La Parole de Dieu au Jour de fête de la Transfiguration du Seigneur



L’appel de l’homme à la naissance d’en haut. La patience qui meurt dans l’homme s’appelle orgueil. La parabole de Jonas.


Je t’embrasse dans l’esprit de Ma fête avec toi, Mon peuple de Nouvelle Jérusalem au milieu du peuple roumain, et Nous Nous laissons gagnés par le souvenir du grand jour d’il y a deux mille ans, lorsque Moi, le Seigneur Jésus-Christ, J’ai pris Mes disciples les plus proches de Mes secrets d’alors, les trois d’entre les douze, Pierre, Jaques et Jean, et Nous Nous sommes retirés vers la montagne, puisque le Père Sabaoth voulait leur parler de Moi, à savoir que Je suis Son Fils bien-aimé, dans lequel Il a mis toute Son affection dans le ciel et sur la terre, et Il leur a conseillé de M’obéir, Il les a aidés de bien Me connaître pour bien croire et M’obéir ensuite tout comme au Père, car c’est le Père Qui leur a dit cela. J’ai laissé visible en ce jour-là Ma gloire, celle que le Père M’a donnée avant tous les siècles, et ils M’ont vu dans la gloire Mes disciples, car Je n’allais plus rester beaucoup de temps avec eux sur la terre, puisque Je devais retourner dans le Père, après avoir fini toute l’œuvre que le Père M’a confiée pour l’accomplir, et Mes disciples engagés en elle, pour en témoigner toujours sur la terre.

Oh, mais comme Ma gloire se porte aujourd’hui avec toi sur la terre, Mon peuple d’aujourd’hui! Que de voix, que de parole venue du ciel descend aujourd’hui sur toi, tout comme alors sur Mes disciples, qui ont entendu du ciel la voix du Père au-dessus d’eux! Le Père t’apprend toi aussi tout comme Il l’a fait alors avec eux, car c’est le Père Qui M’envoie chez toi sur la terre, et ce n’est pas sans envoi que Je viens.

Oh, Mon Père et le leur, dis-leur Toi-même à quel point Tu veux que Je sois en eux en ces jours ! Dis-leur de Ton œuvre avec Moi et de leur œuvre avec Nous, parle-leur Toi, Mon Père, tout comme à Mes disciples alors, parle à eux aussi, dis-leur du ciel, dis-leur Toi-même, Mon Père. Amen.

— C’est Lui Mon Fils bien-aimé, dans Lequel Moi, le Père, J’exprime Ma bonne volonté au milieu de vous maintenant. Obéissez-Lui! C’est cela que Je vous dis Moi, le Père, tout comme à Ses disciples d’il y a deux mille ans, lorsque Mon Fils, élevant Sa prière vers Moi devant eux, Se trouvant entre Moïse et Elie, avant Sa passion sur la croix, Il parlait avec eux sur les choses qui devaient se passer à Jérusalem, et quand les disciples, en les voyant et en parlant ensuite avec Lui, il s’est formée une nuée qui les couvrit, et ils furent saisis d’une grande frayeur en entrant dans la nuée, et Ma voix leur a dit du nuage qui Me cachait de leurs yeux: «Celui-ci est Mon Fils élu, c’est à Lui que vous devez obéir!» et ensuite ils sont sortis du nuage.

Oh, les fils, Il vient le Seigneur chez vous sur les nuées, Il vient Mon Fils et Il se tient couvert dans les nuées, tout comme Je l’ai fait Moi, le Père, pour dire à tous disciples de Lui obéir, car c’est en Lui que Je veux bien Moi, le Père. C’est face à face que Dieu parle avec l’homme, mais le Seigneur se tient couvert dans le nuage pour pouvoir parler avec l’homme, puisqu’au jour où Mon Fils a laissé visible sa gloire devant Ses disciples, ils ont été tout effrayés à Sa vue et à la vue des deux saints, se tenant d’un part et de l’autre, et ensuite le nuage les a couverts les uns et les autres, et Moi, le Père, c’est du nuage que Je leur ai dit ce que J’avais à dire. Je vous dis ce secret afin qu’elles tressaillent votre cœur et votre foi pour la présence entre vous de Mon Fils, Qui parle du nuage au milieu de vous et Il vous donne de Sa bouche. Amen.

Oh, ils se demandent les chrétiens comment cette œuvre de descente du Seigneur se présente-t-elle comme nourriture de parole sur la table du peuple d’aujourd’hui, pour tout homme qui veut prendre de cette table Dieu la Parole. Le Seigneur se tient couvert dans le nuage et c’est ainsi qu’Il parle et c’est ainsi qu’Il travaille, c’est ainsi Son œuvre auprès de l’homme, car autrement l’homme tomberait d’effroi, parce-que Le Seigneur c’est du feu dévorant, lumière aveuglante, qui Le revêt comme dans un nuage de lumière. C’est pour cela qu’elle s’est passée de même avec Moïse l’œuvre du ciel avec l’homme, puisque l’homme ne peut voir le visage de Dieu et rester vivant et avec du pouvoir dans sa chair, et les serviteurs de Dieu ont toujours su cela et l’ont déclaré, tel que le Seigneur avait dit à Moïse sur la montagne de Sa gloire avec lui, parlant avec lui du nuage.

Oh, qu’elle est magnifique l’œuvre qui vous couvre du ciel sur la terre, les fils! Réjouissez-vous avec peur et frémissez de joie, Mes fils! Soyez doux et humbles comme Mon Fils, car Il a fait l’homme selon Mon image et Ma ressemblance et la Sienne. Soyez maintenant, à la fin, soyez comme Dieu et apprenez de Mon Fils d’être doux et humble de cœur, pour que Dieu puisse agir avec vous sur la terre, avec vous au-dessus de la terre. Moi, les fils, Je vous ai donné Mon Fils, et Lui, Il vous a donnés à Moi, à condition que vous Le cherchiez et Lui obéissiez pour chaque instant, car chaque instant a son œuvre et son mystère, parce-que le mal et le bien luttent entre eux à tout instant, pour la défense ou la douleur de l’homme. C’est pourquoi Moi, le Père, Je vous dis: cette parole d’entre vous, venue du ciel, Celle-ci c’est Mon Fils bien-aimé, dans lequel Moi, le Père, J’ai bienvoulu: c’est à Lui que vous devez obéir! Amen.

Je leur ai éclairci Moi, le Père, Ton mystère avec eux, oh, Mon Fils bien-aimé, Emanuel! Je leur ai parlé de l’œuvre de Notre jour de gloire devant Tes disciples sur la montagne de Thabor, quand Moi, le Père, Je leur ai dit de T’obéir, Fils bien-aimé. Oh, donne-leur de l’enseignement en ce jour de fête, le Tien et le Mien avec eux. Moi le Père, Je suis en Toi, et Nous sommes couvets dans le nuage devant eux pour Notre fête au milieu d’eux. Amen.

— Oh, Père bien-aimé, Je T’ai supplié en ce jour de gloire sur la montagne de Thabor devant Mes disciples, et Je T’ai demandé de leur montrer Ma gloire, celle que J’ai de Toi d’avant tous les siècles, et ensuite J’ai parlé devant eux avec Moïse et avec Elie de Ma passion à Jérusalem dans quelques jours, Mon Père, et eux, reprenant leurs esprits, ils furent effrayés ensuite par le nuage qui les a entourés. Oh, Mon Père, Je Te supplie de nouveau maintenant, d’entre Mes disciples d’aujourd’hui, montre-Toi au-dessus de la terre, selon Ta volonté, et dis à tous que cette œuvre est la Tienne et la Mienne, Ta parole et la Mienne, le Père et le Fils, à Laquelle toute la terre doit obéir, Mon Père, car c’est le temps des jours de la gloire du Seigneur, les jours de la fin, oh, Mon Père! Je Te supplie de cette montagne de gloire, la montagne de Ma grande parole d’aujourd’hui, pour Mon peuple fidèle d’aujourd’hui pris du peuple roumain, peuple fidèle à Ma venue d’aujourd’hui, descends le don de la foi sainte sur les hommes, pour qu’ils Nous connaissent dans cette parole et qu’ils viennent vers le repentir et vers la résurrection de sous le péché. Fais des signes et des miracles utiles pour le retour vers Toi des fils des hommes, de leurs cœurs, car Moi, Ton Fils, Je Te demande, Je Te supplie sur cette montagne de gloire, tout comme Je T’ai supplié il y a deux mille ans sur la montagne, pour montrer Ma gloire à Mes disciples témoins alors, pour qu’ils en témoignent ensuite à travers le temps ! Et maintenant, bénis Ma parole d’aujourd’hui, parole de fête, la Mienne et la Tienne sur le peuple d’aujourd’hui, Mon peuple et le Tien! Amen.

— Oui, Mon Fils Emanuel! Moi, le Père, Je bénis du nuage Ta rivière de parole sur le peuple de Ta parole d’aujourd’hui, et au-dessus de la terre. Amen.

— Moi, le Seigneur Jésus-Christ, Je suis la parole pour toi de la part du Père Sabaoth, Celui Qui M’a envoyé, Mon peuple, et Je vis avec toi les jours de la gloire de la fin et J’essaie de t’habituer avec eux, et Je veux habituer aussi tout homme de la terre, mais J’ai de la peine à faire cela, aussi longtemps que J’ai entre Moi et l’homme les pasteurs qui dirigent les hommes en Mon nom, et qui font eux aussi le même travail contre Moi que ceux d’il y a deux mille ans, qui n’ont pas voulu recevoir le Seigneur avec Sa venue à eux. Mais toi, tu as de Moi le don de la foi sainte, par lequel tu peux Me connaitre et Me recevoir et Me suivre, afin que Je travaille avec toi Ma venue, Mon fils. Il est écrit dans les prophètes que dans le passé le Seigneur a humilié le pays de Zabulon, mais dans l’avenir Il glorifiera le chemin de la mer, la Galilée de nations, et le peuple qui vit dans les ténèbres verra grande lumière, et la lumière resplendira sur ceux qui habitent à l’ombre de la mort, et le peuple du Seigneur augmentera, tout comme sa joie.

J’ai mis au milieu de toi un grand mystère avec pouvoir de résurrection sur les hommes, par ta prière devant Moi, pour laquelle Moi, le Seigneur, Je te demande de persévérer avec grand amour, avec grande foi pour la victoire, fils, Mon peuple. Ce mystère est le pouvoir de la sainte Messe de chaque jour, voilà le pouvoir de Ma victoire au milieu de toi, car Je t’ai rangé peuple propre des choses de la terre, et Je t’ai exhorté à la prière sainte et vivante devant Moi, prière par Mon ordre établie au milieu de toi, pour y exister et travailler. On fait mémoire des endormis et des vivants dans le bain de Mon sang et à Ma table, et la sainte Messe lave l’homme de péché, lave la terre, et l’homme ne sait comprendre ce bain et le mystère de ce vase, dans lequel Moi, le Seigneur, Je prends place en entier, pour que Mon nom soit prononcé sur les morts et sur les vivants, pour leur délivrance de leur coulpe, par Mon sang versé pour eux, par leur naissance de nouveau de Ma parole, nés de Dieu. L’homme peut être né de l’homme aussi, pas seulement de la femme, comme on sait de la naissance de l’homme, et cela seulement s’il veut naître d’en haut, du Père, tout que Moi J’ai été né avant tous les siècles, lorsque J’étais de même nature que le Père, les deux en Un, et ensuite le Père M’a donné naissance, et Nous avons été d’une même Nature tout les deux, avant Ma naissance du Père et après Ma naissance de Lui, tout que chaque homme aurait pu être né, si le premier homme bâti n’avait pas gâté le mystère de la naissance, le mystère de l’homme issu de l’homme, tout comme la femme a été prise de l’homme par l’œuvre du Père et du Fils et du Saint-Esprit, après avoir dit, Moi et le Père, de faire homme selon Notre image et ressemblance, et voilà, la parole dit que Nous avons image, et c’est pour cela que J’ai dit à Philippe que Moi Je suis dans le Père, et le Père en Moi, et lui il n’avait pas connu cela.

Oh, Moi, le Seigneur, J’ai appris à l’homme à comprendre et Je lui ai dit comment venir à Moi s’il vient, car Je lui ai dit: «Celui qui vient après Moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, qu’il prenne sa chair et qu’il Me suive» mais l’homme prend sa chair, il vient et il demande de Moi avec elle, et ce qu’il Me demande montre qu’il n’a pas renoncé à lui, car il demande de Moi pour lui-même quand il vient et demande de Moi, pas pour Moi en lui, mais c’est pour celles du monde en lui qu’il demande-t-il que Je lui donne, et il ne se renonce pas lorsqu’il décide de venir pour demander de Moi, et Moi Je lui ouvre quand il vient Me demander, Je ne le laisse pas dehors quand il frappe pour lui donner, mais les choses qu’il demande sont du monde, et voilà les choses demandées le conduisent ou vers le ciel, ou vers la terre, elles conduisent l’homme ou vers la résurrection, ou bien vers la mort.

Oh, à qui Me plaindre de Ma douleur? Chacun a ses besoins, ses difficultés, qu’il porte ou qu’il met sur un autre d’auprès de lui, par la plainte venue de sa peine. «Prenez Mon joug, car il est léger; prenez Ma charge, car elle est légère». Toi, homme, il vaut mieux que tu portes Dieu, car Il est sans péché et Il est léger, et c’est pour cela que Je t’ai dit de prendre Mon joug et Ma charge, prendre Ma croix et la porter jusqu’à Ma venue à toi, pour que Je t’accorde ensuite le doux payement pour la portée de Dieu sur les épaules de ton âme, par ta soumission.

Oh, Mon peuple bien-aimé, dans lequel Moi et le Père Nous avons mis toute Notre affection en ces jours-ci! Quand l’homme se tient sous la soumission selon l’ordre mis sur lui où sous lequel il se soumet, un tel homme et plus bon, plus chaud, plus fidèle envers tous et il est léger pour lui-même et léger à porter de tous, mais quand l’homme a des soumis conformément à l’ordre fixée, l’homme est plus pressé, plus tendu et on voit cela, car il est plus tensionné un tel homme, plein de soucis, plus difficile à porter par ceux d’auprès de lui, plus difficile à comprendre par les autres, qui n’ont pas une réponse à donner pour toutes les choses, et tous le regardent comme on regarde celui dont on a peur, auquel on doit obéir, et elle est bonne cette crainte, et elle n’est pas difficile à porter, car il est facile pour celui qui obéit, du moment qu’il y a quelqu’un qui prend soin de lui, à condition qu’il aime l’œuvre de la soumission sainte, l’œuvre de ceux qui aiment Dieu sous Sa peine, celle pour l’homme.

Oh, ne soyez pas en faute envers la patience, les fils, car la patience qui fait mal à l’homme c’est la révolte intérieure de l’homme, pas la patience, ce n’est pas la charité pleine de patience sainte et douce pour son amour dans l’homme, mais c’est l’orgueil de soi dans l’homme. Celui qui n’endure pas avec contentement, celui-là n’a pas peur de Dieu et sagesse non plus. Dans la prière du début du jour, Mon fils, dis au Seigneur: «ne me laisse pas, oublier, Seigneur, que tout vient de Toi!» et tu ne seras plus mécontent à cause de l’homme dont tu dis qu’il pèse ton âme, car il est possible qu’il soit lui aussi pesé de toi, et pense à lui aussi, pas seulement à toi, pour la difficulté se trouvant entre vous, et que ton amour ne connaisse pas l’hypocrisie, mais que tu aimes par lui ton prochain et pas toi, et alors tu ne vas plus élever la voix pour te plaindre de lui, de ce qui vient de Dieu et pas de ton frère, qui couvre Dieu devant toi, pour que Dieu puisse parler avec toi, avec ta vie, avec ton action, quand Il veut faire cela et te débarrasser du contentement de toi, et te donner de la foi à sa place, et le don de la soumission sainte.

Il faut que tu saches, Mon peuple, que la charité est celle qui se donne, pas celle qui attend de la charité, celle qui prête à usure. Oh, cherche à aimer et à bien comprendre cette œuvre secrète de l’amour sans hypocrisie dans son action. Evitez l’esprit du mécontentement, les fils, car cet esprit vous met sous la charge et vous porte vers le murmure, il vous mène vers l’amour de soi et vers un autre homme pour vous plaindre, il vous mène vers le parler en deux, Mes fils, et rappelez-vous de Ma parole d’ entre vous d’il y a longtemps, lorsque J’ai dit qu’alors qu’en Israël quelqu’un était en faute, tout le peuple souffrait, et, encore, rappelez-vous du navire avec lequel Jonas s’est enfuit de Ma face, et comment par sa faute devaient périr tous ceux qui s’y trouvaient, et quand Jonas leur a dit que sa faute, dont il leur avait parlée, c’est la cause de leur perte, la cause des vagues qui élevaient la mer, il leur a dit de le prendre et le jeter dans les vagues pour sauver la vie de tous, et c’est ainsi que l’on a fait, et ensuite les marins et tous ceux du navire priaient Dieu avec peur pour Jonas, pour qu’ils n’aient pas à donner réponse pour le sang de celui qui n’était pas coupable envers eux, mais envers Dieu, et alors Moi, le Seigneur, J’ai travaillé merveilleusement à leur prière pour Jonas et J’ai ordonné à un grand poisson de l’engloutir et le porter en bonne santé jusqu’au rivage, car J’avais envoyé Jonas avec parole prophétique vers la grande cité de Ninive, qui aurait du périr pour ses méfaits, tout comme Jonas aurait pu périr dans la mer, si le grand poisson ne l’avait pas couvert dans ses entrailles, et elle n’est pas passée non accomplie Ma parole prononcée sur Jonas, mais il est allé ensuite et il l’a accomplie dans la cité de l’infamie. Et voilà, la faute de Jonas a mis en péril tous les marins et ceux qui ce trouvaient dans le navire, avec lequel il voyageait dans sa fuite de Dieu.

Oh, ne fais pas de fautes par rapport à la patience, Mon peuple! Cette sorte de faute te porte vers d’autres fautes, et voilà, Je dis encore, ne commets pas de faute par rapport à la foi, à l’amour avec soumission et pour la soumission, de peur de mettre en danger ceux avec qui tu voyages sur ton chemin avec Mon peuple! Fais attention qu’il ne te trompe pas l’esprit de la perfidie, pour travailler avec lui! Il est trop caché pour que tu puisses le voir, beaucoup trop subtil pour le comprendre, et il est bon que tu sois tranquille, sage, et que tu ne fasses pas de fautes dans l’obéissance à Dieu et à tout ce qui vient de Lui pour t’éprouver. Ils se jettent dans le monde comme Jonas dans la mer ceux qui n’obéissent pas à Dieu, et c’est ainsi que Je protège le reste de Mon peuple, qui obéit avec soumission, par l’esprit de la patience sainte, oh, mais Jonas était aimant de Dieu, doux et humble de cœur et avec grande fidélité en lui, sauf que sa grande humilité M’a brouillé alors que J’ai voulu faire de lui Mon messager, pour la cité de l’infamie, et Je l’ai ressuscité encore une fois d’entre les morts pour faire par lui Mon œuvre et sa confirmation et son exemple à travers le temps.

Oh, qu’il a été magnifique dans Mon jour de fête avec toi Mon enseignement de ton milieu, la découverte des mystères de Dieu avec l’homme, Mon peuple ! Oh, prends soin de Moi, de Mon mystère avec toi, parce qu’il est grand, Mon fils, et Moi Je prends soin de toi, car elle est grande Mon œuvre, que J’ai réalisé par ta foi dans Ma venue à toi, par ton amour pour Ma venue de ces jours, pour le ciel ouvert au-dessus de toi pour que Je vienne, pour que Je vienne encore et encore afin de parler au-dessus de la terre et que tu sois Ma maison de venue, Ma patrie et celle de Mes saints, , terre propice pour Ma semence d’hier et d’aujourd’hui dont Je puisse proliférer ciel nouveau et terre nouvelle, l’accomplissement de cette Ecriture de naissance de nouveau du monde, de renouvellement de toute chose, de changement dans la gloire de tout, car toutes , toutes choses renouvelleront, changeront à Ma parole, qui travaille au milieu de toi, oh, Mon peuple! Amen.

Je bénis dès maintenant la fête de Ma mère et le rassemblement à la source du peuple aimant de Dieu, que Je souhaite doux et humble de cœur dans sa venue à la source, pieux et bienséant devant Moi et à toi, Mon peuple. Je bénis leur voyage vers la source et Je leur envoie des anges sur la voie pour leur consolation et la Mienne, et à toi Je te donne beaucoup de bénédiction pour que tu puisses préparer Ma fête et Mon arrêt avec le peuple à la source, car Je t’aide, Mon fils, Je donne de la force à ton corps et à ton âme, Je t’accorde amour et sagesse d’en haut pour la préparation de la fête, car voilà les jours de la gloire du Seigneur avec toi sur la terre, et Je Me montre avec eux par toi aux hommes, Mon peuple, et tout chose va se renouveler et va changer en gloire à Ma parole donatrice de gloire, de Ma gloire de ton milieu, par laquelle tout, tout va se renouveler, tout va changer dans la gloire, Ma gloire celle de la fin de temps entre le ciel et la terre, oh, Mon peule. Amen, amen, amen.

19-08-2011