La Parole de Dieu du Dimanche de la Parabole de l’enfant prodigue

Je laisse l’esprit de la consolation sur le sentier de Ma descente en parole au-dessus de la terre et J’éloigne de Ma voie le souffle de l’orage qui essaie de faire entendre sa voix et affaiblir le pouvoir de Ma venue avec nourriture de parole à ceux qui prennent de Ma table, Je dis à l’orage de se calmer, et elle va le faire, tel qu’ils pourront agir pour Moi ceux qui Me servent de sentier. Amen.

Oh, Mon peuple, tu es né de cette parole dans ces jours de Ma venue maintenant sur la terre. Oh, les fils, il faut du jeûne et de la prière contre tout essai d’affaiblir Ma venue en parole sur la terre et contre Ma marche avec toi sur la voie, et il faut de l’amour en tout, Mon peuple, car Dieu c’est l’amour, et il faut que tu Me serves avec amour et patience pour lui, et que chacun se sacrifie toujours avec tout ce qu’il est, car l’amour de soi essaie de chuchoter à l’homme qu’il se réserve pour lui aussi, et la vie qui ne se sacrifie pas est une vie sans joie et sans payement, puisque c’est un grand mystère que l’homme ait de la joie. Oh, qui puisse apprendre à l’homme de quoi se bâtir de la joie pour lui? Elle se bâtit en se sacrifiant, et le sacrifice vient de l’amour, vient de Dieu dans l’homme, car Moi, Je Me suis sacrifié totalement et Je n’ai pas jugé si quelqu’un est digne ou indigne, quand Je Me suis sacrifié également pour ceux qui se sont inclinés et s’inclinent pour croire en Moi, pour que l’homme puisse recevoir de Moi son sacrifice, se sacrifiant lui-même.

Nous avons de l’enseignement en ce jour de dimanche. C’est cela la nourriture d’en haut: l’enseignement découlé de Ma bouche pour la vie de l’homme, car Moi, Le Seigneur Jésus-Christ, J’ai accordé à Mes fidèles le pouvoir de se faire fils de Dieu, Je leur ai donné Mon amour pour qu’ils aient de l’amour, et par son pouvoir qu’ils se fassent ses fils, pour que J’aie un peuple de fils de l’amour, que J’aille avec eux et que Je sois leur Dieu, tel qu’il est écrit.

On fait souvenir en ce dimanche de la parabole du père à deux fils, l’un avec de l’amour et de l’obéissance envers le père, et l’autre avec amour de soi et avec l’obéissance de même. Voilà, ce n’est pas bien que l’homme prenne sa vie de Ma main et la conduire tout seul. Quand tu es le fils d’un père et tu t’arraches de lui et tu vas dans le monde, tu n’as pas de fidélité, ni pour toi-même, mais jusqu’à ce que tu voies cette vérité, ta pensée te mène à croire qu’il est possible d’être autrement, seulement que les joies trompeuses ne tiennent pas la place chaude des joies, car elles finissent bientôt, et malheur à ceux sans raison, qui ne voient pas cette tromperie!

Le cadet des deux fils du père de la parabole d’aujourd’hui est parti de la maison de son père, il lui a demandé la part des biens qui lui revenaient de l’héritage, et il s’en est allé pour se faire tout seul une autre sorte de vie, mais ses joies ont pris fin un jour, quand il a vu qu’il n’avais pas bien fait en quittant son père à cause de l’amour de soi, et il est rentré ensuite demander au père la permission de le recevoir près des mercenaires qui étaient à la ferme paternelle, pour qu’il ait lui aussi quoi manger de ce travail. Oh, s’il lui est arrivé de voir à vif qu’il étais en faute et qu’il ne demande plus que de miséricorde, il est allé avouer son égarement, il est allé chez son père, et le père a reçu celui repenti, et il a fait grande joie dans sa maison pour celui si longtemps égaré de la maison et de la vie. Oh, mais pourquoi le père l’a-t-il reçu? Il l’a reçu parce qu’il s’est renoncé ce fis, celui qui s’était égaré de l’amour et ensuite il n’a plus eu besoin de rien, sauf de miséricorde.

Voilà, il doit se renoncer celui qui vient après Moi quand il vient, de peur qu’en venant il ne vienne pas, et qu’en ne venant pas, il parte après être venu pour rester. Oh, qu’il va bien l’homme qui peut renoncer à lui, oh, qu’il va bien! Seulement celui-là goûte en vérité pleinement la joie de la vie. Mais aussi si le renoncement à soi n’a pas dans sa pâte l’amour celui venu de Dieu et de l’esprit aimant d’hommes, il peut échouer dans la honte lorsqu’il est mis à l’épreuve. C’est pourquoi il faut toujours de l’enseignement sur les bonnes choses de l’homme et sur sa foi, car l’homme ne peut se faire tout seul la foi, mais seulement les épreuves de la foi la prouvent, et lui qu’il montre son amour et sa constance, de peur qu’il ne lui arrive comme au fils aîné du père à deux fils, mise ou ruminement dans l’église en ce dimanche, car le fils aîné s’est attristé profondément à cause de la joie faite dans la maison de son père au jour où son fils cadet est rentré pour la miséricorde, en reconnaissant son égarement. Oh, il n’est pas difficile pour l’homme de se sacrifier et se donner par toutes les siennes, par tout ce qu’il est, mais s’il ne sait pas quel goût donner à son sacrifice et quel renoncement de soi lui donner, voilà, il se découvre le manque de l’amour quand il est mis à l’épreuve dans l’homme.

Oh, elle est difficile la vie entre ceux du monde, tout comme elle l’est pour ceux du monde, qui ne savent pas qu’il existe un autre bonheur que celui que l’homme connaît comme bonheur. Je t’ai toujours appris, Mon peuple, de ne pas aller dans le monde, Mon fils. Moi, Je ne vais plus dans le monde. C’est pourquoi Je t’ai appris de n’y pas aller toi non plus, car le monde te vide de pouvoir, et ensuite de vie, et ensuite de foi, car il y en a partout des serviteurs vêtus de peau de mouton, et ils se tiennent aux carrefours et ils sont payés pour te guetter en chemin et te punir, en te déshabillant du vêtement de ta foi en Ma venue d’aujourd’hui en parole au-dessus de la terre, et Moi, Je Me laisse toujours en parole sur toi et Je t’apprends l’œuvre de l’obéissance, car J’ai laissé grand livre au milieu de toi, pour que tu en obéisses, Mon fils, et pour faire ensuite parti du nombre des fils de l’obéissance, puisque cette table doit avoir autour d’elle des fils mis de côté pour Dieu, pour se sanctifier toujours, et Je vois avec douleur quelle grande lutte portent quelques-uns pour t’éloigner des choses demandées avec grand soin pour être connues de tous ceux qui se choisissent pour Moi, Celui Saint, car J’ai dit à ceux qui se choisissent les Miens: «Soyez saints, car Moi, Je suis Saint!».

Oh, chrétien qui lutte pour te prendre libre la marche par le monde et des désirs qui puissent te déshabiller de la veille pour Dieu, oh, Mon fils, sur cette voie on a besoin d’attention à la marche et il faut du renoncement à soi. J’ai encore essayé quelquefois de Me frayer passage avec ce que Je dois dire à ceux qui ne veulent plus rester Mon église, mais ils se sont procuré une quiétude à eux, en temps que Moi, Je ne suis pas tranquille à cause de leur vie, sortie de la veille du guide et colée à des étançons prêts à s’écrouler, qui ne sont pas de ceux mis de côté pour Moi, et Moi, le Seigneur, Je Me tiens en regardant dans le vide avec ceux choisis de Moi pour guider, des veilleurs autorisés par Moi pour la veille du ciel sur les pas et la vie de leur peuple choisi pour Moi, car ils ne sont pas habitués les chrétiens d’aimer la veille sur eux, d’aimer la ressemblance avec Moi, Celui Qui ne fait pas un seul pas, une seule chose, un seul désir qui ne soient pas du Père et de Mon Père confiés à Moi, pour les portés et les accomplir sous Sa grande gloire et sous toute la lumière, la Sienne et la Mienne.

Oh, voilà pourquoi le chrétien qui a longtemps marché avec Moi, il n’a pas pu ensuite prendre part à la table de la Nouvelle Pâque, pour laquelle J’ai eu besoin de beaucoup d’années pour préparer son existence et la présence à sa table des chrétiens qui ont marché avec Moi et que J’ai beaucoup instruits, beaucoup, sur quelle sorte d’homme sera le participant à cette Pâque Sainte, avec peuple saint à table, mis de côté pour Moi, pour l’éternité avec Moi, pas seulement pour un temps, pas avec des chrétiens à demi, avec le corps et l’accomplissement spécialement demandés pour être à cette table, et voilà il y en a eu beaucoup qui ont été un pied près de Moi et l’autre près du monde, et ce n’est pas possible d’être à moitié près du Seigneur, mais combien de ceux-là ont cru cela?

Oh, voilà comment l’homme se retire de la table de Mon bonheur pour un peuple à Moi seulement! Il préfère les choses apprises par lui sur la terre, apprises du maître des ténèbres de ce siècle passager et qui a partout étalé sa marchandise pour attirer vers elle ceux qui sont les Miens, pour qu’ils ne le soient plus, mais qu’il leur enchante le cœur et la volonté vers les choses exposés devant tous les hommes condamnés à aimer le monde passager, et après tout cela le chrétien vient Me dire que c’est par nécessité qu’il va dans les lieux laissés dehors, sans personne qui le veille d’entre ceux établis pour veiller Mon peuple, il y va sans Mon autorisation, sans être envoyé par Moi, pour aller de la manière où J’autorise ceux qui y vont, mais ce n’est pas pour eux qu’ils aillent.

Oh, fils nourrit avec Ma miséricorde céleste, oh, pourquoi n’as-tu pas aimé d’être enfant, pour avoir Mon royaume et ses richesses sans limites, et ne pas avoir ton royaume et ta volonté, ou le royaume du monde étalé devant toi, et où tu vas souvent toutes les fois où tu en as envie, car si tu n’avais pas cette envie, tu aurais peur d’y aller, d’y toujours aller et entrainer des anges du ciel après toi, et qu’ils pleurent à ta suite, et qu’ils souffrent en pleurs les anges du ciel pour le manque de ta marche avec de la lumière sur la voie.

Oh, Je vous ai rassemblé vous, ceux dans lesquels J’ai mis Mon espoir, tout comme Je l’avais mis aussi dans ceux qui sont partis de Ma table avec vous, chrétiens qui se tiennent propres de toutes celles de la terre à Ma table, celle nouvelle, au festin du vin nouveau, promis à vous dès le début de Ma parole par Ma trompette Virginie, promis qu’il va venir, qu’il y aura chez vous le temps de la fête sainte, le Seigneur corps et parole à table avec le peuple obéissant et choisi pour Moi, et si Je vous ai rassemblé, Je vous parle de Ma douleur.

Oh, s’il y en a beaucoup de ceux dont l’amour change, cela est douloureux pour Moi. Il commence avec l’amour le chrétien, avec la foi, avec la fidélité, et ensuite il devient adversaire et il frappe de côtés avec mécontentement. Oh, quelle douleur! Oh, que faire sous cette douleur? Oh, pourquoi le chrétien attend- il de Dieu? Pourquoi ce n’est pas Dieu à attendre de lui? Oh, qu’il est laid et bas cet amour apparent entre le chrétien et Dieu, cela après que le chrétien se permet des vanités passagères, en s’habituant avec elles et même avec Dieu, pour ne plus Lui obéir et Le suivre! Bien plus, ceux-ci arrivent à Me haïr et à se séparer de Moi. Mais ceux qui gardent l’amour, ceux-là sont contents avec lui et ils Me le donnent en entier, et Moi Je leur donne, Je leur donne la consolation sur leur voie avec Moi, et Je les aide à se garder toujours dans l’amour, car avec Moi il n’est pas possible autrement l’amour entre l’homme et Moi, il n’est pas possible comme entre homme et homme, où il vieillit, s’enlaidit, se contusionne à cause du péché, et il n’a plus la beauté et la fraîcheur de celui du ciel.

Voilà, le travail pour le Seigneur est comme une école, comme un enseignement, comme un sacrifice, comme un amour de Dieu et du prochain, pour que tous ne soient qu’un, et celui qui ne peut ainsi, un tel homme ne sait, il n’apprend ce que c’est la vie avec le Christ et ce qu’elle attend de l’homme. J’ai mis de bon enseignement sur Ma table avec toi, Mon peuple. Ceux qui reçoivent de toi Mon enseignement ils en prennent sa douceur, ils s’en consolent, ils se nourrissent avec lui, ils s’en habillent et attendent eux aussi Ma victoire sur le monde, car une fois de plus Je vaincrai le monde, et c’est par Mon peuple obéissant que Je ferai cela. Amen.

Maintenant Je vous établis tous dans l’esprit de la consolation. Je vous envoie des anges consolateurs, guérisseurs des douleurs d’âme et de corps, et vous, fortifiez-vous des uns aux autres l’amour pour Moi, et que vous ayez tous ensemble le même désir à l’égard de tout ce qu’il y a encore à accomplir. C’est Moi Celui Qui se tient au gouvernail de tout orage qui essaierait de vous affaiblir la paix et la marche, et vous, multipliez vos forces en Moi avec une forte foi, les fils, car tout est possible à celui qui croit en Moi. Oh, consolez-vous et aidez-vous les uns les autres dans les difficultés que doivent souffrir l’âme et le corps, et veillez tous sur tout ce qu’il y a à travailler avec l’esprit ou avec la main, et qu’en tout ce soit Moi le début et la fin, parole et œuvre accomplie, les fils. Voilà le soleil vient et réchauffe les airs. Accumulez des forces. Moi, le Seigneur, Je vous panse toujours les plaies, votre saint désir et l’attente, et Je vous donne des forces, de la santé pour le corps et pour l’âme, les fils. Soyez fidèles et demandez de Moi l’avancement de la marche avec toute Ma parole devant, avec toute Ma venue, car elle, ne va pas arrêter de son cours et de son travail, et c’est Moi Celui Qui accomplis cela.

Je vous embrasse et Je vous console, car vos cœurs sont affaiblis, mais Moi, Je suis Celui Qui vous donne des forces et vous allez vous fortifier, les fils. Moi, le Seigneur, J’ai toujours, toujours vaincu pour vous, pour Ma marche avec vous. Nous allons toujours, toujours vaincre et nous serons les vainqueurs. Amen.

Réjouis-toi, Jérusalem, réjouis-toi de Celui Qui t’a bâtie et honore Son nom, car le Seigneur aime Son peuple, comme il est écrit. Amen, amen, amen.

Et vous, fils qui n’avez pas bien obéi à Ma parole pour qu’elle puisse s’accomplir sur vous selon Mon projet, oh, mettez les genoux et le front à la terre et plongez-vous dans la prière et le repentir, et prenez des saints la voix de leur prière et dites-Moi avec des larmes: Nous n’avons pas le cœur plein de douleur pour Te chercher, Seigneur. Nous n’avons ni le repentir, ni l’humilité qui font retourner les fils, et nous n’avons de larmes non plus, puisqu’elles se sont obscurcis notre vue et foi, et tous nos souvenirs avec Toi nous les avons oubliés, et notre cœur est devenu froid. Mais lève-Toi pour nous et inspire-nous l’esprit de la repentance et celui de ne pas justifier nos péchés en inculpant les autres pour nous sauver, mais fais-nous Te chercher Toi, et affermis ensuite Ton image en nous, car nous T’avons quitté et nous sommes sortis de Toi, nous nous sommes éloignés de Toi et des brebis de Ton troupeau, dans le cœur desquelles resplendissent Tes découvertes, Seigneur, et la consolation pour les grands efforts et ennuis soufferts, puisque Ta grâce est abondante, et rends nous, Toi-Même Seigneur, bénéficiaires de Ta miséricorde envers ceux qui, en venant au repentir ils se soumettent à Toi. Amen.

03-03-2013