La Parole de Dieu à la Fête de l’Epiphanie (Baptême de Jésus-Christ)

Je suis Celui Qui est, et J’ai les armées célestes dans Mon voyage entre les cieux et la terre, et les airs en tout c’est Notre maison, espace de mouvement, mystérieuse merveille, du beau travail à la vue de ceux qui voient, et pour ceux auxquels on découvre des fragments de la gloire céleste, et ensuite elles apparaissent des inquiétudes et des questions sur ceux d’en haut, car les airs sont pleins des demeures du Seigneur, les anges siègeurs, les anges regneurs, les anges maîtriseurs, les anges commenceurs, des puissances célestes de toute sorte, qui ont toutes des armées d’anges en service, oh, et que de doux service, et Moi, le Seigneur, Je passe d’une côté à l’autre et Je suis le Maître du firmament, et tous les saints venus de la terre ont des logis resplendissants, ils ont des armées en service pour eux, ils ont du repos, tel qu’il est écrit sur les splendeurs du Seigneur, préparées pour les saints en haut, qui ne montent pas à la pensée de l’homme, que par le sentiment de la joie venue d’elle, pour celles qui existent, et vers lesquelles les aimants de Dieu luttent sur la terre, pour recevoir du Seigneur leur paix dans les demeures célestes, après avoir suivi leur voie jusqu’au bout, jusqu’au Seigneur, Celui Qu’ils ont aimé et souhaité.

Oh, qu’elle est belle la gloire céleste et tous les cieux, avec toute leur beauté d’en haut, pour qu’on sache qu’ils existent les cieux et tous les saints qui les habitent, cependant les hommes qui vont sur leur voie dans les airs, avec leurs machines fabriquées de leurs mains, ils ne Nous voient pas, et s’ils voient quelque chose, ils voient des chimères, et ils viennent dire ensuite sur la terre aux hommes qu’il y a aussi d’autre lieux habités des hommes comme sur la terre, et ils ne savent pas, les pauvres, que dans les airs il y a aussi des anges désobéissants, qui au temps de leur chute sont restés sur la voie, par-ci, par-là entre le ciel et la terre, et ils s’entreposent dans le chemin de ceux qui viennent vers le ciel, pour qu’on mesure leur action, et les anges de satan vont au-devant d’eux pour les culpabiliser devant Moi, et ils luttent pour récolter pour eux, puisque ces mauvais anges cherchent toutes sortes de chicanes, selon leur mauvaise nature, et les hommes, qui volent dans les airs pour faire des recherches et le dire ensuite, oh, ils ne savent rien sur les douanes des airs, sur les diables qui font du bruit pour être remarqués, et Moi, le Seigneur, Je suis le Maître d’en haut jusqu’en bas et d’en bas jusqu’en haut, et J’ai sous Ma domination leur œuvre, et Je travaille avec les saints et les anges pour ceux qui arrivent à la balance de la vie, de peur que le diable menteur, Mon ennemi et celui de l’homme, ne puisse agir plus qu’il convient de le faire, et voilà, Je parle de la belle vue d’en haut, de la gloire du Seigneur, par laquelle Je passe lorsque Je viens sur la terre en parole, maintenant, ici, où Je Me suis préparé de l’hébergement pour pouvoir venir et parler et découvrir de plus en plus ce qu’il y a en haut, la patrie d’en haut et ses logis, dont les scientifiques parlent sur la terre, à savoir que pas seulement sur la terre il y a des habitants, et des êtres provenant d’autres lieux, vont venir pour diriger la terre et le monde. Oh, c’est la vérité qu’ils disent ceux-ci, mais ils ne savent pas comprendre ce qu’ils disent, car Moi et Mes saints, habitants des demeures célestes, Nous venons et Nous dirigeons tout sur la terre, même si les hommes croient que ce sont eux qui dirigent. Moi, le Seigneur, Je leur dis que la science que Je leur découvre c’est la bonne pour eux, et pas celle qu’ils essaient de deviner et de communiquer aux hommes, tout comme on a rependu tant d’égarements parmi les hommes sur la terre, afin que l’homme ne prenne plus de Dieu, qu’il ne regarde plus vers le Seigneur, et qu’il oublie Ses volontés.

Oh, il ne peut l’homme faire ce que Dieu peut, puisque l’home n’est qu’homme et il n’a pas de pouvoir ni pour lui-même, si seulement c’est Dieu qui le lui donne pour en avoir, mais le Seigneur a tout le pouvoir dans les cieux et sur la terre, tel qu’il est écrit, et voilà comme Je viens avec du pouvoir et de grande gloire, et comment Je partage aux hommes la parole de Ma bouche!

Oh, c’est un jour de fête, la fête de l’Epiphanie et Je Me porte sur les nuées et Je viens en parole sur la terre. Je ne Me porte pas avec des machines en fer, tel qu’il le fait l’homme dans les airs d’une côté à l’autre, mais c’est sur les nuages que Je Me porte et Je viens, et les nuages Me servent de logis et de chemise, pour Moi et pour ceux des cieux avec lesquels Je viens.

Oh, paix à toi, peuple accueillant de Dieu! Tu es l’hôte de ceux du ciel et de ceux de la terre en jour de fête de l’Epiphanie, tel que Moi, le Seigneur, Je t’ai annoncé pour faire la préparation pour cet arrêt. Oh, du milieu des armées et des puissances célestes Ma voix vient et se met dans le livre de Ma parole, et fait l’accueil des hôtes qui viennent à la fête, pour boire et pour prendre de l’eau avec du pouvoir d’en haut sur elle, et il y a une multitude de paroles saintes prononcés sur elle, pour sa force ensuite, et Moi, et ceux venus du ciel à la fête de l’Epiphanie, Nous les consolons et Nous Nous consolons par cette sainte rencontre entre ceux du ciel et ceux de la terre, ici.

On bénit et on sanctifie avec le pouvoir de la parole l’eau du Baptême et on la partage avec la bénédiction sur elle, et voilà, les paroles saintes peuvent changer tout en et bon pouvoir et en amour et œuvre de victoire contre le mal, puisque sur la terre s’est amassé beaucoup de mal, et cela continue, parce que l’homme fait beaucoup de mal, s’il n’obéit pas à Mon ordre, qui lui a indiqué ce qu’il faut aimer et ce qu’il ne faut pas aimer sur la terre.

Oh, si on prononçait seulement des paroles saintes et pleines de Dieu partout, sur toute chose, il aurait encore le mal sur la terre? Oh, tout changerait, tout se renouvellerait, tout, mais si les hommes ne se renouvellent pas, qui pourrait rependre entre la terre et les cieux des paroles saintes, qui puissent apporter le ciel sur la terre partout? Oh, sur la terre il y a l’homme, pas le ciel, mais le ciel existe, Dieu existe aussi, et ce n’est pas l’homme qui va vaincre, oh, non, puisque le Seigneur porte le nom de vainqueur et de maître, et l’homme va avoir honte et à l’imprévu il va se trouver avec la lutte perdue, avec le temps perdu. Oh, et J’aimerai lui accorder du temps pour racheter son temps perdu, et Je vais patienter pour l’homme et Je lui apprendrai que Dieu existe.

Oh, paix à vous, fils accueillants de Dieu! Nous avons ouvert les portes pour les hôtes, les fils, et nous les recevrons, car les préparatifs sont finis. Au temps où J’étais sur la terre avec Mes disciples, Nous avions aussi de l’hébergement, en Béthanie et chez d’autres disciples bienfaisants, guéris ou aidés par Moi, et Nous nous arrêtions et Nous passions du temps céleste, et voilà qu’à présent aussi, Je M’arrête sur la terre, Je M’arrête avec ceux du ciel, rangés en armées, et Nous présentons devant le Père festin céleste, du moment que Nous avons sur la terre de la foi et des fils fidèles à la merveille de Ma parole en ce temps.

Oh, paix et embrassement pour les voyageurs par un temps si froid, comme à l’Epiphanie! Moi, le Seigneur, Je les réchauffe à Mon Sein et Je souffle sur eux avec l’Esprit chaud et Je leur remercie et Je M’incline devant leur amour, car J’ai dit à l’homme «Toi, homme, tu aimeras Dieu de tout ton cœur et de toute ta pensée et de toute ton âme!». Oh, Je M’incline et Je vous remercie, car voilà, Je trouve de la foi sur la terre et Je trouve de la charité, car c’est Moi Celui qui en met pour qu’elles existent, et si Je mets, J’en trouve.

Oh, les fils, en ce jour de fête Je vous rappelle de l’habit de la naissance d’en haut, dont vous devez tenir compte, puisqu’il faut que vous ressembliez à ceux du ciel, car tous ceux-là ont des chemises, les fils, et comment pourrait-il être autrement dans les cieux, car voilà qu’il est laid l’homme sur la terre! L’homme se porte déshabillé sur la terre. Oh, c’est seulement le diable qui fait cela. Il ne faut pas que les hommes ressemblent aux diables, mais il n’y a pas qui leur dire que Moi, le Seigneur, Moi et Mes saints, Nous avons des chemises de lin, et c’est ainsi que Nous Nous portons entre le ciel et la terre, et Moi, Je Me suis montré à vous en chemise toute plis, toute gloire, toute une gloire, et vous, prenez-Moi et montrez aux hommes Ma chemise, les fils, pour qu’ils aient honte de leur nudité.

Les fils, les fils, J’ai promis de vous raconter une belle histoire pour savoir aimer les parures du Seigneur et comprendre ce qui est beau et ce qui n’est pas beau entre la terre et les cieux. J’avais Ma chemise comme parure pour Mon corps sur la terre, et Je ne l’ai jamais laissée défaite, sauf au moment où l’homme, aveuglé d’orgueil M’a voulu crucifié et outragé, Me déshabillant de Ma chemise, et il n’a pas eu d’autre occasion de Me voir sans Ma chemise.

Oh, il y a sur la terre des hommes qui se nomment et sont nommés grands, et ils exposent devant les hommes des modèles de corps découverts et ils sont fiers du travail de leurs mains et de leur raison.

Oh, voilà ce que la raison de ces hommes leur apprend et comment tourmentent-ils à d’autres aussi leurs idées? Oh, non, les fils, c’est du vilain cette œuvre-là. Elle n’est pas agréable à Dieu la raison d’un tel homme, et le travail de ses mains non plus.

Voilà ce que Je vous dis: Prenez une fleur à la main, une fleur fort belle par son aspect, et enlevez lui la parure qui montre sa qualité de fleur, c`est-à-dire enlevez-lui sa chemisette, sa petite robe, ses petites pétales. Quelle fleur peut-on encore nommer fleur, après l’avoir dévêtue de sa parure, et son corps est resté sans gloire, sans beauté? Peut-on encore la nommer fleur?

Oh, c’est la même chose avec l’homme qui ne porte pas sa chemise, la parure qui le rend beau. A-t-il encore l’aspect d’un homme, où c’est autre chose que l’on voit? Oh, Moi, Je ne Me suis jamais tenue sans chemise, mais toujours habillé, bien plus, Je portais ceinture, si c’était le cas.

Voilà donc, l’homme sans chemise est sans parure, il ressemble au diable, car le diable n’a pas de chemise, mais seulement sa peau, lorsque l’homme le découvre et l’appelle diable. Voilà, le corps de l’homme a toujours besoin de chemise devant le Seigneur et devant les hommes, mais l’âme, elle aussi en a besoin, car les saints et les anges ont tous des chemises de lin, tous, tel qu’ils sont dans Ma venue avec eux, tous comme Moi. La terre, les fils, porte elle aussi de robe, le ciel de même, car autrement on verrait tout, par manque de chemise.

Oh, gens de partout, oh, fils des hommes, si vous voulez qu’il n’existent plus, qu’il n’ait plus de force le mal sur la terre et sur l’homme, alors retournez-vous et laissez-vous être nés de Dieu et prenez sur vous le signe du baptême, la chemisette, car Moi, le Seigneur, J’ai dit aux fils qui Me portent en parole sur la terre maintenant, Je leur ai dit: «Serrez, les fils, serrez bien sur vous, la chemise de votre naissance d’en haut, et attachez-la avec une ceinture, puisque le vent souffle et ne s’arrête pas, et vous devez être habillés, et pas nus», et Je vous prie, endolori après l’homme, apprenez aux hommes, pour qu’ils sachent eux aussi de Moi et de vous, ce qui est beau et ce qui n’est pas beau entre la terre et les cieux.

Oh, Je veux mettre fin à tout danger, à tout mal qu’il y a sur la terre entre homme et homme, entre les peuples, afin que le mal n’existe plus, puisque J’ai promis que Je transformerais les armes en fer de charrue, et la nature des armes va obéir à Dieu et elles ne feront plus leur travail, celui mis au point de l’homme trompé par l’orgueil face à un autre homme, et qui fait des projets, toujours des projets, mais Mon projet est du ciel et il surpasse l’homme, pas l’homme peut dépasser le Mien, car Je viens avec les saints sur la terre, Je viens Moi et Mes saints et Nous allons mettre de l’ordre sur la terre, pendant que les hommes doivent regarder vers les saints, toujours les regarder et les lire sans cesse, car si chaque saint a un passé, alors chaque pécheur aussi a et peut avoir un avenir, en regardant vers ceux qui sont passés de la terre aux cieux, avec de la sainteté en eux, pour être utiles aux pécheurs, à ceux qui ne se mettent pas en tête de se sanctifier eux aussi, mais voilà, Je suggère aux hommes de choisir un avenir saint sur la terre. Qu’ils soient saint l’homme et la femme, et pour cela il faut qu’ils n’aiment plus le péché, mais qu’ils aiment le Seigneur de tout leur être, car le Seigneur est Celui Qui voit le péché de l’homme au moment qu’il le commet, mais s’il M’obéit, il va s’échapper du péché, et du payement de ses péchés, parce que c’est seulement à cause des péchés parsemés des hommes à travers la terre, que viennent ensuite tous les malheurs sur les hommes, et les comblent de souffrance et de larmes en abondance.

Oh, que de paroles saintes, que de baptême saint dans ma parole du jour de la fête de l’Epiphanie! Un tel saint désir aimerais-Je qu’ils aient ceux qui se sont réunis en ce jour à Ma source de parole ici.

Prenez de l’eau bénite, les fils, et aspergez-en la terre partout où vous allez, pour qu’ils périssent les mauvaise esprits du chemin de l’eau bénite, avec le pouvoir de la parole et toute Ma bénédiction prononcée au-dessus de l’eau.

On bénit l’eau du Baptême avec la puissance, avec l’œuvre et avec la venue du Saint-Esprit, au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit, et J’ai sur la terre des serviteurs par la parole, tel qu’il est Mon ordre.

Je vous ai offert une si belle et douce parole, comprenant tant d’enseignement! Demandez en aspirant vivement dans l’accomplissement, sur la terre et sur les hommes, de Ma parole établie ici pour son accomplissement. Oh, les fils, il faut que vous ayez de l’habit saint, et celui-ci va se sanctifier par la vie sainte, par un grand amour envers le Seigneur, car c’est le Seigneur Qui est votre vie, c’est Lui la vie des hommes, sur la terre et dans les cieux.

Je vous ai parés de grâce, fils hospitaliers, pour pouvoir partager Ma gloire avec vous et le retour des hommes à Dieu, car ils ont besoin d’un seul pas, à condition qu’ils cessent de produire des fruits pour le diable, celui qui est tellement nuisible partout sur la terre?

Oh, quel conseil plus cher, plus doux pourrais-Je vous donner à vous, ceux descendus à Mon auberge en jour de fête de l’Epiphanie, car voilà, nous sommes à table et nous passons ensemble du temps céleste sur la terre avec vous. Oh, prenez de Ma semence, prenez-en et cultivez, et soignez, et aspergez, afin de cueillir du fruit, les fils. Vous avez besoin d’une place de gloire dans la patrie céleste. C’est pour celle-là que vous devez prendre soin le plus, au plus grand zèle. Je suis avec vous sur haute montagne et Je suis avec Jean le Baptiste, et Nous édifions la montagne de la parole, et le monde va naître de Ma parole et il y aura de la naissance, et il y aura du baptême et il aura de la grâce et il y aura le Seigneur Maître sur la terre comme dans les cieux, et l’homme va s’arrêter et va reconnaître son Maître, puisque voilà, Je Me découvre beaucoup et toujours de plus, Je Me découvre, et la terre roumaine sera le pays des saints et ils vont vaincre Mes saints, de la terre jusqu’au ciel, et du ciel jusqu’à la terre, car Je les ai dans Ma venue, et Nous accomplissons l’ordre des Ecritures qui dit: «Il vient le Seigneur avec les dizaines de milliers de Ses saints, et tout sera neuf», tel qu’il est écrit.

Oh, vous qui êtes fidèles, n’ayez pas peur des hommes, les fils. Priez pour Dieu dans les hommes, et pour les hommes avec Dieu sur la terre.

Et vous, fils qui Me partagez, donnez-Moi aux hommes, soyez Mes parrains pour ceux qui prennent de vous Dieu la Parole, pour que les hommes soient nés de la parole de Dieu, et qu’ils revêtent la chemise du baptême et en prendre soin jusqu’au jour de la gloire, car Ma gloire viendra sans faute sur la terre, la gloire du Seigneur, et tout homme va se taire, va s’incliner et demander de la miséricorde, les fils. Oh, prononcez des paroles saintes sur tout, sur toutes les choses. De la terre jusqu’aux cieux, qu’elle travaille Ma parole, et votre parole sainte, pour la naissance de nouveau du monde, et tous les airs se réjouiront, et toutes leurs lois, mais il faut que vous aidiez à Ma victoire, les fils.

Oh, maintenant restez à l’attente, les fils, car Je ne vais pas vous laissez jusqu’à ce qu’il ne soit pas mentionné dans Mon livre d’aujourd’hui le souvenir de Mon Baptiseur au Jourdain, au jour de Mon Baptême. J’écris dans le livre la parole de Ma bénédiction pour la voie de retour des hôtes frères, venus à la fête de l’Epiphanie. Je leur donne des armées célestes pour les accompagner, et qu’ils Me donnent de la charité, et que le saint désir les porte toutes les fois qu’ils viennent à la source, pour que Je boive Moi avec eux, de Mon eau, à Ma table d’ici.

Je bénis triple pouvoir sur l’eau bénite du Baptême, et qu’elle purifie pleinement la terre et les cœurs. J’embrasse toute l’assemblée celle d’en haut et celle d’en bas ensemble. Je suis heureux de vous avoir, les fils, et quel bonheur pour vous de M’avoir avec vous, et pour vous. Je vous donne toujours et toujours de Ma vie. C’est cela, c’est Ma vie, que vous devez aimer toujours, toujours avec vous, oh, les fils. Amen, amen, amen.

19-01-2016