La Parole de Dieu à la Fête de la Naissance de la Mère de Dieu

Levez-vous de la literie, vous, qui veillez pour Ma venue chez vous et la préparation des fêtes saintes dans Mes jardins avec vous ici, et dépêchons-nous pour être prêts, les fils, pour ouvrir aux hôtes venus du ciel, et pour recevoir au festin saint ceux qui viennent avec vous à table, lorsque Moi Je viens avec les saints chez vous, car Me voilà sur la voie avec la fête de Ma mère la Vierge, en souvenir du jour où elle est née sur la terre entre les hommes, afin que Dieu fasse par elle l’œuvre de Sa venue en chair sur la terre, puisque Dieu devait se rendre vu et connu, pour attirer vers les choses invisibles ceux qui sont dignes de la gloire céleste, dans leur chemin vers les cieux avec leur vie de la terre, oh, et qu’elle est belle toute l’histoire de Dieu avec les hommes, et voilà, dans les jours de fête, elle vient l’histoire sur la table et elle apporte de la joie et elle ouvre la voie du ciel sur la terre, et celle de la terre vers le ciel, car pourquoi se réuniraient les gens en grand nombre dans les jours de fête, puisque c’est pour Dieu qu’ils se réunissent? Oh, et combien aimerais-Je que tout homme sache ce que cela signifie Dieu avec les hommes, qu’ils le sachent ceux qui se réunissent pour Dieu, oh, les fils! Et voilà, Moi, le Seigneur, Je viens chez vous et Je passe le temps avec vous et nous parlons, car ceux des cieux vous parlent, et même à ceux qui ne connaissent pas Mon mystère avec vous, oh, et combien aimerais-Je qu’elle s’étende la table de Ma joie avec l’homme, le festin de noce du Fils de Dieu avec sa mariée, la mariée de l’Agneau, les fils, tel qu’il en est écrit dans les Ecritures, les fils!

Donc, c’est la fête dans les cieux et sur la terre pour toi, Ma mère la Vierge, et Nous venons accompagnés par des suites de saints et d’anges, Nous venons portés de chérubins et de séraphins dans les jardins préparés pour la venue du Seigneur avec les saints sur la terre roumaine, car voilà arrivé le temps inscrit dans les Ecritures pour que Je vienne avec les saints, Ma mère, oh, et c’est pour cela que J’ai préparé ici cette cité de pierre rare, car c’est Moi sa pierre, et Je suis aussi la pierre du sommet, la beauté de cette montagne sainte, Ma mère, car Je suis Celui merveilleux, issu du sein du Père entre les hommes il y a deux mille ans, oh, et de ton bras de mère Vierge, et placé entre les hommes après Ma naissance, puisque le Saint-Esprit s’est atteint de toi pour que Je fusse né ensuite, homme de Dieu venu sur la terre, oh, et qu’elle est belle l’histoire de Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit, et ton histoire avec Moi ensuite, Ma mère, et combien tu as été douce parmi tous les êtres de la terre, Ma mère, et Moi Je t’ai aimée infiniment toujours, toujours, depuis les cieux jusqu’aux cieux, depuis les siècles passées jusqu’aux siècles à venir, Ma mère.

J’ai la nostalgie, toujours et toujours la nostalgie, J’ai la nostalgie de la belle âme dans l’homme, Ma mère ! Ma nostalgie inextinguible c’est d’avoir des fils saints et porteurs de belles âmes. Et allons dire à ceux qui Nous prennent de Ma parole d’aujourd’hui, allons leur dire ce que c’est la belle âme, Ma mère.

Oh, les fils, écrivez Ma parole et envoyez sur la terre sa voix, car Moi, le Seigneur, Je dis à tous ce que c’est la belle âme. La belle âme c’est la demeure de Dieu entre les hommes, c’est le palais des beautés du ciel et la voie vers les palais célestes, les palais des belles âmes, qui se réunissent ensuite dans le ciel, après leur transformation en voie du Seigneur avec elles sur la terre.

Oh, qu’est-ce qu’il fait sur Ma voie celui avec une belle âme? Il se fait voie vers Dieu pour ceux qui sont étrangers à cette voie, et il se fait saint désir envers Dieu, dans ceux qui ne Le connaissent pas, et ensuite l’homme aspire aux beautés du saint désir, beautés vers lesquelles il tend ce désir. La belle âme ne s’afflige jamais de rien et ne se fâche pas contre personne sur la terre, quel que soit le nombre des épreuves qui l’envahiraient, oh, et il ne se fâche pas contre quelqu’un spécialement. Il prend soin d’être beau tout le temps, de ne pas faire mal à quelqu’un de son entourage, de ne pas tourmenter, et de ne pas mépriser personne. Il amène Dieu dans l’homme et Le partage de son dedans, il est tout une harmonie pour tous et pour toutes de la terre, et le ciel se réjouit de lui et en lui.

Oh, les fils, réjouissez-vous des fleurs, des arbres, des papillons, des oiseaux qui chantent à Dieu et à ceux de la terre, oh, réjouissez-vous des anges d’auprès de vous, des frères et des sœurs, car ceux qui ont des frères ont des anges, et malheur à celui qui est seul, qui n’a personne à le réprimander aux temps de ses fautes, du manque de sagesse, d’éloignement de Dieu sur la voie de la vie, puisque la vie sur la terre est pleine de dangers lorsqu’on n’a pas à qui obéir comme à Dieu sur la terre. Oh, mais celui qui n’obéit pas à Dieu, n’obéit à personne sur la terre, et celui qui n’obéit pas à quelqu’un de la terre, celui-là n’obéit ni à Dieu, il ne peut vraiment pas obéir à Dieu un tel homme.

Oh, les fils, l’œuvre de la belle âme c’est la loi de l’amour, que Je vous ai appris à rappeler chaque jour à votre cœur, la loi de l’amour et sa mise en pratique, votre vie avec Moi et avec les frères, vie dans laquelle doit se refléter tout le temps Mon visage, la belle âme, par laquelle Dieu habite dans l’homme. Oh, et Je ne M’arrête plus pour vous expliquer l’œuvre de la belle âme si Je vous ai rappelé sa loi, mais Je vous le dis, pour Me consoler Je vous le dis, que Mon désir inextinguible c’est d’avoir des fils à belle âme, et voilà ce que Je vous apprends:

Les fils, les fils, vos activités pour les choses terrestres utiles à Moi et à vous avec Moi, celles-ci peuvent produire des pressions sur vos petits cœurs, des confusions, des dissensions, du manque de dévouement, d’harmonie, de courage, de santé, les fils, mais ce qui est pire c’est qu’elles vous déshabituent de vos choses spirituelles et de celles d’entre vous, car les choses spirituelles doivent trouver leur temps et la raison sainte, oh, et il est dangereux d’être autrement, les fils, car les activités d’entre vous pour les choses spirituelles, vous mettent l’âme en mouvement par le saint désir, elle vous réjouissent, vous remplissent de grâce, de témoignage de l’un à l’autre, elle vous collent des ailes saintes, elles vous mettent dans les cœurs l’amour et toute sa loi et tout son accomplissement et tout son temps, puisque le temps de l’amour c’est le temps-même de votre travail, celui réalisé avec votre corps, oh, les fils.

Je vous rappelle maintenant du désir saint envers Dieu et les frères, celui des pasteurs du temps de cette œuvre de parole, Mon temps avec Ma trompette Virginie et Mon temps avec vous ensuite, oh, les fils. Je suis venu il y a quelques années et J’ai pris avec ceux des cieux, membres de la famille de Mon œuvre de parole, J’ai pris le pasteur Daniel et Je l’ai établi comme entremise pour Ma marche d’aujourd’hui avec vous, car J’ai encore à marcher, les fils. Et maintenant vous voilà restés sans l’autre pasteur aussi, car J’ai pris aux cieux le pasteur Cristea aussi, oh, et Ma trompette Virginie l’a accueilli avec le même doux salut qu’ils avaient entre eux sur la terre. Et à vous, Je vous rappelle maintenant de leur saint désir envers Dieu et les frères, car Mes pasteurs s’occupaient de leur maison, de leur famille, mais ils brûlaient tout le temps de saint désir pour Moi, pour les frères et ils languissaient d’une rencontre à l’autre avec Moi et avec le peuple, celui embarrassé pendant le temps rouge, au cours de Ma marche auprès d’eux, et ils avaient l’esprit du témoignage, et ils désiraient de Mon œuvre et l’Esprit venait sur eux sur la voie du désir saint, et le peuple se nourrissait à des rencontres saintes. Et maintenant voilà le pasteur Cristea dans la famille celle du ciel de Ma parole d’aujourd’hui, de laquelle prend naissance un peuple pour Dieu, les fils, car vous êtes et vous devez être les porteurs de fruit, à la suite de ceux qui ont peiné sur la voie de Ma venue en parole sur la terre, durant Mon temps avec Ma trompette Virginie et avec les deux pasteurs d’auprès d’elle et du peuple, tel que J’ai pu arriver jusqu’à vous, ceux d’aujourd’hui porteurs et accueillants de Dieu, les fils. Et Ma mère la Vierge a aujourd’hui près d’elle Ma Virginie et la sienne, et Virginie est avec son peuple celui du ciel, à table de commémoration de quarante jours pour le pasteur Cristea, et aussi en mémoire de la mère de votre Veronica d’aujourd’hui, celle que J’ai établie pour prendre soin du peuple resté et pour surveiller leurs âmes et leur marche avec le Seigneur. Et même si son grand et soumis cœur n’est pas trop apprécié pour la marche avec le Seigneur de ceux qui marchent, ou qui disent qu’ils marchent, oh, Notre Veronica travaille avec beaucoup de veille, tant qu’elle a encore de l’occasion et de largeur dans le cœur, et elle est la continuatrice de ceux qui ont travaillé pour la surveillance du peuple, qui se tient sur la voie avec Moi, peuple qui a besoin de soutient, de conseil, d’obéissance.

Et voilà, Nous avons festin saint pour Ma mère la Vierge, et elle a la grande joie d’avoir à sa fête Ma Virginie, les pasteurs qui ont conduit ce peuple, et toute la famille du peuple de Ma parole, tous ceux qui sont venus se joindre l’un après l’autre, auprès de ceux qui intercèdent pour Ma marche et celle de Mon peuple d’aujourd’hui, jusqu’au jour de la complète victoire, les fils.

Maintenant, Ma mère, tu es la muse de cette sainte fête, oh, et donne-leur, Ma mère, donne à ceux des cieux et de la terre de l’esprit de ton amour, donne-leur l’esprit de l’amour, Ma mère.

— L’Esprit est Celui Qui donne de la vie, oh, Fils bien-aimé et Epoux avec Mariée sur montagne de gloire, haute montagne, de laquelle elle coule de Tes lèvres une montagne d’enseignement et de consolation par lui, mon cher Fils, puisque tous les jours de ma vie sont les Tiens, ils sont seulement avec Toi, mon Fils enfant, oh, et tous les hommes doivent être comme Toi, qu’ils soient enfants, car c’est seulement ainsi qu’ils seront les héritiers de ce merveilleux empire, l’empire des enfants, enfants tels que Nous avons été Nous aussi, avec Nos cœurs, avec la puissance et avec l’amour, Fils bien-aimé.

Oh, quel bel esprit en ce jour de commémoration, mon Fils Jésus! L’esprit de ce jour est accompagné de ceux venus avec Ta trompette Virginie, pour marquer les quarante jours passés depuis l’arrivée entre ceux des cieux du pasteur Cristea, et avec lui de la mère de Veronica, la continuatrice de l’œuvre de surveillance du peuple voyageur avec Nous. Le regard de ceux du ciel et de ceux récemment arrivés entre eux, oh, c’est seulement le désir saint qu’il reflète, seulement de la joie et repos céleste, seulement de la paix et consolation en ce jour, qui réunit des frères des cieux et de la terre ici, à cette table sainte. Oh, il y a aussi des regrets pour les fautes de la vie, mais la souffrance a couronné la vie, celle venue après elle, et maintenant elle partage du repos.

Oh, mon cher Fils, Jésus bien-aimé, qu’est-ce qu’elle fait la belle âme dans l’homme? Elle assume toute faute propre, ou celle de ceux de son entourage, et cette épreuve est encore difficilement à passé pour tout homme, mais elle est très grande pour le ciel cette épreuve-ci. Oh, c’est ainsi que Tu es allé au ciel, par des douleurs souffertes pour tous, c’est ainsi que Tu es allé vers le ciel en T’assumant la coulpe pour chaque homme, qui veut gagner par Toi la vie dans les cieux. Mais l’homme ne veut, on peut recevoir n’importe comment cette sagesse de la vie, du chemin vers le ciel. L’homme refuse la coulpe, il la passe sur un autre, il fait comme Adam, il se disculpe, il raconte ses problèmes à d’autres, il se sent injustement frappé, il oublie de faire des pas vers le ciel, par l’humiliation de la charité envers les frères, il oublie de porter de tout cœur charges et coulpe, il oublie de porter lui-même la coulpe, et pas les autres. Toutes les fois qu’ils lui viennent dans le chemin des charges à porter, afin que sa voie soit vers le ciel, l’homme rejette la charge, rejette la faute sur un autre, il se disculpe, s’il ne connait pas l’amour et ses biens, la voie vers le ciel, mon cher Fils. Oh, devant qui fait-il cela, Fils plein d’humilité?

Oh, fils de la sagesse de la parole de mon Fils Jésus-Christ, oh, fils de partout, d’où que vous soyez et que vous veniez vers la rivière de parole d’ici, oh, les fils, fuyez les fils, fuyez l’esprit de la présomption dans lequel est tombé Adam. Ne vous donnez pas de l’importance comme Adam. Veillez attentivement sur vous en marchant sur la voie vers le ciel, pour qu’elle ne vous vienne pas en tête l’idée que vous méritiez plus que les autres comme vous, pour l’habilité, pour l’intelligence qu’il vous semble avoir. Oh, les fils, il aurait pu qu’un autre que vous soit ce que vous dites d’être, sous la croix d’aujourd‘hui de mon Fils, sous les charges portés pour la marche du Seigneur. Oh, ils sont tombés d’auprès du Seigneur ceux mécontents. Le mécontentement est l’œuvre de la présomption, elle n’est pas l’œuvre de la douceur et de l’humilité du cœur, mais c’est la nature infatuée de l’esprit, qui a fait tomber l’homme d’auprès de Dieu.

Oh, que de choses Dieu vous a-t-Il pardonné, et combien d’autres va-t-Il vous pardonner encore, si vous allez Lui obéir de rester de Sa part, pour qu’Il puisse se faire gloire avec vous devant le genre humain, depuis la création du monde et jusqu’aujourd’hui, oh, puisqu’aujourd’hui, quand, tel qu’il s’est passé toujours sur la terre, personne ne cherche d’être avec Dieu qu’un petit peu, ce qui ne compte pas à Dieu, car Dieu c’est l’amour, Il est entièrement amour Dieu.

Oh, les fils, veillez pour votre position auprès du Seigneur, selon Son bon plaisir, car il y a tant de choses qui pourraient enchanter ceux de la terre, tel que l’argent enchante l’homme pour qu’il suive sa voie, la voie de l’argent, et l’homme va des extrémités aux autres extrémités pour l’argent. L’argent n’est pas de Dieu. L’argent a sur lui la tête du césar et des grands de la terre entre les hommes. L’argent est une fenêtre de laquelle le diable cligne de l’œil pour attirer l’homme vers le monde, pour dépenser sa vie, car on ne peut rien acheter avec de l’argent, mais seulement gaspiller sa vie, et on perd toujours, toutes les fois qu’on l’emploi. Sur l’argent est imprimé le visage de l’homme, dont les yeux font des signes à l’homme en clignant, il le charme et le pousse à gaspiller le temps de la vie, et l’homme vend son âme pour l’argent, et il se sépare de Dieu l’homme, et il choisit l’argent, qui va son chemin , et l’homme n’a rien au bout du chemin de la vie.

Mais vous, les fils, veillez les yeux rivés Sur le Seigneur et tenez-vous avec le Seigneur, et travaillez pour Le gagner pour vous, car c’est Lui seulement Qui va rester, Lui et ceux qui marchent avec Lui sur Sa voie. Et moi, je vous ai levé vers la veille, vers la garde de votre vie avec le Seigneur, avec Mon Fils Jésus-Christ, et c’est ainsi que vous aurez et vous garderez une belle âme, douce et humble pour sa beauté, chaleureuse et tendre envers Dieu et les frères, sainte et merveilleuse pour le resplendissement de Dieu dans l’homme, et sentier pour beaucoup de gens vers le Seigneur. Oh, qu’elle est grande ma joie et ma paix, car j’ai pu laisser sur vous le pouvoir du conseil et une nourriture forte, et vous, prenez-les de consolation, les fils puisque mon Fils le Christ souhaite habiter en vous, et que Sa gloire en vous soit visible jusque loin.

Moi, Seigneur mon Fils, j’ai aidé leur amour vers Toi et j’ai été dans l’esprit de Ton peuple, celui du ciel et celui de la terre rassemblés ici maintenant, au jour de mémoire pour moi, quand voilà, Nous sommes à cette table, riche par sa signification.

Je T’embrasse dans la joie du jour et qu’elle soit toute la Tienne, toute sa joie, et Nous tous en elle, en Toi, mon bien-aimé Fils. Amen.

— Oh, elle est grande la gloire de ce jour en haut et en bas, Ma mère, et toi, tu en as été grand maître, Ma mère.

Oh, les fils, demeurez dans Ma parole, celle des fêtes célestes, quand on vous donne de nouvel enseignement! Habillez-vous, les fils, de l’accomplissement de Ma parole ! Soyez toujours et toujours le fruit accomplit de l’enseignement venu du ciel sur vous, afin qu’on voie son accomplissement sur la terre. Oh, comment autrement pourriez-vous être nommés les fils de la foi sainte avec son action?

Oh, paix à vous, les fils! Je ne trouve plus Mon repos que chez vous et avec vous. Rendez favorable au Seigneur le lieu de chez vous, votre conduite et tout l’esprit qui flotte ici pour M’accueillir, car Moi, Je viens, Je viens chez vous, Je viens toujours chez vous et Je n’ai plus où, Je n’ai plus où venir que chez vous, oh, les fils! Amen, amen, amen.

21-09-2019