La Parole de Dieu à la fête de l’Assomption de la Vierge Marie, Mère de Dieu

Je M’arrête avec les saints en fête de parole et Je passe le temps avec eux comme au ciel ici, où J’ai choisi maintenant, à la fin du temps, le lieu de Mes œuvres sur la terre, le lieu de la venue de Ma gloire entre les hommes, et Ma gloire c’est la parole, tout comme au commencement, lorsque J’ai fait le ciel et la terre avec la parole.

Je M’installe maintenant avec fête céleste ici. J’ai les suites célestes avec Moi, J’ai les armées célestes qui M’accompagnent à grande gloire. Oh, quel bonheur pour les anges ! Ils ont le Seigneur ici et ils se tiennent avec Lui, dans l’espace couvert de blanc, sous la tente blanche, où Je Me réunis avec vous et avec Mes saints, oh, petits anges du firmament. Vos petites ailes vous tiennent ici maintenant, et votre vol se repose sous la gloire de ce jour de sainte fête. Voilà Mes disciples venus avec Moi ici, à la fête pour Ma mère la Vierge, tout comme il y a deux mille ans, lorsqu’elle a été conduite par eux vers les salles célestes et angéliques. Voilà la chaise de chérubins, sur laquelle elle est portée dans l’air de cette fête.

Ma gloire et a tienne, oh, Ma mère, c’est cette gloire qui est fêtée aujourd’hui. Ceux qui ont voyagé pour Notre rencontre avec eux ici, Nous accueillent comblés de désir saint, sous le blanc de la tente. Mes disciples se tiennent d’une part et de l’autre de la suite de la gloire de ta fête, mère glorieuse, car ton humilité a été toute une gloire sur la terre pour ceux du ciel, qui regardaient ta grandeur, oh, Ma mère.

Oh, paix à vous, à ceux du ciel et à ceux de la terre, rassemblés à sainte fête en ce lieu préparé pour Ma gloire! Je suis le Seigneur Jésus-Christ, le Fils du Père Sabaot et de Ma mère la Vierge. Qu’elles entendent les puissances des ténèbres Mon nom prononcé par Ma propre bouche, et qu’elles en tremblent et prennent peur de Ma lumière, que les ténèbres ne peuvent pas comprendre.

Oh, paix à vous, fils et filles de la foi sainte! Vous vous êtes rassemblé ici sur des nuages de parole, car J’ai envoyé vers vous Ma parole, qui vous a annoncés, et vous a bénis et vous a rassemblés ici. Je M’incline devant votre zèle pour ceux du ciel avec lesquels Je viens sur la terre maintenant. La terre devient ciel là où Je M’arrête et Je travaille avec Mes saints, avec Ma gloire céleste et avec table de parole. Oh, si vous n’aviez pas de foi en Ma venue en parole sur la terre, Je ne pourrais pas mettre table de parole sur la terre. Oh, quelle grande merveille c’est la foi! Celui qui croit en Ma venue parole sur la terre, celui-là est un faiseur de miracles, elle amène Dieu sur la terre avec table de parole. Ils ne sont pas malades à la tête ceux qui croient ainsi, mais ils sont malades tous ceux qui ne croient pas et qui occupent leur raison avec les choses qui passent et ne sont plus, car c’est comme des chimères qu’elles passent, mais Ma gloire ne passe pas, et elle est avec ceux qui croient et qui obéissent à Dieu, et il est facile pour Moi de passer avec eux sur la terre comme au ciel, et voilà, Je fais conseil avec vous sur la terre, et c’est une grande merveille que cette merveille.

Oh, prenez soin de vous aimer les uns les autres tel que Je vous aime Moi, car Je vies avec le ciel à vous et Je vous aime avec lui. Faites vous de même, venez les uns vers les autres avec le ciel en vous et aimez-vous les uns les autres de cette manière, car un autre genre d’amour n’est pas amour, puisque l’amour vient seulement du ciel, car son lieu c’est le ciel. Prenez soin de faire de vous demeure céleste pour que l’amour habite en vous, car son lieu c’est le ciel. Lorsque vous ne vous aimez pas les uns les autres avec beaucoup de désir saint en vous, avec beaucoup de ciel en vous, l’amour n’est pas en vous, mais cherchez-le et prenez-le en vous, ne restez pas sans amour, ne restez pas sans cette merveille en vous, car on a besoin de beaucoup de lumière sur la terre. La terre est déserte de lumière et il y a une profonde obscurité sur la terre, tout comme au début lorsque l’Esprit du Seigneur Se portait au-dessus des eaux et quand Dieu a dit: «Que la lumière soit!» et la lumière s’est faite, et Dieu a séparé la lumière d’avec les ténèbres et Il a nommé la lumière jour, et les ténèbres Il les a nommées nuit, et Dieu a fait ensuite le ciel et la terre. Voilà, tout d’abord on a besoin de beaucoup de lumière sur la terre, et ensuite le ciel nouveau et la terre nouvelle. Ne restez pas sans amour en vous, sans ce miracle en vous, car on a besoin de beaucoup de lumière sur la terre, et personne n’a pu faire ce miracle sans avoir beaucoup d’amour en lui.

Oh, combien sages doivent être ceux qui ont de l’amour, même s’il est plein de sa flamme! Qui sur la terre a été plus sage que Ma mère la Vierge? Personne ne l’a pas été comme elle. Oh, Ma chère mère, personne plus sage que toi n’a plus existé sur la terre, personne, sauf toi et Moi, Ma mère. Oh, qui t’a donné tant de beauté? Dis-le Ma mère, oh, dis-le toi-même! Amen.

— La souffrance, cher Fils, voilà la parure de mon âme, c’est elle qui m’a tellement embelli, c’est elle qui m’a appris à être sage pour elle, à la porter modestement, pour être la plus belle, mon cher Fils. Oh, qui entre ceux venus de la terre au ciel pourrait croire que l’homme beau est celui comblé de bonheur sur la terre entre les hommes? Oh, ce n’est pas ici qu’on peut connaître la beauté de l’homme, ici où tout se fane et puis n’est plus, mais elle peut se mesurer seulement ensuite, seulement après que les faits de la vie de l’homme se mettent en lumière pour être mesurés, et les faits de la vie sont ici, sur la terre.

La souffrance a été ma sagesse, mon cher Fils. Dès mon enfance le Père m’a partagé de la souffrance et Il m’a crû par elle et pour elle, pour que je Te ressemble en tout, mon Fils Jésus. Tu as souffert dès le temps où je Te portais petit Enfant dans mes bras, Tu as souffert ensuite jusqu’à la croix, et Tu as souffert dans le ciel ensuite jusqu’à présent, et jusqu’à la fin Tu auras à souffrir, puisque le bonheur de l’homme tombé du paradis demande cher payement, il demande de la souffrance pour Dieu, mon cher Fils, et cela parce-que c’est Dieu Qui a bâti l’homme. Quand l’enfant produit un dégât à quelqu’un sur la terre, c’est lui qui souffre quelque honte, quelque souffrance? Oh, non, mais c’est son père qui en souffre, c’est sa mère, et si l’enfant reçoit une punition les parents souffrent encore plus douloureusement.

Voilà la souffrance c’est de la sagesse, elle maintient sage celui qui souffre, et qui a été plus sage que moi et Toi, mon cher Fils? car c’est la souffrance que Tu es venu porter sur la terre. Tu as souffert dans le ciel avant de venir, Tu as souffert ensuite tout le temps sur la terre, et Tu as souffert encore dans le ciel avec le Père, avec moi et les saints, et nous souffrons pour l’homme, mon Fils Jésus. Je me console dans la souffrance, je me console avec l’amour pour Toi, car l’amour de Dieu c’est le désir saint le plus consolateur pour celui qui connaît ce mystère de la consolation, celle venue des lieux très haut, et voilà pourquoi j’ai été si sage, moi, et il y en a beaucoup qui pourraient être de même, s’ils peuvent comprendre le désir saint de cette consolation, la plus haute consolation pour ceux qui aiment en souffrant avec amour et en espérant fortement dans les jours de l’éternité, le siècle sans fin, le siècle qui va venir, mon cher Fils.

Je parle à vous maintenant, à vous, ceux réunis pour mon jour de fête ici, sous la gloire du Seigneur. J’ai parlé avec mon Fils Jésus–Christ, Celui plein de la gloire de la souffrance celle pour l’homme, et je parle maintenant à vous, en vous conseillant vers cette gloire, gloire comme la mienne, la gloire de la souffrance, l’amour sans pareil dans l’homme. Que personne ne croie plus et ne dise plus que l’amour c’est de la joie. Il est la souffrance qui languit dans l’homme pour le siècle éternel, pas pour les choses qui passent et qui ne sont plus ensuite. Oh, soyez sages, soyez sages vous aussi par cette beauté de l’âme, par la souffrance de l’amour, amour pour ceux du ciel et pour Jésus-Christ, mon Fils. Il ne peut mesurer votre amour que par la souffrance et par sa sagesse en vous. Ne vous fâchez pas quand vous souffrez, soyez sages, sages comme moi je l’ai été, et soyez beaux, beaux comme je l’ai été par la souffrance. Amen.

Je vous conseille maintenant comment chercher l’amour de Dieu. Il doit être bâti en vous, mais il faut se renoncer pour cette demeure, pour que l’amour se fasse demeure en vous, votre demeure ensuite. Oh, les fils, si quelqu’un que ton âme n’aime pas te parler de l’amour, de son chemin vers toi, et de ton chemin vers lui, mais tu ne peux recevoir dans ton âme celui qui veut t’en faire part, à qui la faute entre toi et lui? Oh, c’est à ton manque d’amour la faute, car mon Fils n’a pu faire aucun miracle là où personne ne brûlait pour la résurrection pour une vie vivante en lui, et voilà, l’homme prend de la vie du lieu qui lui convient, qui lui tombe bien, il ne prend pas de ceux qui donnent de la vie, tel qu’Il le fait mon Fils Jésus-Christ. C’est l’amour celui qui maintient la vie dans l’homme et l’homme en vie, et autre sorte de vie est telle que l’homme prend pour lui, pour l’avoir comme il veut, et moi je vous apprends, comme pour moi-même et je vous apprends la vie du Seigneur en vous. Pouvez-vous L’avoir Lui seul de vie en vous? N’oubliez pas qu’Il vous a dit de Lui que: «C’est Moi la Voie, la Vérité et la Vie». Oh, n’oubliez pas cette parole de lui, car elle est grande la parole de Dieu et nous devons Lui obéir tel qu’Il a dit le Père: «C’est à Lui que vous devez obéir!». Oh, n’oubliez pas d’être Son peuple, car il est écrit: «Heureux le peuple auquel le Seigneur est son Dieu, peuple qu’Il a élu comme Son héritier». Mais voilà, vous devez aussi aimer et chercher la terre choisie pour Dieu car l’homme doit apprendre de nouveau le chemin vers l’Eden, et tout se réalise avec grande préparation, avec marche sainte, avec foi et réunion auprès du Seigneur, de Sa bouche, tel qu’Il avait donné à l’homme alors qu’Il l’a bâti.

Voilà ici la terre du Seigneur. Son héritage, tout comme le peuple qu’Il a choisi pour Lui. Soyez réservés lorsque vous venez, soyez timides, les fils. C’est avec timidité que je marchais sur la terre, qui se sanctifiait sous mes pas timides et tressaillait en se consolant sous la sagesse de mon esprit. Oh, consolez le ciel et la terre, les fils. Tout d’abord on a besoin de beaucoup de lumière sur la terre, et ensuite le ciel nouveau et la terre nouvelle, travaillés par l’amour, car l’amour c’est la lumière avec laquelle le Seigneur a dit au commencement: «Que la lumière soit!» et la lumière fut à Sa parole, et Sa parole c’est amour, les fils.

Je m’incline et je vous remercie d’être venus à ma fête. Je vous donne de ma grâce, de l’esprit de ma sagesse je vous fais part de beaucoup de dons, si seulement vous sentiez leur parfum, si seulement vous les désiriez, celles que j’avais portées dans ma sagesse sur la terre. Paix à vous! Je vous en donne tout comme mon Fils. Amen.

— Oh, paix à toi, Ma mère! Leurs cœurs sont remplis de gloire, de douce nourriture, de désir saint, Ma mère. Que cette sainte semence trouve en eux de la protection et du soin, pour croître ensuite et devenir fleur chère, l’esprit de la sagesse, que tu as porté avec toi sur la terre, oh, Ma mère.

Oh, les fils, gardez avec douceur en vous et entre vous l’amour que Ma mère la Vierge vous a déchiffré. Recevez-vous les uns les autres, mais si vous ne vous désiriez pas entre vous tel que J’ai désiré que vous veniez à Moi pour faire la fête avec vous, vous ne vous recevriez pas entre vous avec douceur et désir saint, et vous ne pourrez pas savoir le moment où vous repoussez le Seigneur, alors que vous repoussez les frères. Au cœur des frères doit être le désir saint pour le Seigneur, et ceux-là peuvent être des frères entre eux, et des frères en Moi ensuite, et le désir saint envers Dieu restera en eux et le désir saint va les conduire et ils marcheront sur les sentiers du témoignage et des sentiments d’en haut, les sentiments d’amour, Mes fils.

Oh, venez à Ma rencontre avec vous, car Je prépare vos pas vers le jour de Mon dernier clairon et Je vous enseigne dès maintenant pour lui et avec lui. C’est ici le lieu de la venue de Ma parole sur la terre, et il n’est pas ce lieu comme les autres connus d’être des lieux d’adoration, et qui sont à portée de chaque passant, qui y laisse ses mauvaises habitudes, son esprit, ses pas sans ordre, qui restent partout avec esprit mondain, avec démarche mondain, terre foulée au pieds par ceux qui ne s’humilient pas face au Seigneur et face à la pureté des lieux dédiés au Seigneur car c’est l’homme qui sanctifie le lieu, et ce n’est pas le lieu qui sanctifie l’homme, et pour les choses gâtées dans l’homme, l’homme gâte le lieu, et le lieu gâte l’homme, tel que l’on peut voir partout sur la terre.

Soyez pleins de désir saint et d’amour quand Ma trompette sonne pour vous, pour porter vos pas vers Ma source de parole et Ma fête avec vous et avec ceux du ciel ici, les fils.

Voilà quelle douce fête au ciel et sur la terre! Je suis accompagné des armées célestes. D’une côté et de l’autre de Moi et de Ma mère la Vierge, à la table d’aujourd’hui, se tiennent Mes disciples, tout comme il y a deux mille ans à cette fête. Oh, le pays roumain est consolé tout autour par Ma mère la Vierge, et il est veillé avec son amour et sa protection, mais la plus douce terre pour le ciel de cette terre roumaine c’est ici, où Je mets table de parole, pour que ceux qui Me partagent aient quoi donner, à condition qu’il y ait de ceux qui prennent et qui vivent par Ma parole, ceux qui en prennent.

Oh, peuple roumain, que J’ai mal de voir que tu n’essaies pas d’entendre Ma voix qui pleure après l’homme sur ton foyer! Oh, église du peuple roumain, qu’elle est mondaine ta vie au milieu de ce peuple si froid dans Ma recherche! Oh, combien de temps pourras-tu encore te nommer église du Christ? Oh, combien te tromperas-tu encore à croire que tu peux te tenir selon ta volonté sous ce nom? Ouvre la porte et vois qui est celui qui frappe. Je frappe à ta porte avec le bâton, c’est avec Ma parole que Je frappe pour que tu sortes à Ma rencontre, mais tu vis à ton gré, en ton sang et ça Me fait mal quand Je frappe pour que tu M’ouvres, et toi tu ne Me reçois pas, mais tu fais semblant de ne pas connaître Ma voix de pasteur miséricordieux à ta suite. Oh, quelle trace suis-tu, église du peuple roumain? Tes ancêtres te voient du ciel et ils ne distinguent pas ton visage et tes pas. Oh, où vas-tu? Oh, jusques à quand? C’est avec douleur dans la voix que Je te demande cela, c’est Moi, le Seigneur Qui te le demande. Il est proche le jour où tu pourras voir clairement que c’était Moi cette parole sainte. Oh, quand Me serviras-tu à Moi et pas à toi, à Ma gloire et pas à la tienne, c’et alors que tu pourras guérir Ma plaie, celle venue de ta désobéissance, mais y aurai-t- il un si grand jour à venir de toi vers Moi? Est-ce que Je pourrai te dire un jour selon la vérité: Paix à toi, Mon église? Oh, cherche à te répondre sur ce que tu veux faire. Amen.

Je M’incline maintenant avec les armées célestes et Je mets Ma main sur vous et Je vous donne mystérieusement des forces du ciel pour votre voie sur la terre. Vous êtes rassemblées avec désir saint à Ma source de parole. Le désir saint envers Moi, c’est Moi qui vous l’accorde. Portez-le, les fils, et soyez sages par lui comme Ma mère la Vierge. Oh, soyez sages comme elle, car le désir saint c’est la souffrance la plus douce, la plus sainte entre Moi et vous et elle vous maintient les Miens, les fils. Comme l’oiseau qui gazouille de dessus c’est ainsi que Je vous ai donné Ma voix, Ma chanson de désir saint envers l’homme. Amen.

Oh, fils de la source, c’est le Saint-Esprit Qui parle au-dessus de vous et de ceux rassemblés ici. Envoyez-Le jusqu’aux extrémités de la terre, envoyez cette colombe pour porter Mon annonce partout. Je laisse Mon sceau sur vous pour que le mauvais esprit le voie et qu’il tremble devant vous, et vous que vous trembliez à Ma parole, en l’accomplissant avec désir saint, et Je trouverai en vous Mon plaisir, les fils, et Je vous déclarerai les Miens, porteurs de Dieu Je vous montrerai. Oh, paix à vous! Je fortifie vos petits corps, car vous êtes fatigués, et aujourd’hui vous avez à veiller et à travailler.

Moi, Je suis ici, Je suis ici avec vous, Mes fils. Amen, amen, amen.

28-08-2013