La Parole de Dieu à la Fête du Saint martyrs et archidiacre Etienne

Je suis ton Seigneur Dieu, peuple nourri de Dieu sur le foyer du peuple roumain, le pays de Mon retour d’auprès du Père à la fin du temps.

Paix à toi, Mon peuple! Je suis dans le nuage au-dessus de toi avec les saints et Je suis aux portes pour entrer en parole dans le livre et te nourrir, car tu ne serais plus Mon peuple si Je ne te nourrissais toujours, si Je n’avais pas sur la table cette nourriture paternelle toute mâchée par Ma bouche pour te la donner, tel que la mère mâche dans sa bouche la nourriture solide, la mouille et la donne ensuite à son petit toute mâchée, et lui il mange et il se réjouit et grandit heureux et nourri par sa mère.

Je viens avec de la nourriture, les fils, car Dieu c’est sans début ni fin avec Sa nourriture, tout comme avec Sa parole de création, tout comme c’est par la parole qu’on fait toutes les choses. Oh, qu’il serait bon que l’homme travaille lui aussi de cette manière, et surtout l’homme chrétien, et pour une telle œuvre il doit demeurer toujours en Dieu. Oh, comment faire cela, les fils? Voilà, comme Je l’ai dit et pas autrement, tout par la parole réalisé, et lisez les Ecritures et vous allez trouver qu’il est écrit: «Réjouissez-vous toujours, priez sans cesse!».

Oh, réjouissez-vous de Dieu, réjouissez-vous d’appartenir à Dieu et priez devant Lui sans cesse, parlez-Lui pour être avec Lui, et qu’Il soit toujours avec vous le Seigneur, car autrement c’est la tentation qui vient, il vient l’éloignement entre vous et Dieu, et vous n’avez plus ni la joie, ni la prière, qui va tout seule, née du désir saint et accompagnée par lui, et elle réjouit celui qui aime, puisque Dieu c’est l’amour, les fils, et sans Lui vous n’auriez pas l’amour, celui qui peut tout, les fils.

Je vous ai dit il y a trois jours, qu’encore un jour ayant passé, nous nous motterons de nouveau dans le livre pour nourrir ceux qui se nourrissent de Ma source de parole. Oh, si Je ne vous parlais pas, vous aurais-Je encore comme fruit de Ma parole, aurais-Je encore de la joie? Oh, les fils, c’est vous Ma joie, et nous disons à tout le peuple de Ma parole que le discours d’entre les frères est le fruit de leur prière vers Moi, c’est la preuve que vous travaillez tous la prière, qui vous apporte la réponse de Dieu, et celle-ci a comme fruit de fruit le don de la prophétie, et David, lorsqu’il envoyait sa prière vers Dieu, il la mêlait à la prophétie, car elle est le fruit de la prière, oh, c’est pour cela qu’elle vient sur la terre la prophétie et son accomplissement, et elle vient de l’état de l’homme parlant avec Moi, et elle vient de l’humilité de l’homme, qui s’incline au Seigneur par la prière d’amour, de pardon, d’appellation du Saint-Esprit au travail avec l’homme, dans l’esprit de la prophétie et voilà, il est loin de Dieu l’homme, les fils, loin avec la prière, loin, car David disait: «Je me suis levé et voilà, je suis encore avec Toi, Seigneur».

Oh, ils sont tourmentés, les hommes. Ils n’obéissent pas à Dieu les hommes. Elle est toute une souffrance leur vie, celle de ceux qui n’obéissent pas, car le diable torture à sa volonté ceux qui sont séparés de Dieu avec leur vie. Mais vous cherchez toujours d’être unis avec Moi par votre parler avec Moi, et ensuite, les fils, osez vaincre et être vainqueurs, et vainquez le monde et le diable, tel que Je l’ai fait, car ceux–ci sont les ennemis qui se trouvent entre vous et Moi, mais vous, soyez les fils de votre discours avec Dieu, pour ne pas donner de lieu et du temps au diable, qui prend l’homme de Mes bras, et sans Moi avec vous et en vous, vous arriverez ensuite à devenir mécontents, c’est-à-dire privés de Dieu, comme ceux qui se plaignent les uns aux autres sur leurs mécontentements, oh, les fils, mais ceux-ci les uns et les autres feront mieux d’apprendre par cœur de se garder l’un l’autre de ce péché horrible, car la justice de toutes choses n’est pas à la porté de n’importe qui , non, les fils, et il est dangereux que l’homme se mette sur la chaise de la justice, car c’est le lieu du Seigneur sur cette chaise, puisque le Seigneur ne voit pas comme l’homme, ne se plaint pas, comme l’homme. Le Seigneur pleure seulement, mais Il ne Se plaint pas, Il ne Se mécontente pas pour Se plaindre.

Oh, l’amour de Dieu reconnaît Dieu dans l’homme-même et dans son prochain, et il ne tente pas Dieu pour l’homme. Que personne donc d’entre vous n’exhorte au mépris envers les frères devant quelqu’un auquel il se plaindrait contre d’autres frères, quand cela lui viendrait dans l’esprit, et soyez tout amour, les fils.

Oh, ne vous accommodez pas trop avec l’homme, car entre homme et homme il arrive des séparations pour beaucoup de motifs, Je vous l’ai dit déjà. Mais vous, habituez-vous toujours plus avec le Seigneur tout près, car entre l’homme et Dieu, ne vient pas la séparation, et l’homme ne peut plus demeurer sans Dieu, ni durant sa vie sur la terre. Tout ce pouvoir vient de l’esprit de la douceur, douceur comme la Mienne, qui ne passe pas, qui ne diminue pas, et c’est elle la vraie vie, le vrai amour de la vie de l’homme, l’œuvre de l’amour d’entre les hommes, et il est grand, et il ne tombe pas. Oh, habituez-vous avec les choses qui demeurent, avec les sentiments qui demeurent et qui ne finissent pas, et qui ne terminent pas l’homme, tout comme ils ne finissent pas.

Je t’ai enseigné Mon peuple, d’être toujours préparé pour Dieu et de travailler pour Lui comme si tu n’aurais de fin, et d’être prêt à tout instant pour ta présentation devant Lui, s’Il vient pour t’appeler. C’est pour cela que Je t’ai conseillé comment vivre chaque jour, comment te lever, comment travailler et comment te reposer ensuite pour le jour suivant, et faire ainsi sans arrêt, jour par jour. Mais si tu ne fais pas tel que Je t’ai dit de le faire chaque jour en toute obéissance, oh, alors cela signifie que c’est la crainte de Dieu qu’il te manque, crainte d’où vient la sagesse de la vie, c’est –à-dire l’obéissance, les fils, car c’est elle qui te garde le Mien, tout comme elle aurait pu garder Adam, pour qu’il ne périsse pas de la Main de Dieu, et voilà, que personne ne dise qu’il est à Dieu, s’il ne Lui obéit pas, s’il fait comme Adam dans l’Eden, désobéissance envers la parole de Dieu.

Oh, il suffit à l’homme Ma volonté, mais s’il agit selon sa volonté, pas comme Moi, il ne M’a plus comme son Dieu, mais ce qu’il a c’est seulement soi-même, et il n’est plus un homme conseillé, oh, c’est seulement celui qui est conseillé par Dieu qui appartient à Dieu, qui Lui est utile, mais Moi, le Seigneur, Je n’ai pas de bénéfice de la part de l’homme, car il n’est pas habitué à obéir, il n’est pas habitué avec Dieu, puisque celui qui n’obéit pas à Dieu, il n’a pas Dieu de père. Les enfants seulement obéissent à leur père, mais s’ils perdent l’obéissance, ils perdent aussi le père.

Oh, J’ai bâti l’homme et Je lui ai donné âme vive et Je l’ai mis ensuite dans le jardin d’Eden, dans l’obéissance Je l’ai mis, et voilà un autre nom pour le paradis de l’homme: c’est l’obéissance ce nom, les fils, et si l’homme n’obéit plus à Dieu, il n’a plus le paradis, il s’en va dans la désobéissance, le pauvre, comme l’un de ceux qui n’ont plus de père à lui obéir. Restez donc dans l’Eden, restez dans l’obéissance, les fils, car Je dois découvrir sur la terre le mystère du paradis et le jardin ensuite, et voilà, Je n’ai pas avec qui accomplir cela, et le temps est venus, les fils.

Oh, priez sans cesse car c’est ainsi qu’il vient l’esprit de la prophétie, c’est l’Esprit-Saint Qui vient par la prière, Il vient avec de grands accomplissements, les fils, Il vient et réveille de plus en plus l’harmonie et son sentiment entre les frères, oh, et ils vont pleurer beaucoup de gens qui ont rejeté ce mot, lorsqu’ils l’ont entendu et ils n’ont pas voulu le comprendre et en croire, pour leur intérêt.

Et maintenant, les fils, l’armée des martyrs qui ont témoigné pour Mon nom lors de leur vie sur la terre, a le martyr Etienne en son milieu, martyr lapidé à l’ordre du sanhédrin de ce temps-là, après qu’il leur eut parlé comme à des opposants au Saint-Esprit, les nommant nuques raides, tel qu’ils sont aussi ceux d’aujourd’hui prêtres et prélats qui froncent leurs sourcils pour ne pas montrer leur foi et perdre ensuite la gloire, celle des hommes, tel qu’ils la perdent ceux justes d’entre eux qui sont mis dehors de l’autel et séparés des pasteurs payés, qui ont pris par l’argent leur service à l’autel, et qui tendent la main pour recevoir de l’argent, en recevoir toujours, et c’est l’argent seul qui occupe leur tête, les pauvres. Oh, comment pourrait-ils vouloir de vous, du moment que vous ne demandez pas d’argent pour les prières, pour les services, bien au contraire, vous travaillez de vos mains et vous prenez soin du peuple de Ma parole et de Mon œuvre avec vous, œuvre qui a besoin de beaucoup de choses pour avancer sur la terre, et vous ne gagnez rien, mais vous donnez, sans jamais en reprendre, et vous êtes aidés par ceux qui vivent comme vous, et vous les aidez à votre tour, vous vous soutenez les uns les autres, pour que vous soyez tous les Miens, et pour que vous n’ayez pas besoin des étrangers, car c’est ainsi que J’ai décidé pour vous, et ce n’est pas possible autrement dans le vrai service pour Dieu, et vous élevez des prières devant Moi pour tout le monde et pour tout ce qui sera à venir sur la terre de Dieu, les fils.

Oh, voilà, l’apôtre Etienne était un de ceux qui prenait soin du troupeau chrétien de ce temps-là, établi par les apôtres au travail pour le troupeau, auquel s’ajoutaient beaucoup de prêtres, tel qu’il est écrit, pour qu’ils appartiennent eux aussi au Christ, tout comme aujourd’hui, il y a aussi beaucoup de serviteurs d’autels qui se nourrissent de cette parole et qui marchent droitement sur leur voie avec Moi, et ils restent secrètement ils font leur travail avec le troupeau, car autrement ils seraient éloignés de leur service, mais il va venir le temps aussi, il vient, les fils, car il est écrit qu’il vienne et qu’il soit.

Voilà venir le temps de la découverte des fils de Dieu, c’est ainsi qu’il est écrit, et ceux qui lèvent maintenant leur voix pleine d’une hypocrisie qu’on n’a plus vue, oh, ils seront beaucoup méprisés, puisqu’ils n’ont pas obéi d’être sages, de s’occuper de leurs affaires, du moment que Je ne leur demande rien, et vous non plus, mais voilà, ils n’obéissent pas, et ils tombent sous le grave péché du blasphème contre le Saint-Esprit Qui séjourne avec vous, car Je L’ai promis et Je l’ai dit qu’Il vient et qu’Il va tout enseigner à ceux qui croient à Ma venue, alors et maintenant. Oh, et personne de ceux qui croient qu’ils détiennent les clefs au royaume des cieux ne peut M’enfermer dans les cieux pour ne plus venir et travailler l’œuvre que Mon Père M’a donnée, voilà ce que Je leur dis. Oh, et Je leur dis encore que c’est Moi Celui Qui vous protège, et que c’est Moi qu’ils frappent lorsqu’ils envoient vers vous la méchanceté de leur cœur, et qu’ils mettent en péril la garde de leur vie, s’ils agissent ainsi, et qu’ils ont eux aussi des enfants, ils ont des familles, et voilà, ils ne se rendent pas compte qu’ils peuvent se faire mal eux-mêmes, et Moi, Je suis Celui miséricordieux et Je leur conseille d’être sages, s’ils veulent.

Oh, martyr au cœur plein de zèle à aider vers la fidélité ceux à nuque raide, voilà, c’est ainsi qu’ils savent agir ceux qui n’ont pas Dieu de leur Père. On t’a broyé le petit corps sous les pierres jetés sur toi, mais tu étais chrétien et tu ne t’es pas fâché contre eux, mais au contraire tu Me priais d’avoir pitié de leur inconscience et leur pardonner, et toute de suite J’ai brillé encore plus fort en toi, et Je t’ai endormi ensuite, pour ton repos, et tu es passé au rang des travailleurs invisibles, qui travaillent d’en haut pour Mon église, pour les chrétiens qui font Ma volonté et ce sont eux seulement qui forment Mon église, maintenant comme alors, mais y-a-t-il quelqu’un qui ait le temps de comprendre cela?

— Oh, Seigneur dont J’ai témoigné par mon esprit doux et humble, je demande moi aussi maintenant à ceux qui se donnent des serviteurs dans les églises : savent-ils comment doivent être Tes apôtres? Savent-ils comment soigner les brebis du troupeau? Ils doivent être doux et humbles de cœur, et ceux qui sont ainsi, ceux-là croient à la parole de Ta descente, et ceux qui ne croient pas sont présomptueux, ils sont infatués, ils sont à plaindre, puisqu’ils ne savent pas ce qu’ils font lorsqu’ils T’écartent de leur chemin, avec Ton travail d’aujourd’hui. Oh, comment se fait-il qu’ils ne voient pas Dieu dans cette parole? Les voilà, ils ressemblent à ceux d’alors, qui m’ont lapidé et auxquels j’ai rappelé Ta racine venant d’Abraham, de Moïse et de David et des prophètes de la loi, celle donnée par les anges, et eux, ils grinçaient des dents, Seigneur, comme ceux d’aujourd’hui. Oh, et moi, J’ai levé les yeux vers Toi en haut et je T’ai vu avec le Père, Seigneur, et Je leur ai dit cela, mais eux, ils se sont bouchés les oreilles, comme ceux d’aujourd’hui, et tous, comme un seul homme se sont précipité sur mon corps, duquel je leur parlais et ils m’ont poussé hors de la ville et ils m’ont lapidé pour me faire taire, et j’ai dit encore: «Seigneur, reçois mon esprit», et me mettant à genoux j’ai crié d’une voix forte: «Seigneur, ne les impute pas ce péché», et ensuite je me suis endormi et je suis passé avec Toi, vers Toi, Seigneur.

Oh, gloire à Toi, et reçois notre action de grâces avec inclination pour Ton amour, par lequel Tu nous consoles et nous donnes de la joie quand nous venons avec Toi lors de Ta venue avec les saints, quand nous travaillons d’auprès de Toi, en témoignant de Toi sur la terre, Seigneur!

Et vous, les infidèles, vous ne verrez pas la fin n’importe comment, mais seulement après avoir vu de vos yeux que Dieu avait été cette parole, avec laquelle Il est venu vers vous aussi pour vous faire grâce, mais vous n’en avez pas voulu, car votre cœur est désert de Dieu, et pourtant les anges du ciel chantent toujours sur la terre pour la venue du Seigneur en parole, ils chantent et ils remplissent les airs en disant en chœur: Béni soit Celui Qui vient au nom du Seigneur! Amen.

— Amen, vous dis-Je Moi aussi, à ceux qui vous tenez sous la malédiction de l’infidélité, et Je vais vous faire entendre les anges chantant Ma venue d’aujourd’hui, car c’est ainsi que Je l’ai dit il y a deux mille ans, oh, et elle va voir Jérusalem aussi, celle qui ne M’a pas cru alors, et ils seront eux aussi témoins de la vérité de Ma venue d’aujourd’hui, car c’est ainsi qu’il est écrit de s’accomplir, et qu’ils entendent tous ceux d’alors: Béni soit Celui Qui vient au nom du Seigneur! Amen.

Et vous, ceux qui portez Ma venue et Me partagez jusqu’aux extrémités pour que toutes les nations de la terre sachent que J’accomplis la prophétie et Je viens, vous, les fils, soyez Mes serviteurs, n’écoutez pas les hommes, laissez-les, ce sont des guides aveugles, gardez-vous de leur hypocrisie.

Voilà, Je regarde le cœur et la conduite hypocrite du prêtre de la cité d’ici, sa mission de vous regarder, de vous flatter de rapporter à leur chefs, mais ce prêtre ne sait pas se comporter, il n’a pas la bonne tenue dans sa conduite quand il vient chez vous, car il est hypocrite, il essaie de vous fermer la bouche, pour que ce soit lui seul à parler, et qu’il n’entende pas de vous la vérité de l’hypocrisie, qu’ils savent tous par cœurs, ces serviteurs-ci, qui ont peur de ne pas perdre leur service que leur grand chef ne les mette à la porte. Oh, cela ne vous regarde pas, vous. Qu’ils vous laissent tranquille avec leur hypocrisie, car ils ne sont que des pharisiens, ils ne savent pas parler à quelqu’un et ils croient que c’est seulement eux qui doivent parler. Mais vous, ne permettez plus cela, les fils. Ils ne savent pas se faire agréables, se faire aimés par le peuple. Oh, il serait bon que chaque troupeau ait un prêtre de sa cité, car ceux envoyés ne sont pas du lieu, ils ne sont pas connus par habitants de la cité, et ils viennent sous nom de prêtres amenés, selon le plaisir des chefs, pour tenir à main forte, dans la soumission et sous contrôle visible, ceux sur lesquels sont établis ces prêtres étrangers de la cité, étrangers des hommes de la cité, comme si ceux-ci seraient tous des sots, tous des incapables. Oh, ce n’est pas ainsi que Mes disciples ont bâti Mon église, mais ceux d’aujourd’hui, qui sont-ils ? Moi, Je ne connais pas ceux qui travaillent autrement que ceux qui ont établi sur sa pierre Mon église, en son entier dans chaque cité, puisque la tête de l’église c’est Moi, Moi et pas l’homme, oh, et c’est de cette manière que Mes disciples ont travaillé lorsqu’ils ont consacré des églises dans les cités.

Et maintenant Je vous laisse dans la compagnie de Mon Esprit, afin que Je sois avec vous, les fils. Oh, soyez sages avec les hypocrites, qui vous croient un peu naïfs, vous, par rapport à eux qui seraient forts et intelligents. Mais vous êtes les Miens et vous êtes bien élevés et vous avez de l’intelligence de Moi, et ils n’arrivent pas d’être comme vous, mais ils ne savent pas avoir une belle conduite envers vous, telle que vous l’avez envers eux, grâce à la formation que Je vous donne.

Oh, est-ce possible qu’ils viennent chez vous et qu’ils parlent eux seulement, et que vous n’ayez pas le temps de parler de la position de Mes portes, de la cité de Ma parole? J’ai dit par l’Esprit: «Ne réponds pas au fou selon sa folie, pour que tu ne sois pas comme lui, mais réponds lui et à sa folie, car autrement il se croit sage, en ne l’étant pas».

C’est Moi Celui Qui ai dit et établi dans Mon livre avec vous comment vous conduite avec les hypocrites, auxquels va bien le dicton: «c’est l’intérêt qui prime tout», oh, qu’il serait bon pour eux d’observer leurs affaires, et pas vous, pas vous, les fils, surtout puisqu’ils disent que vous n’êtes pas d’entre eux, que vous êtes étrangers à l’orthodoxie, cela en temps qu’ils ne gardent pas l’orthodoxie, vu qu’ils ne la vivent pas. Oh, s’ils avaient l’occasion de vous entendre parler par Ma sagesse qui est en vous, ils ne le supporteraient, car ils auraient honte devant Mon Esprit, Qui Se trouve en vous, et ils éviteraient d’entendre, de croire, tel qu’ils sont habitués à faire toutes les fois qu’ils rencontrent Ma sagesse dans l’homme.

Oh, les fils, les fils, Je vous délivre du fardeau, mais vous êtes Mes heureux sous Mon fardeau. C’est Moi votre fardeau, mais c’est Moi Qui vous donne des pouvoirs pour lui, car Je veux que vous ayez de la pitié envers Dieu, car c’est de la pitié que Je veux, les fils, et ils ne savent pas les hommes de la terre avoir pitié de Dieu, telle que J’ai mise en vous pour Moi, et pour Me porter afin d’aller, puisque sans l’homme comment pourrais-Je marcher? Mais J’ai fait l’homme pour Me porter, les, fils, et vous comprenez cela.

Oh, paix à vous, paix, les fils! Oh, si Je pouvais laisser Ma paix sur les hommes tout comme Je la laisse sur vous, les fils. Paix à vous, paix à vous, les fils! Amen, amen, amen.

09-01-2019