La Parole de Dieu à la Fête de la Présentation de Jésus au Temple

Je viens Me réchauffer avec vous et auprès de vous, fils de Ma parole. Il fait froid sur la terre et ce froid arrive jusque dans les Cieux chez Nous et on le ressent plus que sur la terre, puisque la sensibilité de ceux du ciel est grande, les fils, c’est tout esprit, même s’Il est tout un feu l’Esprit Saint, Celui Qui nourrit et console, mais Il souffre à cause du froid de la terre, qui s’accumule de plus en plus chez Nous, car ceux de la terre attendent de Nous, pendant que Nous, Nous attendons encore plus de ceux de la terre, pour en recevoir le bien, la chaleur et l’amour pour Nous. L’homme de la terre, quand il a froid il se fait de gros vêtements chaleureux et il s’habille au temps froid, mais Nous, Nous avons seulement une chemise, la même pour tous, et personne ne Nous envoient de la terre des chemises telles que nous portons, car les hommes ne savent pas quoi envoyer. Ils envoient des habits comme sur la terre, pour ceux qui sont partis, mais dans le ciel on a seulement des chemisettes blanches de lin, et les hommes ne donnent pas de pareilles choses pour ceux du ciel, oh, et ils ne peuvent se couvrir ceux du ciel au temps de froid sur la terre, et ils en souffrent.

Quand les hommes entendent Ma parole, ils disent que Je suis Dieu, et alors comment ça se fait que Je parle comme pour un homme? Oh, mais qu’ils n’oublient pas les hommes que J’ai pris Moi aussi de la chair comme celle de l’homme, toute pareille, justement pour porter avec elle tout ce que l’homme commet sur Moi, contre les commandements de la vie, et Moi, Je suis le Seigneur de la vie, et si Je le suis, elles souffrent Ma vie et Ma chair autant que tous les hommes de la terre, s’il ne travaillent pas en eux la loi de l’empire des cieux, puisque sur la terre il n’y a pas d’empire, mais de l’éphémérité, et l’empire est dans les cieux, et il vient avec Moi sur la terre, car Je suis l’Empereur, Celui du Père pour l’homme, sur la terre et dans les cieux, et l’homme a l’amour partagé et il est lui-même partagé.

Oh, comment pourrais-Je être Moi le Maitre et l’Empereur de l’homme, du moment qu’il est partagé? Oh, les fils, les fils, pourquoi Me quitte-t-il l’homme que J’accepte venir, pour lui donner de la vie de Ma vie? Il s’en va parce qu’il est partagé, il veut être avec moi, mais avec lui aussi, avec ses désirs et plaisirs et sentiments, oh, et Je ne peux être ainsi avec l’homme, et voilà pourquoi Dieu a froid, les fils, Dieu qui a créé l’homme pour être Son repos et celui de Son empire avec l’homme!

Oh, les fils, c’est un jour de sainte fête pour Moi en ce jour, et Je Me réunis avec vous et avec le souvenir de ce temps-là, quand après les quarante jours depuis Ma naissance sur la terre entre les hommes, Mes parents M’ont pris et M’ont porté au temple et M’ont consacré au Seigneur. Il M’a pris dans ses bras le vieux Siméon, celui qui attendait la consolation d’Israël par Ma naissance, puisque le Saint Esprit lui avait dit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur, oh, et il M’a béni, il M’a pris dans ses bras et il a demandé au Seigneur sa libération, s’il a vu de ses yeux le salut promis aux peuples, pour l’éclaircissement d’Israël et de toutes les nations ensuite, et il a dit à la Vierge Ma mère: «Voici, cet enfant est destiné à amener la chute et le relèvement de plusieurs en Israël, et Il sera le signe qui provoquera la contradiction».

Je suis venu comme enfant quand Je suis venu, tel que tout homme vient sur la terre par la naissance, oh, et il arrive dans le ciel une grande souffrance pour tous ceux qui sont nés sur la terre, puisque les hommes qui donnent naissance aux enfants ne savent pas, oh, ils n’entendent pas et ils ne savent pas le mystère de la naissance de l’homme et ils tombent dans la débauche, les pauvres.

Je vous confie ici une nouvelle œuvre à travailler, car J’ai dit, les fils, au début de Ma descente, après 1955, J’ai précisé que par ce fil et cette œuvre seront pardonnés beaucoup de péchés et beaucoup d’âmes qui attendent leur salut.

Oh, les fils, les enfants héritent de bonnes et de mauvaises choses de leurs parents, mais la plus douloureuse à porter c’est la punition de l’impureté des parents, desquels naissent des enfants faibles de nature et de chair, du moment que leurs parents ne gardent pas pur le temps de la grossesse pour la naissance des enfants. Aux temps jadis il y avait encore sur la terre des gens qui gardaient l’ordre de la pureté pour la naissance des fils, mais voilà, les parents n’évitent pas la débauche au temps de la formation du petit enfant dans le ventre, et de mauvaises passions tombent sur les enfants, et il en résulte des dépravés, c’est pourquoi, les fils, il le faut élever au ciel des prières pour les parents de tous les temps, qui n’ont pas su les lois et les mystères de la naissance de petits enfants.

Vous, ceux qui priez pour ceux qui n’aiment pas le ciel sur la terre et ses lois, élevez maintenant des prières tel que Je vous l’apprendrai pour la rémission des péchés et le pardon des parents pour la faute de leurs enfants, pour qu’ils se réjouissent du salut les parents comme les enfants, qui sont devenus eux aussi des parents ensuite, les uns après les autres, et les uns par les autres, oh, et ceux-ci n’ont pas de descendants qui se soucient de leur aller vers le ciel, car les hommes ne connaissent pas les mystères et les lois des cieux sur la terre, et la débauche de la chair est une loi de l’enfer, c’est Moi Qui le dis, pour qu’ils sachent les hommes dont l’amour est partagé et qui chercheraient d’aller avec Dieu et avec le diable aussi, et Moi, J’ai froid dans les cieux à cause de la froideur des hommes de la terre, qui n’aiment pas pour eux le mystère du ciel.

Oh, les fils, les fils, Je Me réchauffe avec vous et Je vous avoue Mon froid. Ma parole avec vous est douce, mais aussi endolorie, quand Mon Esprit pleure et crie de douleur pour tous ceux de la terre. Quand dans un orchestre on joue de tous les instruments, et des uns on joue plus doucement, d’autres sont plus retentissants, les uns émettent des sons plus aigus, d’autres plus graves, mais la mélodie est formée de tous, et elle a une signification qui témoigne d’un état d’âme soit de joie, soit de douleur, soit d’attente ou d’amour, ou d’espoir, si seulement nous aimions cette mélodie et nous la comprenions, tout comme nous comprenons le vent doux ou violent, l’eau qui coule doucement ou à grand bruit, le discours chaud ou sévère de notre prochain, et que tout cela nous semble une mélodie, toutes une œuvre à laquelle nous travaillons, et que Dieu nous présente pour la formation de l’homme intérieur et qui se voit à l’extérieur: l’homme nouveau.

Mais pour la mélodie, oh, le fils, vous devez savoir de Moi ce que J’aime, Moi, et que vous aimiez la même chose, et surtout que vous aimiez chanter beaucoup au Seigneur, et Me chanter de plus en plus. Oh, n’aimez pas, ne vous consolez pas que le monde vous chante, n’aimez pas écouter ceux du monde lorsqu’ils chantent, même s’ils le font pour Dieu, parce que ceux-ci n’accomplissent pas la volonté de Dieu, oh, et Je ne trouve pas Ma consolation par eux. Mais chatez vous, les fils, car voilà, pas n’importe quel homme et n’importe quel chant arrive à Dieu. Oh, cela ne Me réjouit pas si le monde chante de Dieu, puisque le monde trouve la douceur dans le péché, pas en Dieu, même si c’est de Dieu que l’homme a besoin dans ses ennuis. Oh, chantez, chantez-Moi vous, les fils, car c’est vous que Mon désir suit. Chantez sagement comme pour Dieu, chantez avec humilité et douceur. Chantez pendant le travail et à la prière, chantez, les fils. Chantez sur la voie, pour que Je sois avec vous sur la voie. Chantez en vous couchant, chantez en vous levant, chantez dans le lit avant de vous endormir. Chantez en esprit de prière et d’entretien avec Moi, afin qu’il soit doux votre cœur et tout ce qu’il y a dedans à tout instant, oh, parce que c’est seulement vous que J’ai encore à M’aimer, à Me consoler avec votre amour non partagé, mais en entier pour Moi, Mes chers fils.

Oh, et J‘ai encore à vous enseigner en ce jour d’habituer votre raison et votre cœur avec la connaissance venue de Moi, et ne pas oublier ensuite Mon enseignement. Oh, les fils, habituez-vous de ne dire de personne qu’il est bon, ou de dire de vous que vous êtes bons et d’autres qu’ils sont mauvais, ou qu’un homme est bon et un autre méchant, puisque J’ai dit que Dieu seulement est bon, et Je n’ai pas permis à personne de Me dire que Je suis bon. Cela ne fait pas bien à l’homme que Dieu soit bon avec lui, ou ceux qui l’entourent, car meilleure que toutes c’est la justice des choses, et celle-ci est à Dieu, pour être mesurée, car cette mesure n’est pas selon la raison de l’homme. Oh, ne vous laissez pas enchantés par l’apparence de la bonté de quelqu’un, par la parole ou par la conduite, car l’homme est l’inconnu l’un envers l’autre, et c’est pourquoi il faut de la veille de votre part tout le temps, pour qu’il n’arrive pas d’être dans l’erreur face à la vérité sur l’homme, celle connue par Dieu seulement, et J’ai dit à l’homme: «Ne Me dis pas bon, parce que Dieu seulement est bon».

Oh, ne soyez pas tristes quand vous n’êtes pas compris, mais soyez humbles et sages, car Dieu seul est bon, les fils, et voilà combien de choses il y a encore à mettre en ordre en ce qui concerne la sagesse, dont vous devez vous servir à chaque instant dans le travail avec la raison et la parole, passant par le cœur celles-ci, et ensuite toutes les pensées et les paroles étincelants vont s’éloigner de l’œuvre de votre esprit, et il restera le fruit de la sagesse de la réflexion et de la parole, car Moi, le Seigneur, J’attends depuis sept mille ans que l’homme arrive à ressembler à Dieu en cette direction.

Oh, à quoi ça sert à l’homme les paroles vaines, les mots non passés au tamis et agglomérés à la bouche pour le parler? Toutes ces choses font parti de l’esprit de l’hypocrisie dont J’ai dit que les fils de Dieu doivent se garder. Oh, et cela ne sera pas facile, mais ça va être beau par la difficulté même, non pas par la facilité, puisque le facile ne fait pas croître l’homme, ne le forme pas riche en sagesse ensuite.

Oh, chrétien, tu dois reconnaître celui qui essaie te faire tomber dans le péché par sa parole étincelante et pleine de venin de l’homme sans Dieu en lui, car voilà arrivée la moisson, les fils, et celui qui est resté l’ivraie par tout ce qu’il fait et qu’il parle, celui-là se sépare comme l’ivraie, pour que Je puisse trier le blé et le préparer pour Moi.

Et sur le sujet de l’ivraie il y a à parler entre Moi et vous, les fils, car Mon enseignement de votre milieu c’est pour la chute et le relèvement de beaucoup de gens, car c’est Moi cette parole et c’est de Moi que parle la prophétie prononcée par la bouche de Juste Siméon, qui a dit: «Celui-ci est destiné pour la chute et le relèvement de plusieurs et à devenir un signe qui provoquera la contradiction».

Oh, que J’ai mal, que J’ai mal pour ceux qui ont eu l’occasion de connaître et de croire Ma parole d’aujourd’hui avec vous, mais ils ont chancelé ensuite, en restant sur eux ce signe: la Parole de Dieu, Qui a parlé à eux aussi, et à laquelle ils ne sont pas restés fidèles, et cela par manque de raison, champs non labouré étant leur raison, les fils.

Oh, Je viens de nouveau à vous et Nous travaillons de nouveau au relèvement de la sagesse d’en haut des fils de Ma parole, et vous, portez-Moi vers eux, pour leur édification en Dieu, fils qui Me mettez dans le livre.

Et maintenant Je vous laisse sous la gloire de Ma paix et paix à vous, les fils! Je ne vous fatigue pas beaucoup, mais un tout petit peu, chaque fois que Je viens en parole, dans le livre, puisqu’il faut être nourri d’en haut et guidé ce peuple, qui veut rester non partagé, mais seulement avec Moi, les fils, avec Moi et avec vous, oh, les fils. Amen, amen, amen.

15-02-2019