La Parole de Dieu au Dimanche de l’Enfant prodigue

Paix à vous, enfants accueillants de Dieu! Je vous fais place devant Moi, les fils, afin que vous Me fassiez place devant le peuple de Ma parole, celui qui regarde la longue de la route en attendant de recevoir de vous Ma parole, et Mon livre, dans les fêtes avec vous et avec ceux qui Me cherchent chez vous.

Oh, quelle douleur aurait-il été entre ceux du ciel si Je n’avais pas eu la possibilité de venir sur la terre en parole, Ma verge de Pasteur, tel qu’il est écrit que Je paisse avec elle, et que Je dirige les nations, autant que personne entre les hommes ne puisse comprendre! Oh, mais quelle consolation ont ceux des cieux par Ma parole avec vous, lorsqu’ils voient arrivé le temps de la prophétie des Ecritures, pour Ma venue avec les saints, en Pasteur.

Oh, les fils, de quelle grande attention regardent ceux des cieux dans les Ecritures! Ils n’ont pas besoin qu’on leur dise de rester les yeux rivés sur le livre qui annonce les œuvres de Dieu, tel que Je vous ai dit et Je vous ai exhorté de suivre du doigt les lignes et les mots du livre, duquel vous apprenez de Moi la vie avec Dieu et avec les frères, pour travailler selon Ma volonté, afin que les anges vous donnent de bonnes notes et qu’ils puissent Me les présenter pour vous. L’âme possède des yeux et une vue pénétrante par rapport à ceux du corps. Les yeux de l’âme ne peuvent regarder ce que les yeux de la chair regardent, puisque l’âme est d’origine divine et elle n’est pas propre aux choses charnelles, et voilà en quoi consiste la dissemblance entre la vue de l’âme et celle du corps, entre ceux du ciel et ceux qui sont en chair sur la terre.

Oh, c’est un jour de conseil saint par la parabole du père à deux fils, car les yeux de la chair ont attiré le cadet d’entre les frères à demander sa part de l’héritage paternel, part qu’il a prise et il s’en est allé loin des parents et il a vécu là-bas dans la débauche, sans aucune veille sur sa vie, sauf celle de l’ennemi diable, qu’il avait choisi, et pour lequel il a dissipé l’héritage de son père. Et si dans ce pays est survenue une grande famine, le fils devenu pauvre, est allé se mettre au service d’un des habitants de là-bas, qui ne l’a pas reçu, mais il l’a envoyé dans ses champs garder les pourceaux, lieu où il ne trouvait rien à manger pour apaiser sa faim, car on ne lui partageait pas même des carouges que mangeaient les pourceaux, et voilà le signe de la séparation de son père, auquel il dirigea les yeux de son âme, et revenant à soi, il décida d’aller chez son père comme mercenaire, pour se rassasier de l’abondance du pain paternel! Oh, voilà l’infidèle, celui qui avait marchandé les plaisirs mondains avec ce qu’il avait comme richesse, et qu’ensuite est rentré comme mercenaire à la maison de son père, dont il avait perdu l’héritage.

Oh, les fils, les fils, voilà le temps que personne n’attend qu’il vienne, mais qui viendra à cause de la débauche des hommes, qui aiment l’argent et la vie dans la richesse et c’est tout, puisque tout va s’ébranler à Ma voix, et il reviendra le temps d’autant, lorsque les gens n’avaient pas de salaires et des pensions de retraite, et ils auront de nouveau l’occasion de vivre comme ceux de jadis, qui labouraient, semaient, binaient et chataient lorsqu’ils travaillaient la terre, en s’approchant de plus en plus de la vie de paradis. Oh, il n’y aurait alors un seul homme sur la terre à ne pas regretter infiniment et à ne pas ressentir un profond mal pour la vie donnée à lui sur la terre par Dieu, et qu’il a dissipée sans porter de fruit pour le ciel, sans travailler pour sa dot, utile dans l’éternité, tout comme sur la terre lorsque les hommes mettent de l’argent à la caisse d’épargne, pour le temps de l’impuissance, mais qui n’a pas de profit éternel, et voilà, pour la vie de paradis l’homme doit travailler sur la terre ce que Dieu lui a dit de faire, au moment où il a été établi dans la vie du paradis.

Oh, les fils, soyez sages et très attentifs pour le travail de la sagesse de la vie et de la vérité, celle de l’intérieur de l’homme et celle sur l’homme, et pour cela Je vous exhorte comme dans le ciel, à être vigilants et intelligents et connaisseurs d’homme, pour qu’il ne vous arrive pas de croire dans l’homme, qui est caché et qui attend d’être cru lorsqu’il raconte ses problèmes. Oh, ne crois pas dans l’homme, fils chrétien et fidèle à Dieu, car malheur à celui qui le fait, tel qu’il est écrit, et il y en a beaucoup de ceux habitués à croire, même en celui accoutumé à la dissimulation envers les autres. Oh, si tu restes l’homme celui né de l’homme, tu ne pourras pas avoir de travail pour Dieu et pour les frères et pour toi. Mais tu pourras tout si tu te laisses te naître d’en haut, de la vérité et pour la vérité, de Dieu, et tu prouveras cela si tu travailles par le renoncement à soi, par l’appréciation de ceux qui t’entourent, et tout cela pour ne pas tomber de Dieu par l’amour de soi, oh, puisqu’il ne peut pas être avec Moi celui qui s’aime, les fils, et qu’elle a été grande la faute de ceux qui ont cru qu’il est possible et ils ont cru dans l’homme, et ainsi ils ont fait mal au Seigneur!

Oh, les fils, les fils, voilà venir le temps du carême, et vous savez comme le jeûne arrive d’être un vrai jeûne. Oh, soyez obéissants avant tout, avant le jeûne, et soyez sages devant Dieu, et faites-le par l’humilité du cœur, pas superficiellement, les fils, et pour cela ne faites et ne travaillez rien, sauf ce qui vient du Seigneur à faire, puisque c’est Moi seul à vous apprendre Mon bien et celui pour vous, car autrement vous faites, sans y penser, le travail de Lucifer, le surpassement de Dieu, celui qui pousse le chrétien vers la chute, comme Adam en Eden, comme les anges qui sont tombés d’auprès de Dieu.

Pour le temps du vrai jeûne Moi, le Seigneur, Je vous apprends maintenant encore une œuvre, les fils, si seulement vous étiez bienveillants à obéir et travailler, et vous nommer ainsi fils de l’obéissance envers Dieu. Oh, voilà, ne vous dépêchez pas à déchiffrer le visage d’un événement ou de ton homme intérieur. Tout homme à cela dans sa nature, et elle n’est pas bon une telle chose. Il pourrait arriver que tu aies honte de toi-même, de ta conduite, de ton action ensuite, lorsque le temps, tôt ou tard, découvrira que tu n’as pas été vrai et juste, et tu vas te découvrir tout seul que tu n’as pas eu sur ta langue la vérité sur toi et sur ton action. Il vaut mieux que tu t’humilies, le fils, en tout, et confie-toi au Seigneur avec tout ton dedans, ou du moins ne te disculpes pas pour tes choses vraies sur toi, et cachées aux autres, puisque si tu te montres à tes semblables par les faites qui te sont favorables, oh, il est possible que tu ne sois pas pris au sérieux, et par contre, tu peux entrer dans l’amour de soi, et te faire justice tout seul, par l’impureté de ton cœur. Oh, ne ment pas pour cacher une vérité ou une contrevérité, car la vérité se présente un jour, et tu seras découvert, tel qu’il ne va te plaire ni à toi, ni à tes semblables, mais humilie-toi, le fils, pour être purifié par Dieu, car toi seul, tu ne peux purifier ton âme, ce n’est pas à toi de le faire, mais c’est le Seigneur Qui accomplit cela, lorsque l’homme se donne à Lui pour la purification.

Nous nous préparons pour le temps de jeûne à grand pouvoir, pour qu’il ne soit pas mêlé avec le péché le jeûne et ses faits, les fils. Oh, voilà pourquoi tu dois avoir tout le temps la sagesse d’en haut pour ton œuvre, fils qui veuille te confier au Seigneur pour ta vie ici, et pour celle de demain, dans l’éternité! Et n’oubliez pas la parabole du semeur, les fils, car il jette la semence, et vous, vous êtes le champ, et soyez très attentifs de vous rendre terre fertile, pour que la semence germe et produise des fruits, afin que Je puisse jouir de vous par ce fruit, les fils.

Oh, les fils, vous savez qu’elle est belle, qu’elle est douce la loi du paradis. Que celle-ci règne chez vous et entre vous, puisque dans le paradis il y avait le jeûne, et il était comblé de bonne choses le paradis, mais c’est selon la loi du paradis que l’homme devait y demeurer et manger comme dans le paradis. Comment donc, les fils? Oh, avec obéissance, car quelle grande a été la souffrance de l’homme après sa chute du paradis de Dieu, pour lui, du paradis si doux avec sa vie et sa beauté pour l’homme.

Oh, paix à vous, les fils! Mais voilà, vous recevez par Moi maintenant, par Moi le saint Haralambe, fêté l’autre jour, recevez de lui son amour, son désir saint, son exhortation de grand saint, et voilà ce qu’il dit pour vous:

— Donne-leur, Seigneur, de grands dons, car il est grand Ton temps avec eux, et donne-leur le pouvoir de faire des merveilles, de grande foi pour de grandes merveilles, car c’est de foi qu’on a besoin, et à côté d’elle l’humilité du cœur et de la joie humble du cœur et du visage. Oh, donne-leur la victoire contre le diable et contre les infidèles, garde contre le méchant, mais nous sommes avec Toi, nous Tes saints, et nous sommes des soldats célestes pour ceux de la terre. Prends soin, prends soin de Tes plus petits, oh, Seigneur Pasteur!

— Oh, les fils, les fils, donnez-Moi du pouvoir pour que Je prenne soin de vous, Mes plus petits. C’est seulement les petits qui Me donnent la main toujours et toujours, afin de les garder de tout mal, oh, c’est seulement eux, seulement les petits, et vous êtes Mes plus petits, oh, les fils. Amen, amen, amen.

24-02-2019