La Parole de Dieu du quatrième Dimanche après les Pâques, celui de l’infirme de Bethesda

Je M’incline avec reconnaissance, et Je vous ai dans Mon amour et Je vous remercie, fils qui veillez, car vous M’ouvrez quand Je viens, et Moi c’est ainsi que Je viens puisqu’il est écrit que Je vienne et que Je travaille à la création, celle qui est en œuvre maintenant, à la naissance de nouveau du monde, et Je travaille selon les Ecritures, car la naissance aussi est une grande, grande œuvre, les fils, elle est plus grande la naissance que la création, parce que à la création du monde tout a été travaillé par la parole, tout a été fait à Ma parole, et tout est apparu, mais quand J’ai fait l’homme ce sont l’amour et le désir saint qui M’ont aidé, mais tout grands qu’ils ont été de Ma part, oh, Je suis resté en pleurant en Paradis, puisque l’homme bâti de Dieu s’est placé plus haut que Dieu, et M’a produit une éternelle blessure, par le non accomplissement de Ma parole sur lui, car il a mis de côté Ma parole et il a pris une autre pour l’accomplir, et ensuite il s’est refroidi de Moi, si Je lui ai dit qu’il n’avait pas bien fait en désobéissant à Dieu, le Créateur, et l’homme n’a pas eu de reconnaissance envers Moi, il n’a pas servi à Ma parole, il ne s’est pas soumis à Celui Qui l’a bâti.

Oh, J’ai dit, les fils, que ferais-Je si Je ne vous avais pas? Ils M’ont resté beaucoup de mystères, non compris dans Mon livre avec vous, et nous devons les découvrir avec leur explication, l’un après l’autre, et vous, voilà, vous M’accueillez encore et encore. Vous aimez l’obéissance, les fils, et vous portez le Seigneur avec Ses charges et J’ai dit: Cette cité et vous, ceux qui y servez pour Moi, c’est cela Ma consolation, car vous M’aidez de pouvoir, les fils. Oh, Il peut Dieu, pourvu qu’il y ait la confiance qu’à Dieu tout est possible, que l’impossible pour l’homme est possible à Dieu que le Seigneur a du pouvoir, les fils.

Maintenant Nous mettons dans le livre une grande parole et son explication, car la mémoire de Mes œuvres vient aussi à l’aide du travail d’aujourd’hui de Ma parole, et la joie de pouvoir travailler et mettre Mes mystères dans Mon livre avec vous, oh, cette joie n’a plus de place en Moi, elle déborde, et c’est cela qui Me fait travailler quand Je travaille, et c’est ainsi que le Seigneur s’établit sur la terre avec Son travail, avec la naissance de nouveau du monde, de l’homme qui aime le renouvellement, la naissance de nouveau, les fils.

Et voilà avec qui Je commence et ce que Je vous dis tout d’abord en ce jour de Mon enseignement pour vous et pour le peuple de Ma parole! Oh, les fils, faites que les jours se réjouissent de vous chaque jour, c`est-à-dire que vous devez leur donner de la vie et du travail et du mouvement, vous devez vous inscrire avec eux dans le ciel, avec toute leur œuvre, pour qu’ils restent à votre bénéfice et comme fruit accumulé, tous vos jours, surtout puisque vous habitez la cité de Ma parole, pour qu’elle soit la Mienne avec vous aussi, tout votre travail, celui obéissant à Dieu, pour votre vie avec Moi, pour qu’ensuite vous arriviez à vous réjouir des jours vécus et travaillés ici, et que vous les ayez rachetés tel qu’il est écrit de ce mystère du rachat des jours.

Oh, les fils, les fils, avec quoi pouvez-vous racheter les jours et leur mystère éternel? Oh, lorsque vous utilisez tous les jours pleinement, par sacrifice et amour de Dieu et des frères, pour toutes Mes œuvres avec vous, plus nombreuses de jour en jour, c’est alors que vous rachetez le mystère de vos jours, mais si de leur nombre il y en a qui passent en vain, sans travail bon et beau et grand telle la durée du jour, vous aurez très mal en les voyant passés sans aucun bénéfice.

Oh, voilà ce que Je vous dis en ce jour, le dimanche qui fait mémoire de l’infirme de Bethesda, comme un conseil de foi et d’exemple avec une richesse d’enseignement en lui, et voilà, aussi comme exemple d’incroyance de ceux contraire à Dieu en ce temps-là et en ce temps-ci, puisqu’ à cet homme totalement impuissant, les jours passaient sans aucun profit pour lui, ou pour ceux d’auprès de lui, ou pour Dieu. Mais si les jours de celui qui est bien portant passent de la même façon, aura-t-il quelque bien accumulé dans les cieux, trouvera-t-il le rachat du temps de ses jours passés l’un après l’autre?

C’est pourquoi, les fils, Je vous exhorte à prendre grand soin de votre vie, celle des cieux, où vous devez accumuler tout votre temps de la terre, oh, tout, les fils, tout dans les cieux, car pourquoi restera-t-il sur la terre, quand celle-ci aura un sort douloureux pour sa naissance de nouveau, tel qu’il est écrit?

L’homme sage envoie dans les cieux tout le trésor de ses jours, tout son temps, et il a des biens dans les cieux et il est riche entre les riches du ciel. Celui qui n’est pas sage amasse des biens sur la terre, il perd son temps sur la terre parce qu’il n’amasse pas ses jours dans le ciel, et il appelle le feu qu’il vienne sur la terre, sur ses choses, qu’il n’a pas accumulées dans les cieux.

Oh, les fils, travaillez pour l’éternité de votre temps sur la terre. Que vos jours ne passent pas sans d’œuvre utile, les fils. Aidez le Seigneur jusqu’à la fin, oh, les fils. Voilà, quelle magnifique destinée on vous a réservé sur la terre: aider le Seigneur, les fils! Oh, demandez-Moi l’esprit de l’intelligence, l’esprit du conseil et consultez-le, et il vient l’esprit de l’intelligence, il vient du Seigneur à vous, les fils.

Oh, ils n’ont pas compris Dieu ceux qui ont vu les faits de Dieu, la guérison de l’infirme et beaucoup d’autres actions comme celles-ci, et voilà, les fils, ceux qui ne veulent pas accepter la foi ne croient pas, ne reçoivent pas, ne s’accordent pas avec eux-mêmes pour comprendre, ni par des miracles, puisqu’ils ont tête dure, ils sont endurcis, lents de raison, lents de volonté pour la compréhension, et ils ne sont pas nés pour comprendre que c’est Dieu Celui Qui sait, Celui Qui voit, Celui Qui veut, et si l’homme est lourd et endurci, oh, il devrait s’incliner pour la naissance de nouveau, mais il ne cherche pas de comprendre cela non plus, oh, alors comment procéder avec lui, s’il ne Me laisse pas le faire? Comment dépasser sa volonté s’il se sépare pour lui-même?

Je suis reconnaissant, Je M’incline avec reconnaissance, puisque vous, les fils, vous M’ouvrez pour travailler, pour pouvoir, pour savoir, pour voir, pour vouloir. Je suis reconnaissant de toute votre aide pour Moi. J’exhorte au peuple de Ma parole de faire comme Moi lui aussi, qu’il fasse de l’inclination. Et vous, n’oubliez pas, voilà, pas un instant, d’aucune façon n’oubliez pas qu’il est Mon peuple, le peuple de Ma parole, oh, mais qu’il n’oublie pas lui non plus que vous êtes établis par Moi entre Moi et eux, entre eux et Moi, et que vous avez besoin de force venue d’eux pour votre service envers Moi et envers eux, et pour que vous M’aidiez jusqu’à la fin, les fils.

Oh, il faut qu’ils aient des devoirs les fils de Ma parole. L’amour de Dieu t’oblige d’avoir des devoirs, de les porter et travailler, cela veut dire les sacrifices, qui prouve que l’amour existe, qu’il a de l’amour celui qui est en son service.

Oh, les fils, tout comme le vêtement monacal t’oblige d’appartenir à Dieu, tout aussi le costume saint de ta patrie, celui de l’intérieur et celui de l’extérieur t’oblige d’aimer ton pays, d’en être fier, il te met en évidence, et il te demande cela quelquefois au temps d’ennuis plus que dans les autres moments, états d’âme et sentiments puisqu’aux temps difficiles il t’exhorte à l’héroïsme. Oh, c’est la même chose avec l’amour de Dieu, il t’oblige au sacrifice, et c’est seulement lui, s’il existe, qui soit capable de sacrifice pour ce qu’il aime. Ceux qui sont les Miens et à Mon travail avec eux, ils ont le devoir du sacrifice de chaque jour et ils sont ceux qui se réjouissent de leurs jours tous les jours, puisqu’ils leur donnent de la vie et de l’œuvre et ils les inscrivent dans les cieux, et ces jours restent comme fruit accumulé.

J’ai eu pitié et J’ai pris soin de celui infirme depuis trente-huit ans et Je l’ai fait de s’élever sur ses pieds et Je lui ai appris de racheter le temps sans utilité qu’il avait passé jusqu’alors. J’ai eu pitié de la vie de son âme, les fils, et Je l’ai fait se relever, avec le miracle fait sur lui et Je lui ai dit: «Voici, aie soin dorénavant, ne pèche plus, de peur qu’il ne t’arrive pire encore».

Oh, il y a des occasions, des instants accablants, les fils, qui viennent dans des circonstances difficiles, et on a besoin de foi pour des miracles, et on a besoin de miracles pour avoir de la foi, mais cette deuxième demande à l’homme une responsabilité plus grande ensuite, car les miracles amènent la foi, mais un telle foi n’a pas beaucoup de force, et voilà, on demande beaucoup ensuite à celui qui a cru par les miracles, et lui il ne peut pas en donner, puisque ce n’est pas lui qui a cherché l’apparition des miracles, et ce n’est pas sa foi qui a fait le miracle, voilà pourquoi J’ai dit à l’infirme qui a vu le miracle de sa guérison: «Voici, ne pèche plus dorénavant!».

Oh, les fils, les fils, Je vous enseigne l’humilité, que vous ayez de l’humilité, pour la foi d’humilité, les fils. Je vous enseigne par la parole, mais sur le vif aussi Je vous enseigne. Oh, considérez les événements imprévus et apprenez, les fils. Lorsque l’humilité est absente de votre âme, l’humilité celle qui est sainte depuis la terre jusqu’aux cieux, c’est alors qu’il vous arrive chaque foi quelque chose venu du diable, puisque Dieu existe et le diable existe, les fils, et le diable a été et est crée par la désobéissance et le manque d’humilité, en paradis et sur la terre ensuite, depuis lors et jusqu’aujourd’hui. L’homme pouvait et il peut dire au diable quand il est venu, ou quand il vient raconter tout bas ses choses, l’homme peut lui dire tel que Moi J’ai dit au diable: «Tu ne tenteras point le Seigneur, ton Dieu, c’est ainsi qu’il est écrit », ou lui dire: «Retire-toi, satan, car il est écrit: c’est Dieu seul que tu adoreras».

Oh, les fils, les fils, il est tellement obéissant l’homme au chuchotement du diable, qui vient et travaille la pensée de l’homme face à face, et l’homme écoute tant son chuchotement, qu’il ne sait plus combien est Dieu et combien le diable mêlé dans la raison de l’homme sorti de l’homme, celui bâti de glaise! Après avoir mené l’homme à obéir et a parler comme un diable, celui-ci lui dit: oh, tu es en faute, tu as péché, tu n’es pas propre à Dieu, ne t’approche pas, tiens-toi à distance, va-t-en, car le Seigneur est saint. Mais cet examen n’est pas le diable qui doit le faire à l’homme pécheur, mais voilà, toi, homme, c’est seulement du diable que tu prends la pensée, et Moi, le Seigneur, Je Me suis en vain sacrifié pour toi, puisque tu t’éloignes de Moi, au lieu de M’obéir, de te laisser examiné et purifié et corrigé par le péché punissable, et t’unir ensuite avec le Seigneur, pas toujours avec le diable et son chuchotement, avec lequel il vient tenter l’homme.

Quand J’ai bâti l’homme de la glaise, Je lui ai fait tout d’abord le cœur, puis la place pour la raison et ensuite tout son corps, mais avant que J’eusse soufflé sur lui l’esprit de vie, elle n’est pas partie, elle n’a pas bougé Ma création. Lorsque l’homme achète une voiture pour le voyage, elle ne démarre pas si on ne lui met pas d’eau et une alimentation convenable, et ensuite la clé, qui donne le départ.

C’est Mon esprit que Mon homme doit recevoir et pas l’esprit du diable. Le diable a du pouvoir et il vient seulement au moment où l’homme perd son humilité et puis l’homme peut voir l’instant où il n’a pas eu l’humilité en son œuvre, et ensuite le moment suivant, duquel l’homme peut se rendre compte de la venue, du chuchotement et de l’œuvre du diable, celui crée par l’homme qui perd la liaison avec le Seigneur, par la perte de l’esprit d’humilité, par lequel l’homme s’offre à Dieu comme sacrifice bien reçu, tel qu’il est écrit.

Apprenez, les fils, une grande œuvre en ce jour d’enseignement alors et maintenant. Oh, les fils, que les jours se réjouissent de vous. Ajoutez à chaque jour de la vie, du mouvement et du travail, qui s’accumulent au Père dans les cieux. Levez-vous tôt chaque matin et rachetez chaque jour et donnez au Père le travail du jour, du travail vif, qui rachète tout le temps de chaque jour, et Je vous ai dit comment doit être vécu chaque jour, et il est écrit dans Mon livre avec vous tout le travail agréable et complet de chaque jour, et la richesse issue du travail et portée au Père par les anges, pour vous, pour votre éternité avec le Seigneur, les fils.

Oh, il ne sait pas l’homme pourquoi il a des jours et que faire d’eux, il ne sait pas parce qu’il ne veut pas le savoir. Mais vous prenez du Seigneur, prenez de Moi et soyez vivants avec l’œuvre de chaque jour, et que vous ayez tous du travail tout le long du jour, car J’ai dit: «ravaillez et soyez les fils du jour, car elle vient la nuit, quand personne ne peut pas travailler», et quand l’homme a besoin de jours qui soient accumulés dans les cieux, pour que l’homme ait du travail amassé, envoyé dans les cieux.

Je vous prépare toujours plus haut, les fils. Et Je vous prépare pour établir de nouveau le lieu de fête pour Moi et Mes saints, ici, avec le festin de la Pentecôte, oh, et Je donne du fruit et du progrès à votre travail avec Moi, pour Moi et pour vous votre travail, les fils. Oh, prenez soin de la paix, de l’amour prenez soin, de l’humilité par tout cela, les fils. L’humilité est porteuse de paix, par laquelle vient l’amour pur, celui qui apprend de l’esprit de l’humilité toute sa grandeur, les fils. Ne perdez donc pas l’esprit de l’humilité! Mais comment pouvez-vous ne pas le perdre, les fils?

Oh, inclinez-vous avec reconnaissance devant Moi, tel que Je M’incline devant Mes porteurs, devant ceux qui M’amènent à vous quand Je viens, et à qui Je dois tout Mon amour, mais le vôtre aussi, les fils, et c’est ainsi, c’est seulement ainsi que l’esprit d’humilité ne partira pas d’entre vous, et de votre cœur, et vous restez les beaux, ceux qui sont beaux, car la beauté d’un enfant saint c’est l’humilité du cœur, les fils. Amen, amen, amen.

J’ai encore à vous dire de lever une prière vers Moi pour le pays, les fils.

Demandez le Seigneur, demandez-Le avec force, parce que le temps est venu pour que vous Le demandiez, et que Moi, J’accomplisse à votre cri vers Moi, ce qu’il faut pour Mon pays et le vôtre, oh, les fils. Amen.

19-05-2019