La Parole de Dieu à la Fête des vingt-sept ans depuis La fondation du Saint des Saints de la Nouvelle Jérusalem

Voilà descendre la fête et la parole au-dessus de la cité du Seigneur sur le foyer du peuple roumain. Nous ouvrons à la fête d’aujourd’hui, nous ouvrons le livre, les fils des portes, puisque Je viens avec les saints, c’est le Seigneur Qui vient à la fête avec l’armée céleste.

Je vous habille de pouvoirs célestes, Je vous donne de la force, Je vous en donne, les fils, et nous mettons dans la cité et dans le livre jour de fête et de mémoire sainte, le jour où J’ai mis le nouveau début d’église sainte et selon Ma volonté, et il s’est inscrit dans le ciel ce début-là, et il y a des témoins célestes qui ont participé à Mon œuvre pleine de grâce de ce-jour-là, lorsqu’avec une poignée de témoins de la terre, et avec Mon archevêque fidèle à Mon travail, renouvelé alors, J’ai préparé le conseil d’édification et J’ai mis à cette fondation sa pierre, la pierre avec laquelle J’ai commencé en 1955 Ma parole, Ma parole au-dessus de la terre, et après trente-cinq ans, Je vous ai dit à vous, ceux qui étiez alors Mes témoins fidèles, Je vous ai dit de Me mettre de côté le jardin secret, et vous, ses gardiens, pour poser ensuite dans le petit jardin la pierre de fondation, début de Nouvelle Jérusalem à la vue de tous, le Seigneur victorieux par l’œuvre de Sa parole, établie sur la terre par Sa trompette, par Ma Verginica, les fils, et vous des témoins disciples, et voilà, vous êtes avec Moi depuis ce temps, jusqu’aujourd’hui, et vous travaillez pour Moi avec fidélité, vous M’accueillez quand Je viens au-dessus du petit jardin avec la voix de Ma parole, pour la mettre dans le livre, témoignage de Mon travail avec vous, et voilà, c’est la fête aujourd’hui, vingt-sept ans depuis la mise de la pierre de fondation, sur laquelle J’édifie Ma cité de venue, la cité du Seigneur, les fils.

Oh, pas de larmes en ce jour, ni sur le visage ni dans l’âme, car il y a la fête et la suite céleste au-dessus de la cité, mais prenons dans nos bras le peuple de Ma parole et renforçons le sur la voie et conseillons-le, puisque le monde c’est un danger de jour en jour plus grand pour ceux qui sont saints et pour ceux qui se sanctifient pour le Seigneur, oh, et ils ne savent pas les croyants, ils ne savent pas veiller contre le pouvoir de l’obscurité, qui veut être vue et crue comme lumière, mais ce dangereux voleur porte la perte de l’homme de la terre et l’attraction vers l’enfer ensuite de la créature de Dieu, puisqu’il est fâché satan cotre le Seigneur, à cause de la place perdue de la proximité de la chaise et de l’éclat Trinitaire de Dieu le Père, le Fils et le Saint Esprit, car l’orgueil, la présomption sans limite ne peuvent demeurer auprès du Seigneur, Celui Qui est humble et doux, et elle disparaît avec sa chair aussi, oh, et c’est ainsi que J’ai perdu Mes témoins, ceux d’il y a vingt-sept ans, de la foi desquels Dieu s’est servi alors et Il a établi le début de la Nouvelle Jérusalem, et le sceau du petit jardin de la parole, le lieu pour le ciel, et ensuite autour de lui, les perles qui l’entourent , lui ajoutent tant de beauté, et encore des jours de fête saints dans les jardins de la cité, où Je viens avec les saints chez vous, les fils, et Je laisse parole de fête couler toujours sur vous et sur le peuple roumain, et sur la terre, tant de fois, oh les fils.

Oh, même si en ce jour Je n’ai pas de chrétiens réunis à la fête, J’embrasse le peuple obéissant à la parole et Je l’exhorte à obéir entièrement et Je lui dis qu’ils ne restent pas dans Ma gloire d’aujourd’hui ceux qui n’obéissent pas avec amour et sainteté, oh, ils ne restent pas, qui que ce soit.

Ecoute donc, Mon peuple, fais attention et vois, prête l’oreille et oublie ton origine selon chair, car le Seigneur t’a voulu le sien pour faire de toi Son visage, afin qu’ils s’inclinent devant toi ceux qui te voient et qu’ils cherchent eux aussi le Seigneur, tel qu’il est écrit, et surtout ne déconsidères pas, oh, ne passes pas sur ton engagement, ne dissipes pas dans le monde ton premier amour, et luttes de toutes tes forces pour ne pas le perdre, les fils, pour ne pas perdre le mystère de la Nouvelle Jérusalem, Mon saint symbole, car elle est écrite une parole décisive pour ceux qui appartiennent à Mon engagement: «Si je t’oublie, Jérusalem, que ma droite oublie son devoir, que la langue s’attache à mon palais, si je ne me souviens de toi, si je ne gardes pas Jérusalem comme le comble de ma joie».

Oh, peuple fidèle, malheur à ceux qui perdent l’habitude d’aller sur la voie de Ma parole et ils vont peu à peu avec le monde et dans le monde toujours! Oh, Je t’ai enseigné et Je t’ai dit ce qui te guète si tu ne suis pas Ma parole et Mon amour, Je te l’ai toujours dit. Voilà que l’amour refroidit et l’indifférence de l’âme s’installe peu à peu, et tu ne sens plus le froid du dehors, car ton âme est en train de glacer, le fils. L’âme sans le Seigneur n’a pas de chaleur, elle est froide et toujours plus froide et ne cherche plus la chaleur.

J’ai eu une grande joie il y a vingt-sept ans. J’ai mis avec de la grâce et du pouvoir d’en haut la pierre de début d’un peuple beau et saint et constant dans l’amour, parmi les vagues de toute sorte venues pour mettre à l’essai l’amour, et J’ai eu en son milieu alors, tout secrètement, un archevêque du temps, que J’ai pris à Mon sein et Je lui ai donné du ciel, et Je l’ai paré d’en haut, et Je l’ai fait témoin et parole qui sanctifie et qui met le sceau sur le nouveau début dans Mon jardin, celui choisi pour Moi, et ensuite témoin de l’édification et de la consécration du lieu et de la petite pierre blanche, élevée à la vue de tous dans le jardin, symbole de l’église de Nouvelle Jérusalem, sur le foyer du peuple roumain. Oh, ensuite ils se sont élevés les archevêques incroyants et l’ont affaibli totalement, tant qu’il a été le premier qui ait chancelé dans la fidélité et qui M’ait quitté, après que Je l’aie élevé au rang de grand serviteur, favorable pour Moi en ce temps-là, et voilà, Je lui rappelle maintenant et Je lui dis de ne point s’étonner, de ne pas se demander et s’étonner du chancèlement de beaucoup d’entre Mes témoins ensuite, Mes témoins d’alors à l’édification du nouveau début, du moment que c’est lui-même qui a été le premier à se débarrasser de Mon secret, qu’il avait porté aussi longtemps, mais ce secret est resté vif, et Moi J’avance avec lui, avec Mon secret, car cet archevêque a prophétisé alors et c’est ainsi qu’il a dit: «avec moi ou sans moi elle va progresser l’ouvre de la parole, parole que ce n’ai pas moi à l’avoir instituée pour actionner».

Oh, elle marche Mon œuvre, elle avance puisqu’elle vient du ciel, mais ils ne lui sont pas restés fidèles ceux d’alors qui appartenaient à Mon engagement avec eux. Oh, Moi J’avance par des pousses, par des rameaux, c’est par eux que Je marche, car Je suis le Seigneur et Je travaille et Je ne reste pas sur place, de siècle en siècle Je travaille, mais ceux qui n’obéissent pas et n’ont pas de persévérance auprès de Moi jusqu’à la fin, ceux-là perdent tout d’abord la raison et tombent ensuite de Dieu, et lorsqu’ils tombent ils n’ont plus peur de Dieu, ils n’ont plus de sagesse, ils n’ont plus de raison, mais ils ont de l’indifférence, et par elle ils se dirigent vers le monde sans raison, et vers ses mauvaises habitudes, en temps que vers Moi arrivent des montagnes de douleurs, des coups de la part de ceux qui quittent leur marche avec le Seigneur et avec le peuple resté fidèle, car ce sont ceux sans raison qui frappent Dieu et ceux restés avec Dieu, sous la croix de Sa venue d’aujourd’hui.

Qu’il est grand le mystère du travail de Ma parole, oh, Mon peuple fidèle! Est-ce qu’ils ont encore de la raison ceux qui ne restent plus avec Moi après qu’ils soient venus Me suivre? Lorsqu’ils sont en train de désobéir, lorsqu’ils chancellent et tombent, Moi le Seigneur, Je prends leur raison, et J’ai dit quand Mon archevêque Irineu est tombé de Ma poitrine, lui le témoin de Mon nouveau début, J’ai dit que Je lui avais pris la raison et Je l’avais mise dans le ciel, de peur qu’il ne voie pas avec elle le mal qu’il M’a fait lorsqu’il a été enlevé d’auprès de l’œuvre de Ma parole par les archevêques incroyants, au milieu desquels il est resté depuis lors et jusqu’aujourd’hui, et quand il viendra à lui, il pleura avec Moi et pour Moi et il se repentira, tout comme ceux qui l’ont déshabillé de Dieu, pour leur ressembler lui aussi, et alors Je vais lui rendre la raison en entier, celle qu’il avait de Moi pour sa foi, pour son obéissance, car c’est ainsi que l’on peut obéir, avec la raison d’en haut le chrétien obéit jusqu’à la fin, et au moment où il n’obéit plus, on prend de lui la raison, et son chandelier est changé de sa place, tel qu’il est écrit.

Voilà, ils tombent de côté les désobéissants, ils ne se maîtrisent plus ceux que la raison d’en haut quitte, et plus encore, ils frappent ceux qui restent, mais Je dis: tout ce que tu dis de mal vers un autre, toi celui qui chancelles, ce mal-là se trouve en toi, car tu ne parles pas de celui qui te médis, mais c’est de toi-même que tu parles, et c’est seulement toi qui sais ce que tu dis, parce-que tu le sais de toi-même.

Oh, les fils, les fils, la perte de la raison vient de la désobéissance, et ensuite vient la perte de l’amour. La repentance pourtant peut ramener le Seigneur dans le cœur de celui chancelant et mal obéissant, tout comme le brigand de la croix s’est repenti et il a accusé son cœur, qui avait péché dans sa chair, et pour cela il a été reçu en paradis ce jour-là, car il y est entré avec Moi, avec le Seigneur, les fils. Mais cet homme-là n’a pas eu tant de péché, tant de faute envers la foi qu’ils ont eu ceux qui Me savent venu en parole et qui ont été longtemps conseillés, pour qu’ensuite ils se débarrassent peu à peu de la peur du Seigneur, pour leur désobéissance ensuite.

Oh, voilà, voilà, pas tous ceux qui croient à Ma venue en parole, pas tous la prennent au sérieux pour eux-mêmes afin d’accomplir et de croire que Moi, le Seigneur, Je leur fais connaître l’obéissance à Mes conseils pour garder du mal ceux qui obéissent, lorsque Je vois en avant, comme un Dieu, et Je leur annonce de veiller sur eux ceux qui se sont abrités sous Mon toit.

Oh, il est audacieux, le chrétien, il ne peut regarder en avant dans le temps et il n’écoute pas le Seigneur, Celui Qui voit en avant, mais l’homme il est toute fois audacieux. Oh, il ne vous reçoit vous non plus pour lui dire de Moi, fils gardiens auprès de Moi pour le peuple, et il est écrit: «Ils M’ont reçu Moi, ils vous recevront vous aussi». Mais s’ils ne vous reçoivent pas vous, alors comment s’appelleront-ils ceux-ci ? Ils prennent de vous seulement ce qu’ils veulent, et autrement, Moi, où suis-Je encore par vous?

Oh, il ne sait pas Me porter le chrétien, vous porter vous, fils gardiens. Voilà maintenant à la fête du jardin Ma trompette, Verginica, qui d’un regard plein d’amour et de pitié cherche le petit cœur toujours souffrant, petit cœur toujours endolori, et elle fait souvenir, Ma trompette, de ce petit cœur si doux pour elle, et qui la portait toute en lui, mais Ma trompette aussi le portait tout entier dans son cœur tout le temps, surtout parce qu’elle voyait d’avance l’amour et la souffrance de ce petit cœur, puisqu’il s’est avéré infidèle le peuple resté après son départ vers Moi, et à l’instant du départ elle a été embrassée par cette fille si douce pour elle, qui l’a tellement consolée en ce moment de séparation, et les cœurs unis, elles, sont restées embrassées jusqu’à ce que le cœur de Ma trompette est monté en haut, avec la voix de ses battements, et il est resté inoubliable pour Ma trompette le petit cœur qui l’a serrée dans ses bras, au moment de la séparation et de sa montée dans le ciel.

Oh, voilà comme elle l’est et comment elle devrait être la liaison entre Mes fils et le peuple dans leurs cœurs, et ils Me portent Moi aussi, ils portent Ma charge et ils doivent à leur tour être portés et aidés, mais pour cela le peuple de Ma parole a besoin d’une occupation à part, d’un amour à part, d’une fidélité à part, afin que le Seigneur soit le premier à porter dans les cœurs, et seulement ensuite les autres occupations, toutes portées avec la Seigneur, et pas autrement.

J’ai conseillé Mon peuple de se réjouir dans la pauvreté, avec le peu de tout, de peur qu’il puisse être attiré vers le monde et aller avec le monde, chercher dans le monde de l’occupation et beaucoup de choses nécessaires à la vie de la chair. Oh, celui qui laisse la pauvreté et le peu de tout, celui-là n’aime plus le Seigneur, et il est gagné peu à peu par l’esprit et le visage du monde et il délaisse ensuite la marche sur la voie avec le Seigneur et, aujourd’hui il enlève la chemise chrétienne, demain le voile ou le béret pour la piété, ensuite il laisse la peur de Dieu et il cherche avoir de tout comme le monde, il quitte le Seigneur, et seulement des blessures, des douleurs et de la tristesse restent après lui.

Oh, chrétien, fais ainsi que ni le coucou ne sache de toi et de ta maison, voilà Mon conseil pour toi depuis toujours, et maintenant Je t’ai montré tes fautes qui te font tomber, car l’oiseau nommé le coucou est un oiseau connu, un mauvais exemple, c’est l’exemple du monde et de l’esprit du monde et de la chair du monde, car il n’a pas de maison, il va laisser ses œufs dans les nids d’autres oiseaux, dont ils jettent des œufs pour y mettre les leurs, et au moment où les poussins sortent des œufs, ils jettent dehors les poussins légitimes du nid, et en grandissant, ils chassent du nid la mère adoptive, celle qui les élève. Oh, voilà, c’est ce qui M’est arrivé à Moi, le Seigneur, puisqu’ils sont venus des cœurs ayant l’amour de soi, pour être eux aussi dans Mon peuple, et ils M’ont jeté des enfants du nid et ils les ont emportés d’auprès de Moi, les menant vers le monde sans raison, car ils ont été comme les prédateurs, ils font comme le coucou qui endommage le nid et la couvée d’autres oiseaux, mais J’ai dit: fais que ni le coucou ne sache de toi et de ta maison et de tes voies avec le Seigneur, oh, chrétien, qui as pour Moi de l’amour et de la fidélité, car autrement tu tombes du nid, et tu n’as plus de protection, puisque le monde ne te protège pas quand te vas vers lui, mais il te déshabille de toute ta parure sainte et te porte vers la ruine peu à peu, et il Me laisse sans toi, sans Mes poussins, sans ceux élevés par Moi et nourris du ciel avec de la nourriture propre, sainte et douce pour l’âme, car ensuite tu cherches peu à peu de ressembler au monde et Mes anges ne peuvent plus t’aider sur la voie qui peut égarer, oh, et tu Me fais soupirer et tu Me donnes de la douleur et des larmes, fils sans fidélité jusqu’à la fin.

Faites attention, les fils, à l’exemple que Je vous ai donné, puisque J’ai perdu beaucoup de poussins, après les avoir nourris du ciel, et le monde les a gagnés pour lui. Je vois beaucoup des chrétiens travaillant pour eux dans le monde, mais le corps est petit et passager, et c’est dommage d’écouter la chair seulement, c’est un péché, oh, et Je vois beaucoup sous ce péché, Je les vois dans le monde, et le monde a un langage tout grossier, une vie toute mauvaise, il se complaît dans de lourds péchés et amène tout l’enfer sur la terre, et les chrétiens nourris du ciel partent et se laissent enchantés des choses du monde, de l’œuvre des hommes et ils prennent des hommes, comme si les hommes et leurs créatures seraient plus sages et meilleurs que Dieu, oh, et c’est ainsi qu’il méprisent le Seigneur et Sa création, c’est ainsi qu’ils font les chrétiens aussi avec le Seigneur, ils le font comme le monde et ils prennent du monde et non pas de la loi de l’Eden, pour la travailler elle aussi, et Moi, le Seigneur, Je ne peux voir cela et ne pas en avoir mal profondément, mal venu des chrétiens-mêmes. Qu’est ce que tu vas faire, oh, chrétien, celui qui Me remplit de tant de mal tous les jours, en portant ta chair par le monde, en l’écoutant et en prenant de lui? Oh, ne Me dis pas que tu es un géant et que le monde ne te vainc pas, du moment que Moi, le Seigneur, Je te vois vaincu par lui, par ses choses, après lesquelles tu cours, et ensuite tu ne peux plus comme le Seigneur, et tu ne peux plus rien faire de beau, et ton oreille et ton cœur et ton âme, ton être s’enchantent en profondeur, et J’ai si mal de voir Mon travail perdu, après t’avoir nourri pour que tu sois le Mien, et voilà que tu t’en vas d’auprès de Moi, tu t’en vas vers le monde et tu t’y installes. Oh, tu n’as pas aimé la vie comme en Eden et voilà, tu aimes la vie comme dans le monde, monde qui fuit du travail, et qui t’y pousse toi aussi, pour ne plus travailler le paradis, pour ne plus le garder propre, tel qu’il est écrit pour l’homme.

Je vais vous parler de la douleur de la terre puisque Je vous l’ai promis, les fils, et qu’ils prennent de Moi ensuite et qu’ils entendent ceux qui ont changé les lois de la création de Dieu et ils prennent la créature de l’homme, pour la douleur du ciel et de la terre, les fils. Mais maintenant apportons la joie au jour de fête et oublions la douleur de la séparation de ceux qui ne sont plus restés dans Mon projet et ils se sont en allés selon leur raison, et ils ont trouvé d’autres voies pour leurs pas. Il y a grande douleur dans le ciel et ici, sur Ma nouvelle terre, celle renouvelée par Moi, mais c’est le jour de Ma victoire ce jour, puisque Me voilà, Moi, le Seigneur, avançant avec le début d’il y a vingt-sept ans, car Je parle et J’accomplis, et toute Ma parole n’est que victoire et accomplissement.

Oh, les fils, c’est un grand jour de fête sur la cité et le jardin de Ma parole et de Mon début, celui d’aujourd’hui. Nous n’avons pas de peuple réuni à la fête, quelques petits cœurs seulement mais pleins d’amour saint, et partagez entre vous de la consolation, du pouvoir et de l’espoir. Moi, Je suis Celui Qui est, et Je suis à côté de vous, les fils. Soyez vous aussi auprès de Moi et restez ainsi, toujours ainsi. Oh, c’est ainsi que l’on dure, c’est en travaillant que l’on dure, oh, les fils. Amen, amen, amen.

22-07-2018