La Parole de Dieu du sixième Dimanche après les Saintes Pâques, celui de l’Aveugle-né

Voilà s’ouvrir le livre de Ma parole de ces jours, et Moi, le Seigneur , J’entre et Je travaille, car si Mon Père travaille, Je travaille Moi aussi. Mon Père est le travailleur, et Moi, Je fais ce que le Père fait et Je parle ce qu’Il parle, pas de Moi-Même Je parle quand Je parle. Oh, c’est ainsi qu’ils devraient travailler tous ceux qui viennent s’attacher à Dieu, à Ma parole, celle du temps d’alors et celle de ce temps, puisque Moi, Je suis le Fils de Dieu le Père, et Je ne suis et Je ne travaille rien de Moi-Même, car comment pourrais-Je autrement prouver que Je suis le Fils du Père?

Oh, comment pourrait-il l’homme prouver qu’il est chrétien, qu’il est dans le Christ, s’il n’est pas et ne travaille pas comme le Christ ? Oh, voilà, fils de la source, il faut que l’homme sache d’où doit-il apprendre Dieu, pour qu’il Le connaisse ensuite, s’il est digne de Dieu. Il est écrit que: «Si quelqu’un veut accomplir la volonté de Dieu, oh, celui-là connaîtra ensuite le Seigneur et Sa parole sainte, et le Seigneur va l’écouter».

Oh, les fils, les fils, voilà, d’une telle volonté agréable à Dieu de la part de l’homme, oh, c’est de là que l’homme va connaître Dieu, et maintenant on a jour d’enseignement et Je Me mets au travail avec vous, puisqu’ils viennent dans la cité pour apprendre du Seigneur, ils viennent pour la guérison des cœurs non habitués avec Dieu et comme Dieu, et Moi et vous, nous travaillons du ciel et nous mettons sur la table d’aujourd’hui de la nourriture céleste, des conseils d’obéissance à Dieu, les fils.

C’est un jour de mémoire sainte lorsque Moi, le Seigneur, J’ai guéri celui auquel manquait l’intégralité de son corps, car il n’avait pas d’yeux, dès sa naissance. A l’instant Je Me suis montré le Créateur de l’homme, car Je Me suis penché en crachant à terre et J’ai mouillé un petit morceau de terre et J’ai fait de la boue et J’ai collé deux petits grains à la place où devraient être les yeux de l’aveugle, et Je l’ai envoyé à l’eau de Siloé, pour se laver et voir ensuite avec ses yeux, et il a vu et a témoigné à ceux qui l’interrogeaient sur sa guérison.

Oh, les fils, Je suis Celui Qui guérit l’homme de l’incapacité de suivre Dieu comme un fils obéissant, tel que Moi J’obéis à Mon Père, Dont Je suis le Fils obéissant. Je M’incline avec humilité pour qu’il Me reçoive celui qui est en faute, et Je lui donne conseil de guérison, à condition qu’il croie, puisque Je lui dis la vérité. Ma parole c’est la vérité, et la vérité c’est Ma parole, et on travaille tout par la parole, les fils.

Oh, il y a tant d’années de parole que J’ai écrite dans Mon livre de ces jours, et tant de guérison trouve dans Ma parole celui qui l’accomplit, pour connaître Dieu ensuite! Oh, tu ne peux, homme, connaître Dieu que si tu accomplis Sa volonté, si tu Lui ressembles, tel que Moi à Mon Père. Oh, on ne peut pas rester n’importe comment auprès de Dieu, mais seulement en te laissant toujours aller selon Sa volonté, pour qu’ainsi on puisse sceller le choix que tu fais, et pour la conscience des autres de la même voie avec le Seigneur, ne fais pas de fautes, oh, ne fais pas de fautes, pas de désobéissance à Dieu, puisque tu ne sais pas qui pourrait tomber dans les mêmes péchés que toi, tu ne sais pas qui peux-tu encore rendre faible devant le péché.

Oh, préparez vos leçons, les fils, vous qui venez suivre le Seigneur sur Sa voie de gloire de ces jours, au milieu du peuple roumain. Au bout de la marche on va voir si vous avez acquis les connaissances, sachez-le, les fils. Oh, surtout gardez-vous de ne pas être comme les écoliers qui ne font pas leur devoirs, qui n’apprennent pas lorsqu’ils s’inscrivent pour apprendre et qui ne deviennent pas de grandes personnes utiles au Seigneur, mais ils restent au travail manuel, sans des fruits spirituels, tel que les disciples appliqués en ont, au travail fait pour le Seigneur, et pour lequel ils sont appellés à s’engager ou non, à croire ou non, et c’est ainsi qu’on peut éprouver le travail qui reste ou non, car tout se précise par le feu, tout qui reste ou ne reste pas.

Oh, les fils, vous qui Me mettez dans le livre, il faut que le peuple qui essaie de Me suivre sache que la non séparation de Moi est gardée par l’obéissance à Mon conseil. Oh, qu’ils fassent leur devoirs ceux qui veulent demeurer avec le Seigneur, car autrement c’est l’occasion de trébucher qui vient dans le chemin de celui qui n’apprend pas et ne M’obéit pas pour qu’il ait Ma veille sur lui, puisque Moi, Je veille à tout instant et Je vois d’avance le danger quand il vient, et Je viens lui donner Mon conseil à celui qui Me suit, et s’il arrive à la désobéissance et à la l’indifférence envers Mon conseil, oh, celui-là se procure la séparation de Moi et s’éloigne de Moi en s’éloignent de vous, de sa marche près de Moi et de vous sur la voie, et ensuite il lui sort en chemin le moqueurs, le diffamateur de Dieu et de vous.

Oh, les fils, à la guerre il y a beaucoup de ceux qui meurent, et d’autres qui ne sont pas atteints ni de mort, ni de blessures, car ces gens-là, ont évité le péché et ont préparé leur salut, et la guerre et l’épreuve viennent pour faire tomber ceux qui pèchent, et laisser voir ceux qui évitent le péché, et qui sont ainsi sauvé et ils restent sur place. Oh, la même chose se passe lorsqu’elles arrivent les occasions de trébucher, elles viennent afin qu’ils en tombent ceux qui ne font pas la volonté de Dieu, ceux qui ne sortent pas de leur coulpe par le repentir et les larmes, puisque ce qui ne s’humilient pas, c’est le péché qui les humilie, oh, bien que, même dans ces conditions leurs raison et cœur ne s’humilient pas, pour se croire eux-mêmes incapables et insignifiants, car ils n’ont pas d’amour de Dieu et le zèle saint pour la bonne lutte contre le péché.

Oh, faites vos devoirs, vous qui venez vers le Seigneur! Si vous venez, oh, prenez garde de ne pas lui faire honte devant Ses anges et Ses saints, et soyez obéissants, car c’est l’obéissance qui vous donne la vie, les fils, et le sens de la vie elle vous donne. Si vous êtes restés en arrière avec les leçons, venez, oh, venez, pour que nous ouvrions le livre et que nous lisions, pour y voir comment et combien vous êtes en arrière, et combien vous devez vous dépêcher à apprendre ce que vous n’avez pas appris et accompli, ce que vous avez oublié, ou ce que vous n’avez pas voulu accomplir avec fidélité, les fils. Moi, Je viens avec la guérison, mais il faut que Je trouve chemin ouvert, que Je trouve bon accueil et de l’humilité comme la Mienne en vous, les fils, puisque Moi, c’est pour vous que Je Me suis humilié et Je M’humilie encore, et vous, vous M’humiliez toujours lorsque vous ne vous donnez pas la peine d’obéir aux conseils saints auxquels Je vous enveloppe, pour vous garder des coups, pendant que vous n’obéissez pas pour accomplir Mon conseil.

Oh, celui qui ne fait pas ses devoirs et celui qui n’obéit pas à Dieu, et ne fait pas Sa volonté pour réaliser la stature sainte entre les frères, stature convenable à un fils soumis à la volonté de Dieu, qui est l’amour d’en haut. Voilà donc, l’obéissance va avec celui qui fait ses devoirs et qui devient instruit ensuite, et il prend sa raison du livre, de Dieu, pas de soi-même, les fils.

En ce jours de travail saint sur ceux qui viennent pour l’enseignement et la guérison, Moi, le Seigneur, Je laisse Ma bénédiction sur la table et J’y mets du travail provenu du Saint-Esprit et Je mets de la bonne veille par la parole, pour l’acquisition des leçons, Je mets de la parole à grande puissance, les fils, et que la paix et le bon accueil soit ici, et Nous écrivons du haut, comme témoignage, toutes les paroles et l’enseignement d’aujourd’hui, oh, les fils travailleurs de Ma part sur le peuple de Ma parole, et nous allons regarder ensuite s’ils y auront des fruits, s’il y aura de l’amour, s’il y aura de la bienséance, oh, les fils. Amen, amen, amen.

13-05-2018