La parole de Dieu à la fête de la Source de Guérison

Je mets la table de parole sur la terre et J’y mets celles qui attendent dans les cieux d’être accomplies sur la terre, car, voila arrivé le temps de Mon retour d’auprès du Père avec le mystère de la résurrection du monde, et la place d’attente n’est pas favorable pour que Je viens, puisque l’homme a pris ce qui est le Mien, il M’a pris la terre, et il dit qu’elle lui appartient et qu’elle porte son nom, mais il faut que l’homme pense qu’il est possible de lui rester le nom seulement, et pas la terre aussi, oh, elle est loin de lui cette pensée, et voilà, l’homme brouille Ma voie et Mon travail, et Moi, J’ouvre Mon chemin pour venir, et Je n’attends pas après l’homme, mais Je travaille selon Dieu, Je travaille selon celles des cieux.

Oh, paix à toi, cité de Ma parole! Paix à vous, vous ceux qui veillez dans la cité pour Ma venue en parole et dans le livre, les fils!

Le Christ est ressuscité! C’est Moi, le Seigneur, Qui vous fait cette annonce de la joie d’il y a deux mille ans, oh, les fils, annonce reçue par Mes disciples endoloris à cause de Ma mort sur la croix, par lequelle J’ai obtenu la résurrection, que la croix M’a donné, les fils, car il n’y a pas de résurrection sans croix. Oh, c’est la croix-même qu’il fuit l’homme, le pauvre, il fuit toujours, il ne sait pas de quoi il fuit, car il fuit le chemin de la résurrection et de la compagnie avec Dieu, puisque J’ai payé la vie de l’homme, celle comblée de péché, pour laquelle il reçoit la punition, mais Moi, J’ai enlevé sa punition et Je l’ai portée Moi-Même, pourvu qu’il aime avec reconnaissance le Seigneur, Celui ressuscité par la croix, Celui Qui a mis Sa vie pour l’homme, les fils.

Oh, c’est le jour des dons de guérisons, et Me voilà réuni avec vous à Ma source de parole et Je dis à ceux qui sont arrivés à la source pour la fête d’aujourd’hui, Je leur dis: le Christ est ressuscité, fils venus dans Ma cité capitale pour Ma parole, qui vous nourrit avec de la vie d’en haut! Oh, inclinez-vous avec l’entendement pour qu’elle vous soit profitable Ma parole lorsque vous venez en prendre de sa source, quand vous avez soif, les fils! Quand votre âme brûle de soif vous allez boire de l’eau fraîche, et vous apaisez votre soif et vous allez au travail avec plus de vivacité, plus de force. Oh, ayez la même attente fébrile pour le Seigneur, au long des jours et des nuits de la vie, et arrêtez-vous du travail du jour et du sommeil de la nuit, pour apaiser la soif de l’esprit, le feu du cœur pour le Seigneur, et que ce feu soit en vous, que rien sans Dieu ne vous atteigne, ni le travail, ni le sommeil, ni le repos, ni la nourriture, oh, les fils. Quand l’homme a un emploi et il sert au maître, on lui demande d’accomplir l’ordre au travail. Au Seigneur c’est la même chose, mais la vie avec le Seigneur n’est pas passagère, tel qu’il est le service que l’homme prend pour avoir les choses dont il a besoin, car la vie avec le Seigneur reste avec toi et vas avec elle vers ta rédemption et la sienne.

Voilà, Je vous enseigne le mystère de la résurrection, les fils. C’est un jour de guérison cette fête d’aujourd’hui, et vous avez besoin de vous guérir des mauvaises habitudes, des parole vaines, les fils, de la paresse spirituelle, de l’esprit du mécontentement, de la convoitise de sommeil et de bonne nourriture toujours en quantité, convoitise de vêtements de toute sorte, comme ceux du monde, qui n’a pas le Seigneur de vie et de visage, les fils, et Ma balance voit que vous avez besoin de beaucoup de guérison, les fils. Voilà, la mode change toujours selon la bêtise de la raison de l’homme, raison terrestre et comblée de désirs, mais vous, les fils, fermez les yeux dans la direction du monde sans Dieu, et prenez toujours le Seigneur comme source de savoir et de conseil pour vous. Oh, ne cherchez pas de ressembler au monde pour pouvoir demeurer au milieu de lui, selon ses habitudes, selon sa tenue, oh, non, les fils, non, pas comme cela. Vous devez chercher à Me ressembler à Moi et aux saints par la stature et la tenue, puisque le monde est laid, les fils, et quand vous vous conduisez comme lui, vous l’êtes aussi, laids, repoussés par ceux des cieux, par ceux qui sont beaux et ne ressemblent pas à ceux de la terre, qui sont laids par la tenue et la conduite.

Quand J’ai commencé Ma parole par Ma trompette Virginie il y avait des chrétiens qui venaient M’entendre, et Moi Je leur disais de ne pas porter de montre bracelet, Je leurs disais cela pour ne pas ressembler au monde, et J’ai dit encore au chrétien de ne pas porter de chemise ou de robe à manches courtes, les bras restés nus, et J’ai dit que la femme chrétienne ne porte pas de robe courte, les pieds découverts. Oh, J’ai dit que le chrétien n’aille pas, tel le monde, la tête découverte, comme une annonce mortuaire, car il y avait une vieille habitude, qui marquait par la tête nue, la mort de quelqu’un de la maison.

J’ai exhorté au chrétien de s’habiller de beaux vêtements, magnifiques à voir, comme les princes et les princesses, comme les voïvodes, comme les saints, oh, les fils. Voilà, l’esprit de la résurrection du milieu du monde et de la mort est ce qui amène la résurrection et dépêche sa venue, c’est cela que J’enseignais Moi, le Seigneur, aux chrétiens qui cherchaient Me suivre et entendre le Seigneur en parlant et en enseignant la vie avec le Seigneur à ceux qui cherchent accomplir la volonté du Père sur la terre comme dans les cieux.

Oh, les fils, les fils, celui qui obéit à Ma parole est gardé de tout mal, le mal l’évite, et celui qui n’obéit pas se trouve à la portée du mal, qui le suit toujours, pour qu’il apprenne le redressement vers l’obéissance.

Oh, Je n’appelle pas deux fois l’homme vers Moi. C’est une seule fois que Je l’appelle. Une seule fois J’ai été cloué sur la croix, et c’est alors que Je t’ai appelé, homme chrétien. Mais si tu ne tiens pas compte de cet appel vers Moi par la croix, sur laquelle J’ai demeuré pour toi, pour que tu viennes auprès de Moi avec ta vie, oh, fils, tu perds la vie, tu la perds deux fois, puisque tu la gâches durant tes jours sur la terre, et tu la perds encore une fois au jour du jugement des faits de la vie.

C’est pourquoi on a besoin d’une décision totale pour la marche de la vie sur toute sa voie, car lorsque l’homme s’achète une voiture neuve, il fait le plein et va avec elle le chemin qu’il se propose, et il arrive au bout, tel qu’il a programmé au départ. Mais quand il achète une voiture vieille et usée, et il ne fait pas le plein, et le réservoir perd de la substance nécessaire à sa marche, alors l’homme n’est pas sûr qu’il arrivera là où il est parti pour arriver.

Oh, les fils, les fils, il est bon que vous renouveliez entièrement votre vie et la faire neuve dès le début, un nouveau début, et lui faire le plein dès son début avec Moi pour le voyage, et il est bon que vous faisiez vous aussi que Noé a fait, en passant bien le temps du déluge et en accomplissant la mission de son salut et de ceux qui ont été sauvés avec lui dans l’arche salvatrice, pendant que tout le nombre des hommes de la terre ont péri, tous, tous, par la désobéissance envers Dieu. Oh, tout aussi Moïse, tout comme Noé, il a obéi au Seigneur, il a porté Israël là où il est parti avec Son peuple pour y arriver, et voilà l’exemple duquel vous pouvez apprendre.

Oh, les fils, les fils, que chacun de vous se dise à lui-même: Si moi, j’ai connu cet appel et parole du ciel, ou si c’est lui, cet appel qui m’a embrassé par l’accueil du Seigneur, qui est venu Me guider la vie et ses pas, pour tout cela Je dois effacer de ma feuille toutes mes choses passées, et y laisser mon travail de jour et de nuit reçu du Seigneur, pour le travailler et être ainsi les fils de son église et de Sa mission de mise en place de Son empire sur la terre et dans les hommes, en commençant par moi. Oh, alors seulement tu pourras échapper à toi-même, à tes péchés de chaque jour, et le Seigneur va te combler de grâce pour Lui, et ensuite sois sage avec les choses anciennes de ton cœur, qui, voilà, se réveillent pour te culpabiliser avec ta vie devant Dieu, mais toi, lève-toi vite et appelle-Moi par ta prière, pour que je te sauve de la chute, et dis-Moi avec des larmes, dis-Moi comme ça: Oh, guéris-moi, Toi, Seigneur, guéris-moi de l’esprit de la chute d’auprès de Dieu, et que l’esprit adversaire soit impuissant envers moi, et pour cela donne-moi un esprit d’enfant obéissant et donne-moi de l’amour pour la réprimande vigilante, qu’elle me tienne dans le bonheur de ceux qui vont recevoir la couronne pleine de vie de la vie éternelle, et aide-moi de ne plus oublier Ton amour pour moi, celui qui a fait Te découvrir à mon cœur, et Tu m’as donné la foi et le désir saint envers Toi et Ta voie. Oh, garde-moi en tout cela avec fidélité, et que ma croix soit constamment portée, et qu’elle soit ma voie avec Toi, oh, Seigneur. Amen.

Oh, les fils, qu’il est beau, qu’il est beau Mon enseignement pour vous en ce jour de fête de guérison, qu’il est beau!

Et toi, Ma mère, si c’est pour toi la fête d’aujourd’hui, oh, donne-leur toi aussi, donne-leur la guérison, selon le besoin de chacun. Oh, donne-leur toi aussi, Ma mère, car tu es Ma mère, et tu es comme ton Fils, source de guérison, Ma mère.

— Oh, Mon Fils Jésus, Ta résurrection pour eux c’est Ton corps et Ton sang. C’est pour leur guérison que Tu as porté la croix lourde, et rien ne lave celui qui vient à Toi, rien de plus vrai que Ton sang coulé sur la croix pour laver ceux qui Te cherchent, Seigneur, et Tu leur donnes la guérison du péché, Fils miséricordieux.

Oh, les fils, les fils, cherchez Mon Fils, Celui Qui enlève vos péchés puisqu’il n’y a pas pour vous d’autre guérison et salut et de vie éternelle auprès de mon Fils ensuite. Il y a deux mille ans, de toute la multitude d’hommes de Jérusalem et de ses alentours, il n’y avait pas beaucoup à se détacher et venir vers la joie de la résurrection et vers l’église de mon Fils, commencée alors, église de Celui Qui S’est donné comme nourriture à ceux remis des péchés. C’est Lui-Même Qu’Il S’est donné comme nourriture, pas l’agneau d’une brebis, mais mon Fils-Même, l’agnelet du Père et le mien. Il s’est levé alors un Zachée, qui le cœur comblé de désir saint, s’est donné au Seigneur. Un centenier aussi s’est levé et il s’est donné à mon Fils et à Son Eglise, et mon Fils voyant leur recherche leur a donné le salut, mais peu, très peu venaient vers le salut par mon Fils, vers l’église commencée alors pour sa nourriture celle du ciel, et mon Fils, s’est donné à elle comme nourriture, depuis lors jusqu’aujourd’hui.

Oh, peu, très peu sont ceux qui ont désiré d’être serviteurs du Seigneur pour Son église, pour qu’ils prennent de la vie et qu’ils en travaillent devant Lui. Il y a eu les apôtres, Ses disciples et ensuite d’autres se sont levés par eux, mais peu, très peu, les fils, de toute la multitude qui allait jour par jour après le Seigneur pour leurs souffrances, et le reste sont restés égarant, sans voie qui aille plus loin, même s’Il leur a dit: «C’est Moi la voie!».

Oh, les fils, quand la terre tremble tous les hommes ont peur, ils ne s’en réjouissent pas. Lorsque l’eau vient et entraîne leur fortune, oh, ils sont affligés aussi les hommes, ils ne se réjouissent pas de ce que le Seigneur parle avec eux dans Sa langue, pas dans leur langue. Oh, personne ne se réjouit quand le Seigneur le délivre des richesses, des fardeaux difficiles à porter, et l’homme dit qu’il a perdu sa fortune et son nid.

Oh, les fils, si vous vivez pour vous seulement, vous ne recevrez aucun payement et encore le Seigneur vous donne Lui aussi de l’aide dans le travail celui pour vous. Il faudrait seulement que l’homme sache que c’est dans les cieux qu’il doit amasser, pas sur la terre, car malheur à ceux qui, sans être prévenus, on leur demande l’âme, et ils leur restent sur la terre des fortunes, de l’argent et des faits sans payement à Dieu! Toutes les choses faites par l’homme périssent et il ne s’en réjouit pas dans les cieux, mais celles travaillées selon la volonté du Seigneur ne périssent pas, et elles s’amassent toutes dans le ciel, car elles sont pour le Seigneur pas pour toi, et le Seigneur te les donne toutes, comme payement parce-que tu L’as aimé et tu Lui as obéi, et tu L’as suivi, et toutes les Siennes sont les tiennes ensuite, comme héritier que tu es des choses célestes, et voilà pourquoi mon Fils a dit de se renoncer celui qui veut venir avec le Seigneur sur la voie et Il a dit: «Celui qui ne laisse pas pour Moi mère, père, frères, femme, enfants, fortune, ne peut venir après Moi!», mais Il a dit encore: «Celui qui laisse tout pour Moi, recevra centuplé sur la terre et dans les cieux, puisque c’est avec Moi qu’il a travaillé et qu’il a amassé».

Moi, les fils, c’est tout comme mon Fils que je vous enseigne pour votre bonheur, car comme Sa mère, comment pourrais-je le faire autrement? Oh, c’est ainsi qu’on apprend le bonheur qui demeure, et autre sorte d’enseignement ne mène pas le chrétien au bonheur qui ne se perde pas et qui rachète. Et moi, c’est mon bonheur que je vous souhaite, auprès de mon Fils je vous vœux sur la terre et dans les cieux, car mon amour est toujours pour vous, du moment que mon Fils vous désire tant. Il viendra bientôt chez vous, dans dix jours Il viendra en parole avec grande fête de résurrection et Il laissera sur vous les mots secrets de Ses mystères, tel qu’Il vous a promis, et Il aura le Seigneur peuple réuni à la source, et Il va travailler, mon Fils, Il va venir avec les disciples, hommes et femmes, avec lesquels Il a réalisé il y a deux mille ans Son travail donné du Père, et qui a fini avec Sa résurrection, oh, les fils. Et vous, soyez fidèles envers Lui, car moi, je m’incline en vous remerciant, et je vous donne des guérissons, puisque le don de ma miséricorde est grand pour ceux qui demandent et qui reçoivent.

Oh, mon Fils Jésus, c’est ainsi que je leur ai parlé en mon jour de mémoire des merveilles pleines de pitié que j’ai faites du ciel sur la terre au long du temps, parce que j’ai pitié de ceux qui souffrent, et c’est la pitié que je veux que le peuple de Ta parole apprenne et mette en pratique, et que Nous ayons sur la terre des disciples comme Nous, comme ceux des cieux, oh, mon cher Fils. Amen.

— Oh, Ma mère, Je brûle de désir et d’impatience de leur découvrir Mes mystères, et c’est ainsi que Je travaillerai, Ma mère, et Nous travaillerons par pitié envers eux, Ma mère.

Oh, les fils, le temps est venu, et tout se dépêche en voyant que Je viens et Je viens encore, et toutes les choses se veulent connues et travaillées et rangées devant Moi, et elles demandent tout le temps de l’homme, et l’appelle et lui demande de travailler pour Dieu et avec Dieu, parce qu’Il vient le Seigneur, les fils, et tout et toutes voient que le Seigneur vient.

Oh, les fils, pendant tout votre temps avec le Seigneur, dans vos prières et les lectures saintes demandez que le Seigneur vienne et qu’Il vous découvre Ses mystères, ceux pour vous et ceux pour les hommes de la terre, les fils. Oh, demandez que l’amour vienne et vous entoure tout le temps, et qu’il coule de vous sur les hommes, les fils. Le refroidissement de l’amour amène le désert dans l’âme de l’homme chrétien, mais l’amour qui est amour brûlant sans cesse, celui-là ne tombe jamais, et il demeure l’amour du cœur de l’homme, le travail de son cœur toujours. C’est cela que nous avons à fixer dans les cœurs des hommes: Dieu et Son amour, oh, les fils.

Et maintenant Je vous dis: Béni soit le voyage vers la source de ceux porteurs de désir saint, puisque celui-ci les devance sur la voie. Dans dix jours nous ouvrons les portes de la cité en bas et en haut, car Moi, le Seigneur, Je viens avec les saints, les fils. Je viens chez vous ici, et Nous aurons festin céleste dans Ma cité avec vous, oh, les fils.

Levez-vous donc et préparez la grande fête, car Je viens avec les disciples hommes et femmes, disciples de Ma résurrection. Je viens, les fils, Je viens, et vous êtes ceux qui Me recevez et vous êtes Mes disciples d’aujourd’hui, ceux chez qui Nous, ceux du ciel, Nous Nous arrêtons, oh, les fils. Amen, amen, amen.

03-05-2019