La Parole de Dieu du cinquième Dimanche après les Saintes Pâques, celui de la Samaritaine. La Fête du Saint Grand Martyr Georges

Oh, les fils, les fils, Je viens chez vous avec les saints, J’entre dans la cité avec les saints, les fils. Oh, on fait mémoire dans la cité de la femme samaritaine et nous trouvons des cruches et un seau avec de l’eau, et nous apaisons notre soif sur les bancs près de la fontaine. La fontaine de la rencontre avec Dieu, c’est le nom qu’elle a reçu cette fontaine, dont l’ange protecteur a été nommée la femme samaritaine, celle avec laquelle Moi, le Seigneur, Je Me suis reposé de la fatigue du chemin, en parlant avec elle à la fontaine d’Israël.

Oh, voilà, Je donne au peuple de Ma parole d’aujourd’hui, Je lui donne un précieux conseil en ce jour de festin avec lui ici, à la source, car ils se réunissent quelques chrétiens avec nous et avec vous à la table en ce jour, les fils, et ceux qui n’y viennent pas reçoivent Mon conseil envoyé par vous vers eux, oh, et qu’il serait bon s’ils apprenaient ce que Moi, le Seigneur, J’enseigne aujourd’hui au peuple de Ma parole, dans la cité, à la source.

Oh, Mon peuple de partout, toi, celui qui cherches Ma parole versée ici, oh, rassemble-toi avec Moi à table de parole, car Je suis le Maître et Je te donne à apprendre, et soit que Mon enseignement se reconnaisse dans ta conduite. Je suis venu avec cette parole sur la terre, Je suis venu pour établir la grâce sur ceux qui Me trouvent ici, puisque sans Ma grâce sur lui, oh, le chrétien ne peut rester fidèle envers Moi jusqu’à la fin.

Lorsque J’ai choisi Mes disciples il y a deux mille ans, Je les rencontrais, Je leur transmettais Ma grâce et ensuite Je les appelais et les amenais avec Moi. Oh, voilà ce que la grâce fait lorsqu’elle descend sur l’homme pécheur! L’homme s’humilie et se laisse purifié par Dieu et il demeure dans l’amour ensuite jusqu’à la fin.

Elle s’est réjoui la Samaritaine si Je lui ai montré les péchés et son mauvais état. Oh, elle ne s’est pas fâchée, elle ne s’est pas révoltée, elle n’a pas caché sa coulpe, mais elle s’est laissé portée vers la grâce, vers la restauration de la raison, de l’amour, de la sagesse, tout comme l’apôtre Pierre s’est assagi et il ne s’est pas fâché lorsque Je lui ai dit: «Derrière Moi, satan, car tes pensées ne sont pas celles de Dieu!», mais bien au contraire, ayant Ma grâce sur lui, dès son appellation, elle s’est accrue, tout comme l’amour et l’habileté à servir Dieu, et il a pris des forces auprès de Moi et pour Moi, de même que la Samaritaine à la fontaine, lorsque Je lui ai montré ses péchés, pour la renouveler et la rendre vase de Ma grâce.

Oh, voilà la sagesse celle venue par la grâce, et voilà l’action insensée provoquée par l’absence de la grâce, car lorsqu’Hérodiade a entendu la parole adressée à Hérode par Jean le Baptiste sur elle, la femme d’Hérode, après avoir été la femme du frère d’Hérode, elle fut comblée de colère, pas de désir de correction, mais d’une forte colère, telle qu’elle a ordonné qu’on lui apportât la tête de Jean, sur un plat, puisqu’elle n’a pas accepté la réprimande, elle n’a pas reçu la correction, et voilà ils n’ont pas rejeté le péché ces gens-là.

Je vous présente ces éclaircissements face à face, pour donner maintenant de l’enseignement à ceux qui veulent être les fils du peuple de Ma parole de ces jour-ci, et Je leur dis: Oh, les fils, les fils, n’employez pas la force de la raison pour faire un essai sur votre foi, mais cherchez à avoir Ma grâce sur vous, sur votre raison, car voilà quel miracle de résurrection a produit Ma grâce sur la femme samaritaine, le jour où sa vie a été mise à l’épreuve, pour le renouveau dans son âme de l’Eternel Dieu, de Celui attendu à venir, afin d’apprendre aux hommes toutes celles de Dieu!

Oh, les fils, considérez attentivement votre nature et voyez si Ma grâce est descendue sur vous, ou pas encore, et si elle n’est pas venue, vous ne pourrez pas vous incliner pour la veille sur vos fautes, ou sur celles que vous pourriez commettre aux temps d’épreuve pour la foi et pour la fidélité envers Moi, puisque le diable a beaucoup de moyens habiles qu’il emploie et le chrétien ne les connaît pas, les fils. Mais Moi, Je veille sur vos ennemis visibles et invisibles, et J’ai dit il y a deux mille ans qu’ils se séparent des empêchements celui qui veut aller avec Moi, pour se sauver du péché. Oh, et que dire encore de celui qui considère les péchés de l’autre, pour trébucher et les commettre à son tour? Oh, il vaut mieux que celui qui a commis des fautes dise avec peur tel que David l’a dit: «Oh, Seigneur, si Tu retiens les fautes, qui pourrait subsister?». Mais voilà venir le temps, oh, chrétien, quand tu comprendras tout seul à quel point J’ai voulu ton bien lorsque J’essayais de corriger tes fautes et ta vie, et contrôler ta stature en toutes sortes, autant que tu Me permettais ou pas, et si tu te fâchais et te révoltais, oh, Je t’abandonnais à ta faute, Je ne t’aidais plus, tel que Je l’ai fait pour la Samaritaine à la fontaine, en son jour avec Moi, et Je te laissais à la portée de tes regrets et des douleurs venues de tes fautes cachées, pas soignées, pas guéries, si tu ne Me laissais pas faire.

Oh, voilà, la femme samaritaine parle aujourd’hui aussi avec Moi à la fontaine, et elle met aujourd’hui dans Mon livre sa parole avec Moi, et Moi, le Seigneur, Je bénis maintenant son entrée. Amen.

— J’entre avec Toi, Seigneur, j’entre chez les fils de Ton peuple et nous nous asseyons sur le petit banc à la fontaine de la rencontre et nous prenons de petites cruches et nous buvons, et moi je Te glorifie par l’esprit de mon humilité, et je Te remercie humblement pour la grâce que Tu m’a accordée à la fontaine d’Israël, où Tu as illuminé mon être et mon amour et ma foi dans la venue du Messie, Celui attendu à venir, et en ce jour-là, vêtue dans le Christ, j’ai reçu de Toi le savoir de tout, et Tu m’as accordé Ta grâce, par laquelle je T’ai reconnu être le Messie, Seigneur.

Oh, qu’elle est grande Ta miséricorde envers ceux dont Tu purifies les péchés, Seigneur! Que cette miséricorde soit cherchée et aimée ardemment par tous ceux qui T’ont goûté de cette table de Ta venue, de Ta cité de venue, de ceux qui mettent cette table de Ta part, pour ceux qui viennent à Ton festin de parole ici, Seigneur.

La sagesse et la grâce que Tu m’as données au jour de notre rencontre, oh, Seigneur, mets-les aussi sur ceux qui Te trouvent ici, car sans elles travaillées par Toi sur eux, oh, ils ne vont pas rester avec Toi jusqu’à la fin, et ils vont retomber dans les anciennes habitudes de leur raison et nature, jusqu’à ce qu’ils seront ébranlés par les regrets pour le manque d’amour, Seigneur. Ceux qui T’aiment ardemment ne sont pas exposés à la chute d’auprès de Toi, mais ils se procurent la correction de leur vie toujours, et le renforcement de leur amour, pendant que ceux qui ne savent pas ce que c’est la charité et le commandement entier de l’amour de Dieu, oh, ceux-là le foulent à pieds et ils oublient ce que Tu avais fait au temps de Ta tentation, lorsque Tu as dit à satan: «Retire-toi satan, car il est écrit: tu ne tenteras pas le Seigneur ton Dieu, mais tu Le serviras, c’est Lui seul que tu adoreras et serviras», et il est parti satan et les anges sont arrivés et ils T’ont servi, Seigneur, oh, et de la même façon peuvent vaincre satan ceux qui sont éprouvés par la tentation pour la foi, pour qu’ensuite leur grâce s’augmente et les anges viennent à leur service pour l’amour de Toi, oh, Seigneur.

J’ai parlé avec Toi à la fontaine, si Tu m’as demandé de l’eau à boire, bien que je T’aie vu être Juif. Alors Ta grâce est descendue pour Moi, et, je T’ai connu, Seigneur par Ta grâce, et ce fut moi qui T’ai demandé l’eau de vie et j’ai compris que Tu es plus grand que le père Jacob. Tu m’as dit ensuite mes péchés, Tu m’as déterminée de les découvrir toute seule devant Toi. J’ai vu l’esprit de la prophétie par Ta bouche et j’ai cherché à connaître le secret de l’adoration des hommes, et Tu m’as expliqué ce mystère, qui vient des Juifs, et ensuite Tu m’as parlé du temps de l’adoration en esprit et en vérité, telle que le Père le souhaite, et je T’ai dit que je savais que le Messie viendra, Crist le Maître, Lui qui allait nous dire tout, et ensuite Tu T’ai laissé découvert à moi, Seigneur. Oh, je me suis dépêchée vers la cité pour amener beaucoup de gens à Te voir, et Ta grâce travaillait sur moi et j’étais purifié du péché et menée à l’humilité par la grâce, Seigneur.

Oh, Tu as des douleurs maintenant, de grandes douleurs, car il y en a beaucoup ceux qui aiment rester seulement pour quelque temps avec Toi, et ensuite ils s’apprêtent à se scandaliser et à émettre des prétentions, Seigneur. Oh, comment peux-tu être mécontent, chrétien, du moment que le Seigneur, si miséricordieux te tend la main et te relève de l’état de perte dans laquelle tu te trouves? Oh, tu n’as pas besoin d’une haute place, où d’attendre quelque grande joie, ou des remercîments ou des mérites. Cela suffit d’être près du Seigneur, il te suffit la paix de ton âme et la rémission de tes péchés. Par contre, même dans les souffrances pour Sa voie, il faut que tu sois plein de joie, car voilà, C’est ainsi qu’ils restaient avec le Seigneur jusqu’à la fin les martyrs, témoins de Dieu, et ils ne le quittaient pas, ceux qui Le suivaient. Oh, ceux qui ne Le suivent pas jusqu’à la fin, ceux-là s’en vont, ils se retirent, et pour leur honte ils s’abandonnent de nouveau au monde, foulant aux pieds le commandement de l’amour de Dieu et scandalisant les faibles, qui tout comme eux chancèlent et tombent dans le monde.

Oh, toi, fils du Seigneur, si tu es venu, oh, ne pars plus, reste avec le Seigneur. Lorsque quelqu’un de faible t’attire en désirant ton être et ton amour pour les détruire, pour t’égarer de la foi, il faut que tu appelles tout de suite les puissances célestes, pour remplir ton âme et ton esprit et ta veille et ton amour, et cet amour va te sauver du péché apparu dans ton chemin pour t’abattre, pour te faire trébucher sur la joie menteuse, pour laquelle ton cœur et ta vie vont pleurer un jour, un jour des jours difficiles de la vie. Un instant d’amour fugace te procure de jours de peine et de brûlure d’âme, et ton cœur va pleurer de regret, puisque tu ne peux plus faire revenir ta vie passée, afin d’obéir au Seigneur, à Celui Qui veillait avant pour que tu n’eusses pas péché contre toi-même, car Il veut t’épargner des douleurs, tel qu’il est écrit: «Celui qui n’obéira pas aura à souffrir, et l’obéissance te protège de la souffrance».

Oh, enfants du Christ la Parole, veillez avec veilleur sur vous pour ne pas passer la faute de l’un à l’autre. Aimez ceux qui vous veillent et n’ayez pas peur. La peur va ensemble avec les coupables qui défendent leur faute. La bonne peur est la peur de Dieu, qui ne te permet pas de pécher et de tomber. Oh, ne péchez pas les uns aux autres et à Dieu non plus. Ne foulez pas aux pieds le commandement de l’amour vous, enfants pleins de la grâce du Seigneur!

Mais, Seigneur, il y a encore un disciple de Ton amour, célébré aujourd’hui à coté de moi, celui que la peur des tortures ne l’a pas séparé de Toi, et il se charge à donner de l’aide et du pouvoir à ceux qui s’efforcent de rester jusqu’à la fin Tes témoins. Amen.

— A coté de toi, martyre de l’amour de Dieu, à coté de toi je suis célébré aujourd’hui, et tout comme toi je renforce aussi ceux qui vont avec le Seigneur sur Sa voie de gloire.

Oh, près de Toi Seigneur, j’ai passé mon enfance, et je suis resté près de Toi jusqu’à ma venue en haut, auprès de Toi. Moi, le martyr Georges, je n’ai pas eu peur des persécutions pour Ton nom, mais mon souci a été d’éviter tout le temps de me séparer de Toi, au prix même de ma vie, de ma tendre jeunesse, Seigneur, puisque si mon père selon la chair est mort sous la torture pour Ton nom, moi, comment pourrais-je faire autrement? Pendant que l’empereur tuait les chrétiens, comment aurais-je pu me cacher en moi avec mon amour pour Toi, et Te perdre ainsi? Oh, non, pas de ça, mais je me suis levé et je me suis nommé chrétien devant l’armée impériale, que j’avais sous mes ordres, et l’empereur m’a pris et m’a torturé à son gré, et je m’en sortais toujours sain et sauf, car Ta grâce sur moi se montrait travaillant merveilleusement, et ensuite ils m’ont coupé la tête, s’ils n’ont pas pu autrement me faire fléchir, mais ils y sont parvenus ainsi, et moi je suis arrivé à Celui désiré, à Toi, Seigneur. Je n’ai pas essayé de sauver et garder ma vie sur la terre, mais je me suis donné la peine de prendre celle d’auprès de Toi, dans le ciel, et je viens toujours du ciel pour aider ceux qui luttent pour la patrie céleste sur la terre.

Oh, il est grand le mystère de Ta grâce sur l’homme, Seigneur ! Ceux qui Te quittent comme des fuyards, ils n’ont pas reçu Ta grâce et n’ont pas de pouvoir pour Toi, pour Ta sainte voie, car la grâce est la puissance pour Dieu, offerte à l’homme, force que personne ne peut faire plier ou la voler, car tant que cette richesse siège dans la raison de l’homme, oh, personne ne pourrait la lui voler, personne, Seigneur, et par la grâce, l’homme peut travailler avec Toi, il le peut jusqu’à la fin.

Oh, chrétien insoumis, quand ta conscience n’a pas de remords, tu es abandonné de Dieu, et c’est pour cela que tu fais ce que Dieu t’a dit de ne pas faire, mais tu continues de faire contre, même si quelqu’un d’auprès toi te rappellerait que c’est impardonnable ce que tu fais contre la parole du Saint-Esprit. Oh, si tu dis qu’il y a un autre qui fait la même chose, et que tu as le droit de faire toi aussi ce que celui-là n’obéit pas de ne pas faire, oh, peux-tu savoir comment serez-vous justifiés par Dieu, toi et l’autre, si tu auras un délai ou non? Oh, tu ne le sais pas, tout comme le pharisien ne l’a pas su entre lui et le publicain, auquel il ne se considérait pas semblable.

Oh, Tu as pitié de l’homme, Seigneur, quand il n’obéit pas et joue au péché. Mais l’homme qui se comporte ainsi n’a pas de pitié de Toi, ni de honte lorsqu’il tache Ton visage, lorsqu’il t’humilie pour sa propre volonté, lorsqu’il fait trébucher et chanceler les gens qui voient de l’insoumission et de la hardiesse envers Toi.

Oh, la faute passe de l’un à l’autre, Seigneur, et Tu as mal, Tu as mal pour ceux dont Tu attends de l’amour pour Toi. Nous, Tes saints, nous Te consolons dans Ta peine, nous parlons avec Toi et nous Te consolons, Seigneur, et qu’ils entendent ceux qui veulent apprendre de Toi et des Saints, puisque sur la terre il n’y a plus d’enseignement pour la vie, mais il y a seulement du péché, Seigneur, et le péché tue tout, et nous allons travailler d’auprès de Toi pour aider ceux qui sont perdus, mais il faut qu’ils crient au secours, qu’il y ait des clameurs, oh, Seigneur. Amen.

— Oui, mes bien chers qui témoignez pour Moi par la foi et par votre vie martyrisée, c’est pour cela que Je Me suis établi ici avec Ma cité de venue et J’ai stimulé l’appel vers Nous, afin de venir avec vous sur la terre et travailler la parole et son accomplissement, et vous, vous ajustez votre amour saint selon le grand jour, celui qui va venir et nous apporter le repos, oh, les fils héritiers du ciel des saints.

Maintenant Je parle avec vous, ceux qui mettent Ma parole dans le livre, pour qu’Il soit sur la terre le Seigneur, oh, les fils. Oh, celui qui s’éloigne de vous, s’éloigne de Moi aussi, mais tout d’abord c’est envers Moi qu’il devient indifférent, et par la désobéissance il s’éloigne, sachez-le, et ensuite il s’éloigne et devient indifférent envers vous aussi, petit à petit. Oh, sans Ma grâce personne ne peut M’aimer et demeurer avec Moi jusqu’à la fin, et la grâce se procure par un amour constant, et si on la perd, la grâce, c’est le remords qui vient, les fils.

Oh, ici dans la cité c’est le grand enseignement qui doit travailler sur ceux qui viennent corriger leur vie, car pour quelle autre raison viendraient-ils ici, chez le Seigneur? Voici donc pourquoi vous ai-Je établis, vous, pour transmettre Ma grâce à ceux qui se séparent, pour être choisis de Mon côté, et fidèles ensuite jusqu’à la fin, les fils.

Oh, voici une époque chancelante, Je vois du ciel comme les chrétiens se font chanceler l’un l’autre, Je vois le manque de sagesse de ceux qui n’ont pas eu d’obéissance et de fidélité jusqu’à la fin. Oh, Je les frapperais pour les arrêter à faire le mal, Je les frapperais pour les rendre sages, s’ils n’ont pas obéi, puisque voilà, ils partagent le scandale, ils partagent la faiblesse, ils partagent l’indifférence envers vous de ceux qui ont de la foi et de la fidélité dans l’amour de Seigneur et de vous.

Oh, les fils, appelez le Seigneur, appelez-Moi pour apaiser la tempête, demandez vous-mêmes cela, et Moi, Je vais vous entendre.

Oh, travaillez le salut pour les impuissants face à la tempête, les fils, et qu’ils restent à la maison pendant le mauvais temps.

Et à vous, Je vous apporte du renforcement du ciel et, paix à vous, les fils! Moi, le Seigneur, J’augmente Ma grâce sur vous, et paix à vous, oh les fils, et à Ma parole, que la paix soit avec vous! Amen.

06-05-2018