La Parole de Dieu du quatrième Dimanche du Carême, celui du Saint Jean, auteur de L’escalier des vertus, et la Fête de L’Annonciation

Voilà venir le ciel sur la terre avec jour de grande fête, et voilà venir des armées d’anges qui servent la venue du Seigneur chez vous, avec table céleste garnie de parole nourrissante, et vous ouvrez pour que Je vienne, vous ouvrez à la suite céleste, à votre table en ce grand jour, fils gardiens de Ma venue chez vous avec ceux des cieux, puisque Je ne viens jamais tout seul, mais avec les saints Je viens, car c’est ainsi qu’il est écrit, c’est avec une multitude de saints que Je viens.

Nous nous asseyons maintenant. Oh, asseyez-vous, vous aussi, et faites s’asseoir aussi ceux venus à la fête de Ma Mère la Vierge et de l’ange annonciateur de grande joie pour elle, vu qu’en ce jour la parole du messager céleste, l’archange Gabriel, et la parole de Ma mère la Vierge, ces deux paroles merveilleuses ont mis en place Ma naissance de Mère Vierge, et c’est de la même manière que Je veux naître l’homme, le naître de nouveau, d’en haut, l’homme né de l’homme et du péché de l’homme, le naître de Ma parole et de la lui, et qu’il se soumette comme Ma mère la Vierge, et qu’il se promette au Seigneur, tel qu’elle l’a fait alors: «Voilà la servante du Seigneur!», et elle a été demandée pour Moi par Mon messager céleste et ensuite Il est apparu sur la terre le Fils de Dieu le Père, uni avec la Vierge et né d’elle Fils de l’Homme, le Fils saint, le Saint du Père, Celui promis par les prophètes de venir.

Oh, les fils, les fils, l’union de deux corps c’est un péché, c’est de la débauche, car elle vient du plaisir charnel, mais l’union entre l’homme et le Seigneur c’est de la gloire, c’est de l’amour, c’est du salut, elle est sans péché comme le Seigneur, et elle te réuni avec le Seigneur par l’organe de Sa parole et de ta parole, et ensuite, l’œuvre de la création de l’homme nouveau, toujours plus neuf, dure tout le long de la vie de l’homme sur la terre. Mais si l’homme n’est pas auprès de quelqu’un qui le connaisse, qui le voie et qui travaille sur sa vie tout le temps, et qui le rende toujours plus nouveau avec chaque jour et chaque instant, oh, quoi et qui pourrait renouveler de plus en plus l’homme qui veut aller sur la voie avec Dieu, du moment que lui, le pauvre ne peut, n’a pas la possibilité d’apprendre le renoncement à soi, pour qu’il puisse ensuite se confier à Moi, venir après Moi, tel qu’il est écrit de celui qui veut être avec Dieu sur la voie, et se donner à Moi ensuite, pour sa nouvelle création et toujours renouvelée, avec chaque instant de la vie?

Oh, voilà, les fils, l’homme ne se confie pas à Dieu lorsque Je viens au devant de lui, sur sa voie, pour lui apprendre à Me connaître, à Me croire et à se restituer ensuite à Dieu, et voilà, l’homme se réserve toujours pour lui quand Je Me découvre à lui, quand J’essaie de l’apprendre comment se rendre agréable au Seigneur et à ceux que le Seigneur aime, puisque te faire aimé et agréable, oh, cela n’est pas facile.

Oh, les fils, c’est vraiment grande chose que l’homme considère cette science céleste, celle de se rendre agréable, tel que ceux qui l’entourent l’aimeraient, non pas selon son savoir de se faire agréable, oh, et il n’y a pas d’homme à ne pas avoir cette prétention, d’être agrée par ceux de son entourage, mais s’il ne sait pas et il n’apprend pas comment pourront l’agréer ceux d’autour de lui, oh, pourquoi aurait-il cette attente?

Oh, l’homme de la terre a des ennemis et des amis selon sa conduite. Lorsqu’il se fait agréable à Dieu et a ceux qu’Il aime, il a des ennemis ceux du monde, et en amis ceux auxquels il se rend aimable, mais lorsqu’il se rend agréable aux fils des hommes et du monde, il s’éloigne de ceux agréables à Dieu, il leur devient indésirable. Voilà, quand l’homme découvre le Seigneur, il doit chercher d’apprendre de Dieu comment il peut se rendre agréable, pour être ensuite agréable à Dieu et à ceux qu’Il aime, et cette sainte leçon doit être tout de suite bien comprise par ceux qui essayent de se rendre aimés à Dieu, et autrement, qu’ils n’aient pas de prétention ou de ressentiment s’ils ne ressentent pas Mon amour et celui de ceux qui M’aiment par la sagesse de l’amour céleste dans l’homme.

Oh, les fils, voilà jour de sagesse sainte pour vous et pour ceux qui Me prennent de vous en parole de création de l’homme nouveau, selon Mon image et Ma ressemblance, selon l’image de Mon amour face à face avec l’homme qui essaie d’apprendre Mon amour. Oh, c’est seulement l’amour pour Moi qui a la force d’aider l’homme de pouvoir apprendre Mon amour en lui dans le cas de ceux qui Me sont agréables, pour qu’ils soient tous Mes frères, mais si cet amour n’est pas tellement établi afin qu’il ait du pouvoir de l’intérieur de l’homme, oh, l’homme ne peut pas, les fils, et il reste à se prosterner à lui-même, à sa chair, en disant qu’il ne peut autrement son corps. Mais comment le pouvoir, s’il n’y a pas en lui l’amour, qui puisse vaincre la chair? Et voilà, les fils, voilà la grande erreur du cœur de l’homme, puisqu’il se croit chrétien avant qu’il le soit, car pour pouvoir être chrétien et toujours plus chrétien, oh, on a toujours à ajouter, et ton amour augment visiblement, il lève comme la pain mis à lever, et elle diminuent tes envies et les désirs de la chair, et le corps devient sain et vigoureux, pour que l’homme serve pleinement à Dieu, non pas à soi-même, s’il est chrétien accompli pour Dieu, et lorsque la chair ne tire pas vers la faiblesse, mais c’est seulement vers le renoncement à soi que son corps et son cœur sont guidés, et c’est uniquement Mon amour qui réussit cela dans l’homme, et celui qui n’a pas d’amour, celui-là ne peut pas, puisque c’est l’amour seul qui peut, et il augmente le pouvoir de la foi et l’homme peut par la foi, il peut pour Dieu ensuite, tout ce que son Seigneur demande de lui.

Oh, presque tous les hommes disent et croient qu’ils ne peuvent pas obéir à Dieu et pas à la chair, mais si le sort conduirait l’homme et lui montrerait qu’il est possible, quand l’homme tombe et va en prison, voilà, alors il peut, il renonce, qu’il veuille ou pas, à la volonté de la chair et à toutes ses habitudes, et cela est possible pas des tristesses et des privations et des larmes, et c’est par la souffrance qu’il peut contre l’impuissance de pouvoir comme Dieu. Oh, mais pour Dieu on a besoin d’amour, pas de punition pour pouvoir, pour voir qu’il est possible, et c’est une grande vérité le fait que partout où la douleur accompagne l’homme, la terre et sainte, car la douleur et ses souffrances l’aident à comprendre, avec une profonde sagesse d’en haut, les choses et les mystères qu’il n’a jamais su jusqu’alors, et à cette occasion on découvre pleinement que l’homme ne peut se croire chrétien avant de l’être, puisque le vrai chrétien ne transgresse aucunement la loi chrétienne et écrite clairement pour le troupeau du Christ par les saints, et l’homme ne fait plus appel à l’aide des frères pour savoir quoi et combien accomplir, quoi et combien ne pas accomplir.

Oh, voilà, deux mille ans depuis que Mon livre d’alors se trouve au milieu des chrétiens, et son enseignement n’est pas suivi fidèlement et les chrétiens ne savent pas sortir du monde pour ne plus être avec le monde et comme le monde, car elle n’est pas possible en même temps la compagnie du monde et celle de Dieu, puisque c’est de l’hostilité qui apparaît d’une côté et de l’autre, tel qu’il est écrit. Oh, et J’ai enseigné dès le début de cette parole de plus de soixante ans, et J’ai dit à ceux qui entendaient de leurs oreilles cette parole, Je leur ai dit de se tenir loin de leurs parents du monde, de ceux qui ne font pas la volonté de Dieu avec leur esprit et leur chair, car les vrais parents, mère, père, frères, mari, enfants sont ceux qui accomplissent la volonté de Dieu, et si vous ne pouvez pas accomplir ainsi, Je leur disais, vous allez demeurer loin de Dieu, par la transgression de Ma parole sur vous, puisqu’ils ne peuvent avoir de plus grands ennemis que ceux de leur maison, que leurs parents, les chrétiens qui aiment la vie obéissante aux commandements de la vie, ceux que les hommes n’ont plus dans les occupations de leur vie.

Oh, voilà pourquoi ils n’ont pas pu et ils ne peuvent plus avec Moi jusqu’à la fin beaucoup de ceux qui ont essayé et essaient de Me suivre pour Ma volonté en eux, et Je ne peux Moi non plus Me mettre en opposition à Ma parole prononcée pour ceux qui choisissent de travailler pour Moi avec leur vie, car le monde c’est le monde et les chrétiens des chrétiens, et on ne peut se mêler et rester encore au Seigneur ensuite, et il arrive le temps que l’on voit le fruit de la désobéissance, et que l’on tombe de Dieu quand on ne s’y attend pas, et on perd la fidélité, et s’il l’on perd, on perd ensuite la foi aussi, et l’une après l’autre te quittent. Lorsque tu obtiens comme un don l’amour, tu vois arriver la foi et le salut, elles viennent l’une après l’autre et t’enrichissent, car Zachée M’a chaleureusement cherché de tout son cœur, et c’est seulement ensuite que Je lui avais dit qu’il était arrivé le salut de sa maison. La même chose avec Pierre, c’est quand J’ai vu qu’il M’aimait de toute la vertu de son cœur, que Je lui ai dit: «Viens, Je te ferai pécheur d’hommes, viens!», oh, et il n’a plus continuée son travail et celui des siens, il a travaillé pour le Seigneur et pour Son église, et c’est ainsi qu’on vient au Seigneur, si on vient, tout come ils sont venus à Moi ceux qui se trouvent à Mon service jour et nuit en ce lieu, et qui n’ont plus leur travail et leur vie, mais Mon travail et celui pour le peuple obéissant à Ma parole, au service duquel Je les ai engagés. Oh, et si Je voyais de la reconnaissance de la part de ce peuple, c’est alors seulement qu’ils seraient Mes vrais chrétiens, et ceux de cette parole qui bâtit l’homme nouveau.

Oh, fils de Ma cité de parole, oh, combien sont-ils ceux qui sont venus à Moi autant que vous êtes venus, pour que Je les aie eux aussi à Mon travail, tel que Je vous ai vous ? Voilà peu, peu et toujours moins on soutient Mon travail avec vous, car ils ont chacun leurs affaires à porter et travailler. Ma mère la Vierge s’est donnée à Moi toute entière, amour entier, et ensuite J’ai fait d’elle Ma mère, par laquelle Je suis venu entre les hommes il y a deux mille ans. Vous, les fils, vous vous êtes donnés à Moi en entier, avec tout votre esprit et votre chair et votre temps, et ensuite J’ai fait de vous Ma venue, voie de la parole avec laquelle Je viens à vous et avec laquelle Je vais vers les hommes. Les fils de ce siècle se marient, mais vous êtes voués à Dieu comme Ma mère la Vierge et vous vous trouvez à Mon service jour et nuit, et vous êtes les fils de Dieu jour et nuit, les fils, car au moment où tu vis pour Dieu, tu ne vis plus pour toi-même, et voilà, il y en a beaucoup de ceux qui ne peuvent vivre pour Dieu et selon Dieu, si ce n’est qu’autant qu’ils peuvent le faire, puisqu’entre eux et Dieu, ils ont encore un dieu qu’ils suivent, et voilà, ce sont les parents qui perdent par les enfants, ou les enfants par les parents, ceux qui soumettent les enfants à leurs vœux, de sorte qu’ils ne puissent que partiellement agir selon la volonté de Dieu, avec leur vie pour Dieu, et Moi, le Seigneur, J’ai dit une fois à tous: «Oh, les fils, les fils, prenez garde tous qu’il n’arrive pas que les enfants commettent des erreurs par les parents, ou les parents par les enfants». Oh, c’est qu’il n’est pas ferme le chrétien, et la chair a de grandes prétentions, grands droits, et l’âme est à la disposition de la chair, celle qui demande pour elle seule, et voilà qu’elles meurent les choses grandes des cieux pour celles petites de la terre, puisque c’est uniquement de la chair l’homme et il n’essaie pas de passer de la chair en esprit, tel que Je lui ai exhorté, et il hésite, le pauvre, il hésite longuement, longuement sur ses pensées, et il ne se lave pas de ses pensées, celles qui le séparent de son union avec Dieu.

Oh, les fils, les fils, seul Mon sang lave l’homme de toutes celles qui le sépare de Dieu et il n’y a rien d’autre qui puisse le laver du mal qu’il fait, et J’ai dit clairement que celui qui ne prend pas en lui Mon corps et Mon sang, celui-là n’a pas de vie en lui, et J’ai dit que Ma parole seulement n’est pas suffisante à l’homme chrétien, mais il faut aussi l’union de Mon corps avec son corps, avec Jésus-Même, en parole et en chair, et voilà, les chrétiens se croient chrétiens avant de l’être et voilà des chrétiens qui arrivent à refuser, après un temps le Seigneur, parole et chair, et ils se retirent se déclarant incapables, au lieu de se préparer de plus en plus pour ce vêtement, pour s’habiller dans le Christ, et Moi, Je ne vais plus dans le monde pour qu’on puisse M’y trouver, et cela Me fait très mal la froideur envers Moi de l’homme qui se proclame chrétien, car la naissance de nouveau de l’homme consiste dans: son union avec Moi, parole et chair, mais Mon inclination si grande, si profonde, n’a pas fait surgir dans le chrétien le don de la reconnaissance, et le péché de l’ingratitude envers Dieu et envers ceux qui te soutiennent de la part de Dieu, oh, il est lourd ce péché, très lourd, puisque Moi, Je Me suis beaucoup incliné il y a deux mille ans et J’ai lavé les pieds de Mes disciples, et ainsi lavés, Je les ai unis avec Moi et Je Me suis uni avec eux au soir de la Cène, lorsque Je Me suis donné à eux en entier et Je leur ai donné naissance de Moi, par l’union de Mon corps et de Mon sang avec eux, et Je Me suis fait racine pour eux, et ils ont poussé ensuite dans le Christ, pour qu’il n’arrive pas qu’il sèchent encore, car celui qui n’a pas de racine, il tombe et il sèche.

Oh, faites attention à cet enseignement, vous ceux qui Me prenez de la source de parole et cherchez à faire germer en vous le Christ et Sa semence, pour qu’elle prenne racine en vous, élevez-vous de Moi, de Ma semence, tel que Je l’ai fait de Ma mère la Vierge, et Nous avons été racine l’un par l’autre et nous avons grandi pour Dieu le Père.

Oh, on a besoin de grande ordre en tout, comme à l’armée, les fils, car sur la terre cela s’appelle ordre, et dans les cieux cela s’appelle obéissance, grandeur céleste, grande gloire, les fils. Une fleur tient de la terre où elle pousse, de la place où elle se trouve et qu’elle comble de grandeur, oh, et qu’elle est belle la gloire de Dieu par elle, et qu’elle est belle, comme elle est belle Ma gloire sur la terre, là où elle se fait lieu avec l’homme!

Oh, les fils, J’ai eu du peuple, J’en ai assez eu auprès de cette rivière de parole, mais les non accomplissements de tant de paroles du Seigneur ont puni beaucoup d’entre eux et des souffrances sont tombées sur eux, et voilà, la chair a besoin de médecin. Oh, l’âme aussi aurait besoin de médecin, mais l’homme ne porte pas son âme aussi vers la guérison, oh, et elle est trop libre la chair, et il est en grand danger un tel chrétien, et il est convenable à l’esprit contraire à Dieu cette chair et ce temps de la chair de l’homme, et cette présomption punit Dieu dans l’homme et l’homme aussi, toujours et toujours, afin que Dieu n’habite pas en lui et qu’il ne soit pas visible en lui le visage du Seigneur, la conduite du Seigneur, la parole comme celle de Dieu dans le chrétien, oh, et J’ai crié longuement par cette parole, et J’ai posé douloureusement cette question, et J’ai pleuré en criant et disant: «Oh, où es-tu donc, homme, oh, où es-tu, que Je ne te trouve pas?».

Oh, fils chrétiens, donnez-vous la peine de connaître le Seigneur et cherchez de Le connaître de plus en plus. Faites cela et vous allez voir venant vers vous l’esprit de la sagesse d’en haut, pour connaître le Seigneur. Vous pourrez le connaître même par Son absence de vous, puisque Son absence vous donne du trouble, la sensation d’abandon, elle vous donne des douleurs. Oh, regardez quelqu’un dans lequel Dieu n’est pas en œuvre, et vous allez vous reconnaître vous-mêmes, au temps de l’absence du Seigneur en vous, et lorsque vous avez des pensées accablantes, des dialogues troublantes avec vous-mêmes, des décisions peu réfléchies qui peuvent vous coûter le salut. Quand votre âme est oppressée et sans défense, quand vous n’avez pas la tranquillité des petits enfants et vous vous sentez fatigués et sans aucune valeur, c’est alors que le Seigneur Se fait sentir par votre humilité, les fils. Oh, reconnaissez le Seigneur dans ceux d’auprès de vous, dans les grands discours, dans les éclaircissements des grands mystères, par lesquels vous sentez comme votre âme embrasse d’un coup le passé, le présent et l’avenir, et la vie gagne de prix, en changeant de visage comme dans le Thabor. Oh, lorsque l’homme ressent une grande humiliation, c’est que le Seigneur est près de lui et Il S’incline et fait sentir Sa présence en celui qui se fait petit, c’est ainsi que vous apprenez à connaître le Seigneur et de sentir quand Il est parti de vous, mais voilà, on a besoin de sagesse, et pour elle de l’inclination, les fils, car l’âme pure est humble s’incline pour elle-même et pour les autres qui ne s’inclinent pas, les fils.

Oh, voilà une grande joie ici avec vous maintenant, dans Ma cité de parole, fils de la cité, et vous, fils visiteurs, puisque Ma mère la Vierge se réjouit maintenant indiciblement, en écoutant le grand enseignement que Je mets sur la table en son jour de sainte fête.

Et viens, Ma mère, viens auprès de Moi avec ta parole et couronne ton Fils, la Parole et mets sur la table ton amour, car c’est Moi ton amour, Moi, et tout ce que J’aime, Ma mère.

— Mon amour, oh, c’est le Christ Qui est mon amour. C’est Toi, mon Fils bien cher, c’est Toi mon amour, Toi et tous ceux qui aiment comme Toi. Tout ce que Tu aimes j’aime moi aussi, oh, et c’est un grand mystère que l’homme sache se faire agréable à Toi et à ceux d’autour de lui, s’il veut être aimé et désiré, mais cela c’est seulement de Toi qu’il peut apprendre, s’il ne sait pas le faire, oh, qu’il s’incline et qu’il apprenne l’humiliation comme un maladroit en amour, comme un non instruit, et qu’il cherche à apprendre ce qu’il ne sait pas, puisque Toi, mon Fils Jésus, Tu as fait Tes agréables, Tes très agréables de ceux dont Tu T’as aidé sur la terre, ainsi que J’ai été Ta belle maison, telle que Dieu M’a faite pour Toi, pour que je T’aime suffisamment pour mon éternelle inséparable de Toi, oh, et je n’ai plus eu besoin de rien dans la vie, si Tu T’es donné à moi, pour que je me donne à Toi, par la parole de Ton messager, et par ma parole, envoyée vers Toi avec soumission pour Toi, et devant Toi, et on a servi de racine les uns aux autres, Fils bien cher. Oh, où y a-t-il encore un si grand bonheur pour moi dans mon jour de gloire maintenant quand Tu as mis devant le peuple de Ta parole une si douce sagesse et Tu as si saintement éclairci les sens pour qu’ils englobent la raison et le cœur de ceux qui T’entendent, Seigneur, quand Tu leur parles?

Je suis avec Toi à grand festin, mon bien cher Fils, festin avec des visiteurs venus pour le jour de fête, et nous sommes assis à côté de ceux des cieux, et moi, je suis avec le messager qui m’a demandé pour Toi il y a deux mille ans, pour être la Tienne, Ta mère, Ta mariée, Ta bien-aimée, Ta consolation et toute soumise à Toi, puisqu’il n’y a pas eu de plus grand bonheur pour quelqu’un sur la terre que le mien, oh, et je Te remercie et je m’incline pour tout ce que Tu m’as réservé et voilà, je me suis consacrée à Toi comme un don si Tu m’as comblée de dons, Seigneur, et je souhaite énormément qu’ils apprennent de moi ceux qui viennent se donner à Toi, et je leur dis, à grande humilité je leur dis, c’est à tous que je dis qu’ils ne se réservent plus rien pour eux-mêmes, et qu’ils soient les Tiens en entier, avec tout leur temps à Ton service, avec Toi Seigneur sur la voie, car c’est Toi seul qui reste encore, et c’est avec Toi qu’il commence le nouveau début pour tous ceux qui seront les Tiens avec ce début.

Je T’embrasse maintenant et toujours et je suis en Toi, et tout notre mystère est grand comme le ciel et la terre, Fils bien-aimé, et à ceux à qui Tu veux Te découvrir, Tu T’inclines et Tu fais cela car il est si grand Ton amour, aussi grand que Toi, mon Fils bien-aimé, Toi que l’on n’aperçoit nulle part, mais Tu es partout à la fois, et Tu es Dieu, et Tu as comme maison le cœur de ceux qui T’aiment, mon Fils et Seigneur, oh, et qu’ils sont heureux et qu’ils sont beau ceux dans lesquels Tu habites et Tu Te glorifies, mon Fils Jésus. Amen.

— Oh, Ma mère, oh, mère bien-aimée, quand, oh, quand pourrons-nous défaire plus clairement le rouleau des mystères célestes, afin que l’homme puisse aimer Dieu plus fort, plus spirituellement, avec plus de désir saint, Ma mère, plus comme toi, Ma mère, en toute pureté, en toute justice? L’homme juste c’est l’homme pur, Ma mère. Oh, si l’homme apprendrait cela, Ma mère!

Oh, les fils, voilà, c’est avec grande inclination Ma parole d’aujourd’hui, et Je voudrais qu’il s’incline vers lui celui qui le cherche, puisque Moi, Je Me suis incliné pour pouvoir relever beaucoup de gens. Et maintenant Je lève Mon pouvoir de vous et Je vous mets devant les hôtes, pour leur servir, car nous avons des visiteurs à la source, nous en avons, les fils, et cela signifie de la joie, et tous ceux qui vont en prendre et ils vont faire des pas vers l’esprit de la sagesse d’en haut, oh, les fils.

Je vous embrasse et Je vous donne du repos dans Mes bras, Je vous allège du temps de fatigue pour Moi avec vous et Je vous ai vous comme Mes agréables, et Je souhaite ardemment qu’ils apprennent tous ceux qui savent Ma venue chez vous, Je veux qu’ils apprennent se rendre agréables pour Moi, pour ceux dont ils attendent recevoir pour eux l’appréciation selon la justice, et Moi, Je regarderai pour voir cela. Mais vous ne cessez pas de conseiller le peuple vers Mon plaisir celui pour lui, les fils, et vers cette joie, la Mienne et la sienne, venant des uns aux autres cette joie, et qu’ils se rendent Mes agréables avec toute la sagesse d’en haut, et que Moi, Je sois Celui Qui trouve Mon plaisir en eux, oh, les fils. Amen, amen, amen.

07-04-2019