La Parole de Dieu du Troisième Dimanche du Carême, Celui de la Sainte Croix

Je M’approche à douce parole, Je fais Mon entrée dans le livre et Je trouve de la veille à l’entrée, puisque Je M’annonce pour venir et ce n’est pas autrement Ma venue.

Oh, Je viens à douce parole, parole de veille et de conseil pour la veille. Moi, le Seigneur, Je prends soin de ceux qui se tiennent prêts pour être Mon église sur la terre et Je les nomme fils de Mon Père, Mes frères, et pour cela Je fais tout pour bien les élever, et il faut que de Mon conseil pour eux, prennent aussi ceux qui Me trouvent sur la voie de Ma parole au-dessus de la terre, oh, qu’ils la prennent et qu’ils s’inclinent pour connaître Dieu, Sa volonté mise en œuvre par l’homme sur la terre, puisque c’est seulement l’homme qui puisse réjouir le Seigneur, et sans cette joie venue de l’homme, rien ne signifie joie pour Moi entre les choses qui Me réjouissent, puisque J’ai fait l’homme avec joie, et Je souhaite qu’il fasse Dieu dans son cœur avec la même joie, et qu’il puisse démontrer avoir le Seigneur comme son Créateur et Maître.

Oh, les fils qui recevez Ma parole et la mettez dans le livre, voilà le jour de mémoire de la croix, de la marche avec la croix dans la voie du carême, temps pour les chrétiens de s’ajuster la marche avec la croix et avec le repentir dans la voie avec le Seigneur, et la soumission de la chair, qui impose ses envies contre l’esprit, contre Dieu, les fils, et l’amour et le soin pour l’âme sont petits face aux exigences de la chair, ils sont petits chez l’homme, car la chair demande toujours à être nourrie et soignée, puisque c’est l’homme qui l’en habitue et lui en donne ainsi.

Nous voilà à mi-chemin du jeûne consacré aux Pâques du Seigneur et nous nous asseyons et nous examinons, nous nous arrêtons et nous nous observons les uns les autres, Moi, Je regarde attentivement ceux qui se trouvent sur la voie du jeûne, et eux, ils dirigent leur attention vers Moi, Celui Qu’ils ont choisi comme voie pour leur vie, puisque J’ai dit il y a deux mille ans: «C’est Moi la voie!».

C’est dimanche, le troisième du carême. Je M’arrête et J’examine le peuple de Ma parole, celui qui c’est donné à Moi, que J’ai mis à la table de Ma nouvelle Pâque, mais J’observe aussi celui qui nous côtoie et entend Ma parole, mais qui est partagé entre la chair et l’esprit, entre le monde et Dieu, et ce partage n’est pas possible pour l’homme, même s’il voit qu’il convient à l’une de ces deux voies, et cela parce que le Seigneur ne peut pas avoir l’homme seulement à moitié de sa part avec sa vie, et s’il s’agit de fidélité, il est difficile à l’homme d’arriver à la choisir et réussir ensuite.

Oh, il Me fait mal celui qui ne se soucie pas de Dieu, ni de lui-même et il marche de côté, il n’avance pas vers la table de noces, et le monde rend coupable et retient celui qui se montre faible. Oh, c’est un jour d’examen des pas de la vie, et Je parle à ceux de Ma table secrète, et surtout à ceux qui marchent de côté et Je leur dis que le temps du jeûne exige beaucoup de choses pour qu’il apporte de la puissance et de l’aide sainte dans la vie de ceux qui jeûnent, en cherchant vers le Seigneur par leur abstinence et leur foi pour elle. Au temps du jeûne l’abstinence doit être complète, les fils, car l’homme doit plus jeûner des attaques de sa nature et de ses mauvaises habitudes, et sa raison doit jeûner des choses étrangères à Dieu, et aussi son cœur doit jeûner tout comme ses yeux, qui mènent vers le cœur toutes les choses qui le séparent du Seigneur. Oh, et il faut aussi que le chrétien jeûne de méchanceté, d’impatience, de désespoir, d’insouciance envers l’âme, de désobéissance, les fils, de dissipation, de colère, de mensonge, de dissimulations, d’orgueil et de beaucoup d’autres actions diaboliques, envie, diffamation, parole vaines, manque de charité, et les fils de Dieu doivent jeûner du monde, du monde, oh, les fils.

Oh, si Je n’avais pas la possibilité de parler avec vous, enfants qui recevez Ma parole, oh, comment pourrais-Je la laisser sur la terre pour être entendue, les fils? Oh, comment pourrais-Je ne pas M’incliner pour vous remercier du fait de Me recevoir, de Me partager et de constituer Mon livre sur la terre? Et comment pourraient-ils ne pas commettre de fautes si nuisibles ceux qui vous en veulent et vous méprisent ensuite, levant des prétentions sur vous, et qui deviennent de plus en plus indifférents, endommageant leur marche à Ma suite, sans y faire attention?

Oh, ils sont nombreux ceux qui ont fait mal à leur marche vers le Seigneur par ce péché, par le mépris envers vous, par l’esprit du jugement et par la médisance, car J’ai dit pour ceux qui M’aident dans le monde, étant Mes porteurs et messagers, Je leur ai dit: «Celui qui ne vous reçoit pas, c’est Moi qu’il ne reçoit pas», et Je leur ai dit encore: «Ils M’ont persécuté, Moi, ils vous persécuteront vous aussi; Ils M’ont souillé Moi, ils vont vous souiller vous aussi», car c’est ainsi qu’ils vont tomber par ce péché, ceux qui ne Me ressemblent pas dans la multitude, et c’est ainsi que Je vais Me voir sur la terre, en tout temps, par ceux qui souffrent pour Moi et comme Moi, frappés et méprisés par les infidèles et indifférents envers leur vie, située loin de la vérité de la vie. C’est pourquoi en ce jour Je conseille de porter chacun sa croix, profondément enracinée dans la vie de chrétien, et Je conseille encore le renoncement de soi, pour ceux qui Me suivent avec la croix, non pas sans croix dans la voie, puisque c’est cela la croix portée: le renoncement de soi, ce qui signifie se tenir sous la croix avec le Seigneur.

Oh, les fils, les fils, vous qui êtes les Miens, mais aussi vous qui voulez être dans la voie avec Dieu, voilà Mes conseils saints, des conseils pour les saints, les fils! Tout d’abord Je vous conseille et Je vous exhorte de ne pas prendre conseil du diable, lorsque vous avez quelque chose à faire, quand vous voulez résoudre un problème qui se présente à vous; Oh, et comment pourrait-on savoir, ou accomplir cela? Ceux qui sont faibles par rapport à l’obéissance et à la veille ne peuvent pas facilement vaincre leur volonté et ils n’échappent pas au piège du diable, s’ils ne sont pas habitués à l’enseignement chrétien et à son obéissance, celle qui veille sur le chrétien tout le temps. Mais ceux qui sont aimants et obéissants sont familiarisés avec l’obéissance, avec la vie à bénédiction en tout et pour tout, et avec la veille pour l’obéissance, et ils savent ceux-ci accomplir cette veille, puisqu’ils ne prennent pas conseil d’eux-mêmes, s’ils sont fils de Dieu. Oh, il arrive souvent de pouvoir apprendre par le travail-même que tu fais, c’est lui qui t’apprend comment t’y prendre, mais si à ce moment un conseil qui vient pour toi, celui-ci est spécialement envoyé, il vient vers toi pour te conseiller de ne pas prendre une décision de toi-même, si éventuellement tu en es habitué, c`est-à-dire de prendre de toi-même. Mais si tu as près de toi, ou dans la proximité quelqu’un de Ma part, et tu essais le convaincre de faire lui aussi comme toi, lui qui est formé par Ma grâce tout le temps pour ceux qui se tiennent sous Ma direction, oh, qu’est-ce que tu peux encore choisir et comprendre pour ta stature, celle de chaque instant devant Moi? Oh, prends de Dieu si tu ne veux prendre conseil du diable ou de toi-même, si tu veux, le fils, et tout ce que vient vers toi, c’est de Dieu que vient, sache-le, puisque c’est ainsi que le Seigneur travaille lorsque tu veux être guidé par Lui, et c’est Lui Qui t’envoie le guide, si seulement tu le veux. Celui qui se reconnaît chrétien, mais il protège de toutes ses forces et de tout part sa propre volonté face à ceux dont il fait partie, oh, quelle sorte de croix peut-on voir qu’il porte celui-ci, du moment que la croix que J’ai donnée à l’homme qui Me suit c’est le renoncement à soi, le sacrifice de la volonté propre au bénéfice de la volonté de Dieu sur lui?

Le dévouement et le sacrifice pour le dévouement, oh, cela signifie obéissance, cela signifie vaincre sa volonté, cela signifie l’œuvre, le travail, la loi que J’ai donné à l’homme dans l’Eden, comme son travail, et ne pas rester les bras croisés. Oh, il n’y a pas d’instant à perdre pour le chrétien, car il y a beaucoup, beaucoup à travailler, pour chaque instant il y a du travail et la veille pour lui, mais si l’homme prend conseil du diable, oh, peut-il encore se situer sous le nom de chrétien, sous le nom du Christ? Le nom de chrétien vient de Mon nom: le Christ, et ceux qui appartiennent au Christ sont ceux qui Lui obéissent, puisqu’à la Création de toutes les choses, viables et invisibles, toute chose a reçu le loi du travail, que tout travaille, et voilà, l’herbe pousse, les ruisseaux coulent, le soleil réchauffe, les arbres verdissent, fleurissent et donnent des fruits, le vent souffle légèrement et fait du bien, ou il souffle fort et il bouleverse tout, quand il faut, et ainsi de suite, les fleurs fleurissent et couvrent les montagnes, les collines, les champs, la terre travaille et donne aux hommes et aux animaux de la nourriture en abondance, résultat de son travail, et la pluie vient du ciel et abreuve la terre et ses vivants, oh, et tout , tout travaille et rien et personne ne reste sans travail, car mêmes les pierres travaillent et prennent de Dieu de différentes couleurs, et le bois s’offre comme abri et nourriture pour tous les êtres qui l’habitent et voilà, le travail est la loi sainte pour toutes les choses de Dieu, et toutes ces choses, Dieu les a soumisses à l’homme, dans lequel devrait habiter l’amour céleste, celui qui est la nourriture pour l’âme et le jeûne en ce qui concerne le diable, puisque l’homme est le lieu de repos du Seigneur, et c’est dans l’amour de l’homme que Je trouve Mon repos, mais si lui, il n’a pas dans son cœur Mon repos, c’est parce qu’il n’a pas l’amour dedans.

Oh, fils obéissants, ne cherchez pas de repos dans vos activités liées à votre formation de Dieu, car la formation de l’homme est continue jusqu’à la fin, pour la beauté de l’âme dans le corps, puisque vous êtes chrétiens. Oh, ayez soin surtout des armes avec lesquelles vous luttez comme les anges: l’humilité toujours et en tout, la prière sainte, les lectures saintes en commun, les actions saintes pour l’âme et pour les frères, et l’action sainte est celle qui se présente à toi, par celle que tu cherches et tu te choisis à ton plaisir, et si tu le fais, tu es coupable et tu n’arrives pas qu’avec cette faute devant le Seigneur par ton action et, en plus, tu tombes aussi dans l’égarement qui vient pour n’avoir pas vaincu ta volonté, c`est-à-dire que tu tombes sous le conseil du diable.

Et voilà, les fils, Je présente une question ici, aux portes et Je dis: Qu’est-ce que les femmes peuvent faire quand elles veulent se rencontrer et se rassembler, oh, qu’est-ce qu’elles peuvent faire que de médire, diffamer, se lamenter, se justifier, chercher des consolations et de la justice, parles de leurs préconceptions, de leurs souhaits, de leurs volontés, en détournant ainsi la volonté qui se présente à elles pour la travailler en vue de leur salut? Et J’ai fait savoir tout cela pour celles qui se croient des chrétiennes de l’œuvre de Ma parole.

Oh, ce n’est pas bien, pas bien, les fils et les filles, ce n’est pas bien d’aller de maison en maison. C’est ainsi que J’ai dit à Mes disciples il y a deux mille ans, de ne jamais chercher de faire la volonté des hommes avides de bien et non pas de Christ, pour ne pas tomber au gré de ceux qui suivent leurs volontés et peuvent les y attirer eux aussi.

Oh, pendant le jeûne ne pars pas, chrétien, ne vas pas dans d’autres maisons pour y rester. Garde ta maison et donne-toi la peine de travailler le repentir et arrête ta bouche de pécher et ton cœur de l’esprit de jugement, de l’esprit de femme, et maîtrise le souhait de la justice pour ta part, car toutes ces choses-là sont des péchés, et cela en temps que tu déclares que tu t’abstiens de manger gras pendant le jeûne. Oh, voilà, Je regarde ceux qui viennent et suivent l’œuvre de Ma parole au temps des fêtes, et J’observe qu’ils ne savent pas ce que c’est le temps du jeûne, où on ne mange pas beaucoup ou n’importe quoi, et, de plus, on doit arrêter les péchés de la raison, ceux du cœur et ceux du désir, et on jeûne de la méchanceté, de la colère, de l’orgueil, de la diffamation, des plaintes gênantes, de l’impudeur, de l’audace malséante, toutes celles-là étant des péchés mortels, pour lesquels l’église n’a pas la permission de prier pour ceux qui les ont en charge. Oh, et on jeûne aussi du monde, les fils, de la sortie dans le monde, de la compagnie du monde, de la conversation avec lui et son esprit, c`est-à-dire on jeûne du diable, le maître et le visage laid du monde dépouillé, dépourvu de la beauté d’en haut, et voilà, l’homme ne peut jeûner de diable et de ses œuvres, s’ils ne sait pas que toutes ces choses-là sont des péchés, et on a besoin de jeûne pour elles, jeûne comme celui d’aliments, et même de plus.

Oh, vous ceux qui savez ce que c’est le jeûne dans son entier, oh, les fils, ne vous arrêtez pas de glorifier le Seigneur tout le temps et Lui chanter, car tous les anges, toutes les armées et puissances célestes, tous les saints chantent au Seigneur, toute la nature Lui chante dans des langues et des chants mystérieux, et vous, ne soyez pas paresseux, ne prenez pas de repos en glorifiant Dieu, car Moi, le Seigneur, Je souhaite que vous soyez tous là où Je le suis, si vous ne vous distinguez pas les uns des autres sur la terre, par ce que vous devez vivre et porter devant Moi, choses fraternellement travaillées.

Oh, vous devez donner des fruits, les présenter devant Moi, car voilà un saint conseil venant des saints et qui dit que la paresse, le souci pour beaucoup de choses, le souhait de dominer, les vaines paroles, ce sont ceux dont vous devez jeûner longuement et tout le temps, vous qui savez ce que c’est le vrai jeûne chrétien, auquel il faut ajouter l’œuvre de la purification de l’esprit, l’humilité de la pensée, l’esprit de la patience et de la charité, le repentir pour les fautes et la non-incrimination du prochain, et tout cela avec des temps de louange et de la prière vers le Seigneur, tout que les saints le faisaient; puisque tu ne peux pas dire et avec de la vérité le dire: «Je crois en cette œuvre parce que c’est ainsi que je le veux». Et voilà, c’est cela que prouvent ceux qui essaient d’aller travailler Ma parole sans bien savoir ce que cela signifie et ce que le Seigneur attend de ceux qui croient à Ma venue, parole maintenant sur la terre. On doit tout d’abord apprendre et savoir ce que l’on fait, et seulement ensuite passer au fait, et si on procède autrement, on le fait n’importe comment, comme on veut, et ceux qui ne vont pas bien dans la voie de cette œuvre et sous son nom, oh, ceux-là font mal à Mon nom, tournent en dérision Ma venue, sa marche et son enseignent et tout Mon petit troupeau, et c’est ainsi qu’ils font mal à Dieu et ils ne Le suivent pas du tout, car lorsqu’on ne trouvait pas de faute pour accuser la Seigneur et Ses saints, le monde et ses maîtres mettaient à leur front le péché le plus laid, le péché de la débouche, celui des menteurs face à Dieu et fils du diable.

Et voilà, Je vous enseigne encore: Oh, les fils, les fils, si vous ne pouvez pas donner de fruit et vous montrer le fruit de l’œuvre de Ma parole, fruit accompli et mûr vous-mêmes, et plus encore d’amener d’autres aussi comme fruit pour Dieu, selon Ma volonté, non pas selon la vôtre, pour en gagner le payement, du moins ne renversez pas d’auprès du Seigneur ceux qui viennent Lui donner leur vie et en prendre d’en haut. Oh, toi celui qui t’occupes à faire des chemins vers d’autre maisons avec des médisances, avec tes faiblesses et tu racontes à un frère ou à une sœur dans le Seigneur les péchés de quelqu’un ou même tes péchés, tu as affaibli sa foi, son accomplissement et ensuite la charité de ceux à qui tu partages ta parole et ton souci pour les péchés des autres, et voilà, pas seulement que tu ne donnes pas de fruit de la vigne, mais tu empoisonnes le sarment en voie d’être greffé sur le cep et de pousser ensuite de Dieu, et Moi, Je dis et Je dis encore pour ceux qui ne sont pas sages, Je leur dis: n’allez pas de maison en maison, car Moi, le Seigneur, Je ne l’ai pas permis ni aux apôtres, d’autant plus aux simples chrétiens du troupeau qui suit le Seigneur. Oh, surtout ne courrez pas les rues au temps du jeûne, restez à la maison dans le repentir et la prière spécifique au jeûne, n’allez pas de-ci de-là, et surtout sans vous annoncer, sans être envoyés, car qui pourrait vous permettre ces voyages et dire de vous faire bien par cela? Si Je ne t’envoie pas à la vendange ou au travail, Je ne t’envoie pas parce que tu ne t’y connais pas, et si tu y vas en Mon nom, tu tournes en dérision Mon nom et tu pèches, toi celui qui prends à ton compte et tu n’es pas capable de faire les choses du Seigneur pour Sa gloire, car pour amener quelqu’un au Seigneur, cela signifie de pouvoir le faire aimer le Seigneur et suivre Sa volonté vers la sainteté, et non pas te suivre toi, celui qui prends tout seul le travail, bien que tu n’y sois pas envoyé et tu ne t’y connaisses pas.

Oh, Je vous dis tout cela maintenant, car voilà, il M’arrive de recevoir des douleurs et de la honte de la part de ceux qui essayent de s’approcher et de croire qu’ils sont des chrétiens de cette œuvre, mais non, ils ne le sont pas, puisque seulement ceux qui prennent conseil de Moi, et du travail et de l’obéissance pour ceux-là, c’est seulement sur eux que Je M’appuie et Je leur accorde de connaître le Seigneur et de comprendre Ses mystères et leur œuvre et c’est seulement ainsi qu’il peut être admis au festin de noce, celui qui entre avec le Seigneur à table.

Toute Ma parole d’aujourd’hui, tout l’enseignement mis dans le live en ce dimanche de la croix, de la moitié du carême, tout c’est pour ceux qui obéissent à tout l’ordre et à la loi entière et véritable du temps du jeûne, jeûne de tout qui est diabolique, mondain, humain, terrestre, face à face avec l’homme chrétien. Les chrétiens qui accomplissent tout le nécessaire pour la marche avec la croix sont les fils de Dieu, et ceux qui n’accomplissent pas, qui ne portent pas de croix sont les fils des hommes, et une voie de milieu n’existe pas, même s’il y en a beaucoup qui y croient et agissent, mais il n’est pas possible d’être fils de Dieu en servant à satan aussi avec sa vie, en restant dans son monde avec ton esprit.

Oh, les fils de Dieu sont les fils de l’obéissance et par cela les fils de la bénédiction d’en haut, oh, les fils, et c’est ainsi que vous pouvez départager les fils de Dieu des fils des hommes, tel que Je le fais Moi-même. Et vous devez lutter et travailler, car on a besoin de beaucoup de travail dans la vie sur la terre et qu’il aille aux cieux avec de la richesse épargnée pour vous, et celui qui n’épargne pas, est celui qui gaspille, oh, les fils?

Maintenant Je vous bénis et Je vous donne du pouvoir et de la volonté sainte et beaucoup de charité pour la deuxième moitié du carême, et pour votre amour envers cet accomplissement. Et que tout cela vienne de Moi, tout avec bénédiction et pas autrement, les fils. Oh, gardez-vous de vivre et de travailler sans cette protection, défense et obéissance sainte: la bénédiction, les fils. Elle est seulement pour les fils, pas pour les étrangers, pas pour ceux qui s’éloignent d’elle pour leurs volontés.

Je vous confie avec Ma bénédiction à la garde de l’amour fraternel, les fils. L’amour d’entre vous est plus grand que tout sacrifice, que tout jeûne d’aliments, plus grand, les fils. Sans lui vous ne pouvez rien faire de bon pour le Seigneur, ni pour vous. C’est lui que vous devez garder entre vous chaque instant, c’est lui qui vous maintient sous le travail béni, pour que vous soyez les bénis et que vous appreniez encore et beaucoup par cette œuvre.

Je vous embrasse dans la parole protectrice et sainte, que Je prononce toujours pour vous: Paix à vous! Que cette œuvre monte toujours de vous au Seigneur, toujours, toujours.

Paix à vous! Paix à vous! Paix à vous, les fils! Amen, amen, amen.

11-03-2018