La Parole de Dieu à la fête du premier Martyr et archidiacre Etienne

J’ouvre le ciel, Je le tiens ouvert, Je l’approche et Nous Nous asseyons à table de parole, Moi et Mes saints, avec toi à table ici, sur la terre, car Je Me porte avec le ciel ouvert près de toi, Mon petit peuple de la terre, et les yeux de ceux du ciel embrassent Ma beauté avec toi, et ils ont comme patrie les invisibles de la création de Dieu, avec laquelle Je Me porte après toi, et elle est belle cette image, très belle, et là où Je Me trouve elle s’y trouve aussi, et il y en a beaucoup de Mes saints qui ont vu cette beauté, au moment où Je l’ai montrée à leurs yeux de temps en temps.

Je Me tiens avec le ciel ouvert près de toi, peuple de Ma venue, Je te porte en lui et Je te réunis avec les saints à Mon festin de noce avec toi, et ils sont heureux les saints quand ils viennent avec Moi chez toi, car il est écrit: «Heureux ceux qui sont appelés au festin des noces de l’Agneau! Réjouissons-nous et donnons-Lui gloire, car les noces de l’Agneau sont venues, et Son épouse s’est préparée, et on leur a été donné de se revêtir d’un fin lin, éclatant, car le lin c’est la justice des saints», tel qu’il est écrit.

Je suis le Seigneur Jésus-Christ, Je suis la Parole de Dieu, tel qu’il est écrit dans les Ecritures, Mon nom de la fin de temps, selon l’œuvre que Je travaille maintenant, à la fin. C’est avec fête de naissance que Je suis avec toi à table, Mon peuple, et Je parle avec toi sur la terre et J’inscris dans Mon livre d’aujourd’hui Ma parole avec toi. Ma gloire M’accompagne, et il naît gloire de gloire, puisqu’elle est merveilleuse la vue céleste qui M’entoure dans Ma marche maintenant!

Je suis le Seigneur de la justice et Je console ceux qui croient en Moi et ils M’aiment ainsi, mais de Ma bouche sort une épée aiguë pour en frapper les païens, parce qu’ils ne M’aiment pas, à cause de la joie de leur vie sans Dieu, mais Je pais les nations avec une verge de fer et Je gâte leur joie païenne, et l’épée qui sort de Ma bouche c’est la Parole de Dieu pour les infidèles, et Je suis assis sur un trône blanc, et ils fuient de Ma face le ciel et la terre et elle se montre Ma gloire bientôt, bientôt, ciel nouveau et terre nouvelle, tel qu’il est écrit qu’il se passera. Amen.

Je fête au milieu de toi avec les saints, peuple de Ma venue. Entre eux il y a en ce jour de fête de naissance la fête de l’apôtre Etienne, celui qui a vu le ciel ouvert, celui qui M’a vu sur le trône, entouré de Ma gloire, car le témoignage de Mes saints c’est l’esprit de la prophétie, comme il est écrit. Oh, comment ne pas prophétiser ceux qui entendent et qui voient de Dieu? Qui peut fermer la bouche et les yeux de ceux qui entendent et qui voient? Pas même les prières jetées sur lui pas les meurtriers pour l’écraser, pas même ces prières n’ont pu fermer la bouche de Mon apôtre, qui témoignait de Moi, et qui a jugé les infidèles selon la justice comme Dieu, et il n’y a pas de langage ni de parole dont le son ne sois pas entendu, mais, au contraire, leur retentissement a parcouru toute la terre, et ces paroles sont arrivés jusqu’aux extrémités du monde, parce qu’elles ont été écrites et elles existent, elles témoignent jusqu’aujourd’hui et elles ne peuvent être cachées, car Je donne à Mes saints des tons de justice et de jugement pour la justice, et l’infamie ne peut se cacher de son jugement, puisque les saints l’ont jugée dans leur propre chair même, dans leur âme, dans leur esprit et leur cœur, où le royaume de Dieu sur la terre avait habité largement, et ils ont des vêtements d’empereurs Mes saints.

Je donne la parole à l’apôtre Etienne, car il est dans sa fête entre les saints, et le maître du monde a été jugé sur la terre toutes les fois que Mes saints ont été jugés, car ils se sont atteints de la lumière de Mes yeux, de Mes saints ils se sont atteints ceux qui les ont jugés sur la terre contre la justice de Dieu, et le payement des meurtriers ce sont les pleurs et le grincement des dents, là où ils ont préparé leur châtiment par leurs faits, mais Je reste avec Mes saints, et ils vont régner avec Moi comme fils d’empereur, et Mon règne avec eux est sans fin. Amen.

— Je me tiens avec la fête de mon jour dans la gloire de Ta venue, Seigneur, car c’est avec Tes saints que Tu Te portes, et que Tu viens, tel que Tu l’as fait sur la terre aussi, accompagné de Tes saints apôtres. Je me suis réjoui de la gloire des visions célestes le long de ma vie d’apôtre pour Toi, et au moment où j’ai été envoyé au ciel par les envieux et présomptueux avec leur foi, tels qu’ils voulaient se montrer lorsqu’ils m’ont tué sous le bruit des pierres jetées sur moi, à ce moment-là j’ai témoigné du ciel ouvert au-dessus de moi, et aussi de Toi sur le trône dans le ciel à la droite du Père, car la vue céleste a été le témoin du ciel contre ceux qui ont commis le meurtre, dont ils n’ont point pu se disculper. Oh, c’est ainsi que Tu Te tiens avec le ciel ouvert au-dessus de Tes saints sur la terre, et Tu Te tiens comme Juge droit pour eux, en ouvrant le ciel et en les accueillant, tel que Tu l’as fait pour moi, quand Tu m’as ouvert pour entrer et me présenter devant Ton trône d’auprès du Père, car j’avais témoigné de Toi, Celui Qui étais avec le ciel ouvert pour moi, et ceux qui voulaient me tuer se sont mis en colère alors, et ils m’ont sorti de la chair, ils m’ont envoyé à Toi, et je T’ai supplié alors, je T’ai prié de pardonner leur infidélité et la méchanceté qui en venait, car ils m’ont offert alors le ciel, Seigneur, et Tu es venu avec le ciel ouvert devant moi, pour m’accueillir auprès de Toi dans le ciel.

Aucun adversaire ne peut T’abattre, Seigneur, et Tes saints non plus. Oh, que d’enseignement du ciel doit venir sur la terre pour les croyants, Seigneur! Qu’ils se laissent être des vases du Saint-Esprit, car c’est Lui le Maître Qui met en eux de l’enseignement, celui qui éclaircit la foi, et la preuve vivante pour elle.

Il rend témoignage du ciel au milieu du peuple de Ta parole, Seigneur. J’ai le même témoignage du ciel, le même que celui que j’ai eu sur la terre alors. Les obstinés dans leur opiniâtreté progressive sont et ils seront éternellement adversaires de l’Esprit-Saint, à cause de leur esprit, par lequel ils se sentent à leur aise sur la terre, en nettoyant toujours autour d’eux, et en frappant tous Tes justes, et ils prennent de la main de ceux qu’ils ont tué leur mauvais payement. Oh, comment avoir la chaleur en lui l’homme à sang froid. Comment connaître l’amour ceux qui sont pleins de haine? C’est de l’esprit de la présomption que la haine naît dans l’homme, tout comme de l’esprit de la fidélité naît l’amour et des vagues de charité qui embrasse ensuite le monde en l’entourant, en aimant et en pardonnant, mais la terre qui se trouve dans l’homme ne peut faire cela.

Oh, que d’esprit d’humilité doivent avoir les saints pour être des demeures célestes de la charité, Seigneur ! Il faut beaucoup d’enseignement pour les saints de la terre. Ils ne doivent pas mesurer d’eux-mêmes leur charité, en considérant qu’ils l’ont en eux, mais il faut qu’elle se montre d’elle-même par sa preuve, et que l’humilité couvre tous les dons du ciel dans les saints de la terre, puisque ce n’est pas sur la terre que l’on paie la gloire des dons célestes dans les saints, mais seulement dans l’humilité, seulement dans le ciel, seulement après, Seigneur. Les grands saints habillaient par-dessus l’aspect des incapables, sous lequel ils cachaient leur trésor venu du ciel, de peur qu’ils ne le perdent pas ou qu’il leur soit volé. Une multitude de continuateurs se sont montrés toujours à la suite de Tes saints, par lesquels Tu témoignes d’eux ensuite.

Oh, le mariage n’est pas utile à l’homme, Seigneur, il ne lui est pas utile ni sur la terre, ni dans le ciel. Les enfants quittent le père, et il reste seul avec son impuissance, celui qui se marie et élève des descendants physiques, qui le quittent un par un, en souhaitant le porter le plus tôt possible à la tombe. Ses enfants grandissent et on les déménage derrière la maison, dans la plus petite chambre, pour faire place à leurs enfants, et lorsqu’ils grandissent et commencent à vieillir à leur tour, c’est la même chose qu’ils reçoivent de leurs fils, ils sont abandonnés dans la souffrance, en déplorant la douleur du cœur et le manque d’amour de leurs fils, et voilà il n’est aucunement utile à l’homme le mariage, car sa joie d’un instant est trop passagère, et il s’approche vite le payement porté avec douleur et tristesse, mais ceux qui se donnent à Toi pour porter Ta sainteté en eux, devenant fils des vases du Saint-Esprit, ceux-ci naissent des fils pour Toi, pas pour eux, ils naissent des disciples pour Toi, Seigneur, et ils les élèvent pour Toi, les remplissent de Saint-Esprit, Celui Qui prend Sa source aux saints, et ils sont aimés par leurs successeurs les saints, ils sont beaucoup appréciés et consolés et cherchés, comme des objets très précieux, et les disciples luttent pour eux, pour leur bien, pour leur quiétude, pour leur vie, afin de les avoir avec eux, de ne pas les perdre, et il est grand le fruit apporté sur la terre par Tes saints, et grand richesse se mettent-ils de coté près de Toi, pendant que Tu leur accordes centuplé Ta consolation, parce qu’ils T’ont consolé.

Oh, il n’est pas utile le mariage pour l’homme, Seigneur, mais il lui est utile de se faire saint et apporter du fruit saint, des continuateurs saints pour Dieu, et des continuateurs des continuateurs, afin que le ciel se tienne sur la terre entre les hommes, en éclairant dans ses saints.

Je conseille le peuple de Ta parole, Seigneur, je lui dis cela: Oh, faites-vous des disciples les uns pour les autres et aimez d’être disciple pour vous rendre beaux, pour devenir le fruit qui existe toujours en donnant du fruit. J’ai toujours été obéissant à l’Esprit-Saint et je me suis tenu sous la direction des apôtres du Christ, par Lequel on m’a donné à travailler l’œuvre de disciple. C’est le Saint-Esprit Qui était mon œuvre et c’est avec Lui que je dirigeais les affaires de l’église, tout le temps que j’ai vécu, dans ce service. Oh, ne vous séparez pas de l’œuvre et du fruit du Saint-Esprit en vous et entre vous au moment où vous devez diriger les affaires de l’église, les besoins de la vie fraternelle! Soyez inséparables de Dieu-le Saint-Esprit, et vous serez des disciples, fils du Père et du Fils et du Saint-Esprit, le Baptiseur, le Seigneur de la vie Créateur, Qui du Père procède, et avec le Père et le Fils est adoré et glorifié par les disciples, Celui du haut parleur dans Ses prophètes, et par l’église avec son assemblée, confessez vos péchés dans le baptême du Saint-Esprit, gardant votre vie dans le Christ, l’Epoux des saints. Tenez-vous avec le ciel ouvert au milieu de vous et fermez au monde la fenêtre vers vous, puisque le monde c’est de la terre. Bénissez tous le Seigneur, en tout temps bénissez-Le, car Il témoigne de vous à ceux du ciel et au monde, que vous êtes Son peuple sur la terre, le lieu de Son repos et de Sa venue d’aujourd’hui. Faites-vous des disciples l’un pour l’autre ! Entrez l’un sous la main de l’autre pour l’esprit de la charité et de la soumission, qui vous élèvent en haut, au ciel, car vous avez besoin de soumission, dont pas Même le Fils de Dieu n’a pas été exempté, ni dans le ciel, ni sur la terre. Mais soyez travailleurs, d’obéissants travailleurs et très sages pour l’œuvre obéissante, qui est au service de l’église du Christ. Soyez sur la terre comme dans le ciel, ne l’oubliez-pas! C’est cela que je vous souhaite en ces jours de naissance, quand le Seigneur Jésus-Christ est en fête avec vous, Epoux et mariée, à table de noce, et de beaucoup de parole sur la table. Amen.

Et maintenant, bénis Seigneur, mon don pour Ton peuple! Amen.

— Ton saint don est mis maintenant sur Ma table avec Mon peuple, oh, Mon grand disciple, et grande a été la parole de Saint-Esprit de la part de Dieu, pour ceux qui ont pris la vigne du Seigneur pour qu’elle soit la leur Sa vigne.

Ils ne sont pas Mes serviteurs ceux qui volent la vigne pour qu’ils aient pour eux Ma vigne, mais ils sont des voleurs et des brigands, tel que Je les ai nommés et qu’ils le sont, puisque le voleur ne sait que piller pour en avoir lui, pas pour donner à Mes pauvres, aux fils de l’église, auxquels ils prennent du tribut comme pour les étrangers, pas comme pour les fils, et il leur prend leur peau aussi, pour que lui seul ait de vêtement, car ils sont avides de gloire les voleurs et ils sont des voleurs.

Oh, Mon peuple, garde-toi à l’écart, Mon fils, car c’est pour Moi que Je t’ai accrue. Tiens-toi toujours dans Mon attente pour que Je t’apporte du ciel, pour que tu aies de nourriture chaude et Ma chaleur avec toi, Mon fils, parce que tu ne dois pas prendre froid, tu ne dois pas te refroidir, car c’est seulement ceux qui se refroidissent, seulement ceux-là prennent froid et deviennent malades, et ils ont besoin de médicaments, de potions amères pour la guérison.

Je t’embrasse à la fête de naissance, car J’ai passé avec toi trois jours à table céleste, Mon peuple. Le Père se réjouit de Ma compagnie avec toi, et le ciel et la terre vont devant Moi et se tiennent avec toi et avec Moi, ciel nouveau et terre nouvelle, quand Je passe avec toi les fêtes du siècle nouveau.

Paix à toi, peuple disciple, et le désir saint Nous lie jusqu’à la prochaine fête, car les fêtes se succèdent l’une après l’autre et Moi Je Me tiens avec toi, le ciel ouvert près de toi dans les fêtes.

Paix à toi, peuple disciple! Faites-vous des disciples les uns pour les autres, pour avoir le travail de disciple et le payement du disciple ensuite, car Je suis avec Ma victoire celle de la fin, et Je suis vainqueur avec vous pour tous ceux qui ont peiné, et pour vous ensuite, ceux qui travaillez durement une heure avec Moi, les fils, jusqu’au moment où la trompette de l’éternité sonnera pour Mon repos et celui de Mes saints. Amen, amen, amen.

09-01-2012