La Parole de Dieu au Jour de Fête qui fait mémoire de L’Omophore de la Mère de Dieu

Je viens de l’hauteur du ciel et Je laisse parole au-dessus de la terre, et le Père Sabaoth est en Moi et Je suis en Lui, tout comme Je l’ai dit il y a deux mille ans, et Je le répète maintenant, car Je suis le Fils de Dieu et Je suis venu il y a deux mille ans incarné sur la terre de mère vierge, et Je viens de nouveau, car il est écrit dans les Ecritures que Je dois paître à verge de fer les peuples jusqu’aux extrémités de la terre.

Et vous, empereurs, cherchez de comprendre et d’apprendre de Dieu à juger sur la terre, à servir avec crainte, à vous réjouir de Dieu en frissonnant, à prendre de Sa bouche l’enseignement, de peur de ne pas provoquer Sa colère et vous perdre de la voie de la justice, s’Il se fâchait contre vous, si vous n’alliez pas prendre conseil du Seigneur!

Qu’elle se taise toute chair, qu’elle se taise la parole humaine, puisque c’est le Seigneur Qui parle maintenant au-dessus de la terre, du milieu du peuple roumain! Je ne suis pas venu de n’importe où, mais d’auprès de Dieu, le Père céleste. Maintenant non plus, Je ne viens que d’auprès du Père, et Je te dis, homme de la terre, que ton esprit aura du mal quand tu vas Me voir, et tu auras mal pour tant de douleur que tu M’as provoquée, par ta conduite si froide envers Moi dans ta vie passée sur la terre. Je viens de l’hauteur du ciel, Je viens après toi sur la terre avec beaucoup de parole suppliante, Je viens comme un mendiant et Je frappe pour que tu M’ouvres, pour que tu M’entendes et Me reçoives, et que tu te rendes à Dieu avant que tu arrives de te présenter devant Moi. Choisis dès maintenant de vivre une autre vie, pour que tu n’aies pas mal de ne M’avoir pas aimé avant de Nous tenir face à face l’un avec l’autre, et que tu tombes alors en douleurs, pour ton manque d’amour envers Moi. Retourne, donc, à Dieu car elle est dure la douleur pour le manque d’amour, et tu es froid envers Dieu, homme.

C’est depuis sept mille ans que J’attends l’amour de l’homme! Il y a deux mille ans, lorsque J’étais venu après l’homme envoyé par le Père, J’ai guéri beaucoup d’hommes pour qu’ils M’aiment ensuite jusqu’à la mort, et que Je les prenne ensuite auprès de Moi, comme fruit de l’amour. Ce n’était pas seulement pour leur faire du bien que Je les guérissais, mais parce qu’il Me manquait et il Me manque l’amour de l’homme. Celui qui M’aime n’est pas celui qui cherche la guérison de ses douleurs, mais c’est celui qui souffre pour Ma souffrance venue de lui, et de l’homme et pour l’homme, et c’est celui qui reste sous la croix sans murmure, sans abandon, et voilà ce que cela signifie que l’homme M’aime Moi, Celui plein de douleur, pour avoir perdu l’homme du paradis, de Mon éternité.

Oh, paix à vous, qui M’ouvrez pour entrer dans la cité avec les saints et dans le livre en parole, fils accueillants de Dieu! Je parle au-dessus de la terre en esprit de fête sainte pour Ma mère la Vierge, tel qu’elle a été placée dans le calendrier chrétien ce jour de mémoire de la veille sainte que Ma mère la Vierge a pour le peuple chrétien de la terre, les fils. Oh, qu’il a été et qu’il est grand son amour pour Moi et pour ceux qui M’ont aimé et M’aiment sur la terre!

Oh, que d’amour, que de consolation J’ai eu et J’ai toujours de Ma mère la Vierge! Tous les hommes cherchent consolation et guérison de Dieu et c’est tout, mais ceux-ci ne M’aiment pas parce qu’ils ont l’amour d’eux-mêmes, parce que c’est ainsi qu’ils connaissent l’amour ceux qui Me cherchent pour eux, mais Moi Je cherche qu’il M’aime, qu’il Me porte l’homme, qu’il Me guérisse, qu’il désire de Moi par un saint désir.

Je ne connais par la mort Moi, et alors que J’ai bâti l’homme J’ai voulu qu’il soit lui aussi immortel comme Dieu et Je lui ai dit de garder tout ce que Je lui donne à travailler. J’ai dit à l’homme de ne pas manger de l’arbre de la connaissance, car celui-là était pour Dieu, pas pour l’homme, puisque Moi, le Seigneur, Je ne voulais pas que l’homme connaisse le mal, mais qu’il connaisse seulement Dieu, qu’il le sache et qu’il lui obéisse en L’aimant, pour qu’il ait du bien l’homme, pour qu’il soit obéissant, mais il n’a pas obéi tel que Moi J’obéis à Mon père le Créateur, et il s’est laissé trompé de satan, qu’il a constitué par sa désobéissance, par l’insoumission, et ensuite l’homme s’est éloigné de Dieu et il a commencé à travailler selon sa raison.

J’ai voulu habituer l’homme avec l’envie sainte de connaître Dieu, non pas la connaissance de Dieu, et voilà, c’est autrement que l’homme à choisi de travailler depuis lors jusqu’à présent. Depuis lors Je travaille tout le temps avec toutes les puissances célestes et angéliques pour vaincre l’homme, pour l’attirer vers l’amour de Dieu, mais que faire quand J’entends des hommes sur la terre en disant: «Il n’y a pas de Dieu!»?

Oh, que faire avec ceux sans amour, avec ceux sans Dieu? Cette parole bâtit le paradis dans l’homme et elle bâtit l’homme dans le paradis, elle bâtit l’éternité dans l’homme, et ensuite l’éternité sur la terre avec les hommes. Ma Roumanie, Mon pays d’aujourd’hui est la chaire d’où parle Dieu au-dessus de la terre et des hommes, des empereurs et des soumis, sur les fidèles et les infidèles. La Roumanie est Mon pays , destinée dès la création du monde, à laquelle Mon Père M’a envoyé, pour qu’elle fasse Mon accueil à Ma deuxième venue d’auprès du Père après l’homme, et J’ai pris d’elle un petit peuple et Je le nourris de lait céleste, de la parole de Ma Bouche, afin de la préparer pour le jour de gloire du retour visible du Fils de Dieu, et pour Mon témoignage de pouvoir dire: Voilà ceux qui M’ont cru et M’ont aimé et M’ont reçu pour que Je vienne!

Oh, Ma mère, elle est grande la joie entre ceux du ciel quand Nous travaillons au-dessus de la terre avec la voix de Ma parole, Ma mère! Je suis Celui immortel, et toi, Ma mère, tu l’as su durant tout ton temps avec Moi sur la terre, et c’est pour cela que tu n’as pas chancelé, tu n’es pas tombée à cause de la douleur provoquée de Ma crucifixion, et ensuite quand J’ai dû rester quelque temps dans la tombe. C’est pour l’amour de l’homme que Je l’ai fait, Ma mère. La croix et la tombe ont été pour Moi plus douces, plus reposantes que l’homme dans lequel J’entre lorsque Je Me donne à lui par la sainte communion, pour la rémission des péchés, tel que J’ai laissé se passer avec les Miens après Mon retour auprès du Père, si J’avais accompli l’œuvre pour laquelle J’étais venu pour racheter l’homme du péché, de la mort celle venue du péché, car le péché c’est la mort et c’est pour cela que l’homme meurt et il n’est pas comme Dieu, immortel.

La croix et le sépulcre ont été propres, mais le corps de l’homme n’est pas gardé propre comme celles-ci. L’homme sent mauvais, et sa bouche sent plus mauvais que son dos, car sa langue ne glorifie pas le Seigneur, Qui a donné Sa vie pour la vie de l’homme, et sa langue verse des vanités, des plaintes, des mécontentements, des murmures, de vaines paroles, des infamies de tout sorte, et voilà, c’est du feu dévorant la langue de l’homme, et elle ne porte pas Dieu par son mouvement, oh, et cela fait mal au ciel, Ma mère, on a mal venue de l’homme dans les hauteurs célestes, Ma mère.

Passé le supplice de Mon sacrifice sur la croix, le sépulcre passé aussi, Je Me suis élevé comme un vrai Dieu de vrai Dieu, et Je suis immortel, tout comme Je l’ai été au temps de Mon sacrifice pour l’homme, puisque J’ai été dans l’enfer et J’ai jugé satan, le maître du monde, et J’ai travaillé et Je n’ai pas été mort si J’ai travaillé, et ensuite J’étais partout avec les Miens, car Je n’ai rien eu que toi et Mes disciples sur la terre durant Ma vie, Ma mère, et Je Me suis découvert auprès d’eux après la résurrection, car J’étais toujours à côté d’eux dans leur trouble pour Ma croix, oh, et Je Me suis laissé visible, et Je leur ai dit: «Paix à vous!» et Je leur ai donné du travail pour l’esprit du témoignage, Ma mère.

A la cène d’Emmaüs, après avoir fait chemin avec les deux disciples, ébranlés eux aussi par les choses passés à Ma crucifixion, Je leur ai expliqué les Ecritures et leurs accomplissements et ensuite Je leur ai rompu le pain en le bénissant et le transformant en Mon propre corps et Mon propre sang pour leur nourriture, et Je suis entré ensuite dans les invisibles célestes, et eux, ils sont allés avec l’esprit du témoignage et l’ont partagé, Ma mère. Je ne Me suis pas laissé visible pour eux que seulement quelques moments, et ensuite les anges M’ont couvert, mais Je suis resté sur la table comme nourriture pour eux, Ma mère.

Oh, Je suis L’immortel, Ma mère, et tu le savais et tu attendais tous les accomplissements, tels que tu savais être écrits pour s’accomplir. Tu as été Mon apaisement, et Moi ton apaisement, oh, et c’est la même chose pour aujourd’hui, car Nous avons l’un pour l’autre de l’apaisement puisque tous les hommes aiment la mort, ils ne Nous aiment pas Nous, Ma mère. Et maintenant en ton jour de fête entre ceux du ciel et entre les chrétiens sur la terre, mets dans le livre ta parole et sa douceur et console le ciel et la terre, la création de Dieu, Ma mère, car le travail de Dieu va, et il va par les peu nombreux, par les fiables, qui M’ont près d’eux, pour que Je puisse agir par eux, ce que Je ne pourrais faire par les grands et forts, tout nombreux et présomptueux qu’ils soient avec leur science volée et par laquelle c’est toujours Dieu Qui travaille sur la terre pour les Siens, pas pour ceux intelligents par leur orgueil, car ceux-ci n’ont pas l’humilité de Dieu et ils disent qu’il n’y a pas de Dieu, oh, c’est ainsi qu’ils disent, Ma mère, et Moi, Je leur dis de laisser cette folie, avant de se trouver face à face avec Celui de Qui ils disent qu’Il n’existe pas.

Oh, il existe Dieu! Je suis Celui Qui est, et Je suis L’immortel, et qu’elle soit bénie ta douce parole, Ma mère, en ton jour de fête entre ceux du ciel, mais aussi ici avec les Miens dans la cité de Ma parole, Ma mère

— Oh, il n’est pas possible, ce n’est pas possible qu’ils ne mentent pas les orgueilleux, Mon Fils Jésus. Ceux-ci disent: «Il n’y a pas de Dieu!», et quand ils disent cela ils prononcent le nom de Dieu, Dont ils disent qu’Il n’existe pas, et voilà, pas ce qui entre dans l’homme le souille, mais seulement ce qui sort de lui, de sa bouche le souille et lui fait du mal. Laissons-les, car ils aiment le péché qui a chassé l’homme du paradis. Toi, homme, voilà ce que tu fais, voilà ce que tu es, et tu dis encore que Dieu n’existe pas et que tu existes! Mon Fils Jésus–Christ est Celui immortel, tel qu’Il s’est montré sur la terre il y a deux mille ans.

C’est la nuit sur la terre tout comme alors que le Seigneur est venu sur la terre, né de mon sein virginal. C’était la nuit, c’était le péché partout et c’était l’incrédulité. C’est la nuit maintenant aussi et le pouvoir du péché est grand, très grand et rependu, et l’homme en tombe, mais voilà, Christ la Parole traversant les airs en parlant et en se préparant la gloire de Son apparition, le moment où ils Le verront aussi ceux qui L’ont transpercé, comme il est écrit, oh, et il n’y aurait personne à dire: «Il n’y a pas de Dieu!».

Oh, fils fidèles à la venue de mon Fils à vous et avec vous à table pour Le partager au-dessus de la terre, oh, je voudrais vous prier quelque chose. Observez toujours Ses douleurs, afin qu’Il ait votre amour et en travaille à tous les accomplissements qu’il y a encore, car tout par la foi et l’amour vient et se montre, les fils.

Oh, peuple du Christ la Parole, fais conseil avec le Seigneur et dis Lui tout, mais n’oublie pas, oh, n’oublie pas d’avoir de l’humilité devant Lui, puisqu’Il est Dieu, mes fils. Quand vous passez par des douleurs de toute sorte, n’oubliez pas que les douleurs de la chair s’apaisent avec des remèdes, avec des médicaments, et que les douleurs de l’âme guérissent par des douleurs de la chair et Il sait mon Fils comment guérir les douleurs, et sur la terre elle est bonne la souffrance, celle pour la rémission des péchés, oh, et n’oubliez pas d’apprendre et de comprendre cet enseignement par des douleurs, parce-que les douleurs apprennent l’homme à la façon des anges, et les anges prennent soin afin que l’homme puisse agir pour Dieu. Aimez donc cette sagesse céleste et affermissez votre foi et restez avec Dieu, oh, car il est dangereux sans Dieu sur la voie de la vie parmi tant de morts, les fils, puisque les hommes sont morts par les péchés et il n’y a personne à leur dire que le péché c’est la mort, et les hommes ne savent pas cette vérité.

Et, Toi, Fils Jésus-Christ, aide-les à temps en tout, car c’est Toi Qui travailles, et eux ils sont Tes témoins. Qu’ils le soient ainsi jusqu’à Ton apparition auprès d’eux et avec eux, et Ta gloire va se partager partout bientôt, bientôt, car Tu travailles et Tu es Celui Qui peut, et Tu peux par eux et avec eux. Et moi je prends soin de Ta Roumanie et la mienne et la leur, de sa gloire celle venue de Toi, pas des hommes, car les hommes ne savent pas son mystère, ils ne savent pas Ton mystère avec elle, et maintenant bénis la marche en avant de Tes prodiges en Ton temps avec Ton petit peuple, par lequel Tu Te glorifies si secrètement au-dessous de la terre maintenant, mon cher Fils Jésus. Amen.

— Oh, Ma mère, Nous montrons à Nos petits que Nous sommes devant, que Nous allons devant eux et que Nous accomplissons, et eux, ils sont Nos visibles, mais ceux du ciel sont sans nombre, engagés à Notre travail avec eux, Ma mère.

Nouvelle bénédiction Je pose encore et encore sur le travail de Maluri, sur le lieu de Mon début de l’année 1955 par Virginie, la trompette de Dieu. Nous allons établir peu à peu ce lieu de témoignage et Nous allons fixer jour de fête céleste et Je serai devant vous pour toutes les œuvres, fils avec lesquels Je soutiens Ma gloire d’aujourd’hui au-dessus de la terre. Je souhaite que vous affermissiez en vous la foi pour les accomplissements qui restent encore, et voilà, Je prépare peu à peu le jour de la gloire et vous serez Mes témoins d’avoir parlé sur vous et d’avoir accompli la parole prononcée. Toutes les choses qui viennent et qui sont de Dieu, toutes s’accomplissent et témoignent de la vérité de Dieu.

Et maintenant Je mets la paix à la fin de la parole d’aujourd’hui et Je dis: Paix à vous, paix à vous, paix à vous, dans toutes les choses que le Seigneur a à travailler et accomplir avec le ciel et avec vous ici sur la terre, oh, les fils! Amen, amen, amen.

14-10-2023