La Parole de Dieu du Dimanche de la Pentecôte, la Fête de l’Effusion du Saint Esprit

J’incline Mon regard et Mon amour. C’est la fête du Saint-Esprit le Consolateur en ce jour, et les armées de saints chantent ici, au-dessus du jardin de la parole, et les anges lèvent leurs petites trompettes pour annoncer la fête.

Vous avez ouvert les portes du jardin, vous avez beaucoup travaillé des jours et des nuits, et vous avez ouvert maintenant pour que les hôtes entrent à la fête, fils de la source, et maintenant nous annonçons le début du festin, ceux d’en haut et ceux d’en bas réunis de la terre, pour la fête avec joie. J’incline Mon regard et Mon amour et Je vous remercie avec gratitude pour Mon travail avec vous, pour votre obéissance, quand Je vous demande du sacrifice pour réussir dans votre travail, et maintenant, paix à vous, les fils ! Nous ouvrons la fête et nous accueillons les hôtes d’en haut et d’en bas, et Nous mettons l’esprit de la joie entre Nous et vous, et qu’ils sont malheureux ceux qui ne croient pas le miracle et Ma venue chez vous avec les saints et les anges, tel qu’il est écrit que Je vienne.

Tout d’abord, apprenez, les fils, qu’en ces jours de préparation du décor de la fête du Saint-Esprit, un arbre s’est élevé et a poussé jusqu’à Nous, un arbre plein de fruits. La semence de l’arbre, c’est Moi Qui l’ai plantée dans Mon jardin avec vous, et vous, vous avez pris soin de la vie et de l’accroissement de l’arbre, vous avez travaillé avec beaucoup de paix, avec beaucoup de patience et avec amour, les fils, avec des sacrifices et de la volonté, et l’ensemble de tout cela forme un arbre avec des fruits, et maintenant les anges sonnent de leurs petites trompettes et on prépare l’entrée dans la fête du Saint-Esprit, et tout n’est que gloire ici.

Oh, sonnez, petits anges, sonnez des trompettes, car la joie de ce jour est grande chez Nous et chez eux!

Et maintenant Je vous donne de la joie à vous, vous qui êtes venus à la source de Ma parole. Réjouissez-vous, oh, les fils ! Je vous donne le Saint-Esprit comme joie. Oh, soyez les biens venus à la source pour le Seigneur!

Oh les fils, quelles sont vos joies? Avez-vous des joies, les fils? Vous faites-vous des joies? Savez-vous vous faire des joies? Partagez-vous des joies autour de vous pour qu’elle existe de la joie sur la terre? Moi, J’ai dit à ceux endoloris: «Réjouissez-vous!», dites-le de même entre vous, oh, les fils.

Sonnez des trompettes anges de la gloire d’en haut, vous ceux qui faites s’accomplir les ordres de Dieu! Sonnez, pour que les hommes sachent eux aussi que la bonne disposition signifie de la joie, de la paix, de la gloire! Qu’ils entendent les hommes le Seigneur et qu’ils apprennent ce que cela signifie la joie, le signe de la paix sur la terre.

Il y a deux mille ans Je Me portais d’un lieu à l’autre et les multitudes Me suivaient pour leur donner de l’apaisement et de la joie et du repos à leur esprit endolori, et Moi, Je leur mettais table de parole et table de nourriture pour la chair et Je la bénissais et Je lui donnais de bon goût et Je les réjouissais avec Ma miséricorde, et Je M’en faisais connaître comme Dieu, au pouvoir de miracle, et Je posais de tels dons sur Mes disciples aussi et Je leur disais: «Faites de même vous aussi sur ceux de la terre», oh, et J’attendais avec impatience que quelqu’un soit pénétré par le mystère de Ma venue d’auprès du Père aux hommes, le Fils du Père venu en chair sur la terre, pour pouvoir apporter à l’homme le salut, la joie, et qu’il apprenne l’homme aussi à les réaliser. Je priais le Père en demandant pour l’homme et Je donnais du relèvement à ceux pris par des souffrances, et Je leur enseignais la prière envers le Père à ceux qui M’étaient plus proche, oh, et voilà quelle grande bénédiction venue de Moi ici, qu’il existe au milieu de ce petit village, un lieu d’où montent jour et nuit des prières, de la veille, de l’esprit d’humilité, de l’amour pour ceux des cieux. Cette petite colline a le Seigneur comme garde sur la ville d’ici, elle a des mains levées vers les cieux, en Lui demandant de la veille d’en haut, de l’aide pour la paix et pour le désir saint envers le ciel, pour la veille et la gloire du pays, oh, et c’est pour cela qu’il est établi ici l’ordre du ciel, pour monter au Seigneur, et c’est pour cela que Nous établissons des festins de joie, de bonne disposition, de paix, oh, et toutes ces actions-là guérissent, toutes apaisent, toutes bâtissent Dieu dans l’homme, et c’est pourquoi J’élève entre les hommes des fils utiles au ciel, afin que Dieu travaille avec eux, pour ceux qui ne cherchent pas vers ceux du ciel, pour leur bien sur la terre, et voilà, l’œuvre au Saint-Esprit avance et veille et amène de la joie et du travail saint sur les hommes. Il apporte comme le printemps apporte avec lui de merveilleuses fleurs et des fruits de toute sorte, et tout pousse comme l’homme grandit, tout pousse petit à petit et s’offre en cadeau. Mais si au printemps on a du mauvais temps, qui détruit la fleur dès l’état de bourgeon, et son fruit ne se montre plus ensuite, oh, c’est la même chose qui se passe avec l’homme, s’il a du beau temps, si le bourgeon de la vie fleurit, il reçoit de la consolation et il se développe le fruit de la fleur et il passe par beaucoup de difficultés jusqu‘à son plein accomplissement, et il s’offre ensuite à Dieu et à l’homme, comme fruit de l’amour et du dévouement. Et si le mauvais temps vient très tôt en endommageant la raison d’être et l’évolution de l’homme, oh, il ne porte plus de fruit l’homme et il n’est plus pour la joie du Seigneur.

Oh, ce n’est pas bien de ne pas porter de fruits, les fils. Allons appeler tous à table douce avec ceux des cieux, en jour de sainte fête, car voilà, J’essaie de vous habituer avec le ciel, les fils, et que nous le faisions aussi pour beaucoup d’autres qui entendent Ma voix sur vous, ici. La prière sainte sort de l’homme saint et elle fait la liaison avec le ciel sur la terre, oh, et quel gros fardeau devraient porter les hommes sur eux, si on n’entendait pas dans le ciel les prières saintes, et les hommes saints qui les donnent à Dieu, à cœur pur, à mains pures, pour que leur fruit revienne vers les hommes.

Oh, les fils, les fils, Je vous remercie pour votre venue à l’eau de la source de Ma parole, et Ma joie est grande toutes les fois que Je vous ai réunis ici. Ici J’ai toujours établis des accomplissements saints, pour faire du bien avec eux à ceux de la terre. Je vous enseigne aussi de prendre soin de vous, pour votre ressemblance avec Moi, tant qu’il vous est possible, les fils. Le corps de l’homme doit être un vase habité de Dieu, et il doit être gardé de toute chose impure, car le corps de l’homme c’est la demeure de Dieu.

J’ai appris au peuple dirigé par Ma parole et Je lui ai dit de ne pas prendre de l’homme, mais de se préparer tout seul aux mains lavées, tout ce qui entre dans son corps, dans le fils de Dieu entre les hommes, puisque les hommes ne se lavent pas, ils ne se lavent pas les mains, ni le cœur, ni la raison, ni l’esprit, et ils ne gardent pas la demeure de leur vie sur la terre, et si toi, homme, tu n’es pas propre, tu ne te gardes pas dans la pureté, oh, Dieu ne siège pas avec toi, et on voit clairement qu’Il n’est pas avec Son visage en toi.

Oh, venez pour que Je vous enseigne, venez à la source et prenez du Seigneur du conseil de vie, les fils! Réjouissez-vous du fait que J’ai ici un peuple bien portant en ce qui concerne l’accomplissement, peuple pour lequel J’ai beaucoup entendu pour qu’il apparaisse sur la terre par son obéissance à Dieu.

Oui, les fils, Je relève toujours plus haut, toujours au-dessus du mal, Je relève ceux qui sont le peuple de Ma venue, et vous, ceux qui prenez d’eux Ma parole qui coule ici sur eux de Ma bouche, oh, vous avez maintenant une tension dans votre cœur, et Moi, le Seigneur, Je la comprends et voilà ce que Je vous dis: J’ai dit à ceux qui sont pour Moi un peuple instruit et toujours plus instruit, Je lui ai dit qu’il ne mange plus de chairs, mais qu’ils se nourrissent avec les choses indiquées du Seigneur en paradis pour être utilisées par l’homme comme nourriture. Oh, Je n’engage et Je ne pousse personne vers de plus en plus nombreux pas pour l’accomplissement de plus en plus entier de la prière avec du jeûne, pour la réalisation de la victoire par cela. Mais Je dis, les fils, que satan doit être vaincu, qu’il est temps que nous le vainquions, oh, et il ne peut être vaincu, lui et ses diables, que par le jeune et la prière, forces qui s’entraident dans la lutte contre l’ennemi, le diable, né dès le temps du paradis ennemi de l’homme, par la désobéissance de l’homme à la volonté de Dieu sur lui.

Lorsque J’ai bâti l’homme, Je ne l’ai pas bâti pour manger des chairs douées d’âme vivant, ni de ce qui sort de la chair, car J’ai voulu qu’il soit immortel l’homme, et Je l’ai conseillé quoi manger pour vivre pour Dieu, pour Celui Qui l’a bâti.

Oh, l’homme n’a pas accepté l’obéissance à Dieu en paradis, mais maintenant Je viens Moi sur la terre en parole, et Ma voie de venue est bâtie par des hommes obéissants à la loi du paradis et de la vie. Et Je vous dis maintenant, à vous ceux qui êtes étonnés et qui posez des questions sur votre choix à droite ou à gauche, face à l’obéissance à Dieu, Je vous dis, les fils, ne soyez pas étonnés. Oui, Je suis venu et J’ai dit que le peuple de Ma parole ne mange pas le fruit du travail des abeilles, mais Je n’ai pas forcé personne de faire ce que J’ai demandé au peuple de Ma parole, peuple dont J’ai besoin pour qu’il travaille le jeûne et la prière entièrement, mais celui qui ne choisit pas d’accomplir ainsi, celui-là n’est pas de Mon peuple, car il a choisi tout seul de ne pas être le fils de l’accomplissement de la volonté du Seigneur, et s’il choisit ainsi, il reste ainsi, il reste à gauche.

Oh, les fils, ils viennent des jours de plus en plus difficiles parce qu’il n’y a pas l’accomplissement de l’amour envers Dieu chez les hommes sur la terre. Les hommes ne peuvent pas être gardés des malheurs que s’ils se tiennent sous les vœux de Dieu, oh, et on ne peut marchander pour avoir la garde du Seigneur sur l’homme. On a ce qu’on choisit, et Moi, J’ai le devoir de dire, car Je suis Celui Qui voit en avant, et J’annonce l’homme d’éviter la voie du mal, car le mal vient par la désobéissance de l’homme, celle de sept mille ans, oh, les fils, puisque l’homme a voulu agir selon sa volonté dès le début, il n’a pas voulu agir selon la volonté de Dieu.

Oh, J’ai les mêmes conseils pour le peuple de Ma parole et pour sa tenue vestimentaire agréable à Dieu, celle qui garde le chrétien du feu, des péchés, de grandes pertes. La même chose pour la conduite sainte et la protection contre le péché que l’homme fait de la part du diable, qui pousse l’homme vers le péché.

Oh, les fils, Je suis rentré auprès du Père il y a deux mille ans et J’ai dit à ceux qui Me suivaient qu’Il va venir le Saint-Esprit, Il va prendre de Dieu et Il va leur annoncer tout ce qui sera à annoncer. Oh, c’est cela que Je fais maintenant par le Saint-Esprit et J’apporte des conseils pour ceux qui Me suivent avec leur accomplissements et conduite. Je vous donne à vous aussi ces chers dons si vous voulez les avoir, mais Je ne pousse personne, mais chacun se sépare à droite ou à gauche, selon sa volonté, selon son choix. Moi, le Seigneur, Je veux que vous soyez tous Ma joie, Mon repas, mais satan veut lui aussi que vous soyez sa joie, son profit, oh, et comment pourrais-Je ne pas vous dire pour votre savoir que c’est pour être Sa demeure que le Seigneur a bâti l’homme?

J’aime beaucoup vous rassembler ici de temps en temps de vous avoir en Ma compagnie et vous apprendre les mystères de la vie et leurs pouvoirs, et la beauté de l’homme saint. Je désire tant d’avoir de nombreux, de plus en plus nombreux fils de la loi du paradis, et Je désire vous rappeler d’elle, les fils. Oh, savez-vous combien cela Me fait mal que l’homme ne peut agir avec Dieu? Je vous embrasse et Je vous pose endolori cette question, car vous Me manquez beaucoup et le désir saint Me pousse à venir et vous enseigner.

J’ai dit une profonde parabole il y a deux mille ans, J’ai dit que Je mets la table et J’y invite les fils du royaume des cieux sur la terre, mais ils ne sont pas venus, alors J’ai envoyé Mes huissiers assembler de partout les manchots, les estropiés, les infirmes, les oubliés de tous, pour les amener et les mettre tous à table, à laquelle les invités ont refusé de venir.

Oh, en voilà la table, en voilà la parabole prononcée alors, et ceux qui se proclament Mon église ne viennent pas, ne s’approchent pas, ils n’aiment pas faire la volonté de Dieu, et ils se cachent d’elle sous leur incrédulité par rapport à la parole qui coule de Ma bouche depuis si longtemps, sur le foyer de ce peuple, élu maintenant à la fin de temps, pour que Je vienne sur la terre et accomplir l’œuvre de Ma venue, et si elle n’avait pas été vraie Ma venue en parole, oh, elle serait perdue sa trace depuis longtemps, mais elle avance, et pas une lettre de Ma parole, de Ma venue d’aujourd’hui ne va passer sans son accomplissement.

Oh, c’est ainsi qu’il s’est passé, car J’ai appelé et J’appelle ceux qui comprennent et croient de leur cœur, et ils Me connaissent d’après Mon chant de Pasteur, et ceux appelés n’ont pas essayé de venir, et ils ont peur de leurs chefs et leurs subalternes et n’ont pas la force de venir. Mais Moi, J’ai un peuple, J’ai un champ, J’ai trouvé de la foi sur la terre, oh, et elle ne se perd pas, la volonté de Dieu du milieu des hommes, puisque J’ai un peuple obéissant et protégé par son obéissance, et Ma gloire est avec lui.

Oh, c’est à cette gloire que vous vous réunissez quand vous venez à Ma voix qui vous appelle à Ma table, celle qui manque de convives, et qui attend se compléter et donner des joies.

Oh, fils réunis à Ma table, réjouissez-vous tout comme Moi, le Seigneur Je Me réjouis quand vous venez, oh, apprenez de Moi à vous partager de vraies joies, le temps passé dans la compagnie du Seigneur, les fils. Il est grand l’honneur que Je vous accorde, et vous en restez obligés, les fils.

J’incline Mon regard et Mon amour. Je vous réunis sous Mon regard et sous Mon amour, Je vous observe avec pitié. Je veux vous donner des forces d’en haut pour Ma volonté en vous. Je désire que vous soyez à Ma table avec ceux qui viennent du ciel ici à l’occasion des fêtes. Oh, soyez sages. Regardez un fruit dans un arbre pour voir comment il mûrit jour après jour, jusqu’à ce qu’il devient savoureux, doux et bénéfique pour la santé. Oh, soyez ainsi vous aussi pour Moi, grandissez comme le fruit qui devient plus grand de jour en jour et qui grandit tout que l’homme peu à peu, jusqu’à l’accomplissement du fruit entier. C’est le Saint-Esprit le Consolateur qui vous enseigne tout cela. Vous êtes des brebis qui n’ont pas de bergerie, car il n’y en a plus sur la terre, ni des pasteurs de moutons avec de la pitié pour Mes brebis.

J’essaye de faire des brebis de ceux qui entendent Ma voix et Je veux être leur Pasteur et les garder des loups et des ennemis. Oh, écoutez-Moi pour être votre Pasteur, parce que vous n’êtes pas dirigés, les fils, et c’est pour cela que vous ne savez pas accomplir Ma volonté. Voilà, Je viens et Je vous enseigne Moi-Même. Reconnaissez Mon chant pastoral, oh, les fils! C’est de choses douces que Je veux vous nourrir, de joies, de la paix d’en haut, les fils. On a fête de parole de Saint-Esprit. Prenez et nourrissez-vous du ciel, car sur la terre tout est empoisonné. Je viens par un autre chemin et Je ne vous laisse pas mourir, à condition que vous reconnaissiez Ma voix et Ma pitié pour vous.

Maintenant Je vous dirige les pas sur la voie de retour et Je vous donne, les fils, des anges voyageurs. Oh, n’oubliez-pas Mon lieu et Ma table d’ici. Oh, Ma voix c’est du lait et du miel des cieux pour vous. Oh, paix à vous ! Je vous enveloppe dans Mon désir saint pour vous. Je vous demande le cœur pour y habiter, pour le remplir, afin qu’il puisse agir pour Moi. Paix à vous! Restez les Miens ! Moi, Je reste avec vous, si seulement vous le désirez, les fils.

Et toi, peuple de la source, oh, voilà tu as réussi, tu as préparé Ma place pour la fête, et Je te donnerai des joies, pour ton amour. Ton repos c’est Moi. Mon repos c’est toi. Je te remercie d’être le Mien. Pour le fait que tu Me portes, Je te remercie maintenant et pour les siècles des siècles.

Oh, paix à toi, Mon fils et Mon peuple, fils fruit de Ma venue en parole sur la terre!

On demeure embrassés, les fils. Paix à vous, paix à vous, paix à vous! Amen, amen, amen.

16-06-2019