sur eux, car il y a eu parmi eux des traîtres de secrets, des vendeurs de frères, des diffamateurs, de ceux qui cueillaient des sentiments saints et les portaient aux ennemis, à ceux qui persécutaient ensuite le peuple, lui épuisant le pouvoir de sous ma croix, oh, et il y a eu souffrance, et il y a eu prison, et des peurs et des ennemis qui nommaient ennemis les chrétiens de cette parole. Mais vous vous êtes venus par beau temps, vous n’avez rien souffert, vous n’avez pas porté de croix, pas même de réprimande pour les fautes, car le Seigneur met beaucoup de patience pour Sa difficile marche. Vous n’avez pas connu ce que c’est la peur sous les menaces pour la foi, de la part des grands du temps et des incroyants. Vous avez de plus le grand don de Dieu d’avoir sur la table le vin nouveau, celui pour les saints, oh, et vous avez le grand devoir d’être saints pour mon Fils, Qui S’offre à vous afin d’avoir puissance et amour pour Lui, pour Sa venue et pour Sa marche au-dessus de la terre en parole. Appréciez, donc, ce temps de paix pour votre marche avec le Seigneur, mais soyez tout le temps en prière pour vous et pour ceux qui s’approchent pour prendre de la vie de Dieu, mais sans toute l’accomplissement de la parole d’en haut, la vie n’est pas entière, ni la marche avec le Seigneur, pour ceux qui s’approchent de cette grande grâce descendue du ciel pour ceux qui croient à la venue de mon Fils en parole sur la terre. C’est des chardons et de la pélamide que produit le corps de l’homme qui a quitté la peur de Dieu, mais vous avez quitté l’amour du monde et vous êtes venus pour la sainteté. Soyez, donc, des vases d’honneur, profitables au Maître de la vie, car la vie sans Dieu passe et elle punit ensuite l’homme, mais la vie pleine de grâce d’en haut ne passe pas, oh, non, mais elle fait grandir sur la terre et dans le ciel celui qui l’a de sa vie au temps de sa chair.

Celui qui a connu mon Fils Jésus par cette parole, et il L’a méprisé ensuite à cause du non-accomplissement, un tel homme va beaucoup trembler devant la justice entre l’homme et Dieu, car il a su de Dieu et il n’a pas fait selon Son conseil, oh, et il ne s’est pas levé quand il a commis la faute. Mais vous, restez inséparables, restez forts jusqu’à la fin, les fils! Nourrissez-vous avec grande foi du nouveau vin, car mon Fils a établi à la noce de Canna de Galilée le vin nouveau, celui pour les saints, et il a commencé alors le siècle de Son église, et vous êtes les petits, et vous avez sur la table toute chose fraîche et mise de côté pour vous, pas mêlé avec ceux du monde de l’église du Christ, et vous avez le devoir de tenir à la sainteté de mon Fils, car Il a dit: «Soyez saints, car Moi, Je suis saint!».

Cette œuvre a grand nom, le nom de mon Fils, la Parole de Dieu, claironnée au-dessus de la terre. Soyez appliqués pour témoigner de cette parole, et vous aurez les noms écrits avec ceux qui ont témoigné de Lui, les fils.

J’offre cette parole à tous ceux qui sont auprès de vous dans mon jour de fête, et je leur souhaite de la foi et le complètement de l’accomplissement de la parole de mon Fils sur eux, car sans accomplissement il n’y a pas de foi complète, c’est cela que vous devez savoir tous.

Et maintenant, Seigneur, mon Fils, mets Ton nom sur Ta parole d’aujourd’hui, et renforce avec la bénédiction tout mon travail d’aujourd’hui pour la gloire de Notre fête avec eux.

— Oh, Ma mère, ici on a travaillé secrètement, Ma mère. Ici ils renforcent Mon secret avec eux, avec l’homme, Ma mère.

Vous ceux qui venez voir Mon travail dans le jardin, oh, cherchez d’apprendre la vie sainte et pas touchée par l’esprit du monde, l’esprit qui mène à la perdition dans ce siècle. Venez et apprenez et n’oubliez pas d’apprendre ! J’ai élevé du peuple roumain des fils de Mon espoir et il est bien reçu à Dieu ce peuple, c’est ainsi que vous devez savoir et croire et c’est ainsi que vous devez suivre vos ancêtres, car c’est ainsi que Je vous apprends.

Celui qui veut être comme Moi, qu’il renonce à lui-même, c’est ainsi que J’ai dit. Celui qui ne le peut pas, celui–là même s’il vient, il tombe en arrière, et Ma parole se tiendra face à face avec lui en témoignant qu’il l’a enseigné, mais lui, il n’a pas obéi à Dieu.

Restez donc dans Mon amour jusqu’à la fin, vous qui avez goûté de sa douceur, mais gardez-vous des égarements, des hérétiques, pour ne pas maculer la chemise et votre cœur, les fils. Que les moutons se tiennent à Ma droite, pas à gauche, et qu’elles restent des moutons.

Maintenant Je mets Mon nom sur le cœur et le visage de ceux qui restent avec Moi jusqu’à la fin. C’est seulement Moi à savoir qui restent jusqu’à la fin, et vous, donnez-vous la peine avec grande veille, jour et nuit pour rester les Miens. Paix à vous, et demeurez les Miens! Paix à vous et apprenez comment vous pouvez rester les Miens! Oh, paix à vous, les fils! Que cela ne vous semble pas difficile d’être avec Dieu et pour Dieu.

Je suis Celui Qui est, et Je mets Mon nom sur la parole de la fête d’aujourd’hui.

Je suis le Christ, la Parole de Dieu. Amen, amen, amen.


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Oh, fils qui portez Ma parole au-dessus de la terre, que se serait-il passé si Moi, le Seigneur, J’avais travaillé avec pitié nuisible, en laissant Adam en Eden après la faute de la désobéissance, par laquelle il a choisi d’écouter le diable par la femme celle folâtre et insoumise à Dieu? Et voilà, chrétien, tu ne sais pas faire pitié avec ton frère coupable par l’amour de soi, par le manque d’amour envers Dieu, et tu le laisse mourir quand tu l’aides avec ta pitié de lui, et pas avec le conseil de s’écarter du péché, quand tu le vois en faute face à l’amour de Dieu par sa méconnaissance de soi, le pauvre homme.

Lorsque J’ai vu que l’homme n’est que glaise après lui avoir donné la vie et la connaissance pour qu’il soit demeure céleste pour son Créateur, Je lui ai dit à grande douleur: «c’est de la glaise que tu es». Oh, l’homme a détruit Ma maison, il M’a tourné le dos pour le péché, il s’est rangé du côté du péché et il est resté glaise, seulement de la glaise et il est retourné dans la glaise, puisqu’il n’a pas voulu être avec Dieu et avec le ciel. Il est tombé ensuite tout le genre humain, car il n’a pas eu de pasteurs comme guides vers le ciel, puisque si les tiens voient que tu ne sais pas ce que Dieu veut de toi, et tu ne travailles pas visiblement l’accomplissement et ta vie avec Dieu, alors les tiens ne croissent pas eux non plus, eux non plus n’échappent à la désobéissance envers Dieu, oh, et grand regret arrive au jour de la récompense pour les obéissants et les désobéissants, parce que les uns reçoivent de la joie, et les autres voient ce qu’ils ont perdu.

Voilà, les fils, l’infidélité fait tomber l’homme dans le mépris et il sera méprisé celui sans fidélité, car si tu n’as pas de fidélité envers celui qui te guide et te veille, comment pourrais-tu en avoir envers Dieu? Et si tu n’as pas de fidélité envers Dieu, comment pourrais-tu être constant face à un homme que tu veux à la place de Dieu avec toi? Voilà, le roi Hérode a été porté du bout du nez par la femme de son frère, celle sans fidélité et il a cru, ce roi qu’elle serait autrement pour lui, mais elle travaillait seulement pour son amour de soi dans tout ce qu’elle forgeait par son esprit de femme folâtre, et le roi d’Israël est tombé frappé à ses pieds indignes, oh, et c’est ainsi qu’il se passe avec le péché de l’infidélité, et il est à veiller pour celui qui s’aime soi-même, et qui t’abat par l’infidélité qu’il travaille, et si tu ne veilles pas tu mérites le sort de la chute de Dieu, car tu as aimé la désobéissance à la place de Dieu et tu as travaillé comme Adam, celui sans fidélité, et qui a anéanti en lui le repos de Dieu, par la hardiesse de ne pas aimer l’obéissance envers son Créateur, Auquel il devait la vie.


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Nous veillons d’avance pour votre entrée dans le livre à l’occasion de ma fête entre ceux du ciel, et j’ai pris de la table fraternelle la parole qui fait souvenir de Ton discours, où Tu dis il y a quelques années: «Toi, homme, apprends-Moi ce que Je dois faire pour retrouver Mon jour de repos, car Je l’ai perdu par la tombée de l’homme vers satan en Eden».

Oh, Seigneur, qui peut T’apprendre Toi, qui le peut ? Oh, Tu as perdu le repos, Tu as perdu l’homme, Seigneur,. C’est lui Ton jour de repos, et je Te prie maintenant de faire une descente de parole avec ce mystère perdu entre Toi et l’homme, par son manque d’inclination envers Toi. Et que le peuple de Ta parole apprenne la soumission, Seigneur, qu’il apprenne toujours ce mystère de la foi, et de la fidélité par la foi, car autrement leur foi est en vain, oh, Seigneur.

Et maintenant gloire à Toi entre les saints pour Ta grande parole du jour de mémoire pour ma venue à Toi entre les saints! Et Toi, apprends toujours à Ton peuple la soumission et toujours la soumission, car c’est de cette grâce que Tu reçois Ton repos, Ta consolation perdue par l’homme désobéissant en Eden.

Ce mystère de la soumission, c’est lui qui rend sage l’homme et porteur de Dieu ensuite. Que les fils du peuple de Ta parole marchent avec crainte sur la terre que Tu as choisie! Qu’ils vivent et qu’ils se conduisent avec crainte devant Toi ici, et qu’ils montrent de cette façon leur fidélité et inclination, car moi, je n’ai pas vécu mes jours sur la terre que dans la fidélité face à Toi, plein de modestie et sans de ménagement pour la chair, et Toi, Tu T’es reposé en moi, et Tu T’es montré par moi au Jourdain, témoigné du Père comme Son Fils. Maintenant nous rendons témoignage l’un pour l’autre, et qu’ils apprennent de Nous, travailler comme Nous, car de grands mystères les entourent ici, et qu’ils puissent les comprendre, Seigneur, puisque Toi, Tu as ici une très grande œuvre avec eux, maintenant sur la terre!


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On a jour de sainte fête, jour où on témoigne pour le mystère de la rédemption par la croix, par le Christ, et Je laisse parole signée avec la croix, pour réprimander tous ceux qui fuient la croix, et celui qui fuit la croix fuit le Christ, Celui Qui S’est montré il y a deux mille ans par la croix et par la résurrection. J’ai prononcée par Mon Evangile le mot croix, et puis Mes disciples l’ont prononcé aussi, et J’ai signé avec le nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit les chrétiens, pour qu’on connaisse par la croix du Christ celui qui est chrétien. Par ce signe mis avec la main droite sur le corps de celui qui est chrétien, celui–ci rend témoignage de Ma crucifixion et Ma mémoire et ils se font part de guérison des péchés, car Moi, le Seigneur, J’ai souffert la croix et Ma mise sur elle pour tout homme qui a été, qui est et qui sera sur la terre, homme né du péché.

C’est pour la croix que Je suis venu du Père, et Je Me suis tenu cloué sur elle pour chaque homme, et l’homme qui se signe rend témoignage à Celui Qui a payé sur la croix Sa vie, sur la croix, et pas autrement.

Celui qui ne se signe pas fait des péchés, il se veut libre à faire ce qu’il veut à faire, toujours faire des péchés, oh, et il Me punit sans pitié par ses péchés, et il ne s’arrête plus, il ne veut porter le payement de ses péchés, pour qu’il porte lui aussi la croix, tout comme Moi.


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Vous qui avez la foi et la voie droite sous vos pieds, luttez pour être les fils de la foi! Il faut que l’homme apprenne comment avoir la foi et ses dons saints, et il ne peut les avoir n’importe comment. Luttez donc, sous la croix et soyez vigilants envers les ennemis de la croix, car c’est avec la lutte qu’on gagne la grand victoire, la Mienne et la vôtre.

La croix c’est le signe du chrétien et sa voie vers le ciel, c’est la croix qui M’a conduit vers la résurrection. La croix conduit l’homme vers le Christ, et l’antéchrist et ses hommes sont reconnus d’après le manque de la croix, d’après leur opposition à l’égard de la croix, qu’ils essaient de nommer idole, du bois devant lequel le monde se prosterne. Oh, mais comment ne pas se prosterner devant la croix ceux qui sont de sa part, si c’est elle qui M’a donné la victoire?

Voilà, il faut que tu mérites de te signer, de signer ton être avec le signe de la sainte croix, en témoignant ainsi le Christ comme ton Dieu. La croix n’est pas du bois et c’est tout. La croix c’est le signe du Christ, le signe de Sa victoire par la croix. La croix conduit l’homme vers la résurrection. La croix n’est pas une idole. L’idole c’est pour ceux sans Dieu et qui se font un Dieu en bois, en fer, en ce qu’ils veulent, et la croix c’est le sceau des fils de Dieu, duquel le mauvais esprit s’enfuie et gémit de peur devant le signe de la sainte croix.

Et voilà, Je dis maintenant: Qu’ils soient l’anathème ceux qui frappent le signe de la sainte croix et ceux qui cèlent avec lui leur visage au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit.

Mon Evangile et celle de Mes disciples, elles sont pleines du nom de la croix, car la croix est unie au Christ, inséparable. Depuis deux mille ans elle est l’arme contre le diable. Ceux qui jettent d’eux ce signe de la vie chrétienne, ceux-là détruisent le pont qui aide ceux qui passent de la terre vers le ciel, au-dessus de l’abîme de la mort.

Et Je dis maintenant: Signez-vous du signe de la Sainte croix tout le temps, pour être vainqueurs sur tout ce qu’il y a de mal entre la terre et le ciel, vous, fils de l’église, et de la croix! Repoussez toute créature qui essaie de vous déraciner pour vous diriger ensuite vers la chute! Levez l’arme et veillez ainsi! Levez la croix, et c’est avec elle que vous allez vaincre, tout comme Moi, le Seigneur, J’ai vaincu la mort et Je suis ressuscité!

Oh, restez en Moi, fils du peuple de Ma parole de ces jours!

Veillez les fils pour rester en Moi, pas dans ce monde, où ils circulent les hommes de l’antéchrist pour essuyer Ma trace de la terre et des hommes!

Oh, pourquoi ai-Je dit: «Restez en Moi, restez dans Mon amour». Je l’ai dit parce que l’homme a la coupable habitude de rester en dehors de Moi avec son naturel, rester dépourvu de la grâce d’en haut, insouciant envers l’âme et obéissant à la chair, et lorsque l’homme est chrétien du troupeau du Christ, ce vide de Dieu est réfléchit par ceux vides de Lui, oh, le Christ n’est plus entier dans le troupeau, et cela à cause de ceux dépourvus de Ma grâce qui travaille dans l’homme, et de l’homme par tous ceux qui vivent ensemble.

Oh, les fils, les fils, tant que l’homme essaie encore de pouvoir faire quelque-chose pour lui-même, Dieu ne peut encore agir avec Sa grâce, et vous, ceux qui voulez être fils du peuple de Ma parole, oh, fuyez les envies, les fils, car Israël a été pris des envies dans le désert et il a péri par l’envie, car l’envie tire l’homme vers le péché, vers la séparation de Dieu. Quand la nature de l’homme ne vit pas en Christ, elle le pousse à la paresse, le tire vers l’insouciance, vers le manque de veille, vers le manque d’amour, vers une chair oisive, dépourvue du désir de travailler et d’humilité. Voilà, il faut qu’on mérite pour avoir la foi et ses dons. Autrement elle te sera enlevée et tu resteras stérile, tu n’auras plus de fruit dans le Christ, et ta raison sera le lieu du mensonge, de la partialité de soi et du manque du Seigneur d’elle, et malheur à ceux qui ont aimé une fois et ils se sont laissés de la foi et de la source de cette parole, et je dis cela pour ceux qui M’ont eu Le leur par leur foi, dans Ma parole d’hier et d’aujourd’hui, et maintenant ils sont tombés dans l’insouciance et on a enlevé d’eux le don de la foi dans Ma parole d’hier et d’aujourd’hui , et maintenant ils sont tombés dans l’insouciance et on a enlevé d’eux le don de la foi.

Les fils, les fils, le pouvoir et l’amour de la croix ne vous laisseront pas de tomber de Mon bras de Pasteur. Le fait de ne pas porter la croix amène des dangers, des chutes, des douleurs. Soyez porteurs de Christ, de croix, les fils. Je vous pais sur la voie de la croix, car c’est elle la voie que J’ai suivi Moi aussi vers le Père, oh, et elle est grande Ma grâce sur la voie de la croix.


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La croix c’est le miroir que Je vous ai laissé pour que vous Me voyez par lui, pour que vous vous voyez en lui, pour qu’il reste avec vous jusqu’à Ma venue glorieuse, les fils, et ensuite il sera le sceau de la victoire, la chaine avec laquelle Nous allons anéantir et lier satan pour les siècles des siècles, tel qu’il est écrit, oh, les fils. Amen, amen, amen.


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Oh, les fils, les fils, prenez de bon exemple les uns des autres, prenez-en des plus silencieux, des plus mesurés en parole et bonne conduite, des plus désireux de Dieu et du ciel. Oh, prenez exemple de ceux bien portants avec la sagesse des choses, des états et des événements, de ceux plus sages, plus saints, plus obéissants, plus forts dans la foi et l’action, et c’est ainsi que vous serez toujours beaux et humiliés.

Oh, priez tout le temps, les fils! Priez pour ne pas tomber dans la tentation. Ceux qui n’ont pas de prière avec soumission devant le Seigneur jour et nuit, ceux-là vont pleurer leur manque de parole et de compagnie avec le Seigneur, oh, et ils seront ainsi au-delà du temps de la terre aussi, car ils n’auront pas, là non plus la possibilité de la compagnie du Seigneur. Il faut donc de l’amour, il faut se lever tôt le matin, et lève-toi avec inclination devant le Seigneur, un instant saint et doux par la prière, et va seulement ensuite aux choses de ton temps sur la terre, puisque de tout ce que tu fais sur la terre on n’amasse pas dans le ciel, mais seulement ta compagnie avec Dieu, c’est seulement ce temps qui reste de ta part afin de t’accueillir pour ta joie celle éternelle, et autrement on a besoin de verge, de fouet, pour que le chrétien ait peur et qu’il commence la prière, celle pour sa garde de tout le temps.

Il faut que ta prière comprenne la peur de Dieu, renforcée vers l’espoir et le souci pour la vie éternelle, pour ta situation, celle d’après ton voyage ici sur la terre. Prends soin, donc, avec persévérance, rends le Seigneur ton médecin ici, car si tu y vas en malade, tu ne pourras guérir et tu resteras tel que tu y es allé. Voilà, tu as besoin d’une santé parfaite, d’une nature complète, préparée ici, surveillée et nourrie avec beaucoup d’attention, suffisamment pour l’éternité, et voilà combien de travail, combien d’application tu dois montrer pour la prière, pour ta compagnie avec Dieu, pour que le Seigneur s’habitue avec toi et te connaître, afin qu’on ne te dise pas alors: «Je ne sais pas d’où tu es!» et que le Seigneur puisse t’avoir comme Son ami, et surtout comme un enfant soumis à Sa volonté sur la terre!

Les fils, les fils, élevez vers le ciel des prières qui vont vous accueillir, car malheur à ceux qui n’ont pas au ciel des prières accumulées sur la terre, et tous les jours avec des prières devant le Seigneur! Oh, ils ne seront pas avec le Christ que ceux qui L’aiment, pas seulement en faisant Sa volonté, mais en L’aimant, se tenant en Sa compagnie, en parole avec Lui, en Lui offrant son cœur, en désirant qu’Il soit le sien.

Je viens avec ces conseils afin qu’ils soient suivis par ceux qui prennent Ma parole de la source, pour qu’ils soient ensuite des chrétiens qui accomplissent, pas seulement des connaisseurs de la parole, et qu’ils aient saint canon avant toute autre souci et occupation, résolvant ensuite leurs problèmes terrestres.

L’homme est pris des affaires du jour et il oublie de Dieu, et mêmes les chrétiens qui choisissent la voie de la sainteté, ils oublient eux aussi de Dieu, et ils peuvent tomber en tentation, s’ils oublient le devoir de chrétien obéissant.

Celui qui n’aime pas la lumière pour ses actions, celui–là n’a pas honte ni de Dieu, ni des hommes, ni de fruit de ses actions, et il a seulement l’orgueil de soi. Quand quelqu’un tombe dans le péché de la débauche, c’est la mauvaise punition pour d’autres péchés, comme: le mécontentement, le manque de l’humilité, la paresse, l’orgueil, l’absence de Dieu du cœur et de la pensée, l’infidélité envers les autres, et ensuite la dissimulation, et ensuite la tombée vers des faiblesses, la tombée de la sainteté, oh, et alors le tison remplit son âme et son visage, et il souille ceux d’autour de lui et les aide à perdre le Seigneur, et voilà péchés de péchés, oh, et c’est pour cela qu’on a besoin d’esprit de prière, puisque la paresse pour les choses saintes surtout, c’est un péché mortel ce péché, oh, et tous les hommes en sont éprouvés et ils n’ont pas peur pour eux-mêmes, car le mauvais esprit guette la vie de l’homme.


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Je viens exhorter le chrétien et tout homme de se faire temps et place pour le royaume des cieux avec lui. Oh, Dieu n’a pas de place dans l’homme, Il n’en a pas à cause de l’homme. Oh, pourquoi l’homme se tient-il si grand en lui, plus grand que Dieu, Celui Qui a bâti l’homme? L’homme ne s’incline pas quand J’essaie de le corriger et il veut Me convaincre que Je ne suis pas juste envers lui. Je ne peux à cause de l’homme, Je ne peux rien faire pour lui, quelque choses de saint pour Moi en lui, et cela parce que Je n’ai pas de place à cause de lui. La place est occupée par lui, et il ne M’accepte pas. Oh, il est laid son cœur, toute comme sa conduite, celle qui découvre son cœur et son levain. Alors Je le laisse qu’il soit lui le grand, grand autant qu’il veut l’être et s’en tenir, car Je ne peux faire autrement avec lui, mais il va se présenter devant Moi au bout de sa marche et il va voir alors Qui est Celui Qu’il n’a pas laissé d’être son Maître, tout comme Il a été son Créateur, en lui accordant l’âme et la vie.

Quand tu quittes tes affaires amassées, tu n’emportes rien avec toi, sinon la conduite de ta vie sur la terre, et c’est seulement elle qui va t’accompagner soit vers la lumière, soit vers les ténèbres, selon ton travail et ton accumulation d’actions bonnes ou mauvaises, saintes ou atteintes du péchés, et surtout selon les paroles, l’œuvre du cœur et de la raison.

Oh, les fils, Il pleure le Seigneur parce que l’homme n’a pas l’esprit du repentir pour les mauvaises actions de sa vie de chrétien ou d’homme. Il est difficile de convaincre l’homme à se confier à Mes soins pour sa vie rangée selon Ma volonté. Si J’essaie Me rapprocher de lui il se fâche, son cœur et son visage durcissent et il lui semble que Je suis injuste avec lui par Mon œuvre sur lui, et J’essaie de dire avec douleur que face à ceux sans péché il faut que nous nous humilions du côté de leur vérité, et que nous étions sages du côté de leur raison.

Oh, les fils, l’arbre est plus soumis, plus aimant, plus content quand le jardinier s’approche de lui pour le soigner. Chaque arbre a son bois mort, et s’il n’a pas de maître pour avoir soin de lui, pour le délivrer de sa souffrance, il sèche peu à peu, meurt ensuite et va au feu, et voilà, c’est pour cela que l’arbre doit avoir un maître, pour l’émonder, puis l’arroser pendent la sécheresse, pour le renouveler par des travaux soigneusement accomplis, afin qu’il produise des fruits ensuite, pour la joie de son maître.


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Je suis venu à la table de parole avec une assemblée de saints, avec l’armée des heureuses, pour la fête dans le ciel de l’heureuse Parascheva, et les saints se tiennent comblés de désir saint pour la voix de Ma parole et pour la joie de ces saints moments avec Moi sur la terre, au milieu de ceux qui croient à Ma venue avec les saints, oh, et Je fais place à ta voix, disciple aimante, dans Mon livre d’aujourd’hui, car vous témoignez du ciel de Ma venue avec les saints, tel qu’il est écrit à s’accomplir sur la terre au milieu du peuple chrétien, la gloire de Ma venue du Père aux hommes après deux mille ans de patience et d’attente après l’homme.

— Oh, la gloire de Ta venue avec les saints c’est la beauté céleste incomprise par la raison humaine, Seigneur de Tes saints, et nous n’avons pas de plus grande joie que cela, la possibilité de témoigner du ciel de la merveille de Dieu à la fin de temps, Ta venue avec les saints à ceux de la terre, Seigneur.

Tes saints s’inquiètent beaucoup dans le ciel quand sur la terre il y a des dangers qui menacent Tes chrétiens, ceux qui portent Ton grand nom, Seigneur.

Vous, ceux qui recevez du ciel le Seigneur en parole pour qu’Il vous en apprend la voie et l’œuvre de l’éternité, vous tous, là où vous êtes et où vous vivez, oh, soyez attentifs en travail saint, car vous devez apaiser les esprits du ciel, qui seront beaucoup plus sur leurs gardes si vous travaillez la mauvaise volonté, à la vue ou furtivement, face à face avec les armées d’en haut, qui veillent sur vous, afin que vous ne soyez pas vaincus par satan, pour que vous ne vous perdiez pas la raison et sa veille.

Oh, ne vous cachez pas de Dieu! Les puissances célestes voient si vous travaillez comme ça, et les armées de saints et d’anges en sont affligés. Habituez-vous d’être veillés, car Caïn n’a pas pris le bon conseil de Dieu pour croire qu’il est veillé d’en haut pour ses actions, et s’il n’a pas obéi il est resté fuyard, il s’est enfui, et il fuit toujours la lumière celui qui fait ainsi.

Vous êtes veillés et beaucoup défendus par la part des habits chrétiens, oh, fils aimés de Dieu, et ils vous procurent aussi de l’honneur saint de la part de ceux qui n’aiment pas cette beauté de l’homme chrétien, mais il faut aussi que votre raison et votre cœur, le désir saint et votre amour soient beaucoup en travail, pour avoir veille entière sur vous, et pour que satan ne puisse pas vous tirer de sa part par la diversité des faiblesses humaines. Prenez exemple de l’amour des saints aimants de ciel sur la terre, car nous voilà en haut pour vous, en veillant et en priant! Aimez Dieu et aimez les saints et offrez-nous des joies saintes, oh, car nous désirons la gloire venue du renoncement à soi dans la vie sur la terre, et gloire au Seigneur de nous avoir donné ce pouvoir de passer sur nous et donner à Lui la place du gouvernail de notre vie, et vous, il faut que vous travailliez tout cela avec beaucoup de foi et beaucoup d’humilité, puisque le doute entre vous et Dieu vous punit et elle fait mal cette punition!

Oh, Seigneur, nous Te regardons Toi et Ta chère voix, avec laquelle Tu nourris un peuple qui prend d’ici, de la source, et nous attendons toujours d’écouter Ta voix, d’être dans Ta venue et nous témoignons dans Ton livre d’aujourd’hui avec ceux qui reçoivent Ta venue avec les saints, la venue du Seigneur, tel qu’il est écrit pour cet accomplissement.

— Vous, Mes chers saints, vous avez amassé sur la terre seulement pour le ciel, oh, seulement dans le ciel, car vous avez su et vous avez cru que l’homme ne peut rien amasser sur la terre pour s’en réjouir.

Les fils, les fils, les saints témoignent de Moi du milieu de leur épargne dans le ciel. Ils sont les fils de l’éternité et c’est cela leur dot, pour lequel ils ont peiné sur la terre.

Voilà, Moi, le Seigneur, Je vous regarde maintenant, vous et votre table de conseil fraternel, et on a toujours besoin d’enseignement, et ensuite de son accomplissement. Soyez sages dans vos entretiens ensuite, pour vous garder dans l’esprit des discours ecclésiastiques et pour pouvoir habituer votre bouche de parler sans épier, sans bavarder et tout conformément à l’enseignement des Ecritures: que oui soit oui, que non soit non, pour que le diable ne puisse pas ramasser des miettes sorties de votre bouche pour son profit. Mais pour mieux comprendre, travaillez davantage à ces secrets significations, travaillez en église, non pas deux à deux ou à trois, et quand vous venez à table à la source, oh, venez et demander les choses nécessaires à votre sagesse et à Ma parole, qui se partage pour être travaillé par vous, pour accumuler dans le ciel richesse de grâce, vie vécue en Christ, temps racheté peu à peu, de peur qu’elles ne tombent par terre trop de miettes de votre bouche et qu’elles soient ramassées par satan, l’adversaire des fils de Dieu, dont il s’embarrasse toujours pour sa noire œuvre.

Soyez donc des bâtisseurs de l’éternité, les fils! Ne tardez pas de chercher Dieu et le chemin vers Dieu ! Vous êtes toujours sous Mes yeux. Ayez le cœur pur les uns pour les autres, pour que vous soyez unis dans l’éternité aussi, oh, les fils! Oh, soyez purs en parole et dans Ma vérité, pour laquelle vous avez besoin de grande humilité, de grande soumission et puis de fidélité sans mesure, mais tout cela personne ne peut l’avoir comme richesse de l’âme, que par le repentir, toujours le repentir, toujours la purification, toujours, par l’esprit du repentir, oh, les fils. Amen, amen, amen.


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Moi, le Seigneur, Je viens et Je travaille avec la parole et Je suis en lutte avec l’esprit qui égare le troupeau, oh, car il est très facile d’abattre le chrétien qui ne se tient pas en prière devant Dieu et en compagnie sainte, et voilà ce que Je dis à tout chrétien, à tout le peuple chrétien:

Ne sois pas peuple sans prière, toi, peuple chrétien! Que toutes les maisons des chrétiens aient des prières vers Dieu, pour que Je puisse protéger du ciel ceux liés par la prière avec Dieu, car c’est seulement les païens qui ne se tiennent pas en prière au temps de leur vie.

Oh, heureux sont et seront les chrétiens qui ont de la prière envers Dieu par l’esprit des saints pères, car l’esprit de ces prières les maintient dans la racine, il les maintient comme Mon vraie église, unique selon le nom et selon la vie et selon la règle laissée par les saints.

Oh, fils chrétiens, recevez avec joie Mon exhortation, car voilà ce que Je vous dis: même si vous pouvez ne pas avoir quoi manger, avec quoi vous habiller ou sous quoi vous abriter, que la prière envers Dieu ne cesse pas dans votre tête et sur vos lèvres, mais tenez-vous avec le Seigneur plus qu’avec vous-mêmes et les uns avec les autres, oh, les fils.

Il s’est toujours émietté le troupeau de Mon église par l’arrachement d’auprès d’elle de ceux qui sont tombés dans la tentation, à la voix de ceux qui ont désiré d’avoir leur troupeau, mais Je répète, il y a une seule église et elle a des pères, de ceux qui témoignent dans le ciel. Amen.

L’homme choisit tout seul la vie de chrétien ou la vie de païen, et voie de milieu n’existe pas, c’est pourquoi celui qui veut appartenir au Christ, celui–là doit apprendre et comprendre et choisir la vie de chrétien, vie de prière, de compagne active avec le Christ et Ses saints, ceux qui témoignent par l’eau, l’esprit et le sang, et la racine du chrétien est celle du commencement et qui témoigne comme au début pour la vie de chrétien.


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Voilà près de vous Ma trompette Virginie, qu’elle soit bénie sont entrée et son témoignage!

— J’ai observé, Seigneur, J’ai parcouru et J’ai observé à l’occasion de cette grande fête, j’ai observé le peuple fidèle à Ta parole. Tu connais ma grande veille et mon grand souci pour la position et le beau comportement devant Toi de ceux qui se croient et font partie du peuple de Ta parole. Ils ont laissé des blessures derrière eux ceux inconstants jusqu’à la fin, oh, et ils auront très grande honte quand ils entendront et verront des mages de toute sorte en cherchant cette étoile qui guide vers le paradis, oh, et il ne devrait pas se multiplier les blessures, ni les désirs et les ambitions de ceux qui croient et s’inclinent à Ta voix céleste, car c’est avec douleur que Tu leur as toujours dit: «Sortez du monde, Mon peuple!».

Oh, comment faire pour que Ton peuple sache ce que cela veut dire? Si tu veux te réaliser dans le monde tu as un maître sur toi, pour lequel tu travailles pour avoir de l’argent, oh, et tu n’es pas libre, tu es esclave, tu te rends esclave pour gagner ce qu’il te faut pour la vie passagère, que tu essaies ranger pour être dans le train avec le monde, et le Seigneur crie et dit :Sortez du monde, les fils!

Oh, peu nombreux ceux qui ont obéi! Oh, combien Tu les as enseigné et leur as dit toujours: C’est en vain, les fils, que vous vous souciez pour cette vie sur la terre! Elle passe et tu n’en as pas quoi prendre en haut au Seigneur, et pourquoi pleurer alors pour la perte de la vie que tu n’as pas gagnée au temps passé sur la terre, quand tu aurais pu travailler ton lieu céleste, car si c’est seulement pour ta demeure terrestre que Tu cherches à travailler, tu as perdu la vie, mon fils, tu as perdu l’éternité et tu n’as pas de vie amassée dans le pays de l’éternité.

Tu leur disais toujours, Seigneur: Sortez du monde, éloignez-vous, les fils, de ce piège nuisible et faites-vous de belle place avec les saints chez le Seigneur, pour que vous soyez avec le Seigneur ensuite, puisque de lourdes larmes s’écoulent des yeux de ceux qui ne sont pas avec le Seigneur après cette vie-là!

Le monde vit dans les péchés avec tous ses fils, et le péché chasse la prière et ses dons, et là où il y a le péché la prière ne peut plus agir, elle n’y est plus, car là où la prière se tait, c’est le péché qui commence, et la voie de l’homme vers l’enfer, vers le monde et vers l’enfer.

Quand dans une maison chrétienne ne persiste pas la prière et la paix de l’amour pour Ma compagnie avec ceux de cette maison-là, Je ne suis plus en communion avec eux, et les anges se tiennent loin, impuissants sous les mécontentements, les dissensions, le manque d’amour et l’esprit du jugement entre les frères, et ils perdent leur raison, même s’ils pensent l’avoir, oh, et ils ne savent pas que c’est seulement l’amour envers le ciel qui puisse garder les frères ensemble, inséparables, mais voilà, l’esprit de l’orgueil travaille imperceptiblement, il juge l’homme à la place de Dieu et l’homme se rend juge, et c’est du péché cela.

Oh, Seigneur, Tu as toujours mis du conseil dans la parole, et moi je regarde tout le temps sur tous ceux qui croient à Ta venue, et je voudrais les guider individuellement si possible, ou en commun les diriger, et que chacun prenne de la table pour soi, car sans conseil ou veille du ciel, personne ne peut se garder fils de Dieu, fils de Ta parole.


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Oh, les fils, mesurez-vous si vous êtes dans Mon amour, si Moi Je suis dans votre amour, si vous avez le Fils de Dieu comme votre premier souci tel qu’il l’a été pour Ma mère la Vierge, si le Seigneur S’est installé en vous, et prenez grand soin pour votre naissance de Dieu, pas atteinte de fautes contre elle. Qu’aucun autre souci n’ait pas la priorité entre les soucis que vous avez, car voilà, il y a peu de ceux qui parlent avec la parole céleste pour eux en ce jour saint, car l’insouciance envers la parole de Dieu et son accomplissement est grande, parce que l’homme se sépare difficilement du péché, de lui-même et du péché, oh, et n’oubliez pas les fils, que Dieu Celui Qui est saint Se donne aux saints, tel qu’il est écrit.


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Voilà, Je vous pais toujours, et Je ne vous laisse pas sans nourriture de parole, les fils. Je passe en secret parmi vous et Je mesure votre sentiment et votre pensée, Je vous mesure les paroles du cœur et de la bouche, oh, et vous ne savez pas combien Je vous regarde, combien Je vous mesure et combien les anges écrivent de Ma visite entre vous, et de vous, et c’est pour cela que Je vous dis que Je suis en secret chez vous et avec vous, car elle est grande la veille que Je dois avoir sur vous et pour vous, pour que Je puisse vous avoir comme Mon peuple, les fils, car voilà, Je mets au milieu de vous Ma parole pour qu’elle aille ensuite partout et vous M’êtes nécessaires, les fils, car que ferais-Je si Je n’avais pas à qui transmettre Ma parole? J’ai mis de la foi en vous, et elle a beaucoup de travail a accomplir votre foi, afin que Je puisse être toujours avec vous ici, et ensuite que Je puisse M’en aller avec la parole et son accomplissement.

Seulement les pécheurs qui Me trouvent et qui sont affligés ensuite de leur péchés et en pleurant, ce sont eux seulement qui prouvent Dieu avec Son grand amour, avec leur amour pour Lui, oh, et c’est ainsi qu’il se passe aujourd’hui avec la réception de Ma parole et son accomplissement ensuite par ceux qui Me trouvent à vous, en parlant au-dessus de la terre, les fils. Il y a deux mille ans l’amour est venu sur la terre aux pécheurs pour pardonner à ceux pleins d’humilité pour leurs péchés, oh, et qui pourrait encore aimer autant qu’eux, autant que ceux pardonnés par Mon amour?


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Oh, ne faites loi de Mes paroles, car si Je viens et Je change chose, comme un Dieu Qui voit beau coup et toujours, et selon l’état et le changement des choses de temps en temps, d’un état à un autre, alors vous pouvez dire comme les Israélites qui M’ont repoussé pour qu’ils se vantent avec la loi de Moïse, comme si ce n’était pas Dieu, mais Moïse qui leur a donné les lois, mais la plus haute loi c’est l’amour, c’est le prochain, c’est Dieu, Celui Qui demande que tu travailles pour Lui avec fidélité, et pas pour toi, mais pour Lui et pour Son amour envers toi, s’Il travaille avec toi pour Lui et pour toi.


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Oh, les fils, J’ai eu encore du travail ensuite, car J’ai dû continuer de prouver Ma divinité et la vérité que Je suis le Fils du Père, et Je suis resté encore sur la terre, en travaillant avec toute la force donné du Père, et J’ai mis Mes disciples au travail pour continuer, et Je leur ai laissé Mon être sous le mystère du pain et du vin, mystère caché depuis toujours et inconnu par les anges, oh, et c’est seulement après que J’ai pris place auprès de Mon Père, seulement après les avoir enrichis avec toutes les Miennes pour eux dans l’éternité, les rendant pauvres des choses passagères, qui auraient pu les empêcher d’être totalement les Miens, car tu n’es pas pauvre, homme, quand tu n’as pas de toutes choses, mais tu es vraiment pauvre devant Dieu quand tu as l’amour de Dieu en tout, avec l’âme, avec la chair et avec l’esprit et cela te suffit pour ne pas perdre Dieu, Celui Qui est ta vie sur la terre et ta vie éternelle avec Lui ensuite, car si sur la terre tu ne L’as pas pleinement et suffisamment, c’est toujours ainsi que tu vas L’avoir aussi au-delà de la vie d’ici.

Voilà, les fils, les plus pauvres sont les riches, ceux qui ont du tout, ceux qui amassent toute la vie, pour qu’ensuite ils les quittent une à une, et il ne leur en reste rien pour l’éternité, mais les riches de Dieu ont la joie avec Lui sur la terre, et dans le ciel, oh, et c’est ce mystère que J’ai appris à Mes disciples, et Je les ai laissés en lui, comme héritiers du royaume des cieux dès leur vie sur la terre, et ensuite J’ai pris place sur le trône de la gloire du Père, à Sa droite et Je passe le temps avec ceux pauvres sur la terre, car ils M’ont Moi et Je leur suffis, et c’est cela le mystère de ceux qui viennent après Moi par le renoncement à soi et avec croix sainte, avec vie sainte comme la Mienne, en considérant comme mort tout ce qui pourrait les arracher d’auprès de Moi et de leur vie éternelle, qui ne s’enrichit pas comme l’homme sur la terre, mais elle est autrement, elle s’enrichit avec les choses éternelles, car là où il y a le cœur de l’homme, là-bas il y a aussi son trésor et sa vie, tel qu’il est écrit.


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Ceux du peuple de cette parole qui ont bien préparé leur vie et foi et l’accomplissement de Ma parole de préparation pour ceux qui seront à la fin le peuple, celui resté auprès de Moi et de vous, ceux-là pourront venir pour recevoir en cadeau Mon livre avec Virginie, et prendre part à la fête du dimanche de tous les Saints, le dimanche où on fait mémoire de la naissance de Ma trompette sur la terre d’il y a cent ans, et vous allez vous tenir devant Moi avec toute la préparation de la fête et nous allons travailler en toute beauté cette fête, qui demande humilité sainte, semblable à celle des saints qui siègeront en ce jour-là ici, car ceux du ciel se tiennent tout frémissant lorsque Je viens avec eux dans la cité et ils voient Ma secrète œuvre que Je porte avec vous sur la terre, oh, et ils s’inclinent ceux du ciel devant Mon travail avec vous, Mes fils, et voilà, c’est tout aussi qu’ils devraient être et se tenir ceux qui ont l’occasion de prendre part de temps en temps à Ma table céleste ici avec vous, ils devraient s’incliner timidement, même s’ils ne voient pas la grandeur de ce lieu choisi par Dieu pour Sa gloire en ce temps.


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Demandez donc, Mes fils, demandez des forces du ciel pour vous, demandez les saints et les anges pour travailler avec vous, oh, car la mort n’existe pas entre ceux du ciel et ils sont vivants tous les saints, et vous ne parlez pas avec les morts lorsque Je viens avec les saints en parole entre vous, et c’est le ciel qui parle avec vous, c’est le Seigneur Qui parle et les saints parlent car il est écrit dans les Ecritures de Ma venue et elles en disent: «Voici le Seigneur avec Ses saints myriades».

Voilà, Je viens avec les saints chez vous et voilà s’unir chez vous le ciel et la terre pour Mes œuvres avec vous, car c’est sous le mystère qu’il est écrit dans les Ecritures de ce qui est maintenant à travailler du ciel sur la terre, et Je viens Moi avec le travail de l’accomplissement, les fils, oh, c’est Moi Qui vient et c’est Moi Qui fait, puisque c’est Moi le Créateur de toutes les choses, celles écrites et celles pas encore écrites, et Je viens les accomplir et les renouveler, car il est écrit: «Nous faisons toutes choses nouvelles», et c’est de nouveau que Nous les faisons si c’est ainsi qu’il est écrit.

Oh, Dieu a beaucoup de travail, mais il doit être accompli, vous devez croire et avoir confiance en Moi, pas en vous. Vous devez seulement être et croire, les fils, travailler tout le temps et maintenir tout près le Seigneur, les saints et les anges, et mettre au travail ceux peu nombreux que Nous avons, et ceux qui se tiennent auprès de vous, oh, et c’est ainsi qu’elles s’accomplissent toutes les choses du Seigneur, par ceux peu nombreux et faibles, pas par ceux nombreux et grands et forts, car ceux-là n’appartiennent pas au Seigneur, mais ils appartiennent à ce siècle qui passe en même temps qu’eux, car c’est ainsi qu’ils passent ceux sans Dieu pour leur vie et pour les pas de leur vie.


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Qu’ils fassent attention ceux de la terre, qu’ils sont appelés de Dieu ceux de partout à faire bien attention et ne pas barrer la voie de Ma marche et de Mon livre de témoignage de ce temps de cent ans de la préparation et de Mon action d’annoncer à son de trompe au-dessus de la terre, par les vases porteurs de Dieu! Que personne n’ose pas affronter Dieu, car elle est vraie Ma venue en parole au-dessus de la terre, ce ne sont pas d’histoires! Ce n’est pas conversation avec les morts, ce n’est pas d’égarement. C’est le temps de la gloire de Ma deuxième venue d’auprès du Père aux hommes, et Je veux embrasser dans l’amour de Ma parole tous les hommes de la terre, et Je veux que tous les hommes sachent Mon secret avec Mon pays d’aujourd’hui, avec Ma Roumanie, où J’ai mis Ma tente de venue et peuple d’accueil, et rivière de parole au-dessus des multitudes, l’eau vive pour en boire et en ressusciter toute la créature, car c’est ainsi qu’il est écrit pour s’accomplir, et ensuite le siècle nouveau, et le bonheur destiné à ceux qui croient et qui croiront et vont adorer Dieu à pleine cœur et foi, car c’est cela que l’homme donne à Dieu pour sa résurrection, tel qu’il est écrit sur le mystère de la résurrection, et ensuite de la vue découverte de l’œuvre de Dieu et Sa grande gloire ensuite.

Va, donc, Jérusalem, va, Mon peuple, va en travaillant avec ton Seigneur Dieu le siècle qui vient et qui demeure, et dans une semaine Je serai avec toi dans la cité, avec la fête de la Pentecôte et avec toute la belle préparation du jour de la rencontre et du festin saint après encore sept jours, tel que Moi, le Seigneur, J’ai prononcé et J’ai fixé cette fête dans la cité, oh, les fils. Amen, amen, amen.


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Oh, les fils, les fils, table de noces est Ma table avec vous, et il faut qu’ils aient vêtement de noce ceux qui y prennent place. Quel vêtement de noce? Voilà, par l’obéissance, les fils. Il faut que le chrétien obéisse à Ma parole de préparation pour un peuple qui, voilà, il M’accueille quand Je viens à table de parole.

Maintenant, Nous disons à ceux qui voient dans Ma parole le mystère du vêtement de noce, Nous leur disons que ce vêtement est pour un peuple qui se tient devant Moi pour recevoir et distribuer Ma parole, et cette préparation ne l’ont pas choisie pleinement ceux qui désirent eux aussi être auprès de vous de temps en temps, mais ils sont arrêtés à une douane ou deux, car voilà, ils ne se donnent pas tous la peine d’accomplir toute la préparation demandée pour cette table, les fils. Oh, J’ai toujours eu mal car il n’a pas voulu le peuple qui M’a connu dans cette parole, il n’a pas voulu se donner entièrement au Seigneur et avoir ainsi grand peuple maintenant, car voilà, quand le chrétien frappe à la porte pour venir à Ma table d’ici avec vous, oh, il ne se prépare et il n’est pas préparé et il ne se rend pas compte de ce qu’il Me demande alors qu’il frappe pour venir à cette table de parole placée entre Moi et vous, et Moi Je dois retarder les accomplissements qui frappent à la porte eux aussi pour entrer, et voilà, J’aurais une prière pour tous ceux qui connaissent bien le mystère et la place de cette parole découlée du ciel, et Je leur demanderais de chercher de bien pénétrer le mystère du vêtement de noce pour cette table, oh, car c’est pas de blague la présence auprès du Seigneur, du trône de Sa parole d’ici.

Oh, chrétien, Je ne peux agir sans toi pour toi, si tu ne peux agir pour Moi. Le diable se tient contre Moi de l’intérieur de l’homme, car s’il le faisait de l’extérieur de l’homme, Je pourrais Moi, pour celui qui veut être avec Moi, mais lorsque l’homme ne Me permet pas d’agir pour lui de son intérieur, car il a sa propre volonté, alors ce n’est pas Moi le maître de l’homme, mais Mon adversaire l’est, c’est le diable, celui qui a pris l’homme dans ses volontés, et voilà, les chrétiens s’arrêtent à une douane ou deux et ils ne peuvent se diriger vers la sainteté à cause de l’amour du péché et de la désobéissance par le péché, et le péché signifie désobéissance envers Dieu.

Vous, les fils de la cité de Ma parole, vous souffrez pour ceux qui ne peuvent accomplir ce que l’on demande pour cette table de Ma parole. J’en ai mal Moi aussi, et le temps du dehors pèse sur le chrétien, et les chrétiens sont dans le monde, les fils, et ils sont abattus du dehors et de leur intérieur par l’esprit du monde, oh, et Je ne peux croître Mon peuple, Je ne le peux, les fils, puisqu’il est venu le paganisme sur la terre sur les hommes, il est venu aussi dans Mon pays d’aujourd’hui, dans Mon pays roumain et ils se sont pervertis tous, hommes , femmes, enfants, ils se sont tous pervertis en ce qui concerne la conduite, la tenue, la nourriture, les habitudes, la foi, les fils. Oh, J’ai tenu de beau et cher le costume du peuple Israël de jadis, mais il a gâté le peuple ce costume agréable au Seigneur, oh, et tous les hommes se perdent à cause de l’orgueil et ils ne se cachent plus avec leurs fautes, et voilà, des douanes pour les défunts, des douanes et encore de douanes auxquelles ils restent aussi ceux vivants sur la terre, et la préparation sainte, oh, à qui pourrais-Je encore la faire, pour Me former un troupeau doux et beau selon la parole, selon la tenue, selon l’amour saint pour Dieu?

Je vous ai vous, c’est seulement vous que J’ai encore, les fils, et Je vous garde les Miens ici, et les chrétiens souhaitaient être de temps en temps près de vous, mais tout aussi non préparés pour le Seigneur comme ils le sont, oh, et ce n’est pas possible, elle n’est pas possible la vie avec du service à deux maîtres, mais y a-t-il encore quelqu’un à croire cette vérité?

Je Me réjouis maintenant de vous avec ceux du ciel, Nous Nous réjouissons de cette grande et chère fête, oh, les fils! Il y a ici chez vous pour voir Mon travail avec vous, il y a quelques chrétiens venus pour la première fois, et peut-être pour la dernière fois, du moment qu’ils ne peuvent ou ne veulent pénétrer suffisamment le mystère de ce lieu et l’œuvre de la foi, qu’ils doivent prouver en fait ceux qui veulent faire part de Mon troupeau, mis de côté pour Ma gloire, pour le salut d’une multitude, oh, les fils.

Je souhaite à ceux qui ont fraîchement pris connaissance de Mon travail avec vous, Je leur souhaite un cœur plein d’amour saint, avec lequel ils puissent vaincre tout ennemi placé entre eux et Moi, oh, car il n’y a pas de temps plus beau et plus doux que le temps du chrétien qui accomplit ce qu’il faut, pour faire parti du peuple, mis à part pour Ma gloire, mais le temps du dehors est si mélangé, et il retient en lui ceux qui croient au mystère de Mon œuvre avec vous, et cet esclavage prouve qu’ils sont adeptes des ténèbres de ce siècle passager, duquel c’est difficilement de pouvoir sortir pour celui qui voudrait sortir du noir à la lumière.

Moi, le Seigneur, Je Me réjouis avec vous et de vous avec des jours de noce céleste, oh, les fils, car c’est seulement vous que J’ai encore pour de vrai. Musique, danse et bonne disposition, c’est ainsi à la noce et Nous Nous réjouissons maintenant avec vous ici, et Nous vous regardons enchantés, les fils.

Les chrétiens qui connaissent l’œuvre de Ma parole et ils n’y sont pas rangés selon l’obéissance celle d’en haut, Je les laisse à leur volonté, Je les laisse choisir ou non Dieu comme leur vie, car ils ont la parole comme guide, mais ils ont encore besoin de la crainte de Dieu, et plus que tout de l’amour, oh, les fils, car l’amour guérit l’homme de péché, lui seulement, oh, seulement lui. Pouvoir en tout avec la volonté de Dieu, cela est une grande merveille, qui peut témoigner, les fils. Mais le temps enchante avec ses choses les chrétiens et il y en a beaucoup d’entre eux qui se sont soumis au temps, et ils Me font pleurer en les regardant à quel point ils ont emprunté des choses du temps actuel, car s’il y a quelque temps Je disais: «Oh, chrétien, ne portes pas de montre-bracelet pour ressembler au monde, et que Dieu ne puisse plus te reconnaître entre ceux du monde», oh, mais maintenant est-ce que Je peux dire encore quelque chose de la sorte, pour la non ressemblance avec le monde de celui qui sait de Ma parole, avec laquelle Je Me tiens tout le temps sur la terre entre les chrétiens et entre les hommes, pour Me faire des fils et les donner au Père, bien élevés par Ma parole de Pasteur?

Oh, chrétien, tes ressemblances avec le monde t’ont éloigné de la face de ta ressemblance avec Dieu et avec tes ancêtres, et Ma nostalgie de toi prouve que tu es loin de Dieu. Et voilà Mon appel: Reviens au premier amour, au jour où tu as connu Ma parole, et tu t’es bâti par elle et tu es venu pour être le Mien ensuite, mais voilà, maintenant tu baisses et tu baisses toujours par des habitudes étrangères à la gloire du Seigneur avec toi, chrétien, Mon enfant, au temps jadis le Mien.


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Oh, fils chrétiens, pour qu’on puisse dire de toi que tu as la foi totale dans Ma parole, tu ne le peux que si tu l’écoutes et l’accomplis exactement, comme ta vie de jour par jour, comme obéissance par la foi. Mais si tu n’accomplis pas beaucoup de ce que tu as entendu de Moi pour ton entière présence devant Moi, oh, comment peux-tu avoir du pouvoir, comment peux-tu vaincre, te vaincre, comment, car voilà, tu ne peux te vaincre toi, pour Mon amour ? Oh, tu ne le peux, car tu as besoin d’amour pour Moi, et pas pour toi, l’amour tu ne peux l’avoir que si c’est Moi ton amour, Moi, pas toi, oh, et tu ne le sais pas, tu ne comprends pas cela, et le temps passe, et tu ne comprends pas qu’Il est grand le Seigneur dans Sa cité, dans Sa montagne sainte, pour la joie de la terre entière, comme il est écrit du lieu où est le Seigneur.


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Oh, Mon fils, Je t’apprends la joie de la résurrection de chaque jour, de chaque nuit qui passe, et de son matin. Tout matin est une résurrection pour toi. Si un homme ressuscité pouvait te parler du bonheur qu’il a pour sa résurrection, c’est seulement ainsi que tu pourrais comprendre toi aussi le bonheur de ta résurrection de chaque matin, quand tu te lèves en même temps que l’arrivée du jour et tu te mets au travail du jour, à la vie, oh, chrétien, au réveil à la vie, pour remercier à ton Seigneur pour encore un jour de vie.

Oh, qu’il est beau le printemps lorsque tout prend de nouveau vie, sang pour la vie et résurrection à la vie! Oh, comment est-il possible que l’homme ne puisse pas comprendre la vie et la résurrection afin de se réjouir chaque jour de sa résurrection, toutes les fois qu’il rencontre encore et encore la lumière du jour, en se levant comme un ressuscité? Moi, le Seigneur, J’offre à l’homme des jours pour qu’il ait et qu’il bâtisse sa vie, ayant fortune dans le ciel ensuite, pour s’y diriger, oh, et c’est seulement pour cette fortune dans le ciel que l’homme devrait travailler sur la terre, car l’éternité est sans fin, et l’homme a besoin de fortune là-bas. Mais il amasse jour par jour éternelle punition non pas éternelle résurrection, mais qui lui parlera du mystère de la résurrection, pour qu’il travaille pour lui la vie éternelle, la vie avec Dieu dans l’éternité, car malheur à ceux sans Dieu au-delà de cette vie sur la terre!


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Mais Je viens avec les saints et Je Me donne la peine avec eux de M’élever par parole accomplie une poigné de peuple qui M’obéisse, qui prenne de Ma nature et qui en travaille, afin qu’il puisse être le Mien celui qui accomplit Ma

vie en lui, car le Père a dit à ceux qui essayaient d’être les Miens: «Celui–ci est Mon Fils, obéissez-Lui».

J’ai près de Moi les deux avec lesquels Je Me porte entre le ciel et la terre Moïse et Elie, les deux doux et humbles de cœur et d’action pour Dieu, puisque Dieu a une autre manière de mesurer, par rapport à celle utilisée de l’homme pour mesurer selon la raison. Et voilà, parle toi maintenant, toi, celui fêté en ce jour, toi qui as eu et qui as de Ma nature pour ton œuvre, et qu’il soit béni ton parler avec le peuple de Ma parole, et par lui avec tous ceux de la terre, car tu as du Père l’œuvre du retour de l’homme vers les pères, vers Dieu, et du retour de Dieu vers les hommes, et voilà, Je te mets, Moi, le Seigneur, maître en ce jour, par le livre de Ma parole, dans lequel Je M’inscris depuis presque soixante-dix ans, et avec lequel Je Me porte maintenant au-dessus de la terre, car il vient le renouvellement et Je le presse pour venir, et il vient.

— Oh, Seigneur, J’ai ardemment désiré de Toi, seulement de Toi, et je l’ai aussi appris à ceux que j’ai amenés à Toi, pour qu’ils se tiennent avec Toi avec leur vie, dès leur existence sur la terre, et ensuite toujours avec Toi dans l’éternité!

Il faut de l’humilité et de la douceur, oh, fils du Christ la Parole. Observez-vous et laissez-vous observés et mis à l’épreuve pour ces qualités saintes de fils de Dieu. Ceux qui ont de l’humilité sont ceux qui se sentent les plus pécheurs, les plus indignes devant Dieu et les hommes, et c’est pour cela qu’ils sont humbles face à tous en tout temps et circonstance, et ils les ont dans leurs cœurs comme des saints, et un tel homme se voit lui seul comme pécheur, oh, et il n’oserait pas de penser qu’il y a en a aussi d’autres pécheurs, car voilà, le publicain plaignait ses péchés car il était publicain, et le pharisien le voyait pécheur, parce-que celui qui aime le péché voit tous les autres pécheurs tout comme lui, et il ne se fait pas de problèmes pour ses péchés, et voilà, encore une explication de la nature et l’œuvre des hommes et de leur raison, par lesquels ils voient comme pécheurs beaucoup d’autres, et cela parce-que l’homme, à cause du péché de son corps, il voit tous tel qu’il l’est, et il se tient tranquille, en pensant que ce n’est pas lui le seul pécheur.

Voilà donc, le Seigneur ne peut juger tous de la même manière, comme ils désireraient ceux qui aiment le péché. Le Seigneur juge selon le cœur de l’homme, pas selon ses impuissances, pas selon ce que l’homme croit d’un autre homme. Donc, lorsqu’on voit quelqu’un jeter de mauvais propos adressés à l’homme qu’il voit pécheur, celui–là le fait avec les idées qui vivent en lui et dans l’œuvre de sa raison, et il voit tous des pécheurs tout comme lui. C’est pourquoi, toi, homme, soit que tu es propre par rapport à l’œuvre du péché, soit que tu es faible ou bien aimant de péché, oh, ne te dépêche pas de penser et de parler ensuite, car voilà, si tu ne te vois point toi-même, d’autant plus tu ne peux voir un autre, sur lequel tu jettes des injures afin de le diffamer et qu’il soit diffamé par ceux qui se tiennent comme toi des juges, car, fais attention à ce que je te dis, tu t’attires fort honteux payement, parce-que c’est cela ce que tu cherches quand tu pratiques l’outrage. Mais moi, je t’exhorte d’auprès de mon Seigneur Jésus-Christ, humilie-toi tout le temps, humilie-toi beaucoup, beaucoup, car voilà, tu n’as pas d’humilité, tu n’en as pas. Le Seigneur est doux et humble de cœur, Ses saints le sont de même, et c’est pour cela que nous ne nous dépêchons pas de juger l’homme, mais tu n’es pas ainsi toi, c’est pourquoi tu soumets au jugement ton prochain.

Oh, que fais-tu sans humilité, sans douceur, que fais-tu, homme dépourvu de la nature du Christ par ta nature? Il y a beaucoup qui ont l’Esprit du Seigneur, l’Esprit doux et humble, et ceux–là voient comme des saints leurs prochains, et eux-mêmes ils se voient comme les seuls pécheurs. Comment se fait-il que tu n’apprends pas de Dieu et de ceux qui ont de Dieu? Toi, tu es homme pécheur et tu as besoin de pardon et tu ne travailles pas celles favorables à la rémission de tes péchés par Dieu.

Quand tu es mal à ton aise et n’es pas en bonne paix avec ceux de la terre à tout moment, oh, tu ne peux l’être avec Dieu, non plus, d’aucune manière, le Seigneur ne te connaît pas comme un de Sa part, ni l’œuvre de ton âme ne peut arriver devant Dieu, puisque le Seigneur signifie amour et paix, douceur et humilité Il l’est, et Celui Qui travaille fidélité et sagesse des choses saintes c’est le Seigneur, oh, et Il est la Vérité le Seigneur. Mais l’homme n’est pas vrai. L’homme est menteur et il se cache avec la vérité sur lui, mais le Seigneur le connaît avec tout ce qu’il signifie, l’homme et ses faits.

Oh, tu ne peux dire, homme, que tu t’égares parce-que l’autre n’est pas compatible, et accuser ensuite pour toi un autre, expliquant ta faiblesse possible par l’égarement. L’humilité n’est pas humilité n’importe comment, quand tu essaies travailler pour toi l’humilité. J’ai été enlevé au ciel en chair de feu pour mon humilité, pour ma vie portée en humilité. Il faut que tu sois léger à porter par le cœur de tes prochains, pas du tout lourd pour eux et aimant l’obscurité entre toi et eux, car le mensonge pour se cacher signifie ténèbres. Oh, pas ainsi, pas en t’autorisant, pas par mécontentements, pas en désirant pour toi, pas en accusant d’autres pour toi, pas en te considérant digne d’être dans le vrai, dans la foi et la primauté, qualités possibles méritées par un autre maintenu plus bas par toi, si celui-là a une conduite dévouée, magnanime, soumise et humble entre les semblables.

Je veux te tourner avec ta nature vers la nature du Christ, fils indécis sur la voie. Jésus-Christ te paît et va au-devant de toi pour t’habituer de Le recevoir et Le suivre. Oh, aie pitié des pécheurs et de toi pour le retour à Dieu, Qui appelle tous vers le Père et vers l’éternité avec Lui.

C’est cela, Seigneur, ce que j’ai mis dans leur être, dans l’être de ceux qui Te suivent pour rependre au-dessus de la terre Ton œuvre avec les saints, pour que les hommes croient que Tu T’es retourné vers eux, et que Tu les veux tous les Tiens. Et maintenant ma joie je Te l’offre toute, toute à Toi, et je reste en humilité auprès de Toi, et je m’incline pour Te remercier, parce que Tu les aimes tous. Amen.

— Et Moi, le Seigneur, Je te remercie Moi aussi avec humilité pour ton humilité, qui t’a donné à Moi dès ton enfance et tu as été le Mien et tu es le Mien, et Moi le tien.


***

Mais aujourd’hui, voilà, Il soupire le Seigneur, Il soupire parce qu’il n’y a plus d’hommes saints par lesquels Il puisse témoigner de Lui devant les incrédules du temps, et je souhaite en ce jour vous exhorter, vous, ceux nourris avec tant de consolation de parole sortie de la bouche du Seigneur, et je Le prie pour grand renforcement sur vous, pour que vous soyez Sa consolation, oh, chers frères. La consolation que le Seigneur vous donne, retournez-la et consolez-Le, car vous faites grande pitié avec Lui, parce qu’Il est inconsolé le Seigneur depuis plus de sept mille ans, et nous, Ses saints, nous savons cela et nous en avons mal, et nous en souffrons, et qu’il est difficile de chercher consolation et n’en trouver nulle part sur la terre, et dans le ciel, c’est de la terre que vient le soulagement, car c’est sur la terre que le Seigneur a de travail depuis qu’Il a perdu l’homme du paradis.


***

Lorsque l’humilité vous manque, oh, les fils, rappelez-vous de votre indignité, inclinez-vous et humiliez-vous tout de suite, car sur la voie avec le Christ on vient pour s’humilier, autrement tu n’es pas sur la voie avec le Seigneur, oh, tu ne l’es pas, et n’essaie pas de te mentir tout seul, si tu ne peux t’humilier sur ta voie avec le Christ et avec les frères.

Oh, fils du peuple de Ma parole, prenez en vous Ma parole quand Je l’envoie pour qu’il travaille sur vous, car voilà, Je laisse ici parole pour vous et Je la mets sur la voie vers vous et Je vous dis, humiliez-vous pour la voie avec le Christ et soyez toujours humiliés, car Moi, le Seigneur, Je travaille pour M’élever vers le Père un peuple saint, par lequel Je puisse accomplir Mes Ecritures de la fin, et Me laisser ensuite découvert avec eux, afin que tous les peuples voient Mon mystère celui d’aujourd’hui et Mon pays de venue, et la verge avec laquelle Je pais des nations et des peuples de la terre, oh, car Je ne viens pas du ciel pour perdre le temps en vain, mais Je viens pour accomplir, et Je viens ensuite visiblement pour mettre sur la terre le royaume de Dieu fortifié, comme il est écrit qu’il sera ciel nouveau et terre nouvelle, et qu’elle va s’avérer toute la parole de Dieu.


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Oh, les fils, il est difficile pour l’homme qui n’a pas peur de Dieu, et il se laisse travaillé du diable, autant qu’il ne s’en rend plus compte! C’est pour cela que Je vous apprends toujours qu’il ne faut pas que l’humilité vous manque, et n’oubliez pas Mon conseil, car le chrétien découvre son manque d’humilité par sa mauvaise conduite face à face avec son prochain, et voilà, fils chrétiens, lorsqu’elle te manque l’humilité du cœur, c’est l’humilité de la conduite entre les frères qui te manque aussi, parce-que la conduite est la parole de la langue te découvrent quand tu parles désagréablement et avec partialité, quand tu n’acceptes pas un autre pour mesurer ta conduite et le jugement des choses, puisque ce n’est pas toi qui doit faire cela, oh, car il est grand l’égarement que de prendre de toi pour toi, car l’homme est partiel s’il ne se tient pas petit, pour pouvoir recevoir son frère pour soi, pour qu’il ne fasse pas son compte sur tout ce qui vient travailler l’homme, celui qui ne sais pas d’où doit venir sa création de tout le temps, vous l’entendez? la création de tout le temps de l’homme, car autrement il croit que c’est lui qui doit réaliser sa création, et s’il fait cela il tombe comme Adam, il meurt comme Adam, il se sépare de sa création et de son Créateur, tout comme Adam, qui s’est caché afin qu’on n’intervienne pas sur lui, et qu’il reste étranger de Dieu, et voilà, malheur à celui qui est son propre créateur, et il n’ouvre pas aux rayons du soleil pour venir le faire croître!

Oh, fils chrétien, si tu ne peux te laisser vaincu, écoute ce que Je te conseille: pense à ton indignité. Elle t’aidera d’être toujours incliné, humble, non irascible, quand il t’arrive de le faire, et tu seras plus expié, plus honteux, et tu trouveras l’autre meilleur que toi, plus digne, plus louable, et tu vas accepter l’intervention des autres pour diriger tes pas, car le Seigneur va te donner par eux, et Il ne va pas te laisser tomber et périr par des fautes et toujours des fautes, si seulement tu ne feras pas comme Adam pour te disculper, te cacher en toi avec ton péché et mentir en cachant ton indignité, car Moi, le Seigneur, Je t’envoie des moyens de guérison contre elle, purification, annonce de correction, à condition que ne te caches pas, en entrainant le manque de guérison et de correction, et en restant dépourvu de ta résurrection du péché, celle qui amène la punition sur toi, et il vaut mieux d’ouvrir au soleil quand il vient vers toi avec ses rayons.

Oh, fils qui connaissez le Seigneur par cette parole sainte, Je vous ai conseillé il y a peu de temps d’apprendre à parler sans faute, puisque l’homme fait trop de fautes par les paroles, les fils, et Je vous ai dit d’employer des paroles saintes, en travaillant entre vous, pas des paroles du monde, car le parler c’est maladie ou passion, ou bien don de la nature, mais le mieux c’est d’avoir parole par le don de Dieu, et vous allez vous guérir de vous-mêmes quand satan vous pousse de parler et de vous cacher avec votre vérité, celle qui vous fait mal quand vous êtes mis face à face avec vos semblables.

L’homme a la mauvaise habitude de couvrir sa faute avec la faute de l’autre, et voilà qu’il est grave le péché de l’hypocrisie, le rejet de la croix, les fils! Oh, l’homme n’échappe pas facilement à ce péché, à la peur pour laquelle il jette la coulpe à l’autre pour protéger son péché, par le refus de la correction, par la plainte, par l’esprit du jugement, et voilà, le chrétien n’échappe pas si facilement à ces ennemis de l’âme. Oh, regarde vers Moi quand une correction vient vers toi, ne regarde pas ton frère, car voilà l’ordre de la justice: premièrement Dieu, ensuite ton prochain, et seulement après toi-même, et si tu fais autrement, tu n’es pas agréable à Dieu et tu es encore le fils d’Adam, rouspéteur, peureux, accusateur, aimant de soi-même et froid envers Dieu, jusqu’à la séparation de Moi ensuite, et tu t’en vas et tu perds ta tête et tu la jettes dans la boue, dans la main du diable factieux, dans la désobéissance, tout comme le monde celui sans tête, mais avec des pieds seulement, des pieds au lieu de la tête aussi.

Oh, faites attention, les fils, car Je vous apprends d’échapper à la médisance contre le prochain. C’est seulement Dieu à connaître ton prochain, et pas toi, et celui qui médit de son prochain, celui-là n’est pas pur, il n’est pas vrai, mais il est auteur des mensonges et ennemi pour celui auquel il charge la mémoire avec sa médisance, avec la passion du parler, les fils. Oh, qu’est-ce qu’on peut gagner de celui qui médit de quelqu’un? Tu dois être comblé de l’amour de vérité pour pouvoir comprendre le mal qu’il peut te faire, celui qui médit alors qu’il vient vers toi pour raconter de lui-même ou de son prochain.

Oh, il ne peut s’égarer celui plein de foi et de fidélité, car celui–là a Dieu en lui comme sa raison et comme sa vie. Il s’égare seulement celui qui c’est cela qu’il cherche ou qu’il mérite, et il tombe ensuite du rocher de la foi et de la fidélité et il se cache de la lumière, puisqu’il est taché, il est en faute, et s’il veut encore se relever, il ne le peut.


***

C’est depuis sept mille ans que J’attends l’amour de l’homme! Il y a deux mille ans, lorsque J’étais venu après l’homme envoyé par le Père, J’ai guéri beaucoup d’hommes pour qu’ils M’aiment ensuite jusqu’à la mort, et que Je les prenne ensuite auprès de Moi, comme fruit de l’amour. Ce n’était pas seulement pour leur faire du bien que Je les guérissais, mais parce qu’il Me manquait et il Me manque l’amour de l’homme. Celui qui M’aime n’est pas celui qui cherche la guérison de ses douleurs, mais c’est celui qui souffre pour Ma souffrance venue de lui, et de l’homme et pour l’homme, et c’est celui qui reste sous la croix sans murmure, sans abandon, et voilà ce que cela signifie que l’homme M’aime Moi, Celui plein de douleur, pour avoir perdu l’homme du paradis, de Mon éternité.

Oh, paix à vous, qui M’ouvrez pour entrer dans la cité avec les saints et dans le livre en parole, fils accueillants de Dieu! Je parle au-dessus de la terre en esprit de fête sainte pour Ma mère la Vierge, tel qu’elle a été placée dans le calendrier chrétien ce jour de mémoire de la veille sainte que Ma mère la Vierge a pour le peuple chrétien de la terre, les fils. Oh, qu’il a été et qu’il est grand son amour pour Moi et pour ceux qui M’ont aimé et M’aiment sur la terre!

Oh, que d’amour, que de consolation J’ai eu et J’ai toujours de Ma mère la Vierge! Tous les hommes cherchent consolation et guérison de Dieu et c’est tout, mais ceux-ci ne M’aiment pas parce qu’ils ont l’amour d’eux-mêmes, parce que c’est ainsi qu’ils connaissent l’amour ceux qui Me cherchent pour eux, mais Moi Je cherche qu’il M’aime, qu’il Me porte l’homme, qu’il Me guérisse, qu’il désire de Moi par un saint désir.


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Personne n’aime plus la souffrance, personne ne veut porter la croix, personne, sinon Mes chrétiens, personne sinon ceux qui M’observent. Je suis le Pasteur Celui avec la croix, pour qu’il Me voie celui qui veut venir après Moi et savoir comment on va sur la voie de la vie, car autre sorte de marche abêtit l’homme et le conduit vers l’esprit de l’orgueil, l’esprit qui domine les hommes sur la terre.

Vous, les fils du peuple de Ma parole, vous devez éviter l’esprit de satan, l’esprit de l’orgueil, l’esprit qui fait sortir l’homme de l’esprit de l’obéissance à Dieu, de la soumission et de la charité, oh, les fils, et ensuite cet esprit punit l’homme, il éloigne Dieu du gouvernail de la vie de l’homme. Oh, ne restez pas sans maître, sans gouvernail sur vous.

Ne vous conduisez pas n’importe comment avec celui qui vous veille et qui observe attentivement la défense de votre vie, les faits de la vie, la conduite et l’œuvre. Oh, ne le médisez pas, les fils, ne vous fâchez pas lorsqu’il vous montre les fautes, et ne le médisez pas si vous ne l’utilisez pleinement pour l’organisation de votre conduite de chaque instant, car si vous faites cela, vous n’avez pas de guide de Dieu pour vous, pour que l’on puisse dire que vous êtes à Dieu et que vous vous êtes présentés à Dieu pour croître.


***

Je vous embrasse maintenant, les fils, en nuage de chérubins et de séraphins, le nuage duquel Je vous parle, couvert des ailes invisibles des armés d’en haut, qui Me portent. Les anges prenaient du visage pour leur envoi avec des paroles du ciel, pour être accomplies sur la terre, oh, et c’est toujours ainsi jusqu’aujourd’hui, à condition qu’il y ait quelqu’un à croire et recevoir du ciel, et ceux qui reçoivent ce sont seulement ceux préparés avec la foi par l’observation des commandements, par la crainte de Dieu, et surtout par la vie sainte, par la non consommation de viande et par la sainteté, car la viande n’aide pas la foi, et le peuple d’Israël qui n’ a pas reçu le Seigneur, il mangeait toujours de la viande et du péché, car la viande c’est du péché, et c’est pour cela que J’ai conseillé ceux qui ont bien-renoncé à l’accomplissement demandé pour avoir place à table avec le Seigneur ici, et Je leur dis maintenant cela:

Oh, ne forcez pas les portes, ne demandez pas d’être à Ma table ici si vous n’êtes pas connus de ceux d’ici comme établis dans la vie de Nouvelle Jérusalem, avec laquelle vous ne vous êtes pas accordés, vous n’avez pas lutté pour elle, vous ne vous êtes pas mis à part pour le Seigneur. J’ai toujours crié après le peuple qui a voulu s’approcher et prendre Mon conseil de la table d’ici, mais ils n’ont pas choisi de se rassembler près de Moi ceux attendus de pouvoir faire ce que le Seigneur demandait pour ceux qui veulent rester les Miens. Je crie aujourd’hui aussi après ceux qui n’ont pas pu être dans le peuple de Nouvelle Jérusalem, et Je leur dis cela:


***

Voilà ce que Je dis à tous les vivants de la terre: Toute la vie de l’homme sur la terre c’est le lieu et le temps où il doit préparer son éternité avec le Christ, où il doit accumuler pour en avoir, pour se faire place auprès du Seigneur, oh, puisque Je suis allé pour préparer le lieu, tel que là où Je suis Moi, qu’ils soient aussi ceux qui se préparent pour être les Miens ici, et dans l’éternité ensuite.

Il est grand et doux le mystère de la vie éternelle et Je suis venu en parole sur la terre pour en parler à l’homme. Les armées d’anges se tiennent en regardant la gloire de Ma parole, quand Je M’inscris avec elle sur la terre. Oh, fais de même toi aussi chrétien, tiens-toi, toi aussi, compris dans le mystère et le pouvoir de Ma parole sur toi, fais-le avec la crainte de Dieu, Qui te parle des mystères ceux pour toi et pour ton sort céleste, si tu veux avoir Mon amour de ta part pendant ta vie éternelle. Mon corps celui ressuscité est plein de grandeur. Je Me porte avec lui entre le ciel et la terre et J’ai envie que tu Me voies auprès de toi en réalité et que Nous Nous regardions quand Nous sommes à table. Oh, cherche avec désir saint cette compagnie avec Moi, car Moi, c’est avec impatience que J’attends le renouvellement de ta vue, afin que tu voies Dieu, fils chrétien. Depuis presque soixante-dix ans Je parle au-dessus de la terre, couvert des ailes des chérubins de la gloire de Dieu et des séraphins, qui cachent Mon corps et Ma marche partout.


***

La foi amène à l’accomplissement la volonté de Dieu sur la terre, Ma mère, oh, et cela n’est pas facile pour le cœur et la raison de l’homme, puisque l’homme est oublieux, et il a beaucoup à faire sur la terre, mais c’est Dieu Celui Qui peut accomplir Sa volonté entre les hommes, oh, et qu’il serait facile à l’homme de croire et de s’incliner avec sagesse et humilité, et de prendre du ciel pour lui son travail sur la terre, tout comme tu as travaillé toi, Ma mère, en obéissant et en croyant.

Oh, allons parler dans le ciel devant ceux de la terre et Nous faire entendus, afin d’aider les hommes pour la foi, Ma mère.

— Oh, mon Fils Jésus, tous ceux à raison gâtée et malade et qui se disent: «Dieu n’existe pas!», tous ceux-ci ne T’auront pas de Dieu ni après leur départ de la vie terrestre, et moi je leur dis:

Oh, s’il n’y avait pas un Créateur de toutes les choses visibles et invisibles, tu n’existerais pas toi non plus, toi, celui qui dit: «Dieu n’existe pas!» et il n’y aurait plus rien de tout ce qui existe, mais voilà, sur la terre et sous la terre, dans les eaux et dans les airs il y a de la vie, il y en a de Dieu, vie qui témoigne l’existence de Dieu, fou sans raison, tu devrais voir ta maladie et ne pas parler autre chose que de cette maladie, que seulement Dieu peut guérir, Dieu que tu diffames qu’Il n’existe pas et que tu existes, mais la plus vraie vérité que Dieu existe c’est toi, et si tu existes, Dieu existe aussi et c’est de Lui que tu as la vie.

Oh, et si beaucoup d’hommes sur la terre croient que Dieu existe, pourquoi donc, ils ne Le cherchent pas et ne Lui obéissent pas avec reconnaissance, pour Sa continuelle attention envers les choses qui sont entre la terre et le ciel pour les hommes, pour prendre soin d’eux?

Toi, homme, tu as besoin de souffrance pour ne pas oublier ton Seigneur Dieu et pécher ensuite comme Adam, qui a voulu être sans Dieu sur lui et faire sa volonté, mais c’est sa volonté qui l’a totalement perdu, oh, et c’est ainsi qu’il se passe avec tous ceux qui aiment faire leur bon vouloir sur la terre.

Vous, les hommes, vous, les fils, quand les Seigneur frappe à votre porte, quand Il vous parle maintenant par Sa parole, oh, ne prenez pas à la légère ces moments qui mettent à l’épreuve votre foi et votre fidélité, et qui observe votre conduite celle intérieure et celle extérieure. Soyez attentifs à la façon dont mon Fils travaille pour vous et sur vous, oh, et ne soyez pas comme ceux qui ne Lui ont pas permis de les observer et les corriger à temps, et s’ils ne l’ont pas voulu, c’est parce qu’ils ont choisi de rester dans leurs vouloirs malades, sans guérisseur pour eux, ils ont perdu la voie de la vie et ils sont tombés vers le péché.

Toi, homme, fils insoumis, si tu ne reçois pas le Seigneur pour tes pas, c’est parce-que tu te vois grand, tu te crois grand et capable de diriger les pas de ta vie, mais les grands sont ceux qui s’inclinent, ceux qui reçoivent pour avoir, pour pouvoir et pour savoir comment marcher. Lorsque l’homme a péché en Eden à cause du manque de veille sur lui, le Seigneur lui a dit: «Tu es glaise et tu retourneras à la glaise, et jusqu’alors la terre te produira des épines et des chardons». Oh, les fils, épines et chardons sont les péchés de l’homme, et ceux-là représentent son fruit sur la terre, et ils piquent le Seigneur pour qu’Il ne puisse pas pouvoir s’approcher, afin de l’observer de lui faire du bien, de diriger sa vie.

Oh, les fils, soyez du ciel, pas de la terre, car dans le ciel c’est Dieu Qui habite avec Son ciel d’anges et de saints, et vous serez avec Son ciel si vous aimez avoir de la veille sur vous, car la veille vous préserve du péché, et de la séparation de Dieu pour le péché, comme il c’est passé avec Adam, qui est retourné à la glaise, s’il n’avait pas aimé le ciel et la veille du ciel pour lui sur la terre.


***

Oh, fils, oh, chrétiens, accumulez à Moi l’amour de Dieu et l’esprit d’humilité et de repentir, car l’âme a besoin de vêtement, il en a besoin votre homme qui va être, il en aura besoin là-bas. L’homme est condamné par le péché commis. Cherchez que Dieu vous pardonne, Qu’Il remette vos péchés, qu’Il vous les efface, mais amassez dorénavant du bien, pour avoir une vie avec grandeur, là où commence le payement pour les choses travaillées ici.

Je parlais avec le Père sur la terre, Je parlais de la terre, et le Père parlait avec Moi du ciel et Il S’est laissé entendu à Mon Baptême dans le Jourdain, et sur la montagne ensuite, quand le Père M’a glorifié en grande lumière devant Mes disciples, oh, et Je Me consolais en parlant avec Lui, et Moi J’étais entendu par les disciples lorsque Je parlais avec le Père pour Moi et pour eux.

Oh, fils, oh, chrétiens, parlez vous aussi avec le Père, parlez vous aussi avec Moi, avec les saints, avec les anges, avec Ma mère la Vierge, parlez avec ceux du ciel, les fils. Nourrissez vos âmes, nourrissez votre homme qui va être après la vie de la chair. Faites-vous du repos soigné à temps, oh, car vous ne savez pas quand Il vient le Seigneur, et qu’allez-vous faire si l’âme n’a pas de biens pour se tenir devant le Seigneur, avec des richesses, avec du vêtement, et pas nu?


***

Il faut qu’ils se tiennent en grande humilité ceux qui ont de Toi le don de la foi, oh, Seigneur. Le manque d’humilité rend souvent incapables ceux qui croient en Toi et Te suivent sur la voie, mais si l’humilité ne brille pas dans leur conduite et elle n’est pas en œuvre pour l’humilité du cœur des autres, oh, il n’y a pas de fruit pour Toi, pour que Tu aies quoi réunir auprès de Toi, Seigneur, et pour avoir avec qui porter Ta croix et Ta venue, et voilà, maintenant aussi Tu as peu, très peu de ceux avec qui T’aider et soutenir Ta marche et son fruit ensuite, et faire grandir nouveau plant. Gloire à Ta longue patience, tout comme au temps de Ta croix, gloire à Toi, Seigneur, gloire à Toi! Mon amour Te porte aujourd’hui aussi, et il fait des miracles, car je voyage, et cela est prouvé par des signes merveilleux, qui aident beaucoup d’hommes dans leur foi.


***

Oh, J’ai fait conseil avec vous, les fils. Chaque fois que Je M’annonce pour montrer Ma gloire sur vous, Je dois ensuite faire conseil avec vous, que Nous observions tout et que Nous travaillions en bonne et entière raison en tout, les fils, et c’est pour cela qu’il faut toujours qu’on travaille seulement avec gouvernail. Oh, Pourquoi Je viens, pourquoi Je vous apprends de tout et toujours? Vous avez besoin d’humilité et grande humilité et du sens saint et grand, que vous ne devez pas considérer comme venir de vous, mais c’est de Moi que vous devez prendre du savoir et ensuite du travail, si c’est Moi Qui Me tiens entre vous pour diriger Ma présence et Ma marche avec vous.

Oh, les fils, Je vous apprends de faire attention aux paroles prononcées, car la parole prononcée est douée de grande force, tel que l’homme ne peut comprendre. Je vous apprends de vous procurer beaucoup de paix et d’harmonie des uns aux autres, parce-que celles-ci vous aident à faire la paix et l’harmonie entre vous, car c’est d’elles-mêmes qu’elles sortent, pour qu’on voit leur fruit ensuite.

Je vous conseille, les fils, de recevoir aimablement toute parole, toute demande que vous devez accomplir, car vous devez être des fils obéissants, et sans repos pour l’obéissance, la stature et l’œuvre, oh, car c’est cela que signifie votre nom d’église des non endormis, et ce n’est pas autrement que signifie ce nom. L’obéissance travaille le dévouement par le renoncement à soi quand on vous demande cela, quand on vous le demande, non quand et comment vous voulez vous offrir.

Oh, vous ne vous accordez pas les uns avec les autres dans tout ce qu’il y a à travailler et à obéir, c’est pourquoi vous ne devez pas prendre de vous-mêmes, les fils, car les dons et ceux qui doivent les portés c’est Moi que J’administre, c’est Moi, ne l’oubliez pas, car vous ne devez pas prendre tous seuls, selon, votre désir, ce que vous prenez pour porter.

Je vous regarde, et c’est ainsi que Je vous guide. Je vous regarde, et c’est ainsi que Je vous partage, pas autrement, à conditions qu’on Me laisse d’être Pasteur, et que Je vous partage le travail et la nourriture et le pouvoir pour Moi, les fils, oh, car beaucoup de ceux qui s’approchent pour se tenir auprès de vous, ils ne savent pas se renoncer avec contentement, avec humilité et soumission, et voilà, on a besoin d’enseignement saint pour tous, s’ils ne veulent détruire la paix et l’harmonie celles de Moi avec vous. Qu’ils vous aiment ou non, il faut comprendre le travail veillé et dirigé du Ciel, et vous ne devez pas prendre et travailler de la terre, car c’est Moi Celui Qui vous donne à travailler pour Ma gloire, et que vous vous teniez à genoux seulement devant Moi, pas devant les hommes, oh, non, les fils, gardez-vous des hommes, et comprenez ce que Je vous dis, et celui qui ne comprend pas, que celui-là apprenne, pour qu’il puisse comprendre.


***

L’homme aime grandir parce qu’il n’aime pas être enfant, rester enfant, avoir des parents, avoir quelqu’un qui le fasse et le conseille, qui lui conduise les pas et la pensée, et l’action, et le sentiment, et la foi, et toutes les choses de son intérieur, pour qu’il puisse exister en lui le royaume des enfants, le royaume de Dieu, Celui d’en haut et impérissable, comme Dieu. David était mis de Dieu comme empereur sur son peuple, mais il avait Dieu comme parent et il disait: «Seigneur, purifie-moi de mes choses cachées et préserve-moi du mal venu d’elles, des péchés qui naissent par les choses cachées en moi». Oh, il donnait au Seigneur de la place en lui, il ne se taisait pas en lui, sans possibilité de savoir, et quand il péchait, il se découvrait pour la guérison, et il pleurait comme un enfant qui demande de l’aide.

C’est le mystère et l’œuvre d’enfant que Je mets comme enseignement sur Ma table d’aujourd’hui, puisqu’il est difficile à l’homme de s’habituer avec le Royaume de Dieu en lui, Mes fils ! Si l’homme Me regardait mieux et plus longtemps, il pourrait si facilement comprendre ce mystère de la vie éternelle, le mystère du royaume de Dieu dans l’homme. A quoi bon pour l’homme s’il n’a pas voulu le royaume de Dieu en lui? A quoi bon pour Adam s’il n’est pas resté l’enfant de Celui qui l’a bâti de la glaise et a mis en lui le ciel, qu’Adam a démoli ensuite?

Etre enfant, signifie être grand par l’obéissance. Etre obéissant signifie être enfant toujours petit. Voilà, il ne peut ainsi l’homme, il ne le peut même dès son début sur la terre.


***

C’est Moi, les fils, c’est Moi Celui Qui met la foi dans l’homme, et si l’homme ne garde pas sa fidélité et son inclination devant Ma parole accomplie en lui, c’est Moi Celui Qui enlève le don de la foi, oh, et il reste sans raison, plus qu’auparavant, avant Ma pitié pour lui avant que Je frappe à sa porte afin de l’appeler pour celles qui viennent du ciel avec Moi sur la terre en ce temps, quand Dieu travaille ciel nouveau et terre nouvelle et leur découverte ensuite à la vue, pour ceux qui croient à l’arrivée de cette Ecriture accomplie, tel qu’il est écrit.

Maintenant Je vous dis paix à vous, les fils, à vous, et à ceux qui Me prennent de vous pour nourriture d’en haut, afin qu’ils Me suivent eux aussi avec renoncement à soi, car là où il n’y a pas de renoncement à soi, Il ne peut agir le Seigneur avec Sa venue de ce temps!


***

Oh, fils chrétiens, oh, fils chrétiens, l’homme a perdu le paradis. Il n’a pas obéi l’homme à la loi du paradis. Le jeûne et la prière, c’est cela que signifie la loi du paradis. Oh, les fils, obéissez à la loi chrétienne, car elle est rompue du paradis. Adam pleure pour tout le genre humain, il pleure avec douleur sans consolation et il crie d’auprès de Moi en ce jour de dimanche, nommé par les chrétiens le dimanche de l’expulsion d’Adam du paradis, et en même temps avec lui de tout le genre humain ensuite, mais il crie maintenant et il dit: Il vient le Seigneur à toi, peuple chrétien! Ouvre-Lui pour croire en Sa parole, et tu seras le sauveur du genre humain, en commençant de toi et jusqu’à moi, et il te remerciera pour ta foi, celle de la fin de temps, avec laquelle tu amènes le Seigneur sur la terre. Amen.

Oh, le Père M’a envoyé sur la terre, pour consoler les pleurs d’Adam, pour aller dans la demeure des morts et libérer ceux rendus esclaves, et afin d’apporter la résurrection pour beaucoup d’hommes, en même temps que la Mienne. J’ai laissé ensuite ordre saint par Mon église, celle de deux mille ans, et Je l’ai toujours enrichie par les saints pères, pour que l’on fasse par l’église des prières et des jeûnes pour ceux qui ne sont plus sur la terre et pour ceux qui continuent de partir, pour qu’ils aient le salut et la vie éternelle, par l’appel de la terre pour eux jusqu’aujourd’hui, et voilà qu’elle est grande la liaison entre le ciel et la terre pour l’œuvre de salut de l’homme! Et Moi, le Seigneur, Je protège le travail pour le ciel et Je Me tiens au milieu pour Mon troupeau, et satan ne peut vaincre Dieu, et ce sera lui le vaincu, lui, et tous ses serviteurs, les siens et ceux de son mensonge, car il est le père du mensonge, et c’est pour cela qu’il tombera, comme il est écrit.

Et toi, peuple chrétien, tu as devoir de connaître et d’éviter la voie du monde, la voie du satan et toutes ses graisses, et te fortifier dans le lieu maintenu propre pour toi et pour les tiens, car c’est le temps que tu sois sage et toujours plus sage en ce temps ennemi envers toi et envers Moi, mais Moi, le Seigneur, Je Me tiens au gouvernail et Je te conseille avec parole, à condition que tu aies la volonté de Me croire et de Me laisser devant pour toi, car Je suis le Seigneur, oh, fils chrétien.

Maintenant Je veux prononcer parole de paix sur les peuples, sur les lieux de guerre entre les peuples, et Je dis:

Paix à vous, maîtres des peuples, et à vous, peuples sous domination! Moi, le Seigneur, J’envoie Mes anges et Je les affermis contre vos œuvres, car vos projets ne ressemblent pas aux Miens. Voilà donc, Moi, le Seigneur, Je veille sur ceux qui cherchent la paix et pour ceux qui comptent sur Dieu. C’est Moi Qui travaille, Moi, plus que les hommes le font, et Je leur dis du ciel: paix à vous, et que toute guerre finisse avec la paix!

La paix vient de Dieu, pas des hommes, et à vous, à ceux qui incitez à la guerre, plus de paix à vous, plus fort appel pour vous, et inclinez-vous à Ma parole, car c’est du ciel que Je l’envoie vers vous et Je dis: Paix à vous! Vous l’entendez? Oh, inclinez-vous et apprenez de Moi à travailler l’amour, puisque l’amour est de Dieu, il est du ciel.

Le Dieu de l’amour dit à ceux qui soulèvent à la guerre: paix à vous, paix à vous, paix à vous, quant à eux, qu’ils entendent tout de suite ce que le Seigneur leur dit. Amen, amen, amen.


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Il est venu le temps celui écrit dans les Ecriture pour venir, oh, et personne ne sera connu du Christ, que par ce signe, la sainteté et le payement des saints, Moi, le Seigneur, la Pâque des fils de Dieu, Mon peuple celui uni à Moi, et avec Ma croix sur son front, et il va comprendre le genre humain toujours plus clairement que l’homme ne peut être n’importe comment chrétien, mais seulement par la sainteté, car le Seigneur Se donne aux saints, comme il est écrit.

Voilà le temps où tous ceux qui aiment le Seigneur doivent se sanctifier pour Lui, et celui qui ne veut, il ne le veut pas. Il y en a encore de vrais prêtres sur la terre, il y en a de ceux non atteins de l’antéchrist, peu, peu nombreux, mais il y en a encore, mais ceux-là ils le sont en secret, et ils se montreront au temps convenable, le temps de la gloire qui vient et découvre les grâces pour les élus, et qui attendent leur salut en sortant du milieu des fils du monde et en se gardant pour le Christ et seulement pour Lui. Ceux qui ne sortent pas du monde restent de hors, et elle est grande et longue la guerre pour la capture de ceux qui restent dehors, sans la protection, dont ils ont renoncé d’eux-mêmes.

Voilà donc, il est venu le temps de la question et celui de la réponse, et beaucoup de pasteurs resteront muets et sans fruit devant Moi, parce-que les signes de l’antéchrist seront visibles sur leur visages, pour leur honte, pour laquelle ils se sont couverts si long temps, afin qu’on ne sache pas à qui servent-ils sous le vêtement de pasteurs. Et les fils de Dieu sauteront comme les petits enfants et ils vont témoigner la joie qu’ils M’ont aimé et ils M’ont reçu pour les paître et les mettre de côté, sous Ma protection contre le mauvais temps, temps si noir et froid pour l’âme de l’homme, le temps de l’antéchrist, qui a tout pris sous sa domination, et qui maintenant voit sa fin.


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Oh, quelles grandes merveilles Dieu fait-Il par ceux qui sortent du monde et ils M’accordent tout leur amour! Il n’y a pas d’homme plus heureux, plus brillant que celui qui aime Dieu avec son cœur et les faits de sa sainteté, oh, les fils. Voilà, il n’y a pas d’hommes heureux sur al terre, car ils ne savent pas le secret de leur bonheur. Ils ne sont pas heureux ni les riches ni las pauvres, personne n’est heureux s’il ne vit pas avec Dieu sur la terre. Les voilà ceux de Ma Roumanie, ils vont dans des pays lointains pour gagner de l’argent. Oh, toi, homme, que faire avec l’argent? Tu n’as pas besoin d’argent, mais tu ne veux croire, même si c’est Dieu Qui le dit. Oh, ne cherche pas l’argent, car tu ne sais pas que faire de lui, pour qu’il ne devienne ton péché et la perte de ton âme. Tu ne peux gagner avec de l’argent ta vie éternelle auprès de Dieu. Oh, ni ta vie celle sur la terre tu ne peux la tromper avec de l’argent pour l’avoir. Voilà ce que Je t’apprends: fuis l’avidité, fuis mamon, fuis le plus vite, car ce diable, mamon, qui a beaucoup de colle, qui reste sur tes mains et sur ton âme autant que tu ne t’en laves.


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J’ai appris à tous qui ont pris la parole de la vie éternelle de Ma table d’ici, et Je leur ai toujours dit: «Les fils, les fils, ne portez pas ce que le monde porte, n’employez pas ce que le monde emploie, ne cherchez pas de ressembler au monde, oh, les fils, pour que Dieu puisse vous reconnaître entre les fils du monde, puisque le visage du monde est laid, il est noir des péchés, il est empoisonné du mauvais mélange, et il te salit tant que tu ne t’y attends pas, il te sépare de Dieu peu à peu sans que tu t’y attends» c’est pourquoi on a besoin de foi dans Ma parole et il faut de l’obéissance pour être heureux, car autrement ils ne poussent pas les fruits de la foi, mais au contraire, ils poussent les chardons à mauvaise odeur et qui produisent des péchés qui provoques des blessures, et ce n’est pas en vain que J’ai laissé dans Mon Evangile la parabole du jeune riche qui soignait sa conduite et ses pas selon les lois de Dieu, mais il avait mamon de compagnie, il avait la richesse et l’argent, sous le visage duquel les forts dominent le monde et ses hommes, et lorsque Je lui ai dit qu’il doit renoncer à ce qui le montrait avec mamon près de lui, il est devenu triste alors, il est parti, il a choisi d’être libre de sa marche avec Dieu, et J’a dû lui envoyer, Moi, la délivrance de ce diable, et que seulement après Je lui donne le droit de marcher sur la voie étroite avec les pas de sa vie.

Oh, les fils, on obtient la vie éternelle par la rémission des péchés et par la conscience de la faiblesse, car il n’y a pas d’homme digne devant Dieu, mais par le pardon de Dieu on reste ensuite Son fils, à condition que le pardon ne soit pas volé, on ne peut le payer aucunement, mais il doit être reçu par l’œuvre du cœur pur, par le renoncement à soi-même, par des regrets pour le manque d’ordre contre l’esprit de la vie d’en haut sur l’homme nouveau, et qui ne se laisse plus abattu ensuite.

Je parle avec les fils fidèles à Ma parole de ce temps et Je les exhorte vers le repentir et vers la conscience de leur faiblesse, et c’est ainsi qu’ils doivent se tenir devant Moi et se faire adeptes du Christ, car le Seigneur est aimé de ceux avec la croix, car Il a été sous la croix, et Il ne pouvait pas être autrement devant le Père, comme Fils du Père. Ceux qui ont du tout, ceux-là n’aiment pas, ils n’aiment plus le Seigneur, et on comprend pourquoi, car il est écrit que: «Là où est son trésor, là aussi est ton cœur», et le bonheur ne vient pas sur la terre, car il habite dans le ciel pour ceux qui le désirent pour eux.

On a besoin donc de parole céleste et très peu de parole terrestre, et il faut avoir œuvre céleste et encore moins d’œuvre terrestre et liée de la chair, et tout doit être bâti dans le ciel, car autrement rien n’en reste et tout se perd en même temps que l’homme et tout son épargne terrestre, pour lequel il peine trop en perdant Dieu peu à peu, car le souci pour la vie avec Dieu est autre, c’est autre chose, oh, les fils.

Je vous ai dirigés vers l’amour qui demeure, Je vous ai appris pour lui, vous, qui prenez de la source la parole de Ma bouche pour ceux qui croient en Ma venue. Voilà donc, les fils, préparez-vous pour votre beauté dans le Christ et dépêchez-vous vers elle, pour que le Seigneur voie que vous L’aimez, que vous voulez être avec Lui, tout comme elle l’a voulu Marie l’Egyptienne, celle qui aujourd’hui Me laisse à Moi seul la parole, afin qu’elle écoute Ma parole, celle pour sa fête

Oh, les fils, quittez le plus possible le souci pour la chair, car voilà, ce souci vous prend trop de la face de Dieu et vous trompe en secret, à savoir que vous avez besoin de beaucoup de choses et il vous faut de l’argent, que vous avez du travail, mais le travail pour vous seulement ne vous réunit pas avec Dieu. Oh, vous n’avez pas besoin d’argent. Vous avez besoin de Dieu, car voilà, vous avez de l’argent, mais vous n’avez plus le Seigneur.

Oh, les fils, c’est Moi qui prend soin de ceux qui se donnent à Moi avec l’amour et son action, car pour l’amour de Dieu vous avez besoin d’amour seulement, et Moi, le Seigneur, Je vous attends, Je vous attends toujours, pour voir que vous choisissez la perle fine à grand prix. Je vous regarde longuement. Je regarde longuement après vous et J’attends que vous compreniez Ma parole vers vous, tel qu’elle a compris Marie l’Egiptienne, le signe céleste, angélique, qui l’a arrêtée de la vie avec débauche, et lui a donné la pensée sainte de sortir du monde, d’entre les fils du monde et de choisir le ciel dès sa vie sur la terre, et elle n’a plus eu besoin de rien, mais seulement du pouvoir de l’amour et des anges serviteurs, qui la portaient et l’accompagnaient de la part du Seigneur, Qu’elle a tant aimé ensuite.


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L’amour de Dieu est l’ennemi de l’esprit du monde, et il n’y a pas d’homme plus heureux que celui qui a comme œuvre de sa pensée et de son cœur l’amour de Dieu et ses faits. C’est vers cette grandeur qu’ils doivent se rassembler tous les peuples de la terre, car il vient le renouvellement du monde, elle vient la beauté céleste sur la terre, il vient l’accomplissement de cette Ecriture, dont J’ai Moi-Même prononcée la venue et l’établissement, et c’est pour cela que J’appelle les hommes de la terre vers cet accomplissement, qui vient.

Voilà, homme, l’heure de la vérité sur toi, et si tu ne peux la dire et la savoir, toi et les autres d’autour de toi, laisse le Seigneur, reçois-Le quand Il frappe et ne Le laisse pas dehors attendre à ta porte, et ne fais pas comme Adam, qui s’est embrouillé à l’heure de la vérité sur lui, et qui ne devais pas se laisser mené par Eve, mais il devait prendre de Dieu la vérité, et s’il a cherché de se cacher de Dieu quand Je lui ai parlé, voilà, il s’est laissé vers le mensonge, le pauvre, et J’ai dû expier Moi, le Seigneur, par la croix et le mépris à cause de son péché.

Oh, c’est la même chose que Judas a fait, il ne s’est pas incliné pour venir le pardonner, il a agi à sa guise, il s’en est allé et il a mis fin à ses jours. Oh, s’il s’était incliné pour demander Mon pardon quand J’étais encore sur la croix, en l’attendant d’apparaître et le pardonner, Je l’aurais pris avec Moi en paradis en ce jour-là, comme Je l’avais fait avec le brigand qui témoignait de Dieu, et qui M’a prié, crucifié à Ma droite, que Je Me souvienne de lui dans Mon royaume, qui viendra avec Moi sur la terre, et que le Père lui avait montré alors qu’il viendra avec Moi sur la terre, et Moi Je l’ai attendu au-delà de Ma croix et de la sienne et Je l’ai pris avec Moi en paradis le jour même et J’ai accompli sa prière. J’aurais pu aller au Père avec deux témoins, pleins de repentance et d’amour pour Moi, pour Ma douleur venue d’eux, et Je n’aurais pas eu plus grand bonheur que celui de ce moment-là. Mais Judas a désespéré pour lui après avoir rendu témoignage de Mon innocence devant les prêtres et les pharisiens, et de son état de vendeur de Ma personne en leur faveur. Dieu a eu mal pour lui, mais Judas a désespéré et il n’est pas revenu pour faire la paix et aller au Père réconcilié avec lui, et témoigner ensuite, comme le centenier, qui M’avait crucifié et qui M’a connu alors comme Fils de Dieu, et ensuite il a annoncé cela des extrémités aux autres extrémités.

Oh, ce n’est pas la nature qui est coupable, mais la raison de l’homme, car nature c’est nature, mais c’est la raison que l’on se répare ou on se gâte encore plus, et c’est pour cela qu’il est bon que tu laisses le Seigneur d’avoir Lui la parole pour toi, homme insoumis et embrouillé par ta raison.


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J’ai appris aux Miens de ne pas se tenir éloignés l’un de l’autre, car voilà, Judas s’est perdu s’il est allé et s’il a travaillé à part, à son gré parmi les fils du monde, car celui qui se sépare des frères perd la bénédiction et le pouvoir, d’abord il les perd par l’œuvre de soi, qui le mène ensuite vers la séparation des frères, du moment qu’il n’a plus le pouvoir d’en haut de sa part. Judas s’est perdu d’entre les frères, car si les frères ne savent pas l’un de l’autre, si les frères ne savent pas ta pensée et ton œuvre, cela signifie que le diable t’a vaincu avec son obscurité, ennemi de l’esprit de la fraternité, et voilà, il faut toujours de la lumière sur ceux qui sont au Seigneur sur la terre avec leurs pas, puisque l’âme a besoin de lumière et de travail à la lumière, de beaucoup de lumière, de beaucoup de nourriture d’en haut, et la chair doit être très petite face à la richesse demandée pour l’âme devant Dieu, de la part de chaque homme qui aime Dieu.


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Et maintenant, voilà, le peuple chrétien se prépare pour l’entrée dans la semaine qui fait souvenir de Mes passions d’il y a deux mille ans, et Moi, le Seigneur, Je dis à tous:

Les fils, les fils, agissez par repentance baignée de larmes, travaillez pour gagner la conscience de votre iniquité et aller en vous observant et en vous purifiant vous-mêmes par le repentir, allez ainsi jusqu’à la fête de Ma résurrection, et Moi Je vais Me donner à vous comme à des fils ressuscités par le repentir, par la sainteté et par l’amour de Dieu, et Nous serons de la joie des uns aux autres, et chant de résurrection les uns vers les autres, et ceux qui Me tiennent dehors sont ceux qui ne M’aiment pas, ils ne se mettent pas à neuf pour Mon accueil, et ils Me laisse dehors comme un étranger.

Donc, c’est Moi Qui vous observe, c’est Moi Qui vous connais, Qui vous purifie, c’est Moi Qui vous pardonne, Qui vous mets à neuf et vous apprends le secret de la résurrection, les fils, et Je vous aime par envie sainte plus que les saints du ciel, car c’est avec vous que J’accomplis maintenant sur la terre Mon royaume et son œuvre d’établissement entre les hommes, et surtout Je M’accomplis par ceux qui Me portent en parole au-dessus de la terre, puisque Je Me tiens sur les nuages et Je parle d’au-dessus et J’attends, les fils, J’attends Mon grand royaume, et toujours plus grand entre les hommes, et le ciel et la terre travaillent côte à côte maintenant, ils travaillent ce si grand accomplissement, oh, les fils. Amen, amen, amen.


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J’ai annoncée, J’annonce et Je conseille de nouveau à Mes disciples et travailleurs avec Moi aujourd’hui, et Nous leur disons que toutes les fois qu’ils viennent vers eux des accomplissements annoncées d’abord, et travaillés ensuite de Moi avec eux, oh, il faut qu’ils regardent vers l’accomplissement de la parole sur eux, et Je leur ai dit: Regardez vers la fin de toute chose à travaillée, et que c’est ainsi que vous devez la commencer, comme si elle était totalement accomplie.

Oh, Moi c’est ainsi que J’ai travaillé et c’est ainsi que J’ai accompli toute parole annoncée en même temps avec sa prononciation, car Je la voyais accomplie tout d’abord entre les choses invisibles, et seulement après Je l’annonçais et Je la présentais pour être montrée à la vue, car voilà secret difficilement à comprendre, difficilement de recevoir et d’accomplir, puisque l’incrédulité est si grande, tant qu’elle pousse l’homme d’utiliser la limitation de sa raison, tout à fait petite face à Dieu le Créateur, devant Lequel l’homme se tient grand par sa raison, de sorte qu’il puisse déclarer Dieu petit, mais Moi, le Seigneur, Je Me suis préparé des vases porteurs de foi, par lesquels J’ai dépassé toute les règles humaines et Je Me suis inscrit sur la terre avec des œuvres merveilleuses, avec de grands disciples, avec des porteurs de Dieu, comblés de l’amour de celui d’en haut, qui croit tout, qui accomplit et qui restent comme témoignage.

Mais voilà, la raison de l’homme a des occupations humaines, terrestres, passagères, parce-que l’homme ne travaille pas son éternité au temps de sa vie sur la terre, et les choses passagères prennent fin en même temps que leur début, et elle n’est pas comme celle de Dieu l’œuvre de l’homme, mais il est passager comme l’homme tout ce qu’il fait, oh, et c’est pour cela que Je viens afin d’habituer l’homme de se tenir beaucoup de temps avec Dieu sur la terre, de pouvoir agir de plus pour Dieu, travailler et amasser dans l’éternité des choses, pour les avoir et attirer l’homme vers elles, pour que l’homme ait de quoi être attiré vers sa vie éternelle chez Dieu.


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Vous, fils accueillants de Dieu, soyez tout le temps yeux et oreilles, pour votre conduite dans la cité, et celle de ceux qui viennent et se montrent au Seigneur et ils prennent du ciel nourriture de parole, quand le Seigneur vient à l’occasion de fêtes avec Ses saints dans la cité ici. Oh, les fils, il y a les portes de Dieu ici, il y a le lieu de Sa descente ici, c’est pourquoi vous devez marcher timidement par la cité le jour et la nuit, ouvrir et fermer les portes avec timidité dans la raison et le cœur, et tout cela pour les anges serviteurs de Ma part dans la cité pour le Seigneur et pour les choses travaillées ici, et n’oubliez pas d’éloigner de vous tout le temps l’insouciance pour tout ce que Je vous dis à vous, et à ceux qui viennent dans la cité pour les fêtes, lorsque vous faites l’accueil et vous les faites s’asseoir à la table du Seigneur auprès de vous.

Oh, il n’y a eu personne avec tant d’attention que vous, afin que vous soyez ici, où le Seigneur habite et travaille sur la terre au milieu des fils du monde, les fils. Oh, il n’y a personne digne de marcher sur l’établissement de Dieu, et c’est pour cela que Je vous dis, soyez timides tout le temps, car il y a le Seigneur avec tout Son Etre ici, et il faut que vous ayez tout le temps dans votre raison et pouvoir Mon mystère d’ici, le lieu de Mon repos, de Ma descente en parole sur la terre, les fils.

Voilà, il faut que votre raison et votre cœur soient tout le temps réunis en Moi, car ici c’est le Seigneur Qui habite, pas vous, pas seulement vous, et que l’on voie que vous tenez compte de Celui qui habite ici, et à Qui vous devez servir tout le temps, et pas servir à vous-mêmes, et Ma gloire d’ici ne la tronquez pas même à la mesure d’un grain, pas même un grain d’honneur et de grandeur ne Lui tronquez pas, oh, les fils.

Qu’ils apprennent de vous cela ceux qui viennent et s’approchent du Seigneur ici, car Moi J’apporte l’enseignement conforme à tout et pour tout ce qui doit être gardé et travaillé ici, les fils. Ce n’est pas par vous que vous pouvez agir. C’est par Moi que vous le pouvez, et Moi Je peux par vous, mais Moi, pas vous, et voilà, c’est Moi le pouvoir dans vous, et vous ne l’êtes plus, et c’est pour cela que vous êtes les Miens. Je vous ai purifiés, Je vous ai renouvelés afin que vous soyez les Miens ensuite, et c’est cela que signifie qu’il soit avec Moi le chrétien, et quand Je l’ai le Mien pour Mon travail, Je fais cela parce qu’il est avec Moi et il est le Mien, et il n’est plus le sien comme l’homme de la terre, et voilà la grandeur dans laquelle vous vous tenez établis par Moi, et que vous ne devez pas la dissiper au bon gré de quelqu’un de la terre, et vous ne devez jamais oublier cela, et Moi Je dois vous enseigner toujours, toujours Me tenir avec Ma parole sur vous, toujours, les fils, puisque le lieu que vous occupez est le Mien, c’est Ma demeure d’entre la terre et le ciel maintenant, à la fin de temps, oh, les fils.


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Et maintenant Je bénis encore et encore la préparation de la rencontre du ciel avec la terre ici, en jour de fête de la Pentecôte, et que vous soyez bénis vous, qui mettez cette couverture pour cette si grande fête.

Que personne ne demande de vous la permission de venir à Ma cène avec les saints et avec vous ici, oh, fils surveillants dans les portes et dans la cité pour le Seigneur, pour Ma table de parole ici. Qu’on entend partout Ma parole en ce jour, car les portes sont fermées du dehors pour tous les paresseux et désobéissants pour l’accomplissement de Ma parole de préparation comme ici, de la part de ceux qui prennent place avec vous à table dans les fêtes devant Moi, les fils.

On a des signes visibles sur ceux qui n’accomplissent pas la vie de paradis, que J’ai mise sur ce lieu ici. Alors, qu’ils se tiennent tranquilles à leur place ceux qui n’accomplissent pas. Qu’ils se tiennent tranquilles pour qu’il leur aille bien, pas plus mal à ceux qui n’obéissent pas à Ma parole, mais ils voudraient pourtant venir avec le Seigneur à table ici, car ils viennent avec leurs affaires pour les défaire ici, comme si en ce lieu on peut agir à leur gré. Oh, cela n’est pas possible. Les portes d’ici sont ouvertes ou fermées par dehors, par l’accomplissement ou par le non accomplissement affermi sur cet établissement. Que personne ne demande à vous la permission, mais que chacun regarde dans Ma parole s’il l’a accomplie ou non, et ceux qui la foulent aux pieds, qu’ils comprennent de la parole la réponse pour eux. Amen.

Oh, ils viennent avec Moi les saints à la fête de la Pentecôte, et ils viennent les endormis et appelés à venir se mettre à la table de Ma parole, et vous, Mes gardiens dans la cité, prenez du Saint-Esprit, et préparez avec Lui place spéciale, la consolation, chant de gloire et réunion sainte devant Moi et Mes saints, les fils. Vous êtes peu nombreux mais les tables de ceux qui viennent avec Moi sont jusqu’en haut, elles sont en cachés, elles sont comme le siècle depuis le début et jusqu’à la fin, car c’est ainsi qu’il est écrit qu’il vienne le Seigneur dans Sa venue avec les saints.


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Voilà, il faut qu’ils soient connu ceux qui viennent à Ta table de parole ici, et pour cela c’est la découverte celle de Toi qui travaille pour chacun, et si c’est autrement le choix, qu’il se tienne avec sagesse le chrétien, car Tu ne veux pas que quelqu’un ait du mal, s’il y avait de désobéissance face au lieu de Ta descente.


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Oh, les fils, vous devez faire grande attention pour ne pas pécher à cause de la foi non ouvrable. Faites grande attention afin qu’il n’existe pas quelque chose qui puisse vous refroidir et vous séparer de l’œuvre de la parole de Ma venue de ce temps, tel qu’il s’est passé avec beaucoup de ceux qui n’ont pas veillé pour le pouvoir de l’amour de Dieu. Oh, n’allez pas d’un lieu à l’autre, les fils, Je leur ai dit cela toujours durant tout le temps de l’œuvre de Ma parole. Je leur ai dit encore : N’allez pas chercher pour trouver quelque chose de plus doux pour vous, et que votre raison qui n’a pas d’arrêt dans sa recherche ne vous mène pas, elle qui peut vous séparer de la parole, avec laquelle Je viens maintenant aux hommes pour les attirer vers la sainteté et vers le Père ensuite.

Il est grand l’égarement qui essaie de rompre d’auprès de Dieu des chrétiens doués de grande foi pour Ma venue d’aujourd‘hui en parole sur la terre, oh, et elle est grande la haine de satan, et voilà ce qui s’est passé avec ceux qui se sont nourris de mécontentement de la table de Ma parole, et ils ont cherché pour eux dans d’autres lieux et sources, oh, et Je leur ai dit toujours, Je leur ai dit de ce piège caché à leur raison, mais ils se sont en allés et il leur a paru plus doux par d’autres lieux. La nourriture est savoureuse et désirée quand on a faim, pas alors que l’on a du tout et on mange au choix, et elle n’a pas valeur la nourriture en grande quantité et se trouvant partout.

Oh, il est plein le marché pour ceux qui cherchent à manger au choix, mais pour ceux qui ont faim il se passe autrement, car ils évitent les choses venues des hommes et étrangères d’eux, et ils mangent de la nourriture propre, filtrée, bien nettoyée et triée, de peur de n’avoir pas mal de celles qui leur paressent bonnes, cueillies de partout, oh, et il y en a beaucoup qui se sont perdus de côté, et ils n’ont pas aimé de rester les Miens et que Je travaille avec eux Ma merveilleuse œuvre d’aujourd’hui,


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