La Parole de Dieu à la Fête de la Chape Protectrice De la Mère de Dieu

Oh, fils nourris par l’amour de Ma parole, elle est toute amour cette parole sur vous. C’est la nostalgie qui Me fait venir, la préoccupation pour vous, et Je vous donne Ma parole pour la mettre sur vous avec son accomplissement. Tout comme l’homme aime se faire des habits neufs et s’en réjouit, tout aussi Moi, Je vous donne dans les fêtes Ma parole comme vêtement pour vos âmes, et Je vous habille en parole, les fils, et Je ne peux pas ne pas le faire, toutes les fois que Je trouve l’occasion de venir.

Oh, Mon peuple obéissant et fidèle, prends garde à ce que tu fais, tines-toi dans la foi, reste de sa part, car elle est mise à l’épreuve ta foi, mais aussi ta fidélité. Ils viennent dans la voie de ta marche avec Ton Seigneur, ils viennent des nuages noirs, des tempêtes et de la grêle, attention donc, garde à toi pour ne pas te casser la tête. Ils viennent des bruits et des embarras comme pendant la guerre, et s’il t’arrive d’être atteint d’un coup de foudre, tu tombes mort, si Je ne suis pas près de toi, pour souffler sur toi du salut et de la foi, pour ne pas perdre le soleil et ses bienfaits, pour ne pas rester sans assistance aux temps de chancellement, pour ne pas rester dans tes vœux, qui te détruisent peu à peu, après t’avoir adouci, puisque Je ne peux guérir ceux désobéissants et libres pour leurs vœux, qui les mènent au chemin ouvert, chemin plein d’ennemis prêts à piller ceux qui sortent, allant tout seuls dans les filets.

Oh, les fils, Je travaille avec vous en jour de fête pour Ma mère la Vierge.

Je viens pour être votre guide, Je viens toujours vous illuminer la voie, vous allumer la chandelle de la foi, et Je vous apporte de la correction dans tout ce qu’il y a à travailler et à veiller, oh, et qu’on veille ensemble, pas vous seuls, puisque l’homme est habitué par sa vieille et mauvaise nature, de contrôler tout seul les pas de sa vie et d’écarter Dieu de lui. Car voilà, ils M’ont écarté d’eux ceux qui ont pris leurs jouets et sont partis avec eux dans le monde, pour être libres dans leurs vœux et se fabriquer des jouets les uns aux autres. Oh, ils n’ont pas compris ceux-là comment se donner à Dieu, et s’ils n’ont pas compris, ils ne Lui se sont pas donnés durant leurs activités près de Mon travail, celui pour la vie d’un peuple mis à part pour Dieu.

Quand tu viens à Dieu, viens avec de la soumission, Mon fils, viens pour la soumission, car autrement tu fais ce qu’Adam a fait, car il a agi selon sa tête, tête qu’il a ensuite fait entrer dans les ténèbres, avec tout ce qu’il avait dedans, et au moment où la lumière l’a dévoilé avec ses choses cachées en lui, choses dépourvues de Dieu dans sont travail, oh, Adam c’est enfuit du chemin de la lumière, il a voulu s’enfuir, mais la lumière lui a parlé et lui a dit: «Où es-tu? Où veux-tu t’enfuir maintenant?».

Oh, les fils, si Moi, par Ma main forte, Je vous ai sortis de l’Egypte, du milieu du monde pécheur et perdu de Ma face par ses égarements, vous devez ensuite vous laisser guidés, tel que J’ai guidé Israël par la main de Moïse, par lequel Je parlais au peuple, et Moïse, il recevait et il guidait de Ma part. Mais s’ils trouvaient à redire sur beaucoup de choses, et s’ils se penchaient sur leurs désirs, ils tombaient de nouveau dans l’abime, dans le Babylon de la perte des hommes, et ceux qui font comme eux et n’obéissent pas au guide pour la vie dirigée avec la parole, oh, ils tombent de nouveau, honteuse chute, et il est honteux pour vous de ne pas connaître cela et de ne pas savoir le danger dans lequel vous pouvez tomber, les fils.

Oh, ils n’aiment pas le peuple élu se tenir près de Moïse, si Je l’ai sorti d’Egypte, il n’aimait pas cela, il cherchait ses vœux, lui. Il n’y a pas eu que deux de ce peuple à aimer cela, et ces deux hommes se sont tenus tout le temps près de Moïse, et c’est seulement eux qui sont restés en vie, et les autres sont tous morts, ils sont morts par la désobéissance, par l’infidélité, par le mécontentement, par la diffamation de Moïse, tel qu’il est écrit.

Attention donc, ne jouez pas quand il s’agit de la garde et du guidage de tous vos pas. Moi, Je viens et Je vous parle, les fils, mais si vous ne permettez pas Ma veille, vous ne resterez pas avec Moi, et vous serez pris de ceux par lesquels le diable, désireux de vous faire disparaître d’auprès de Dieu, va vous enchanter, vous menant vers l’insouciance, et ensuite vers le péché par la désobéissance, vers l’écrasement sous vos vœux de Ma parole, avec laquelle Je veille Mon peuple pour le garder le Mien, pour qu’il ne Me perde pas par la désobéissance celui qui a frappé pour entrer avec Moi, et le ressusciter ensuite pour la vie éternelle avec Moi.

Les fils, les fils, qu’il soit pur et vif votre amour pour Moi, pour les frères et pour Ma cité. Qu’il ne trouve pas de repos cet amour, car le repos lui nuit. L’amour qui ne tombe jamais travaille, ne s’arrête pas de son travail, oh, il ne s’arrête point, les fils, il travaille toujours, il ne se couche pas, et ne couche pas l’homme qui travaille, mais il est toujours en fleur, fleur qui ne se ferme pas, qui ne se fane pas, dont la beauté ne décline pas, oh, et qu’il est beau un tel bel homme, et autrement il n’est pas possible qu’il soit beau l’homme!

Elle s’est levée une fois l’épine à se comparer avec la rose et l’a demandée: Pourquoi sont-ils tous attirés par toi, et par moi non? J’ai moi aussi ce que tu as. Qu’est-ce que tu as de plus? Et la rose lui a répondu: comme aspect je n’ai rien de plus que toi, mais ce qui attire tous vers moi c’est mon parfum, c’est lui qui accomplit ma beauté.

Oh, fils de partout, fils de l’amour pour Ma parole, c’est par la foi que Nous pouvons tout réaliser, pas par l’incroyance, les fils. L’incroyance, l’infidélité n’a aucune odeur, mais la fidélité c’est de l’huile sacrée de nard sur la terre et dans les cieux. Je suis obligé de parler à ceux qui ne savent pas Ma lutte pour garder l’œuvre de Ma parole et de Ma marche avec le peuple obéissant, puisqu’il y a beaucoup de difficultés qui se présentent dans le chemin de ceux qui choisissent de suivre Ma foi jusqu’à la fin, et encore beaucoup de ceux qui essaient leur ébranler la foi et la vie, pour qu’elle soit de nouveau compromise leur marche avec Dieu et leur préparation pour la vie.

Il est pire le péché de celui qui détruit la foi d’un chrétien, que le péché de celui qui verse du sang. Tout le long du temps de ma marche d’aujourd’hui avec la parole, il y a eu auprès de Moi des propagateurs de secrets, qui me portaient de coté avec eux tout ce qu’il y avait dedans, et il arrivait ainsi des souffrances, des chutes, des persécutions, et le diable se réjouissait de sa victoire, tel qu’il le fait aujourd’hui aussi par ceux qu’il a arrachée du rang des fils de Mon peuple.

Tu portes la coulpe de la désobéissance au moment où tu déconsidères Ma parole, par laquelle Je conseille tes pas. Oh, les fils, il est ton ennemi celui qui affaiblit ta fidélité, et toi tu portes la coulpe de la désobéissance, puisque l’homme sape l’homme et c’est Moi seul, le Seigneur, à savoir combien, oh, combien cette destruction est répandue de chrétien en chrétien, pour faire tomber celui qui se tient debout selon Ma volonté.

Tu vas finir par avoir le visage d’un voleur, si tu déconsidères la foi et l’obéissance à Dieu. Tu as une mauvaise conduite, tu es partagé et traître à ton Dieu, par tout ce que tu caches sous l’habit. Et Moi, J’ai dit et Je dis: Oh, ne faites pas comme ça, les fils, pas comme ça, et Je dis encore: Soyez de ceux qui témoignent, ne gardez pas le visage de voleur, qu’il ne vous manque pas l’esprit de la vérité, celui qui témoigne et ne se tait pas!

Oh, les fils, vous qui Me portez vers eux, Nous ne trouvons pas, ni Moi, ni vous, de base et de confiance en ceux qui se taisent et ne travaillent pas avec le Saint-Esprit à Mes festins d’amour avec Moi, avec vous et avec eux, oh, et combien doux et vifs devraient être les jours de fête, lorsqu’ils viennent prendre de la table de la charité!

Oh, combien d’amour doit-on avoir par lui, et combien de vie de l’amour pour Dieu! Il est petit l’amour et son œuvre, il est sans visage et sans pouvoir pour la marche avec le Christ, et voilà, il n’aime ni la vie pour le Christ le chrétien, tant peu mourir pour son Seigneur.

Oh, Ma mère, c’est un jour d’amour et d’enseignement avec amour ton jour de fête. Donnons-leur du pouvoir pour Nous, Ma mère. Allons leur expliquer le travail du service de Dieu, Ma mère.

— Oh, mon Fils Jésus, mon amour, moi c’est pour Toi que j’ai fait ma vie aussi belle et douce, toujours pour Toi, toujours selon Ta volonté, et cela à cause de l’amour dont j’ai été faite par Dieu, et j’ai toujours et partout partagé à beaucoup de gens le parfum de cet amour, et je faisais des épines des roses, et je Te les offrais, mon cher Fils.

A l’occasion de mon jour de fête, Nous allons engager ceux qui Nous portent et ils vont travailler pour ceux réunis à ma fête, et ensuite Notre parole sera mise devant eux en son entier, avec ce jour d’école sainte pour les fils de Ton peuple. Maintenant Tu es au travail avec Ta parole, et moi aussi. Et Tu vas maintenant affermir la foi en ceux qui restent avec Nous jusqu’à la fin, et Nous allons leur donner toujours de l’énergie, mon cher Fils.

— Voilà, les fils, Ma mère va vous enseigner en ce jour à comprendre le travail du service pour Dieu, car celui qui ne connaît pas bien le Seigneur, celui-là chancèle encore.

Oh, viens et demande-Moi pour clarifier ton incertitude. Je vais te répondre ponctuellement, fils non accompli dans la foi. Je vais te débarrasser des chardons de ton habit, de ta raison, de ton cœur, mais viens et frappe pour que tu aies Ma réponse, et ne pas prendre de n’importe où, d’où on te partage, puisque l’homme n’est pas Dieu, mais il est ton ennemi et il détruit ta foi en Ma venue d’aujourd’hui, et il te procure l’enfer et l’incrédulité, car tu ne veilles pas, Mon fils. Oh, viens et frappe, viens afin que Je te lave de la coulpe d’aller seul, car c’est de cela qu’il a besoin celui qui va sur chemin tout seul. A celui-là c’est le diable qui lui donne du travail, et à son tour, il donne du travail au diable, qui a la raison de venir et attaquer celui qui est seul, et il vient parce qu’il le trouve tout seul, sans compagnie, même s’il porte le nom de fils de Dieu.

Je bénis le travail de ce jour sur ceux venus pour Mon enseignement pour la purification du cœur, de la raison, de la foi, de l’amour, et ensuite pour l’entrainement dans le service.

Nous nous arrêtons un peu pour que vous travailliez, fils travailleurs de Ma part, et Nous allons leur donner ensuite toute la parole du jour. Nous mettons du temps pour tout, mais Nous avançons avec la parole que Nous devons mettre dans le livre. Je suis avec vous et Je vous dirige avec Mon Esprit. Nous travaillons avec du savon et Nous lavons bien, et ensuite Nous lavons le savon aussi, Nous Nous lavons aussi, car le savon aussi doit être lavé, après avoir lavé avec sa mousse tout ce qui doit être lavé et nettoyé. Oh, vous allez vous demander pourquoi et avec quoi on lave le savon. C’est avec de l’eau qu’il se lave, l’eau est celle qui lave, les fils, et c’est Moi cette eau, et elle coule de Moi sur vous en torrent, elle coule comme une rivière, et elle renouvelle la vie et la foi et Mon amour dans l’homme.

Je vous regarde maintenant et Je veille d’en haut votre travail sur ceux qui prennent de lui pour eux, les fils, Amen.



***

Voilà, Nous avançons avec le travail de Ma parole de ce jour, car l’entendement du service pour Dieu devient merveille d’homme nouveau, lorsque l’homme l’a comme son œuvre, et si non, cela se voit qu’il ne l’a pas, on voit clairement si Je suis avec l’homme sur la voie de sa vie, et s’il est avec Moi par ses pas, par sa conduite et surtout par ses paroles, et il y a un proverbe qui dit que tout oiseau c’est par sa langue qu’il périt, et voilà, c’est des paroles de la bouche que Je vais parler maintenant, les fils, puisque l’amour ou l’absence de l’amour de Dieu et des frères, la fidélité ou l’infidélité, l’humilité ou la non humilité du cœur, la pureté du cœur ou son absence, tout cela se reconnaît par les paroles de la bouche, par leur manifestation à l’extérieur, car par une toute petite tension, c’est–à-dire manque d’amour, les mauvaises choses des cœurs débordent et elles prouvent clairement quel est l’intérieur de l’homme, et il n’y a personne qui puisse se cacher en soi, quelle que soit sa dissimulation, et c’est pour cela que Nous mettons aujourd’hui sur la table la leçon du service pour Dieu.

Les fils, les fils, les paroles de la bouche peuvent affermir ou décevoir, et ici Nous parlons du fruit de la foi et de la fidélité envers Dieu et les frères. Les paroles de la boche sont presque toujours non angéliques, non chrétiennes sur les lèvres de beaucoup d’entre ceux qui se prétendent être aimants de Dieu, et cela parce qu’ils ne comprennent pas ce que produit dans l’homme et en dehors de lui le service, celui pour Dieu. Oh, si toi, chrétien, tu sers avec ta vie à Dieu, cela se fait connaître par ta conduite et tes paroles entre toi et les frères en Christ sur la voie de ta vie.

Oh, les fils, qu’il serait beau s’ils se retiraient de la voie de Ma marche d’aujourd’hui ceux qui sèment la discorde entre les hommes qui marchent, s’ils se retiraient ceux qui se remplissent de prétentions, de mécontentements, à cause de l’esprit de présomption de l’homme, présomption incomprise de celui qui l’a, mais qui le dévoile par sa conduite, par ses paroles.

J’apprendrais à ceux qui viennent pour apprendre, Je leur apprendrais le service pour Dieu, et ensuite son récompense, J’apprendrais à ceux qui s’approchent de cette eau qui lave la vie, mais ceux qui viennent, voilà, ils ne viennent pas tous pour se laver, mais ils viennent pour troubler Ma marche, celle si difficilement portée du ciel et de la terre.

Oh, ils ne sont pas fidèles à Dieu ceux qui ne comprennent pas ce que cela signifie Dieu avec l’homme, et le service de l’homme avec sa vie dans les vœux de Dieu, et l’homme M’humilie beaucoup, il Me punit beaucoup pour ses vœux, pour ses désirs. L’école où on apprend la vie dans la fidélité envers Dieu, c’est l’humilité du cœur cette école, mais il est très cher un tel don dans la vie de l’homme et on ne le trouve plus pour que Je puisse le mettre sur Ma plaie, celle de sept mille ans, celle reçue dans le paradis, car l’homme a perdu le paradis, la soumission et l’humilité du cœur, il les a perdues très vite, et il est tombé ensuite comme l’oiseau qui périt par sa langue, puisque le cœur de l’homme est un oiseau qui vole autour du corps qui le porte, et c’est ainsi qu’il périt, c’est par ses paroles qu’il périt, et il perd Dieu, Celui Qui est doux et humble de cœur, car voilà, comment pourrais-Je demeurer dans le cœur qui devient arrogant et qui n’a pas de constance, de fidélité envers Moi, et un œuvre douce comme la Mienne?

Je vous exhorte vous, ceux qui essayez de comprendre la marche et la station auprès du Seigneur, oh, venez, demandez-Moi de vous parler du don du service pour Dieu, car si vous ne prenez pas de Moi le travail pour votre vie, et pour le réaliser selon Ma volonté, vous resterez dans vos vœux, et Moi, Je vois cela, et ils le voient aussi ceux que J’ai comme guides entre Moi et le peuple obéissant, puisque le fruit de la méconnaissance de Dieu est tout de suite visible dans les paroles et la conduite de ceux qui essaient de s’approcher de la merveille si miséricordieuse de Ma parole, celle qui est maître pour ceux appliqués dans leur travail pour une éternité douce avec Moi et avec les saints, avec ceux qui ont montré de la charité et de la patience jusqu’à la fin.

Oh, fils qui vous tenez devant Moi pour Me mettre dans le livre, voilà, il se croit très sage l’homme, c’est pourquoi il ne prend pas de Dieu, et tant peu de vous, ceux qui êtes Ma parole sur le peuple, avec lequel Nous marchons aujourd’hui. Voilà ce que Je vous dis: de ne pas procéder, Nous non plus autrement, de ne pas avoir le même comportement, Nous non plus, car il y a grand danger si Nous Nous inclinons tant, tant qu’il souhaite l’homme dépourvu d’amour, et de la sagesse nécessaire au service pour Dieu. Ne vous mettez pas en gage pour celui qui c’est cela qu’il cherche, car celui-là renonce à Ma voie, il vous frappe la tête par les paroles de son cœur, et c’est ainsi qu’il arrête sa marche avec Moi et avec vous, et voilà l’histoire de ceux qui disparaissent de cette façon de la voie, car tout oiseau périt par sa langue, tel qu’il est écrit.

Mais si quelqu’un veut Me suivre, qu’il ait sa croix comme Moi, car autrement il s’approche en vain, et cela parce qu’il est sous Ma croix le peuple avec lequel Je marche aujourd’hui, et la marche avec la croix, pleine de gloire et de beauté, elle est d’autant plus difficile et il ne peut venir celui qui s’aime lui-même, venir et rester sous la croix de Ma venue d’aujourd’hui, puisque le manque du renoncement à soi ne lui permet pas de pouvoir agir pour Dieu et comme Dieu, et comme sa liberté de faire ce qu’il veut est grande, il n’y a pas autre chose à aider l’homme pour l’humilité du cœur et l’amour saint envers le Seigneur et les semblables.

Je vous rappelle ce que le cœur du Joseph a vécu, celui vendu de ses frères aux Egyptiens par le mensonge, longtemps supporté de lui et de Dieu, de lui par la souffrance et de Moi par la patience, car celui qui a voulu l’engager dans le péché, oh, il a rejeté la faute sur lui, il a changé le coupable avec l’innocent, parce que ceux qui tombent sous le péché ne peuvent pas le faire à leur gré, que s’ils rendent coupable un autre aussi, et ensuite ils prennent pour eux le droit de commettre volontairement le péché. Voilà, ce petit cœur doux a souffert humiliation et diffamation, mais Dieu était avec lui, et on voyait cela, jusqu’à ce que la gloire de Dieu l’a libéré des fers et lui a donné la récompense de la patience des saints, oh, et voilà le résultat du service celui pour Dieu, dans l’homme et en dehors de lui, et à quelle hauteur la charité, la patience et la douce œuvre de son cœur ont pu porter Joseph.

Oh, toi, homme qui n’aime pas Dieu, tu écoutes tant de toi-même, de tes désirs, de tout ce qui te passe par la tête, et tu obéis à un autre homme qui te ressemble. Oh, pourquoi donc, pourquoi ne trouves tu pas bon d’obéir à Dieu, au Créateur des cieux et de la terre et de l’homme? Oh, pourquoi méprises-tu Celui Qui te donne la vie à ta naissance, quand tu arrives sur la terre? Je te donne l’âme quand tu viens au monde, et toi, qu’est-ce que tu M’offre pour ce don? Voilà, tu Me donnes du mépris et de l’incroyance pour la vie que Je te donne pour l’avoir et pour exister. Oh, ce n’est pas juste, tu te lèves au dessus de Moi comme au début, mais tu le fais pour mourir, pas pour vivre.

Ma mère, la Vierge, met de l’enseignement sur la table, les fils, car sa pitié envers Moi, et Ma souffrance venue de l’homme est tellement grande.

Oh, Ma mère, elle est lourde la douleur venue de l’homme parce qu’il ne sait pas Me procurer de joies et du soulagement pour Ma plaie. Je Me console avec toi, et toi avec Moi, et Nous Nous inscrivons dans le livre avec des paroles douces, car Nous n’avons pas d’autre douceur sauf la douleur venue de l’homme, de celui qui ne se soucie pas de Nous, Ma mère.

— Oh, mon Fils, et Dieu, elle Te console la mère avec son esprit, oh, Maître, tellement point aimé de ceux auxquels Tu accordes la vie, le soleil et l’eau, le pain et la guérison, Seigneur. Oh, moi, personne ne m’a consolé sur la terre. Ce n’est pas sur la terre la consolation, mais seulement quand on arrive à la maison. La consolation la plus douce pour l’homme sur la terre c’est le conseil saint. La consolation c’est la sainteté de la vie, car celui qui l’a et la garde, elle lui suffit comme consolation, car elle aide beaucoup l’homme, elle console le Seigneur et Le tient dans l’homme saint, et celui-ci prie Dieu comme l’empereur David et dit: «Que le pied de l’orgueil ne m’atteigne Seigneur, et la main des impies ne me fasse pas chanceler».

Oh, n’attendez pas de consolation, fils, vous qui voulez connaître le Seigneur. Considérez-vous dignes de souffrance, de mépris, car c’est ainsi qu’il pense celui qui craint le Seigneur, et voilà, le Saint-Esprit vient avec mon Fils Jésus-Christ et vous apprend tant. C’est mon Fils Qui mérite votre consolation, pour vous faire grâce ensuite quand ils viendront les temps des impuissances et des épreuves. Oh, et n’oubliez pas que le diable, s’il est servi par le manque d’amour envers Dieu, il peut vous faire chanceler et vous pouvez devenir les plus grands ennemis de Dieu, puisque vous connaissez les choses de Dieu. Voilà donc, le service pour Dieu c’est la sainteté, et sans elle vous n’arrivez pas de pouvoir consoler et rendre service à Celui Qui est descendu du ciel chez vous, pour vous apprendre la rentrée, et la voie du retour à la maison. Moi, je suis Sa mère parce-que je me suis faite Sa voie pour qu’Il vienne chez vous, et je peux être votre voie aussi, afin que vous soyez avec Lui, mais vous devez apprendre de moi, de ma vie sur la terre, apprendre ce que cela signifie accomplir Sa volonté et pas la vôtre. Oh, si vous ne savez pas cela, apprenez-le de moi, de l’histoire de ma vie. Apprenez de la mère du Christ, pour savoir ensuite servir à Dieu avec votre vie, oh, les fils. Amen.

— Tu leur as parlé, Ma mère, du don de la grâce, de la sainteté, par laquelle ils peuvent Me suivre ceux qui veulent venir et se tenir sous la croix de Ma venue d’aujourd’hui, Ma mère. Cependant s’ils ne servent pas à leur sainteté avec tous ses fruits, avec la parole de la bouche et du cœur, avec la charité, avec l’humilité celle jusqu’à la fin, avec la patience celle portée jusqu’au bout de leur marche, jusqu’en haut, oh, elle ne peut les aider la sainteté favorable pour Moi, pour pouvoir Me tenir dans l’homme avec Ma volonté.

Attention donc, soyez attentifs, toujours attentifs à vos paroles, à la pureté et à leur vérité, soyez attentifs, vous ceux qui souhaitez pouvoir être avec Dieu, et ne pas tomber de la voie avec Moi, car voilà qu’il est difficile pour celui qui vient et qui veut rester ensuite de la part de la foi en Ma parole, et ne pas la frapper ni la nommer menteuse.

Oh, qu’il est facile de perdre ta marche avec Moi, fils à raison pas assez mûre sur cette voie de Ma gloire avec l’homme sur la terre!

Je M’incline en vous priant, n’omettez pas, n’oubliez pas Ma leçon d’aujourd’hui, mais assimilez-la, apprenez par cœur son sens et sa mise en pratique sur vos pas, si vous êtes venus pour être vous aussi sur la voie de Ma venue d’aujourd’hui. Cherchez d’être des roses à douce odeur, et ne pas être et rester des épines, car voilà, Je suis tout une plaie, Je ne peux vous atteindre sans que vous Me piquiez, sans que vous piquiez Ma marche. Apprenez donc pour retenir cela, les fils.

Et vous, vous qui êtes sous Ma charge portée avec vous, oh, les fils, vous avez toujours besoin de renforcement, mais il est difficile de trouver de l’appui sur la terre, les fils. Moi, Je ramasse vos larmes, Je les garde dans le ciel et Je guéris avec elles ceux qui aiment l’humilité par des épreuves, et pour vous Je fais un bouquet de fleurs pour les larmes et Je le fais pour vous tant mieux que Je saurai faire et vous donner. Oh, c’est ainsi qu’il se passe avec le Seigneur, toutes les douleurs sont des consolations, car malheur à ceux qui cherchent des joies, qui les rendent coupables ensuite, car elles passent, et ils passent eux aussi, allant vers le salaire qu’ils se sont préparé.

Et pour vous, que la paix soit avec vous! Consolez-vous, lorsque Je vous dis cela, consolez-vous, les fils, et consolez, consolez Mon peuple fidèle, celui obéissant par la sainteté, mais aussi par ses fruits, oh, les fils. Amen, amen, amen.

14-10-2019