O istorie ca o poveste

 

 


Une histoire comme un conte,
L’histoire de l’Eglise la Nouvelle Jérusalem

 

 

 C’est une chose hardie que de parler de l’Eglise la Nouvelle Jérusalem, et surtout de son histoire, tel que la font beaucoup de gens dénommant leurs églises ou leur manifestation du nom de „Nouvelle Jérusalem“. Ceux-ci oublient ou ne savent pas que l’Eglise la Nouvelle Jérusalem n’est pas constituée et ne se constitue pas par la volonté de l’homme sur la terre, puisqu’elle a été dès le débout chez Dieu et c’est Dieu Lui-même Qui l’habite. «Et il me transporta en esprit sur une montagne de grande hauteur, et me montra la Cité sainte, Jérusalem qui descendait du ciel, de chez Dieu, avec en elle la gloire de Dieu» (Ap., 21/10-11), tout comme on chante dans l’axion de Pâques: „Illumine-toi, Illumine-toi Nouvelle Jérusalem, car la gloire de Dieu sur toi s’est levée!“.

L’Eglise la Nouvelle Jérusalem s’identifie avec la Jérusalem céleste, c'est-à-dire celle nouvelle, non pas avec la Jérusalem localisée comme ville sur la terre, ni avec les églises chrétiennes d’après le Christ, églises qui tolèrent le péché comme excuse pour l’impuissance de l’homme déchu. Elles ne sont qu’une pâle ombre de la cité sainte et céleste la Nouvelle Jérusalem.

Nous sommes hardis, nous aussi, en parlant de l’histoire de la Nouvelle Jérusalem, mais tout comme la Sainte Ecriture a été écrite par les prophètes, l’Evangile par les apôtres, ceux-ci parlant de l’histoire de Dieu depuis le début et au long des temps passé avec les hommes, tout aussi nous témoignons de l’histoire de Dieu, qui se passe de nos jours.

Oui, c’est vrai. Nos oreilles ont entendu et nos yeux ont vu, tout comme les prophètes ont entendu et les apôtres ont vu. Nous sommes les témoins des choses qui se sont passées dans la Jérusalem, celle des Roumains, témoins qui ont reçu et gardé «le témoignage de Jésus», «car le témoignage de Jésus, c’est l’esprit de la prophétie» (Ap., 19/10).

«Au commencement était le Verbe et le Verbe était auprès de Dieu, et Dieu était le Verbe.

Tout fut par Lui et rien sans Lui ne fut.

Le Verbe était la lumière véritable, qui venant dans le monde éclaire tout homme.

Et à ceux qui L’ont accueilli et qui croient en son nom, Il leur a donné pouvoir de devenir enfants de Dieu.

Et le Verbe s’est fait chair et Il a campé parmi nous. 

Et de Sa plénitude nous avons tous reçu, et grâce pour grâce.»

(St. Jean, 1/1,3,9,12,14,16)

Nous ne témoignons pas d’un événement, d’une vision merveilleuse, d’une découverte, de miracles qui se produisent par ailleurs, mais nous témoignons la plus grande merveille de tous les siècles, la gloire du Verbe Qui s’est fait chair, Qui a été dès le commencement auprès du Père : le Verbe de Dieu avec l’homme, tel qu’il a été dans l’Eden au début.

Il était une fois, pas depuis longtemps; car s’il n’avait pas été, on n’en raconterait pas.

Il a été, car c’était des temps durs pour ce qu’il avait resté de l’église chrétienne des Roumains. Le changement de 1924 du calendrier des saints l’avait privée des fêtes des saints, telles qu’on célèbre dans le ciel, telles que nos ancêtres les célébraient.

C’était l’année de Dieu 1955. Les icônes étaient descendues des murs des institutions, la religion était éliminée de l’école, et les prêtres dévoués et les chrétiens qui aimaient la sainteté et ses actes étaient déportés, emprisonnés et condamnés au travaux forcés ou même tués. Les prélats et les prêtres qui voulaient garder leurs rangs devaient accepter le compromis, la collaboration avec la sécurité communiste, devenant ainsi des antéchrists, des traîtres des chrétiens. La plupart des monastères ont été fermés et les moines et les sœurs ont été les uns renvoyés à leur maisons, d’autres poussés vers le mariage et d’autres ont été arrêtés.

C’était des temps troubles, de plus en plus troubles, comme il n’y avait pas eu depuis longtemps, de sorte qu’on ne pouvait plus se signer sans la peur d’être vu, surtout dans les prisons. On pourrait dire que c’était une nouvelle guerre pour la foi, mais quand il n’y en a pas eu? Il y en eu dans tous les temps, car les persécuteurs changent toujours de visage, mais pas de mœurs.

L’homme levait de nouveau le sabre contre Dieu, car Dieu ne veut pas la mort de l’homme, mais l’homme veut la mort de Dieu.

Et c’était le temps où les morts-mêmes criaient de leurs tombes. C’est a à cette époque que St. Calinic de Cernica a crié d’être tiré de sa tombe pour montrer sa sainteté, son pouvoir, son grand œuvre sur le pays des Roumains, pays qui allait recevoir la plus grande élection et le plus grand don, pour qu’il soit le siège de repos de la Parole de Dieu, peuple mariée, lieu de descente de la gloire de l’Eglise la Nouvelle Jérusalem, au temps accompli.

«Crie de joie, stérile, toi qui n’a pas enfanté; pousse des cris de joie, des clameurs, toi qui n’as pas mis au monde, car plus nombreux sont les fils de la délaissée que les fils de l’épouse» (Isaïe, 54/1) ou «Qui a jamais entendu de tel? Qui a jamais vu chose pareille? Peut-on mettre au monde un pays en un jour ? Enfante-t-on une nation en une fois? A peine était-elle en travail et la fille du Sion a enfanté des fils» (Isaïe, 65/8).

Et voilà que Dieu a choisi demeure, une vierge nommée Virginia, ce que signifie vierge. Et la vierge a été destinée, ainsi que l’on peut voir de sa vie, être dès sa naissance vase élu pour Dieu et trompette divine par laquelle a soufflé le Seigneur Lui-même, Dieu la Parole.

C’était le printemps de l’année 1955. Virginia a jeûné pendant la quarantaine avec seulement de l’eau et du pain bénits.

Dans la nuit des Pâques, à minuit, lorsque les cloches des églises sonnaient le Résurrection, les trois Saints, Basile, Grégoire et Jean sont descendus du ciel près de son lit et tous les trois ont touché sa tête de leur croix, en lui donnant l’onction divine de prophète, selon l’ordre de Melchisedek. Alors elle s’est élevée et a reçu d’eux la Sainte Eucharistie, et ensuite le Seigneur Dieu a commencé à parler par sa voix, car «Digne est l’Agneau de prendre le livre et d’en ouvrir les sceaux» (Ap., 5/9), puisque «Nul n’était capable ni dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, d’ouvrir le livre et de lire» (Ap., 5/3)

Et c’est comme ça que Dieu a parlé: «Paix à vous ! Jésus Christ est ressuscité ! Jésus Christ est ressuscité! Jésus Christ est ressuscité! Je suis le Seigneur Jésus Christ. Je ne suis pas en chair, Je suis en Esprit. Je suis descendu en Esprit sur la terre pour cueillir Moi – même un peuple et lui parler des choses cachées de ce temps. Je suis la Parole de Dieu et Je suis venu parler sur la terre, Me préparer le chemin du deuxième avènement, tel qu’il est écrit dans Mon livre. Ce n’est pas Moi cette chair. C’est une trompette, par laquelle Je sonne en ce temps pour vous annoncer tout ce que va se passer les jours qui viennent» (le 17/30 avril 1955).

Et notre Seigneur s’est servi pour la bénédiction des prélats qui servent dans la Jérusalem céleste, habillés de blanc, puisqu’ils sont dignes et ils n’ont pas souillé leurs vêtements (v. Ap., 3/4). Le vêtement blanc est vêtement patriarcal immaculé, que les patriarches de l’Eglise Orthodoxe Roumaine habillent aussi, eux seules parmi les patriarches du monde, car cela aussi est une chose cachée, propre à la terre choisie, au peuple romain.

L’année 1955 a été une année remarquable, car elle a marqué la moitié de la semaine, celle prédite par le prophète Daniel: «Et se considéra une alliance avec un grand nombre le temps d’une semaine, et au temps de la demi-semaine cessera le sacrifice et l’oblation, et sur l’aile du Temple sera l’abomination de la désolation jusqu’à la fin, jusqu’au terme assigné par le désolateur» (Daniel, 9/27), semaine de l’alliance conclue par les Roumains, qui signifie soixante-dix ans (1921-1991) semaine divine où résonnent les sept trompettes apocalyptiques, trompettes par lesquelles le Seigneur Dieu a soufflé, au commencement, en commençant par la première trompette, le prêtre J. Trifa, père de l’Armée de Dieu, ensuite Petrache Lupu de Maglavit, le prêtre Arsenie Boca, le prêtre Ioan de Vladimiresti, la mère Veronica de Vladimiresti, Virginia la sixième trompette et jusqu’à la descente du ciel de Dieu, de la cité sainte, la Nouvelle Jérusalem quand le septième ange a sonné, Jésus Christ la Parole.

Voilà donc l’année 1955 le début du Royaume de Dieu la Parole, car «Son nom est le Verbe de Dieu» «et un nom est inscrit sur Son manteau et sur Sa cuisse: Roi des Rois et Seigneur des Seigneurs» (Ap., 19/13,16).

Alors, dans le temple c'est-à-dire dans l’église chrétienne orthodoxe a resté l’abomination de la désolation, car la grâce est passée vers ceux qui ont embrassé la Parole. Quand le Seigneur Dieu ferme une porte, Il ouvre une autre, et ce changement a signifié grand tremblement, selon les dires des Ecritures: «„Encore une fois, Moi j’ébranlerai non seulement la terre mais aussi le ciel . Cet encore „une fois, indique que les choses ébranlées seront changées, puisque ce sont des réalités créées, pour que subsistent celles qui sont inébranlables. Ainsi, puisque nous recevons la possession d’un royaume inébranlable, retenons fermement la grâce, et par elle rendons à Dieu un culte qui Lui soit agréable, avec religion et crainte. Car notre Seigneur est un feu consumant» (Hébreux, 12/26-29).

Et c’est ainsi que l’on a commencé l’annonce des noces du Fils d’Empereur, L’Epoux divin avec la mariée des Roumains, car «heureux les gens invités au festin de noce de l’Agneau» (Ap., 19/9).

Celui qui a des oreilles, qu’il entende ce que l’Esprit dit aux Eglises: «Voici que Je vais faire une chose nouvelle, déjà elle pointe, ne la reconnaissez-vous pas? Oui, Je vais mettre dans le désert un chemin, et dans la steppe, des fleurs» (Isaïe, 43/19).

Et Il a parlé notre Seigneur Jésus Christ par Virginie.

Et la source de la Parole de Dieu a continué de couler jusqu’à ce qu’elle est devenue rivière de parole.

La nouvelle s’est répandue très vite aux alentours et il y avait bon nombre de ceux qui venaient boire de l’eau de la vie.

A ceux qui recevraient la Parole avec foi, Dieu donnait le pouvoir de se faire Ses disciples et Ses fils, nés d’en haut, de Sa Parole.

Et il a distribué notre Seigneur des dons aux disciples. Et l’esprit de la prophétie était distribué et il y avait des prophètes, cinq en tout, qui renforçaient la foi dans la Parole.

Mais on ne peut pas encore parler d’une église avec tous les membres du Christ, telle les charismes dans l’église chrétienne de début, puisqu’il n’était pas encore venu le temps des Pâques, celles Nouvelles, du nouveau sacerdoce avec l’onction selon l’ordre de Melchisédek, car parmi ceux qui s’approchaient de la trompette et des disciples, il y avait des traîtres, nuages emportés par les vents, qui n’avaient pas l’Esprit et qui incitaient à l’incroyance les faibles. Et il y a eu certains d’entre eux qui sont devenus des antéchrists, serviteurs de la bête et du dragon, et qui sont élevés de l’église (v. Ap., 13/4), car le dragon a commencé à persécuter la femme et sa famille spirituelle. Et le dragon a guetté à la bouche de la source de l’eau de la vie et ceux qui viendront vers la source: «Puis un second signe apparu au ciel : un énorme dragon rouge-feu, à sept têtes et dix cornes, chaque tête surmontée d’un diadème (….) En arrêt devant la femme en travail, le dragon s’apprête à dévorer son enfant aussitôt né » (Ap.,12/3,4).

Et notre Seigneur a accompli la parole, celle des Ecritures: «J’enfermerai ce témoignage et scellerai cette instruction pour Mes disciples» (Isaïe, 8/16).

Les chrétiens-disciples persévéraient en jeûne et prières et étaient tout le temps les premiers dans l’Eglise, en action de grâce vers le Seigneur, Celui Qui leur a donné un si grand don, de souffrir avec Lui. Et ils suivaient l’Agneau où qu’Il allait, car ils étaient envoyés dans les cités du pays. Et le nombre des chrétiens augmentait et le Seigneur les défendait des persécuteurs par des signes et des miracles.

Et voilà que le Seigneur Dieu a commencé à écrire Son livre avec le peuple chrétien, celui qui a cru à Sa venue.

Et c’est accomplie l’Evangile qui dit: «Quand Il viendra, le Fils de l’Homme trouvera-t-Il encore la foi sur la terre?» (Luc., 18/8).

Et les disciples cachaient le livre du Seigneur; car les persécuteurs confisquaient les écrits des paroles.

«Le serpent vomit alors de sa gueule comme un fleuve d’eau derrière la femme pour l’entraîner dans ses flots. Mais la terre vint au secours de la femme: ouvrant sa bouche, elle engloutit le fleuve vomit par la gueule du dragon» (Ap., 12/15-16).

Et comme on dit parmi les chrétiens, Virginie s’est endormie en 1980. «Et la femme reçut les deux ailes du grand aigle pour voler au désert jusqu’au refuge où, loin du serpent, elle doit être nourrie un temps et des temps et la moitié d’un temps», «où Dieu lui a aménagé un refuge» (Ap., 12/14,6).

Les souffrances et les autres faits de Virginie, en qualité de trompette du Seigneur, sont relatés partialement dans le chapitre „Sainte Virginie“, aux „témoignages des chrétiens“, et au chapitre concernant sa vie.

Et c’est ainsi que St. Virginie s’est faite pierre de fondation de l’église-mariée, sortie des Roumains.

«Alors, furieux contre la femme, le dragon s’en alla guerroyer contre le reste de ses enfants, ceux qui gardent les commandements de Dieu et possèdent le témoignage de Jésus» (Ap., 12/17) , puisque l’Esprit du Seigneur a continué à parler «par des rameaux», (Marie, la sœur de St. Virginie), tout comme Il avait promis par la voix de Virginie, avant qu’elle s’en aille au ciel: «Mes petits enfants, Je parle par la bouche de cet être. Soyez vigilants et ne jugez pas Dieu, car celui qui juge, sera jugé, et si cet être ne va plus exister, Dieu parlera par un petit rameau d’arbre, Il parlera par la pierre, mais n’oublie pas que la terre guérit par la souffrance. Dieu a conçu cette œuvre pour qu’Il soit pour toujours auprès de toi, car il y a des chrétiens qui disent: „Si Dieu travaille depuis tant d’années par cette créature, pourquoi a-t-elle encore des souffrances?“». (Extrait de La Parole de Dieu du 16 /29 août 1979); «Soyez sages, car Je serai avec vous jusqu’à la fin au milieu du monde.» (Extrait de La Parole de Dieu du 8/21 juillet 1965)

Et il y a eu alors, des temps durs «une grande tribulation, telle qu’il n’y en a pas eu depuis le commencement du monde jusqu’à ce jour, et qu’il n’y en aura jamais plus » (Matth., 24/21), puisqu’il se trouvait dans l’embarras tout le peuple de la Parole du Seigneur.

Et les paroles de Dieu étaient cueillies par les disciples, et enterrées. On cachait même les livres de prières, par peur des perquisitions.

Mais la parole du Seigneur coulait, coulait…

Et parmi ceux qui ont cru en cachette en ce temps–là il y a eu aussi le moine nommé Irineu, celui qui ensuite deviendra l’évêque Irineu, le témoin fidèle, pris de l’Eglise Orthodoxe Roumaine; et, en peu plus tard, les artistes plastiques Victoria et Marian Zidaru, qui se sont rapprochés des disciples chrétiens disciples et qui, au temps convenu, ont servi à la grande annonce.

Et au mois de décembre de l’année 1989 a eu lieu la Révolution Roumaine. «Michel et ses anges combattirent le dragon. Et le dragon riposta avec ses anges». Et le dragon «se tint sur la grève de la mer» (Ap., 12/7,18).

Et il y a eu grand victoire pour l’œuvre de la Parole de Dieu, car le Seigneur Dieu a sauvé Son peuple, puisqu’une partie des disciples devaient être emprisonnés et torturés, mais voilà que se sont leurs persécuteurs qui sont tombés à leur place. Et notre Seigneur a nommé Timisoara, ville martyre, et ceux qui sont tombés dans la Révolution, Ses martyrs, car ils ont payé le prix du sang que les chrétiens disciples devaient verser. «Cette cité vaut beaucoup pour Moi et voilà ce que Je vous dis: Souvenez-vous de Ma parole venue pour vous: car c’est comme ça que Je vous ai dit; Je vous ai dit de croire en Moi, de ne pas vous troubler, ou vous effrayer quand les maîtres de ce siècle viendront sur vous pour vous faire perdre de Ma face; et Je vous ai promis peu de temps avant que lorsqu’ils viendront sur vous, Je retournerai leurs armes contre eux-mêmes et Je vous sauverai, et ils périront au temps que J’ai décidé, et que Je vous ai annoncé avant qu’il soit accompli. Oh, Mes enfants, c’est ainsi que cette ville cité a donné de soi le prix pour la défense de l’œuvre de Ma Parole et au moment si dur pour vous, elle a émané grand feu de son sein et a abattu ceux qui s’étaient raffermis au–dessus de Dieu, et moi Je vous ai délivrés, enfants de Ma Parole» (Extrait de La Parole de Dieu, du 25 mars/7 avril 1994).

Voilà donc le moment où commence à sonner la trompette du septième ange, notre Seigneur Jésus Christ, Sa Parole, car comme il y a eu au début, ainsi est-il à la fin, puisque au commencement, dans l’Eden, le seigneur Dieu parlerait avec Adam en dehors de lui: du vent, des nuages, de partout, dans la fraîcheur du soir.

Et il y a eu l’année 1990, année d’éveillement pour toutes les cités où notre Seigneur Dieu s’était arrêté, au moins une fois, par Sa Parole, depuis l’année 1955.

Et toute âme qui a entendu Sa Parole a été appelée, même ceux qui se sont révoltés et que la terre a engloutis, même ceux qui on trahi et vendu leurs frères, avec toute leur maison, avec leurs fils et leurs filles, afin qu’ils soient tous parés comme une mariée et participants à la noce de l’Epoux Céleste.

Et les disciples qui accompagnaient la Parole partout où ils étaient envoyés, étaient raffermis par des signes et des merveilles, car pour beaucoup de gens ils étaient des inconnus, étant des nouveau-nés, comme disciples, dans le parcours de la Parole. Une partie des disciples qui ont cru en 1955, se sont endormis, et d’autres plus âgés, qui ont durement travaillé, ont fait place aux plus jeunes entrer dans leurs fatigues: «d’autres se sont fatigués, et vous, vous héritez de leurs fatigues» (Jean, 4/31).

Et l’appel a parcouru les cités, tout comme dans la parabole du fils d’empereur. «Il envoya ses serviteurs convier les invités aux noces, mais ceux-ci ne voulaient pas venir….et n’en ayant cure, ils s’en allèrent, qui à son champ, qui à son commerce…Alors il dit à ses serviteurs: „La noce est prête, mais les invités n’en étaient pas dignes. Allez donc aux départs des chemins et conviez aux noces tous ceux que vous pourrez trouver“» (Math., 22/3,5,8,).

Ensuite Il a soufflé, notre Seigneur Dieu, parole d’éveillement au-dessus de la Roumanie: «« Lève-toi, Ma Roumanie! Lève–toi, Ma Bien-aimée ! Secoue ton joug et viens vers la gloire, oh, cité de Mon amour!...» (Le 12/25 octombre 1990), et Dieu a répandu sa renommée des extrémités aux autres extrémités (par le poste de radio L’Europe libre).

Et peu après on a reçu du Seigneur Dieu annonce pour la construction de l’Eglise la Nouvelle Jérusalem, l’arche de l’alliance du Saint des Saints. Et la parole s’est faite chair, car la parole est descendue du haut, du ciel, de Dieu et les disciples, par leur foi, lui ont donné chair, accomplissant ainsi les Ecritures qui disent : «Et puis je vis un ciel nouveau, une terre nouvelle car le premier ciel et la première terre ont disparu, et de mer, il n’y en a plus. Et je vis la Cité Sainte, Jérusalem Nouvelle, qui descendait du ciel, de chez Dieu ; elle s’est faite belle, comme une jeune mariée parée pour son Epoux. J’entendis alors une voix clamer du trône: „Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura Sa demeure avec eux ; Ils seront Son peuple, et Lui, Dieu-avec-eux, sera leur Dieu“» (Ap., 21/1-3).

Et la terre où a été construite l’église-arche, était la toute première terre, celle de laquelle le Seigneur Dieu a crée l’homme, Adam, au début.

Et on a clôturé la cité, et on a fixé la loi de la sainteté, nouvel engagement, descendu de Dieu et renforcé par la main de l’évêque Irineu, le témoin fidèle venu de l’Eglise Orthodoxe Roumaine, dont l’impiété Dieu a voulu pardonner, en lui tendant la main par l’évêque Irineu, qu’Il a nommé «l’ange de l’Eglise». «Je connais ta conduite: voici J’ai ouvert devant toi une porte que nul ne peut fermer, et, en disposant pourtant de peu de puissance, tu as gardé Ma parole sans renier Mon nom. Voici Je forcerai ceux de la synagogue du Satan, qui usurpent la qualité de Juifs, les menteurs- oui, Je les forcerai à venir se prosterner devant tes pieds, à reconnaître que Je t’ai aimé. Puisque tu as gardé Ma consigne de constance, à Mon tour Je te garderai de l’heure de l’épreuve qui va fondre sur le monde entier pour éprouver les habitants de la terre. Mon retour est proche, tiens ferme ce que tu as, pour que nul ne ravisse ta couronne » (Ap., 3/8-11).

Et il y a eu un messager envoyé chez Michel I-er, roi de tous les Roumains, et celui-ci a accepté de patronner l’église de son nom, à côté du nom de l’évêque Irineu.

Et on a eu grand aide de la part du Seigneur Dieu, car le temps-même a été soumis. Et on a élevé l’église et les clôtures en trois mois seulement. Et dans le quatrième mois du calendrier ecclésiastique, en décembre 1992, on a consacré l’église-arche, et on a établi les Pâques Nouvelles, Sacerdoce impériale, selon l’ordre de Melchisédech, car l’Esprit a clairement précisé pour les disciples, qu’ils choisissent trois jeunes hommes, pour être oints serviteurs de Dieu, dans L’Eglise Nouvelle Jérusalem.

Et voilà qu’ils se sont montrés les trois Saints Basile, Grégoire et Jean vêtus de blanc, comme prélats, et ils ont oint d’onction céleste les trois jeunes serviteurs, se déclarant leurs protecteurs depuis le Ciel, de Dieu et cela s’est passée dans la présence de beaucoup de témoins, et l’onction céleste est apparue, signe visible, sur le front des trois serviteurs. Et la Parole de Dieu a accompagné cette onction céleste et a béni les Pâques nouvelles. Et c’est ainsi que s’est achevée l’Eglise, celle active, avec tous les membres, comme l’église apostolique du début. «Le vainqueur, Je le ferai colonne dans le temple de Mon Dieu; il n’en sortira plus jamais et Je graverai sur lui le nom de Mon Dieu, et le nom de la Cité de Mon Dieu, la Nouvelle Jérusalem, qui descend du Ciel, de chez Mon Dieu, et le nom nouveau que Je porte» (Ap., 3/12).

Et il y a eu en 1992 l’accomplissement de toutes les prophéties, puisqu’on a compté les 7500 ans depuis la création du monde, et le Seigneur Dieu a écrit la fin du temps de l’homme et le début de Son Royaume sur la terre. «Nous Te rendons grâce, Seigneur, Dieu Maître-de-tout, Il est et Il était, parce que Tu as pris en main Ton immense puissance pour établir Ton règne. Les nations s’étaient mises en fureur ; mais voici Ta fureur à Toi, et le temps pour les morts d’être jugés; le temps de récompenser Tes serviteurs-les prophètes, les saints et ceux qui craignent Ton nom, petits et grands, et de perdre ceux qui perdent la terre. Alors s’ouvrit le temple de Dieu, dans le Ciel, et son arche d’alliance apparut dans le temple, puis ce furent des éclairs et des voix et des tonnerres et un tremblement de terre et la grêle tombait dru…» (Ap., 11/17-19).

Et la Parole de Dieu travaillait à grande puissance et annonçait l’Eglise la Nouvelle Jérusalem et son peuple-mariée, issu des Roumains.

Mais la bête qui s’est élevée de l’église et qui a pris le pouvoir du dragon «elle se mit à proférer des blasphèmes contre Dieu, à blasphémer Son nom et Son demeure, et ceux qui demeurent au ciel» (Ap., 13/6).

Et il y a eu grand obscurité, durant trois jours, dans le synode de l’église hostile à Dieu (Janvier 1993).

Et Seigneur Dieu a envoyé lettre au Synode, „des nouvelles du Ciel“, Sa Parole. Mais ils n’ont pas fait attention à la Parole de Dieu. Et après trois jours, l’évêque Irineu a fléchi, car on a donné le pouvoir à la bête. «Alors elle se mit à proférer des blasphèmes contre Dieu, à blasphémer Son nom et Sa demeure, ceux qui demeurent au ciel. On lui donna de mener campagne contre les saints et les vaincre; on lui donna pouvoir sur toute race, peuple, langue ou nations. Et ils l’adoreront, tous les habitants de la terre dont le nom ne se trouve pas écrit, dès l’origine du monde, dans le Livre de Vie de l’Agneau égorgé. Celui qui a des oreilles, qu’il entende! Les chaînes pour qui doit être enchaîné; la mort par le glaive pour qui doit périr par le glaive! Voilà qui fonde l’endurance et la confiance des saints» (Ap., 13/6-10).

Et voilà accomplie l’Ecriture: «Regardez, contempteurs, soyez dans la stupeur et disparaissez! Parce que de vos jours Je vais accomplir une œuvre que vous ne croiriez si on vous le racontait» (Actes des Apôtres, 13/41).

Et il y a eu grand tremblement; puisqu’elle a chancelé la foi de beaucoup d’entre ceux qui attendaient la victoire de l’évêque Irineu, près du nom de la Nouvelle Jérusalem. Mais la Parole de Dieu coulait et n’a pas fléchi, elle a continué son œuvre.

Et Il a raffermi notre Seigneur Dieu des disciples pour annoncer Son œuvre, parmi lesquels les artistes plastiques Victoria et Marian Zidaru. Leurs expositions d’art, avec des œuvres prophétiques, ont traversé tout le pays et sont arrivées même à l’étranger, portant partout l’annonce du travail que Dieu déploie en Roumanie. Et ils renforçaient cette annonce par des actions artistiques prophétiques par lesquelles, on annonçait la purification de la Roumanie, par la descente du feu du Saint Esprit, qui va brûler l’impiété et raffermir ceux qui travaillent dans la sainteté.

Pendant ce temps les disciples ont renforcé le jeûne et ont gardé la parole que Dieu a adressée à Adam dans l’Eden, de se nourrir seulement des fruits de la terre.

Et au jour des Pâques de l’année 1995, «Il a remporté la victoire, le Léon de la tribu de Juda, le Rejeton de David; Il ouvrira donc le livre aux sept sceaux», car digne est l’Agneau de prendre le livre et d’en ouvrir les sceaux (Ap., 5/5,9). Et voilà sorti de l’imprimerie le grand livre, l’Evangile des quarante années d’annonce de Dieu La Parole, 1955-1995, ainsi que notre Seigneur l’avait dit il y a longtemps déjà, par la voix de Sa trompette: «Je vais Me faire livre entre le ciel et la terre et le monde va dire: „Qu’est–ce que cela pourrait être?“» (le 6/19 déc. 1965); «Peu de temps encore et nous allons nous donner la main et nous allons lire le livre de la prophétie d’aujourd’hui, du début jusqu'à la fin, devant des millions et des millions de gens» (3/16 Juillet 1966)

Depuis cette date on a commencé l’impression du journal-revue „La Parole de Dieu“. Ces journaux-revues ont accompagné les expositions d’art sous forme de catalogue d’art, portant les noms de l’exposition et de son auteur, Marian Zidaru. Et les journaux sont «les feuilles de l’arbre de la vie, qui peuvent guérir les païens» (Ap., 22/2).

La même année a pris naissance la Fondation „Sainte Virginia - la Cité Sainte la Nouvelle Jérusalem“, qui va patronner toutes les manifestations chrétiennes et culturelles des disciples.

Tout aussi, en 1997, le Seigneur Dieu a délié le nœud du dessus de la cité Targoviste et de toute la Roumanie, l’anathème du Saint Niphon, qui datait depuis plus de 490 ans, c'est-à-dire soixante dix semaines d’années: «Sont assignées septante semaines pour Ton peuple et Ta ville sainte, pour mettre un terme à la transgression, pour apposer les scellés aux péchés, pour expier l’iniquité, pour induire éternelle justice, pour sceller vision et prophétie, pour oindre le Saint des Saints» (Daniel, 9/24).

Et il y a eu un Dimanche des Rameaux, où notre Seigneur Dieu avec Son peuple ont traversé solennellement les rues de la vieille Capitale de Valachie, depuis la Porte de la Cité jusqu’aux ruines du Palais princier et la Tour du Couchant. Et cela a été œuvre de prophétie, et de prière faite par les trois prêtres de l’Eglise la Nouvelle Jérusalem et on a prononcé de déliement de l’anathème par Saint Niphon-lui-même, qui est venu en parole dans la Parole du Seigneur, et ce fut déliement historique, prononcé par la Parole de Dieu:

 

«C’est Moi, et Mon nom est La Parole de Dieu, car c’est écrit que: Il vient avec les nuages et avec les dizaines de milliers de saints et Son nom est la Parole de Dieu . Amen.

 Je suis Celui Qui est. Je viens du ciel sur la terre et Je Me fais parole, et Je Me fais Epoux, puisqu’elles sont venues les noces de l’Agneau et la Mariée s’est préparée. Ils sont vraiment heureux ceux qui sont appelés au festin de noces de l’Agneau.

Je suis le Grand Prêtre, Celui Qui a traversé les cieux et Qui a souffert parmi les hommes, et avec les hommes, étant soumis en tout à la tentation, tel que l’homme l’est, sauf le péché. Je n’ai pas pris de Moi-même cette dignité, mais c’est le Père Qui Me l’a donnée, selon ce qui est écrit: Tu es Mon Fils, Moi, aujourd’hui Je t’ai engendré. Tu es Prêtre à jamais, selon l’ordre de Melchisédech.

Je suis Celui Qui est, mais le peuple par lequel Je suis venu du Père ne M’a pas reçu comme envoyé du Père, alors Je Me suis dirigé vers les nations de la terre, et Mon Père M’a donné à Ma naissance la Roumanie pour qu’elle soit le pays de Mon retour avec les nuées, pour qu’elle soit le pays de la gloire, des jours de la fin, car tout comme s’est passée à Mon ascension auprès du Père, telle est Ma venue ; Je viens avec les nouages et avec des dizaines de milliers de saints ;Je viens tout en venant. Amen.

Je viens chez toi, Mon pays de noce, car c’est le Père Qui Me t’a donné pour être Mon pays de retour parmi les hommes. Reçois-Moi! Je viens en parole chez toi, car J’ai au milieu de toi le peuple de Ma Parole, crèche chaude dans laquelle naît d’en haut la Parole de Dieu, Qui vient avec les nuées tel l’oiseau qui fait son nid à l’auvent d’une maison, il y pose ses petits pour les naître et les nourrir en sillonnant les nues, en venant, en montant et en descendant, descendant et montant et de nouveau descendant pour nourrir les petits du nid, les élever et les enseigner à voler dans les nues. Je suis Celui Qui est. Je viens avec les nuées chez toi, Mon pays de noce, Je viens avec les saints, sur un cheval blanc et les armées du ciel Me suivent sur des chevaux blancs, et de Ma bouche sort la parole et sur Ma cuisse et sur Mon manteau il y a Mon nom écrit: «Le Roi des Rois et le Seigneur des seigneurs», tel qu’il est écrit dans les Ecritures que Je vienne.

Lorsque J’ai dû relever de nouveau la Jérusalem, qui s’était ruinée à cause de ses péchés, J’ai entendu de la terre des appels au secours pour que Je vienne sauver Israël, celui qui était accablé par le châtiment de son infamie; J’ai entendu Daniel qui M’a rappelé des promesses que J’ai faites à Israël, confessant devant Moi les péchés de son peuple, s’humiliant soi-même pour Israël, alors Je suis descendu chez lui et Je lui ai annoncé: soixante-dix semaines d’années sont assignées pour Jérusalem, afin de mettre un terme à la transgression, jusqu’à ce qu’Il vienne, le Saint des Saints souffrir pour l’homme, et qu’Il détruise la cité, qui sera dans l’angoisse jusqu’au bout. Mais alors Je viendrai et Je conclurai une alliance avec un grand nombre, le temps d’une semaine et beaucoup de ceux qui dorment au pays de la poussière s’éveilleront, et les sages resplendiront. Et Daniel priait encore disant: Mon Maître, c’est pour quand? . Mais Je lui ai dit: Daniel, ces paroles sont scellées jusqu’au temps de la fin, et alors beaucoup seront lavés, blanchis, purifiés et pas un des méchants ne comprendra Mes paroles, mais seulement les sages comprendront car ils évitent la voie de l’iniquité et restent avec le Saint Esprit, le Conseiller des hommes sages. Et toi Daniel, tu te lèveras, pour ta part, à la fin des jours. Amen.

J’ai demandé aux fils de Ma Parole d’intercéder pout toi, pour ta résurrection, oh, Ma Roumanie, Mon pays de noce, pays de Splendeur, celui prophétisé par le prophète Daniel. Je viens chez toi peuple du Saint-Esprit, Je viens conclure avec toi acte de réconciliation avec Moi. Je viens du Père et J’ai Ma crèche au milieu de toi, où Je te nais en parole et Je te nourris des Mes choses cachées, puisque toi tu as été sous la croix, mais Moi Je t’ai aimé depuis Ma naissance et Je t’ai élevé, et Je t’ai choisi Mon pays, et Je t’ai fait naître de Moi, de Mon nom, Je t’ai fait naître, Ma Roumanie, et Je t’ai donné Mon nom, Je t’ai nommée chrétienne, selon Mon nom, par celui que J’ai envoyé chez toi avec la petite chemise de baptême, avec de l’eau et de Saint-Esprit (le saint apôtre André-n.r.), et Je t’ai nommé Roumain, peuple de Mon pays. Et J’ai veillé sur toi dans la joie et dans la douleur, et Je t’ai gardé pour que tu existes, pour être à Moi, car le Père Me t’a donné à Ma naissance, te naissant de Moi. Tu as une belle histoire dans le ciel, et voilà ce que Je fais: Je viens en parole sur ta terre et J’écris ton secret, et Je Me fais livre en toi et J’écris Mon histoire avec toi et Je te proclame le Mien pour que tous les peuples de la terre entendent que tu es l’achèvement de Ma venue. Mais tu as un nœud sur toi, oh, Mon pays, et Je viens le prendre de ton dessus. Comme en Jérusalem, J’entre chez toi, J’entre sur un cheval blanc et Je Me fais parole au-dessus de toi, et par Ma parole Je travaille pour délier le lien qui est sur toi. Toi, pour tes iniquités tu as été soumis à la loi, car celui qui pèche est châtié par la loi. Il y a soixante–dix semaines d’années depuis que J’ai mis le lien sur toi, pour ton impiété, car il est écrit que: S’il y en a un qui pèche dans la cité, toute la cité souffre l’iniquité. Et après 490 années, car c’est cela que signifie ce qui est écrit dans le livre de Daniel sur les soixante-dix semaines, Je suis venu chez toi et J’ai prononcé le déliement du nœud mis sur toi depuis si longtemps, et toi, en entendant tu n’as pas entendu, Mais Moi, J’ai travaillé et j’ai délié ton nœud. Et maintenant Je viens et Je t’annonce ce que J’ai fait pour toi, Mon pays, Ma Roumanie, Ma bien-aimée, toi qui es sous la croix. J’ai bâti une nouvelle pierre, J’ai planté une nouvelle vigne, un nouveau sarment. Un caillou blanc Je t’ai offert, sur lequel J’ai écrit de Ma propre main: La Parole de Dieu , et personne ne comprend ce qu’il y est écrit, mais seulement celui qui le reçoit, conformément Aux Ecritures; personne sauf le peuple de Ma Parole, au milieu duquel Je Me suis fait livre pour toi, Mon pays, pour te bénir et te relever peu à peu de la poussière, selon ce qui est écrit que J’éveillerai un grand nombre de ceux qui dorment au pays de la poussière: les uns pour la vie éternelle, les autres pour le jugement éternel.

J’ai né de Ma parole un peuple au milieu de toi, et de toi J’ai choisi Ma mariée, Mon pays. Au milieu de toi j’ai fondé une église immaculée, église selon Ma volonté, non pas à celle de l’homme, car accablante est pour Moi l’impiété de l’église du monde, et Moi j’avais besoin d’église aux membres intègres et saints, à corps propre aussi, qui s’appelle Mon église. Je Me suis élevé au milieu de toi un peuple propre, une église vivante, pour pouvoir travailler le déliement au-dessus de toi. Et voilà maintenant Je viens au milieu de ta multitude, et Je M’annonce au milieu du peuple de Ma parole, et Je t’annonce, toi que Je suis venu pour te relever. Lève-toi, Je te dis! Amen. Amen. Amen.

Je suis Celui Qui est et Je suis au milieu de toi avec les fils de Ma parole, des fils oints par Moi-même, le Grand Prêtre du Père Sabaoth assis à la droite du siège de la gloire dans les cieux, puisque Je Me suis présenté Moi- même offrande devant le Père, tout comme les prêtres apportent leurs offrandes pour leurs péchés et pour ceux du peuple. Voilà donc Je suis avec les fils de Ma Parole au milieu de toi, Mon pays, et voilà ce que Je leur dis:

Mes fils oints, 490 années se sont écoulées, soixante-dix semaines d’années se sont écoulées depuis le moment où on a mis lien sur la Roumanie et sur son Eglise; car J’ai eu ici un prélat selon Mon image, qui a frappé d’anathème l’infamie qu’il a vu se manifester, et qui ensuite est parti après avoir été chassé du siège de l’église. Il est écrit que: Celui qui n’aime pas Dieu, qu’il soit anathème . Oh, l’infamie avait débordé, ainsi que le Prélat Niphone s’est prononcé contre elle, et ce lien demeura. Maintenant Moi, Je viens prononcer le réveil au-dessus de Mon pays, pour le tirer de cette culpabilité.

Mes fils oints, Je veux travailler par vous, car c’est en vous que J’ai bienvoulu, et Je vous aime puisque vous aussi vous M’aimez accomplissant Mes commandements, car il est écrit que: Celui qui garde Mes commandements est celui qui M’aime. Et maintenant, à Mon nom, levez les bras vers le Père et dites avec Moi, le Grand Prêtre du ciel:

Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit on déchire et on délie le lien fait sur la Roumanie, pour qu’il soit délié dans le ciel et sur la terre. Amen.

Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, on bénit le pays roumain avec les bénédictions du ciel, avec les bénédictions des nues, avec les bénédictions de la terre élue par Dieu, avec les bénédictions des hauteurs éternelles avec les bénédictions des seins du ciel. Amen. Je suis Celui Qui est et Je bénis par la parole venue avec les nuages:

On bénit le pays roumain avec le don de la foi sainte, et par cette foi qu’elle soit remplie de Mes dons éternelles, car Je viens avec le siècle nouveau, celui de la foi, Je viens avec le ciel et la terre nouvelle au-dessus de celles vieillis, et l’infamie sera jetée au feu, pour que l’homme puisse se lever vers les choses bénies des dons célestes. Amen. Je suis Celui Qui fait la paix entre le Père et l’homme. Je suis Celui Qui réconcilie l’homme croyant avec le Père. Je suis Celui Qui est. Amen.

Lorsque Moïse M’a demandé quoi devrait-il dire à Israël, quand il ira le faire sortir de l’Egypte, par Mes mains puissantes, quand il M-a dit: Seigneur, Qui devrai-Je leur dire que Tu es? , Je lui ai répondu de leur dire de Moi que: Je suis Celui Qui est . La même réponse J’ai pour vous aussi, fils de Ma Parole: Je suis Celui Qui est, Je suis Celui Qui vous envoie, et vous êtes Mes envoyés, vous êtes Mon don envers les hommes qui croiront en Moi par vous. Amen.

Je suis venu avec les nuées et avec les saints et j’ai près de Moi Mon prélat, le patriarche Niphon, pour tout le monde. Je suis dans lui, et il est en Moi et de Moi il prononce parole de la parole, au-dessus de toi, Mon pays:

— Oh, Seigneur, Dieu des vivants, d’Abraham, de Isaak et de Jacob! Oh, Seigneur, Dieu des vivants du peuple roumain !Moi je suis Roumain inscrit dans le Ciel, car c’est ici que j’ai eu mon dernier appel, et Toi, Tu m’as appelé pour que je me fasse Roumain et que je sois nommé saint par le peuple roumain et par tout le monde, celui des croyants.

Oh, Seigneur, Grand Prêtre, Celui Qui sied à la droite du siège de la gloire dans les cieux ! Soixante-dix semaines d’années ont passées sur la Roumanie jusqu’à ce qu’il soit accompli le nombre des années, et à la fin de ces années Tu as fait en Roumanie un peuple à Ton plaisir, Tu T’as fait parole au-dessus de lui.

Tu es entré avec la fête des Rameaux dans la cité, ancienne capitale de la Valachie, et moi avec Toi, parmi les dizaines de milliers de saints, avec lesquels Tu viens. Bénis la Roumanie et parachève avec elle Ton œuvre de ciel nouveau et de terre nouvelle et parole nouvelle, et Pâques nouvelles, car Tu as un peuple nouveau au milieu d’elle. Les fils de Ta Parole T’ont prié, tout comme l’a fait le prophète Daniel pour Jérusalem. Je bénis moi aussi, en Ton nom, les fils de Ta parole pour que le peuple roumain sache qu’ils sont Tes envoyés pour la Roumanie. Aide la Roumanie et offre lui le don de la foi sainte, et par la foi, qu’elle fasse Ta volonté et qu’elle accomplisse Tes Ecritures de la foi, oh Seigneur, car c’est en elle que Tu accomplis Ta venue, puisque Tu viens en venant et Tu Te fais parole sur elle, et Tu resplendis par la parole, et elle resplendit sous la lumière de Ta parole, et les choses prophétisées pour elle, viennent vers elle.

Oh, pays du Seigneur, lève-toi et reçois la gloire de Dieu! C’est à toi que je dis : lève –toi et reviens à la vie, car je suis venu avec le Seigneur chez toi et je touche ton front et prononce bénédiction et délie tes liens pour qu’ils soient déliés dans le ciel aussi. On a entendu au ciel la prière des fils du Jardin de la Parole du Seigneur et je viens avec Lui et j’accomplis la bénédiction sur toi. Amen.

Et Toi Seigneur, glorifie-Toi dans ton peuple bien-aimé, dans lequel Tu as bienvoulu. Amen.

— Oh, Mon prélat, ce que tu as lié en Mon nom, a été lié et ce que tu as délié en Mon nom, Je délie et Je mets bénédiction et sainteté sur les choses purifiées par la parole. Amen.

Et vous, fils oints, pour ce temps-là, levez une fois de plus vos bras et dites avec Moi: Notre Père, nous Te remercions de nous avoir écouté. Amen.

Ne soyez pas tristes du fait que personne de la terre ne vous bénit, Mes fils, puisque vous êtes Mes bénis et ceux de Mon Père Sabaoth. Moi non plus Je n’ai pas été béni sur la terre. Ils M’ont maudit tous et M’ont donné à la souffrance. N’attends pas bénédiction de la part des hommes, Israël roumain, car tu dois Me ressembler, Mon petit fils. Soit que J’aie Moi aussi quelqu’un sur la terre qui Me ressemble, car les hommes de la vanité sont beaucoup trop nombreux sur la terre, trop de seigneurs sur la terre, et Moi, le Seigneur, Je suis abaissé par la gloire de l’homme.

Oh, Israël roumain, Ma petite vigne, Ma nouvelle vigne, Ma douce vigne, tu t’es laissé greffée et tu M’as reconnu de Maître, quand Je suis venu voir Mes fruits et les cueillir. Donne des fruits, Mon enfant, par le don de la foi! Donne bénédiction de la bénédiction que tu as reçue! Les Miennes de Miennes Je vous donne, afin que la Roumanie ait son Dieu. Amen.

C’est jour de fête d’Entrée en Jérusalem. J’entre avec la Jérusalem Céleste au milieu de toi, Mon pays de noce, et Je célèbre noce de siècle nouveau au milieu de toi, avec Mon peuple-mariée, et toi tu y participes, Mon pays. C’est la fête des Rameaux, et Mon peuple chante au milieu de toi; des rameaux fleuris à la main. Embrasse Ma mariée, Mon pays et reçois–Moi par Mes envoyés. Moi Je suis en eux et eux ils sont en Moi. Paix à toi! Paix à toi! Paix à toi! Béni est celui qui vient chez toi au nom du Seigneur!

Paix à toi, cité de Targoviste! Paix à toi et réjouis-toi et fais-toi Jérusalem nouvelle devant Moi. C’est à toi que Je dis: lève-toi, et reviens à la vie et fais-toi amour envers Moi!

Au nom du Père et du Fils et du Saint Esprit, Je M’inscris avec toi dans le Livre de Vérité, Mon pays, Roumanie, Ma bien-aimée, Mon pays de noce, tu vivras et tu resplendiras de Ma gloire, car Je suis Celui Qui est et c’est en toi que Je veux bien. Amen, Amen, Amen».

le 7/20 avril 1997

(Cette parole de déliement de l’anathème du Saint Niphon a été lue en entier à la Porte de la cité de Targoviste, devant la multitude réunie à cette fête, annoncée auparavant.)

 

Et pourtant la calomnie et le mensonge de la bête et des incroyants n’ont pas cessé, mais le pouvoir leur a manqué, si non sur les lâches et les dépravés et les idolâtres, dont les noms ne sont pas inscrits dans le Livre de la Vie.

Et voilà qu’aux environs du monastère se sont élevées encore d’autres constructions par accomplissement céleste, parmi lesquelles brillent „la Maison de la Rencontre“ et „le Jardin de la Rencontre“, lieux de rendez-vous de Dieu avec les hommes, collier de perles selon les paroles du Seigneur qui a dit «Et on mettra ensuite une couronne de perles célestes autour de cet ouvrage et celles-ci vont éclairer les foules qui vont s’abreuver de cette source et ce sera la consolation sur Jérusalem» (1/14 octobre 1991).

Et tout ce que l’on a construit: les maisons, les jardins, les fontaines, les murs, ce sont le travail des mains des disciples.

Et à l’inquiétude des disciples sur la multiplication des terrains et des maisons, la parole de Dieu a répondu: «Ne doutez pas de Mon travail avec vous et sur vous car Je vous ai dit: Je fais tout neuf, Je fais ouvrage saint. J’ai sanctifié vos noms et vos vies et l’œuvre de vos mains et Je fais par vous des choses saintes, car celui qui est saint, travaille saintement et toute chose faite par les saints est pour Moi, non pas pour eux. J’ai sanctifié votre nom et vie et œuvre et Je vous ai nommé Jérusalem Nouvelle, peuple nouveau, cité des saints, citoyenneté céleste sur la terre, ciel nouveau et terre nouvelle, car c’est depuis sept siècles que J’attende la venue sur la terre de Mon Royaume avec les hommes. Soyez des hommes nouveaux jour et nuit, soyez Ma venue et Mon Royaume à tout instant et votre lumière ne s’éteindra aux siècles des siècles. Amen. Amen. Amen»  (le 15/28mars 1999).

Et puisque Dieu, notre Seigneur a vu que tout ce qu’Il a travaillé par la parole était bon, Il annonça des jours de fête, nommés „les Fêtes de la Chrétienneté Roumaine, jours de fête du ciel sur la terre, jours de noces célestes, pendants lesquelles notre Seigneur Dieu Se repose au-dessus des multitudes avec Sa parole et Son peuple-mariée, car la mariée de l’Epoux est le signe de la fin du siècle et du début de l’éternité.

Et voilà s’accomplir les Ecritures: «Il arrivera dans la suite des temps que la montagne de la maison de Dieu sera établie en tête des montagnes et s’élèvera au-dessus des collines. Alors toutes les nations afflueront vers elle, et alors viendront des peuples nombreux qui diront: „Venez, montons à la montagne de Dieu, à la maison de Dieu de Jacob qu’Il nous enseigne Ses voies et que nous suivions Ses Sentiers“; Car de Sion viendra la loi et de Jérusalem la Parole de Dieu» (Isaïe, 2/2-3)

«...car le temps est proche», «et l’Esprit et l’Epouse disent: Viens !“. Que celui qui entend dise: Viens !“. Et que l’homme assoiffé s’approche et que l’homme qui désire, reçoive l’eau de la vie gratuitement» (l’Ap., 22/10,17).

Les disciples

 

 

 


 

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