La Parole de Dieu du troisième Dimanche après les Pâques, celui des saintes femmes

Le jour de Ma Résurrection est jour de fête de joie et elle dure cette joie pour ceux qui l’attendent, pour ceux qui aiment Ma résurrection et la leur. Oh, elle ne se passe pas comme dans le monde la joie de Ma Résurrection d’entre les morts, puisque dans le monde elle dure un jour, deux jours, et les gens profitent de la fête de la Résurrection pour boire et manger, s’amuser et pécher de toute façon, loin de Dieu avec leur vie. Mais pour ceux qui aiment Mon être, oh, c’est une longue joie cette fête, et ils arrivent ensuite d’autres jours de fête liés aux jours de Ma résurrection et des choses que J’ai promis à ceux qui M’ont suivi alors et ensuite, et tous les saints et les anges se réjouissent de ceux de la terre, qu’ils accompagnent dans les fêtes, pour leur amour pour le Seigneur et ceux du ciel.

Je suis le Seigneur Jésus-Christ, le Seigneur de la Résurrection. Je vous annonce de Ma propre bouche et Je prononce le souhait de Ma résurrection : le Christ est ressuscité! Avant l’aube J’entre parole dans le livre et J’accueille avec elle ceux qui aiment Ma venue d’aujourd’hui en parole sur la terre et le peuple de Ma parole, celui qui va au-devant de Moi quand Je laisse Ma parole, pour qu’il la prenne, la mette dans le livre et la partage ensuite, car il y en a beaucoup de ceux qui se nourrissent de Ma table d’aujourd’hui du milieu du peuple roumain, auquel Je Me suis arrêté maintenant, à la fin du temps, pour préparer sur la terre Mon nouveau retour du Père à l’homme, tel qu’il est écrit, car il n’est pas possible que les choses prononcées de Ma bouche et écrites ensuite dans les Ecritures, il n’est pas possible qu’elles ne s’accomplissent pas, du moment que Moi, Je suis la Vérité.

Je prépare avant l’aube Ma table de parole et Je vais avec elle au-devant de ceux qui se réunissent ici à la source, sur la colline de Mon retour avec les saints, et Je n’ai pas même au ciel lieu et arrêt plus cher que celui d’ici, où Je peux parler, travailler et Me partager, car il n’y a pas de joie pour le Créateur de l’homme, que près de l’homme, près de l’œuvre de Son amour, puisqu’un grand amour M’a envahi lorsque J’ai bâti l’homme, et J’en travaille encore afin de le réveiller pour Mon amour, pour son Créateur, car elle est longue Mon attente après le retour de l’homme, et il fait mal à Dieu l’amour, la nostalgie lui fait mal, l’attente aussi, et ils ne peuvent comprendre cela la raison et le cœur de l’homme, et voilà, Je suis venu jeter du feu sur la terre, pour qu’il s’allume entre Moi et l’homme et que nous ayons chaud l’un de l’autre, et que le ciel soit sur la terre avec l’homme, le Seigneur avec Ses saints, et voilà, on prépare jour de fête de Résurrection, table de parole entre Moi et ceux qui se mettent en route maintenant vers Ma colline ici, et Moi Je leur donne du ciel, de celles qui existent et on ne les voit pas, des choses invisibles de Dieu, car l’homme s’est trop habitué avec les visibles et il peut oublier, le pauvre, que Moi, Je suis le Dieu des choses visibles et invisibles sur la terre et au ciel.

Oh, Je vous partage de Mes choses invisibles et Je vous dis qu’elle a grande récompense la venue de l’homme à Moi, en Me suivant ensuite. Je vous payerai cher cet amour, car c’est après l’amour que Je languis. C’est pour l’amour que J’ai bâti l’homme, c’est pour la joie que Je l’ai travaillé et bâti, et elle est chère la vie de l’homme, oh, et comme il la gaspille pour rien, en oubliant qu’il devra rendre compte devant Celui Qui a bâti l’homme!

J’ai préparé Mon armée et la table d’en haut de Mon Esprit et de Mes saints, et Nous commençons le jour de sainte fête ici, où ils s’assemblent à la source de parole ceux qui M’ont trouvé ici. Il y a beaucoup de mouvement céleste ici maintenant. Oh, le mouvement de celles invisibles du monde invisible est beaucoup plus intense que celui des corps du monde visible. Le vent produit le mouvement de tout ce qui existe sur la terre, lorsqu’il souffle en passant avec son travail. C’est la même chose qu’il fait le vent qui meut le monde invisible, celui des esprits et des corps rachetés pour le Seigneur, monde duquel dépend tout le mouvement du monde visible et tout son existence. L’esprit de la main, ce petit fil qui meut la main de l’homme, montre que la main a un correspondent dans l’esprit aussi. Avec quoi écrivent les anges et les diables les choses vues et entendues de l’homme? Avec le porte-plume ils les écrivent, et il est vraiment difficile à l’homme de croire et de comprendre comment il se passe ce mouvement, par lequel ils écrivent les anges, bons ou mouvais. C’est comme dans le rêve où l’homme se voit éveillé en temps qu’il dort.

Je vous dis tout cela pour que vous compreniez celles que l’on ne voit pas et leur travail, car Je suis avec les saints en fête ici, dans le jardin, et Nous vous accueillons quand vous venez, Nous vous mettons à table et Nous Nous asseyons avec vous, Moi et Ma mère la Vierge, Mes disciples et les Saintes femmes, qui sont Mes disciples aussi, celles fêtées maintenant, et Nous avons aussi les endormis dans l’espoir, Nous les avons ici avec Nous et avec vous, et leur joie est grande, car ils se tiennent dans la fête de la résurrection dès le premier jour des Pâques, lorsqu’ils ont pris des Pâques avec vous, des Pâques du Seigneur et ils sont restés, ils sont maintenant ici, attablés par Moi, parce que vous avez fait mémoire d’eux, vous qui Me servez ici, service établi par Moi pour la résurrection des morts, les fils, et pour nourrir d’en haut ceux qui croient et qui se réunissent souvent auprès de vous, ici, et ils attendent la parole de Ma bouche, ils attendent le Seigneur, quand ils viennent ici, à la source.

Oh, quelle joie céleste Nous avons de vous, et quelle beauté ici, à la rencontre d’entre Nous et vous! Oh, paix à vous! Le Christ est ressuscité, vous disent tous ceux fêtés en ce jour, Mes disciples hommes et femmes d’il y a deux mille ans! Nous avons jour d’amour entre ceux du ciel et ceux de la terre, et tout est comme au ciel, pas comme sur la terre. Depuis le petit matin et jusqu’au coucher du jour nous sommes à table de Pâques et Nous en prenons. Je vois à travers le jour, Je vois son déroulement, et Je parle pour chaque instant en même temps que lui, car il est grand le mystère de Dieu, grand et incompréhensible, mais accessible par la foi, par l’ange du cœur de l’homme, celui qui veille et qui sait.

Avant tout, dans Ma parole Je vous conseille tous, en ce jour d’enseignement sur vous, ceux rassemblés à Ma parole pleine de pitié, et Je vous dis: ne vous enivrez pas de vin, mais d’amour de Dieu, les fils. Il n’a pas l’amour de Dieu celui qui boit du vin, entre ceux qui s’appellent des chrétiens. Pas ceux qui ont du vin dans la maison, pas ceux-là sont ceux qui boivent du vin, s’ils étaient de ceux qui pèchent en faisant du vin un péché pour eux, oh, le vin n’existerait plus dans leur maison. Ceux qui font du vin un péché sont ceux qui aiment le vin et ils sont tenté par lui, et ils grisent leur tête et leur raison en buvant du vin, qu’ils cherchent ouvertement et en cachette, ou avec ceux qui boivent aux lieux où on boit.

Oh, fils chrétien, ne bois pas de vin avec le diable, avec lequel tu te caches poussé par lui, ou avec lequel tu te montres en buvant, mais bois-le avec le Seigneur, comme les Pâques nouvelles, et que de cette manière se réjouisse ton cœur, avec le vin nouveau, avec les Pâques du Seigneur, car c’est le Seigneur qui est la nourriture et la boisson les plus chères, les plus saintes, les plus vivifiantes, les plus saines et qui donnent de la joie au cœur affligé, tel qu’il est écrit.

Oh, prenez soin, les fils, car c’est le vin qui M’a anéanti le genre humain sauvé du déluge, car il l’a de nouveau mené à la chute, après que Noé soit sorti du navire avec les siens et qu’il ait planté de la vigne, après avoir fait du vin et s’en être grisé, il a maudit de sa bouche, et sa malédiction s’est accomplie. Le vin a fait naître peuple sur la terre de la débauche, au temps de Loth, celui que J’ai sauvé du feu, et il a dû que Je vienne du ciel et Me sacrifier, pour sauver de quelque sorte celui né du péché.

Oh, le vin est fort, il est le plus fort lorsque l’homme fait de lui ce que n’est pas de Dieu que l’homme fasse avec le vin. Oh, les fils, Je viens Moi-Même, vous apprendre l’enseignement sur l’amour de Dieu et du désir saint, et vous aurez de la consolation, les fils. Attention à ne pas pécher, car celui qui n’a pas le cœur blessé pour le Seigneur, c’est le péché qui va le blesser, et cette blessure et mortelle. Oh, voilà combien de veille doit-on avoir contre cet ennemi: le péché.

Oh, fils et filles qui Me suivez avec vos pas, votre cœur et votre désir saint, oh, quel est le visage et la conduite d’un chrétien, qui porte en lui la blessure pour ceux d’en haut, et de la direction ensuite pour la purification de la vie? Les saintes femmes de Ma résurrection, leur amour parle aujourd’hui avec vous. Oh, leur amour est resté mémorable.

Oh, paix à vous, grandes disciples par l’amour et le pas après le Seigneur! Paix à vous, au milieu de Mon peuple d’aujourd’hui ! Qu’elle soit bénie votre parole au festin d’aujourd’hui! Amen.

— Oh, comment parler maintenant, avec Toi, Seigneur? Avec vous, chers disciples du Seigneur?

Oh, tant de saint désir nous a portées et nous porte sur les traces de Tes pas, Seigneur! Tant de désir saint nous pousse maintenant à Ta suite, à Tes rencontres avec ceux de la terre qui Te cherchent, oh, Seigneur!

Oh, cherchez le Seigneur, vous, vous ceux qui venez pour Lui ici, animés du désir saint! Cherchez-Le ici, et cherchez-Le au-delà des choses visibles de Sa création. Nous L’avons cherché pleines d’amour saint après avoir trouvé Son Etre parmi les hommes, et nous n’avons plus eu rien de plus cher à faire ensuite, que de Le suivre, de Lui servir, de Le désirer en L’aimant de tout cœur et en Le portant toujours en nous, et c’est seulement vers Lui que nos pensées se sont dirigés, et lorsque le moment est venu qu’Il porte la croix et Son humiliation, nous avons été comme le feu qui pleure en brûlant, et nous avons pénétré après le Seigneur par Ses supplices, et nous L’avons cherché dans le sépulcre, après avoir vu au matin de Sa résurrection la pierre roulée de devant le sépulcre, autant grande qu’elle était, et l’ange de Sa résurrection nous a annoncé de ne plus Le chercher parmi les morts, puisqu’Il s’est levé et Il est ressuscité.

Oh, supportez la blessure pour le Seigneur, et vous serez heureux de l’avoir, et vous serez sauvés des faiblesses qui vous mènent vers le péché, car vous allez beaucoup aimer, vous allez chercher le Seigneur, vous allez comprendre profondément la vie, vous vous relèverez de vos actions mortes et vous travaillerez des miracles, car vous aimerez les justes et les pécheurs, pour leur salut vous les aimerez. Oh, quand tu aimes de Dieu une personne, tu ne donnes plus d’occasion au péché entre toi et la personne que tu aimes, parce que le péché lui ferait mal, et cela ne s’appellerait plus que tu l’aimes.

Oh, fils de la venue du Seigneur en parole chez vous, oh, fils de la source, ils viennent de loin et ils se rassemblent chez vous tant de désireux après le Seigneur, ils viennent menés du désir saint pour le Seigneur et pour vous, mais vous êtes tellement pris des soucis pour le travail du Seigneur avec vous. Oh, soyez bénis! Qu’elle se transforme en joies et consolation toute votre lourde peine! Nous, les disciples du Seigneur, hommes et femmes, nous vous bénissons la patience et la peine. Elles traduisent votre amour.

Oh, Seigneur, laisse sur eux la grâce de Ton amour avec lequel Tu as bâti le monde, les visibles et les invisibles de Ta création, oh, Saint Epoux de ceux qui T’aiment, Seigneur! Prend soin d’eux jour et nuit sous la Chappe protectrice de Ta mère la Vierge! Mets le peuple de la terre roumaine sous la protection de sa main, et remplis ce pays de la gloire de Tes saints, et fortifiant avec eux les frontières tout autour, et Ta petite armée, en veille et en service ici, qu’elle Te rappelle toujours cela, car c’est Toi Celui Qui accomplit, Seigneur.

Nous sommes au ciel Ta consolation, tout comme nous l’avons été sur la terre au temps de Tes douleurs, et nous T’avons beaucoup aimé, d’un amour aussi grand que Ta douleur, Seigneur. Nous T’avons aimé avec passion, Seigneur, car c’est Toi qui nous ai donné cette blessure à porter, Tu nous as donné l’amour pour Toi et la pitié pour Toi. Même si notre âme était atteinte du péché, nous T’avons aimé, Seigneur, portant en nous la blessure pour Toi, c’est ainsi que nous T’avons aimé, parce que c’est ainsi que Tu l’as voulu.

Oh, que la volonté du Seigneur soit faite en vous et avec vous, pour que vous donniez à tous le Seigneur, vous, les accueillants de Dieu! Elle vous bénit d’auprès de nous la Vierge, la Mère du Seigneur, et elle vous console pour toute la peine, sacrifice consacré au Seigneur. Elle fait partie de nous alors et maintenant et elle est la plus douce, la plus pure alors et maintenant, et elle vous accorde son être et c’est cela qu’elle vous dit:

— Donnez le Seigneur au monde maintenant! Amenez le Seigneur sur la terre, car tout est possible à celui qui croit en Lui, tout comme il a été possible qu’Il naisse de mon sein virginale, qu’Il croisse et qu’Il porte la croix pour le monde et qu’Il devienne le début de la résurrection de l’homme! Donnez à ceux qui viennent à la source, donnez du conseil pour le pouvoir saint, car le Seigneur vous donne à vous qui donnez de la vie de Sa vie à ceux qui Le cherchent ici, à Sa table de parole!

Oh, que c’est beau, mon Fils et Dieu, que c’est beau ici c’est de la beauté du ciel et de la terre! Descends Ton pouvoir et donne le salut à tous ceux qui viennent et se réunissent menés du saint désir ici, à la source! Oh, qu’ils sont beaux leurs pas! Allons leur parler, mon Fils et Dieu, sur l’esprit de l’amour d’en haut, l’esprit qui devient de la consolation venue d’eux vers Nous, mon cher Fils.

Oh, paix à vous, serviteurs fidèles dans votre service! Voilà, le Seigneur vient chez vous avec Ses saints. Amen.

— Moi, le Seigneur, Je vois la joie de ceux du ciel ici maintenant et à leur témoignage, armée céleste à table avec Moi et avec vous. Nous vous embrassons tous à la fois et Nous vous donnons la grâce de l’amour de Dieu, car Ma mère la Vierge souhaite que nous apprenions cela les uns des autres, et Moi Je vais vous conseiller, vous, ceux réunis en jour de fête sainte ici, à la source, et Je vais vous envoyer Mon conseil.

Oh, s’il était possible que Je sois porté autant que Je peux Moi, J’aurais beaucoup parlé avec vous, mais Je suis comblé de pitié, même si le saint désir Me presse. Les saintes femmes de Ma résurrection vous ont parlé de l’amour d’en haut, pour que vous le portiez et en consoliez ceux du ciel et Mes nombreuses blessures, et Moi, le Seigneur, Je vous donne à tous la parole de l’amour: «Aimez-vous les uns les autres tel que Je vous ai aimés, Moi!». C’est ainsi que J’ai renouvelé alors pour Mes disciples le commandement de l’amour, et Je leur ai conseillé d’éviter l’hypocrisie, car c’est le levain des pharisiens, le leur seulement, puisqu’ils Me réprimandaient toujours et toujours, comme on le fait à quelqu’un étant en défaut, tantôt que Je diffamais par la parole, tantôt que Je ne respectais pas le sabbat, tantôt que Mes disciples le faisaient eux aussi, tantôt qu’ils mangeaient sans laver leurs mains, et ils faisaient cela à cause du manque d’amour, à cause du manque de Dieu et de fidélité.

Oh, prenez exemple de fidélité, de désir saint et d’amour, prenez-en de ceux qui l’ont, prenez et apprenez, les fils, car un poète que J’aime a écrit une fois une parabole et il a dit pour ceux qui n’aiment pas le Seigneur, les mots que voici:

…. «Sachant que dans le monde certains chiens souvent sont morts de nostalgie, quand, par malheur, ils ont perdu leur maître, moi, je pense à ces chiens-là : quel exemple d’amour profond, que nous n’avons pas encore prouvé face à notre céleste Maître. De son maître qu’est-ce qu’il reçoit chaque jour comme nourriture un pauvre chien? Une boulette de polenta froide, et rarement de sèches croûtes de pain. Mais combien de rares friandises et combien de consolations toujours, pendant sa vie, tout homme reçoit du Bon Dieu! Et j’ai honte devant tous les chiens qui sont morts tel que je l’ai dit, car, en qualité d’homme, je ne puisse encore m’élever si haut».

Oh, les fils, apprenions l’amour, apprenions-le de ceux qui ont la charité et la fidélité, sans qu’ils en reçoivent de récompense. Oh, cherchez d’avoir une âme grande et belle, car c’est de Moi l’âme dans l’homme. Je vais vous nourrir de Mon doux conseil. Et maintenant Je reste ici avec Mon armée en fête céleste avec vous, nous prenons de son conseil, et ensuite avec chaude bénédiction et des compagnons célestes, qu’elle soit la voie de votre retour, jusqu’à ce que nous allons revenir et nous rencontrer de nouveau et nous donner de consolations.

Oh, paix à vous! Prenez Ma paix! Ni les grands des peuples, ni les peuples ne veulent apprendre de Moi la paix.

Paix à vous, les fils! Je vous remercie, avec les armées célestes Je vous remercie pour vos pas vers Ma source de parole. Oh, apprenez la paix, car Je vous en donne.

Voilà, tout est éblouissant ici, sous la tente blanche avec vous. Qu’elle est grande notre consolation! Ceux du ciel languissent après leurs fêtes avec ceux de la terre aimants de ciel, mais c’est Moi qui travaille ici la merveille des merveilles, oh, les fils.

Je laisse Ma main sur vous. Attention, qu’elle vous soit profitable.

Vous êtes embrassés maintenant par ceux du ciel. Soyez bénis! Nous vous réchauffons, nous vous consolons. Paix à vous, les fils! Amen, amen, amen.

04-05-2014