La Parole de Dieu à la Fête de la Pentec Effusion du Saint-Esprit, deuxième jour: La Sainte Trinité

Les armées célestes se sont tenues au-dessus dans l’esprit de la fête du Saint-Esprit, on n’a pas levé la table de fête et Nous restons avec vous aujourd’hui aussi, fils de la cité de Ma parole, oh, et Nous avons à travailler l’œuvre de disciple de Jésus-Christ, fils du même travail que Moi devant ceux qui s’approchent de l’esprit de Ma venue en parole au-dessus de la terre en Mon temps avec vous, car Ma parole de création de l’homme nouveau c’est pour vous et pour ceux à qui Mon Père veut se découvrir par Son Fils, par Moi, et Moi par vous, Mes fils, parce-que Je suis la Parole du Père, et vous êtes Ma parole.

Oh, on n’a pas levé la table de fête du Saint-Esprit, Nous sommes restés tous ici et Nous avons fait de la veille, œuvre de veille, selon l’œuvre de ceux du ciel. Et encore les endormis ont eu l’occasion et la merveille de reposer leur esprit et leur désir saint pour encore une mesure de jour et de nuit, arrêt avec une plus grande joie pour eux, et ensuite la table se lève et on va chacun au travail partagé du Père, Nous, ceux du ciel et vous ceux qui servez ici au Père, et Nous mettons devant Lui le fruit du travail de tous les moments qui unissent le ciel avec la terre, en œuvre céleste et spirituelle, et cette sorte de travail, cette œuvre est si secrète, qu’il ne peuvent la sentir, la comprendre avec la raison et avec le cœur ceux qui viennent passer les fêtes avec le Seigneur sous le mystère de cette montagne sainte, oh, et on a besoin de beaucoup, beaucoup de conseil, les fils, on a besoin d’œuvre de disciple toutes les fois que le Seigneur a ici ceux qui se rassemblent devant Lui à l’occasion des fêtes.

Nous, ceux du ciel, Nous avons pris pleins de désir saint, tout ce que l’on a mis sur la table de fête ici, mais le désir saint de ceux du ciel est autre chose que celui de ceux qui viennent de la terre chez vous pour Ma venue à vous en parole, pour leur venue à vous pour le Seigneur, Celui Qui vient afin de Se donner à ceux qui désirent de Lui.

Oh, les fils, tant que J’attendrais voir le chrétien rangé selon Mon désir envers l’homme, désir saint long de sept mille ans, Je n’arrive point apaiser cette nostalgie, qui Me fait mal, puisque l’homme est couvert de beaucoup de trop de glaise, car c’est ainsi sur la terre avec l’homme, et c’est pour cela qu’il brûle le désir saint en Dieu, le désir après l’homme qui ne vient plus, car il ne vient pas entièrement celui qui vient être avec le Seigneur, sur la voie qui va de la terre vers le ciel. Les choses visibles, celles entre lesquelles l’homme vit sur la terre, ces choses retiennent trop l’homme sur la terre, elles lui font difficile la voie, elles lui éteignent le désir saint par lequel son esprit languit, sans que sa raison comprenne trop cela, la raison humaine de l’homme.

Quelquefois Je dis des choses difficiles à pénétrer par la raison de ceux qui Me cherchent avec leur désir saint, oh, les fils! J’ai travaillé tout aussi difficilement, tout aussi péniblement il y a deux mille ans avec la voix de Mon Esprit entre les disciples, entre ceux d’alors très maladroits pour les mystères difficiles à pénétrer de Ma recherche après l’homme voyageur en arrière, vers le paradis perdu, et difficilement à ouvrir par la petite force de l’homme, endolori à cause de la perte du paradis et de son repos, car cette douleur, si vive dans l’homme durant tout son temps sur la terre, et ensuite au temps jusqu’à Ma venue avec la gloire au jour de la victoire complète du Seigneur, cette douleur ne s’habitue pas n’importe comment avec l’homme, puisque l’homme ne comprend pas ce qu’il cherche dans toute sa recherche depuis sa naissance et jusqu’à la gloire nouvelle, qui restera dominante après que le bonheur éternel recevra le repos parfait de Dieu et ceux qui le cherchent entre la terre et le ciel, le long du temps où la terre et le ciel seront encore en attente, jusqu’à ce que toutes, toutes les choses seront de nouveau en Dieu, oh, les fils.

Je regarde l’homme, oh, il est lourdaud l’homme, et le désir saint de Dieu augmente toujours, à la suite de l’homme, qui a fermé le paradis par sa chute du paradis. Il languit l’homme après le paradis perdu et ce sentiment augment en lui, oh, et sa raison ne sait comprendre sa recherche. J’attends depuis deux mille ans que l’homme puisse porter avec son cœur et sa raison une grande œuvre, l’explication du mystère du désir saint dans l’ homme et dans Dieu, désir qui attend toujours le moment de la rencontre, moment si attendu d’une part et de l’autre, dans l’homme et dans Dieu, oh, et ce mystère a encore à attendre pour son éclaircissement de la part de l’homme, et l’attente du Seigneur dépend de la raison de l’homme, qui éloigne et n’approche pas le moment de la grande rencontre, Dieu avec l’homme dans le mystère de l’éternité, moment qui doit se passer au cours du temps, pas après que le temps finisse sa voie et son œuvre, c’est–à-dire l’œuvre de l’homme qui ne connaît pas encore la maison et la porte, pour entrer et retrouver son lieu et son origine, et le temps retient l’homme, et l’homme retient le temps sur la voie, et il y a encore cette attente en œuvre, oh, et il M’est difficile de parler de cela avec l’homme, car l’homme est trop lourdaud et il fuit, il fuit toujours, et c’est pour cela que Je viens en parole sur la terre, parce que Je dois parler avec l’homme avec plus de profondeur de parole, plus comme dans le ciel, et le temps Me pèse, et il pèse l’homme aussi, celui qui a institué le temps.

Oh, les fils, toutes les fois que J’ai Ma venue chez vous ici, Je travaille avec vous et ensuite on lève la table de rencontre et Je retourne dans le Père, chaque fois avec tout ce que J’attends de pouvoir parler et qu’il ait quelqu’un sur la terre pour comprendre Mon attente après l’homme. Il est épais le rideau qui sépare Dieu de l’homme, oh, les fils. L’homme le tisse à gros fils, et il devient toujours plus épais, plus difficile à tomber pour qu’ils puissent se regarder les deux, ceux qui attendent des deux côtés.

Je regarde pendant les fêtes ici, aux rencontres de ceux d’en haut avec ceux d’en bas. Entre ceux qui viennent, il y a certains qui viennent comme en promenade. Je les crois qu’ils viennent par désir saint, mais leur désir n’est pas rangé, ils ne savent pas ce qu’ils veulent par ce désir. Oh, il n’y a pas d’obéissance parfaite pour tout ce que Je prie le chrétien de respecter, comme il sied dans sa vie.

J’ai dit à Moïse d’ôter ses chaussures pour accéder au lieu d’où Je lui ai parlé, et Je lui ai donné parole à apprendre et à comprendre par sa raison. Oh, comment faire que le chrétien apprenne le lieu de Dieu, et sa rencontre avec le Seigneur et avec le lieu du repos du Seigneur? Oh, elle est trop grande la différence entre le désir de Dieu envers l’homme et celui de l’homme envers Dieu et cela parce que l’homme n’essaie pas de comprendre ce que cela signifie Dieu avec l’homme sur la terre tel que Moïse a compris quand il est venu parler avec le Seigneur sur la montagne sainte, de laquelle il est descendu comme un saint, pas comme un homme, oh, et il a pénétré ce mystère et J’ai pu alors lui dire: «Je ferai de toi un dieu pour le peuple Israël et tu iras l’affranchir de l’esclavage».

Oh, Mes fils, Mes fils, c’est seulement avec Dieu que Moïse a travaillé ensuite, seulement de Dieu, et il s’est rendu compte plus tard, sur la voie vers Canaan avec le peuple du retour dans le pays de la promesse, il s’est rendu compte Moïse ce que cela signifie de travailler même un moment sans Dieu, car il a eu ensuite à supporter souffrance et grande tristesse lui et Dieu mais aussi le peuple entêté, par lequel Moïse a boité sur la voie, puisque l’homme ne sait pas ce que cela signifie disciple et ce que cela signifie Dieu, oh, et Israël n’a pas su comprendre l’œuvre de Moïse, comme disciple du Seigneur et comme un dieu du peuple, comme un envoyé, tel que Je l’ai été Moi, l’envoyé du Père il y a deux mille ans, et il est arrivé à Moïse ce qu’il M’est arrivé à Moi aussi alors de la part du peuple, oh, et voilà, il ne tombe pas le rideau qui fait séparation entre Dieu et l’homme, et Moi Je veux préparer un peuple, soit-il très petit, mais pour avoir ainsi partout de la semence nouvelle et pour renouveler la terre de lieu en lieu, pour tailler de quelque sorte les chardons, pour avoir des disciples saints et sans épices, pour que J’aie du pouvoir sur la terre par ceux qui sont saints, et pour racheter au Père beaucoup d’hommes ensuite, oh, et Je donnerais libre cours au temps des merveilles saintes, mais J’ai besoin de sainteté dans l’homme, J’ai besoin de disciples saints, oh, les fils.

J’ai été avec vous aujourd’hui aussi et Je vous ai montré Ma douleur et celle de l’homme, mais l’homme ne comprend pas sa douleur, tel que le Seigneur comprend la Sienne.

Voilà, travaillez maintenant, travaillez œuvre de disciple, les fils, car vous l’avez partagée pour la travailler. Je voudrais qu’il soit plus visible le ciel lorsqu’il vient à vous avec ses habitants. Je voudrais, s’ils le voulaient aussi ceux qui se rassemblent pour des rencontres avec le Seigneur ici, oh, J’aimerais pouvoir exprimer Ma nostalgie qui pèse et attend, oh, les fils.

Maintenant Nous Nous inclinons pour l’hospitalité, avec remercîment pour la peine de la préparation de l’arrêt saint ici, les fils.

Je vais vous conseiller toujours, oh, les fils. C’est ainsi que Je travaillais avec les disciples d’alors aussi, et c’est ainsi que J’ai écrit en ce temps-là Mon livre avec eux. C’est toujours ainsi que J’écris maintenant celui avec vous, Mon livre avec vous, le livre de Dieu avec les hommes sur la terre pendant Mon temps avec vous.

J’ai un doux soupir dans Mon esprit maintenant. J’ai rompu une partie de lui et de Moi et Je l’ai mise maintenant dans Mon livre de ce jour avec vous. Le désir saint Me fait soupirer, les fils, et Je soupire jusqu’à ce que il y aura sur la terre l’homme qui puisse comprendre le vide d’entre le ciel et la terre, vide qui tient le Seigneur caché aux yeux de l’homme.

Maintenant paix à vous, paix à ceux qui se sont arrêtes ici avec Nous et avec vous! Et Nous allons Nous rencontrer de nouveau et Nous allons Nous apaiser le mal, encore et encore, oh, les fils.

Et préparez maintenant la fête du dimanche de tous les saints, le dimanche de la fête dans le ciel pour Virginie, Ma trompette, la trompette de Dieu, et Nous serons ici avec vous et Nous allons écrire dans le livre des témoignages, oh, les fils. Amen, amen, amen.

13-06-2022