La Parole de Dieu à la Fête de la Croix Glorieuse

Je suis Celui Qui est, et Je suis Pasteur. Je suis le Pasteur Celui avec la croix, le Pasteur d’en haut.

C’est un jour de sainte fête, jour de la croix, fêtée dans l’église, fête qui est restée depuis le jour où la croix sur laquelle le peuple juif M’a crucifié à été sortie de la terre et a été mise sur la table en témoignage pour Moi entre les hommes, afin qu’ils croient, les grands et les petits, que le Seigneur est venu du ciel sur la terre, et qu’Il a vaincu la mort par la croix, si les hommes L’ont voué à la mort, et par la croix on vainc tout, tout ce qu’il y a à vaincre. Amen.

Oh, peuple de Ma parole, écrivons dans le livre pour apprendre comment porter la croix. Allons, les fils, mettons sur la terre Ma parole toutes les fois qu’elle vient et frappe pour que le Seigneur parle, car c’est par parole prononcée qu’on travaille tout, et c’est ainsi que Dieu a travaillé dès le début. Oh, ce n’est pas en vain que Je vous ai préparés pour que vous soyez Mon peuple maintenant, à la fin du temps, mais pour que J’aie un lieu préparé et de la foi en vous ensuite, afin de venir et laisser sur la terre Ma parole d’aujourd’hui, les fils. Lorsque Je viens et Je laisse de l’enseignement sur cette table, Je ne fais pas pour vous seulement cette charité, mais pour toute la terre, pour tout homme auquel Dieu a destiné de Me trouver ici et de Me prendre en lui, et de M’obéir ensuite avec sa vie, pour que Je puisse faire l’homme, le faire Dieu par la grâce, par Ma parole le faire, oh, les fils.

Oh, il y a beaucoup d’impuissance sur la terre chez les hommes. Il y a toutes sortes de maladies sur les hommes, mais la plus impitoyable de toutes est celle que l’homme supporte sans rien faire à cause de l’insouciance envers son âme, la maladie de l’incroyance, une maladie des hommes, car l’homme qui n’a pas la foi ou qui perd sa foi est plus à pleurer que l’animal dont le maître c’est l’homme.

Elle pleurait Ma parole, Il pleurait Mon Esprit par les prophètes et Il disait de Mon peuple Israël: «Le bœuf connaît son maître et l’âne l’étable de son maître, mais Israël ne Me connaît plus, Mon peuple ne Me comprend pas, car il a quitté le Seigneur, il L’a nié et Lui a tourné le dos, puisque leur tête est malade, et le cœur aussi, de la tête aux pieds il n’y a rien de sain». J’ai appelé Mon peuple au nom d’Israël. Peuple qui voit Dieu, c’est ainsi que Je l’ai nommé, mais il s’est laissé vers l’incrédulité et il en est devenu malade, et Je lui ai dit que les animaux n’ont pas cette maladie, et voilà, l’incrédulité est une maladie des hommes.

L’homme qui ne mange pas de Dieu, il n’a pas Dieu en lui. J’ai dit à l’homme qu’il ne doit pas se nourrir seulement du pain, mais avec toute parole qui sort de la bouche de Dieu, et il a choisi de ne pas manger de Dieu, de ne pas se faire Dieu par la grâce et s’asseoir à table avec le Seigneur, mais il a choisi de rester malade.

Oh, Mon peuple, oh, les fils, Je vous ai toujours conseillé de rester sur la croix et Je vous ai exhorté de ne pas couper de la croix, les fils. Comment l’homme peut-il couper de la croix? Il le fait toujours, mais il ne se rend pas compte de cela. Oh, les fils, c’est seulement le coupable qui est sous la croix. Celui qui coupe de la croix c’est celui qui ne connaît et ne reconnaît pas sa faute, mais il veut toujours s’en affranchir, il dit qu’il n’a pas de faute, et cela est devenu une habitude pour l’homme. Alors il coupe de la croix au nom de la justice, dit-il, et il le dit dans le désir d’être connu de juste, pour la honte d’être injuste, et un tel homme a honte de porter la croix et il ne ressemble pas au Seigneur, celui Qui n’a jamais dit à personne qu’Il n’était pas coupable, qu’Il n’avait jamais commis ce qu’on Lui reprochait par ceux qui L’auraient ensuite mis sous la croix, et sur la croix ensuite.

Je Me suis laissé sous la croix, et sur la croix ensuite, pour montrer à l’homme comment Me ressembler avec sa vie, surtout parce-que l’homme est coupable, lui. Toi, homme, tu ne devrais jamais te cacher de ta faute quand quelqu’un voit ta faute ou te parle d’elle. Tu n’es qu’un homme et tu te débarrasses de la coulpe, et Moi J’ai été Dieu et pourtant J’ai assumé la coulpe, Je ne M’en suis pas débarrassé devant personne, mais J’ai porté tout ce qui est venu vers Moi pour être porté et supporté, J’ai pu assumer la coulpe imposée, et par la patience J’ai vaincu la mort celle pour la coulpe, bien que Je fusse Celui sans faute, puisque J’étais du ciel, pas de ce monde, et Je n’avais rien de lui, ni lui en Moi.

Voilà, l’homme n’a pas d’humilité, il a de l’orgueil, il est très infatué de lui-même devant un autre homme, c’est pour cela qu’il ne reconnaît pas sa faute, et il a pris l’habitude de faire ainsi toujours et toujours. Oh, si l’homme voulait être comme Moi, il se réjouirait dans l’humilité et il chercherait d’être porteur de coulpe et d’être humilié par elle. Oh, c’est seulement pour Dieu l’humilité et la soumission, car pour que l’homme ne soit pas malade d’incrédulité, il devrait aimer lui aussi de porter la coulpe et de croire en Dieu, parce qu’il est coupable devant Lui, et il devrait avoir besoin de médecin pour son manque de foi, pour le manque d’humilité, par lequel il ne reconnaît pas sa faute, comme quelqu’un qui a honte d’être coupable. Mais l’homme est coupable à tout instant et en tout, et s’il ne mange pas de Dieu il ne guérit pas, il n’est pas purifié de sa coulpe, et il faut que l’homme sache de Dieu toutes ces choses et ne pas s’habituer de couper de sa croix, car la croix est un grand mystère, et l’homme doit embrasser la terre et le ciel, car le ciel touche la terre, et la terre touche le ciel par le corps de l’homme, qui porte âme vive et mouvement entre la terre et le ciel.

Oh, Mon peuple, oh, fils de Ma parole pour vous, cherchez toujours de vivre en douceur. Menez une vie douce, les fils. Vie douce et celle pleine d’humilité dans le cœur et dans l’action, dans la parole et la conduite, dans la compagnie du Seigneur sur la terre, et vie amère est celle troublée, semée de pressions, oppressive, dépourvue de la présence de Dieu entre les hommes, et tout cela vient du manque d’humilité et de tendresse du cœur de l’homme qui ne porte pas sa croix, action qui ne le laisserait pas se cacher et se débarrasser de la coulpe par la parole de sa bouche.

Oh, ne coupez pas de la croix, les fils! Dans vos douleurs ne cherchez pas de consolation, mais seulement de la patience et l’amour de Dieu, car voilà ce qui se passe avec ceux qui cherchent de consolation au temps des épreuves de la vie! Les consolations provoquent à l’homme le désir de joies non constructives, de la pitié nuisible d’une partie et de l’autre, l’éloignement de Dieu ensuite et puis l’envie du péché. Dans les douleurs et les épreuves petites ou grandes, prenez seulement de Moi patience, sagesse, prudence à travers les douleurs, car ce sont les douleurs qui bâtissent l’homme, non pas les consolations, et Je vous apprends tout cela pour qu’ils entendent aussi tous les hommes de la terre Mon enseignement pour vous, et qu’ils en prennent, les fils, et qu’ils sachent que les douleurs, non pas les consolations apportent à l’homme des joies, et plus que cela, les consolations corrompent l’homme, et les douleurs le rendent sage. Les consolations mènent l’homme à oublier Dieu, elles le font glisser vers les faiblesses et s’en laisser trompé, même aux temps des épreuves, et alors il perd sa raison celui qui cherche des consolations pour les douleurs. Mais Moi, le Seigneur, Je laisse alors l’homme à la main des consolations qu’il cherche, et Je M’éloigne avec Mon aide, tout comme l’homme s’éloigne de Dieu et se rapproche de l’homme au temps de tentation.

Oh, gens de la terre, malades ou non de la maladie de l’incrédulité, maladie des hommes seulement, voilà ce que Je vous dis Moi, le Seigneur, en jour de fête pour Ma croix: Je vous dis que Dieu supporte patiemment et que l’homme ne le fait pas, et il faudrait que l’homme supporte, pas Dieu, car Dieu supporte celui qui ne supporte pas, Il le supporte longuement. Oh, pourquoi l’homme ne support-il pas ? Et s’il ne supporte pas, qu’est-ce qu’il fait? Voilà, l’homme ne porte pas sa coulpe et la patience pour elle. Il ne reconnaît pas sa faute devant les autres parce qu’il ne veut supporter sa coulpe, et ce n’est pas correct de procéder ainsi, de faire injustice à Dieu, Le laissant supporter le poids de sa faute. Comment cela se fait que le Seigneur supporte à la place de l’homme? Oh, Il souffre le Seigneur les railleries du diable, Il souffre toujours la joie du diable contre Lui et l’homme, puisque le diable vainc toujours l’homme et il va ensuite au Seigneur pour Lui montrer ce que l’homme fait, et pour prendre la part qui lui revient de la lutte contre l’homme, car l’homme se laisse vaincu et ensuite il a honte de reconnaître ce qu’il a fait, bien plus il se justifie toujours et il s’y est habitué, il a pris l’habitude de ne pas reconnaître sa faute, de l’excuser toujours, et de ne pas se l’approprier devant ses semblables, mais Moi Je n’ai pas eu cette conduite, Moi Je ne Me suis pas débarrassé, Je n’ai pas dit: Je n’ai pas fait cela.

Oh, gens de la terre, apprenez de Moi, car Je Me suis tenu sous la coulpe, et Je n’ai pas dit: Je ne suis pas coupable. Bien plus, Je Me suis laissé sous la coulpe à la place des coupables. Oh, apprenez le pouvoir de la croix, et vous allez guérir de l’incroyance, car l’incroyance c’est une idée, et elle disparaît tout comme l’homme incrédule, mais la foi c’est du pouvoir, c’est la croix portée, elle est celle qui procure à l’homme le salut et la victoire pour la vie et pour l’éternité ensuite.

Oh, Mon peuple, peuple avec la croix comme ton Seigneur, incline-toi comme un coupable, le fils, incline-toi toujours, car Moi aussi Je Me suis incliné. Oh, incline-toi et tiens-toi ainsi devant la coulpe, car il n’y a pas d’homme plus élevé que celui agenouillé, que celui qui porte la croix. L’homme est coupable, et la croix et son poids c’est de porter et de purifier ses péchés et l’humiliation volontaire, celle qui délivre l’homme de sa coulpe.

Oh, les fils, soyez humbles un face à l’autre! Soyez-le toujours et menez une vie douce par l’humilité, car celui qui n’en a pas, il est séparé du Seigneur, mais vous êtes Mon peuple, les fils, et Je viens à vous et Je vous nourris du ciel, et Je vous donne parole de Ma bouche pour que vous soyez vivants, pour que vous existiez, les fils.

Le fait de porter la croix sainte c’est Mon enseignement d’aujourd’hui. Qu’ils en apprennent tous ceux qui veulent venir après Moi, et qu’ils soient comme Moi et comme vous, oh, les fils. Amen.

Nous allons revenir maintenant dans le livre pour y mettre Ma parole qui est restée en Moi d’il y a deux semaines, préparée pour sa mise dans le livre, et pour commencer avec elle l’année chrétienne, telle que l’homme ne sait plus, lui qui ne sait plus comme les saints.

Oh, paix à vous, les fils! Soyez vigilants, tenez-vous devant Moi, soyez attentifs, soyez accueillants pour Ma venue, les fils! Amen, amen, amen.

27-09-2014