La parole de Dieu à l’Assemblée du Saint Jean le Baptiste

L’esprit du Baptême comble le ciel, et c’est ainsi que Je Me laisse avec les saints et les anges au-dessus de la cité de Ma parole, et c’est ainsi que Je Me laisse dans le livre avec Jean le Baptiste, en son jour, au milieu de l’assemblée des saints, fils gardiens, car comment puissions-nous rester de côté s’il y a fête de baptême dans le ciel et chez vous?

Oh, c’est une sainte fête, et nous la mettons dans le livre. Allons, Mon Baptiseur, Nous ouvrons le livre. Nous Nous y installons et Nous témoignons de notre présence au milieu du peuple de Ma parole avec la fête de l’Epiphanie sur le foyer du peuple roumain.

Oh, les fils, les fils, Nous Nous inclinons pour descendre, afin d’être avec ceux qui s’inclinent. Nous nous inclinons, car l’inclination signifie amour, oh, et de combien de travail de l’amour on a besoin pour que le chrétien s’y accommode et le pratique ensuite. Lorsque sur la terre il y a quelqu’un qui veut gagner la première place dans une compétition entre plusieurs concurrents, il travaille beaucoup, il a un conseiller qui veille sur son travail en vue de la compétition à laquelle il s’inscrit. Oh, le chrétien aussi a grand, grand besoin de travail, de conseil, de veille, pour qu’il puisse ensuite atteindre l’œuvre du pouvoir de l’amour.

Ils se demandent de la marge ceux restés avec Moi sur la voie de l’amour ici, ils se demandent pourquoi ceux partis de Mon petit bateau sont tombés de lui. Moi, Je leur réponds pourquoi et Je leur dis que c’est à cause de l’infidélité qu’ils ont fait cela, et l’indifférence à laquelle arrive celui séparé de Mon bras avec vous, c’est le fruit de l’incrédulité, du manque d’amour, puisque l’amour ne tombe jamais, les fils, il existe toujours et toujours et il passe dans le ciel avec lui, celui qui l’a de surveillant sur sa vie avec Dieu.

Oh, les fils, les fils, celui qui veut toujours appartenir à l’amour, il cherche toujours et toujours l’apprentissage de l’amour et il cherche ardemment, et J’ai dit il y a deux mille ans sur ce désir ardent, J’ai dit que c’est du feu que J’étais venu à jeter sur la terre, et combien J’aimerais qu’il s’allume! Et voilà, le cœur qui tient Mon amour est tout un feu, et ce feu garde dans la pureté l’homme et le lieu réservé en lui pour Dieu et pour les frères. Oh, celui qui n’a pas ce feu en lui, inextinguible ce feu, celui-là se refroidit, le feu s’éteint, et le feu qui s’éteint par le manque de veille, ce feu là ne s’allume plus, les fils, et lorsque l’hiver des épreuves approche, oh, que peut-il encore faire face à lui, celui qui n’a pas gardé le feu allumé et la chaleur convenable à Dieu et aux frères?

Oh, les fils, l’homme chrétien ne peut suffisamment comprendre combien il est difficile pour lui de se garder chrétien utile à sa rédemption. J’observe les chrétiens et Je vois ce qu’ils font. Ils imitent les uns les autres seulement à ce qui n’appartient pas à la pureté du cœur envers Dieu et les frères et à lui-même, mais imiter ce qui est agréable à Dieu dans les autres, qui suivent avec crainte le Seigneur, se relevant toujours de leurs fautes, oh, cela ne se voit pas dans le travail de la veille, du moins celle de l’un pour l’autre, et voilà pourquoi Je ne peux pas Me former un peuple plus nombreux, au cœur plus pur, plus capable à aider Dieu sur la terre.

Oh, il a tant besoin de baptême l’homme toujours, et toujours, de tant de relèvement, de tant de connaissance sur salut de son âme, de tant de tout cela, et d’autres encore, les fils, et de s’en enrichir chaque jour de plus! Et on peut tout réaliser par l’inclination, les fils.

Oh, si Jean le Baptiste s’est tellement incliné, demande-toi, chrétien, combien tu dois t’incliner toi, pour que tu ne perdes pas le Seigneur, comme Adam L’a perdu, lui qui ne s’est pas incliné à la sagesse de la vie. Moi, Je suis venu alors et Je viens aujourd’hui aussi et Je jette sur la terre du feu de Mon Esprit pour qu’il allume beaucoup de gens, mais l’indifférence envers Dieu est trop grande dans l’homme, et elle se trouve aussi au chrétien qui prend du feu de Ma parole, mais il prend, il prend encore et encore, et le Seigneur attend, Il attend le fruit vif de l’amour de Dieu dans celui qui a Ma parole d’en haut comme nourriture de la vie, et voici le manque de ressemblance avec les saints, qui avaient des chars de blé amassés, face à ceux qui réunissent à peine d’acquérir une poignée de grains, les fils!

Oh, sur le baptême de la foi et son fruit il y a beaucoup à parler, et à remâcher ensuite Mon enseignement pour le chrétien. Moi, Je parle et Je donne abondamment pour qu’il y ait Mon feu dans les cœurs qui Me prennent d’ici, mais si le ruminement de la parole n’a pas plus de la place dans le travail entre les frères, cela signifie l’indifférence de l’âme, et Mon feu ne s’allume pas dans le cœur de ceux qui entendent Ma parole.

Hier J’ai parlé aux eaux et elles M’ont entendu et ont reçu Ma parole et son œuvre, elles se sont inclinés et ont travaillé, mais aujourd’hui Je parle aux cœurs pour leur apprendre l’inclination et l’œuvre de Ma parole sur eux, et celui qui ne s’incline c’est l’homme qui sort de sous l’influence de l’œuvre de Ma parole, pour ne pas l’accomplir, en temps que ceux qui s’inclinent ne regardent pas de côté pour voir si les autres accomplissent ou non la parole du Seigneur, mais ils regardent vers Moi avec pitié, pour accomplir Ma volonté, et que Je l’inscrive comme vase du cœur pur envers soi, envers son prochain et envers Dieu, et cette grande œuvre n’est plus visible au chrétien, et ils disent tous que ça va comme ça aussi, mais autre chose c’est que le Seigneur s’exprime sur la marche du chrétien, puisqu’il y a quelques uns qui tombent, mais ils se relèvent par la vérité et par la veille ensuite, et il y en a d’autres qui se tiennent seulement sous l’œuvre du manque de sagesse du cœur envers eux-mêmes, envers les frères et envers Dieu, oh, et J’ai dit qu’on ne peut pas entrer ni du ciel ni de la terre, dans le cœur qui se cache avec ses faits, du moment qu’il ne se tient pas dans la lumière celui qui choisit de se cacher. Et Moi, Je travaille uniquement avec ceux qui marchent dans la lumière et qui Me permettent de les mettre à l’épreuve, de les enseigner, les réprimander, les lever de leurs fautes, et ils ne restent pas dans l’obscurité, mais avec ceux qui marchent dans le noir, Je ne peux travailler, ni intervenir sur eux, puisque Moi, Je suis Celui Qui fait la lumière et non pas l’obscurité.

Mais qu’est-ce que c’est que l’obscurité? Comment le chrétien la travaille-t-il? Oh, les fils, chacun sait combien d’obscurité il travaille. Il ne faut plus que Je dise, Moi, ce que c’est l’obscurité. Je le dirais à sa demande, à celui qui demanderait sur l’obscurité qui se trouve dans son cœur, mais pas autrement, puisque Je ne travaille pas l’obscurité, ni celui qui la pratique. Voilà donc, Mon enseignement est sur la table, et ils peuvent prendre ou non de son œuvre ceux qui entendent du Seigneur, et ils se rangent ainsi à la droite et à la gauche, selon l’accomplissement ou le non accomplissement de Ma parole.

Oh, les fils, c’est seulement ceux qui travaillent sur eux selon Ma parole, ce sont eux seulement qui vivent et qui prouvent cela, et ceux qui ne la travaillent pas s’ennuient et l’esprit de la mort est prêt de s’emparer d’eux, esprit étranger à Dieu dans le cœur et dans les faits de la vie de l’homme. Jean le Baptiste a apporté sur la terre l’annonce de la repentance et il l’a proclamée devant beaucoup de gens. Oh, c’est le même travail qu’il fait maintenant pour la voie de l’homme avec Dieu. Il apprend à tous de ne pas venir au baptême pour échapper à la colère de Dieu, mais qu’on vient pour la repentance, pour le relèvement de son péché. Oh, et le plus difficile pour l’homme c’est de s’établir dans la repentance, et d’y rester ensuite, et il fait l’homme du tout, mais il ne connait pas l’œuvre de la repentance, ni son fruit et sa beauté montrée sur le visage et l’esprit de celui qui la travaille entre lui et Dieu.

Il crie Jean aujourd’hui encore, car la voie de Ma parole donne à Mes saints l’occasion de crier sur la terre le désir saint de leur esprit. C’est Mon désir après l’homme qui se tient dans Mes saints, et ils le transmettent aux chrétiens par le livre de Ma venue avec les saints. Amen.

— Oui, Seigneur, Tu nous as frayé le chemin pour parler aux chrétiens de la terre et leur dire du ciel qu’ils ont à travailler et à lutter pour la patrie d’en haut, celle de Tes saints, et nous leur disons qu’elles sont grandes et cachées les pièges qui refroidissent le chrétien face au feu que Tu as voulu et que Tu veux être allumé sur la terre et dans les cœurs des chrétiens, puisque ceux de la terre, par l’enchantement de leur cœur, ils tombent dans le manque de sagesse et de veille tout comme de notre temps sur la terre, lorsque nous criions à l’adresse de tous, de faire des fruits de repentance, et ne pas compter sur le fait d’avoir été choisis comme peuple élu entre les nations.

Oh, c’est de même que nous travaillons aujourd’hui aussi, car il y a une sorte d’étourderie à visage de chrétien, tant que le chrétien ne comprend pas bien comment on choisit Dieu en tant que sa vie d’homme, pour ceux qui veulent venir s’attacher au Seigneur pour Ta parole d’aujourd’hui.

On a vu et on voit encore une sorte d’étourdissement qui enchante ceux qui ne savent pas ce que cela signifie Dieu dans l’homme, Seigneur, et nous souffrons en dehors du cœur de l’homme chrétien, qui ne sait pas se séparer de ce qui le sépare de Dieu. Mais lui, il est loin de comprendre cela lorsqu’il vient à Toi, pour qu’il ne tombe ensuite de l’amour pour Toi.

Qu’elle était grande Ta douleur, Seigneur, quand Tu voyais la chute de l’homme pour la femme, si nous parlons d’Adam, de David, de Salomon, de tous ceux étourdis par cet esprit étranger à Dieu. Oh, qu’il serait bon pour Toi et Ton travail sur la terre et sur l’homme, s’il y avait plus tant d’esprit de femme entre les hommes, Seigneur ! Partout sur la terre l’homme tombe par la femme, et il ne se garde pas de cette chute et ils meurent l’un par l’autre. Si l’homme se rendait compte du fait que la femme se réjouit en soi quand elle apprend qu’un homme la plaît et que c’est ainsi qu’ils meurent ensuite l’un par l’autre, si l’homme avait cette conscience, un grand miracle se passerait sur la terre, grande résurrection se laisserait sur les hommes, qui tombent par la femme, par la chair de femme.

Oh, femme, que tu aie grande peur quand tu vois qu’un homme laisse tomber son cœur vers toi, et toi, coupable de sa chute. Oh, où peut-on trouver encore une femme soucieuse de ne pas provoquer la chute de quelqu’un de l’honneur de se garder la pureté de sa vie, de son être, qui glisse si facilement vers le péché de l’homme, celui de la séparation de Dieu.

Oh, ne te réjouis pas, ne te console pas, que ton cœur ne s’allume pas pour celui qui te désire, toi, femme, mais crains qu’il va mourir celui-là comme Adam ensuite. Oh, qui enseigne encore l’homme de cette manière, aussi saintement, d’une telle grandeur, pour la pureté de la vie de l’homme, pour que l’homme se préserve la vie, celle pas suivie de la mort, une vie sans le péché, qui amène la mort du Seigneur de la vie dans l’homme?

L’homme tombe dans la faute avec le cœur et il se sépare de Dieu pour le péché, il choisit le péché, le pauvre, oh, et on ne voit que cela sur la terre, Seigneur. J’étais si endolori, si blessé quand je voyais le péché dans l’homme et sa chute par le péché, Seigneur. Il ne peut être le Tien celui qui incline son cœur et ses sentiments vers la compagnie et ensuite la chute devant la femme. J’ai voulu réprimander, crier aux hommes pour leurs faiblesses, les exhorter à la repentance, puisque je Te voyais quitté par les hommes, Seigneur. Oh, voilà comme ils Te quittent aujourd’hui aussi ceux qui se laissent vers la compagnie de ceux qui les rompent d’auprès de Toi !

Vous, chrétiens de la nourriture d’en haut de la bouche du Seigneur entre vous, oh, je vous exhorte à l’œuvre du cœur pur, qui n’a rien, rien à cacher. Oh, allez dans la lumière, les fils! Ayez soin du Seigneur et de Sa lumière en vous, et en dehors de vous. Le monde ne sait pas ce que cela signifie chrétien baptisé et son maintien ensuite dans l’engagement avec le Seigneur, pour ne pas tomber de nouveau dans le paganisme, celui qui a reçu le sceau de Dieu. Mais vous, vous êtes enseignés par Dieu, vous savez tout et vous n’avez pas besoin de quelqu’un d’autre pour vous enseigner. Le Seigneur est toujours en parole avec vous, et vous avez le grand devoir d’accomplir Sa parole.

Oh, Seigneur, mets sur eux le feu que Tu as promis, et qu’ils le tiennent allumé, afin qu’il n’arrive pas qu’un feu étranger allume leur cœur, tel qu’il se passe avec ceux qui se marient puisqu’ils ont pris feu. Ceux qui se séparent de tout pour Toi, qu’ils sachent ceux-là ce qu’ils choisissent, car ils choisissent Dieu comme leur vie, et ils se promettent à Lui ici et pour l’éternité, mais qu’ils n’oublient pas l’inclination, oh, l’inclination, Seigneur. Et je crie maintenant pour eux : Oh, inclinez-vous, car moi, je me suis incliné et j’ai demeuré dans le ciel sur la terre, car c’est seulement dans le ciel que j’ai séjourné sur la terre, oh, faites cela vous aussi, vivez dans le ciel en vivant sur la terre, vous ceux qui avez choisi d’appartenir à Dieu pour toujours.

Et toi, esprit perfide, toi qui attire vers la chute le cœur de l’homme, oh, va-t-en ! Va-t-en et ne travaille plus entre ceux qui veulent être du fruit pour le Seigneur! Et va-t-en, car le temps est venu de faire place au pouvoir de Dieu, et que tu t’en ailles, toi! Va-t-en, donc! Amen.

— Oh, Mon Baptiseur, Mon nom est Jésus-Christ, l’Agneau de Dieu, Celui Qui vainc.

Je fortifie dans la sainteté et la lumière les fils de Ma parole et Je leur dis cela:

Allez dans la lumière, les fils! Si vous voulez savoir comment vous allez, demandez-le et on va vous répondre, oh, ne vous donnez pas vous-mêmes la réponse. C’est Moi Celui Qui vous connaît, pas vous. Et vous, demeurez dans Mon amour, demeurez dans le Père, les fils, et Moi, Je prierai devant le Père pour vous.

Oh, n’oubliez as, il est temps que vous savez votre état, le savoir de Moi, pas de vous. Demandez-Moi les fils!

Oh, soyez pleins du désir de travailler Mon visage en vous, de peur qu’il n’arrive pas à quelqu’un de vous de rester avec son ancien visage, avec les habitudes de sa nature.

Oh, faites vivre la lumière entre vous et Moi, car Je laisse sur vous l’exhortation salutaire et Je vous dis: Allez, oh, allez dans la lumière, dans une grande lumière, les fils! C’est cela que Je vous exhorte, pour Moi en vous et entre vous, oh, les fils. Amen, amen, amen.

20-01-2019