La Parole de Dieu prononcée en mémoire des Trente-deux ans passés depuis la mise de la Pierre de fondation du Saint des Saints de la Nouvelle Jérusalem

Je trouve beaucoup d’impuissance, beaucoup d’impuissance pour Mon entrée dans le livre en ce jour de souvenir du commencement du bâtiment de la cité de Ma parole sur le foyer du peuple roumain, mais Je mets Mon pouvoir divin et J’en soumet cette impuissance et J’entre en parole dans Mon livre pour marquer ce jour où Moi, le Seigneur, J’ai difficilement vaincu un temps si hostile de partout et J’ai commencé de montrer la preuve de Mes grands efforts de plus de trente-cinq ans, depuis le moment où J’ai commencé en 1955 à claironner Ma parole par Ma trompette, Virginie au le milieu de ce peuple et J’ai mis la première pierre, sur laquelle J’ai bâti ensuite la cité et ses perles devant le genre humain de la terre, et de prononcer ensuite à force de parole qu’ ici en ce lieu il y a le Seigneur, tel qu’il est écrit dans les Ecritures pour le nom de la cité de la Parole de Dieu, et voilà jour de gloire de Dieu alors, et maintenant, après presque soixante-dix ans de parole descendue du ciel et collectionnée avec de la foi sur la terre dans Mon livre d’aujourd’hui par ceux fidèles à Ma venue la deuxième fois d’auprès du Père, voilà jour triste aujourd’hui, car Je n’ai plus pour Moi et pour Ma croix d’aujourd’hui ceux de ce jour-là, jour de nouveau commencement, puisqu’ils se sont en allés ensuite d’auprès de Moi, d’auprès de Ma croix, car ils ont plus aimé leur vie celle de la terre, et ils M’ont éloigné d’eux, et Moi Je suis resté sous le fardeau avec ceux qui ne sont pas partis, oh, et J’ai avancé avec la parole par-dessus la terre, car J’ai du pouvoir et Je le mets en œuvre par des temps difficiles et Je marche, car le Père M’envoie, et tout obéit au Père, à part l’homme qui a l’amour de soi-même, c’est seulement lui qui ne peut obéir au Père jusqu’au bout tel que Moi, le Seigneur, Je le fais, et voilà Je marque ce jour et Je parle un moment avec le peuple de cette parole et avec tout âme qui prend de la source Ma parole.

Tout d’abord J’envois par l’esprit une pensée de Pasteur consolateur et miséricordieux, et J’embrasse en secret le prélat qui a obéi au Père, le Mien et le sien et il s’est tenu de la part de l’église du peuple roumain en ce jour-là, témoin du mystère de Dieu par ce nouveau début et J’ai mis alors avec lui à sa place, selon Mon projet, celui dès le début bâti, la pierre de fondation, le portrait en pierre de Ma trompette Virginie, et cette pierre soignée par la main d’un enfant fidèle à Moi, alors, J’ai bâti ensuite peu à peu dans son jardin cette pierre et l’arche de l’alliance du Saint des Saints de la Nouvelle Jérusalem, la petite pierre blanche selon son nom dans les Ecritures, oh, et il a jeté des pierres sur elle le monde incrédule et les serviteurs de l’église de ce temps-là, tout à cause de l’incrédulité, et ensuite à cause de l’envie dont ils se sont rempli les cœurs des serviteurs d’autels, quand il s’est montré ce signe, oh, et c’est Moi Qui ai vaincu alors, Moi, le Seigneur, et J’ai apaisé ensuite les tempêtes, et Je suis allé quelque temps en travaillant à côté de ceux que J’ai eu auprès de Moi en ce début, pour qu’ensuite ils Me laissent, qu’ils s’éloignent un par un, mais J’ai demeuré tout près avec ceux qui ne M’ont pas laissé, et Nous avons continué de bâtir la cité, telle qu’elle est maintenant, oh, et Je vais avec grande tristesse, Je vais avec la parole et Je vais avec ceux qui ne M’ont pas quitté sous les difficultés, même si le temps est si mauvais, avec tant d’obscurité sur la terre, mais J’ai pu agir Moi, car Je suis Dieu, et Je travaille à la parole et ensuite J’accomplis, car c’est ainsi l’œuvre de Dieu, elle est parole et accomplissement.

Et maintenant, après presque soixante-dix ans de parole du ciel, Je laisse Ma parole au-dessus de la cité et on Me la met dans le livre et sur la voie ensuite, partout jusqu’aux extrémités, et aujourd’hui Je parle avec plus de douleur pour Me consoler, car Je suis affligé, et c’est ainsi que Je Me porte entre le ciel et la terre, en pleurant et soupirant en parole, et Je raconte au peuple de Ma parole de Ma marche si difficile et de Ma douleur, celle d’aujourd’hui.

Oh, peuple de Ma parole, toi, celui qui es le Mien selon Ma vérité, et toi, celui qui te considères appartenir à Mon peuple, oh, c’est seulement Moi, le Seigneur, c’est seulement Moi à savoir combien sont les Miens de ceux qui Me prennent de la source, et combien sont à eux-mêmes, mais pour ceux qui sont les Miens, Moi, le Seigneur, Je leur dis à chacun cela:

Oh, Mon fils, Je t’apprends la joie de la résurrection de chaque jour, de chaque nuit qui passe, et de son matin. Tout matin est une résurrection pour toi. Si un homme ressuscité pouvait te parler du bonheur qu’il a pour sa résurrection, c’est seulement ainsi que tu pourrais comprendre toi aussi le bonheur de ta résurrection de chaque matin, quand tu te lèves en même temps que l’arrivée du jour et tu te mets au travail du jour, à la vie, oh, chrétien, au réveil à la vie, pour remercier à ton Seigneur pour encore un jour de vie.

Oh, qu’il est beau le printemps lorsque tout prend de nouveau vie, sang pour la vie et résurrection à la vie! Oh, comment est-il possible que l’homme ne puisse pas comprendre la vie et la résurrection afin de se réjouir chaque jour de sa résurrection, toutes les fois qu’il rencontre encore et encore la lumière du jour, en se levant comme un ressuscité? Moi, le Seigneur, J’offre à l’homme des jours pour qu’il ait et qu’il bâtisse sa vie, ayant fortune dans le ciel ensuite, pour s’y diriger, oh, et c’est seulement pour cette fortune dans le ciel que l’homme devrait travailler sur la terre, car l’éternité est sans fin, et l’homme a besoin de fortune là-bas. Mais il amasse jour par jour éternelle punition non pas éternelle résurrection, mais qui lui parlera du mystère de la résurrection, pour qu’il travaille pour lui la vie éternelle, la vie avec Dieu dans l’éternité, car malheur à ceux sans Dieu au-delà de cette vie sur la terre!

Oh, les fils, oh, les fils, vivez votre vie sur la terre pour Dieu, pas pour vous, car la vie de l’homme, la volonté de l’homme ne savent rien de meilleur que tirer l’homme au péché, à toute sorte de péché, et la crainte pour le payement du péché n’existe plus, et il se tient tranquille l’homme, se disant qu’il ne sera pas atteint par la souffrance préparée à venir pour le péché, et qui vient, elle vient sans faute, car les fils de Dieu qui ne se gardent pas dans la sainteté, ils ont difficile réponse à donner pour le Christ, avec Lequel ils se nourrissent comme des fils, mais voilà, l’ingratitude est grande, trop grande, et elle s’attire difficile réponse pour ce que l’homme se fabrique, sainteté ou punition pour le manque de sainteté, tel qu’il est écrit, car voilà, sur la terre le chrétien ne lutte pas contre la chair, et pas du moins ceux qui se veulent à la table de Ma parole ne se rangent pas en tout pas du côté de la sainteté, pour leur vie avec le Seigneur sur la terre.

Vous, qui désirez être selon la vérité les fils de Dieu, cherchez la sagesse de la vie pour cette conduite de fils de Dieu. Ne vous imitez pas les uns les autres pour de mauvaises et très erronées actions, et pleurer à grande tristesse quand vous voyez des semblables qui travaillent leur punition par des fautes, car voilà, ils se sont imités les uns les autres pour la faute, ceux qui ne se sont pas tenus sur le roc, ils ont chancelé et ils sont tombés par cela, car ils se font justice tout seuls, les pauvres.

Oh, qu’elle est pécheresse la raison qui prend comme exemple la raison soumise au péché, et pas l’exemple du Christ, le Saint du Père, Celui Qui va donner à chacun selon ses faits! Mais tout d’abord le Seigneur va considérer l’action de chacun à part et Il sera ou il ne sera pas miséricordieux et clément, car alors qu’on suit l’exemple du pécheur, ce n’est pas lui le coupable, mais toi, qui t’es justifié contre toi-même, oh, pécheur amateur de péché.

Je t’ai appris, Mon peuple, d’être sage et d’obéir à Dieu, car les pièges tenues vers toi sont prêtes à t’abattre de la part de satan. Des tentations mortelles barrent ton chemin, la Sodome et le Gomorrhe te cherchent pour te faire tomber du rocher, pour mettre à l’épreuve ta sainteté, que Moi, le Seigneur, Je demande aux fils de Dieu, mais il faut que tu prennes de Moi conseil sanctifiant pour ta vie, car une chose c’est que l’on met à l’épreuve ta sainteté par les circonstances apparues dans ton chemin, pour les éloigner de toi en vue de ta vie avec le Christ, et autre chose c’est de chercher toi-même de maculer tes yeux et ta pensée et ton âme ensuite, la demeure de Dieu en toi, et mettre dehors le Seigneur pour le diable qui t’attende toujours afin de souiller tes pas vers le ciel, vers les saints.

Oh, les fils, vous devez toujours avoir les saints et les anges comme vos accompagnateurs, pour avoir par leur aide le Père et le Fils et le Saint-Esprit comme votre vie et œuvre. Mais vous, ceux qui êtes prêts de vous abattre de l’état de veille sainte, vous les sans veille, vous essayez de vous cacher tel qu’Adam s’est caché de Dieu en Eden, et vous vous cachez ensuite les uns des autres avec le mal qui est en vous, pour vous faire le mal qui vous cherche pour vous tirer de l’œuvre de paradis, oh, les fils non veillés et indécis pour la douceur de la vie éternelle, que vous seriez en train de dissiper peu à peu, si c’était cela ce que vous choisiriez de faire.

Et maintenant Je dis: Que chacun prenne de Ma parole selon qu’il obéit ou qu’il est en faute, selon qu’il garde ou il perd la crainte de la désobéissance, et pour la halte faite dans le monde avec le cœur, avec la pensée et l’action, et pas dans le Christ avec le service saint de la vie en tout moment, et Je le dis encore et toujours, puisqu’ils viennent les fouettements pour le mépris envers le Christ, Qui vous a appris la vie et ses pas vers le ciel, oh, les fils qui n’essayez pas d’obéir à la veille sur vous, et avec le Seigneur toujours sur la voie vers le ciel.

J’ai fait conseil avec le peuple de Ma parole, avec celui qui obéit, mais aussi avec celui qui n’obéit pas, car Moi, le Seigneur, depuis presque soixante-dix ans Je Me donne la peine et J’attends d’élever pour Moi un peuple saint, un peuple même tout petit comme nombre, mais que Je puisse Me tenir au milieu de lui et M’écrire Ma parole sur la terre, et qu’elle reste, qu’elle persiste, puisque cette parole c’est Moi, Moi, le Fils de Dieu le Père, Moi, Celui Qui vous pais pour vous avoir, oh, les fils. Amen, amen, amen.

22-07-2023