La Parole de Dieu à la fête de la Pentecôte

On a fête de Saint-Esprit dans le ciel et sur la terre, et il est grand ce jour. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit remplit de parole la table de fête et partage au peuple rassemblé avec le Seigneur à table ici.

Oh, c’est avec le Seigneur que tu es à table, peuple venu à la source de parole! Je suis la parole du Père, puisque la parole de Ma bouche passe du Père par Moi et il se fait le Saint-Esprit Consolateur, l’Esprit de la gloire du Seigneur.

Paix à toi, peuple plein de désir saint, qui te rassemble à la source de Ma parole ! Je t’accueille sur le pas de la porte avec embrassement de parole. Les airs sont pleins de Ma gloire, que J’ai du Père d’avant la création du monde. Toute Ma gloire est avec toi ici, à la fête de la Pentecôte. Les puissances célestes se portent entre le ciel et la terre avec leurs armées et l’atmosphère est toute une gloire, et Moi Je Me tiens avec toi à table, et Je Me console avec toi quand Je vois ton désir saint qui te mène pour venir auprès de Ma gloire avec le peuple de Ma parole, avec lesquels Je porte Ma venue et sa grande peine et œuvre, puisque la gloire céleste a beaucoup de travail, beaucoup de création à bâtir, là où elle travaille et établit sa fondation, qui montrera ensuite son visage.

Oh, Je t’enveloppe dans le Saint-Esprit le Consolateur, peuple fatigué pour Ma gloire, car Je t’ai établi pour préparer le festin du Saint-Esprit, afin de nous tenir à table avec le peuple réuni à la source. J’ai eu pitié de toi, car le temps a été pluvieux et froid, et il y a eu beaucoup à travailler et avec contrainte. Je t’ai conseillé d’avant de demander du ciel du temps favorable pour la fête sainte de ce jour, car les phénomènes du ciel se sont retournées contre la terre à cause des hommes qui l’habitent, et Je vois la désolation de ceux du ciel, Je vois qu’elle est grande, et tout pleure de toute façon avec tristesse, puisque l’homme n’aime pas Dieu le Créateur, mais il aime le péché dont il a fait son dieu pour se prosterner à lui et pour oublier le vrai et l’Unique Dieu le Père, Celui Qui Se glorifie dans le Fils par le Saint-Esprit le Consolateur, après les avoir laissés sur la terre, en retournant auprès du Père, où il y a Ma place.

Oh, Mon cher Père, Père Sabaoth, glorifie-Toi dans Ton Fils, Mon Père, pour que le monde sache que c’est Toi Qui M’a envoyé! Rappelle aux hommes de Ma deuxième venue, que les anges ont annoncée, et ils l’ont montrée il y a deux mille ans, par leur parole adressé à Mes disciples, au jour de Mon ascension de nouveau auprès de Toi, Cher Père, et Moi, voilà, Je viens tel que Je Me suis élevé. Je viens, et Je Me tiens sur des nuages de gloire, qui Me couvrent dans le mystère et laissent entendre seulement Ma parole, car Je suis la Parole de Dieu, Ta parole, Mon Père. Au milieu de Ton peuple et le Mien Je console Ton être et Je Me console en Te consolant, oh, Mon cher Père, car le Saint-Esprit le Consolateur est toujours non séparé de Nous, Mon Père. Amen.

— On a fête à grande gloire en ce jour, oh, Mon cher Fils, car la Trinité de Notre divinité s’est manifestée pleine de pouvoir et de gloire au cinquantième jour après Ma résurrection d’entre les morts, et elles sont descendues en ce jour-là des langues de Saint-Esprit sur les disciples qui ont témoigné de Toi, et qui ont été confirmés les Tiens par le Saint-Esprit-Même sur eux, comme Tu leur avais promis au jour où Tu T’es élevé auprès de Moi avec Ton corps ressuscité.

Nous embrassons le pays de Ta venue, Nous inclinant le front jusqu’à la terre, dans les jardins de la bénédiction, celle de la fin de temps, pour Ta venue de nouveau entre les hommes en parole et désir saint de Saint-Esprit, Fils Rédempteur. Voilà, Tu as un peuple de disciples Tu les nourris toujours de Ta bouche, et ils servent à Ta gloire, car Ta gloire avec eux c’est Ta parole sur eux, et avec laquelle Tu inondes la terre.

Nous inclinons le front devant le peuple rassemblé à la source au festin de Dieu, Celui triple nommé: le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Nous leur apprenons l’amour de Dieu, toujours accompagné par l’esprit de la crainte de Dieu, celui qui aide l’homme à ne pas fouler aux pieds les ordres saints et Dieu, puisque l’homme est petit et il a son âme de Dieu.

J’ai eu le désir saint de revoir Ta venue d’il y a deux mille ans et celle d’aujourd’hui que Tu passes sur la terre avec le peuple fidèle de Ta parole créatrice d’homme. Je désire Te voir sur la terre, Mon cher Fils, et Moi Je suis avec Toi, et Je suis plein de désir saint, tel que Je l’ai été il y a deux mille ans, quand Je T’avais envoyé pour donner la vie aux hommes, Mon Fils, car J’ai pitié d’eux, et Tu sais que c’est pour cela que Je T’envoie.

Ils ne sont pas sages sur la terre les hommes, ils ne le sont que ceux qui Te reçoivent pour passer avec eux le temps de Ta venue, cher Fils. Moi, le Père, Je Me glorifie en Toi avec le Saint-Esprit le Consolateur, pour que le monde sache que c’est Moi Celui Qui T’envoie après l’homme, puisque l’homme bâti par Nous au commencement a changé l’amour avec la haine et il ne Nous a plus aimés s’il a vu sa faute.

Oh, il ne peut Nous aimer l’homme en faute, Mon cher Fils! Nous descendons avec douleur après l’homme et Nous attendons qu’il puisse Nous aimer, mais sa faute l’empêche de venir après Nous et recevoir en cadeau sa nouvelle création. Notre douleur est grande gloire, et personne ne peut attendre sa gloire que de la gloire de la douleur, qui couronne l’homme et ensuite Nous en lui, et autre sorte de gloire et de son goût mènent à la mort l’homme.

Oh, parle en ce jour et partage du milieu de Ton peuple voix de Saint-Esprit sur le peuple rassemblé à la source! J’ai le grand désir de T’avoir sur la terre, cher Fils! Je suis en Toi, et Toi en Moi, et le ciel est étroit pour Nous quand Nous avons mal à cause de l’homme, quand il nous manque, puisque la nostalgie fait mal dans le ciel, car qui autre peut Nous consoler, si non celui duquel Nous vient la douleur?

Oh, gloire au jour de fête du Saint-Esprit le Consolateur, Qui est venu avec des langues de feu sur les disciples de Mon Fils, Jésus-Christ, au cinquantième jour après Sa résurrection de la croix! C’est par le Saint-Esprit que le Seigneur parle sur la terre. Le premier jour de la semaine lorsqu’il est arrivé le jour de la Pentecôte, un bruit comme celui d’un vent impétueux est venu du ciel tout d’un coup, et il a partagé aux disciples des langues comme de feu, l’une au-dessus de chacun, et ils furent tous remplis du Saint-Esprit et se mirent à parler d’autres langues, selon que l’Esprit leur donnait, et tout cela s’est passé dans l’huitième dimanche après la résurrection du Christ, Mon Fils.

Oh, Esprit Consolateur du ciel jusqu’à la terre, c’est du père que Tu procèdes et dans le Fils Tu Te glorifies. Partage-Toi, donc! Moi, le Père, Je T’envoie, tout comme J’envoie Mon Fils. Amen.

— Oh, gloire au Père dans le Fils, par le Saint-Esprit le Consolateur! Ma gloire avec Toi sur la terre c’est le Saint-Esprit, oh, Mon cher Père! Nous retournons le temps céleste, Nous retournons les hommes vers lui, Mon Père et il est grand pour Nous ce désir saint, et la terre pèse beaucoup sur lui. Je suis Epoux et mariée dans Mon pays de nouvelle venue sur la terre, et J’y ai mal, car il n’a pas de foi, Mon Père. Nous avons accordé au peuple roumain un don, Nous lui avons donné de son milieu un homme à grand âme, pour qu’il se tienne au gouvernail de ce peuple devant les nations, mais il n’a pas compris ce peuple la bonté de cet homme pour lui, Mon Père. Nous l’avons mis et gardé au gouvernail par la prière pour lui du peuple de Ma parole, pour que ce peuple ait l’esprit de la charité sur lui, l’esprit de la miséricorde et de la veille. Voilà, les traîtres se sont de nouveau montrés, car le peuple roumain n’a pas voulu prêter l’oreille et travailler chose sainte pour le bien de cette terre, où J’ai Ma venue.

Oh peuple accablé de fatigue selon que Ma parole te demande, oh, Mon fils, allons persévérer encore et demander au Père garde céleste sur cette terre et peuple. Il parle l’esprit du monde de toute façon pour prouver son pouvoir sur le peuple roumain, mais cet esprit a le diable de père. Allons parler au Père et lui demander la victoire contre le diable, qui nourrit de mensonge ses sujets. Allons demander au Père grand miracle, par lequel Il puisse vaincre les traîtres et spoliateurs de ce peuple.

Oh, Père, aie pitié de la terre et du peuple roumain! Abats les présomptueux et renverse le projet et la trame d’intrigues des traîtres, qui veulent écraser de partout le bon pouvoir de ceux qui aiment cette terre et ce peuple! Aide Toi-Même ceux à cœur pur pour ce peuple, et qu’ils restent sans aide ceux qui cherchent seulement de la gloire et de la richesse! Oh, empêche la réussite du mauvais pouvoir, et fais selon Ta miséricorde de Père des miracles de résurrection sur les fils de ce peuple! Amen.

Que Ma parole de la source fortifie vos cœurs, car Je vous ai parlé de Ma douleur pour le peuple roumain. Que toutes les choses nécessaires à la chair et à l’esprit ne soient pas plus que le Saint-Esprit le Consolateur sur ta vie, homme. Oh, n’oublie pas pourquoi Dieu t’a crée! N’oublie pas de ne pas faire autre chose que ce le Seigneur Dieu t’a dit d’être et de faire! La désobéissance à Dieu vient du diable de la désobéissance, et la soumission pour ta vie a été de Dieu mise en Moi. Tu n’es pas plus grand que Dieu, mais tu oublies toujours cela et tu t’arroges de grands droits, dont tu ne peux plus te priver. Je t’ai donné toute la création du monde pour te servir et t’en réjouir, et que tu Me réjouisses tel que Je l’ai fait pour toi, par tout que J’ai crée, car c’est pour toi que J’ai crée le ciel et la terre! Car si Je ne créais pas l’homme, Je ne créais plus les choses créées pour mettre ensuite l’homme au milieu d’elles, et l’homme doit obéir à son Créateur, et surtout pas le Créateur obéir à l’homme.

Oh, elle est grande Ma douleur puisque l’homme ne se bâtit pas pareil à Moi, après que Moi, le Seigneur, Je l’ai bâti pour qu’il soit! Vous, ceux qui vous vous êtes rassemblés avec Moi maintenant, en jour de sainte fête, soyez vigilants contre l’esprit du monde, les fils! Oh, ne soyez pas monde pour personne du monde, et n’ayez pas l’esprit du monde, Mes fils! Ne vous partagez pas les uns aux autres ce manque de veille sur l’âme et sur l’Esprit de Dieu de vous et d’entre vous contre le monde!

Voilà c’est un jour de réunion à l’appel et la mémoire des endormis, selon la tradition de l’église, réunion situé près de la fête du Saint-Esprit, et combien d’entre eux n’y ont pas de douleur, parce qu’ils n’ont pas su se purifier et éviter ensuite l’esprit du monde et ses mauvaise habitudes? Oh, beaucoup d’entre eux pleurent et Me disent: Toi, Seigneur, Tu connais la tentation de ce perfide esprit. Rappelle-Toi et aie pitié de nous, ceux beaucoup trompés, par cet esprit, car nous avons été des hommes faibles! Mais Tu nous as préparé l’appel, et nous entendons Ta voix d’aujourd’hui. Gloire à Ta pitié avec laquelle Tu viens du ciel sur la terre pour les vivants et pour ceux qui attendent la résurrection, oh, Seigneur, et ceux qui sont sur la terre, qu’ils apprennent à s’opposer à l’esprit du monde et suivre ensuite décidément au Saint-Esprit le Consolateur, et notre intermédiaire au Père. Amen.

Oh, grande pitié descende sur la terre maintenant, à la fin du temps, et Moi, le Seigneur, Je vous en embrasse et Je vous appelle auprès d’elle pour réaliser l’œuvre de délivrance du genre humain, dès son début et jusqu’à la fin du mystère de Dieu. Qu’il soit béni votre amour, parce qu’il vous procure la force de venir vers Ma bénédiction de la source!

Vous ceux qui voyagez souvent vers Ma table de fête ici, à la source, conseillez-vous les uns les autres vers le Saint-Esprit le Consolateur, Qui engage l’homme vers le ciel. Je vais compléter Ma parole d’aujourd’hui et Je vais l’envoyer vers vous, et maintenant Nous fêtons le Saint-Esprit et Nous allons bien expliquer les choses qui doivent être suivies et celles qui doivent être écartées. Je vous donne la consolation, et que vous sachiez la recevoir, car ce n’est pas n’importe comment que l’homme peut s’en réjouir, et vous devez savoir cela.

Ils sont venus avec Moi à table de Saint-Esprit les empereurs chrétiens, Constantin et Hélène, car leur mémoire a été aujourd’hui établie en même temps que le jour fêté aujourd’hui. Je leur donnerai la parole avec Moi, après avoir levé la table et Nous allons mettre dans le livre toute la parole d’aujourd’hui.

Voix de Saint-Esprit met en mouvement les feuilles et les fleurs, l’herbe et l’atmosphère, l’esprit et l’âme. Soyez bénis! C’est une grande merveille dans le ciel la joie que Nous sommes réunis, Moi et les saints, et vous êtes compris dans cette merveille, et on écrit dans le livre toute Ma parole avec vous. Fortifiez-vous par elle l’esprit et l’âme et le corps et l’obéissance, les fils. Paix à vous! Soyez beaux! Aimez Dieu! Parlez comme le Saint-Esprit! Demandez et vous aurez! Demandez que Dieu soit avec vous! Ne demandez pas pour vous! Demandez que Dieu soit en vous, les fils, et c’est ainsi que vous allez recevoir, et c’est ainsi qu’Il vous recevra comme les Siens! Amen.

Oh, c’est la fête du Saint-Esprit à table avec vous. Donnez du pouvoir au Seigneur en vous, les fils. Que les anges portent vos pas sur le chemin du retour, c’est ainsi que Je leur dis. Amen, amen, amen.



Deuxième partie


L’esprit de la fête de Pentecôte flotte dans les airs de Mon jardin de chez vous et il vous console, car vous êtes fatigués, fils disciples, mais vous êtes vifs, puisque vous êtes heureux de Me servir.

Nous levons maintenant l’assise de la fête car Nous avons accompagné vers leurs maisons ceux qui se sont rassemblés avec vous et avec Nous, ceux du ciel, ici, à la source. C’est le lieu où les anges et les saints passent le temps avec ceux de la terre, en leur parlant et en regardant de tout cœur leur grand effort pour le ciel, et celui du ciel pour eux, car le ciel se donne la peine invisiblement et il sert beaucoup avec ses dons, tous couverts secrètement au-dessus des choses travaillées à la vue, car au-dessus des choses qu’on voit travailler à la vue, il y a leur mystère et elles sont enveloppées en mystère, dans l’esprit qui travaille les choses que l’on voit.

Ceux qui vous voient et qui entendent parler de vous, ils ne savent pas Mon secret avec vous, Mes fils. J’ai fait de vous un petit peuple et Mes mystères célestes travaillent avec vous, car ceux que l’on voit couvrent leur mystère, les fils. C’est la même chose avec toutes les choses que l’on voit, et il y a deux pouvoirs qui couvrent dans leur mystère l’œuvre invisible de celles que l’on voit. Tu vois quelqu’un qui fait quelque chose, mais il y a eu d’abord la pensée et le conseil, et ensuite il y a l’esprit de la joie pour la chose travaillée, mais la pensée et le conseil et l’esprit de la joie sont tout d’abord de l’esprit, et ensuite de la parole et fait de parole. C’est ainsi que l’homme doit comprendre Dieu et les faits de Dieu avec lui, et J’ai dit cela pour que Je puisse vous dire maintenant que l’esprit de la fête de la Pentecôte es couvert dans son mystère tout ce que les yeux de ceux réunis à la source ont vu, et ensuite ils ont compris le mystère caché de leurs yeux. Vous avez pris premièrement du mystère de celles que vous avez travaillées et vous les avez montrées à la vue travaillées ensuite, et ceux qui ont vu les choses travaillées par vous à leurs yeux, ils ont compris leur mystère, la naissance à la vue du mystère duquel elles sont nées.

Oh, fils travailleurs, c’est ainsi qu’il se passe avec ceux nés de l’Esprit, Mes fils! Dieu c’est de l’Esprit, et c’est en Esprit que Je travaille avec vous, et les choses à la vue sont peu nombreuses, puisque sur la terre il y a incrédulité et contrainte. Oh, si vous n’étiez pas nés de l’Esprit, resteriez-vous et prendriez-vous encore de Ma parole, qui Me couvre par-dessus pour pouvoir parler sur la terre ?

Oh, les fils, ouvrez les Ecritures et lisez avec attention Mon explication sur ceux nés de l’Esprit, pour que vous sachiez et compreniez toujours plus profondément votre mission entre la terre et le ciel, car Je vous ai fait naître de l’Esprit et Je vous ai couvert de son mystère, car Moi aussi c’est ainsi que J’ai vécu tant que J’ai vécu à la vue des hommes. Le Père vous a dit maintenant à la table de parole, Il vous a dit qu’Il aimerait beaucoup Me voir sur la terre, et Il vous a dit qu’il est étroit le ciel pour Nous, ceux du ciel, quand l’absence de l’homme Nous fait mal, quand Nous avons sa nostalgie, car la nostalgie fait mal, et elle cherche sur la terre son apaisement, car c’est sur la terre qu’elle prend naissance la douleur, et c’est toujours sur la terre sa guérison.

Oh, fils fatigués, il est étroit le ciel pour le Seigneur! Il descend avec le Père après vous sur la terre. Lorsqu’on a la nostalgie de quelqu’un, le lieu où on se trouve commence à serrer, et ensuite on part poussé par le désir saint après celui désiré, allant du moins avec le désir, si non avec le pas. Il est étroit le ciel pour le Seigneur quand Il a la nostalgie de l’homme sur la terre. L’Esprit Nous porte du ciel sur la terre, parce que c’est la nostalgie qui Nous porte, Mes fils. Je vous parle avec des mots de douleur dans leur esprit mais ils en ont aussi la joie que Je peux vous les dire, et ils contiennent aussi leur bonheur. Quand on écrit une lettre à une personne qu’on aime, on y met l’esprit et la douleur et la joie et le bonheur pour lesquels on écrit cette lettre, et ensuite on l’envoie et on attend, et l’attente est elle aussi une nourriture, comme les quatre autres: l’esprit, la douleur, la joie et ensuite le bonheur, qui porte toutes les autres. Moi, le Seigneur, J’ai été heureux sur la croix, les fils, car J’ai porté sur elle l’esprit et la douleur et la joie pour laquelle Je Me suis sacrifié, et tout cela a été Mon désir saint après l’homme.

Oh, il est étroit le ciel, elle est étroite la demeure de Dieu lorsque Son désir après l’homme est grand. J’envoie des lettres sur la terre aux hommes, et c’est à cause de la nostalgie que Je les envoie, et l’attente c’est Ma nourriture et Mon espoir, Mes fils. C’est avec cette sorte d’espoir que Je vous engage pour mettre en place des fêtes avec rassemblement à la source, pour qu’ils viennent ceux qui viennent, et que Je leur parle pour mettre de l’huile sur Ma plaie, faite par Ma nostalgie envers l’homme. Ils n’ont pas eu ceux réunis, ils n’ont pas eu la joie que Nous avons eu, Nous ceux du ciel, pour tout ce qu’on a travaillé et on a montré, en travaillant face à face avec le peuple rassemblé à la fête du Saint-Esprit le Consolateur. La joie qui aurait pu paraître sans goût céleste, elle a porté en elle le sens profond de chaque symbole, que l’Esprit-Saint vous a appris le mettre à la vue, les fils. Le Saint-Esprit travaille et Il Se partage avec Ses mystères et Ses œuvres, et vous êtes le peuple des mystères du Saint-Esprit, et Il s’appuie le Seigneur sur vous pour Son séjour au milieu des hommes, tel qu’il est écrit que le Seigneur travaille en ces jours par Son mystère d’église de Nouvelle Jérusalem, descendue du ciel sur la terre en esprit de noce céleste, Epoux et mariée, Epoux du ciel et peuple mariée, parée pour Son Epoux.

Oh, Mon peuple mariée, va au devant des dons célestes avec toi sur la terre, et travaille-les à la vue pour ceux qui viennent voir et comprendre que Je suis avec vous sur la terre, que vous êtes nés de l’Esprit, les fils, et que vous n’êtes plus du monde. Surveillez toujours vos sentiments avec Moi, surveillez-les, de peur qu’il ne s’y mélange quelque chose du monde et de son esprit, et l’œuvre de vos sentiments est visible, on la voit du ciel et de la terre aussi, et ils doivent être veillés vos sentiments, pour qu’ils soient dans l’Esprit, tout comme c’est que de l’Esprit vous êtes nés. Je vais vous apprendre une plus grande œuvre de l’Esprit des uns aux autres, pour que Nous comprenions toujours plus pleinement à vaincre le monde et son esprit, quand ils veulent s’insinuer avec leur visage dans les sentiments visibles et invisibles de ceux qui sont un esprit avec Dieu, car Mon temps passé avec vous c’est toute une école toujours, c’est tout un enseignement et une œuvre, et Nous allons vaincre les choses qui passent, et Nous bâtiront ainsi les choses qui restent. Amen.

Je Me porte maintenant après ceux qui ont été rassemblés ici à la source, avec la fête du Saint-Esprit, et Je leur dis que toute Ma parole avec vous, après avoir élevé la table de fête c’est esprit d’enseignement pour eux aussi, Ma parole avec vous. Le mystère de la naissance de nouveau de l’homme peut-être pénétré seulement à l’aide du Saint-Esprit, Qui apprend à l’homme, mais il en y a beaucoup sur la terre qui se blessent dans la parole comme dans une sabre, au moment où ils veulent en prendre sans surveillants et réaliser sur eux l’œuvre de la parole prononcée par Moi pour être accomplie. Que ceux-ci apprennent tout d’abord craindre Dieu, et ne pas faire de Ma parole sabre qui les blesse, parce qu’ils ne savent pas son secret, caché sous la parole prononcée par Dieu, car beaucoup de ceux qui prennent Ma parole versée ici se croient ensuite des prophètes, des guérisseurs et distributeurs de dons et apôtres itinérants, mais qu’ils aient peur de prendre le travail qui ne leur a pas été partagé, car ils ne font pas cela. Je ne peux faire quelque chose du ciel par ceux qui se croient être quelque chose après avoir entendu Ma parole prononcée pour son œuvre secrète, car les prophètes et les apôtres écrits dans les Ecritures avec l’amour de Dieu par eux, ils n’ont pas été de ceux qui ont souhaité avoir et partager aux hommes des dons célestes, mais ils voulaient s’enfuir après que Moi, Je les appelais vers les mystères et les œuvres de l’Esprit, et Moi, le Seigneur, Je leur faisais place ensuite sous la croix de Mes œuvres avec la marche sous la croix , et Je M’approchais seulement de ceux doux et humbles d’esprit, alors que Je choisissais pour le ciel des travailleurs, et ensuite Je les purifiais et les sanctifiais car les choses à travailler pour Dieu sont saintes et elles sanctifient l’homme, tout comme Ma parole est sainte et elle sanctifie lorsqu’elle trouve où s’asseoir avec bénéfice pour elle, et se tenir à son travail pour la création de l’homme nouveau, homme né de l’Esprit.

Je dis encore à ceux qui ont été rassemblés à la fête, Je leur dis de ne pas oublier d’eux-mêmes, parce que s’ils le font, ils oublient de Dieu aussi et ils oublient de toutes les choses qu’Il montre pour être travaillées, et celui qui oublie de lui-même, celui-là ne prend pas soin de son être, celui bien rangé dans les volontés de Dieu.

Oh, faite attention à vous en apprenant de Moi la vie! La vie doit-être veillée pour qu’elle puisse devenir amour pour Dieu en vous. Toute la vie d’un homme saint doit être de l’amour pour Dieu. C’est en vain que tu veux que l’homme te voie avec les choses sorties et travaillées de toi, puisque l’amour pour Dieu a le visage humble, il est le secret de la sagesse, il a comme patrie le ciel, où il amasse sa richesse. Je vous ai appris maintenant à la fête et Je vous ai dit: Soyez beaux et demandez Dieu en vous, et ne demandez pas pour vous, car la patrie du fils de Dieu c’est le ciel, pas la terre, elle n’est pas l’homme. Oh, soyez beaux, soyez célestes sur la terre, pour le ciel, soyez beaux! Voilà la beauté des saints et leur patrie pleine de beauté du ciel, car il y en a beaucoup qui se sont fait leur patrie sur la terre et ils ont vu ensuite qu’elle n’est pas la leur, et que c’est seulement le ciel qui peut être la patrie de ceux qui auront une patrie. Amen.

Et maintenant Nous avons des invités célestes à la table de parole les empereurs chrétiens Constantin es Hélène, sa mère, et ils Vous disent ceci:

— C’est seulement le ciel qui peut être une patrie pour tous ceux qui veulent se faire et avoir une patrie, oh, Seigneur, oh, Epoux avec mariée! Nous parlons avec Toi devant Ton peuple mariée et nous montrons notre vie, celle laïque et celle spirituelle, Seigneur. Nous avons travaillé pour nous patrie sur la terre et nous avons mis notre nom sur elle, nous avons vaincu des pouvoirs, des royaumes et de terres et nous les avons soumis, car nous étions des empereurs, mais nous avions en nous un désir secret et impétueux, comme une tempête qui bouleverse une région inconnue, et on entende ensuite d’elle, et il a pris feu en nous le grand désir saint pour témoigner de Toi, et nous avons passé de la mort à la vie, de la terre au ciel, des choses terrestres à celles célestes, et nous nous sommes mis à Te faire place sur la terre par l’œuvre de Ta vérité, Seigneur, car les présomptueux s’occupaient à Te diffamer alors, et nous, nous avons cherché de quelque façon, avec le pouvoir que nous avions comme empereurs, de rompre le frein de ceux qui croyaient en Toi, l’Unique Dieu, et nous avons fait place à Tes lois et vérités par ceux saints sur la terre alors, en les réunissant et en leur accordant autorisation impériale, pour qu’ils clarifient eux-mêmes la voie chrétienne pour les hommes sur la terre.

Oh, c’est avec frémissement que nous nous sommes tenus dans la salle de fête de Saint-Esprit avec le peuple réuni autour de Toi, disciples d’aujourd’hui. Ils T’ont suivi comme des fils d’empereur et ils T’ont préparé place de fête pour que Tu viennes du ciel avec les Tiens, et qu’il se rassemble peuple de la terre à Ta source de parole, Seigneur. Ta patrie est le ciel, et Tu nous y as fait place ensuite, après que nous ayons fait large place à Ton royaume sur la terre, pour ses saints et pour ceux qui naissent ensuite pour lui par l’esprit de Tes saints qui témoignent, et qui par leur témoignage ils annoncent Dieu, en donnant naissance à des fils pour le ciel. Toutes les choses bâties sur la terre restent sur la terre et s’écroulent, et celles-ci témoignent de l’homme, mais celles divines bâties vont dans le ciel, et elles existent et témoignent de Dieu, et à nous, bien qu’empereurs sur la terre, il ne nous est pas resté comme patrie bâtie, que le ciel et les choses épargnées dans le ciel, où l’existence de la teigne et de la rouille n’est pas connue.

Oh, il est grand Ton mystère avec Ton peuple disciple aujourd’hui, Seigneur! Nous regardons frémissants la beauté céleste, que Tu tiens en secret, la beauté de Tes lieux d’aujourd’hui avec le peuple de Ta parole, Seigneur, car celles du ciel et celles de la terre se couronnent ici les unes les autres et elles sont couvertes sous nuage de mystère, et voilà, ceux du ciel mettent le pas ici avec timidité céleste et regardent en frémissant Ton œuvre, car Tu as ici le mystère de Ta deuxième venue sur la terre, Seigneur. Tu es venu et Tu as remis en place Ton église. Epoux et mariée, c’est ainsi que Tu Te tiens ici avec Ton peuple marié. Nous n’avons pas dans le ciel la joie que nous avons lorsque nous venons avec Toi ici, à la source de Ta venue sur la terre avec Tes saints, Seigneur. Il est étroit le ciel pour Toi quand Tu as tant de désir saint de venir et d’être sur la terre, car Tu as écrit «ciel nouveau et terre nouvelle», pas seulement ciel nouveau, et Ta création est le ciel et la terre, en service l’un à l’autre, tout comme au début aussi Tu as travaillé pour l’homme. Gloire à Ta venue avec les saints sur la terre, et nous voulons être utiles pour l’établissement à sa place et sur son nouveau fondement, renouvelé par la parole, l’établissement de Ton royaume, celui d’en haut sur la terre, oh, Seigneur Empereur. Amen.

— Je Me réjouis avec vous, oh, Mes chers saints, quand Je viens avec vous au milieu de Mon peuple disciple, Je Me réjouis de votre joie, comme Celui Qui peut vous montrer Mon royaume, que Je bâtis sur la terre, pour qu’il y reste avec ses héritiers, car c’est autrement que Je bâtis, c’est comme Dieu que Je bâtis, et J’amène du ciel Mon royaume avec l’homme, et c’est ainsi que J’en travaille. Amen.

Je te laisse reposer ton esprit et ta chair, Mon peuple disciple. Nous avons passé jour de noces, les fils. Sur la terre, à la noce on chante, on danse, on boit et on mange, mais à Ma noce avec vous, ces choses se passent autrement et elles prennent les unes des autres: celles du ciel prennent de la table avec vous et celles de vous prennent du ciel, et la table est céleste là où le ciel se mélange en tout avec son parfum, avec son goût.

Je vous habille maintenant dans l’esprit des pouvoirs saints, pour que vous restiez ainsi pour toute la peine que vous mettez toujours dans toutes les choses que l’on fait, pour qu’elles existent ici avec vous, les fils. Il M’a fait mal le temps qui vous a pesé avec beaucoup de pluie, mais Je vous ai donné du temps chaud et doux, et de la fraîcheur, et du soleil à la fête, car vous l’avez demandé en pleurs quelques-uns d’entre vous, et c’est pour la gloire de la fête que vous avez demandé. Je dois mettre de l’enseignement sur vous, les fils. Je dois travailler sur beaucoup de plus en plus grande création du ciel, pour qu’ils soient du ciel ceux qui veulent être avec Moi et avec vous, car l’homme de la terre est autrement, et Moi Je veux que vous travaillez légèrement avec l’homme, et pas difficilement, Mes fils, mais l’homme c’est à peine qu’il se laisse d’être fait.

La liaison entre Moi et Mon peuple c’est vous, enfants établis à la veille pour Moi et pour Mon peuple! Qu’ils apprennent bien cela tous ceux qui veulent apprendre, car ce n’est pas Moi Qui doit prendre de l’homme et faire, mais c’est l’homme qui doit prendre de Moi et faire de Moi, et pas de lui, car c’est ainsi entre Moi et le Père, et si c’était autrement, tout s’ébranlerait et tomberait. Rien de la terre, mais seulement du ciel qu’ils prennent ceux qui veulent travailler, puisque le Seigneur Se tient au-dessus de toutes choses et Il est le grand Empereur. Amen.

Je vous ai enseigné, les fils, et Je vous enseignerai beaucoup encore, parce qu’elle vient la fête des saints et la fête de Ma trompette Virginie dans leur fête. Au premier dimanche après la Pentecôte est placé la fête des saints, leur jour de fête, et Moi, Je viens à vous avec eux et nous allons partager les uns aux autres et nous allons prendre, et jusqu’alors Moi, le Seigneur, Je vous dis: Paix à vous, les fils! Amen, amen, amen.

03-06-2012