La Parole de Dieu à la Fête de la Naissance du Saint Jean le Baptiste

Ma parole est comblée de désir saint, et ce désir de Dieu a été et il l’est encore grand et lourd, tout comme grand et lourd il paraît à l’homme l’accomplissement de la volonté sainte sur la terre, car il est écrit avec du feu sur la pierre la sainte volonté, que l’homme aurait dû établir sur la terre par ses actions, par sa vie pleine de désir saint envers Dieu, oh, et il ne devrait pas que l’homme fasse autrement sur la terre, autre chose que la volonté sainte, le travail des commandements de la vie, ceux qui disent à l’homme de ne pas faire le mal sur la terre, de ne pas fouler aux pieds la parole de Dieu sur lui, oh, et qu’il serait beau l’homme s’il savait par cœur, s’il n’oubliait pas, s’il se faisait de soucis pour ne pas transgresser la parole de la vie, tel que Je lui ai envoyé à accomplir sur la terre, et Je l’ai appris la vie, Je lui ai dit de ne pas tuer, de ne pas dérober, de ne pas porter de faux témoignages, de ne pas tomber vers la débauche, de ne convoiter rien de ce qui ne lui appartient pas, et Je lui ai dit d’avoir dans la mémoire ces choses-là pour l’aider à ne pas les transgresser, car elles sont sorties de la bouche de Dieu pour l’homme.

Oh, paix à vous, ouvrez-Moi pour Me faire parole, fils qui veillez pour que Je vienne à vous en parole, et pour que vous la mettiez sur la voie, afin qu’elle aille des extrémités aux autres extrémités, fraichement sortie de la bouche de Dieu, nourriture chaude, les fils, la parole de Dieu au-dessus de la terre maintenant, à la fin du temps!

Nous avons jour de fête, pour l’apôtre Jean le Baptiste, jour de sa naissance sur la terre, entre les hommes, et les armées de saints et d’anges sont en fête, les fils. Dieu lui a frayé chemin et naissance afin qu’il vienne sur la terre, cet homme déifié, dès le sein de sa mère, puisqu’il était prophétisé de venir et de M’ouvrir la voie vers les hommes, et il l’a fait, en préparant les hommes pour le repentir et pour la foi dans le fils de Dieu, Celui Qui vient vers eux avec Son royaume. Oh, seulement les humbles, les très humbles peuvent M’aider, peuvent Me comprendre par l’humilité de leur raison, ceux sont eux seulement qui puissent être avec Dieu, et pour Dieu, mais autrement l’homme Me donne de la peine, il M’empêche d’avancer avec le fruit attendu par le Père, et par les saints à accomplir, oh, car c’est seulement des chrétiens inaccomplis que J’ai portés sur Mes épaules, et J’ai mal partout, et Mon esprit pleure, il pleure en silence et sans guérison, et Ma parole est tout un feu, tout un désir saint, qui Me brûle toujours, et Je Me fais parole de désir saint au-dessus de la terre.

Il y en a eu beaucoup de ceux qui ont cherché de s’approcher de ce feu, pendant tout ce temps depuis qu’elle coule de Ma bouche la parole sur la terre, ayant ici sa source, mais ils n’ont pas pu comprendre l’esprit de la constance ceux qui Me cherchaient ici, auprès de Ma source de parole. Oh, à côté de ce feu, près de ce lieu où travaille le feu de la divinité tout comme alors, sur la montaigne, lorsqu’on a écrit avec du feu sur la pierre la parole de la vie, les commandements de la vie, oh, tout aussi auraient dû demeurer et vivre ici seulement ceux qui puissent se tenir soumis à Mes volontés toujours, montrant pleinement du sacrifice saint et pur pour Ma marche d’aujourd’hui en parole au-dessus de la terre, au-dessus des multitudes, les fils, pour que J’aie du fruit si Je marche.

Il a jeûné alors Moïse quarante jours pour se tenir devant Moi, et prendre Ma parole écrite avec du feu, et la porter pour être accomplie de l’homme ensuite. On a jeûné maintenant aussi quarante jours pour préparer Mon vase dans lequel Je versais Ma parole, pour la faire entendue et écrite, oh, et qu’elle a été grande Mon inclination pour Me frayer le chemin, en vue de la mise de la parole de Ma bouche sur la terre maintenant, quand les hommes transgressent les commandements de la vie, tout comme durant tous les temps de la terre avec des hommes sur elle.

L’homme se fait beaucoup de mal par la transgression des commandements de la vie, et le mal s’amasse et il vient sur l’homme ensuite, et Moi, le Seigneur, Je vois cela, et il n’est pas arrivé aucun mal sur l’homme et sur la terre, sans que J’exhorte d’abord au repentir et au redressement ceux qui se préparaient des temps d’ennuis par leur éloignement de Dieu, et ensuite il venait le désastre sur tous ceux qui ne se corrigeaient pas. Voilà, maintenant aussi, Je crie toujours à l’homme et à ceux qui sont en train de diriger les hommes, parce que Je vois ce qu’ils s’attirent tous par leur éloignement de Dieu. C’est à cause de la débauche existante sur la terre, qu’il est venu le déluge et ils ont péri tous les hommes et tous les êtres, oh, et cela parce que personne ne s’intéressait plus à Dieu entre les hommes, et il n’y avait plus de voix s’élevant vers le ciel, mais seulement de la débauche.

J’annonce maintenant aussi au-dessus de la terre, Je le fais Moi-Même, et Je dis qu’on a besoin de grande repentance, de grand cri vers le ciel, de prières brûlantes de la terre vers le ciel. L’indifférence à l’égard de son âme est le plus grave péché qui peut perdre l’homme, le plus dur châtiment que l’homme attire sur lui, petit à petit. Oh, parle, chrétien, avec ton âme aussi, elle attend que tu prennes soin d’elle, puisqu’elle est éternelle, et ton corps ne l’est pas. Oh, ne dors plus, car il est venu le temps pour grande veille et beaucoup de sainteté, et l’homme qui dort beaucoup ne peut être un homme saint, car la chair ne le laisse pas, il aime son corps, pas l’éternité, celle qu’on obtient par la sainteté en œuvre toujours et beaucoup.

Oh, heureux celui qui voit sa bêtise, lorsque sa raison l’aide à la voir et s’en humilier à temps, puisque le plus souvent il est si tard, si tard, parce qu’on s’amasse au diable trop de bêtises, l’une après l’autre trop de bêtises de la raison de l’homme, celui qui ne s’humilie pas à temps, ou durant toute sa vie.

Le chrétien mesure son frère et le voit plus pécheur, plus coupable que lui, c’est pourquoi il ne prépare pas de tout son cœur, par toute son œuvre, sa belle conduite devant Moi, et ses semblables, mais par contre, il se fait lourd pour l’autre, oh, il n’a pas peur de le faire du moment qu’il a comme défenseur l’amour de soi, celui qui est en réalité son dénonciateur devant Dieu. Mais qui puisse croire cela? Oh, il ne le croit pas, à cause de son aveuglement venu de l’amour de soi, c’est pour cela qu’il ne croit pas.

Quand l’homme ne voit plus avec ses yeux, il va s’acheter des lunettes pour bien voir. Mais la présomption c’est le plus grand aveuglement de l’homme, et pourtant, pour en guérir il ne cherche pas de lunettes, afin de voir la bêtise de sa présomption.

Mais comment faire pour que l’homme comprenne cet aveuglement: la présomption. Oh, les fils, les fils, les impulsions vives de la nature, du cœur, de la bouche ensuite, naissent de l’esprit de présomption, lorsque l’homme oublie qu’il est pécheur et incapable de faire le bien devant Moi, et il se met à montrer son épée à celui qui ne lui convient pas, et Moi, le Seigneur, Je passe alors comme impuissant, Je suis mis de côté avec Ma vue, et l’homme Me dit qu’il sait lui ce qu’il fait, ce qu’il dit, ce qu’il travaille, et c’est ainsi qu’il se fait dieu pour lui–même, en décidant à l’égard de son être. Oh, ce n’est pas ainsi que Dieu a fait sur la terre, ce n’est pas ainsi qu’Il a fait Celui Qui a bâti l’homme, Celui dont l’homme ne tient plus compte quand il donne libre cours aux impulsions vives de sa nature, de son cœur, de sa langue, à l’esprit de la présomption en œuvre dans l’homme, les fils, et Moi, Je viens en parole sur la terre, et J’exhorte à la repentance ceux qui choisissent la voie vers Dieu avec leurs pas, et ne savent pas de quel façon soit leur marche.

Oh, chrétien qui désire aller sur la voie avec Moi, observe-toi, tel que Je t-observe Moi. Demande-toi si tu aimes Dieu ou c’est toi-même que tu aimes. Oh, dans la mesure où tu dors, dans la mesure où tu manges, selon la quantité de choses que tu amasses sur la terre pour en avoir, selon ton inclination devant les autres pour l’esprit de l’humilité intérieure envers Moi, selon la qualité et la quantité de ta parole, selon la qualité et la mesure de ton obéissance, selon l’attention que tu prêtes à ton aspect extérieur, selon tous cela et d’autres comme celles-ci, on peut se rendre compte si tu aimes Dieu et combien, puisque, soit confient à ce que Je te dis, tu dois de tout ton entier aimer Dieu, si tu l’aimes, de cette façon et toujours, pas seulement de temps en temps, pas seulement quand tu le veux.

L’homme a besoin de beaucoup de choses, beaucoup et toujours, et pour cela il travaille toute sa vie sur la terre. Et maintenant Je Me tiens devant toi avec Jean le Baptiste, homme, car il a été autrement, il a pu être autrement, c’est l’esprit de Dieu Qui a habité en lui, pas son esprit, pas sa vue. Il n’a pas vécu sa vie pour lui sur la terre, mais pour Dieu et pour les hommes, jusqu’au sacrifice total. Oh, s’il te restait quelque chose de tout ce que tu fais, de tout que tu amasse! Oh, tu n’a pas quoi montrer à Dieu, homme, au moment de ta rencontre avec Lui, après le chemin de ta vie sur la terre.

Oh, les fils, aimez être timides, être beaux, être saints. La timidité sainte, céleste, tu ne peux démontrer l’avoir que si tu l’as envers les frères, comme devant des êtres de grandeur céleste, et si seulement tu as besoin de ces êtres magnifiques pour toi, face à face avec toi, et autrement tu ne peux souhaiter d’être timide, tu ne pourras te ressembler à ceux du ciel, qui s’inclinent tout le temps, les uns devant les autres, car ceux du ciel ont la timidité comme leur œuvre.

Oh, les fils, les fils, gardez vos mains propres, pour la chair et pour l’esprit, afin que le diable ne puisse vous enlever de Mon royaume avec vous, car il est votre ennemi et il vous apprend de ne pas être propres avec les mains et avec le cœur, avec l’action, les fils. Oh, si vous ne réussissez pas de vous humilier, d’avoir le cœur pur envers Dieu et les semblables, pour ne pas vous cacher avec des choses que satan vous exhorte à faire lorsque vous êtes seuls, oh, n’allez plus seuls, ne vous tenez plus tout seuls, ni pour une seconde, d’aucune façon, les fils, car il est dangereux de vous mettre à l’épreuve avec l’esprit de l’hypocrisie ensuite, tel qu’il l’a fait Adam dans l’Eden avec Dieu, Qui l’a examiné, après sa désobéissance à la parole de Dieu mise sur lui.

Oh, soyez le cœur pur, et si vous ne le pouvez pas, au moins n’allez plus, ne restez plus seuls, pas même pour un moment, les fils, car la marche sans compagnon c’est une piège mise chaque fois, par satan, pour t’aider à tomber dans la faute, pour faire ta volonté en cachette, et si ensuite tu n’acceptes pas de bon cœur la coulpe que l’autre te montre, dirigé par Mon esprit, Celui Qui travaille du ciel et d’auprès de toi, oh, tu n’as pas l’étoffe de chrétien, même si tu prononces toujours des paroles d’humilité, de repentir, mais c’est toi qui les dit, et ce n’est pas difficile pour toi, car l’homme est indulgent avec lui-même, mais procédant ainsi sa stature pour la marche avec le Seigneur ne progresse point, mais seulement s’il se laisse toujours formé avec de l’humilité dans son cœur, à chaque épreuve qui se présente à lui.

Oh, les fils, prenez soin de votre foi en Moi, et dans Ma parole, puisqu’il y a de grands orages qui viennent de partout, et on va parler d’elles pour savoir comment nous en abriter et protéger, les uns les autre, pour la foi, pour vous avoir dans la foi les fils, pour que vous n’affaiblissiez pas la foi de ceux qui croient, les fils. Quand tu essaies de faire le chrétien perdre sa foi, affaiblir sa foi, tel qu’ils l’ont fait les uns vers les autres, ceux qui se sont arrachés de Mon bateau et sont tombés au milieu des vagues, oh, ce péché va peser lourd pour toi, tellement lourd, beaucoup plus lourd que si tu avais pris la vie du corps de celui que tu as fait chanceler dans la foi.

J’ai pris grand soin pour que Mes disciples ne perdent pas leur foi, ne doutent pas de Moi dans les épreuves difficiles qu’ils allaient traverser, et J’ai prié le Père pour leur foi et celle de leurs chef, car J’ai dit à Pierre qu’il affermisse ensuite la foi des autres qui sont allés avec Moi trois années et demie, et ils ont vu Ma gloire, peu comprise par eux alors, car l’homme est trop impuissant pour Dieu sur la terre.

Oh, les fils, Cherchez d’affermir votre foi, vous, et ceux avec lesquels vous allez sur la voie, et que cela soit pour vous une grande œuvre, en vous aidant pour elle avec tous ce que Je vous ai démontré, que Je suis avec vous, que J’accomplis avec vous et que Je vaincs pour vous, que Je peux prendre soin de vous si merveilleusement, de vous et de Ma marche avec, et vous, affermissez votre fidélité pour vous tenir avec le Seigneur sur la voie, et L’aider pour la marche, afin que cela s’ajoute pour ceux qui ne sont pas restés jusqu’à la fin, pour aider à Ma marche et à Mon grand travail.

Oh, les fils, parlez seulement, seulement comme dans l’église pour les choses d’entre vous, et évitez de parler autrement, séparés deux par deux, puisque cela c’est un péché, une mauvaise habitude, qui montre du mépris envers les frères, les fils, oh, et croyez ce que Je vous dis. Priez sans voix, chantez, regardez vers le ciel, mais ne prenez pas l’habitude de mesurer de l’extérieur les choses d’entre vous, car voilà, c’est pour cela qu’ils ne sont plus restés ceux qui n’ont pas voulu de vous, et sont partis car ils ont médit avec mécontentement, avec accusation vénéneuse, ou bien pour l’esprit de leurs faiblesses, vers lesquelles ils ont glissé et ils ne se sont plus redressés ensuite, et vous, faites attention de veiller si vous savez tout cela.

Oh, les fils, gardez-vous du diable! La mouche se met à table avec l’empereur et picore de ses assiettes, et on n’a pas la possibilité de l’en arrêter, car le diable est esprit tout comme Dieu, et vous, sachez cela et gardez-vous de lui donner à manger, du moment que vous connaissez son hardiesse et son œuvre. Apprenez de l’empereur David qui a dit: «Celui qui dénigrait en secret son prochain, celui-là je l’ai chassé», oh, et il s’humiliait l’empereur en disant: «Je suis près de tomber, et Ma douleur est toujours devant moi, car je connais mon offense, je la confesse, et je suis dans la crainte à cause de mon péché, mais, ne m’abandonne pas, Seigneur, ne T’éloigne pas, et viens à mon secours!».

Jean le Baptiste est glorifié par les puissances célestes au jour de la mémoire de sa naissance sur la terre, oh, et qu’elle a été chère pour lui Ma parole avec vous les fils, et combien s’est-il réjouit et consolé avec tous les saints, et il vous présente maintenant son salut d’auprès de Moi, il écrit sa parole, pour qu’elle reste, et qu’elle témoigne, et vous, les fils, prenez-en et apprenez, les fils.

— Oh, Bon Maître, Le leur et Le mien, que l’œuvre de la repentance leur soit toujours très chère, qu’ils n’oublient pas de cette belle qualité de l’homme saint, et que les choses de la terre n’asservissent pas leur cœur, dans lequel doivent avoir grande place seulement les choses célestes, celles qui resteront, Seigneur, car Tu leur ai dit de faire l’aumône sur la terre pour ceux qui sont morts riches en choses terrestres, et qui n’ont rien maintenant, et ils ont besoin de prières, venues de la terre pour eux, de la part des pauvres matériellement, de ceux qui sont beaux devant Toi, pleins toujours de l’esprit de la repentance et de l’humilité, tel que Je l’ai toujours été moi sur la terre. Oui, Seigneur, j’ai toujours eu l’esprit du repentir en moi, et j’ai partagé aux hommes ce que j’avais moi, et qui pourrait donner à quelqu’un ce qu’il n’a pas?

Oh, on a besoin de beaucoup de prière de la terre vers le ciel, maintenant plus que dans tous les temps d’entre la terre et le ciel, et c’est seulement ceux pleins de l’esprit du repentir saint qui puissent faire cela, oh, les fils, fils du Christ la Parole, car elles doivent s’accomplir les prières venues de la terre, et le temps si mauvais et dangereux pour l’âme à ce moment, voilà, il demande cela, et le Seigneur vous a établis des prieurs envers Lui pour la victoire contre l’esprit de satan, qui a pris la terre sous l’action de ses coups, et les hommes de la terre ne connaissent pas le danger qui les entourent à tout moment de partout, par ceux qui ne peuvent pas entendre que la terre appartient à Dieu, et que Dieu c’est le Maître éternel, que c’est Lui le Créateur, pas l’homme, et l’homme n’a rien, mais il peut avoir tout, par l’esprit de la repentance, l’esprit qui tient l’homme comme royaume de Dieu sur la terre. Amen.

— Oh, Mon grand disciple, Moi, le Seigneur, J’ai été tout ce que tu as eu sur la terre, et tout ce que tu as été, parce que c’est pour Moi que tu as dû être né entre les hommes, et annoncer Ma venue, Ma voie et Mon œuvre? Paix à toi avec le ciel, voilà Mon souhait pour toi, en ton jour de fête, entre les saints!

Toi, peuple de Ma parole, cherche de bien savoir ta vie avec Moi, comment l’avoir et la garder la Mienne, et non pas la tienne, car il te regarde Jean le Baptiste et il voit ta grandeur celle venue de Moi, et toi, tu as besoin de beaucoup d’humilité, de beaucoup de repentance pour tous les temps où celles-ci n’ont pas travaillé dans les hommes, et, encore, il te faut beaucoup et entière foi, et que ton travail soit dans leur service, car je veux pouvoir agir par toi, tel qu’Il a pu et Qu’Il peut par Moi, Mon Père, et J’ai besoin de ta vie à Mon service, J’en ai besoin jusqu’à Ma victoire, pour M’aider avec ton obéissance constant, et selon Ma volonté obéissance, afin que Je puisse te donner en œuvre Ma volonté.

Paix à toi! Travaille Ma volonté, Mon peuple! Paix à toi, et attention sainte de ne pas Me faire de douleurs, et que tu fasses toujours seulement Ma volonté, que tu te tiennes toujours sous Ma volonté, toujours, que tu fasses toujours Ma volonté sur la terre, oh, Mon peuple! Amen, amen, amen.

07-07-2020