La Parole de Dieu du Dimanche du Jugement Dernier et la Fête du Saint Martyr Haralambie

Paix à vous, fils qui gardez Ma cité avec vous et Ma venue en parole dans Mon livre d’aujourd’hui avec vous!

Oh, fils qui travaillez pour Dieu, voilà, en ce dimanche Je vous dirige en Pasteur, puisqu’il y a marches établis par les saints, pour ceux qui montent et se perfectionnent en montant vers les choses agréables à Dieu dans le cœur et l’activité de l’homme chrétien, et Moi, Je viens maintenant et J’explique en détail ce que J’ai dit alors, au moment où Je bâtissais par la parole le royaume des cieux et le pouvoir saint pour lui de ceux qui M’avaient alors de Maître, ou de ceux qui se tenaient à Ma suite, pour entendre Mes enseignements, ou pour guérir des peines de la vie, ceux qui marchaient difficilement sous toute sorte de douleurs, et Moi J’étais Celui Qui leur accordais la vie et l’appui, et je prouvais ainsi que Je suis Dieu de Dieu et que J’attire vers le Père ceux errants de Dieu sur la terre.

Oh, c’est la même chose que Je travaille aujourd’hui, et Je rappelle les paroles allégoriques et comblées de significations que J’énonçais devant les fidèles à Ma venue d’auprès du Père, et devant les incrédules, pour qu’ils voient ensuite que le mal qu’ils ont travaillé sur Moi, a été pratiquement dirigé sur Dieu, vers le Fils de Dieu, Duquel on avait annoncé qu’Il viendrait et qu’Il ne serait pas reçu, mais il serait méprisé de tous.

En ce dimanche elle est inscrite dans le calendrier chrétien Ma parole d’alors sur le jour du jugement dernier, lorsque chacun recevra selon ses faits, et il sera rangé à droite ou à gauche, brebis ou boucs, les brebis à droite comme les bénies du Père, pour hériter le royaume préparé pour elles depuis la fondation du monde, et les boucs à gauche, comme malédiction, pour le feu éternel, préparé au diable et à ses anges, punis ainsi, tel qu’il est écrit.

J’ai dit depuis ce temps-là comment il se passera, Je l’ai dit pour y faire attention et ne pas oublier ces choses annoncées alors. J’ai dit que tous les peuples seront assemblés devant le trône de l’empire de Ma gloire, et ils seront séparés à droite et à gauche, selon leurs actions, ceux avec amour de Dieu, et ceux sans amour de Dieu, prouvés ceux-là par leurs œuvres sur les envoyés de Dieu de tous les temps, envoyés pour être reçus ou non, secourus ou non, nourris, abreuvés, des errants assistés, habillés, aidés dans leurs impuissances, ou des emprisonnés injustement, et tout cela réalisé comme si c’était fait à Dieu, Qui les a envoyés comme des messagers sur la terre, pour ceux qui reçoivent la Seigneur par eux, ou ne Le reçoivent pas, oh, et c’est ainsi qu’on va choisir d’une partie ou de l’autre, selon leur comportement envers Dieu sur la terre, pendant leur vie sur la terre.

Oh, les fils, quelle belle chose aurait été, quelle bonne chose serait si l’homme avait fait attention ou qu’il fasse attention à ce que J’avais dit alors pour le jour de Ma gloire, lorsque les anges du trône de la gloire et Celui Qui sied sur le trône, rassemblera tous les peuples pour l’examen et pour le payement selon le travail de leur vie. Pour toute récompense il faut travailler d’abord, et c’est la même chose avec la vie éternelle, pour sa joie, puisqu’il faut travailler pour l’avoir pleinement avec le Seigneur, auprès du Seigneur, à Sa droite, surtout parce que le temps du travail c’est ici, au temps de la chair, et ensuite on reçoit ce que l’on a travaillé pour avoir, et si tu ne fais pas ainsi, la peine éternelle sera ta part, et on ne peut plus réparer, car c’est pour maintenant le travail, pas après, c’est ici le travail, pas ensuite, quand on reçoit seulement ce qu’on a amassé. Si dans ta vie, si dans ton action de te consacrer à Dieu il y a quelque chose qui va mal au temps de ta chair, dépêche-toi de la réparer ici, maintenant, tiens-toi toujours attentif à toi, de peur qu’il ne reste quelque chose gâté et pas réparé maintenant, et que ta prière demande toujours Ma miséricorde pour le fait d’alors, et ensuite qu’elles aillent devant toi les prières qui demandent ton éternité avec le Seigneur, avec les anges, avec les beautés d’en haut.

Oh, les fils, les fils, que ferais-Je de ceux qui ont gardés ces méfaits jusqu’à la fin, de ceux qui n’ont plus trouvé bon de faire la charité avec les plus petits des Miens, et des faits qui auraient pu être dignes de s’inscrire en leur compte pour ce jour-là, jour où on marquera leur manque d’estime pour ceux travaillant sous Ma croix d’aujourd’hui? Oh, et que dire encore du mépris envers vous, ou de la médisance méchante et diffamante travaillée par eux, par laquelle ils ont considéré de s’en sortir avec du bien pour eux, et avec du mal pour vous?

Oh, c’est ainsi qu’il s’est passé au temps de Ma chair aussi, ils M’ont quitté l’un après l’autre, deux par deux, et ils M’ont toujours quitté, ne comprenant pas Mes paroles, tout comme ceux d’aujourd’hui, et il y a eu et il y a encore entre eux de ceux qui n’ont pas eu le cœur suffisamment pur et de la fidélité et de la foi, pour les convaincre vers la constance, oh, et ils ont choisi après longtemps passé avec Moi et avec vous, ils ont choisi l’éphémère et ils engagent des diffamateurs contre vous comme alors, même parmi ceux qui ont été tout près, eux aussi.

Oh, voilà pourquoi Je disais déjà depuis ce temps-là: «Quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-Il encore de la foi sur la terre?». Il y en avait beaucoup qui alors aussi, ils partaient deux à deux, ils partaient l es uns après les autres, ils ne demeuraient pas avec les faits de la vie éternelle pour le Seigneur, pour qu’ils aient une bonne réponse au jour de la gloire, et cela parce qu’il avaient des pensées propres, des opinions propres, des désirs propres, tout venant d’eux-mêmes, par lesquelles le diable sème la discorde silencieusement, peu à peu, car il n’a pas le cœur pur celui qui pense de soi, ou il a des actions et des sentiments de soi, et la où il n’y a pas le même genre de réflexion, là-bas il y a séparation par ce fait-même.

Voilà, les fils, celui qui ne partage pas les sentiments de son âme à ceux avec qui il vit, celui-là n’a pas le cœur pur, ni pour lui, ni pour ceux avec qui il vit, puisqu’il est fermé en soi avec les siennes, pensées, actions, séparées de la pensée et des faits de la communauté, et il a sa propre vue sur les choses, sur leur signification, sur leurs faits, et tout cela produit de la séparation et des frères et de Dieu, car le Seigneur habite là où il y a l’union et l’unité entre les membres de la même communauté.

Les fils, les fils, la médisance dans la bouche de ceux qui n’ont pas travaillé pour Ma voie avec vous jusqu’à la fin, elle est une punition pour eux, un payement honteux, qu’ils se procurent seulement ceux du monde, qui ressemblent au monde, ceux qui appartiennent à l’esprit du monde, les fils. Et voilà, Je leur dis à eux aussi: Oh, s’ils ne vous sont pas chers ceux qui sont les Miens, auxquels Je trouve de l’appui pour Ma grande œuvre, eux qui sont petits de force et petits pour la méchanceté, si vous n’en dites pas du bien pour Mon nom, puisque vous ne pouvez pas n’en parler du tout, oh, du moins ne les diffamez pas pour votre nom, tel qu’ils le font tous ceux qui prennent leurs mauvaises habitudes et s’en vont ailleurs avec elles.

Ils se cherchent les uns les autres ceux qui se sont séparés de Moi et de vous, les fils, oh, et ils se dépêchent de commettre cette faute jusqu’au dernier d’entre eux, et ils n’ont pas peur de pécher contre Ma parole, qui a beaucoup et minutieusement enseigné du ciel celui qui est entré sur cette voie, celle de gloire en parole sur la terre.

Oh, quel bien peuvent-ils se faire ensuite ceux qui se cherchent les uns les autres, s’ils se séparent l’un après l’autre de Ma marche? Oh, ils ne peuvent que se procurer du péché l’un à l’autre par des plaintes, des diffamations, des paroles vaines, en oubliant de leurs propres fautes, et de celles des chrétiens qui ont péché avant eux, ceux qui partent aussi renonçant à Ma miséricorde, à Mon conseil, à Mon inclination vers eux. Oh, ils M’ont beaucoup incliné avec leurs choses cachées des autres, au milieu de la communauté, en pensant que Je suis l’aveugle et le naïf et Je ne vois et Je ne sais pas ce qui se passe, si Je Me suis tu et Je Me tais. Oh, mais Moi, Je ne Me mêle pas dans tes choses cachées, oh, chrétien sans raison du ciel, et Je te laisse tel que tu choisis de faire, et d’aimer faire, mais Moi, Je Me tiens avec les Miennes et avec les Miens et avec la lumière, oh, fils qui fuis la lumière. Oh, fais-le si c’est cela que tu choisis et que tu veux! Je n’ai pas quoi faire pour toi, mais ces choses-là te séparent des frères et de Dieu, et t’éloignent peu à peu. C’est seulement le cœur pur envers tous, c’est seulement lui qui te sauve de tes idées et leurs fautes, et cela te maintient dans la foi et la fidélité et dans la croissance pour Dieu jusqu’au jour de la gloire, quand le Seigneur siègera sur le trône de la gloire et Il va accorder à chacun selon son action, tel qu’il est écrit.

Les fils, les fils, en ce dimanche Nous avons à table de parole le prélat Haralambie, celui qui a tiré vers le don de la foi beaucoup, beaucoup de gens, puisque par l’exemple de sa grandiose vie, il a dirigé beaucoup de païens, les attirant dans Mon peuple chrétien, mais de la même façon il a attiré la colère des persécuteurs, qui ont dépouillé de peau et de chair ce vieux martyr, bien passé du centenaire, âge avancée où il travaillait encore dans le champ chrétien. Il n’a soufflé mot pendant les douleurs souffertes pour le Christ, et ceux qui le gardaient de la part des persécuteurs, ils passaient de la part de son Dieu et ils recevaient le martyre tout comme Mon saint, en venant en grand nombre vers le martyre pour le Seigneur, quand ils voyaient sa patience et son supplice, et voilà, pendant ce temps le chef de l’armée de l’empereur se remplissait de plus en plus de colère, jusqu’à ce qu’il a pris lui-même les crochets et il essayait de blesser et de rompre la chair du corps torturé de Mon disciple. Mais, malheur à lui, car ses mains sont tombées comme fauchées de leur place et, en crachant dans la figure de Mon saint, sa bouche s’est déplacée vers la nuque. Oh, en voyant cela, il a prié le bon saint, doux et clément, et il a été pardonné par la prière de Mon saint, dont les blessures ont guéri ensuite comme par merveille. Et l’empereur du temps a ordonné de lui couper la tête pour en finir tout cette histoire, qui l’affrontait, le dégoûtait et le mettait en colère. Mais voilà que sa fille aussi a gagné le Christ, par l’amour envers le Seigneur du grand prélat martyrisé, et elle a pris soin ensuite de toutes les choses qui allaient être faites pour Mon grand saint de ce temps-là, martyrisé sous les regards de beaucoup de gens qui ont gagné la foi, le baptême et l’amour du Seigneur.

Et voilà, voilà l’amour pour le Seigneur et une longue vie d’amour bien plus d’une centenaire d’amour envers Dieu et les hommes, les fils! Oh, et ils ne cherchent pas de connaitre cela ceux qui ne sont pas disposés à apprendre eux aussi la voie de la vie, la voie de la charité et non pas l’égarement du sentier qui mène à la vie, oh, et il y en a beaucoup qui se dirigent vers la perte, par l’ignorance des choses propices à la vie, les fils, et voilà comment tant de gens choisissent la vie ou le terrible jugement, tout comme ceux du temps du prélat saint Haralambie, celui qui attend avec impatience d’entrer chez vous, dans Mon livre avec vous, les fils.

Oh, qu’il te soit béni l’arrêt dans Ma cité de parole, homme aimant de Dieu, et aimé pareillement, et va, parle, car Je t’écoute, et ils t’écoutent aussi!

— A grande inclination je parle, Seigneur, avec Toi ici, dans la cité de Ta parole de ce temps, mais avec vous aussi, les derniers disciples de notre Seigneur Jésus-Christ. Je me remplis de grande joie et de douce parole d’encouragement pour la voie avec le Seigneur de ceux qui sont et de ceux qui viennent à la parole pleine de puissance qui coule ici de la bouche du Seigneur depuis tant d’années.

Nous, ceux sanctifiés par le Seigneur, nous ne devons pas oublier de travailler toujours et beaucoup pour la foi et le pouvoir pour elle de beaucoup qui ne voient pas et ne s’inscrivent pas sur la voie impériale vers le royaume préparé dès la fondation du monde pour ceux bénis pour lui, par les faits de leur vie avec le Seigneur et pour le Seigneur, en L’assistant et en L’aidant de pouvoir se trouver du logis et de la vie en beaucoup de gens, en le plus grand nombre possible de gens de toute la terre.

Oh, prenez soin de vous, enfants qui jouissent de la miséricorde et de l’amour de Dieu ! Vous devez beaucoup d’amour au Seigneur, car le Christ vous a rendus des fils d’empereur, peuple impérial, dont il prend tant de soin, les fils. Oh, prenez soin du Seigneur tel qu’Il le fait pour vous, et accomplissez ce devoir plus que tout autre chose que vous auriez à travailler pour la cité, pour Son peuple ou pour vous. N’oubliez pas de toujours exhorter le peuple de la parole de Dieu à beaucoup d’amour envers Lui, et au sacrifice pour l’amour, car l’amour sans sacrifice n’est pas amour de Dieu. Oh, et qu’ils comprennent bien leur devoir ceux qui sont venus pour être eux aussi au Seigneur, pas toujours à eux-mêmes, tel qu’ils le font tant de chrétiens sur la terre, qui ne se sont pas dédiés entièrement à l’amour de Dieu et des prochains.

C’est cela que j’ai voulu vous laisser comme conseil sur la table en mon jour d’assemblée entre les prélats du ciel, les grands du ciel et de la terre.

Quant au Seigneur, Je m’incline profondément et je Te remercie, Seigneur bien-aimé, de Ton amour mis pour ma consolation entre Tes saints, oh, et j’en partage à tous, puisque c’est ainsi qu’ils sont les Tiens.

— Oh, cher serviteur et grand semeur de Mon royaume pour beaucoup sur la terre, tu es aujourd’hui aussi, près de Mon œuvre, tu travailles pour Mon ouvrage, travailleur par la grâce que Je T’ai accordée. Que ta fidélité envers Moi soit grand exemple pour tous ceux qui sont les Miens en ces jours, et Moi, Je bénis ta parole afin de pénétrer avec son œuvre en ceux qui sont les Miens, en ceux qui viennent et qui viendront.

Les fils, les fils, Je Me prépare pour venir avec une parole vivifiante pour ceux qui sont Mon peuple plus rapproché de vous. Et ensuite Je Me prépare avec beaucoup de parole pour sceller la foi, celle de la fin comme celle du début, et de sa vraie voie, et Je vais parler avec toute la terre qui porte des gens qui aiment la Voie, car c’est Moi la Voie, Moi, et pas l’homme, qui se fraie chemin vers Moi, selon sa volonté, puisque sur la terre, il y en a beaucoup qui se glorifient avec Mon nom et leur foi en Moi, et Je vais les demander sur leur croyance, et Je les séparerai à droite et à gauche, selon le choix de chacun, pour leur vie et leur foi et la voie de leur marche, et Je leur dirai s’ils vont ou pas sur la voie qui mène à la maison, au Père. Oh, et Je ne laisserai pas de rêver chacun à son vouloir, mais Je leur dirai comment l’homme peut-il M’avoir de Dieu selon Ma volonté, pas selon la sienne.

Et maintenant paix à vous, les fils! N’oubliez pas de vous tenir sous Ma protection, de bien apprendre cela, car malheur à ceux qui ne savent pas suffisamment bien d’être et de se garder sous Ma protection toujours!

Ils arrivent des dimanches porteurs de grandes leçons, et Nous serons avec le livre sur la table et Nous en partagerons selon Mon envoi et le travail venu de Moi, car c’est Moi Qui prends soin de tout homme, s’il Me reçoit quand Je frappe.

Paix à vous! Et soyez avec Ma paix en vous et entre vous, travaillez et partagez d’elle, les fils! Je vous en donne et vous, soyez de ceux qui partagent, soyez comme Moi, donnez Dieu à l’homme, donnez Ma parole aux hommes, oh, les fils. Amen, amen, amen.

23-02-2020