La Parole de Dieu à la fête du Saint prélat Nicolas

Dieu Sabaoth, Mon Père, M’envoie de Sa droite et Me dit de Me rendre parole descendue sur la terre, puisque toutes les choses finissent sans Dieu, et c’est seulement Lui Qui reste encore, Lui Qui rend tout neuf à Sa parole. Amen.

Je descends à toi peuple de Ma parole, et J’apporte à Ma table avec toi ceux du ciel, qui fêtent en ce jour le prélat Nicolas, celui plein d’humilité sur la terre et au ciel, celui plein de don saint, qui s’est fait connu sur la terre, et pour le don de la douceur et pour le pouvoir de la foi, il a été riche, car il a aimé la pauvreté pour lui et il a amassé des richesses pour les pauvres, il les leur a partagées, et plus que cela, il a partagé l’humilité et esprit de repentance, car celui qui partage du ciel a du fruit dans ceux qui reçoivent de lui.

Apprend, Mon peuple, tout ce que je te partage et que cela porte du fruit en toi, du fruit du ciel et pour le ciel, et heureux celui qui amasse pour lui du ciel et dans le ciel, puisque celles du ciel c’est dans le ciel qu’elles retournent, avec ceux qui portent du fruit d’elles et le partagent sur la terre, pour que le ciel porte du fruit sur la terre, du ciel dans les cœurs des hommes, qui ne pourraient pas être attirés vers le ciel avec leur amour, s’ils n’avaient pas quelqu’un à leur montrer la voie et son fruit.

Oh, Je t’apprends aujourd’hui le mystère d’un beau don afin que tu le travailles pour ta richesse, celle du ciel. Fais attention à l’œuvre de la reconnaissance, Mon fils. Garde-toi dans une obéissance pleine d’amour, avec grande reconnaissance envers ceux qui t’aident et prennent soin de ton esprit et de ton travail, celui pour Moi, travail qui s’amasse dans le ciel comme ta richesse, là où la mite et le ver ne la gâtent pas, n’arrivent pas à avoir de la vie et gâter dans le ciel. Il faut que tu saches avec quoi on travaille le mystère de la reconnaissance, car si tu ne le sais pas, tu ne le travailles pas, tu ne l’aimes pas, et tu ne t’en rends pas cher à Dieu, précieux devant Lui, tout comme les saints sont précieux à Dieu.

Oh, c’est très beau pour Moi de voir sur la terre de la reconnaissance dans l’œuvre de l’homme! Vous n’auriez pas pu être ce que vous êtes et vous devez être, si vous n’aviez pas été soutenus et beaucoup aidés et instruits par quelqu’un qui vous donne du ciel. Il y a en a beaucoup sur la terre qui prouvent leur reconnaissance envers quelqu’un qui les aide du ciel, avec celles venues du ciel, car il y a beaucoup de ciel sur la terre, ciel qui peut être partagé aux hommes avec la richesse de ses grâces divines, s’il y a quelqu’un à partager à ceux qui se tiennent loin de Dieu le Trésorier, et il y en a beaucoup qui reviennent pour remercier, qui reviennent eux-mêmes jusqu’au lieu d’où leur aide est venu.

Oh, Mon peuple, J’attends de toi beaucoup de reconnaissance envers ceux qui aident que tu sois le Mien, car tu ne Me vois pas Moi, mais tu vois ceux qui se trouvent entre Moi et toi, établis par Moi devant toi pour ta vie, pour nourrir ta foi en Moi, pour nourrir ton amour pour Moi, ton obéissance à Dieu, pour le mystère de ton salut de l’empire du péché, afin que tu sois saint et pas pécheur. Oh, que de dons reçois tu! Oh, combien reconnaissant il faut que tu sois, et que tu apprennes d’être ainsi! Cette sagesse est au-dessus de toutes, et celui qui ne l’a pas en œuvre est un Lucifer, il tombe dans le péché de Lucifer, celui qui n’est plus resté soumis à son Créateur, il s’est élevé au-dessus de Lui et il a perdu sa splendeur devenant tout noir, parce qu’il a oublié l’œuvre de la reconnaissance envers Celui Qui lui a donné l’existence, et sur Lequel il s’est enhardi par sa désobéissance à Dieu, car il a obéi à l’homme, il n’a plus regardé vers Moi, pour voir de Moi et pas de l’homme.

Oh, faites attention, les fils! La reconnaissance doit avoir en entier son visage et son œuvre en vous. Vous n’êtes rien sans elle, c’est un rien l’homme qui n’a pas dans sa conduite et dans son cœur la preuve de sa reconnaissance envers celui qui le soutient pour qu’il soit le Mien, pour qu’il reste le Mien. C’est seulement celui qui ne veut rester le Mien, c’est seulement celui-là qui ne garde pas la reconnaissance et son œuvre, envers celui duquel il prend le Seigneur pour sa vie.

Oh, les fils, il est très laid le péché de l’ingratitude, lorsqu’il se fait voir avec son œuvre dans l’homme. Personne ne doit avoir moins de travail avec celui duquel il lui a été partagé pour le faire. Lorsqu’on voit quelqu’un qui a en son service un homme, pour qu’il ne se tienne pas sans service, et celui-ci ne travaille plus que celui qui le prend en service, il s’agit alors du péché de l’ingratitude, du péché de l’orgueil, péché qui aime loger dans l’homme et le rendre diable. Ceux qui ne servent pas avec fidélité et avec sacrifice saint et cher pour ceux qui leur dirigent les jours et les nuits et qui veillent leur vie, ceux-là ne se rendent pas compte de leur orgueil et ils n’ont pas de fidélité et ils n’ont pas de reconnaissance envers leur maître, et ils ne sont pas grands, s’ils ne savent pas ce que c’est la grandeur, tel qu’il a su le prophète Daniel, qui s’est rendu compte à quel point il doit être grand dans le service, pour servir avec fidélité pour les affaires du roi, auquel il était esclave non pas fils, et vous êtes des fils, Mes fils, et chaque fils doit servir son père avec grande fidélité, ou il se retire des son service à cause de l’infidélité, il va dépenser sa vie dans les débauches, jusqu’à ce qu’il découvre le fruit de son égarement de sa conduite et du service dans la maison de son père.

Oh, malheur aux parents qui n’apprennent pas aux enfants de servir dans la maison plus que leurs parents, car ceux-là n’ont pas d’où apprendre l’œuvre de la reconnaissance envers ceux qui leur ont donné la vie et les ont soignés! Malheur à ceux-là, malheur aux parents comme aux enfants, car voilà, c’est cela le visage de ce monde gâté de la tête aux pieds, où on démolit les uns aux autres toutes les fortifications, car elles sont construits sur le sable, tel qu’il est écrit de ceux qui bâtissent sur le sable.

Oh, les fils, c’est un jour d’enseignement saint pour vous. Vous avez comme maître aujourd’hui la vie et les faits du prélat Nicolas, celui qui recevrait de Moi et partageait en cachette les dons, de peur qu’il ne soit pas loué sur la terre, puisque tous ceux qui sont loués par les hommes ne sont pas les méritants, tout comme ils ne sont pas méritoires ceux qui leur servent. Oh, gardez-vous comme de la mort de la joie venue de l’amour pour vous de ceux d’auprès de vous, puisque l’homme ne mérite sur la terre, sauf Dieu, pour Son pardon envers l’homme, car il est pécheur l’homme et il a besoin de reconnaissance envers Dieu et de repentir continu devant Lui. Celui qui ne prouve pas de grande reconnaissance envers Dieu et ses semblables et surtout envers ceux qui lui dirigent les pas et la vie, celui-là aime le péché et il demeure dans le péché de l’ingratitude, et se tient indifférent dans ce péché. Oh, comment puisse-t-il être beau un tel homme, une telle débauche dans l’homme? Comment être beau celui sans Mon évolution en lui, et visible en dehors de lui ensuite? Lorsque l’homme va à la châsse ou à la tombe d’un saint, il prouve sa reconnaissance envers son bienfaiteur, celui qui l’a sorti de l’obscurité, des maladies et de beaucoup d’ennemis et de soucis, et il va, il s’incline, il croit ce qu’il fait et il désire la présence de son bienfaiteur. Oh, voilà un exemple pour en apprendre! Mais la plus belle reconnaissance a celui qui travaille beaucoup l’œuvre que son bienfaiteur lui a donné et qui montre le fruit de l’œuvre de la reconnaissance, le fruit de l’obéissance et du sacrifice à celui qui lui a confié du service et du salut par lui, et une belle conduite pleine de fruit saint, pleine de la vertu de la reconnaissance.

C’est un jour de fête pour les saints et tu dois offrir des dons saints à Mon peuple, oh, prélat fêté entre les saints en ce jour, car c’est cela l’œuvre que Je t’ai donnée et tu ne M’as pas demandé de payement pour elle, puisque tu as été Mon fils pas Mon serviteur, et tu as aimé être reconnaissant à ton Créateur.

Oh, les fils, les fils, ceux qui obéissent ne sont pas ceux qui commandent, ils ne sont pas ceux qui désirent ce qu’ils veulent. C’est cet enseignement que vous devez acquérir maintenant. Amen.

— J’ai été le maître de ceux qui croyaient en Toi, de ceux doux tout comme moi, et de ceux qui aimaient s’abstenir d’accomplir leurs propres volontés, c’est à eux que je suis venu en aide et je leur ai été pasteur vers Toi, oh, Seigneur Maître. Je leur ai appris la reconnaissance envers Toi, le Trésorier des biens, destinés au salut des hommes, à leur sagesse.

Tu as préparé avec de grandes merveilles le rang de prélat pour moi, et j’ai toujours été obligé pour cette grande œuvre, que Tu as mise sur moi avec des merveilles visibles et comprises par beaucoup d’hommes alors, mais oh, je ne pouvais pas, je ne pouvais porter la gloire venue des hommes, je ne pouvais pas, car je sentais une grande peur face à face avec Toi, grand Seigneur, puisque c’est Toi seulement le Glorieux, seulement Toi. J’ai le plus possible caché l’œuvre de ma grâce venue de Toi, car je n’ai pas pu recevoir moi ce que c’est seulement Toi à mériter et d’avoir.

J’ai donné aux besogneux l’aide qui leur manquait et je les ai sauvés de grand péché, j’ai fait tout ce que j’ai pu pour l’homme devant Toi, car Tu m’as destiné à prendre soin de Ton troupeau, et sans repos en prendre soin.

Je dis, Seigneur, à tous les prélats de la terre qu’ils ne savent pas ce qu’ils ont à travailler, du moment qu’ils ne travaillent pas tel que je l’ai fait devant Toi, avec l’œuvre de la dignité de prélat, et je leur dis qu’ils ont besoin de grand, grand repentir, très grand vraiment, car trop de Ta gloire ils ont volé les hommes pour eux et ils n’ont pas eu peur et ils n’ont pas peur de faire cette œuvre de Lucifer et prendre Ta gloire, en temps que l’homme ne mérite que du repentir, parce qu’il est pécheur.

Oh, pourquoi, Seigneur, l’homme oublie-t-il qu’il est pécheur? S’il ne l’oubliait pas, il serait éveillé l’homme pour sa réponse devant Toi, dont l’homme ne peut se sauver. Oh, comment ferions-nous pour démolir tout à fait Lucifer de l’homme, cet archiérarche satanique, maître de l’enfer, autorisé par tous les hommes qui lui servent, pasteur menteur, qui s’élève de l’esprit de l’orgueil, chaise d’empire dans l’homme et de maîtrise sur l’homme, tel que l’homme ne peut plus se sauver de sa domination?

Oh, il y a grand manque de reconnaissance entre l’homme et Toi, Pasteur bon et doux et plein de patience, Seigneur, et je veux parler un instant maintenant avec les fils de Ton peuple et je leur dis cela:

Oh, fils et filles, oh, enfants d’un si grande œuvre divine descendue avec Dieu chez vous et sur vous, procurez-vous toujours grande et infinie reconnaissance pour ce don accordé à vous, et pour ceux qui le portent vers vous et soignent spirituellement pour les choses du ciel et pour celles de la terre pour vous, car votre vie doit être soignée, et il est très difficile ce devoir porté pour vous. Oh, soyez pleins de reconnaissance et de conduite reconnaissante, car vous ne pouvez être beaux sans cette merveille qui rend l’homme fils de celui qui le porte. Pas un fils fidèle ne commande, ne change pas le conseil venu pour lui, ne montre par sa sagesse devant celui qui sagement lui partage pour qu’il existe, et qu’il ait Dieu sur lui sur la terre et dans le ciel. Oh, prenez soin, les fils, de ne pas écraser le pouvoir de ceux qui vous portent, et soyez reconnaissants par la fidélité, par inclination avec charité et obéissance avec humilité, car le Seigneur attend que vous resplendissez par celles-là et qu’on voit leur lumière sur vous. Oh, contentez-vous avec ce que vous avez, car vous êtes à peu près pauvres, mais soyez riches en dons saints, et nourrissez-vous et habillez-vous en, humiliez-vous pour elles, humiliez-vous beaucoup et toujours, pour être des porteurs de dons du ciel et pour être les fils du Très-Haut, Celui Qui de Sa hauteur vous donne avec beaucoup d’humilité, car Il S’incline jusqu’à vous.

Oh, qu’il ne s’agit point chez vous du péché de l’ingratitude. Soyez doux avec votre cœur, votre raison et avec leur œuvre, pour que vous puissiez montrer de la reconnaissance pour le bien établi sur vous, les fils. Soyez pleins de dons, et qu’ils ne vous manquent pas les dons saints, qui vous procurent de la sainteté et conduite sainte des uns aux autres, les uns pour les autres, les fils, puisqu’il est difficile à l’homme de se séparer de ce qu’il apprend et qu’il fait, et vous en travaillant les choses saintes vous allez difficilement vous séparer d’elles, et elles de vous, car elles entrent dans la nature et l’être de l’home et le font naître du ciel, des choses saintes et pour les choses saintes toujours, et le peuple roumain aura la mariée du Seigneur au milieu de lui, parée par sin Epoux, le Christ.

Je voudrais que le Seigneur se débarrasse de cet archiérarche satanique, qui fait de l’orgueil son trône dans l’homme, et qui a un troupeau si grand qu’on ne peut embrasser des yeux. Oh, je voudrais qu’elle se gâte l’œuvre de Lucifer de la raison du cœur de l’homme, et je vous offre en ce jour des dons d’en haut: douceur, fidélité, modération, humilité sainte, et je vous donne aussi l’esprit de la reconnaissance pour tout cela, oh, les fils et filles de cette parole d’en haut pour vous, afin de réjouir le Seigneur en les partageant, et qu’on les voie en vous, et leur source ensuite. Amen.

Oh, s’il Te plaît, Seigneur charitable, donne-leur tous Tes ornements chers et saints, pour que personne ne soit plus beau qu’eux sur la terre, et qu’ils aient de la reconnaissance avec la conduite convenable. Paix à Toi de leur part, de la paix, Seigneur, et que la consolation de leur part guérisse toujours Ta douleur! Amen.

— Oh, mon Seigneur, j’ai moi aussi, la martyre Filothéa, mon jour de fête entre les saints près de Ton prélat Nicolas. Habille le peuple s’il Te plaît, habille-le du vêtement de la gloire, du vêtement de la charité, pour que Ton peuple d’aujourd’hui aie des parents, car il est difficile pour ceux sans parents sur la terre, sans le Seigneur et Ses saints avec eux, mais moi je T’ai eu Toi comme père et mère, car je n’ai pas eu le soutien des parents, et grand bonheur j’ai porté dans ma petite âme, bonheur venu de mon amour de Toi, tel que je sentais qu’il n’y avait pas sur la terre un autre heureux sauf moi, car je languissais après Toi, toute petite que j’étais, mais le désir saint de Toi dépassait ma mesure, et c’est de Toi qu’il a eu, qu’il m’a parée et m’a habillée du vêtement de la gloire d’en haut, oh, Seigneur. Je Te remercie avec grande humilité pour le fait que je me tiens maintenant auprès de Toi avec les saints et je parle à Ton peuple d’aujourd’hui, que tous les saints et tous les anges attendent et le regardent et le déclarent heureux, et pour avoir été élus, ils doivent prouver une humilité qui n’a plus existé le long des siècles, et beaucoup de reconnaissance pour ce qu’ils sont et ce qu’ils font, car c’est Toi leur Pasteur, Tu leur enseignes toutes les choses, et il faut qu’ils soient bons quand il s’agit de l’enseignement et de l’obéissance. Paix à Toi, de la paix venue de nous et d’eux! Tout comme le père fêté aujourd’hui, Nicolas, tout aussi moi, Ta martyre, je Te souhaite d’eux, et qu’ils n’oublient pas des dons saints et de leur devoir envers Toi, oh, Seigneur Pasteur. Amen.

— Oh, qu’ils sont beaux les pas de ceux qui annoncent la paix! Prenez de la joie de Ma parole descendue sur Mon peuple, oh, saints aimés et grands aimants, par le renoncement à soi dans lequel vous vous êtes tenus devant Moi et devant les hommes sur la terre.

Paix à Moi et paix à toi de la part de Mes saints, oh, Mon peuple! Apprends cela toi aussi pour pouvoir Me dire ensuite: Paix à Toi, Seigneur, paix à Toi de nous!

Oh, Mon peuple, il faut que tu apprennes comme à l’école et que tu assimiles Ma parole, que tu en portes du fruits dans ta vie, et il faut apprendre la reconnaissance envers tous tes bienfaiteurs du ciel et de la terre, et que tu sois petit quand il s’agit des désirs et grand quand il s’agit du dévouement, Mon fils, et Ma joie venue de toi va M’apaiser, elle va Me consoler et beaucoup Me consoler , oh, Mon peuple, du ciel et de la terre conseillé par Dieu, ton Pasteur. Amen, amen, amen.

19-12-2012