La Parole de Dieu du troisième Dimanche du Carême, celui de la Sainte Croix

Je M’annonce aux portes pour entrer en parole dans Mon livre d’aujourd’hui et voilà, on M’accueille. Je suis le Grand Prélat, le chef de mon église, et ensemble Serviteur avec l’église devant le Père Sabaoth, et Mon Père travaille et Je travaille aussi. Il convient que Nous, ceux du ciel, Nous travaillons pour l’église plus que ses prélats et ses prêtres, car autrement l’église n’est pas la Nôtre, l’église du Père et la Mienne, elle est autre chose si elle n’a pas Dieu de Maître et le Fils de Dieu comme son Guide toujours.

Je suis la Parole de Dieu, Je suis Dieu le Fils, le Seigneur Jésus-Christ, le Grand Prélat de Mon église selon l’ordre de Mon Père Sabaoth. Qui est celui qui Me demande qui suis-Je, Moi, Celui Qui parle sur l’église? - Je suis Celui Qui est, Je lui réponds, mais si Moi aussi Je lui demande qui est-il, peut-il Me répondre selon la vérité? Est-ce qu’il peut l’homme servir à deux maîtres, lui demanderais-Je. Quelle serait la réponse de celui à qui Je demanderais qui est-il? Oh, s’il était Mon serviteur, un tel homme aurait quoi répondre, mais s’il sert à lui-même au lieu de Dieu, celui–là n’a pas de réponse, il a honte de répondre, il a honte de Moi et des hommes, et J’ai dit il y a deux mille ans: «Quiconque aura honte de Moi et de Mes paroles au milieu de ce peuple adultère et pécheur, le Fils de l’Homme aura aussi honte de lui, quand Il viendra dans la gloire de Son Père avec les saints anges». C’est avec les anges que Je viens quand Je parle sur l’église, car Je suis porté par les anges, et les anges sont ceux qui Me couvrent, ils sont la nuée d’au-dessus de Mon corps, celui ressuscité d’entre les morts il y a deux mille ans, et elle est belle Ma gloire couverte des armées angéliques, quand Je viens et Je prononce Ma parole, au milieu de Mon peuple, celui fidèle à Ma venue d’aujourd’hui en parole à lui, car c’est avec la même gloire que Je Me tiens devant lui, au moment où Je descends dans le livre, et quand Je viens vers lui en parole du livre sortie, et J’y suis toujours, en même temps pour ceux qui entendent et lisent la parole, J’y suis toujours avec la même gloire face à face avec ceux qui cherchent Ma compagnie par cette parole sortie de Ma bouche, et c’est ainsi que Dieu travaille, car Il est vrai le Seigneur, toujours le Même, et Il travaille entièrement tout le temps et partout où Il partage Sa parole. Amen.

Oh, peuple roumain, Je descends au milieu de toi en parole, Je descends sur ton foyer avec la gloire de Ma parole depuis si longtemps, mais tu fais toi aussi comme Israël, celui qui M’a eu trente-trois ans au milieu de lui, par Ma naissance, Mon enfance, Ma croissance, et par Mon enseignement ensuite et par la douleur de M’avoir renié pendant tout ce temps, et ensuite il M’a renié totalement et M’a donné à la croix, comme le plus grand mal entre eux, mais au milieu de toi, peuple roumain, Je suis en parole depuis plus de cinquante ans, parole de Saint-Esprit et Je conduis un peuple, que J’ai rendu fidèle à Moi et partageur de la parole de Dieu en ce temps, car Je suis Celui Qui est, l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier, le commencement et la fin, tel qu’il est écrit que J’ai travaillé et que Je travaillerais, et c’est cela Mon œuvre, comme il est écrit qu’elle soit et que Je sois, et fais attention, peuple roumain, à Mon existence et à Mon œuvre au milieu de toi, sur ton foyer, car Je te dis encore: Je suis le Premier et le Dernier, le début et la fin, Je suis l’Alpha et l’Oméga. Je ne suis pas seulement au début, seulement le Premier, mais Je suis à la fin aussi, Je suis le Dernier aussi, comme il est écrit. Qu’est-ce que Je produis par ce livre de Mon nom et de Mon œuvre, qui M’a annoncée tel que Je suis et que Je travaille? Si Je suis l’Alpha, Je suis aussi l’Oméga. Si Je suis le commencement, Je suis la fin aussi. Si Je suis le Premier, Je suis le Dernier aussi et Je travaille à la fin comme au début. Je suis le Premier parce-que c’est du Père que Je procède avant tous les siècles, et Je suis le Dernier car Je finis l’œuvre du Père avec Ma parole comme au début, car Dieu travaille par la parole tel qu’Il a fait toute la création. Je fais création nouvelle, car c’est ainsi qu’il est écrit, et l’homme ne peut faire cela, ce qui est écrit. Si au début J’ai fait par la parole la création, c’est tout aussi que Je travaille à la fin, création de nouveau, et l’homme n’a pas d’entendement pour les choses que Dieu doit faire, c’est pourquoi l’homme doit faire seulement ce que Je lui ai dit de faire s’il veut être le Mien ici et dans l’éternité ensuite, mais il faut qu’il se rappelle ce que Je lui ai dit il y a deux mille ans, quand Je suis venu du Père, et auprès de Lui Je Me suis retourné, et J’ai dit à l’homme qu’il doit Me ressembler celui qui Me veut le sien, et Je lui ai dit: «Si quelqu’un veut venir après Moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il Me suive! Car celui qui voudra sauver son âme la perdra, mais celui qui perdra son âme pour Moi et pour Mon Evangile la sauvera. Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme?». Oh, heureux celui qui comprend le pouvoir de cette parole prononcée de Ma bouche pour l’homme il y a deux mille ans, car celui-là ne perd pas son temps et sa récompense! Oh, heureux le peuple de ton milieu, qui a choisi d’être avec Moi, peuple roumain, pour que Je puisse écrire de son milieu en ces jours le livre de Ma venue en parole sur la terre maintenant, à la fin de temps! Je suis le commencement et la fin, et si J’ai parlé il y a deux mille ans, Je parle à la fin aussi, Je parle maintenant aussi, car Je peux cela, en vrai Dieu que Je le suis. Amen.

Voilà, Je Me tiens au milieu de Mon église du peuple roumain avec jour de mémoire de la Sainte Croix, du chemin et de la marche de l’homme avec la croix, tel que J’ai marché Moi vers la résurrection il y a deux mille ans, lorsque J’ai porté Ma croix, sur laquelle J’ai été crucifié, pour que Je ressuscite ensuite d’entre les morts. J’ai marché au milieu d’Israël trente-trois ans avec Mon pas divin, et à Ma fin d’alors J’ai marché avec la croix et J’ai marché vers la résurrection et J’ai montré à l’homme le chemin vers la résurrection et Je lui ai dit qu’il prenne lui aussi sa croix et qu’il Me suive ainsi, s’il veut venir après Moi avec sa marche, avec sa vie donnée à Moi, et pas gardée pour lui. Je suis le Pasteur Celui avec la croix, pas celui avec des vêtements brodées en fil d’or et mitre ornée de pierres précieuses, tenue affichée devant le peuple par les prélats du monde, pour leur gloire sur la terre, et pas du tout pour Ma gloire, car J’ai rempli du sang de Mon front divin la couronne d’épines travaillée par le peuple juif, et J’ai peint ensuite la croix de Ma crucifixion avec Mon sang versé sur elle, des plaies de la crucifixion, des mains et des pieds et de Ma côte, car c’est Ma côte que le soldat a percé, et M’a aidé de rendre Mon âme, puisque J’étais venu du Père pour le rachat de l’homme qui a péché par la femme, car la femme a été prise du corps de l’homme, de la côte de l’homme, et elle a fait du mal à son mari ensuite, et Moi, Je devais guérir cette plaie faite alors et la couvrir, car il fallait que Je guérisse tout le corps de l’homme, l’homme et la femme, parce que la femme a été prise de l’homme, et Moi J’ai rendu Mon âme pour l’homme tout comme pour la femme, et Je Me suis jeté après eux dans l’enfer, par Ma mort sur la croix, par le chemin de Ma croix, sur laquelle Je Me suis laissé crucifié, et avec cette croix portée J’ai suivi le Père dans Mon obéissance, et ensuite Je suis ressuscité pour payer la résurrection de l’homme, Je Me suis établi dans le Père ensuite, et Je Me tiens à Sa droite, et Je suis Son œuvre entre le ciel et la terre, Je suis Sa Parole et Sa Main, qui travaille par Mon corps et Mon Esprit, Esprit Qui travaille du Père pour l’homme. Amen.

Les saints et les pères ont établi une fête pour la croix, pour le chemin vers la résurrection de l’homme qui jeûne quarante jours jusqu’à la fête de la résurrection, la Mienne et la lui, s’il le veut lui aussi, et Je console maintenant, Je console avec la gloire de Ma parole ceux qui font maigre durant les sept semaines du jeûne, et à ceux qui jeûnent comme il convient, tout comme J’ai laissé par les meilleurs pères de l’église et travailleurs pour elle, à ceux-là J’accorde maintenant à mi-chemin, Ma consolation par la parole et Je leur dit comme il y a deux mille ans: «Celui qui perdra son âme pour Moi et pour Mon Evangile, celui-là la sauvera».

Oh, quel péché, quel grand péché commettent ceux qui vendent de la viande, des boissons et des plats interdits pour le temps de jeûne ! Il n’y a pas de prêtres et de prélats avec douleur pour Moi et pour les hommes, pour dire à tous à grande parole, qu’il n’est pas permis en pays orthodoxe de fouler aux pieds l’ordre établi pour le temps du jeûne. Il est écrit dans les Ecritures que le peuple qui foule aux pieds les traditions saintes venues des pères est un peuple adultère et pécheur, et voilà, ils ont honte de Mon Evangile ceux qui se tiennent en Mon nom à la direction de l’église, et ils ne disent pas aux chrétiens de progresser devant Moi avec jours de jeûne, en vue de leur salut. Oh, mais comment leur dire cela, si eux-mêmes ne jeûnent pas et ils mangent en se cachant pour ne pas être vus des autres? Ceux-ci sont des incroyants, et même si quelqu’un ressuscitait d’entre les morts, ils ne croiraient pas et ils n’accompliraient pas la parole de Dieu et des saints de Dieu, puisque Lazare est ressuscité et Je suis ressuscité Moi, le Seigneur, et Israël n’a point cru, lui qui aujourd’hui Me prépare une autre destruction, en conduisant le monde vers le reniement de Dieu, pour qu’il soit lui dieu sur la terre, lui seulement, et l’argent, puisque l’argent est la malédiction sur sa tête, car c’est pour l’argent qu’il a vendu le Fils de Dieu, alors qu’Il est descendu du ciel à lui pour se laisser crucifié par lui, par le peuple auquel Il était venu pour être son Sauveur.

Oh, le Père envoie des sauveurs aux hommes et ils ne comprennent pas l’amour du Père pour eux. Quand le Seigneur a délivré Israël, n’a-t-Il pas envoyé Moïse comme sauveur pour lui? Oh, c’est ainsi que Dieu travaille toujours, Il envoie la délivrance aux captifs, et Il ne demande pas à personne de la terre, aux chefs des hommes, quand Il travaille, ni aux grands de l’église Il ne demande pas l’opinion, car Moi, le Seigneur, Je suis plus grand qu’eux et Je suis leur Sauveur aussi, s’ils Me veulent, tel que Je travaille, car le Saint-Esprit descend pour travailler quand Il veut, pas quand l’homme terrestre le veut, pas lorsqu’il croit lui cela. J’ai purifié les lépreux de leur souffrance avec Ma parole, avant de les envoyer se montrer aux prêtres, avant les voir guéris et se demander qui les a guéris.

Mais à quels prêtres savaient-ils aller? Les prêtres M’admonestaient, ils Me persécutaient partout, parce que Je guérissais les impuissants, Je faisais trop de miracles et Je diminuais leur stature devant la multitude asservie, et ils ont dit que Je devais être crucifié, de peur qu’elle ne se perde leur descendance, leur peuple entier, mais leur peur s’est accomplie car leur peuple s’est perdu de Ma face, du motif même qu’ils M’ont chassé de leur milieu, et il est maintenant celui égaré et qui égare beaucoup d’hommes.

Oh, peuple de Ma parole, oh, Mes fils, que pas un d’entre vous ne se tienne la bouche sèche de parole du ciel prononcée sur vous, et de louange pour ceux du ciel! Qu’elle travaille de l’un à l’autre Ma parole prononcée entre vous. Il faut que vous vous donniez de l’un à l’autre Ma consolation, car les fidèles doivent se nourrir beaucoup les uns les autres avec le paradis, avec la nourriture du paradis, avec les saints, avec les anges et avec toutes les puissances célestes, et au moment où Moi, le Seigneur, Je dis à l’homme ce qu’il doit faire sur la terre homme face à l’homme, c’est juste ainsi qu’il doit accomplir, puisque Je suis Dieu de Dieu, et il ne faut pas prendre en vain la parole entendue de Dieu, mais elle doit être accomplie avec crainte, et la crainte de Dieu est avec ceux qui agissent tel que Dieu le demande et comme le Seigneur attend de l’homme, du petit vers le grand, Celui Qui prend soin d’apprendre à l’homme se faire Dieu par la grâce et par l’obéissance venue de la grâce, car la grâce signifie le renoncement à soi avec de l’humilité et du repentir, avec beaucoup de travail et de merveilleux travail pour ceux-là, avec beaucoup de désir saint dans l’homme, car sans désir saint envers Dieu, oh, personne ne peut aimer Dieu sur la terre, personne ne peut languir après Lui sans cesse, après la vie éternelle, et la vie c’est Moi. Je suis la Voie, la Vérité et la Vie, dont les orgueilleux n’ont pas la chance, car ceux-là prennent de leur raison même les choses pour Dieu de leur part, et ils ne prennent pas de Dieu s’ils agissent comme ça, car ce n’est pas ainsi que l’homme puisse avoir la grâce, parce que la grâce signifie inclination, obéissance avec humilité, tel que Ma mère a toujours eu et elle a toujours travaillé ainsi, toujours, elle a travaillé comme Dieu sur la terre et elle a enfanté le Fils de Dieu Homme sur la terre, et l’homme elle l’a fait dieu par la grâce, par son œuvre, celle comblée de grâce pour Dieu et pour l’homme.

Oh, pas tous ont la chance de croire jusqu’à la fin à Ma venue sur la terre maintenant, et Je dis cela pour ceux qui se sont retirés, après avoir goûté et pris de Ma venue d’aujourd’hui, avec la délivrance pour beaucoup de ceux qui s’humilient pour elle, car certains d’eux sont restés quelque temps, et ensuite ils se sont écartés en provoquant Ma diffamation et s’en allant ensuite, puisqu’ils ont jugé selon leur pensée et leur opinion, et celui qui juge c’est lui-même qu’il se juge et il tombe sous le jugement, et il tombe par l’audace, et voilà, une partie d’entre eux ont foulé aux pieds beaucoup des bonnes habitudes qu’ils avaient prises auprès de Moi, auprès de Ma source de parole, dont ils se sont nourris longtemps, jusqu’à ce qu’ils se sont écartés, car ils n’ont pas eu la chance de croire jusqu’à la fin, ils ont déposé la croix et ne l’ont plus reprise. Celui qui se tient jusqu’à la fin est celui qui ne se laisse pas trompé de rien et de personne, il est celui qui ne se montre pas sage et ensuite mécontent par son orgueil, comme Adam en Eden, car celui qui s’enorgueillit se voit sage, et par cela juste, et il juge ceux d’autour de lui, et voilà, c’est ainsi qu’ils tombent de Dieu et de la foi ceux qui se donnent de l’importance sur la voie de la croix, sur la voie de Mon Evangile avec l’homme.

Oh, celui qui ne jeûne pas de lui-même, c’est en vain qu’il mange maigre au temps de jeûne, car c’est l’orgueil qui accompagne l’homme sans constance sur sa voie avec Moi, et voilà parole de sagesse, car Adam a été tenté et vaincu par la tentation parce qu’il n’a pas jeûné, parce qu’il n’a pas obéi de jeûner de soi-même, et Moi, le Seigneur Jésus-Christ, J’ai été tenté par satan comme un homme quarante jours, et Je n’en ai pas été vaincu parce que J’ai jeûné, parce que Je Me suis incliné devant le Père au temps de l’épreuve envoyée par Lui, et Je Me suis tenu en humilité devant le Père et devant satan en même temps, et satan ne savait pas que le Père est en Moi et Moi dans le Père, c’est pour cela que la victoire a été la Mienne, par Mon humilité devant le Père et la vigueur de Ma lutte pour Lui face à face avec satan, le tentateur.

Oh, Mon peuple, oh, fils de Ma parole celle d’hier et celle d’aujourd’hui, Je t’ai regardé et Je t’ai choisi le Mien de la multitude puisque Je t’ai vu fidèle à Ma venue d’il y a deux mille ans, et Je t’ai pris à Mon sein maintenant, à la fin de temps, et Je te donne Ma venue de maintenant, car Je suis venu à toi, Je Me suis découvert à toi avec Ma venue et tu as cru que c’est Moi. Oh, prend sagesse du ciel, Mon fils, prend soin de Moi pour être intelligent, car voilà quelle sagesse Je te donne pour Mon amour, pour ton amour en Moi, et voilà ce que Je te dis! Oh, Mon fils, ton comportement envers ton prochain c’est le même que tu adresses à Dieu, car l’esprit est esprit comme celui de Dieu, ou bien comme celui de l’homme, et voilà une chose pas comprise par beaucoup de ceux venus et passés par cette œuvre de parole, et qui n’ont pas su comprendre de cette manière leur amour envers Dieu, et ceux-ci n’ont pas eu la chance de croire jusqu’à la fin pour leur couronne venue de Moi, par Ma grande venue à ceux qui Me reçoivent maintenant et jusqu’à la fin de Ma parole pour l’homme au-dessus de la terre pendant ces jours finals. Je dis encore et encore à tous ceux qui ont cru et qui croiront dorénavant que Moi, le Seigneur, Je parle sur la terre au milieu d’un petit peule fidèle à Ma venue d’aujourd’hui en parole, et voilà ce que Je leur dis:

Oh, ne dénigrez pas cette œuvre de parole, ni ceux qui la portent et la partagent au-dessus de la terre, car malheur à ceux qui frappent cette lumière, et on a vu ce malheur sur beaucoup déjà! Ceux qui dénigrent et frappent et diffament, ceux-là marchent ensuite dans l’obscurité et ils tombent aux mains du monde et ils se séparent de l’esprit de la consolation, de Mon Esprit, Qui parle à un peuple fidèle, mais s’ils veulent retourner le bien, après le mal qu’ils se sont fait eux-mêmes en se séparant du corps de ce peuple fidèle, qu’ils se purifient du péché de la médisance, de la diffamation et du jugement et qu’ils fassent la paix avec Moi, par le repentir pour leur pardon ensuite, et si Moi Je vois qu’ils ont le cœur pur par une vraie et entière repentance, Je vais les délivrer de leur obscurité et Je leur retournerai la lumière, à condition qu’ils puissent aimer humblement la voie, la vérité et leur vie, c`est-à-dire la Seigneur, Moi, le Premier et le Dernier, Celui Qui est et Qui travaille de nouveau comme au début, car Je suis le commencement et la fin, et Je suis et Je serai, et tous ceux qui croient ainsi seront sauvés, et ils seront. Amen.

Qu’ils prennent cet enseignement de vie vivante tous les chrétiens orthodoxes, selon le nom de la foi dont ils font partie, mais pour qu’ils y soient, ils doivent comprendre que pas tous ceux qui disent «Seigneur, Seigneur», entreront dans le royaume des cieux, mais seulement ceux qui se conduisent avec Mon prochain et le leur tout comme avec Dieu, car à ceux qui déclarent être dans la juste foi, Je leur dis que de la même manière qu’ils se conduisent avec ceux d’auprès d’eux, ils le font avec Dieu aussi, ainsi et pas autrement ils ont Dieu comme leur Seigneur et Maître, comme des fils qui obéissent ou pas à Celui Qui peut les délivrer et les racheter du péché.

Ils est grand Mon enseignement d’aujourd’hui, il est grand, et intense, et il va demander grande réponse à ceux qui entendent Ma sagesse, celle avec laquelle Je conduis aujourd’hui sur la terre, sur ceux qui veulent et sur ceux qui ne veulent pas que Je conduise Moi, mais Je conduis et en secret Je travaille et J’accomplis et Je coupe par milieu, Je passe partout et Je sépare à Ma droite et à gauche, et Je donnerai à chacun selon son action car c’est ainsi qu’il est écrit. Amen.

J’ai été au milieu de toi en ce jour de dimanche de la fête de la croix de la crucifixion et de la résurrection, oh, Mon peuple qui écoute de Dieu Sa parole toujours actuelle! Je suis le Même hier et aujourd’hui! Je suis toujours aujourd’hui, car c’est ainsi que Je dois être et travailler, tel que Je le suis, tel que Je travaille, et J’ai prononcé sur toi en ce jour parole épiscopale, Ma parole sur l’église, tel que tout prélat doit travailler pour son église. Je suis Celui Qui est, et Je ne suis pas semblable aux prélats de la terre, mais Je suis le Premier et le Dernier, Je suis l’Alpha er l’Oméga, le commencement et la fin, tel qu’il est écrit que Je suis, tel qu’il est écrit dans les Ecritures de Celui Qui est, de Moi, le Seigneur Jésus-Christ, et Grand Prélat, le Fils du Père Sabaoth et toi, Mon peuple d’aujourd’hui, celui de Ma parole d’aujourd’hui, pais, le fils, pais de Ma part, pais Mes brebis, pais-les avec Ma parole venue sur toi, la donnant comme nourriture à Mes brebis. Elles sont celles qui obéissent à Ma voix et elles vont après Moi, n’importe où Je leur dis d’aller et de travailler pour Moi, car Je suis leur Pasteur, et J’ai laissé écrit cela: «Je suis le bon Pasteur, Celui Qui met sa vie pour Ses brebis, Qui entre par la porte dans la bergerie et il ne monte pas ailleurs, comme les pasteurs voleurs et brigands de brebis, et Celui Qui entre par la porte est le Pasteur des brebis et les portiers Lui ouvrent et les brebis entendent Sa voix, Il les appelle par leur nom et Il les conduit au pâturage, et lorsqu’Il a fait sortir toutes les Siennes dehors, Il marche devant elles, et les brebis Le suivent, parce qu’elles connaissent Sa voix, et elles ne suivront point un étranger, parce qu’elles ne connaissent pas la voix des étrangers», et heureux ceux qui comprennent cela et Ma parole qui s’avère sur eux, car son accomplissement sur eux prouve qu’ils sont les Miens, Mes brebis, qui obéissent à Ma parole, à Ma voix de Pasteur sur elles. Amen. Amen, amen.

Oh, gardez-vous, les fils, gardez bien votre petit âme et n’ayez aucun mélange avec ceux qui se sont détachés d’entre vous, puisque vous êtes petits, et l’obscurité où ils se sont laissés est grande et elle est du monde, elle vient du manque d’humilité de leur esprit, et leur manque d’humilité c’est l’esprit du monde, l’esprit qui sépare l’homme de Dieu au moment où il ne s’en rend compte, et l’homme se laisse vers l’envie de sa raison, vers le chuchotement de sa raison, qui le mène vers l’envie de la chair et des yeux, et tout cela mène vers la présomption et ses faits dans l’homme, ce qui est l’obscurité dans l’homme, selon laquelle il se conduit soi-même. Mais vous, gardez votre vie, les fils, car Je vous garde bien et Je vous apprends bien vous garder, pour que Je puisse vous protéger et vous avoir les Miens jusqu’à la fin. Amen.

18-03-2012