La Parole de Dieu à la Fête de la Transfiguration

Voilà qu’Il descend le Seigneur dans le livre de Sa parole de ces jours, et le livre s’ouvre à Sa voix, et on y inscrit jour de fête impériale.

Je descends dans la cité de Ma parole avec une fête sainte. Tout d’abord Je renforce la patience et le pouvoir pour Moi dans les portes, afin que J’entre et que Je mette au travail Ma parole et son accomplissement ensuite. J’apaise et Je console ceux qui Me portent, et Je complète de Mon pouvoir leur impuissance, et Je prépare toujours Ma voie de venue, et Je dois toujours pouvoir le faire, et voilà, ce n’est pas par les puissants que Je peux, c’est seulement dans la souffrance et l’impuissance que Je parfais Mon œuvre.

J’embrasse maintenant la terre roumaine et Je console sa grande tristesse, sa nostalgie et son secret, celui du début, le premier lopin de terre issu des eaux à la création du monde, le champ au trésor caché, dont l’existence c’est Moi, le Seigneur, Moi seul à connaître, tel que le Père M’a donné d’avoir comme pays de Ma gloire de la fin du temps, lorsque Je travaille de nouveau par la parole, pour faire le ciel nouveau et la terre nouvelle, après que l’homme eut rempli la terre et les airs de ses fabrications, œuvre de sa présomption d’homme.

Oh, terre roumaine, c’est Moi seul à connaître tes frontières telles du début, marquées par les anges sur la carte de la terre, et toi, tu es le champ gardé même par Michel Mon Ange. Ton foyer et son secret est le champ au trésor caché dedans, et voilà venir ta transfiguration, le retour à ton visage du début, et c’est moi seul à savoir le secret entre Moi et toi, et J’attends ta gloire, Je protège par des armées célestes Ma cité de parole de ton foyer et son secret, celui qui se trouve dès le début à Dieu.

Oh, combien tu souffres, Ma patrie, celle d’aujourd’hui. Mon Esprit plane au-dessus de toi et il souhaite que tu sois belle pour ton Seigneur, mais J’ai beaucoup, beaucoup de travail pour ta beauté, celle de la fin du temps, et Je travaille à petits pas, puisque Mon adversaire, le diable ne peut supporter Ma marche glorieuse et il Me barre le chemin avec ses serviteurs, voyant Mon pouvoir, et la marche et le secret, et Ma venue avec les armées de saints et d’anges, et il s’inquiète beaucoup, mais il lutte encore, et pourtant sans victoire entre lui et Moi, même si les hommes de la terre sont trompés par ses appâts empoisonnés, mais de ce qui est du Mien, il ne peut s’atteindre, à part ceux qui s’abandonnent à ses vœux, grisés par son vin.

Oh, Mon pays, oh, terre roumaine, paix à toi! Je vais te renouveler, Je vais te débarrassé des chardons. Je vais souffler avec Mon Esprit et Je vais ressusciter beaucoup et toujours plus de gens, et tu seras un pays de saints, un pays d’hommes beaux comme Dieu, car ton secret est doux et saint, c’est Ma création celle du début, c’est Ma grande attente, telle de l’Epoux Qui attend Sa mariée, pour la parer, pour la combler de Sa gloire, et aussi ceux qui fêtent les jours de L’Epoux, les jours de la gloire du Seigneur, car voilà ta destinée: porter sur ton foyer la gloire de Mes jours, Mon trésor, de reposer le Seigneur de l’attente de Sa venue sur ton assise, car voilà, Je viens renouveler le monde, faire ciel nouveau et terre nouvelle, par la parole les faire, et toi, tu es celle qui M’a ouvert à venir, Ma Roumanie, et Me voilà en parole à ta table, et Je dirige avec elle, la parole issue de Ma bouche vient vers son accomplissement, oh, Mon pays d’aujourd’hui. Amen.

Oh, les fils des portes, J’apaise votre impuissance pour mettre dans le livre Ma fête, Mon jour d’il y a deux mille ans, lorsque Je suis monté sur la montagne avec Mes trois bien chers disciples et Je leur ai montré la gloire que J’ai du Père depuis l’éternité, et que Je ne leur avais pas encore découverte, mais puisque le jour de Ma gloire approchait, l’œuvre de Ma mort et de Ma résurrection, il a dû qu’ils sachent Qui est en vérité Jésus le Christ, leur Maître, Celui venu du ciel chez eux sur la terre, puisque c’est seulement eux que J’ai eus les Miens parmi tous ceux qui vivaient alors sur la terre, en Israël, le peuple qui ne M’as pas reconnu à cause de sa présomption, l’épingle qui pique la tête de l’homme, lui donnant du vertige, et le faisant se croire au-dessus de Dieu, et c’est dès le début que l’homme s’est procuré ce vertige, le pauvre.

Oh, voilà ce qui arrive à l’homme, les fils, il est toujours pris de vertige, autant qu’il puisse se sentir au-dessus de Dieu, dont les vœux il transgresse toujours par la volonté de soi, et c’est l’illusion de soi que s’appelle ce péché-là. Et tout comme le vin monte à la tête de l’homme quand il en boit, de même il arrive avec l’illusion de soi, la présomption et le manque d’humilité, qui montent à la tête et donnent du vertige à l’homme, et voilà pourquoi J’ai décidé, Moi, le Seigneur, que l’homme ait un conseiller, pour lui obéir entièrement, car autrement l’illusion de soi va lui monter à la tête, et ce péché apprend l’homme à se cacher en soi, d’être son propre Dieu, se réserver pour lui-même et ne pas se laisser connu dans l’intimité de son âme.

Oh, les fils, les fils, lorsque l’homme vient se donner au Seigneur, voilà, il ne sait pas qu’il ne doit plus garder des siens, de ses vœux, de sa façon de voir les choses, de ses habitudes, il ne sait pas se purifier pour le Seigneur de tout ce qui le sépare de Lui. Si tu viens te soumettre au Seigneur, alors change-toi, oh, chrétien. Tu ne peux être guidé et maintenu dans la lumière si tu ne quittes pas l’habitude de ne te laisser pas connu avec toutes tes choses, puisque le Seigneur ne force pas l’âme de l’homme si celui–ci se réserve des pensées, des sentiments, du travail et des parole personnelles, et c’est ainsi qu’il se tient devant le Seigneur. Oh, devant le Seigneur on doit se tenir droit, ou pas du tout, puisqu’à moitié ce n’est pas possible, tel que l’homme est habitué à faire entre lui et Dieu, Celui Qui voit tout, et voilà pourquoi Je n’ai plus de saints sur la terre, ni d’harmonie entre l’homme et Moi, telle que Je l’ai eue entre Moi et les trois disciples, avec lesquels Je suis monté à part sur la montagne et Je leur ai montré Mon visage céleste, resplendissant de sa lumière. Ces trois disciples n’avaient plus entre Moi et eux quelque chose qu’ils se réservent, même quelque chose de très petit, et ils étaient ouverts totalement envers Moi, et Je regardais si facilement en eux, du moment qu’ils ne gardaient rien qui les sépare de Moi, et tout était dans la lumière entre eux et Moi, tel qu’ils ont pu se rendre dignes de voir un instant la gloire du Seigneur, moment suffisant à ceux purs de cœurs pour témoigner du Seigneur ensuite, alors et le long des temps, que Je suis venu du ciel, que Je suis le Fils du Père et que Je le suis depuis l’éternité, puisque l’Esprit a pu S’installer en eux et Se découvrir à eux, et pas seulement la vue de Mon visage dans la gloire du Père, et la voix du Père, Qui leur a parlé des airs Me proclamant comme Son Fils, Celui en Qui le Père a bien voulu.

Oh, fils du peuple de Ma parole, Je ne peux rester maintenant avec vous en parole pour vous en donner de plus, puisque maintenant ils n’ont pas de forces ceux qui Me soutiennent, quand ils ont des souffrances à porter. Je vous annonce pourtant que Je parlerai dans dix jours, lorsque J’aurai ici sous la tente le peuple réuni pour la fête de Ma mère la Vierge. Mais maintenant, les fils, Je mets dans le livre parole écrite et Je vous dis:

Qu’elle soit bénie la préparation du jour de la fête et la voie vers la cité de Ma parole de ceux qui prendront le chemin pour venir à Dieu!

Qu’elle soit bénie l’harmonie et la paix de vous et d’entre vous, ceux qui préparez ici l’emplacement, pour l’arrivée solennelle de ceux du ciel et de ceux de la terre ici, avec la fête!

Oh, les fils, les fils, la paix se réalise par l’harmonie entre vous, et l’harmonie naît de l’amour, celui d’en haut, celui pour le Seigneur. Le bon comportement et l’harmonie, cela vient de l’amour, et celui qui ne les a pas dans sa conduite envers le Seigneur et les frères, celui-là n’a pas d’amour, il n’a pas l’ordre du ciel sur sa raison et son cœur ensuite. Je vous conseille donc d’agir en faveur de la paix entre vous, et Je vais vous regarder, les fils.

Oh, celui qui n’apprend pas, il ne peut rien faire. Celui qui n’aime pas son maître, celui-là est hypocrite en amour, quand il veut montrer qu’il aime. Lamour n’est pas d’hypocrisie, les fils. L’amour c’est Dieu, tel qu’il est écrit, si seulement l’homme veuille se rendre agréable à Dieu, et à Lui seulement.

Elle s’approche la bien chère fête, les fils, et Moi Je n’oublierai pas de vous apporter les conseils qui ne sont plus arrivés dans le livre, et Je vais vous offrir à tous ceux venus ici à la fête, des cadeaux et des conseils, car c’est ainsi qu’on accomplit mieux les devoirs entre l’homme et Dieu, lorsque les frères sont tous réunis pour prendre de Dieu.

Oh, les fils, Je serai ici avec vous pour tout le travail que vous préparez pour la gloire de la fête et de la réunion avec le Seigneur. Je vais vous donner de l’enseignement à la fête, à l’ouïe de tous ceux qui se réunissent, et ils vont apprendre eux aussi ce que cela signifie que le chrétien ait le cœur pur entre lui et Dieu, entre frère et frère, et toutes les choses par l’obéissance peuvent s’accomplir, en les travaillant tout le temps, car malheur aux chrétiens qui n’aient pas leur travail pour le Seigneur, mais pour eux-mêmes seulement, et heureux sont ceux qui savent se donner à Dieu, à Son profit, en oubliant d’eux-mêmes et en servant au Seigneur, mais c’est dommage que Je n’aie pas, ou presque pas, de qui Me faire des fils fidèles sous Ma croix et mis de côté pour la marche avec Moi, car chacun a sa croix, ses œuvres et il y a de ceux qui se retirent de sous Ma croix, après l’avoir connue, tout que Ma marche si difficile et sans aide maintenant, à cause du péché de l’illusion de soi, avec lequel l’esprit étranger de Dieu met à l’essai même ceux qui se promettent au Seigneur, et les attire vers le monde ensuite, vers des œuvres incompatibles au Seigneur, car partout il y a seulement du monde sans Dieu, seulement des bouches avec le péché sur la langue, seulement de la nudité de chair et d’âme, oh, et c’est vers cela qu’ils se dirigent ceux qui se séparent du Seigneur par leurs vœux, pour la présomption qui leur monte à la tête, comme le vin qui donne du vertige à l’homme.

Oh, Je laisse sur vous encore et encore Mon salut: Paix à vous, les fils!

Travaillez sous Ma paix! Paix à vous! Oh, ce salut, qu’il est grand le mystère qu’il porte, les fils.

Paix à vous! Demeurez dans cette paix et préparez la fête qui vient chez vous ici, avec ceux des cieux, les fils, Ma bénédiction se colle merveilleusement sur l’œuvre de la paix et de l’harmonie sainte entre les frères, et c’est ainsi que nous travaillerons, et c’est ainsi que nous recevrons la fête, avec tout son esprit et don.

Oh, les fils, les fils, J’ai de l’espoir en vous, en tout ce que J’ai à travailler avec vous entre la terre et le ciel.

Oh, les fils, les fils, soyez enfants entre vous et Moi, et vous serez seulement les Miens, oh, les fils. Amen, amen, amen.

19-08-2018