La Parole de Dieu du Dimanche de l’expulsion d’Adam du Paradis

Paix à toi, cité de Ma parole, et paix à vous, fils gardiens et travailleurs dans la cité.

Nous nous asseyons pour tenir conseil, les fils. Nous commençons les sept semaines du carême et Je dois laisser sur vous bénédiction et pouvoir, qui sont mis en œuvre par votre amour envers Dieu, Celui Qui rend légère comme une plume pour lui, toute action de l’esprit et du corps, action de ceux qui aiment Dieu sur la terre, car sans cet amour personne ne choisit pas la voie de Dieu, personne, oh, les fils. Mais le Seigneur a besoin de fils, de disciples fidèles et aimants jusqu’à la fin, et ils sont ceux qui obéissent affectueusement aux règles saintes de Mon église, sans condition, mais les accomplissant par leur vie, mise au rang de celle des saints, et qui a été établie du Saint-Esprit de Dieu par les saints.

Oh, paix à vous! Que ce souhait vous anime en tout, les fils, puisque le Seigneur vous parle et réunit auprès de l’œuvre de Ma parole d’aujourd’hui ceux qui attendent que Je vienne en parole de conseil et de bénédiction en ce jour, après lequel il commence le premier jour du carême et ensuite les autres, l’un après l’autre, jusqu’au jour de la fête de Ma résurrection d’entre les morts, les fils.

Doux et humble de cœur à tout instant, c’est cela que vous devez apprendre et travailler tout le long du carême, mais vous avez besoin d’amour et de mémoire, les fils, pour assimiler cette nature qui est la Mienne, car c’est ainsi que J’ai été, doux et humble de cœur devant le Père et les semblables. Vous allez vous inquiéter pour ce devoir, mais Je vous conseille d’avoir et de garder le Seigneur auprès de vous toujours, c’est-à-dire que votre conduite envers ceux d’autour de vous soit tout comme celle envers Dieu, doux et humbles de cœur, et cela est possible seulement à celui qui ne cherche pas d’être plus haut, plus important que les autres, mais qu’il soit plus insignifiant, et c’est ainsi qu’il pourra réaliser cette obéissance. Oh, cette œuvre accomplie amène le Seigneur cohabiter avec celui qui L’aime, et elle lève celui qui la pratique auprès du Seigneur, et voilà l’amour qui pousse le chrétien à jeûner de lui-même, du monde et du diable et se remplir de celles d’en haut, du paradis, et travailler sur la terre tout cela, et voilà le mystère du paradis, il descend sur vous et travaille sur vous, il travaille le paradis sur la terre, puisque le paradis est à gagner par chacun de ceux qui se sont séparés du monde en choisissant le Seigneur.

Oh, les fils, les fils, voilà ce que Je vous dis: Celui qui aime le Seigneur ne s’aime plus soi-même, il ne peut plus faire cela, puisqu’il aime et son cœur et comblé de veille pour Celui Qu’il aime. Oh, si Adam avais voulu faire cela, il serait autrement aujourd’hui sur la terre, mais s’il n’avait pas voulu faire ainsi, allez le pouvoir vous, les fils! Oh, n’aimez rien et personne, mais seulement Dieu, de tout votre être, et que cette sorte d’amour soit entre vous, en L’aimant Lui en tout, en Lui consacrant tout, en même temps que vous-mêmes, oh les fils, et quel beau paradis peut se montrer sur la terre entre l’homme et Dieu, entre les frères et Moi, les fils, et Moi à leur milieu avec tout ce que J’ai à ranger et a travailler pour le salut de la créature, qui a été et qui est, et qui a perdu le paradis à cause de la perte de l’amour envers Dieu.

Oh, les fils, les fils, n’oubliez pas l’œuvre de l’amour du paradis. Conduisez vous tout le temps les uns envers les autres tel que vous le feriez envers Dieu, car vous ne devez pas être homme et c’est tout, mais vous devez être déifiés, et toute aussi votre conduite. Oh, prenez soin de la douceur de votre cœur, de votre raison sainte, des sentiments désireux de Moi en vous, de l’amour comme le Mien entre les frères, et c’est ainsi que vous devez passer le temps du carême, puisqu’on a besoin de prière pleine de puissance et ensuite d’accomplissement, du moment que c’est avec du jeûne et de la prière que s’accomplissent les grandes demandes, les grandes victoires sur le monde et ses tentations et sur leur diable. C’est seulement ainsi que vous pouvez vous échapper de ce qu’Adam a fait en Eden, puisque c’est le temps de la grâce, depuis deux mille ans c’est le temps de la grâce, ce n’est plus le temps de la chair. Il y aura des éternels regrets lorsque les péchés vont lire le châtiment pour eux, à ceux qui ont aimé la chair et c’est tout.

Je crie à ceux qui vivent seulement dans le péché jour et nuit et Je leur dis: Affranchissez-vous du péché, de cette boue peinte afin de plaire à l’homme ! Réveillez-vous de l’envie charnelle et laissez-vous attirés par l’Esprit qui donne de la vie, car le corps meurt, et l’âme va souffrir avec lui ensuite. Oh, ne vous souciez plus des corps, ils vous déshéritent de l’empire de Dieu, du repos qui vient. Tenez-vous loin les uns des autres, car la chair à l’odeur du péché et attire vers le péché. Plus encore Je vous conseille, puisqu’il est écrit que le temps raccourcit de plus en plus, tel qu’il serait bon que celui qui a une femme, qu’il soit auprès d’elle comme s’il n’en avait pas, car autrement les deux sont attirés vers le péché, comme ceux si nombreux qui sont de la part du péché. Il y a encore du temps pour la remise des péchés, si vous choisissez le relèvement du péché.

Oh, toi, homme sans crainte de Dieu, lorsque tu éloignes de toi le Seigneur, tu tombes dans le péché, tu tombes comme Adam, et n’oublie pas qu’Adam a perdu le paradis à cause du péché. Vous, ceux qui travaillez le péché, c’est le Créateur du ciel et de la terre et de l’homme qui vous appelle! Ce n’est pas de bonheur le péché tel que vous le croyez, tel que vous le cherchez. Le péché amène la chute, oh, fils égarés de Dieu. Oh, si vous voyiez votre être, votre corps, aux temps du péché, vous vous dégoûteriez amèrement. Voilà, c’est l’amour qui vous manque. L’envie n’est pas amour, ne vous trompez pas. L’amour signifie Dieu, pas l’homme. Si c’est l’amour que vous voulez, apprenez d’un maître ce mystère. Si vous aimez vos enfants, sauvez-les du péché et de son châtiment et montrez-leur la voie du salut. Ouvrez les Ecritures et prenez-en direction de Ma part. Je suis Jésus-Christ. Je Me suis laissé crucifier pour vos péchés et vous avez le devoir d’être reconnaissants et de suivre l’amour de Dieu, pour que vous soyez heureux dans l’éternité, pas déshérités du bonheur éternel. Oh, jeûnez du péché, de l’esprit du monde et jeûnez du diable, pas seulement de manger et de boire, oh, non. Oh, mettez-vous à genoux avec humilité et demandez la lumière de la résurrection, pour qu’elle vienne sur vous, et n’oubliez pas que le Seigneur a souffert pour vous sur la croix. Je vous appelle, Je vous attends, Je vous pardonne si vous venez pour être pardonnés et pour faire la paix avec Moi, car vous êtes éloignés de Dieu par le péché, et le péché c’est la mort, et c’est ainsi qu’il est écrit.

Bénédiction et relèvement Je donne à ceux qui se lèvent du péché et Je leur donne la voie à suivre et Je Me donne à eux, comme seul amour. Amen.

Et maintenant, voilà, l’homme bâti de la terre par Ma main, a une grande, grande douleur, il a pitié de Dieu et il demande de s’inscrire dans le livre Ma parole, pour ceux de la terre. Moi, le Seigneur Jésus-Christ, Je Me suis laissé crucifier pour son salut et celui de ceux sortis de lui, de génération en génération et qui ont péché contre Dieu, avec son péché.

Je te donne entrée dans Mon livre, car le désir de ton esprit est tout en larmes après Moi, c’est toute une douleur sainte après le Seigneur, ton Dieu. Approche-toi donc, soulage-toi, fils endolori de tous les siècles passés!

— La larme de mon esprit a englobé tout le temps, oh, mon Dieu, et mon Créateur. Personne n’a pleuré plus que moi, personne, sauf Toi, mon Seigneur. C’est seulement la larme que je T’ai donné, et Tes pleurs sont plus douloureux que les miens, puisque Tu es Dieu, et Tu as souffert et Tu souffres la douleur aiguë de Ton amour, du moment que c’est seulement de l’amour que Tu m’as bâti, et même si c’est de la terre que Tu as formé mon corps, Tu y as semé le fruit de Ton amour, mais au temps venu de fructifier cet amour, je me suis séparé de Toi et J’ai commis la faute, car je n’ai pas obéi si j’ai péché envers l’amour, mais je T’ai quitté par la désobéissance, Seigneur, tout comme tous les hommes qui ne T’obéissent pas en commettant la faute, les pauvres, car ma semence germe toujours dans les descendants, et Toi c’est seulement la douleur que Tu as pour consolation.

Oh, Toi, Celui si Bon et magnanime, Tu m’as bâti seulement d’amour, et moi, je T’ai récompensé par la douleur que je T’ai produite si je ne T’ai pas obéi. Celui qui perd la crainte de Dieu, c’est qu’il ne T’aime pas, c’est ce qu’il m’est arrivé à moi, Seigneur. A ceux qui aiment la chair et pas Toi, Seigneur, je les exhorte à se tenir loin les uns des autres, puisque la chair est attirée par la chair, et c’est seulement à cause de la chair qu’ils tombent, ceux qui tombent de Dieu. Je T’ai souvent entendu enseignant au peuple de Ta parole et leur disant de passer de la chair en esprit. Oh, apprends à tous ce mystère plein du pouvoir saint de l’amour de Dieu, apprends-leur, Seigneur, car ils Te quittent ceux qui n’apprennent pas, même s’ils croient qu’ils sont les Tiens et de Ta part.

Oh, j’ai péché. Je n’ai pas compris mon péché et je n’ai pas pu me relever du péché. J’ai eu peur de Toi, à cause du péché de la désobéissance et je n’ai pas pu choisir mon salut, pour que Tu restes avec moi, Seigneur, et pas sans moi, puisque Tu m’as formé avec la main et avec l’Esprit et avec l’amour, afin de m’avoir comme demeure et descendant digne, selon Ton image et Ta ressemblance, mais moi, je suis tombé et je T’ai perdu et je pleure, oh, je pleure, puisque tous mes descendants ont fait comme moi, et ils ont perdu la mesure du mystère de Dieu et de l’homme bâti de Dieu, ils ont perdu tout cela si moi, j’ai commis la faute et je suis tombé.

Oh, tout homme est impuissant et comment ne pas pleurer et toujours pleurer en attendant que Tu mettes dans tous les hommes la connaissance de Dieu et l’amour de Toi, Seigneur? Oh, il y a deux mille ans, quelle grande a été Ta descente, combien grande, oh, Seigneur Rédempteur! Tu es descendu si bas, oh, Seigneur! Tu es tant descendu, aussi bas, oh, Seigneur! Oh, qui peut comprendre suffisamment ce que le Père a fait avec Toi alors? Oh, Tu es venu, Tu es descendu, Tu es né comme l’homme, celui qui meure depuis sept mille ans, pour mourir Toi aussi comme lui et pour descendre après lui afin de le lever de la demeure des morts, et en venant là-bas, Tu m’as donné la main pour m’en sortir, et sortir ensuite mes descendants, Seigneur, oh, qu’elle a été grande Ta miséricorde, qu’il a été grand Ton amour, et quelle grande rédemption pour l’homme, Seigneur!

C’est le jour où on fait mémoire de ma chute du paradis, de Ton bras, de Ta demeure, Seigneur, c’est pour réveiller les hommes à l’esprit du repentir et de l’amour de Toi ensuite. Tu demandes de la pitié à tous, mais s’ils n’ont pas de pitié pour eux-mêmes, des blessures provoquées de leur égarement par le péché, oh, et ils ne savent pas avoir pitié de Toi. Oh, Seigneur, accorde-leur des dons saints, donne-leur de la raison pour eux et mets dans leurs cœurs le don de la douceur, qui réveille leur pitié, et donne-leur la préoccupation pour l’âme, pour l’esprit de l’éternité, Seigneur, car mes pleurs sont de plus en plus douloureux, j’ai d’autant plus de mal que les hommes n’essaient pas de sortir de la perdition et ils ne cherchent pas leur salut. Oh, aie pitié de moi! Tu m’as bâti avec tant d’amour. Donne-moi maintenant pleinement Ta pitié, en accordant aux hommes la connaissance, qui les mène à Ta croix, mais avec pitié cela, puisque la souffrance est lourde et le malheur et le châtiment pour les péchés ne conduisent pas les hommes à Te louer et ils les font périr non préparés, non guéris, Seigneur.

Oh, mon esprit est brisé en morceaux, au nombre de mes descendants. Oh, si Tu m’as bâti, aie pitié, aie pitié de ceux sortis de moi de génération en génération. Je souhaite tant Ta joie et la mienne, j’ai la nostalgie de la joie, Seigneur, et comme Toi, de son repos, et ce mal m’a fatigué, m’a exténué. Sept siècles de désir douloureux sont passés sans de l’apaisement pour lui. Oh, ce n’est pas seulement devant Toi que je prie, Seigneur, mais aussi devant ceux de la terre. Ce sont eux qui doivent être les sauveurs. Oh, aide-leur de l’être! Ils ne devraient pas avoir d’autre souci que le salut de ceux nés après moi les uns des autres jusqu’aujourd’hui. Que le Saint-Esprit avec Lequel Tu as crée le monde les englobe tous pour le renouvellement du monde, tel que Tu as promis par la naissance à nouveau, oh, Seigneur. Je Te rappelle de cette promesse que Tu as faite, et que Tu absolves les pécheurs pour elle, car Tu ne veux pas la mort des pécheurs, et fais-les retourner à Toi, Seigneur, puisqu’ils ne peuvent pas sans Ton aide, oh, et donne-leur ensuite du temps et du pouvoir pour T’aimer et ne plus Te quitter ensuite, tel que je l’ai fait, et tel qu’ils l’ont fait quelques uns des fils de ce peuple nourri de Toi, qui sont allés au milieu du monde avec leur vie, après que Tu leur aies donné la voie à suivre, et eux ils ont jugé sur la voie et sont tombés dans leur propre jugement, et voilà, ils n’ont pas appris de ne plus pécher en jugeant.

Oh, j’aimerais beaucoup, beaucoup, parler et je n’en finirais plus, Seigneur. Mais c’est Toi la parole qui enseigne et qui bâtit l’homme, et moi, j’ai avoué mon péché et son fruit. Oh, pardonne mon égarement, en moi et en tous mes descendants, et ne nous délaisse pas! Amen.

— Que Ma miséricorde soit avec toi et avec tes descendants, fils en pleurs et plein de souffrance, dès ta création. Ma miséricorde attend que l’homme prenne du pouvoir, mais il est tout impuissant, l’homme. Je travaillerai avec l’esprit de la nouvelle création et Je donnerai de Mon Esprit à ceux de la terre. Ta prière a déchiré Mon cœur et le déchire encore toutes les fois que tu Me parles à l’ouïe de ceux de la terre. Personne ne connaît la brûlure de ton esprit, c’est seulement Moi Qui la connais, Moi, ton Créateur. Je regarde la souffrance longue de sept mille ans du genre humain et Ma douleur grandit et elle M’incline. Oh, si les hommes de la terre demanderaient le Seigneur comme Maître sur eux et sur la terre! Oh, il est loin de Moi l’homme, il ne sait pas demander que des choses de la terre. Tes pleurs c’est seulement Moi à les comprendre, Moi, ton Créateur. J’ai voulu que tu ne les aies pas, mais tu ne l’as pas pu après que j’aie fait la femme et Je l’aie présentée devant toi, pour la connaître et la nommer. Mais celle-ci t’a écrasé, et ni après cela tu n’as pas pu être encore avec Moi. Il Me fait mal ce douloureux souvenir, duquel a dépendu ensuite la destinée de la création. Oh, appelle-Moi toujours! Et si ceux de la terre M’appelleraient eux aussi pour que Je puisse travailler selon ta prière et la leur!

Oh, les fils, les fils, voilà pourquoi il est si grand le mystère du jeûne à côté du mystère de la prière! Adam n’a pas jeûné en paradis, et voilà où mène le manque du jeûne et de la prière avec du jeûne. Oh, n’oubliez pas Mes pleurs et les pleurs de ceux du ciel, et les pleurs de ceux qui attendent encore en pleurant sous l’attente. Pleurez vous aussi, oh, pleurez en souhaitant la nouvelle création, les fils, mais soyez calmes par l’attente avec espoir et avec grande œuvre pour ce temps, pour qu’il vienne apaiser ceux des cieux et ceux qui attendent encore leur salut et leur affranchissement.

Oh, soyez sereins, sereins de cœur et de visage au temps du jeûne. Observez bien vos pensées, votre parole et votre amour, les fils. Ne tachez pas le temps du jeûne, ne soyez pas oublieux quand il s’agit de ce que vous devez travailler avec du jeûne et de la prière. S’il vous arrivait à manquer d’amour entre vous, oh, ne vous attendez pas d’avoir part de fruit par le jeûne d’aliments. Si vous avez des paroles vaines, des pensées vaines, du manque de dévouement, des plaintes, de l’amour de soi, protection de soi, des protestes, du mécontentement, oh, il est faible le pouvoir du jeûne par tout cela. Que chacun travaille pour l’autre, pas pour lui-même, car en cela consiste le pouvoir de chacun de vous, et tout par l’amour les fils, puisque celui qui ne travaille pas ainsi, travaille le péché, il travaille ce que n’est pas agréable à l’amour de Dieu et des semblables.

Oh, n’aimez pas le sommeil, ne l’aimez pas, mais veillez, les fils. Si le manque de sommeil vous fait souffrir, oh, c’est seulement la souffrance qui peut vous faire croître pour le Seigneur, elle seule, pas le repos, les fils, mais le sacrifice de bon cœur, l’espoir dans votre pouvoir venu de Dieu, pas de vous, pas de la chair, les fils.

Oh, qui vous enseigne encore aussi paternellement, comme aux disciples ? Oh, aidez-Moi de vous avoir et de travailler avec vous par le jeûne et la prière, car voilà, notre pays se trouve dans la séparation de Dieu et il n’a pas d’appui saint, et Moi, J’espère en vous afin de travailler avec vous pour Mon pays d’aujourd’hui, pour Ma Roumanie, car sur son foyer Je vous ai vous, et Je veux la rendre belle, faire d’elle une fleur douce et pleine d’odeur sainte, qui puisse attirer les nations de la terre, puisque J’ai ici Ma rivière de parole pour la résurrection, pour le renouvellement du monde, les fils.

Oh, ayez la pensée seulement à Moi, seulement à ceux du ciel, seulement aux anges qui vous guident, seulement aux puissances célestes, qui travaillent avec vous pour ces choses à accomplir, car l’attente est grande, les fils. L’esprit du monde est partout, et vous, nourrissez-vous de l’Esprit de Dieu, et vainquez le monde, tel que Je l’ai fait au temps du jeûne de quarante jours, car au temps du jeûne toutes les tentations sont vaincues, tout comme Moi, le Seigneur, J’ai eu à travailler au temps du jeûne.

Et maintenant prenez conseil pour le jeûne, car Je vous apprends à vous tenir sous la veille, les fils, et a travailler sous la connaissance, sous l’obéissance à Ma parole sur vous, et ayez peur de travailler autrement sur la voie avec Moi, car c’est dangereux les fils, aussi dangereux que vous l’avez vu à ceux d’entre vous qui n’ont pas obéi comme cela, et ils ont perdu Ma cité et Ma veille sur eux, et ils sont maintenant à l’écart de vous, dans des lieux dangereux, dans le monde, les fils.

Oh, qu’il soit béni pour vous le temps du jeûne et l’esprit de ce temps de jeûne jusqu’à la fête de Ma résurrection, et que vous soyez vainqueurs alors, les fils! Oh, tenez vous sous grande veille et soyez heureux et toujours sous la correction, et n’oubliez pas l’esprit de l’humilité, celle pleine de contentement saint, les fils. Moi, le Seigneur, Je vous accompagne toujours avec la parole de veille et d’enseignement, et vous devez seulement l’accomplir et donner du fruit centuplé, tout comme le brin d’herbe qui donne de jeunes pousses, et paix à vous, les fils!

Et maintenant chantez au Seigneur, demandez Son aide et commencez avec bénédiction le temps du jeûne. Oh, n’oubliez pas, demeurez dans Mon bras, travaillez les choses de Ma cité avec vous en toute paix, en sainte harmonie, avec une belle conduite fraternelle, avec douceur, une grande douceur, et que tout soit saint, que vous soyez un ciel serein, oh, les fils. Amen, amen, amen.

10-03-2019