La Parole de Dieu du Dimanche de l’Enfant Prodigue

Je Me laisse encore et encore dans le livre avec de l’enseignement saint et bien cher, et toute chose a son temps, et voilà, maintenant c’est le temps de la préparation pour faire face au jeûne de cinquante jours, pour accueillir ensuite la fête de Ma résurrection, établie sur la terre pour les chrétiens, il y a deux mille ans par Ma résurrection-même, puisqu’il M-a crucifié le peuple que J’ai choisi et que J’ai aimé ensuite, mais Je lui ai offert Ma résurrection et la lui, et voilà il n’a pas quand même voulu se préparer et Me recevoir ce peuple-là, et Je suis resté depuis lors, jusqu’aujourd’hui et jusqu’à demain le Maître de ceux qui Me reçoivent, venu du Père, par naissance de mère vierge, et venu ensuite d’entre les morts, car Je suis ressuscité, et elle s’est établie sur la terre Ma résurrection, depuis lors et jusqu’à présent.

Toute la parole avec laquelle Je Me tiens au-dessus de la terre en ce temps, c’est au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, et c’est ainsi que Je travaille, parce qu’il est écrit par les prophètes que Je devrais travailler ainsi, que Je prononce Ma parole sur les vivants et sur les morts, et qu’ils s’en réjouissent tous les fils de la foi, tous auxquels le Père a destiné d’entendre Son Fils et le recevoir en eux, Lui dans lequel le Père a mis toute Son affection, et auquel ils doivent obéir tous ceux qui croient dans les prophètes, les Ecritures et les psaumes.

La parabole de ce dimanche est celle de l’enfant prodigue, car elle aussi exhorte l’homme à la repentance et à l’espoir, tout pécheur, tout éloigné qu’il soit de la vie du ciel. Oh, que d’enseignement saint et cher J’ai laissé sur tous, sur des bons et des méchants, mais cela se passe comme à l’école, où il y en a de ceux qui apprennent et ils ont des bonnes notes, et d’autres qui à peine viennent à l’école et n’apprennent pas, ils ne s’instruisent pas, et ils ont de mauvaises notes, des notes reçues par pitié, celle qu’attend l’homme de se retourner vers l’esprit de la sagesse et de l’enseignement, et se mettre au travail, parce que l’outil qui reste sans travail est couvert de rouille et ne luit plus en travaillant, il n’a plus de beauté, ni de lumière venue de la lumière, c`est-à-dire beaucoup de travail pour la vie.

Oh, paix à toi, Mon peuple de la source! Je m’arrête chez toi, car J’ai établi Ma maison chez toi, pour ta foi dans Ma venue en parole sur la terre, et voilà, J’y mets la table toujours et Je Me donne avec elle, Je la mets au milieu pour qu’ils puissent en prendre ceux des carrefours, puisque ceux qui se sont nommés et se nomment d’eux-mêmes les fils de Mon royaume, ces gens-là, tout comme l’Israël celui d’il y a deux mille ans, n’ont pas cru et ne croient pas, car ils ont sur eux ceux assis sur de grandes chaises, et ceux-là ne reçoivent pas le Seigneur, Celui humble, car c’est ainsi que Dieu l’est, et J’ai montré à l’homme comment Je suis venu et comment Je suis, mais il n’a pas aimé de faire ainsi, et il a aimé rendre sa vie belle sur la terre, et oublier de son éternité, à laquelle il n’essaie d’ajouter rien de doux et de saint, pas même ce qui passerait entre ses doigts, car cela ne vas pas ainsi à Dieu, à Celui Qui a fait le ciel, la terre et l’homme.

Un homme avait deux fils, et le plus jeune lui a demandé la part des biens qui devait lui revenir, et après l’avoir ramassée il est parti avec elle loin de son père et il l’a dissipée en vivant dans la débauche, jusqu’à ce qu’il se trouva dans le besoin, dans la cité frappée de la famine, où il n’a plus trouvé de l’aide, même s’il s’est mis au service comme mercenaire, pour garder les pourceaux, car personne ne lui donnait même des carouges que les pourceaux mangeaient. Etant rentré en lui–même, ce fils s’est rappelé que son père aussi avait des mercenaires, et il s’est levé pour aller dire à son père qu’il a péché comme un fils indigne, mais qu’il le reçoive comme un mercenaire, pour servir et pour avoir de la nourriture pour cela. Et s’il avait pensé ainsi, son père l’a senti de loin, et il s’est rempli de pitié pour lui, pitié qui l’a vaincu, l’a comblé de compassion et il est allé au devant de lui en l’embrassant, quand il est rentré, et lui , il a reconnu sa faute et sa faiblesse, et son père lui a fait grâce, et a ordonné de faire grand et riche festin pour le fils endolori par ses faits, fils que le père nommait un mort résuscité, perdu et retrouvé ensuite.

Oh, les fils, conduisez vous comme les fils. Apprenez de cette parabole de ne pas vous conduire comme les serviteurs, pour que votre cœur ne sois pas comme celui du frère aîné de cette parabole, celui qui a osé montrer son cœur et dire avec amertume à son père: «depuis de tant d’années je te sers sans transgresser ton ordre et tu ne m’as jamais donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis, mais pour ce fils qui s’est séparé, tu as tué le veau gras». Oh, quel manque de douceur à ce fils, qui se sentais comme un serviteur sous ordre, mais auquel revenait tout le bien de son père, après être devenu le seul héritier, car pour le fils rentré comme mercenaire, il n’est rien resté de la fortune, mais il est rentré humblement pour devenir mercenaire de son père et de son frère aîné, mais la joie pour sa rentrée devait être pour son père, joie que seulement le cœur de père puisse connaître, mais frère pour frère est trop faible, quant il s’agit de droits.

Oh, il y a beaucoup à apprendre de cet exemple de sagesse, car Dieu est très doux, et Il veut qu’ils prennent de cet esprit tous ceux qui Le croient et L’aiment comme des fils, pas comme des serviteurs, puisqu’une sorte de conduite ont les fils, et toute autre les serviteurs.

Oh, fils élevés d’en haut par Ma parole sur vous, oh, apprenez de ces leçons, les fils. Les fils sont doux et chauds, tendres et aimables envers les parents et les frères, et les serviteurs sont froids, ils sont pour être payées et ils se conduisent comme sous le pouvoir du maître, et les maîtres ne sont pas aimés, car c’est ainsi que l’homme sait se conduire. Mais les fils savent ce que c’est le père et le cœur de père et ils respectent leur père et le consolent avec de la douceur et de la chaleur, douceur plein de la tendresse du cœur, tout comme les données de la nature de leur père pour eux, pour les fils. Oh, conduisez vous comme les fils tout le temps, en tout moment, car les employés sont froids, et l’homme a besoin de charité, de miséricorde, de chaleur de la part de son père, et si son comportement envers son père est froid, alors celui-là n’a pas ce qu’un père a, il n’a pas de chaleur il n’a pas de charité. Dans la parabole mentionnée aujourd’hui on voit le manque d’amour et la froideur envers le père du fils aîné, qui se sentait serviteur sous ordre face à son père, et s’est montré cœur sans charité, sans douceur pour le père et pour le frère échoué.

Oh, les fils, se sentir serviteur et pas fils du Seigneur, cela se voit de la conduite de l’homme, de la manière qu’il reçoit la veille sur lui. Le fils désobéissant de l’exemple d’aujourd’hui se sentait fils, mais celui obéissant parlait comme un serviteur, pas comme un fils, pas comme un frère. L’aîné se conduit comme un serviteur, mais avec des mécontentements de fils, et le cadet et en faute, il est venu comme un fils fautif chez son père, mais content d’être mercenaire, à condition qu’il soit de nouveau auprès de son père, et voilà quel bon et grand enseignement garde Mon Evangile, citée aujourd’hui par l’ordre de l’église. Oh, si l’homme apprenait à reconnaître le Seigneur comme père pour lui, il serait enfant de Dieu, et les enfants sont veillés, et malheur à eux s’ils ne seraient pas surveillés et s’ils s’habitueraient ainsi ensuite! Et les grandes personnes sont ceux qui ne sont plus surveillés, et malheur à eux pour cela, car ils s’habituent comme ça ensuite, et ils ne sentent plus d’affection pour le Seigneur, pour le Père, et voilà, et tout homme doit se demander quelle est sa position face au mystère de fils de Dieu, et de toute cette œuvre et ce sentiment.

Oh, les fils, prenez soin comme des fils, prenez soin de Ma descente chez vous. Avant tout autre travail, faites attention quand Je viens chez vous, prenez soin de Moi, les fils. Soyez travailleurs pour briller en travaillant. Ceux sans travail ne brillent pas, et vous savez cela, car c’est cela que Mon Evangile apprend à l’homme.

Moi, le Seigneur, Je vous donne maintenant, les fils, Je vous donne de l’esprit rafraîchi et du pouvoir frais, en vue de la prière pour vous et pour le pays, les fils, et pour tous ceux de la terre, grands et petits. Demandez d’un cœur suppliant la paix entre les hommes de la terre, et entre ceux qui se sont établis maîtres sur les hommes. Demandez la présence du Seigneur sur tout, les fils, et soyez pleins de foi dans la prière, car la foi de l’homme peut tout, foi par laquelle Dieu travaille et peut agir.

Oh, paix à vous, les fils! Que vous croissiez par toutes vos actions comme des fils. Que vous soyez Mes fils, par tout ce que vous faites, oh, les fils. Amen, amen, amen.

08-02-2015