La Parole de Dieu au Jour de Fête Saint Prélat Spiridon

C’est la fête, on a jour de fête sur la terre et dans le ciel, et Moi, le Seigneur, Je suis Pasteur de la part du Père et Je pais Mon peuple, celui qui M’a de son Dieu et qui lit Mon nom et Mon Etre et Mon œuvre avec lui entre les hommes, mais aussi celle des saints, qui témoignent de Dieu tout le long du temps sous le ciel, et voilà jour de mémoire sainte entre les chrétiens et entre ceux du ciel pour le pasteur de Mes brebis, le prélat Spiridon.

Il y a beaucoup sur la terre qui fêtent en ce jour le Noël, car il y a cent ans les serviteurs de l’antéchrist ont monté un jeu hostile contre Mon église de la terre et ils ont poussé les jours en changeant leur place et leur mémoire pour tous les ans, et tout cela pour qu’il puisse changer de leur place les fêtes des saints, leur place de l’histoire des jours de l’an, oh, et il a réussi l’ennemi de Dieu, et depuis lors tous les chrétiens sont étourdis, ils ne comprennent pas ce qui se passe avec eux, et surtout le peuple roumain, sur lequel l’œuvre des antéchrists a fortement frappé, et ils ont réussi ce dégât, dont on écrit dans les Ecritures qu’il va venir et brouiller la loi et le temps des fêtes saintes, oh, et Moi, Je Me donne la peine de vaincre l’opposition, de découvrir ce mensonge et de réparer les choses gâtées par le coup de satan contre Dieu, mais Je n’ai pas avec qui M’entendre, même si Ma voix parle maintenant au-dessus de la terre, et elle est mise dans son livre Ma parole de ce temps sans lumière, puisque c’est Moi la lumière et Je Me suis abrité avec elle au milieu d’un petit peuple, et J’éclaire de son milieu avec elle, mais le monde sans le conseil de Dieu pour lui, oh, il tombe, il tombe toujours dans l’obscurité et dans les marais, et il ne Me reçoit pas, il ne croit pas quand le Seigneur l’appelle du ciel.

Vous, hommes étrangers de Dieu, oh, les fils, ne vous imaginez pas que Moi, le Seigneur, Je Me tiens dans le ciel comme vous le savez, comme vous le croyez, comme vous avez appris à savoir et à croire. Oh, non, Moi Je travaille toujours, et Mon œuvre est sur la terre, elle est sur le champ, et autant qu’ils essaieraient de Me cacher ceux qui M’ont tué il y a deux mille ans pour prendre Ma vigne et Mon règne et Mon empire, Je n’ai pas péri, et Je suis Celui vivant pour les siècles des siècles, J’observe attentivement Ma vigne et ses bons et fidèles travailleurs, et Je prépare le payement pour ceux qui se sont crus et qui se croient maîtres sur Dieu, sur Sa vigne, sur les hommes.

Vous, fils qui veillez en vous tenant devant Ma parole, quand elle parle pour vous et au-dessus de la terre en Mon temps avec vous, pour paître de la part du Père le peuple celui fidèle sur la terre, restez Mes sages puisqu’il faut que tous les hommes de la terre sachent ce qui se passe avec vous et avec Moi, ce qui s’est passé il y a doux mille ans, lorsque les grands du temple de Jérusalem ont fait avec Moi et avec Ma parole et avec Mes disciples nouvellement choisis, ils ont fait ce qu’ils font aujourd’hui les grands de l’église sur laquelle il est écrit le nom de Dieu, et cela à cause de Ma parole qui coule de Ma bouche sur vous, pour la partager en la mettant sur la voie, afin d’aller se faire connue, et voilà, un autre rejet pour Moi de la part de ceux qui servent aujourd’hui aux autels au nom de Dieu, et qui ont donné et qui donnent des brebis au poignard, des prêtres saints et des chrétiens aux coups des antéchrists, qui ont gagné large et très important lieu entre les grands mis des hommes sur la maison dite l’église du Christ sur la terre, des serviteurs fraternisés avec les serviteurs de l’antéchrist, bien cachés avec leur œuvre hostile à Dieu, tout comme il y a deux mille ans, quand ceux-là ont cru, comme ceux d’aujourd’hui qu’ils perdent Dieu en Le mettant sur la croix, de peur de ne pas pouvoir régner eux-mêmes sur les hommes, en lieu accordé à Moi par le Père, pour M’y tenir et être Pasteur et Maître, car le Père a bâti le ciel et la terre et l’homme, et c’est avec Moi qu’Il a travaillé le Père, et elles sont les Miennes ces choses de la part du Père, Qui a bien voulu en Moi et Il M’a annoncé sur la terre comme Son Fils, pour qu’on sache partout que le Christ Celui crucifié est ressuscité, Il est vivant aux siècles des siècles, et que personne de la terre ne peut arracher Mon troupeau de Ma main, et que c’est Moi-Même Qui le pais, comme il est écrit, oh, et qu’il entende cela toute la troupe de l’antéchrist, cachée derrière le rideau, et qu’ils se tiennent tous ceux-là à l’attente du payement, qu’ils se préparent eux-mêmes, puisque personne n’a pu être vainqueur sur le royaume de Dieu.

Vous, les antéchrists et vos petits du temps du pasteur de Mes brebis, le prélat Spiridon, avez-vous pu vous tenir contre Moi et contre lui? Vous, ceux cachés alors sous vêtements de serviteurs à l’autel de Mon église, voilà,vous avez été vaincus honteusement par Mon serviteur, le saint voyageur depuis deux mille ans de lieu en lieu sur la terre, depuis lors est jusqu’aujourd’hui et jusqu’à demain, ce qui prouve que les saints sont vivants tout comme le Christ et ils sont là où ils sont appelés pour venir et pour aider et pour paître Mon troupeau. Avez-vous su alors que les fils de l’église sont Mon troupeau, et pas la vôtre? Oh, non. Ceux d’aujourd’hui aussi, serviteurs d’autels, ils se conduisent eux aussi comme vous alors face à Mon troupeau, car les péchés de l’orgueil et de la présomption se tiennent sur le trône de leurs cœurs et ils se veulent grands ces mortels, et ils se croient eux aussi comme Mes saints les plus capables, en temps que leur œuvre est vendue vers la troupe des antéchrists comme dans tous les temps, puisque Judas et Hérode n’ont jamais été absents du milieu des serviteurs saints du Christ sur la terre.

Toute rupture dans l’église, tout brisement du troupeau en morceau de toutes sortes et couleurs, tout cela est l’œuvre de l’antéchrist, par laquelle on veut la démolition de l’église des saints, par des ennemis et des satans, tous cachés sous vêtement saint et qui forcent toujours plus fort l’entrée, pour chasser du lieu connu comme saint, ceux qui aiment avec fidélité et qui paissent le troupeau chrétien.

Oh, grand prélat et cher à Dieu, oh, pratiquant de la dévotion et de l’humilité sainte, tu as été pasteur de brebis, tu as été doux pasteur pour les fils de Dieu aussi, tout le temps de ta direction pastorale. Tu as donné la honte à ceux orgueilleux sous le nom de pasteur, qui n’ont pas pu cacher leur méchanceté et l’envie dont ils étaient si malades, si perdus, si maudits pas ces péchés. Ma gloire était avec toi et c’est pour cela qu’ils ne pouvaient te supporter. Tu as témoigné du Père, du Fils et du Saint-Esprit dans un Unique Dieu, tout comme la brique formée d’eau, de feu et de terre n’était qu’une. Oh, à qui la raison saine pour croire et comprendre ton témoignage, doux pasteur? C’est avec douceur que tu travailles depuis lors et jusqu’aujourd’hui pour ceux qui t’appellent en aide, et tu voyages, le prouvant par les signes que l’on voit sur ton corps mis à la vue au-dessus de la terre, là où tu as maintenant ton repos, jusqu’à Ma venue visible de tous, car Je viens bientôt comme il est écrit, Je viens et Je prépare Ma voie, et ensuite Je resterai visible comme après Ma résurrection, lorsque Je Me suis montré à Mes disciples et Je Me suis tenu avec eux, en leur parlant et en leur apprenant à paître le troupeau en Mon absence, jusqu’à ce que de nouveau Je viendrai visiblement du Père.

— Oh, Mon cher Maître, cher Pasteur de mon âme, Tu m’as été si cher, tellement cher! Tu T’es bâti en moi avec Ton amour, car je T’ai donné tout mon lieu en moi, pour être comme Toi ensuite, être doux et humble de cœur.

Oh, combien peu, combien peu ont été et le sont ceux doux et humbles de cœur comme Toi, Seigneur ! Oh, comme elles sont grands Ton pouvoir et Tes signes, par ceux qui Te portent tel que Tu l’es, oh Seigneur!

Oh, que d’incrédulité! La désobéissance fait tomber toujours ceux qui croient en Toi, sans le souci pour l’obéissance, c’est pourquoi beaucoup d’entre eux ne peuvent être doux et humbles de cœur, oh, Seigneur. Oh, il n’y a pas de renoncement à soi dans ceux qui se donnent la peine de Te suivre, il n’y en a pas, Seigneur, et c’est pour cela que ni les prêtres ni les chrétiens ne peuvent faire de miracles pour agenouiller les incrédules et faire des hommes des fils de Dieu et de ceux qui témoignent de Toi pour la foi de beaucoup d’hommes.

Il faut qu’ils se tiennent en grande humilité ceux qui ont de Toi le don de la foi, oh, Seigneur. Le manque d’humilité rend souvent incapables ceux qui croient en Toi et Te suivent sur la voie, mais si l’humilité ne brille pas dans leur conduite et elle n’est pas en œuvre pour l’humilité du cœur des autres, oh, il n’y a pas de fruit pour Toi, pour que Tu aies quoi réunir auprès de Toi, Seigneur, et pour avoir avec qui porter Ta croix et Ta venue, et voilà, maintenant aussi Tu as peu, très peu de ceux avec qui T’aider et soutenir Ta marche et son fruit ensuite, et faire grandir nouveau plant. Gloire à Ta longue patience, tout comme au temps de Ta croix, gloire à Toi, Seigneur, gloire à Toi! Mon amour Te porte aujourd’hui aussi, et il fait des miracles, car je voyage, et cela est prouvé par des signes merveilleux, qui aident beaucoup d’hommes dans leur foi.

Voilà, c’est ainsi qu’il se présente l’homme fidèle à Toi et il se maintient ainsi jusqu’à Ta venue, et ils sont vivants et travailleurs tous ceux qui, tout comme moi, ils ont laissé à Toi la place en eux, et ils ne travaillent pas comme les hommes sur la terre entre eux, ceux qui Te sont fidèles et bon repos pour Toi! Et maintenant, encore et encore, gloire à Toi et gloire à Ta longue patience, oh, Seigneur!

— Ma patience est celle de Pasteur, oh, Mon cher témoin alors et ensuite, car tu fais la preuve à travers la terre que les saints sont éternels tout comme leur œuvre. Et maintenant Je parle au peuple de Ma parole, en jour de fête pour toi dans le ciel et sur la terre, et Je te leur donne comme exemple de conduite et de pouvoir saint, en ton temps sur la terre, pasteur en service, pour découvrir comme menteurs beaucoup de ce temps-là, cachés sous le vêtement de serviteurs de Dieu, car voilà, c’est la même chose qu’ils font aujourd’hui ceux qui montent, selon leur propre volonté, aux degrés de serviteurs du Christ sur les hommes, beaucoup trompés par l’œuvre de l’antéchrist, à visage de serviteur pour Mon troupeau.

Oh, peuple de Ma parole, oh, les fils, il n’était pas possible que Je ne vienne et que Je ne vous dise en ce temps-ci, à quel point satan s’est mêlé au milieu des serviteurs d’autels, et combien les serviteurs sont trompés, ceux qui cherchent Dieu en se livrant aux mains de ceux qui, sans avoir la foi, ils sont montés très haut, comme serviteurs de la sainteté et comme des pasteurs de Mes brebis. Oh, c’est pour cela que Je sors souvent avec vous devant les multitudes prises du vertige des péchés et du manque de sainteté et d’enseignement saint pour elle, de la part de ceux qui se tiennent en Mon nom au milieu d’elles, et sucent leur énergie et trompent tant de cœurs ayant de la foi, mais si la veille ne travaille pas, les hommes ne savent pas que le loup ne peut être agneau, puisque le loup est loup, et il a sa mauvaise habitude de loup, il rompt les agneaux de Mon sein, et ils meurent ceux sans évolution, sans lait les petits, sans raison les non instruits.

Je suis sorti avec vous, les fils, au jour de la veille de Noël, selon le nom donné du monde, après la loi qui a changé les fêtes saintes de leur place du calendrier. Je suis sorti pour le jour de la veille de Noël, celui du monde, Je suis sorti pour Me montrer au monde avec l’œuvre avec laquelle Je suis venu pour travailler au-dessus de la terre pour réveiller Mon troupeau, car il arrivera que Je vienne visiblement bientôt, bientôt, s’il est écrit que Je vienne.

Oh, ne calculez pas vous le nombre de ceux qui se sont portés après vous et pour vous le soir passé, puisque le nombre de ceux qui M’attendent par vous est grand, grand, les fils, et il y en a beaucoup qui regardent vers la fenêtre pour voir Ma gloire sur vous. Soyez dignes de cette gloire, soyez dignes, les fils, et qu’il y ait beaucoup de ceux qui se fassent dignes d’elle dans les jours qui viennent, car Je dois cueillir le fruit de Mon travail avec vous, et Mon Père M’attend pour Me donner toute la gloire, et que Je la donne Moi à ceux qui travaillent pour elle maintenant avec Moi, et qu’elle s’étende de plus en plus, au long et en large de la terre ensuite.

Je regarde la photo d’hier soir, Je la regarde en tout, avec les saints Je la regarde. Je regarde les cœurs de ceux qui se sont rassemblés et ont regardé Ma gloire descendue sur vous. Ma sortie avec vous a été pour eux comme une vision céleste et comme un cadeau de Dieu pour eux. Nombreux et de plus en plus nombreux sont ceux qui attendent maintenant que l’on mette sur la voie ce miracle vers leurs cœurs, et les uns aux autres ils vont se donner cette joie et l’annonce de Moi par vous. C’est des uns aux autres qu’ils l’apprendront et le verront. J’ai annoncé par Ma parole qu’il viendra ce temps de Ma gloire par Mon peuple, et il est venu et il vient toujours si J’ai annoncé qu’il s’accomplisse ainsi.

Oh, les fils, les fils, c’est beaucoup d’obéissance que Je vous exhorte d’apprendre et de prendre de Moi, et qu’elle soit avec gouvernail l’œuvre quand Je vous donne à accomplir, oh, puisque rien n’est beau entier, s’il n’y a pas quelqu’un qui veille, et qu’ils vous annoncent de Moi ceux qui vous élèvent pour Dieu.

Oh, J’ai fait conseil avec vous, les fils. Chaque fois que Je M’annonce pour montrer Ma gloire sur vous, Je dois ensuite faire conseil avec vous, que Nous observions tout et que Nous travaillions en bonne et entière raison en tout, les fils, et c’est pour cela qu’il faut toujours qu’on travaille seulement avec gouvernail. Oh, Pourquoi Je viens, pourquoi Je vous apprends de tout et toujours? Vous avez besoin d’humilité et grande humilité et du sens saint et grand, que vous ne devez pas considérer comme venir de vous, mais c’est de Moi que vous devez prendre du savoir et ensuite du travail, si c’est Moi Qui Me tiens entre vous pour diriger Ma présence et Ma marche avec vous.

Oh, les fils, Je vous apprends de faire attention aux paroles prononcées, car la parole prononcée est douée de grande force, tel que l’homme ne peut comprendre. Je vous apprends de vous procurer beaucoup de paix et d’harmonie des uns aux autres, parce-que celles-ci vous aident à faire la paix et l’harmonie entre vous, car c’est d’elles-mêmes qu’elles sortent, pour qu’on voit leur fruit ensuite.

Je vous conseille, les fils, de recevoir aimablement toute parole, toute demande que vous devez accomplir, car vous devez être des fils obéissants, et sans repos pour l’obéissance, la stature et l’œuvre, oh, car c’est cela que signifie votre nom d’église des non endormis, et ce n’est pas autrement que signifie ce nom. L’obéissance travaille le dévouement par le renoncement à soi quand on vous demande cela, quand on vous le demande, non quand et comment vous voulez vous offrir.

Oh, vous ne vous accordez pas les uns avec les autres dans tout ce qu’il y a à travailler et à obéir, c’est pourquoi vous ne devez pas prendre de vous-mêmes, les fils, car les dons et ceux qui doivent les portés c’est Moi que J’administre, c’est Moi, ne l’oubliez pas, car vous ne devez pas prendre tous seuls, selon, votre désir, ce que vous prenez pour porter.

Je vous regarde, et c’est ainsi que Je vous guide. Je vous regarde, et c’est ainsi que Je vous partage, pas autrement, à conditions qu’on Me laisse d’être Pasteur, et que Je vous partage le travail et la nourriture et le pouvoir pour Moi, les fils, oh, car beaucoup de ceux qui s’approchent pour se tenir auprès de vous, ils ne savent pas se renoncer avec contentement, avec humilité et soumission, et voilà, on a besoin d’enseignement saint pour tous, s’ils ne veulent détruire la paix et l’harmonie celles de Moi avec vous. Qu’ils vous aiment ou non, il faut comprendre le travail veillé et dirigé du Ciel, et vous ne devez pas prendre et travailler de la terre, car c’est Moi Celui Qui vous donne à travailler pour Ma gloire, et que vous vous teniez à genoux seulement devant Moi, pas devant les hommes, oh, non, les fils, gardez-vous des hommes, et comprenez ce que Je vous dis, et celui qui ne comprend pas, que celui-là apprenne, pour qu’il puisse comprendre.

Oh, les fils, les fils, nous sommes restés avec peu de ceux qui ont été jusqu’à présent auprès de Moi, auprès de vous, et cela parce qu’ils n’ont pas voulu comme Dieu et ils ont voulu comme eux, puisqu’il a été difficile pour eux de prendre de Moi par vous, et s’il n’a pas été à leur plaisir, ils n’ont pas pu vous aimer jusqu’au bout, oh, et ils ont perdu l’amour ceux qui ont aimé leur personne et pas vous, pour eux et pour Moi avec eux. Aimez donc, d’apprendre de marche, oh, car nous n’avons plus de temps à part pour apprendre, quand elles viennent beaucoup de choses l’une après l’autre pour être comprises et ouvertes sur la table pour être comprises, pour ne pas vous faire mal par des motifs inconnus, et c’est en marche que Nous devons tout travailler et comprendre ce qui est à comprendre. Et celui qui ne pense pas comme Moi, le Seigneur, Qui parle maintenant, un tel homme ne reste pas sur la place jusqu’au bout, et il tombe de l’arbre, il tombe du rang, car il voit mal et il est pris du vertige et il tombe dans les choses mal travaillées, et tout cela parce qu’il ne se tient pas sous l’inclination, mais il s’élève tout seul et il travaille seul sa chute, comme tous ceux qui s’élèvent pour tomber ensuite.

J’arrête maintenant Ma parole pour ne pas trop affaiblir Mon pouvoir sur ceux qui Me portent. Je mesure toujours avec pitié, oh, et combien voudrais-Je que vous soyez tous les Miens et comme Moi, avec de la pitié pour Moi et pour Ma marche d’aujourd’hui.

Et vous, les fils, vous serez maintenant annoncés partout avec Ma sortie avec vous, avec Ma gloire celle si belle par vous au-dessus de la terre, oh, et Je prie maintenant vos messagers et Je leur donne de l’esprit et de la grâce du ciel pour travailler le plus clairement possible l’impression qu’on a vue de la terre et du ciel aussi, et on a écrit, oh, et ils vont donner aux hommes cette photo, ce cliché, ce film de façon claire, Mon œuvre avec le peuple de Ma parole entre les hommes sur la terre, avec la nouvelle de Ma naissance, le jour d’il y a deux mille ans, lorsque Moi, le Fils du Père céleste, Je suis descendu sur la terre petit Enfant né de mère Vierge et J’ai grandi comme tous les enfants et Je suis devenu le Rédempteur du monde, et maintenant Je viens et Je M’annonce comme à la fin de temps, et J’ai comme naissance de Ma parole d’aujourd’hui, J’ai un petit peuple par lequel Moi, le Seigneur, Je M’annonce et Je Me glorifie entre les hommes sur la terre. Amen, amen, amen.

25-12-2023