La Parole de Dieu du deuxième Dimanche après Les Saintes Pâques, celui du saint apôtre Thomas

Huit jours après la fête de la résurrection, Je mets Ma parole dans le livre et Je vous donne une mission bénie, les fils, car pour le prochain dimanche, dans une semaine, vous devez préparer dans Mes jardins avec vous, la bien chère rencontre des frères, de ceux qui croient que Je viens ici en parole et que Je la mets sur la table, comme nourriture des âmes, celles qui accueillent Ma deuxième venue d’auprès du Père, et que J’accomplis la promesse que J’ai faite il y a deux mille ans, lorsque J’ai demandé et Je Me suis demandé dans la grande tristesse du cœur: «Quand Il viendra le Fils de l’Homme, trouvera-t-Il encore la foi sur la terre?».

Oh, les fils, les fils, sans amour rien n’existe, mais s’il persiste encore dans les cœurs désireux du Seigneur, il y a de la foi aussi, car l’amour peut, c’est lui qui peut. Ceux qui ne peuvent plus avec le Seigneur, avec vous, les fils, ceux-ci n’ont plus d’amour, il ne l’ont plus, mais c’est l’envie, l’orgueil, la malséance, la contrevérité des choses, et de l’infidélité qu’ils ont, tel qu’il est écrit des choses qui détruisent l’amour dans les âmes et celui d’entre les frères, et l’amour entre les frères ne doit pas être autrement que celui de Dieu et en Dieu, sinon il tombe vers l’amour entre frère et frère, et on les voit ensuite se séparer des frères ceux qui s’aiment l’un l’autre, et tombent ainsi de l’amour, ceux qui s’aiment eux-mêmes, par l’amour entre eux.

Oh, les fils, prenez garde tous, tous pour apprendre de l’exemple donné par ceux qui sont tombés de Mon amour, pour celui d’eux-mêmes et des uns pour les autres ensuite, arrivant ainsi à la chute de l’amour saint. Soyez tous comme les frères saints au sujet de l’amour, puisque ceux qui tombent de Mon sein plein de tendresse pour les fils, ceux-là prouvent leur rupture de l’amour d’en haut entre les frères, et ils vont de côté, partageant en deux l’amour, un amour qui tombe, les fils, et l’homme en tombe aussi et se sépare de ceux qui restent sur la voie de l’amour de la croix, avec leur amour du Seigneur, Celui Qui a mis Sa vie pour eux, pour leur amour.

Oh, les fils, les fils, préparez festin d’amour, préparez-le vite, car ils se réunissent les frères qui aiment d’un amour qui ne tombe pas. Qu’il soit béni votre amour engagé dans la belle préparation et l’accueil des frères qui viennent chez le Seigneur, encore et encore! Oh, préparez la table du Seigneur avec eux. Ils arrivent des hôtes d’en haut et d’en bas, ils seront à table ici ceux qui attendent la grande résurrection, les fils, et vous, levez-vous au petit matin ce jour-là et présentez devant Moi le service de leur mémoire, puisqu’ils viennent ici et ils voient leurs parents de la terre réunis à la même table, la table du Seigneur avec les saints et avec vous et avec eux, eux dont on fait mémoire en vue de la grande résurrection, les fils. La nourriture de ce jour-là, comme celle de tous les jours où les frères se réunissent dans le Christ à table, oh, qu’elle ne signifie pas les plats que vous mettez à table, mais réunion pour l’amour saint, auquel on ajoute encore de la charité, nourriture avec de la charité, les fils.

Oh, les fils, elle est belle la mission sainte pour le Seigneur. Mes apôtres d’alors allaient prendre une mission difficile et s’en réjouir, et leur joie était leur Seigneur, et de leur amour pour le Seigneur se sont levés les premiers chrétiens, qui travaillaient avec l’amour envers Dieu, et les semblables. Ils ne pouvaient se soucier des choses matérielles et c’est tout, ou des disputes entre eux. Ils comprenaient leur mission, ils avaient la conscience de leur but, et par la charité de leur cœur ils vainquaient la vie éphémère et ils allaient impatiemment à la suite du Seigneur, leur maison d’en haut, ce qu’ils aimaient et attendaient. Ils ne se cherchaient pas l’un l’autre comme les chrétiens non formés pour l’amour du Seigneur. Ce qu’ils cherchaient était à s’entraider pour ne pas perdre les logis célestes, qu’on obtient dans le mépris de toutes choses terrestres, qui pourraient faire traîner la lutte pour l’éternité avec le Seigneur. Jour après jour leurs pas cherchaient ardemment le secret du chemin à suivre pour se vêtir dans le Christ, oh, et qu’elle est belle cette inquiétude, qui peut nourrir tes jours et tes nuits, tes faits et leur fruit pour le ciel, la joie du sacrifice éternellement utile, tout comme chez Elie, le prophète, qui ne voulait pas mourir, mais aller vers celles d’en haut, dont il savait appartenir, oh, et il y est allé à la vue de ses disciples, et la gloire de Dieu l’a accueilli, emporté et établi dans la gloire, selon son grand désir, pour lequel il souffrait ardemment.

Oh, Mon fils, si tu n’as pas de souffrance, si tu n’as pas d’épreuves et des tentations à passer, sacrifice toujours chaud, une vie ardente, toujours vécue pour les semblables, temps sans repos pour être utile avec ton travail, oh, tu tombes si tu ne travailles pas ainsi et tu arrives à la chute de la grâce, tu te procures des pièges inattendues, des chutes de la bénédiction, celle pour le travaille de la sagesse de la vie, puisque l’homme est faible et se laisse abattu par des paroles forgées de toutes pièces, par des pensés envoyés, par des fautes ensuite, à cause de ceux qui sèment la discorde, et son cœur se refroidit, se cache, après avoir commis la dissimulation, il n’essaie plus s’incliner, se réveiller pour voir le mal qui bat vers lui, car le cœur froid n’est pas ainsi sans raison, mais il l’est parce qu’il a été frappé, attiré de coté, mené vers le doute ensuite, et vers l’insouciance d’âme, et malheur à l’âme froide qui pleure, incomprise, en secret, sans aide de la part de son porteur!

Oh, vous, les fils qui aimez le Seigneur et venez pour Lui ici, oh, soyez comme les saints, pas comme les hommes. Les saints demeuraient avec le Seigneur, avec les anges, ils avouaient leurs pensés, leurs mauvaises actions, ils savaient éloigner à temps satan, ils ne le ménageaient pas, ils ne le gardaient pas en eux, ou devant eux, oh, et c’est seulement ainsi qu’ils vainquaient, et se travaillaient l’immortalité, et leur âme recevait du repos toutes les fois qu’ils étaient vainqueurs sur le satan, pour elle.

Oh, les fils, les fils, J’ai dit à Mes disciples troublés par la tristesse et la peur pour Ma crucifixion et Ma résurrection ensuite, dont ils ont appris tout de suite et Je leur ai dit: «Paix à vous!». Et encore: «Recevez l’Esprit Saint, pour remettre les péchés de beaucoup ou les retenir!». Dans Ma grande économie secrète, J’ai travaillé merveilleusement l’absence de Thomas d’entre eux le jour de Mon apparition après la résurrection et ensuite, après encore huit jours lorsque Thomas est venu chez eux, Je suis venu Moi aussi à leur demeure secrète, la porte étant close, et Je leur ai dit à nouveau: «Paix à vous!» et ensuite à Thomas de porter son doigt et ses yeux sur Mes mains pénétrées des clous et sur Mon côté piqué, et de croire que c’est Moi, même si Je lui ai dit: «Ne sois pas incrédule, mais croyant, et puisque tu M’as vu, tu as cru, mais heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru que Je suis le Christ, le Fils de Dieu, et, en croyant, qu’ils aient la vie en Son nom».

Oh, les fils de la source, que la paix soit avec vous, c’est ainsi que Je vous le dis à vous aussi! Oh, ce qu’il serait bon qu’ils sachent croire véritablement et durablement tous ceux qui viennent ici, chez Moi et chez vous, et qu’elle ne soit pas brisée et douteuse leur foi! Oh, que pourrais-Je leur montrer pour les aider? Je peux vous montrer vous, les fils, vous qui êtes endoloris pour Moi et pleins d’abnégation jour et nuit, puisque vous n’avez plus votre vie, de préoccupation pour vous, mais de tout ce que vous avez à travailler ici, vous faites tout pour Ma marche par vous, pour Ma parole qui vient et qui va et nourrit, et ne s’arrête pas de son travail. Vous êtes aussi ceux frappés, même si vous êtes Mes serviteurs, et il vous arrive la même chose qu’à Mes apôtres d’alors, qui étaient diffamés, frappés d’opprobre, trouvés coupables, méprisés, tel que vous trouvez écrit dans les Ecritures sur leur pas persécutés. Mais vous avez beaucoup de patience et de l’amour sans limites, les fils, et vous savez comment est la voie de ceux qui travaillent avec Moi sur la terre.

Oh, levez-vous maintenant en vous aidant sur qui et sur quoi vous pouvez encore, et préparez la beauté de la fête mise en place ici pour les invités, puisque dans huit jours Je viendrai chez vous avec ceux d’alors, nous venons à la maison, et ils ne savent pas ceux qui se réunissent à la source ici, ils ne savent pas que de joie, quel frémissement saint ramassent dans leur esprit ceux qui forment le ciel de dessus, le ciel des hôtes d’en haut avec vous ici, dans les fêtes, les fils.

Oh, J’ouvrirais pour un instant les yeux de tous ceux qui se réunissent ici aux grandes fêtes, pour qu’ils voient la gloire qui se tient au-dessus et tressaillit de joie dans le Saint Esprit des mystères d’en haut, sur cet établissement saint, qu’ils n’ont pas pu garder jusqu’à la fin ceux qui vous ont quitté pour les fils du monde, d’où ils envoient des douleurs vers vous, ils envoient du mépris, et ils le font pour sentir plus légère leur coulpe et la mettre sur vous, pour leur chute de l’amour, de l’obéissance à Dieu, de la foi, les fils. Oh, Je ne leur donne aucunement raison, même s’ils le font toujours pour eux, car voilà, vous restez près de Moi depuis que Je vous ai pris à Mon aide, et vous auriez pu chanceler tout le temps, sachant toute les difficultés qui se sont montrées contre Ma marche, mais non, car vous n’avez pas jugé l’impuissant, bien au contraire, vous avez eu de la patience et vous avez aimé patiemment, en attendant endoloris la paix après chaque épreuve. Et Moi, Je viens toujours vous panser les plaies, les fils, et Je veux les panser aussi à ceux qui se blessent tout seuls, à cause du manque d’obéissance et de sagesse, et nous sommes des guérisseurs, puisque la pitié nous vainc, lorsqu’il s’agit de ceux qui sont faibles.

Oh, qu’elle soit bénie toute votre fatigue pour Moi et pour le peuple de Ma parole, qui vient chez le Seigneur aux saintes fêtes, les fils. Je vous souffle dans le cœur et à l’oreille Moi, le Seigneur, et vous allez mettre en œuvre Ma volonté. C’est pourquoi ne vous faites pas de soucis sur ce qu’on va mettre à table devant les hôtes qui viennent. Moi, Je suis tous le temps avec vous, même si l’aide que vous recevez est petit, et de plus en plus petit, les fils. Mais vous, vous pourrez encore plus, et il faut que vous puissiez, car nous ne pouvons pas nous arrêter de Mon travail avec vous. Je vous donne donc beaucoup de paix, pour que vous ayez du pouvoir par elle, les fils.

Mon disciple Thomas vous parlera lui aussi ce jour-là, et maintenant c’est Moi qui vous ai parlé.

Oh, qu’il serait beau qu’elle sera belle la fête qui vient, car le ciel viendra à votre aide. Je viens avec les saintes femmes, Je viens avec Mes disciples, les fils, nous venons et nous descendons dans le jardin chez vous, et nous serons ceux qui aiment. Nous et vous, car l’amour nous édifie, ne fait naître toujours, et le ciel et la terre fêteront ici dans la gloire, les fils, toujours et toujours.

Ce dimanche on fête Ma résurrection et celle de ses témoins. Nous la mettons en place maintenant, les fils, et pour sa joie nous allons chanter encore et encore le Christ est ressuscité! Nous chanterons, les fils, et le Père nous embrassera de Son Esprit et de Son regard et Il nous consolera, Il nous consolera beaucoup, le Père. Amen, amen, amen.

15-04-2018