La Parole de Dieu du premier Dimanche après la Pentecôte, celui de tous les Saints, et la fête de la Naissance de sainte Virginie, la trompette de Dieu

Entre ceux du ciel on se prépare pour la réunion festive du dimanche de tous les saints, et Moi, le Seigneur, Je mets table de parole de fête pour les saints fêtés, pour Mes saints, et pour ceux qui fêtent sur la terre, pour le peuple de Ma parole car dans Ma cité de parole on a festin maintenant pour célébrer Ma trompette Virginie, née sur la terre le dimanche de tous les saints, oh, et quelle est belle sa place au milieu de la fête de Mes saints, puisqu’elle est douce pour eux l’œuvre de Ma parole, par laquelle Je parle sur la terre roumaine depuis 1955, après avoir préparée Virginie pour devenir trompette et exprimer par elle Ma parole d’aujourd’hui, le parler de Dieu au-dessus de la terre, pour M’élever vers la foi et vers l’obéissance un peuple et lui apprendre à part qu’il aime Dieu et qu’il garde avec sainteté les traditions chrétiennes, laissées par l’église du début pour Mes fidèles, qui prennent leur croix pour Me suivre, pour accomplir Ma volonté sur la terre, et que Moi, Je les nourrisse du ciel avec le Saint-Esprit le Consolateur, et que Je fortifie leur marche, afin qu’ils soient les témoins de la descente de Ma parole, au moment où le temps viendra pour la découvrir, et qu’on apprenne que Dieu est descendu et Il a fait entendre Sa parole, celle de la fin du temps, au milieu du peuple roumain car ce temps est venu.

Oh, paix à toi, Mon peuple d’aujourd’hui sur la terre, paix à toi, toi qui es, plus ou moins selon les faits et selon la foi, le peuple de Ma parole! Oh, lève-toi pour écouter Ma parole, avec laquelle en ce jour de fête Je parle dans le ciel et sur la terre, c’est-à-dire avec ceux du ciel, et avec toi sur la terre, Mon peuple qui habites sur la terre, oh, car on a l’assemblée des saints, et Je prends pour ceux de la terre de la consolation et de la joie, de la part de ceux qui leur accordent de la gloire, et mémoire de fête selon la tradition, le dimanche de tous les saints, après lequel il va commencer le temps du jeûne qui va au-devant de la fête des saints apôtres, jeûne qui avec le temps est devenu tout petit comme durée, après que dans le sein du peuple roumain les jours des fêtes de Mes saints soient ébranlés de leur place par le changement de leur lieu dans le calendrier, perdant ainsi la tradition d’être célébrés à leur temps.

Oh, J’ai commencé Ma parole en 1955, mais Je n’ai pas pu faire cet annonce, pour la célébration des fêtes saintes à leur places, comme au début de Mon église, et cela parce qu’ils venaient de ceux qui achètent, de ceux qui vendent des mystères parmi les gens qui s’approchaient pour entendre la voix de Ma parole, et J’ai dû attendre patiemment comme un Dieu et Me frayer chemin favorable pour pouvoir apporter la réparation. Car il est venu l’homme antéchrist et il a pris dans son piège le plus grand de l’église du peuple roumain et il l’a forcé ensuite à faire le changement, apporter la dégradation, frapper la marche traditionnelle de Mon église dans le peuple roumain, le peuple le plus affecté, le plus agenouillé sous l’esprit de l’égarement, qui a levé la persécution sur les chrétiens d’alors, oh, car il a été si difficilement pour les chrétiens de commettre ce péché demandé par les grands de l’église, qui n’ont pas veillé pour la vie du troupeau, et ils ont laissé sous la persécution de l’antéchrist, qui avait et qui a comme travail d’enlever le vêtement saint des fils de l’église orthodoxe, travail pour lequel les serviteurs de l’antéchrist n’ont pas de repos, dans la lutte contre Dieu et les serviteurs de Dieu, mais Moi, le Seigneur, J’ai travaillé en même temps que cette œuvre ennemie, et J’ai fait naitre alors sur la terre, une petite fille, pour réparer ensuite par elle, les choses frappées de l’ennemi, oh, et Je l’ai élevée ensuite couverte sous Mon mystère, et Je l’ai beaucoup préparée, Je Me suis montré avec elle, et en 1955 j’ai commencé à claironner par elle. Je prononçais Ma parole avec Ma bouche et Je l’a passé par sa bouche, et J’ai demandé qu’on écrive la parole de Dieu, pour pouvoir la montrer au temps convenable et pouvoir accomplir ensuite les choses annoncées par elle, et son annonce sur toute la terre ensuite.

Oh, peuple de Ma parole, fais attention à Mon parler d’aujourd’hui, car Je te parle du mystère avec lequel Je Me suis tenu et Je Me tiens au milieu de toi. Et s’ils sont partis de la terre beaucoup de ceux qui ont participé à Ma table de parole pendant tous ce temps écoulé depuis 1955 et jusqu’aujourd’hui, voilà, Je leur fais place maintenant à tous, devant Ma parole, pour qu’ils soient présents à table tous ceux qui ont bu de cette source de parole durant toutes les années de Ma descente pour paître un peuple, et lui montrer mystérieusement l’œuvre de Ma venue en parole sur la terre, oh, car c’est ainsi qu’il était écrit, Mon peuple.

Il y a presque cent ans depuis le début en force de la persécution des chrétiens de Mon église, de ceux qui ont supporté alors le grand chancellement, le changement du calendrier des fêtes de mes saints. Elle est née alors sur la terre, dans une famille pauvre des choses de ce monde, la petite fille Virginie. Moi, le Seigneur, Je l’ai confiée alors au soin des puissances célestes, et il a été grand le mystère de sa vie sur la terre, pendant le temps de persécution des traditions saintes, et elle croissait sous le regards célestes de Mes saints, qui attendaient sa croissance, oh, et Je Me suis montré à elle, et Je lui ai dit qu’elle serait portée par la main, qu’elle serait Ma trompette, que Je la préparerai, et J’ai fait sa préparation, et J’ai laissée sur elle le don de porter Dieu la Parole, Mon parler par sa parole, la trompette de Dieu.

Oh, Mon peuple, Mon œuvre de claironner a été un grand mystère sur la terre, car Je l’ai faisais s’endormir en sommeil profond, comme celui avec lequel J’ai endormi Adam dans l’Eden, lorsque J’ai pris de lui pour bâtir la femme, puisque que Je l’avais fait entier Adam dans l’Eden à sa création, et J’ai pris ensuite de lui la femme, et Je l’ai mise devant lui.

Je laissais sommeil profond sur Ma trompette, tel que son corps ne sentait plus rien, même s’il était brûlé, frappé, piqué, écrasé, et Je passais avec Ma parole par elle, et la parole de Dieu sortait d’elle sur la terre. Oh, c’est ainsi qu’elle M’a porté durant vingt-cinq ans pour prononcer Ma parole, et la souffrance du corps et de l’esprit était grande. Elle était ruisselante de sueur pendant que Je parlais par sa bouche, dont la respiration embaumée était sentie de ceux qui écoutaient Ma parole par elle, oh, et c’était seulement Moi à savoir sa souffrance et son feu intérieur, pour qu’il ne brûle pas son corps, oh, et les saints regardaient du ciel Mon travail par elle, et combien était grand l’étonnement des armées de saints, combien grand a été Mon mystère avec Virginie sur la terre, Mon peuple, et ils apparaît dans beaucoup de têtes de la curiosité et des commentaires portés de lieu en lieu par ceux qui venaient et espionnaient, et Virginie était menée à l’enquête, à la diffamation et à la souffrance, mai Mas main était protectrice sur elle, et Je la mettait sous garde d’anges, pour que les persécuteurs et les espions ne puissent l’abattre, oh, et maintenant elle regarde du ciel, d’entre les saints, à Mon temps avec elle sur la terre, et elle a mal, elle souffre pour tous ceux qui n’ont pas eu le don de comprendre l’œuvre de Dieu et arriver à découvrir Ma volonté, avec laquelle Je Me tenais après eux, pour qu’ils la comprennent et la suivent ensuite.

Oh, les fils, les fils, ceux qui fouillent curieusement avec leur raison, ceux-là n’ont pas encore trouvé la voie, même s’ils ont été et se trouvent auprès de la voie de Ma parole, oh, puisqu’ils cherchent avec leur raison, selon la science humaine. Mais les saints du Seigneur, ceux qui sont vigilants et sages, ceux-là renversent les recherches curieuses de la tête de ceux qui épient les mystères de Dieu et les mystères des hommes, puisque la présomption de l’homme s’élève comme l’huile au-dessus de l’eau, et elle ne permet pas à l’homme de trouver le sentier de sa vie, s’il espionne par sa raison, où par ce qu’il a lu dans les livres. Mais il faut savoir que ce sont les choses travaillées et inspirées de Dieu qui fortifient la voie chrétienne et l’église, et elles sont utiles seulement à ceux dont la raison leur apprennent à ne pas se nourrir de l’esprit de la présomption humaine, mais si tu ne sais pas moissonner, et que faire de la moisson, c’est parce que ta tête ne t’aide pas que pour espionner, et puis pour l’esprit de présomption et d’incrédulité, aidée par la présomption, qui ne peut éclairer l’homme. Et tous ceux qui ont été nourris avec Ma parole, et ne sont pas restés sur la voie jusqu’au bout, ceux-là ne se sont pas retirés à cause de leurs péchés, mais c’est à cause de l’esprit de présomption qu’ils sont tombés de Dieu, tout comme les anges, qui se sont enorgueillis et sont tombés.

J’ai travaillé et Je travaille par cette parole pour découvrir Ma volonté à ceux qui veulent l’apprendre et la suivre, et devenir ensuite Mon peuple fidèle et constant, et par Ma parole d’aujourd’hui J’ai bâti un peuple, une cité, et Je bâtis toujours Ma parole dans le livre, pour l’accomplir ensuite tel que Je l’ai fait durant tous les temps sous le soleil, car Je découvrais la volonté de Dieu, et ensuite Je l’accomplissais, et J’ai ici Ma cité et Je M’y arrête au-dessus et au milieu d’elle avec les armées célestes, et Je tiens sous Mon regard et sous Ma veille la marche et l’œuvre de Ma parole, et Dieu travaille et il va, et en même temps que Moi, elle marche aussi la méchanceté de l’homme adversaire, l’antéchrist, et J’aime l’appeler par son nom et qu’il M’entende le nommer adversaire, et qu’il s’écarte lui, car Je vais vers la victoire et qu’il ne barre pas Mon chemin, puisque Dieu c’est du feu dévorant pour tous ses adversaires, tel qu’il est écrit.

Oh, Ma Virginie, ils te célèbrent les saints dans leur fête d’aujourd’hui au dimanche de tous les saints, telle que les saints parents ont décidée cette fête pour tous Mes saints. Oh, qu’elle a été belle ta soumission sous Ma volonté, Ma Virginie! Oh, qu’il est beau l’homme dont le cœur ne connais pas la présomption et l’orgueil ! Il se tient devant Moi et il découvre Ma volonté pour lui.

Oh, quel grand soin J’ai dû avoir, avec tous Mes saints, et qu’il a été beau Mon travail lorsque J’ai commencé à claironner par toi, et toute la voie de Ma parole ensuite sur la terre jusqu’aujourd’hui, Ma Virginie! C’est toi la racine, c’est toi le fondement sur lequel J’ai commencé et sur lequel J’ai bâti ensuite Ma marche, en avançant sur la terre, pour ne pas m’arrêter de la marche, du chemin frayé par la souffrance et par la patience, pour aller en avant avec l’œuvre de la création du ciel nouveau et de la terre nouvelle, comme il est écrit que J’arrive avec la nouvelle création, travaillé par la parole de Ma bouche au-dessus de la terre.

Tous les saints te regardent à grand plaisir, et ils attendent ton parler sur Ma cité de parole et sur leur fête et la tienne, Ma Virginie. Je suis tout ce que tu es, Je le suis tel que tu as été, Je suis tel que tu as été ce que J’ai du pouvoir par toi dans Mon temps avec toi sur la terre, et maintenant Je suis Moi, et tous Mes saints vivent en Moi comme il est écrit.

— Oh, qui Seigneur, qui peut se venter avec quelque chose selon la vérité, sinon seulement avec Ton Etre, existent en lui? Ma gloire c’est Toi. Je suis née pour Toi sur la terre, selon Ta volonté et Tu M’as élevée ensuite selon Tes volontés, et Moi je T’ai obéi. Mon obéissance à Toi a été tout Mon appui sur la terre, dans les douleurs de la vie, douleurs qui nous gardent les Tiens, nous qui supportons des douleurs.

Oh, je leur dirais moi aussi Seigneur, je leur dirais d’auprès de Toi, je leur dirais à tous ceux de la terre, à tous qui connaissent où ne connaissent pas suffisamment Ton mystère, le mystère de Ta parole, travaillant au-dessus de la terre depuis plus de soixante-cinq ans, venu avec Toi sur la terre, et voilà ce que je leur dis:

Oh, gardez-vous, et qu’elle soit sainte pour vous cette parole, gardez-vous d’espionner où de médire, où de dénigrer sur la venue du Seigneur Jésus Christ, en parole au-dessus de la terre maintenant, et sur le peuple chez qui Il s’arrête avec Son œuvre d’aujourd’hui, car tous ceux qui ont mis à l’épreuve le long du temps cette épée à deux bouts de la gloire de Sa parole, pour l’espionner, où pour la diffamer, où ne pas la croire, tous ceux-là sont restés sans pouvoir, ils ont tous souffert et ils souffrent pour leur incrédulité, pour leur infidélité. Oh, mordez votre langue, quand vous êtes prêts à médire sur cette parole ! Restez de coté si vous ne pouvez pas vous incliner avec la foi, mais ne levez pas la main vers cette épée qui protège le mystère de Dieu, travaillant maintenant pour la venue du Seigneur en parole au dessus de la terre, pour la naissance de nouveau du monde, tel que le Seigneur a dit qu’il s’accomplira.

Au peuple de Ta parole, à tous ceux qui croient et qui Te sont fidèles, Seigneur, je leur dis aussi : les fils, les fils, ne vous nourrissez pas, oh, ne nourrissez vous pas de vous-mêmes. C’est dangereux, il est très dangereux pour le salut éternel de l’âme. Et vous ne savez pas ensuite si vous avez encore de temps pour vous humilier de votre cœur et redresser la vue de votre raison.

Oh, c’est seulement la charité d’entre eux, c’est elle seulement qui peut garder jusqu’à la fin les frères ensemble, n’oubliez pas cela. Celui qui ne peut se tenir dans une grande humilité face à Dieu et aux frères de la communauté, je l’exhorte à considérer son passé plein de fautes et de honte vis-à-vis de Dieu, où, par contre, s’il est si saint qu’il se veut et qu’il se montre, un tel homme, doit s’imaginer quel pécheur aurait-il pu être, et qu’il aurait pu mourir dans cet état, si Dieu n’était pas mort pour son péché, pour le réduire, pour l’effacer par Sa passion sur la lourde croix, qu’Il a si difficilement relevée pour la porter et S’y mettre ensuite cloué, Dieu condamné à mort sur la croix, et cette honte où cette douleur vont t’aider d’échapper à cette toute aveugle présomption, et des ténèbres, qui en viennent, et ainsi tu vas voir qui tu as été où qui tu pourrais être, et quel prix on a payé pour toi, pour que tu ne périsses pas en pécheur.

Vous, fils qui êtes plus faibles avec l’amour et la stature dans le Christ, oh, changez votre conduite dans une timidité sainte envers tous, de laquelle il va venir un fort sentiment d’amour pour l’esprit de la fraternité sainte, et de la joie qui vous unit, tous en un, et ensuite une paix sainte va venir sur vous, une joie neuve ensuite, consolante, une foi forte, œuvre d’un espoir encourageant, et vous vous remplirez de force, de santé, car tous ces sentiments signifient santé et guérison de l’homme du passé, les fils, et renouvellement de la raison, des désirs saints, beauté céleste dans un cœur nouveau, beaucoup d’esprit et peu de chair, englobé de l’esprit en quantité, et c’est ainsi qu’on peut passer de la chair en esprit, et l’esprit c’est le bonheur inconnu par les charnels, et trop charnels, et ce bonheur permet à l’homme d’éclairer le passé de sa vie, pour voir ses fautes, du milieu des quelles il est sorti pour flotter au-dessus de la chair et guérir la coulpe du passé, car celui qui considère ses péchés il change totalement, et par une honte sainte il se remplit de la joie de l’humilité envers lui-même, car la chair ne sert à rien de bon, mais c’est l’Esprit, les fils, Celui Qui donne de la vie et la joie de vie.

Gardez-vous du mécontentement les fils, car un tel homme a l’amour de soi, il est présomptueux et il cherche de l’appréciation pour lui, il la cherche de la part de l’homme, non pas du ciel. Il y a un belle petite histoire qui raconte de cinq amis qui vivaient en bonheur, même s’ils étaient différents selon la chair, et ils s’étaient réunis pour habiter tous ensemble, et ils étaient tous petits, cinq amis petits, et les petits vivent dans l’amour, ils vivent ensemble par l’amour, et leur communauté était formée de deux nains, un petit oiseau, une petite grenouille et une petite souris, tous ensemble dans une petite maison, et ceux qui sont petits restent ensemble jusqu’à la fin parce qu’ils sont petits. Cet exemple c’est pour ceux qui sont chrétiens, et qui peuvent vivre ensemble, plus ou moins nombreux, en paix, et en amour saint, à condition qu’ils soient petits.

L’homme le mieux portant, le plus guérisseur pour lui-même est celui qui voit et qui reconnait les péchés de sa vie, il s’humilie pour eux, et il va bien celui qui voit ses péchés, il a raison s’il fait ainsi, s’il voit le mal qu’il fait pour en sortir dessus, et il fait du bien à sa vie par l’humilité du cœur, qui s’humilie. C’est cela que je vous apprends, en mon jour de fête entre les saints, et votre penchant vers l’enseignement ne l’oubliez pas, car si vous n’apprenez pas, vous ne saurez pas travailler, les fils.

Oh, obéissez au Seigneur! Il vous apporte toujours ce que vous devez obéir, et il est dangereux de ne pas obéir à Dieu, les fils. Je vous prie Moi, celle qui prie toujours le Seigneur pour vous, pour qu’Il vous aide de vous garder les Siens, à Sa suite toujours, toujours, et c’est ainsi que vous devez apprendre la marche, marche selon la parole pour vous, oh, les fils.

Et pour Toi, Seigneur, oh, gloire à Toi Seigneur, à Toi, et à Ta gloire, avec le peuple de Ta parole! Ma voix est devenue trompette pour lui en mon jour de fête entre les saints, et gloire à Ton grand nom sur eux, oh, Seigneur, gloire à Toi pour eux! Amen.

— Oh, tu les as levés à grande veille, Ma Virginie. Tu es voix de Ma voix, tu es esprit de Mon Esprit et c’est ainsi que tu travailles quand tu parles pour eux. Oh, paix à toi entre tous Mes saints! Tu es comme leur trésor entre eux. Tu as été promise pour Me porter au temps de la fin, Ma Virginie. Ta souffrance est devenue toute une gloire dans le ciel, et elle brille dans la gloire de Dieu maintenant. Oh, paix à toi, paix à toi, Ma trompette!

Oh, fais attention, Mon peuple, oh, fais attention avec l’esprit! Ma trompette a sonné, fais attention!

Et toi, cité de Ma parole, tu es en fête aujourd’hui et tu as reçu Mes saints à table, dans le jardin ici, et ils se tiennent au-dessus des armées de saints, et Moi J’ai mis la table de parole, pour eux et pour toi, et pour le peuple, qui se nourrit de Dieu, avec des jours de fête et de parole, et auquel Je dis encore et encore:

Oh, n’oublie pas, Mon peuple, n’oublie pas d’accomplir Ma volonté, et pas ta volonté sur la terre, et tu seras celui protégé, et tu seras celui glorifié par Mes saints, qui glorifient Mon œuvre avec toi, en se tenant à table avec toi ici, pendant la descente de Ma parole chez toi. Amen, amen, amen.

14-06-2020