La Parole de Dieu à la Fête de Jean le Baptiste, en Mémoire de sa Décapitation

Ce jour de sainte mémoire dans les cieux et sur la terre est un jour d’enseignement, de croissance, de conseil, car celui qui veut être sage pour la vie a besoin d’instruction, il a besoin d’apprendre et de pouvoir ensuite pratiquer ses connaissances, pour savoir pourquoi il existe, pourquoi il vit, ce qu’il doit travailler, où doit-il arriver, oh, et il faut se mettre sérieusement à l’étude celui qui veut Me suivre et que Je sois Moi ensuite sa vie, en commençant avec sa résurrection et avec sa lumière toujours présente ensuite, et qu’il est heureux l’homme choisi du sein de sa mère pour sa vie avec Dieu sur la terre, depuis la terre jusque dans les cieux, oh, et c’est ainsi qu’il a été Jean le Baptiste, Mon Baptiseur, l’homme qui connaissait son Maître, oh, Mon peuple. Et aujourd’hui c’est un jour d’enseignement et Je vais te faire la traverser, avec tous ses conseils, pour qu’ils prennent de ton livre avec Moi le monde qui passe, l’homme sans instruction pour la vie, tous ceux qui vivent dans la débauche. Car voilà, les fils, il manque le maître, elles manquent l’instruction et l’école pour la vie, oh, et il n’a pas la connaissance d’en haut l’homme, et ils périssent des peuples entiers, faute de sagesse, des rangs et des rangs d’hommes nés des homes, et ils deviennent ordures, mais Je viens comme Maître sur la terre et Je parle chez vous et vous Me partagez, les fils.

C’est dans l’esprit de la paix sainte que Je veux vous parler lorsque Je viens en parole chez vous. Cette paix sainte Me facilite la voie, pour que Je vienne, que Je travaille, que Je M’inscrive dans le livre, et que Ma parole soit partagée. Oh, paix à vous dans le travail avec Moi, les fils ! Tenez-vous devant Moi pour Me recevoir, pour M’accomplir en vous, et que Je puisse trouver Mon repos en vous et entre vous, les fils.

Oh, le fils de cette parole doit prouver la source d’où il prend son enseignement et à quoi sert-il avec sa vie. Demande-toi donc, Mon fils, à quoi Dieu est-Il bon pour toi, et réponds avec sagesse et intelligence à cette question. Ensuite demande-toi, le cœur éveillé, demande-toi attentivement de quoi es-tu bon pour Dieu, et seulement ensuite tu vas comprendre pourquoi tu vas bien ou tu ne vas pas bien tant de fois, et en tant d’occasions où tu as besoin de Dieu, quand Il serait bon Dieu pour te soutenir, oh, et humilie-toi si tu n’es pas utile à Dieu, et cherche de vivre utilement la vie, puisque tu resteras ou tu ne resteras pas avec les choses que tu as travaillées, avec celles utiles à Dieu et à toi, si tu les travailles , et voilà pourquoi Je te conseille de te demander à quoi es-tu utile à Dieu et à Son œuvre, celle qui va rester, car c’est seulement Dieu qui va rester, Lui et Son œuvre et tous ceux qui ont avec Lui leur travail sur la terre.

Oh, les fils, fuyez l’orgueil, allez vers l’humilité du cœur, toujours vers elle, que chacun de vous se considère plus bas que l’autre, et vous allez ainsi échapper à l’attaque de la présomption et des mauvaises conduites, contre lesquelles vous avez toujours l’humiliation et la réprimande, car elles vous tiennent dans l’humilité, elles vous soutiennent pour ne pas tomber d’auprès de Dieu par la fierté, oh, et ils ne savent pas les hommes être à Dieu, ils ne savent pas que c’est l’humilité de cœur qui tient l’homme avec Moi, et surtout lorsque l’homme aime la soumission, les fils. Il est écrit dans les Ecritures sur les bœufs, les chevaux, les ânes, qu’ils sont au service et à l’aide de l’homme, dans son pénible travail pour la vie, et ils connaissent leur maître, ne le quittent pas, ne se fâchent pas contre lui et ne le punissent pas ainsi, même s’il arrive que le maître les fouette pour qu’ils aillent et transportent des fardeaux, ou pour obéir aux ordres du maître, ou pour ne pas s’abandonner à la paresse quand il s’agit de préoccupations du maître, accomplies avec leur aide. Oh, mais l’homme n’est pas comme cela, il n’est pas soumis, il n’aime pas l’être, il se veut important, il s’élève au-dessus de celui qui prend soin de lui, il le médit, le juge, il lui trouve des coulpes, il s’en plaint et en raconte partout des paroles diffamantes et son mécontentement, il lui répond insolemment, sans honte, tel qu’il est écrit dans les Ecritures, au sujet des entêtes et des désobéissants, insoumis et diffamateurs envers ceux établis pour veiller sur la vie qui doit être surveillée, la vie de ceux qui choisissent d’être avec Dieu.

Oh, les fils, les fils, attention à la sainteté de votre cœur, faites-y attention plus qu’à la nourriture ou aux habits, plus qu’à votre préoccupation pour ce que votre cœur aimerait avoir, et Je vous dis cela pour que Je puisse Moi demeurer en vous, pas toujours vous, si vous M’avez trouvé, si Je vous ai trouvés, et que Je puisse être Moi votre vie, les fils, et que vous soyez Ma vie sur la terre entre les hommes. Oh, que rien ne vous enchante sur la terre, que rien et personne n’attire votre cœur. L’humilité du cœur, si cela te manque, tu peux totalement quitter Dieu dans un instant, Mon fils. Oh, vois comme à cause du manque de l’humilité du cœur d’un seul instant, ils sont tombés de Mon bras et ils sont allés dans le monde ceux qui sont partis, ils ont pris leur cœur de l’esprit de l’humilité et l’ont aliéné sur la voie de la vie passagère et de ses péchés, propres à ceux sans Dieu sur la terre, et celui qui tombe au milieu des fils des hommes, dans les ténèbres du dehors, celui-là est quitté par Dieu, car le Seigneur demeure avec ceux qui demeurent avec Lui sur la terre.

Oh, l’humilité du cœur si tu ne l’as pas, si tu ne sais pas la garder, le péché est tout près, est tout près l’éloignement du mystère de la vie éternelle, le mystère qui ne te laisse pas tomber vers des faiblesses et des péchés, qui te donnent beaucoup de pleurs, utiles ou inutiles, car pour l’homme incliné vers le péché, il est difficile de pouvoir encore aimer une vie propre, vie que J’ai destinée à l’homme pour le temps de sa chair, car voilà, l’homme prend son corps en sa possession et le porte vers le péché toujours et toujours, et il commet seulement des fautes, tout comme un enfant libre d’agir à sa guise. Un enfant laissé seul peut beaucoup détruire, gâter beaucoup de choses. Un chrétien s’il est laissé seul, s’il va seul de ci, de là, il travaille de la même façon sur lui-même et sur un autre, et ensuite il cache ses œuvres solitaires et tombe sous elles, car celles-ci le couvrent entièrement, tant qu’il ne se voit plus, tant qu’on ne peut plus réparer quelque chose, puisque les choses cachées ne peuvent plus être réparées, sans la possibilité d’être vues, et elles sont les œuvres du diable, qui les porte au compte de celui qui agit en cachette par ses faits. Voilà donc, il n’est pas bon que l’homme soit seul, pas même pour un seul moment, et il est bon qu’il ait des témoins, qui puissent témoigner des moments de sa vie, car c’est ainsi qu’il est écrit.

Ce jour de sainte fête est un jour d’instruction, les fils. Jean, Mon Baptiseur a été abattu par la raison et l’esprit de femme, mais qui pourrait encore donner du conseil aux hommes pour qu’ils évitent le péché, si ceux-ci se tiennent si grands, si forts les uns face aux autres!

Oh, les fils, ne vous inclinez pas devant la stature de l’homme. Ne soyez pas enchantés des hommes à grande fortune et à grand nom, mais fixez vos regards sur la grandeur venue de Dieu dans l’homme, telle qu’elle s’est montrée chez le voïvode Mircea, devant le sultan Bayazid des Turcs, les conquérants, qui ont souvent voulu asservir les Roumains. Voilà, les personnalités qui se veulent des personnalités et sont nommées ainsi, elles ne sont pas autre chose que des héroïdes, des Caïphe, des pilâtes, des scribes, des pharisiens, tous ceux qui ont essayé et essayent encore de fouler Dieu aux pieds, pour qu’ils soient eux les grands et les forts et les influents, oh, et ceux-ci nourrissent leur vie avec du péché et des gouts coupables, qui empoissonnent l’âme, puisque l’homme a besoin de femme pas de Dieu, pas de saints, pas d’anges qui leur veillent la vie, oh, et ils sont rares les hommes, très rares, car les hommes ne sont pas ceux comblés de faiblesse, tout comme Hérode, ils ne sont pas ceux faibles face à tout sorte de chair, mais ils sont braves pour eux et leur peuple et pour de grandes actions, ils sont ceux dignes du Saint-Esprit logés en eux, pour la gloire de Dieu par eux sur la terre, et voilà, les fils, entre Moi et la femme, dès son début, l’homme a choisi et il choisit encore la femme, et c’est cela la vérité avec l’homme, le pauvre.

Oh, si toi, homme, tu foules aux pieds l’honneur de ta propre famille, femme et enfants, et tu vas en cachette pour te débaucher avec les femmes, oh, alors comment par cela et par d’autres plus grandes encore, comment ne pas voir que tu foules aux pieds l’honneur de ta liaison avec Dieu, en passant à coté de ta maison, en cherchant d’autres amours et même d’autres croyances, de différentes sentiers vers Dieu, mais vers Dieu tu ne doit pas chercher des sentiers, mais seulement de te retrouver toi-même et ne pas quitter la voie, car celle-ci s’appelle Dieu avec Ses frères sur elle, cela s’appelle non chancèlement envers l’héritage laissé par le Christ, Qui n’a pas été de différentes sortes et couleurs, car Il a histoire écrite, si seulement tu ouvres Son livre pour voir et bien comprendre ce que cela signifie Dieu et la marche de l’homme avec le Seigneur, car c’est Lui la voie, mais attention que tu ne Le perdes pas, que tu ne Le vendes pas pour des plaisirs, en éloignant de toi l’amour de Dieu.

Oh, les fils, les fils, qu’ils sont heureux ceux qui ont le cœur pur, et cela grâce à Dieu Qui se trouve en eux, et à la lumière dans laquelle ils marchent et par laquelle ils sont vus et connus tout le temps, avec toutes leurs bonnes et mauvaises choses. Ceux qui n’ont pas le cœur pur sont emportés du diable, et c’est pour cela qu’ils cachent les faits de leur conduite comme Caïn, et ils sont reconnus ceux-ci d’après leur visage, car ils ont des secrets face aux autres, car ils jouent au théâtre, car ils ne laissent pas transparaitre les choses de leur cœur, et tout cela parce qu’ils reçoivent la volonté du diable en eux, celui qui est caché en eux avec ses œuvres, puisque le diable c’est tapi dès le début dans l’homme et lui a appris à se cacher, ce qui signifie l’abandon du Dieu et de Dieu, l’abandon de Dieu et l’union avec le diable et ses cachettes, oh, puisque c’est seulement avec ses mauvais faits que l’homme se cache!

Le péché fait honte si l’homme se montre avec lui, c’est pourquoi ils se cachent ceux qui pèchent, ils se cachent tout comme Adam s’est caché, et ensuite il a eu peur et honte, mais aussi de l’ambition contre Dieu, Qui aurait voulu le séparer du péché. Mais lui, ne l’a pas voulu et il s’est séparé de Dieu, il n’a plus été avec Dieu, ni Dieu avec lui, ni les anges, car celui qui est attiré de la faiblesse vers le péché est quitté des anges, c’est pourquoi il tombe honteusement et il se cache de honte, comme le voleur se cache pour voler et pour ne pas être arrêté.

Oh, les fils, et vous, fils des hommes, protégez-vous les uns les autres du péché qui existe en vous ! Ne vous faites pas source de danger l’un pour l’autre par le péché ! Appliquez-vous à vous garder de tomber dans le péché, mais aussi de ne pas devenir des pièges l’un pour l’autre, pour commettre le péché haï par Dieu, et qui vous tient esclaves, car Adam et sa femme se sont cachés lorsqu’ils ont été animés du désir pécheur l’un pour l’autre, et Moi, le Seigneur, J’ai appris à tous et Je leur ai dit: «Marchez dans la lumière!», car ceux de Mon peuple d’aujourd’hui qui n’ont pas obéi à cet ordre, les voilà, ils se sont cherchés en secret les uns les autres et ils ne se sont plus arrêtés, ils ne se sont plus levés pour le repentir, mais ils se sont dirigés plus encore vers les plaisirs et ils sont allés au milieu des ténèbres des fils des hommes, qui pèchent eux aussi jour et nuit, avec le désir et la recherche du péché. Oh, si tu viens sur la voie avec le Seigneur et avec les frères, et tu oses ensuite de prendre quelqu’un de ceux-là dans ton cœur comme esclave, puisque tes sentiments te poussent vers cela, oh, tu commets alors le mal le plus grand, celui d’ éloigner les anges de Dieu de celui porté dans ton cœur, et tu le rends lui aussi coupable d’impureté de cœur, et c’est ainsi qu’ils sont tombés d’auprès de Moi des fils, avec lesquels J’aurai pu M’aider sous la charge de la croix portée, oh, et tu t’es rendu voleur d’âmes et tu as endommagé Mon travail et Ma peine pour l’homme et la maison du Seigneur, et tu t’es tu en travaillant le mal contre Ma marche et celle de Mon grand nom entre le ciel et la terre.

La douleur de Jean le Baptiste, qui portait son regard sur le péché du milieu d’Israël pour l’arrêter de quelque façon, oh, elle est grande, une telle douleur pour l’Esprit de Dieu et de Ses saints. Des grands avec des petits, des maîtres avec des esclaves, des rois avec des sujets, des parents avec des enfants, des frères avec des frères, des cousins avec des cousins, des vieillards avec des jeunes, des hommes avec des hommes, des femmes avec des femmes, et encore plus détestable que cela, car l’homme se débauche avec toute sorte de chairs, et même avec des chairs mortes, oh, et tout cela signifie les épines de Mon front et le sang coulé de Mon cœur divin pour l’homme et de l’homme.

Des Sodome et des Gomorrhe fleurissent de péché, et le péché est en fleur partout. Et Moi, le Seigneur, J’ai une poignée de peuple, auquel Je parle toujours et Je le conseille pour la sainteté, et Je lui montre tout le mal de la terre et de Mon cœur, à cause de l’homme collé au péché, l’homme pour lequel Jean le Baptiste a été destiné à mourir la tête coupée, mourir pour le péché Mon Baptiseur, et Moi, Je suis aujourd’hui aussi à table avec vous et avec lui, les fils, et Nous partageons ici avec vous tout ce qui Nous pèse depuis la terre jusqu’au ciel.

Oh, Mon Baptiseur, ils sont ceux que Nous avons pour Nous, et c’est à eux que Nous montrons la grande tristesse et Nous la portons avec eux, et ils ont à apprendre comme à l’école toute la sagesse de laquelle ils ont besoin contre le péché qui embrasse toute l’humanité, et Moi et toi, Nous soupirons encore et encore, et il soupire le ciel de saints et d’anges sous cette tristesse, et elle soupire la terre, oh, Mon Baptiseur, et elle crie la terre, elle crie à Dieu la terre, elle crie au ciel.

— Oui ! Cette tristesse profonde Nous retient sous elle, Seigneur et Nous devons toujours mettre les fils de Ton peuple dans le Saint-Esprit, Seigneur Jésus, dans le désir saint envers Toi, envers Nous, envers les saints et les anges toujours présents avec eux, car tout le ciel doit se tenir tout près d’eux toujours et toujours dans cette vallée pleine de dangers, d’ennemis venus de l’enfer, issus pour tromper toute chair et tirer tout le temps des âmes de la voie de la vie.

J’ai été tué parce que j’ai voulu faire connaître le péché du roi, le péché d’Israël, en commençant de la tête gâtée par le péché d’Hérode, le gouverneur du peuple. Oh, et comment pourrait-elle être autrement la terre gouvernée par un roi débauché ? Mais il y a deux mille ans Tu as établi Ton royaume sur Tes disciples élus pour Toi, royaume où Tu les as embrassés par la liaison du Saint-Esprit, avec Lequel Tu les as scellés comme les Tiens, au milieu du monde dépravé d’alors. Oh, à présent de nouveau, Seigneur, de nouveau Tu as fait cela, et Tu es venu sur la terre avec l’œuvre de Ta parole et Tu as fondé un peuple obéissant à Toi, et Tu les as inclus dans Ton royaume par l’œuvre du Saint-Esprit. Et maintenant je leur dis au jour de ma montée au ciel, je leur dis pour qu’ils le sachent toujours plus clairement que le Saint-Esprit S’établit travailleur dans l’homme par la puissante œuvre de désir saint, par ce saint désir, Seigneur, tel qu’il s’est passé avec moi aussi sur la terre, au cours du temps où j’ai demeuré au sein du Saint-Esprit, Que j’ai désiré grâce à Son œuvre sur moi. Le Saint-Esprit, c’est le désir saint-même, et celui qui n’a pas ce saint désir, c’est qu’il n’a pas le Saint-Esprit en lui.

Oh, Seigneur, qu’il est heureux celui qui porte le désir saint, le Saint-Esprit dans son cœur! Le Saint-Esprit c’est le bonheur-même, impossible à décrire. On peut être pleinement heureux, on le peut, même si on ne possède rien, on est toujours heureux avec ce levain en soi, avec le saint désir, oh, fils aimés de Dieu, puisque c’est ce saint désir qui fait le bonheur du cœur et la vie, et pas autre chose de la terre peut donner ce bonheur.

Le Saint-Esprit c’est le saint désir entre l’homme et Dieu, entre frère et frère dans le Seigneur et pour le Seigneur au nom du Seigneur. Il est l’amour, la consolation, le pouvoir de la charité, la miséricorde et le non jugement. Il est l’humilité et la douceur du cœur, Il est la paix parfaite et la sagesse, Il prépare le Seigneur sur la table du chrétien, et l’homme a le Seigneur de nourriture sur sa table.

Oh, les fils, chaque jour du chrétien déifié commence par la communion, avec cette nourriture venue du ciel, car le Seigneur est du ciel et le corps est le sang du Seigneur sont la nourriture de l’âme, de l’église du Christ, l’ordre que le Seigneur a laissé à Son église, et la nourriture pour elle. Vous êtes en ce temps Ses amis, vous, ceux qui vous mettez avec le Seigneur à table corps et parole, tout comme Il a été alors avec Ses disciples, le soir de la cène. Les fils des hommes communient toujours avec le diable, avec l’ennemi de Dieu et le leur, et c’est son esprit qui est leur travail, mais vous, vous communiez toujours avec le Christ avec l’ennemi de diable et ses serviteurs, car l’esprit du Seigneur c’est votre œuvre.

J’ai été tué par l’esprit de femme, esprit qui attire l’homme au péché, car autour d’elle l’homme sent l’odeur du péché, oh, et il m’a condamné à mort l’esprit ennemi trouvé dans la femme, celle d’auprès d’Hérode.

Oh, pourquoi s’est-il fixé dans la chair de l’homme cet esprit mal odorant et outrageant pour l’homme? L’esprit de la débauche outrage l’homme, le souille tout le temps, il est plus fort que l’homme et le vainc, puisque l’homme est son esclave, et je dis maintenant avec la voix de la douleur:

Oh, les hommes, oh, les hommes, fuyez les femmes, évitez leur proximité, fuyez de toutes forces, car elles vous souillent la vie et le visage et le cœur et l’esprit et l’éternité, pour ne plus la recevoir!

Oh, les femmes fuyez les hommes, courrez de toutes jambes, ne restez pas auprès d’eux pour les pousser vers le diable de la débauché, car la débauche est sortie de l’enfer, elle traverse la terre et enlaidit l’homme et la femme et mélange les chairs, les fait bouillir comme le potage dans la marmite, et les transforme en ordures prêts à être jetées au gouffre de l’enfer, plein de feu!

Ecoute, homme, le plaisir pour quelqu’un de cher va te faire très mal, à toi et à lui aussi. Oh, ne laisse pas introduire dans ton cœur quelqu’un que tu crois aimer, avec lequel tu peux provoquer l’envie du péché! Oh, ce n’est pas pour cela que Dieu a créé l’homme, oh, non, homme, pas pour cela! Les hommes se troublent les uns les autres vers le péché, lorsqu’ils le réveillent de l’un à l’autre, et les anges s’enfuient et se tiennent loin d’eux, et les hommes n’ont plus la garde des anges sur les jours de leur vie, ils ne l’ont pas à cause du péché qu’ils aiment dans leur chair et duquel les anges s’enfuient.

Oh, garde-toi homme de la mort! Sans Dieu tu es comme un mort, car le Seigneur ne Se tient pas avec ceux qui n’aiment que le péché, qu’ils ont comme nourriture pour leur vie.

Au jour de ma fête dans le ciel, je vous ai donc mis sous l’esprit de l’enseignement contre le péché blotti dans l’homme, vous, les fils de la parole du Christ, et de vous, les fils des hommes.

Et Toi, Seigneur, écoute ma prière et rends ma parole porteuse de fruit dans ceux de la terre, car je veux que Tu n’aies plus toujours tant de douleurs que Tu n’aies plus mal de la débauche de l’homme, celle qui Nous prend Notre droit dans l’homme! Oh, Seigneur, mets la liaison du Saint-Esprit sur les cœurs, mets le sceau, celui qui peut déifier l’homme, oh, car Nous n’avons pas quoi récolter, et elle est arrivée la moisson, Seigneur, et Nous devons garder l’or contre les voleurs qui désirent transformer l’or en boue, car la boue fuit l’or, elle ne supporte pas sa lumière.

Et maintenant mets le sceau sur Ton disciple pour l’œuvre de la parole d’aujourd’hui sur la terre, parole qui flotte au-dessus des ténèbres de partout, Seigneur, et fais de la lumière, lumière dans les ténèbres, oh, Seigneur! Amen.

— Oh, voilà Ma gloire dans ceux qui portent le désir saint envers Moi, saint désir qui attire tout le ciel de saints et d’anges pour le travail et pour la garde sainte sur ceux pleins du Saint-Esprit! Je M’incline devant cette parole de mon disciple Jean le Baptiste, qui a parlé tel que le désir saint qui brûle Mon cœur, car J’ai la nostalgie de l’homme saint, oh, peuple de Ma parole!

Oh, prenez soin d’apprendre par cœur le pouvoir de la parole de ce jour, inscrit dans Mon livre avec vous les fils!

Qu’ils s’éloignent les diables et leurs intrigues de Ma marche avec le peuple de Ma parole ! Que le désir saint vienne dans vos cœurs, les fils, que le Saint-Esprit vienne et toute son œuvre, et que les diables et leurs anges en prennent peur ! Soyez pleins du désir saint, du Saint-Esprit soyez toujours plus pleins et qu’elle travaille cette force de vous ici, et jusqu’au loin, jusqu’aux extrémités, les fils!

Inclinez-vous sous le pouvoir d’en haut, et qu’il soit renforcé tout le temps sur vous, toujours plus actif, puisque c’est en vous que Je retrouve toujours la consolation dans les douleurs, et c’est pour la consolation que Je Me tiens avec vous, les fils, oh, et n’oubliez pas cela: c’est vous Ma consolation, oh, les fils! Amen, amen, amen.

11-09-2019