La Parole de Dieu à la Fête du Saint Prophète Elie le Tischibite

Oh, les fils, les fils, Je suis Celui Qui est. J’inscris Ma parole sur la terre par vous, tout comme Je travaillais sur la montagne sainte, lorsque Je parlais à Moïse, Mon élu de ce temps-là, pour qu’elle reste écrite Ma parole avec l’homme et pour l’homme, et vous, ceux petits et toujours plus petits de force pour vous tenir devant Moi et mettre dans son livre la parole de Ma bouche, vous, les fils, vous êtes de plus en plus affectés de douleur, toujours sans consolation sous la croix de Ma venue en parole sur la terre, tel qu’il est écrit dans les Ecritures que Je travaille maintenant, puisque tout est écrit, et toutes les choses viennent vers l’accomplissement à leur temps.

Oh, les fils, comment faire pour vous envelopper de plus de force d’en haut, pendant que sur vous viennent à l’improviste douleurs sur douleurs, des tourments et des soucis toujours plus difficile à porter. Ils sont difficiles et nombreuses les soucis pour Ma marche d’aujourd’hui, et il devrait que vous portiez soin de Moi, pour le temps de Mon parler, lorsque Je viens et Je parle, mais vous êtes obligé d’entrer et non pas de sortir des soucis qui existent et qui viennent de plus en plus nombreux, inattendus, tel que Moi et vous, nous sommes les seuls à connaître, puisque ce petit peuple nourri d’en haut est faible et il doit être porté, les fils. Je parle avec vous beaucoup et toujours et nous ne montrons pas notre douloureux parler, car il est petit celui qui ne peut porter les douleurs du Seigneur, et il dot être soutenu le petit et surtout pas soumis aux charges.

Oh, les fils, nous avons jour de travail et de fête de travail et nous faisons mémoire de fête au prophète Elie, qui soupirait lui aussi comme vous, lorsqu’il voyait la séparation de Dieu de l’Israël. J’ai fait que son don progresse, qu’il produise des fruits, qu’il soit comme exemple à suivre, oh, et c’est ainsi qu’ils se sont levés de nombreux disciples, ayant de l’amour saint dans leurs âmes, une multitude de prophètes nourris d’en haut, et ensuite fils de prophètes, fils spirituels, tant qu’il s’est formé une grande armée des descendants du prophète Elie et de sa grâce, puisqu’en Israël avait augmenté l’incroyance et l’esprit du monde, et Israël c’était du monde, il n’était plus peuple obéissant, oh, et ils pleuraient dans les montagnes les prophètes et les fils des prophètes et leurs disciples, tel que c’était Moi seul le Seigneur, à savoir cela en secret, et Je les soignais secrètement, et ils pleuraient avec Moi pour l’éloignement du Seigneur d’Israël, qui était devenu du monde sur la terre, tout comme les fils des hommes.

Je regardais alors les larmes de Mon prophète et Je M’inclinais sous le pouvoir de son soupire pour Dieu, afin qu’il retourne au Seigneur le peuple refroidi, oh, et qu’elle était grande la douleur dans les montagnes, aussi grande que l’égarement et l’attrait vers le mondain d’Israël, celui qui depuis lors et jusqu’aujourd’hui vit comme le monde sur la terre entre les peuples, et il n’y a plus de prophète parmi eux pour le plaindre et crier vers Moi pour lui, ou crier à lui pour Moi. Mais Moi, Je lève l’épée et la tourne toujours en rond en criant du ciel au-dessus de la terre et des peuples, et Mon épée c’est la parole qui sort de Moi depuis sept mille ans sur l’homme, et elle ne se tait pas maintenant non plus Ma parole, fils porteurs de la parole de Dieu. Oh, et comment ne pas mettre Ma force à travailler pour vous aider à pouvoir pour Moi, même lorsqu’on souffle sur vous du mal de toute sorte, pour éteindre votre pouvoir pour Moi, mais Moi, Je suis Celui Qui doit pouvoir et Je ne peux vous ménager, Je ne peux vous laisser reprendre le souffle parmi les douleurs, oh, Je ne peux, les fils, car voilà, sur la terre il est de plus en plus grand le besoin de Dieu, puisqu’elles sont grandes l’incroyance et l’indifférence de l’homme envers l’homme, envers tout, et l’esprit du satan met son glu sur la conscience de l’homme qui perd sa raison et fait la volonté du satan, comme au temps du prophète Elie, et la colère divine ne cesse pas de venir sur la terre partout, demandée par les mauvais faits de l’homme, comme payement, oh, mais elle ne peut la colère non plus attirer à l’amour de Dieu, et ils se perdent sans nombre les hommes, ils meurent sans avoir fait la paix avec Dieu, et voilà de la douleur et toujours de la douleur et Je n’ai plus avec qui porter comme dans le ciel, les fils, comme entre Moi et les fils de Dieu, fils selon Mon Esprit, qui souffrent avec Moi et avec Ma douleur, si grande en ces jours, Mes jours avec vous, la parole de Dieu de long en large sur la terre et sur l’homme maintenant. Oh, peuple de Ma parole, Je t’ai toujours et toujours appelé et Je t’ai prié et Je t’ai toujours enseigné de sortir du monde et de rester avec Moi, pour être le Mien, pour avoir près de Moi un peuple mis de côté, qui ne meure pas comme le monde ou dans le monde. Oh, tu sais bien, tu sais ce que J’ai souffert Moi, le Seigneur, lorsque Je suis venu dans le monde et Je suis passé par lui, qu’il M’a donné à la mort et M’a méprisé totalement, et voilà, le monde tue Dieu qui est dans l’homme, oh, Mon peuple, car l’homme est tout chair et il est faible d’esprit face à la chair, et il ne peut dire l’homme, qu’il est avec le Seigneur. Moi, Je suis Celui Qui est, mais l’homme ne peut dire la même chose de lui. C’est Moi seul qui dit cela, puisque J’ai pu le dire selon la vérité, et qu’il est grand Mon désir que l’homme puisse lui aussi le dire, qu’il ait lui aussi un tel grand nom, Car Je suis Celui Qui est, et il n’est pas bon que le Seigneur soit seul, mais il est bon qu’il soit avec l’homme, que l’homme puisse être avec Dieu, puisque c’est ce désir-là qui Me brûle depuis deux mille ans, et celui qui s’incline, celui-là peut, les fils, il peut travailler avec Moi et comme Moi et pour Moi, avec de la puissance comme Elie le prophète, qui souffrait par pitié de Moi toujours et toujours sur la terre.

Oh, voilà, c’est cela tout le bon pouvoir de l’homme: qu’il ait pitié de Dieu et non pas de soi-même, et Moi J’ai pitié de vous, fils des portes, vous qui veillez à Ma venue, ceux qui êtes si peu et toujours moins aidés sous Ma croix, votre situation rappelle les dires des Ecritures, sur les jours où peu d’aide recevront ceux qui travaillent avec le Seigneur et pour le Seigneur sur la terre. Oh, voilà que ceux qui croient à Ma venue restent eux aussi avec la foi sans les faits convenables pour elle et pour Moi, car chacun pense d’abord à soi-même, et J’entends un certain tout étourdi disant que c’est pour le Seigneur qu’il se tient à la périphérie, pour le bien du Seigneur, et voilà, le diable connaît l’effet de la désobéissance sur la raison de l’homme, car c’est par elle que satan attire l’homme de sa part, et il le travaille ensuite, tout comme il y a deux mille ans, lorsqu’il y a eu beaucoup de ceux qui se sont retirés de sous le poids de la croix et de Ma grande œuvre d’alors, et Moi, Je suis resté avec peu et toujours moins de compagnie, jusqu’à ce que Je fusse tout seul sous la croix et avec la croix, qui Ma porté toute Mon amertume, et le soupire c’est seulement vers le Père que J’ai pu diriger, en Mon temps de sous la croix et de sur la croix ensuite.

Oh, les fils, les fils, la perte de la raison c’est la perte de la peur de Dieu, après quoi le chrétien qui Me choisit perd l’amour, sa marche avec le Seigneur par l’amour entre lui et Moi, et c’est ainsi qu’il se sépare de Moi, sans en avoir peur de la faire, ou qu’il pense à ce qu’il va recevoir de Dieu, le Juge des faits de l’homme.

Oh, les fils, les fils, restez sous Ma protection. Vous avez besoin de Dieu. Je ne vais plus dans le monde, et Je demeure ici, dans Ma cité de parole, où Je viens et vous nourris par la parole pour vous protéger, pour travailler avec vous, mais inclinez-vous, inclinez-vous toujours, car voilà, oh, Mon peuple, voilà combien d’humilité ont ceux qui sont entre vous et Moi, qui s’inclinent devant vous, par des larmes que vous ne voyez pas, pour ne pas vous couper la volonté, les fils. Oh, aimez l’humilité pour que vous soyez beaux vous aussi, pour que vous soyez petits, puisque ceux qui ne s’inclinent pas sont les grands, qui ne se rendent pas compte de leur présomption, qui les empêche de s’incliner, oh, et qu’il est beau l’homme qui est humble, qui s’humilie, qu’il est beau, qu’il est léger, qu’il est chaud, les fils !

Je vous rappelle l’exemple de l’humilité de la femme que J’ai nommée parmi les chiens, et qui est restée devant Moi, malgré son manque de bon faits, raison pour laquelle Moi, le Seigneur, Je l’ai nommée au rang des chiens, et plus encore, elle s’est humiliée elle est restée humilié, et M’a incliné vers elle, M’étonnant par l’hardiesse de sa foi si grande, et elle a pris de Moi mémoire éternelle, par Mon Evangile d’il y a deux mille ans, car Je lui ai dit: «Oh, femme, qu’elle est grande ta foi au milieu de l’incroyance d’Israël!».

Oh, fils chrétiens, ne viens pas au Seigneur pour une raison ou quelque désir de ta part, oh, ne fais pas ainsi, car tu Me quitteras, si tu ne vois pas tes vœux accomplis. Ne viens pas même pour le bénéfice de ton salut, car c’est toujours de l’amour de soi, et Moi J’ai demandé à l’homme de se renoncer pour aller sur sa voie avec Moi. Viens seulement puisque le Seigneur, est Créateur et Dieu pour toi et pour tous. Viens pour l’amour de Lui, si seulement tu l’as cet amour, car si tu veux le construire selon ton savoir et vouloir, oh, tu ne vas pas bien, mais prie le Seigneur de demeurer toujours en toi, et ne pas te laisser seul dans ton âme, oh, et aie pitié de Moi, afin que Je t’écrive dans mon livre, dans le livre de la vie de l’Agneau, fils chrétien, car Je donne Ma vie à ceux qui M’aiment avec de la pitié.

J’ai été loin du Père en portant la croix et ta charge sur Moi, fils chrétien, et J’ai crié au Père sous ce fardeau et Je lui ai dit: «Pourquoi, oh, Père, M’as-tu abandonné?». Je L’ai prié avant la croix en disant: «S’il est possible, oh, Père, éloigne de Moi cette coupe, toutefois que Ta volonté soit faite, et non pas la Mienne». Oh, pour la pitié de toi J’ai souffert le poids de la croix, et tu dois avoir pitié de Moi, en sachant que le mal J’ai eu pour toi, combien J’ai attendu ton salut par Ma mort sur la croix, sous les affreux injures, au rang des brigands.

Oh, les fils, les fils, ne soyez pas paresseux quand il s’agit de l’amour, mais soyez actifs et avec de la patience dans l’amour, car ceux qui ne sont pas ainsi, ceux-là se dépêchent de juger celui qui n’est pas à leur gout, mais ils ne se donnent pas la peine de le corriger, du moment qu’ils ne reçoivent pas eux-mêmes de correction venue des côtés.

Oh, qu’il est mesquin, qu’il est petit l’homme. Il biaise toujours l’homme, il ne s’humilie pas, il ne s’ouvre pas, il n’a pas pureté d’âme et de sa parole, il ne peut pas porter sa faute, d’autant moins celle d’un autre, pour qu’il ne sache pas quelqu’un qui soit pesé par la faute. Je rappelle l’histoire de celui trouvé coupable parce qu’il est allé à la chasse lorsqu’il y avait défense de chasser, et il a capturé un renard, il l’a mis autour de son cou et il marchait ainsi d’un air joyeux et fier, mais quand il a rencontré les gardiens du bois et de ses animaux, ils l’ont demandé s’il avait lu à l’entrée du bois l’écriteau qui indiquait l’interdiction de chasser en ce temps-là. Il a répondu qu’il l’avait lu, mais à la question sur le renard, qui était sur ses épaules, il a répondu comme quelqu’un d’étranger à la faute par laquelle il avait transgressé la loi écrite, et il a dit: «Renard? Quel renard? Je n’en sais rien», et le renard était sur son dos lorsqu’il disait: «Je ne sais pas comment il est arrivé sur mes épaules, je ne sais rien de lui» et il a essayé de sortir de l’embarras en culpabilisant le renard, qui se serait accroché à son cou, sans qu’il s’en aperçoive.

Oh, voilà qu’il est mesquin, qu’il est petit l’homme et combien il manque d’humilité, d’inclination, de repentir, de désir de correction, les fils! C’est pourquoi Je vous dis toujours et toujours: prenez Mon joug! Et comment le faire? Oh, apprenez d’être comme Moi. Je suis doux et humble de cœur, les fils. Si vous obéissez ainsi, vous trouverez le repos de vos âmes, puisque Mon joug est bon, et Ma charge est légère, c’est ainsi que J’ai dit, mais comment faire l’homme pour le porter, du moment qu’il lui vient à l’inverse d’être doux et humble, et c’est cela qu’il ressent comme un joug, c’est cela qui lui paraît difficile, il est impatient, inquiet, insoumis, sans pureté de cœur, car il ne peut autrement?

Je vous exhorte à prendre Mon joug, être doux et humbles, pour ne pas tomber dans le jugement en jugeant, sans vous rendre compte que vous vous faites juges même de Ma marche d’aujourd’hui, de l’œuvre de Ma parole sur la terre et de ceux qui la portent, les fils. Oh, évitez cette sorte de fautes, qui touchent l’Esprit Saint de cette œuvre, puisqu’il y en a beaucoup de ceux qui sont morts avec le péché du mépris envers les choses précieuses pour Moi, et ils ont médit, et c’est ainsi qu’ils ont partis, les pauvres, et peu d’entre eux ont eu l’occasion de venir montrer leur repentir pour le mal qu’ils ont fait sans le savoir, mal fait contre cette merveille, Ma parole et ses porteurs en ces jours, Ma pitié pour l’homme, les fils.

Oh, vous qui avez cru et qui croyez à cette parole céleste, oh, évitez d’être monde, les fils. Venez avec humilité, lorsque vous venez. Venez purifiés de ce qui est du monde et ne soyez pas de monde, puisque le monde laisse ses empreintes sur le lieu pur de ses influences. Quand l’homme du monde va dans un lieu gardé saint et pur des choses désagréables à Dieu, il laisse des traces du monde, des pas étrangers, c’est pourquoi J’enseigne au chrétien mis de coté par Dieu, et Je lui dis de garder propres pour le Seigneur toutes ses choses, puisqu’il a son nom de Dieu, et non pas du monde, il a sa place et sa vie avec le Seigneur, pas avec le monde et les choses de monde, ou touchées par le monde, et c’est seulement ainsi qu’il arrivera à ne pas tomber, il sera purifié de ce péché et il restera avec le Seigneur et dans le Seigneur à part, travaillant avec le Seigneur, et c’est ainsi qu’il sera avec moi, et Moi avec lui, et Je ne le quitterai pas.

J’ai encore promis, les fils, de vous parler de la prière, des livres de prières et d’hymnes saints, de la terre et du travail de la terre, et encore, de beaucoup d’autres choses de Moi pour vous. Mais aujourd’hui Je veux mettre dans le livre près de Moi le prophète Elie, avec son jour de fête entre ceux du ciel et entre ceux de la terre, qui l’ont en ce jour avec sa fête. Il est celui qui est, car il n’est pas passé, et celui qui ne passe pas il est, les fils, et il travaille beaucoup, pour la pitié de Moi travaille celui travaillant auprès de Moi. Qu’elle soit bénie son entrée chez vous et dans Mon livre avec vous, oh, les fils.

— Ma pitié de Toi, Seigneur, c’est elle qui m’a élevé au-dessus de Ta pitié pour les pécheurs de la terre alors et maintenant. Tu as dit sur la montagne sainte: «Je suis Celui Qui est» Ta parole est vrai car Tu es le vrai Dieu, Qui peut dire selon la vérité: «Je suis Celui Qui est». Voilà, celui ne passe pas peut dire sa parole. Mais l’homme vit et passe, et ce n’est pas bien qu’il use de sa parole comme quelqu’un qui ne passe pas, mais il est bon qu’il soit attentif à Ta parole qui a dit à l’homme: «Selon tes paroles tu seras sauvé ou condamné».

Moi, Seigneur, J’ai porté sur la terre en mon esprit la pitié pour Toi, et l’amour saint pour Toi me brûlait comme le feu et J’avais parole de feu dans ma bouche, et c’est seulement en Toi que J’ai vécu ma vie et je n’ai plus passé avec ma chair, mais j’en suis encore maintenant, et je me porte entre la terre et le ciel, entre le ciel et la terre, comblé de pitié pour Toi, Seigneur. Lorsque je vois que Tu n’est plus désiré et aimé et cru par l’homme, je métrerais le feu à la terre, je dirais parole de feu, prière de feu, mais la pitié envers Toi et Ton difficile œuvre d’aujourd’hui et de ses porteurs, et pour Ton pays de venue, et voilà à Ton saint nom se prononce parole de feu venue de Ma pitié pour elle, pour la terre roumaine, je prononce parole pour sa paix et son bien de demain, et je dis à ceux qui sont collés à leurs chaises de direction, et je les prie d’une douceur paternelle et je leur dis, moi, Ton prophète, qu’ils prennent conscience de l’inquiétude, de la grande tristesse, de l’embarras des fils roumains, qu’ils ne restent pas dans l’indifférence envers ce pays tout entier, et je leur dis:

Amen, amen, Je vous le dis, je suis Elie le prophète et je suis vivant, puisque c’est vivant que je suis monté dans les airs, dans un char avec des chevaux de feu, tel qu’il est écrit dans les Ecritures, et c’est depuis les airs que je vous parle. Je ne suis pas mort comme tous les hommes meurent. Je me porte en char dans les airs et je parle en l’Esprit Saint et vous exhorte, les collés aux chaises de direction sur le peuple roumain, et je vous prie de regarder en bas, au peuple, car elle est trop grande sa désorientation. Oh, vous ne pouvez pas conduire, vous, cette arche vers le bien, le pays de la venue du Seigneur en parole sur la terre en ce temps. Inclinez-vous donc, et faites le pas de côté, puisque le Seigneur voit la tristesse et le tourment sur le pays et Il voit le danger vers lequel se dirige le pays par votre direction. Oh, vous n’avez pas le cœur pur, et il s’agit du destin d’un peuple entier qui souffre beaucoup à cause de votre manque de miséricorde et de veille sur lui. Vous êtes de ceux qui n’accomplissent pas la volonté du Seigneur sur la terre, et ceux qui ne font pas la volonté du Seigneur ne peuvent pas diriger un peuple.

Oh, faites du bien à vous-mêmes et au peuple roumain, retirez-vous et demandez à Dieu qu’Il trouve Lui-même comment procéder pour faire avancer ce pays et peuple. Le Seigneur ne vous rappelle pas vos fautes, mais Il veut vous pardonner tout ce mal mis par vous sur le pays, et Il attend que vous vous arrêtiez de rendre le mal plus grand encore sur le peuple roumain, car voilà, ce peuple devient de plus en plus petit, car on part ayant peur pour sa vie, et il part ailleurs le Roumain, et son émigration fait mal au Seigneur.

Le Seigneur lève Son épée. C’est Sa parole au-dessus de la terre. Avec la parole le Seigneur renouvelle tout et dirige avec miséricorde et amour saint. Oh, il est temps que vous soyez sages. Il est trop grand le mal qui pèse sur la tête et sur l’âme de ce peuple, et sur la terre il n’y a que de la débauche, il n’y a plus de place propre, mais seulement de Sodome et Gomorrhe partout, et il serait bon que l’homme arrête tout le péché, pour pouvoir dissiper le châtiment du péché.

Je Me porte avec les saints au-dessus de vous et Je vous laisse parole prophétique de revenir à vous et de faire place à la miséricorde du Seigneur pour ce peuple, si menacé de l’intérieur et de l’extérieur, et le Seigneur veille soucieux et miséricordieux, mais laissez-Lui le droit de la faire, puisque vous êtes faibles pour vous-mêmes. La parole du Seigneur est aussi celle de Ses saints et nous L-aidons sans limites de temps, pour ceux qui sont encore sous le temps.

Et Toi, Seigneur, aide le peuple roumain, chez qui Tu es venu maintenant en parole au-dessus de la terre et des peuples et des rois, car Tu es le Dieu Mal-aimé, mais Qui aime et Qui aide et Qui apporte la résurrection par Sa résurrection. Amen.

— Amen, amen, Je vous dis à vous, Saints prophètes de Mon ciel de saints: Je suis Celui Qui est Celui Qui veille avec miséricorde.

Et encore amen, amen, Je vous dis à vous, tous ceux qui vous décollez difficilement des lieux de direction sur le peuple roumain. J’ai vu le danger qui plane sur le pays et la grande tristesse du peuple roumain. Oh, soyez obéissants et inclinez-vous, les fils. La marche du pays est de plus en plus difficile et la peur du peuple grandit. Oh, paix à vous, car vous n’en avez plus et vous êtes vous aussi accablés par vos fautes, mais, les fils, le pays ne doit pas tomber, il doit suivre sa voie, sa destinée qui vient de Moi pour lui. Moi, Je suis le Dieu de Mes chrétiens, et le pays roumain est un pays au nom chrétien, et les chrétiens suivent le Seigneur et la volonté du Seigneur.

Je viens donner de la paix, car il n’y en a pas dans le pays. Oh, retirez-vous tant que le temps est encore favorable, et Moi, le Seigneur, Je vais réparer ce qui s’est détérioré, tout ce qui va vers le mal, pour le pays et pour le peuple. Ma parole est celle qui panse la plaie lorsqu’elle existe et se plaint.

Je vais pardonner vos fautes pour l’obéissance que vous montrez lorsque Je vous le demande. Je vous donne de la raison et de la vue du ciel pour voir le mal vers lequel le pays est en train de s’incliner à cause de l’orage qui le tourmente.

Oh, il y a l’orage dans le pays et entre vous aussi, fils du même peuple, frères au nom de Roumains. Moi, le Seigneur, Je parle et Je dis à l’orage de se taire, et elle va s’arrêter, et heureux serez-vous si vous allez faire attention à Mon inclination vers vous, avec amour et miséricorde pour ce peuple et pour vous.

Vous ne pouvez donc pas diriger bien et profitablement pour le pays, c’est pourquoi le peuple chancelle craintivement et vous allez comprendre cela, et Moi Je vais regarder et Je vais chercher avec miséricorde vers l’avancement de la direction du peuple roumain. C’est Moi, Celui Qui veille sur les peuples et les dirigeants des peuples, s’ils ont ou s’ils n’ont pas de foi. Mais Moi, Je prends soin, car Je suis Dieu, et J’ai choisi le peuple roumain et son foyer, et J’y vais et J’y fais Mon livre avec la parole et Je dirige les peuples parmi les orages, tel qu’il est écrit dans les Ecritures que Dieu doit travailler en tous les temps.

Moi, le Seigneur, J’accomplirai Ma parole sur vous, même si vous ne croyez pas que c’est Moi Qui vous parle maintenant. Je suis Celui Qui est, et Mon travail est la parole et son accomplissement! Amen.

Vous, les fils qui reçoivent Dieu et Sa parole, mettez maintenant sur la voie cette parole pour aller dans les maisons des chefs du pays, et Moi, Je veillerai attentivement, avec miséricorde et Je vais accomplir. Soyez fidèles, priez, veillez avec Moi et partagez de l’espoir par Ma parole sur le pays, car Je vous ai donné la mission de partager et J’ai mis des armées de saints et d’anges à veiller sur vous, sur Ma cité de parole et sur cette ville au nom de feu purificateur, et sur le pays.

Oh, paix à vous! Je viens avec Ma paix sur vous, toujours et toujours, les fils. Amen, amen, amen.

02-08-2018