La Parole de Dieu à la Fête de la Nativité du Seigneur

En ce jour de sainte fête pour Moi, les fils, et pour vous, ceux qui croyez ce que Je vous donne à croire, Je M’installe en parole de nativité dans Ma crèche de chez vous, dans Ma crèche avec vous au milieu du monde de la terre, et Je viens au monde tout comme Je suis venu il y a deux mille ans, quand Ma mère la Vierge M’a aidé pour venir, après que l’ange soit venu chez elle et lui ait dit que Je venais sur la terre né du Père et de son corps virginal, et elle s’es soumise en le croyant. Et maintenant Je M’appuie sur vous, après avoir mis en vous la foi dans Ma venue en parole dans le monde, la foi que Je nais Parole dans Ma crèche avec vous et que Je M’aide de vous pour pouvoir dans le monde, et le monde les fils, il n’a rien en Moi, et Moi, Je n’ai rien en ce monde, mais Je vous ai vous, oh, les fils, et J’en ai aussi tous ceux qui croient comme vous que le Seigneur vient sur la terre en parole, et si Je vous ai, voilà, Je vous apporte du ciel et Je vous fais des partageurs de Dieu, et Je vous fais Mes messagers devant Moi, pour annoncer Ma voie et le jour de Ma parfaite gloire et du royaume de Dieu sur tous ceux de la terre, tel que Je le suis maintenant Empereur sur tous, car Je suis le Fils du Père Empereur du royaume des cieux, les fils, et J’ai comme des Miens et de Mon Père tous ceux qui ont le pouvoir et l’amour pour la foi comme Ma mère la Vierge, qui a facilement pu croire et recevoir Dieu dans Sa venue sur la terre il y a deux mille ans, oh, et en secret J’ai passé trente ans dans le monde, et après Je Me suis annoncé Fils du Père, et ceux qui ont entendu et ont compris qui J’étais, ils ont eu peur et ils ont accompli l’Ecriture de Ma crucifixion, et Moi J’ai accompli alors l’Ecriture de Ma résurrection et la grande victoire contre satan le maître de ce siècle, et J’ai vaincu la mort avec Ma grade victoire. Et Me voilà après deux mille ans avec le souvenir du jour de Ma nativité de mère Vierge, car c’est ainsi que le Père a bien voulu pour Moi et pour elle, et Je passe avec vous en ce jour la fête de Ma naissance, celle de l’Enfant Jésus-Christ, et Nous sommes à table de festin saint et Nous écrivons livre du ciel avec vous sur la terre, les fils, et Je dis dans Mon grand amour: Paix sur la terre et beaucoup de gloire à Dieu au plus haut des cieux, gloire à Jésus le Rédempteur!

Je suis le Sauveur, le Messie du Père tout comme il ya a deux mille ans. Je suis le Noël de Mes chrétiens, les fils, et Je le suis pour ceux qui accomplissent le mystère de la foi et Ma volonté avec eux et sur eux sur la terre. Oh, ce n’est pas seulement une histoire la venue du Père Noël, tel que les hommes appellent la fête de Ma naissance. Il est vrai ce souvenir saint et il est resté depuis lors jusqu’aujourd’hui, car au jour de Ma naissance J’ai reçu des cadeaux à la crèche, cadeaux apportés par les mages arrivés de loin pour trouver, voir et annoncer Ma naissance, et ils étaient poussés de Mon Père dans leur chemin vers la crèche de Ma naissance, car le Père a voulu que Je reçoive des cadeaux, tel que les petits enfants reçoivent de leurs parents, et c’est de ce moment-là qu’elle eut commencé le mystère du Père Noël, et le mystère devient visible et les petits reçoivent des cadeaux au nom du Père Noël, à Mon nom, car Noël (Craciun) est Mon nom, le nom de Celui Qui a crée le ciel et la terre et l’homme, les visibles et les invisibles de la création de Dieu, et malheur et encore malheur à ceux qui mentent sous le nom de scientifiques, pour vaincre Celui Qui a été et Qui est le Créateur de tout ! Malheur à eux, à ceux qui osent mentir toujours et dire qu’ils savent, qu’ils découvrent, qu’ils sont intelligents, qu’ils connaissent les choses qui se trouvent sous le pouvoir du Seigneur Dieu!

Oh, que d’imposture dans le monde, oh, les fils! Dieu a fait les visibles et les invisibles et Il a mis frontière entre elles pour qu’on sache ce qu’il y a pour la vue des hommes, et ce qu’ils ne doivent pas voir de celles qui sont dans la possession de Dieu. Et alors, qui es-tu, celui qui te proclame homme de science, tu es le voleur qui a volé des choses appartenant à Dieu et tu mens en prétendant que tu sais. Oh , tu ne sais pas, tu sais seulement ce que Dieu t’a laissé de savoir, et tu ne peux plus que cela, n’importe quels appareils tu pourras te construire pour t’aider à voir, et avec lesquels tu surpasses Dieu par la présomption et par ton désir d’être plus que Dieu, mais non, toi tu es celui qui espionne, et tous ceux qui font comme toi sont les continuateurs de celui qui a volé de l’arbre de la connaissance, mais qui n’a pas pu apprendre que le fait qu’il était tout à fait nu devant Dieu, nu, honteux et caché en soi, mais se découvrant comme voleur, comme celui qui tend la main à ce qui ne lui appartient pas.

L’homme qui se donne le nom de scientifique ne croit pas à l’existence du Père Noël, à sa venue avec des cadeaux, car ce sont seulement les enfants qui croient cela, seulement ceux qui ont la force de croire et d’appartenir au royaume des cieux, auquel ils croient, et les grandes personnes croient en eux-mêmes et en ceux tout aussi pécheurs comme eux, par les inventions de leur pensée, mais Moi, Je renverse, en Créateur que Je suis, Je renverse ceux qui rependent les bizarreries de leur pensée, qui ne voit que des illusions imaginées par l’esprit de l’espionnage, l’esprit de satan, celui qui travaille pour supprimer Dieu de la pensée de l’homme et de la terre, puisqu’il est fâché satan contre Dieu, il est fâché à mort, car c’est la mort sa part et c’est cela seulement qu’il peut faire et rependre, la mort, mais sa lutte aveugle est faible tout comme lui, tout comme le mensonge né de lui, oh, et elle va finir cette lutte, car elle vient la lumière, elle vient Ma venue, la voilà comment et combien elle vient! Et ils viennent avec Moi les pleurs et le grincement des dents de ceux qui se sont voulu toute sorte de dieux, à toute portée, et qui trompent les hommes de la terre les poussant à s’opposer à Dieu le Créateur. Oh, non, car voilà, Il vient le Père Noël, le père Créateur, Il vient avec des dons d’en haut, Il vient avec les anges et les saints par milliers, tel qu’il est écrit de venir, et elle est magnifique Ma venue et comblée de dons et de joies d’en haut pour ceux qui pleurent sur la terre ayant la nostalgie de la vérité, et la vérité c’est Moi, oh, et qu’il est grand le mystère de la vérité, et tous ses mystères vont se dévoiler dans la lumière et il y auront des pleurs pour ceux compris dans l’obscurité, quand ils verront la lumière, et heureux sont et seront ceux qui vont se montrer avec la foi et du repentir, de la part de la lumière et de la naissance de nouveau du monde, et Je suis bien heureux de pouvoir parler et mettre sur la terre la parole de la vérité, le Saint-Esprit, Celui Qui bâtit de nouveau le monde.

Oh, qu’il a été et qu’il est resté magnifique le jour de Ma naissance sur la terre il y a deux mille ans! Oh, qu’il est et qu’il sera magnifique le jour de Ma venue avec les milliers de saints, avec ceux qui M’ont glorifié sur la terre le long du temps par leur vie, par leur amour, par leur foi en Moi! Oh, et ils Me demandent à tour de rôle depuis deux mille ans: «Jusques à quand, Seigneur, Nous T’avons aimé et suivi fidèlement, menés du saint désir. Jusques à quand attendre pour voir le prix de cet amour et de son espoir?».

Oh, jusqu’aujourd’hui, Mes bien-aimés, car voilà, Je suis avec vous et Je Me porte avec Mon amour en parole sur la terre avec vous en milieu, tel qu’il est écrit qu’il vient le Seigneur, et Me voilà, et cela ne M’empêche pas de venir, s’il n’y a pas de foi dans le monde pour que Je vienne, car il est écrit que: «Celui qui est saint qu’il se sanctifie encore, et celui qui se complaît dans l’infamie de ce siècle, qu’il en continue, car Mon jour vient quand personne ne M’attend de venir et de payer à chacun selon son œuvre».

Oh, fils de Ma crèche de parole, Je fais savoir au monde de la terre que Je nais en parole, que Je viens du Père et que Je ne parle pas de Moi-Même, mais que le Père Me donne ce que J’ai à travailler, Il M’en donne tout comme il y a deux mille ans. Oh, combien sont ceux qui M’ont connu alors? Peu, très peu, et les autres, très nombreux étaient la tête dans les nuages, tout comme ceux nombreux, très nombreux de ce temps.

Vous, les fils, vous et tous ceux qui croient en Moi et dans Ma parole tout comme vous, oh, cherchez bien connaître Jésus Christ, de peur qu’elle ne vous vole pas la raison et la bonne intelligence les philosophies de ce siècle passager. Si la génisse entre dans la luzerne, elle se gonfle et il se peut même qu’elle meure. C’est ce qui se passe avec ceux qui prennent de ceux qui se nomment hommes de science et philosophes, ou de quel autre nom veulent-ils être nommés, oh, c’est ainsi qu’ils sont ceux qui mettent sur la pierre leur appât pour ceux baptisés et non baptisés dans l’église, selon les traditions saintes venues du début, pour ceux qui veulent suivre le Christ sur la terre, car il y a l’ordre que le Saint-Esprit se pose sur les baptisés, mais celui qui a reçu le baptême ne travaille pas ensuite dans l’Esprit Saint du baptême chrétien, par lequel il est devenu chrétien, et il incline vers des sources étrangères à celles venues sur la terre, pour que l’homme soit chrétien par elles.

Les fils, les fils, prenez grand, grand soin de vous, prenez soin de la chemise de baptême, qu’elle ne soit pas déchirée et que le Seigneur ne vous connaisse plus comme les Siens, car lorsque vous êtes sur le point de croire quelque chose qui ne vient pas de Dieu, et en croyant vous êtes pris du vertige sur la pierre de la fidélité envers le Christ, vous perdez la grâce, les fils, et vous tombez dans le vide, et vous ne vous reconnaissez plus vous-mêmes, ni Dieu, car si vous voulez être avec Dieu le Seigneur, vous devez être sages comme des enfants protégés par Lui de tous les ennemis, et vous devez rester, vous devez témoigner et vous garder en Lui, les fils. Car Je regarde tout le temps sur ceux qui prennent Ma parole comme gouvernail, et Je vois comme ils prennent aussi de l’homme de la présomption de ce siècle obscure, à cause du manque de la lumière de Dieu au milieu du monde, oh, et Je veux en prendre soin, mais seulement qu’ils puissent être obéissants ceux qui se laissent sous Ma protection, parce qu’il est dangereux de donner à son cœur n’importe quelle nourriture à ruminer, car vous savez comment il est mort Adam, au chuchotement étranger et ennemi de la vie de l’homme en Dieu.

L’homme devrait pleurer sur la terre, pour qu’il soit ensuite heureux pour l’éternité, car J’ai dit: «Heureux ceux qui pleurent, car ceux-là vont se consoler», et dans l’éternité ils auront de la consolation pour les larmes de la terre, pas de larmes humides, car il existe aussi des larmes dures, ce sont celles des grandes douleurs, celles de la nostalgie qui attend dans l’espoir, et elles ne s’expriment pas, mais elles sont retenues et elles font mal à l’intérieur, en secret, les fils.

J’ai dit alors: «Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux, sur la terre et au ciel ensuite». Ceux-là ne souillent pas leur pensées avec la science des hommes qui ne savent pas de Dieu, puisqu’à ceux qui passent leur vie dans les péchés, Je ne peux leur donner à porter de Moi, car ils sont orgueilleux tous, tous, oh, et ils devraient s’humilier du moins pour leur manque de mérite spirituel. Les fils de Dieu ont des liens seulement avec Dieu, pas avec les hommes, car il n’y a pas de science dans les hommes qui espionnent les choses abrités sous leur mystère parce-que les hommes inventent et se partagent entre eux des verres comme au bistrot, ils se grisent en grisant les autres aussi, et ils tombent les uns sur les autres, comme les ivres de vin, mais les pauvres en esprit ne prennent pas des hommes, car ils ont Dieu, Celui Qui partage selon Sa volonté quoi et combien doit chacun savoir, et c’est à eux qu’appartient le royaume de Dieu, pas le royaume de la terre qui appartient à satan, le maitre de ce siècle, celui qui trompe l’homme avec des illusions, avec des découvertes, dit-il. Mais, il ne peut rien bâtir, car ce n’est pas lui le créateur, et il ne peut faire ce que Dieu fait, et Moi, Je viens bientôt, bientôt, et on va tout séparer à droite et à gauche, et celui qui est saint qu’il se sanctifie encore, et celui souillé qu’il le fasse de plus, car c’est ainsi que le Seigneur dit: que chacun prenne son payement.

Oh, ils ne craignent pas Dieu les hommes, et les chrétiens non plus. Si au-moins les chrétiens avaient cette crainte de Dieu, Je leur donnerais des dons à porter et en travailler de Moi à Mon projet sur la terre, et les trouver ainsi habillés, et pas nus, pas inactifs, le talent caché, car c’est cela que signifie d’être trouver habillé, c’est d’avoir des dons venant de Moi et les porter, pour recevoir du payement et pour que J’aie de quoi te payer au jour de l’examen.

Je te prie, chrétien, toi qui prends de Moi parole d’enseignement, Je te prie, peuple avec lequel J’ai parlé du ciel le long de tant d’années, oh, apprends comment on peut dire que tu es avec Dieu sur la voie, car Il ne t’a pas demandé les pieds sur la voie avec Lui, mais le cœur avec Son amour et l’obéissance venue de la foi et selon l’action de la foi, pas la marche avec la chair, avec les pieds de la chair et l’esprit vivant toujours dans le monde, c’est-à-dire avec la pensée et son œil, car si on prend du monde, on n’est plus sur la voie avec Moi, mais on est avec le monde, et c’est du monde que l’on est.

Oh, les fils, prenez du Saint-Esprit pour naître toujours de Lui, afin que vous puissiez être des Miens et de Mon Père. Le Saint-Esprit a été la semence de laquelle Je suis né Petit Enfant comme l’homme, et Je suis venu en passant par sein de Vierge, pour Me montrer né sur la terre. C’est le Saint-Esprit Qui a annoncé par les prophètes Ma venue par la Vierge, Fils du Père céleste, car le Saint-Esprit procède du Père, et le Père parle par l’Esprit–Saint tout comme le Fils, et le Saint-Esprit parle par les prophètes, tel que le Père veut accomplir et montrer Sa volonté, et que tu te nourrisses de la même façon, fils chrétien, et que tu ne cherches pas de savoir du scientifique, puisque tu entends se propager les dires de l’homme de science, tu ne le vois pas, mais tu le crois, et tu dis ensuite que tu crois. Oh, fais de même avec celles de Dieu partagés et entendues et tu vas voir ce qu’il y a de bon et ce qu’il y a de mal à prendre et savoir.

Et maintenant Je montre l’œuvre de Ma parole de ce temps et Je dis: Tout comme ils se sont séparés d’Israël Mes apôtres d’il y a deux mille ans pour venir après Moi et les paître Moi-Même, Celui né du ciel sur la terre par la Vierge, oh, c’est tout aussi que Je pais ceux avec lesquels Je vais maintenant en parole à travers la terre pour la naissance de nouveau du monde. Et tout comme ils se sont opposés les prêtres d’alors à Mon enseignement pour Mes disciples, tout aussi vous, les prêtres d’aujourd’hui, vous refuser de croire, et de plus, vous apprenez aux chrétiens de Nous considérer Moi et eux loin de vous et de votre obéissance. Oh, mais ils M’obéissent tout comme Mes disciples d’il y a deux mille ans, avec lesquels J’ai continué l’histoire de Dieu sur la terre, et tout aussi il se passe avec ceux d’aujourd’hui, car vous ne Me recevez pas dans votre maison avec Mon bien pour vous, et vous faites comme ceux d’alors, et vous ne voulez pas croire à Ma parole du milieu de Mes disciples d’aujourd’hui, et qui sont d’entre vous, pas de ceux étrangers de la tradition de l’église, comme beaucoup qui s’en sont éloignés.

J’ai mal pour vous pour demain, pas pour aujourd’hui, et c’est pour cela que Je parle de temps en temps avec vous aussi, et Je vous prie de ne pas être Mes ennemis comme les prêtres d’alors, de ne pas être adversaires de Ma venue à ceux petits d’entre vous, car vous ne vous en réjouissez pas, mais vous vous imitez les uns les autres dans l’incrédulité presque tous, car c’est ainsi que vous avez trouvé bon de travailler avec Moi, avec Ma parole d’aujourd’hui. Mais Moi Je vous exhorte chaudement: ne soyez pas incrédules jusqu’à la fin, mais croyez, les fils! Oh, si vous étiez vous aussi sous l’esprit de l’obéissance envers Moi, comme ils le sont eux!

Oh, si ce n’était pas Moi, le Seigneur, cette parole sainte, elle aurait depuis longtemps disparue cette source vive, par laquelle Je parle depuis presque soixante–dix ans, avec histoire écrite sur cette terre, mais Je viens du ciel, Je viens sur les nuées pour la naissance de nouveau du monde, oh, fils entêtés. Oh, pourquoi les choses sont-elles ainsi avec vous?

J’ai dit il y a deux mille ans: Trouverais-Je encore la foi sur la terre quand Je viendrai pour venir? Voilà, J’ai mis la foi en ceux-ci en ceux qui M’ouvrent quand Je frappe, et du ciel J’ai dirigé un peuple auquel J’ai donné conseil et nourriture de parole et que J’ai voulu paître Moi-Même. Oh, que de temps est passé depuis que Je Me tiens à votre porte aussi, et Je frappe pour que vous vous décidiez d’observer attentivement Ma parole, Me croire par elle, Me recevoir dans votre maison et Me dire: Sois le Bien Venu! Que vous eussiez fait vous aussi comme le prêtre qui élevait Samuel, car celui-là avait appris à Samuel de Me recevoir, de répondre à Mon appel, il l’avait appris à M’obéir, et Samuel a grandi et il est devenu grand prophète sur Israël, et il savait de Moi pour le peuple, oh, et on a écrit dans les Ecritures l’histoire de Dieu avec Samuel, tout comme aujourd’hui on écrit Mon histoire avec ces disciples fidèles envers Moi et engagés pour Moi, et qui sont d’entre vous. Qu’ils eussent écouté les grands de l’église et du pays, qu’ils eussent M’écouté par eux, tout comme les rois de la terre écoutaient de Daniel, Mon prophète. Voilà, on écrit cette histoire sur la terre en votre temps et vous êtes écrits comme incrédules, comme les prêtres d’il y a deux mille ans, comme les rois d’alors, car il est écrit dans les Ecritures que Je viens et Je pais Moi-Même Mes moutons.

Oh, ne soyez pas fâchés contre Moi, contre eux, contre ceux qui servent à Ma parole pour eux, car Je viens avec les nuées et Je lance Ma parole au-dessus d’eux pour qu’elle soit mise dans son livre quand elle vient.

Ces fils-là ne sont pas séparés de vous. Oh, ne vous fâchez pas contre eux parce qu’ils Me sont soumis, car Me voilà au milieu d’eux, parole et garde, et Moi, Je suis plus grand que vous, fils serviteurs. Ceux d’il y a deux mille ans s’inquiétaient de ne pas perdre la chaise de maître, et pour cela ils M’ont considéré leur ennemi, mais ils ont eu tort, ils ont vu cela ensuite et ils en eu très mal. Oh, ne soyez pas comme eux, mais croyez, car Je ne prends rien, rien de vous, mais Je vous donne, Je vous aime, même si vous êtes si froids, que vous Me laissez dehors.

Oh, que vous ai-Je fait de mal? Que vous ai-Je pris des vôtres, pour que vous Me punissiez en ne M’ouvrant pas? Les gens d’alors M’ont mis sur la croix. Mais les païens M’ont reçu et ils ont cru que J’étais venu du Père sur la terre, et c’est la même chose aujourd’hui, puisque la foi n’est pas à tous, mais elle est à ceux qui s’humilient pour Dieu.

J’ai écrit livre céleste en jour de fête pour Ma naissance sur la terre et J’ai voulu attendrir les durs, les endurcis.

Vous, les fils, qui croyez à Ma parole, luttez contre l’esprit qui peut vous perdre, et reconnaissez son visage et son œuvre trompeuse sur ceux qui croient de Dieu. Si quelqu’un sort d’entre vous considérez-le comme Mon ennemi et prenez soin de rester dans la racine, les fils, car le vent, celui depuis deux mille ans adversaire à Ma marche avec l’homme, il est tout aussi fort que pendant tous les temps, sur tous ceux qui s’attachaient à Dieu, à leur salut, celui de Dieu.

Cherchez que votre prière soit bien reçue et que vous ayez la beauté de l’âme, pour votre stature devant Moi, les fils. Les grands pécheurs ont su comment prier et elle a été entendue leur prière, ils ont pardonné et on leur a été pardonné aussi. Mais si Israël a persécuté son frère, il est tombé en dur esclavage, et au temps du malheur les fils d’Israël se sont repentis et ils ont été pardonnés et délivrés ensuite, mais autrement elle est faible la prière, il est sans force le cri vers le ciel.

Le jour de Ma naissance a été grand mystère, car Je suis venu pour Me rendre connu et accorder de l’aide à celui qui va Me connaître. C’est ainsi que Je travaille toujours, car de la pitié J’ai encore, et J’ai comme appui Ma mère la Vierge et Nous Nous consolons dans les douleurs.

Oh, Ma mère, mère Vierge, c’est Notre fête, Ma mère. Nous sommes ici dans la cité avec les saints, Nous y sommes avec le ciel, Ma mère.

— Nous sommes à la maison ici, à la maison comme au ciel, puisque Tu as maison ici, Nous avons maison ici, mon Fils, Jésus. Elle est douce, et la douleur aussi est douce, il est doux le souvenir de la joie et de ma douleur d’il y a deux mille ans, lorsque le Père T’a mis Petit Enfant sur la terre et moi, je T’ai reçu et je T’ai protégé et je T’ai nourri comme la mère le fait pour son fils. Oh, il est doux tout ce qu’il y a avec Dieu sur la terre ! Il est doux le souvenir de Ta naissance, bien-aimé Fils ! Elle a été belle toute la victoire, celle pour Toi, pendant les temps de persécution contre Nous, toute comme celle d’après Ta crucifixion et Ta résurrection, lorsque mon esprit a retrouvé la paix, car Tu as été vainqueur.

Gloire à ceux d’en haut, au Père et au Fils et au Saint-Esprit, et de la paix sur la terre pour le jour de fête de Ta naissance d’il y a deux mille ans, Fils Jésus! Oh, prends soin d’eux, de ceux qui Nous soutiennent pour que Nous soyons sur la terre pour le grand accomplissement du renouvellement, Seigneur! Tu as été Dieu entier, mais Tu as été bambin aussi, pour que nous puissions avoir le royaume des cieux, Fils et Dieu enfant.

A Ton amour il convient de la gloire et de la dévotion, et cette attente Nous fait mal encore, elle Nous fait mal encore, mon Fils bien-aimé.

— Oh, Ma mère, elle est douce et l’attente aussi. Avec Dieu tout est plus facilement à porter, avec plus de consolation, Ma mère.

Oh, Mon Père, que Ta volonté soit faite sur la terre comme dans les cieux, Mon Père ! Protégeons avec tout le ciel cette terre, et ce que Nous avons sur lui, Mon Père, puisque la victoire vient comme récompense pour ceux qui ont patience sans limites, Mon Père.

Oh, les fils, paix à vous! Je suis avec le Père, Je suis avec Ma mère la Vierge, Je suis avec ceux du ciel ici chez vous. Paix à vous, les fils! Qu’il le soit sur la terre comme au ciel! C’est cela Notre attente toujours, toujours.

Paix à vous, paix à vous, paix à vous, les fils! Amen, amen, amen.

07-01-2021