La Parole de Dieu à la Fête de la Circoncision du Seigneur et Fête du Saint Prélat Basile le Grand

J’inscris dans Mon livre d’aujourd’hui parole destinée à enseigner à ceux qui prennent du Seigneur pour eux, de la direction et du conseil en vue de la marche sur la voie avec Moi, sur la voie vers Moi, sur laquelle Moi aussi, le Seigneur, Je vais vers eux, et avec eux ensuite, sur Ma voie vers les hommes, et que c’est beau que tout homme comprenne Ma venue d’aujourd’hui tel que Je viens, puisque sur la terre aussi, lorsque les grands, qui gouvernent veulent envoyer vers le hommes leurs paroles pour être accomplis, ils travaillent de la même façon, et ils ont entre eux et la population, ils sont ceux qui portent jusqu’aux hommes les choses que l’on doit accomplir, après avoir été établies par le conseil qui gouverne la cité, et ceux qui ne s’y engagent pas sont découverts, interrogés et examinés pour leur désobéissance.

Oh, Me voilà doux Maître en ce jour de sainte fête, et Je dirige en Pasteur Mon peuple fidèle et obéissant, et Je tiens aussi au courant et Je conseille aussi ceux infidèles par rapport à l’obéissance envers Dieu, car c’est ainsi qu’Il est le doux Pasteur, quand Il dirige Ses brebis sages et celles moins sages, qui n’ont pas grande peur du loup, celui qui guette, selon sa nature de loup.

Par cette œuvre de parole prononcée par Ma bouche sur ceux qui partagent Dieu sur la terre, Moi, le Seigneur, Je montre en ce temps, descendu des Ecritures à l’existence, Je montre à ceux de la terre la voie céleste, vers laquelle les hommes ne cherchent plus. Oh, personne ne cherche plus la voie céleste, les hommes ne peuvent plus rester sur cette voie, et cela parce qu’il y a beaucoup de plaisirs sur la terre, et ces plaisirs sont doux pour l’homme, et tout homme est poussé vers eux, en payement du manque de Dieu de sa vie et de son comportement.

Oh, paix à toi, peuple de Ma parole, car le monde doit savoir de Ma bouche à qui appartiens-tu, et qui a fait de toi le peuple du Christ la Parole. Oh, Mon fils, Ma parole sur toi t’a mis à la table d’enseignement des fils de Dieu, de laquelle ils peuvent prendre de la direction pour la vie, ceux qui croient que le Seigneur vient sur la terre et apprend aux hommes la voie céleste, et pour laquelle on n’entrevoit de nulle part de l’enseignement et de la connaissance ensuite, pour que l’homme puisse choisir entre le bien et le mal, entre la vérité et la vanité, entre la lumière et l’obscurité, entre la sainteté et le péché, puisqu’il n’est pas juste que l’on voie seulement la mauvaise face des choses, mais il est bon que l’homme sache pour sa vie ce qu’il doit choisir, celles qui restent ou celles qui périssent par leur nature passagère, et Moi, le Seigneur, Je viens vers l’homme et Je lui montre la voie céleste, que personne ne cherche plus, personne, si ce n’est pas elle, la voie céleste, qui aille au devant des hommes.

Quand Je viens pour t’enseigner et te conseiller, Mon peuple, Je vais avec cette nourriture de parole au-dessus de la terre et Je la présente aux hommes, car les grands de la terre, et surtout ceux qui se sont emparé des clefs du royaume des cieux, ils ont caché aux hommes la voie vers le ciel, de façon qu’on voit seulement la voie vers eux, la seule admise pour les hommes, et pourtant ceux-ci doivent être conseillés, amenés à la sagesse et aidés vers le ciel. Oh, et si J’ai vu que la pitié pour les hommes s’est éteinte sur la terre, Je suis venu Moi, Je suis venu des cieux d’auprès du Père et J’ai ouvert sur la terre la voie vers les hommes, et Je leur écris livre d’enseignement, afin qu’ils choisissent d’apprendre, ou de rester comme sur la terre avec leur vie.

Oh, qu’il est bon que l’homme soit soumis, les fils! Je vous apprends la soumission, Je vous l’apprends par Ma propre obéissance et soumission, oh, les fils, car Je suis venu petit Enfant né sur la terre, et Je Me suis soumis à la loi du peuple Israël, et J’ai été présenté pour la circoncision dans la chair, pour en prouver clairement que J’ai été aussi pleinement homme, si Je suis venu pour être Dieu et Homme sur la terre. L’enfant va à l’école pour apprendre, pour s’instruire, mais s’il n’utilise pas ses connaissances, il se révèle homme sans instruction. Celui qui apprend de Dieu est celui qui prouve ensuite par son œuvre sa ressemblance avec son Seigneur et Maître, dans lequel il s’est bâti celui qui a appris. Oh, c’est ainsi que l’homme s’édifie en Dieu, et c’est pour cela que Je suis venu en parole sur la terre maintenant, et Je montre la voie céleste, pour que l’homme la trouve.

Oh, les fils, Je suis venu avec les saints chez vous, et entre eux il est fêté le prélat Basile le Grand avec son œuvre pour Dieu et pour les hommes, grande œuvre, puisqu’un esprit aimant d’homme s’est établi en lui, et il l’a mis au travail cet esprit, et maintenant, au jour de sa fête entre les saints, il vient vous enseigner, car tous les saints souhaitent qu’elle vienne pour Moi et pour vous, qu’elle vienne la grande victoire, et qu’ils se reposent de l’attente, après la manifestation de l’accomplissement des dernières Ecritures, à la vue de tous, car tout est écrit tel que l’ont doit s’accomplir tour à tour.

Je regarde maintenant, Mon grand serviteur, ta joie d’aujourd’hui, celle de conseiller le peuple de Ma parole. Qu’elle soit bénie ta parole, et grand le pouvoir de ton enseignement sur ceux qui vont prendre de Mon livre d’aujourd’hui, dans lequel Je M’inscris avec Mes saints en œuvre de parole. Amen.

— Oh, Seigneur, je bénis beaucoup, beaucoup, le peuple de Ta parole et toute l’étendue de la cité de Nouvelle Jérusalem du milieu du peuple roumain. Parole protectrice, je prononce devant Toi et je bénis les frontières de Ta patrie d’aujourd’hui, la terre roumaine où Tu es venu des cieux et Tu as établi Ta cité, de laquelle Tu as planté la gloire de Ta parole, avec son annonce au-dessus de la terre. Je viens et je renforce avec du conseil saint ceux qui sont Ton peuple, les fils de Ta parole, et Toi, je Te glorifie par mon travail céleste d’aujourd’hui, rependu au-dessus de la terre, oh, Seigneur.

J’ai vécu au milieu des hommes et j’ai connu leurs douleurs, leur égarement et les pièges où ils étaient pris, et je me suis rempli de pitié et de zèle pour les hommes, pour les aider de Ta part, et je me suis fortifié en Toi, Seigneur, avec tout mon désir miséricordieux, et j’ai commencé la lutte contre les esprits malfaisants envers les hommes, soumis à cause des faiblesses et du manque de Dieu dans leur vie. Oh, quelle douleur de voir des hommes qui n’aiment pas Dieu sur la terre et qui sont si asservis à l’esprit contraire à Dieu, esprit que les hommes aident, pour que le Seigneur n’ait plus de pouvoir pour eux! Oh, qu’il est triste de voir des hommes qui ne savent pas discerner le bien du mal, et qui n’ont pas d’où apprendre ce qu’ils doivent faire avec leur vie! Oh, quelle douleur de voir un homme qui n’a personne à le diriger que sa raison!

J’ai eu mal pour Toi, et pour les hommes, oh, Seigneur. Cette douleur m’a tenu éveillé et m’a fortifié pour que je tourmente moi aussi le diable, tel qu’il le mérite, car elle est grande sa torture sur les hommes, qui sont impuissants face à lui, et le diable le voit, il les pousse dans de grandes pièges et il se rit de la création de Dieu, cependant je l’ai dévoilé et je l’ai montré aux hommes, pour qu’ils sachent qu’ils doivent se garder de lui tout le temps, ne pas dormir comme les morts, mais être éveillés comme les vivants, puisque le diable ne dort pas, mais il tient leur chemin avec son armée. Oh, malheur à ceux qui dorment et ne veillent pas! Les plaisirs dans lesquels tous les hommes vivent sont la volonté du diable, ils sont le long sommeil des hommes, et il n’y a plus de pasteurs qui tuent le loup et qui sauvent les brebis des pièges, des tentations et de tout danger à visage caché quand il frappe.

Oh, fils de Dieu, faites le signe de la croix sur vous, sur toutes vos choses, signez-vous toujours. Faites le signe de la croix sur le ciel et sur la terre et sur vous. Faites le signe de la croix sur les eaux et sur les arbres, sur la nuit et sur le jour, sur les airs. Oh, signez-vous toujours, fils fidèles. Faites le signe de la croix sur les hommes, sur les bons et sur les méchants. Signez les animaux afin qu’ils aient le signe de la croix sur eux. Faites le signe de la croix sur tout ce que vous travaillez, ou ce que vous touchez, sur tout ce que vous portez, sur tout ce que vous mettez à la bouche pour manger ou pour boire. Oh, signez vos pensées et sur celles qui vous viennent dans la mémoire, de peur qu’elles puissent être le diable, sans que vous le sachiez, puisque moi, j’ai beaucoup chassé le diable et je l’ai menacé avec cette arme laissée à nous, les chrétiens, par le Seigneur, pour qu’elle nous défende, car devant la croix le diable fond comme la cire, face au feu. Oh, faites le signe de la croix sur les tentations et sur les mauvais désirs. Ne laissez pas votre main droite sans travail pour le signe de la croix, car le vrai soldat pendant la lutte est celui qui ne laisse pas de la main son arme, pas même un instant, et les chrétiens sont toujours en lutte, parce que le diable guette chaque pas des fils de Dieu, pour les surprendre en faute et leur enlever le pouvoir venu de Dieu, pouvoir que l’homme laisse beaucoup s’affaiblir par ses fautes.

Que tous les fils des hommes prennent de ce conseil, et qu’ils luttent eux aussi pour devenir fils de Dieu, qui ont la croix sur leur front, le sceau du Dieu Vivant, pour laquelle les diables sont en pleurs et s’efforcent de l’effacer.

Oh, les fils de Dieu la Parole, voilà ce que je vous apprends: Vous êtes beaucoup frappés de ceux qui s’opposent à vous pour votre choix, pour votre présence sous la croix de la venue du Seigneur en ce temps. Ils sont partis d’auprès du Seigneur et de vous les chrétiens qui ont marché fidèlement beaucoup de temps eux aussi, mais ils n’ont pas eu patience avec le Seigneur jusqu’à la fin du travail, et ils sont devenus des ennemis, ils vous méprisent en employant des paroles calomnieuses, et ils vous tachent le front, sans en avoir peur. Oh, s’ils ne savent pas ce qu’ils doivent faire et ne se mettent pas à genoux pour demander au Seigneur de clarifier leur raison, faites-le vous pour eux, car voilà ils s’appliquent à vous tacher encore et encore dans la mémoire de ceux qui sont faibles dans la fidélité. Faites vous cela pour eux, demandez vous au Seigneur de leur découvrir que cette parole, qui vous dirige c’est le Seigneur-Même, et elle n’est pas autre chose, cette parole, à laquelle frémissent tous les saints. Oh, qu’il serait bon pour eux de demander au Seigneur, pas aux hommes, demander qu’Il leur dise ce que c’est cette parole, celle qui les a dirigés eux aussi pendant le temps qu’ils ont voulu croire en elle, parole venue du Seigneur sur la terre. C’est cela donc mon conseil pour ceux tellement lâches, qui ne savent pas aller jusqu’au bout pour un crédo, toutes nombreuses qu’elles soient les épreuves à passer pour la probation de la foi, car la foi qui n’est pas mise à l’épreuve ne montre pas son authenticité. Et moi, serviteur dans les cieux près du Seigneur, je présente ma prière devant le trône céleste, pour que le Seigneur chasse l’esprit de l’incrédulité de ceux pris sous ce danger, car il est grand le danger que le manque de foi travaille sur ceux qui se séparent, après avoir été fidèles avec leurs pas après le Seigneur.

Oh, qui peut vous répondre mieux à l’épreuve à laquelle vous soumettez les hommes, serviteurs d’autels, avec la question sur la vérité de cette parole céleste? Il serait mieux pour vous de demander au Seigneur, mais à cœur pur, sans tentation, et lui dire ainsi: «Oh, Seigneur, nous sommes impuissants en ce qui concerne la foi et nous sommes incertains, mais nous voulons que Tu nous aides et nous éclaircisses notre marche, si elle est bonne ou mauvaise, et que Tu nous montre ensuite si nous T’avons quitté, ou si Tu nous as quittés pour l’incrédulité ou le doute qui nous a envahi de l’un à l’autre, et dont nous sommes nourris les uns les autres, et nous avons péché, en pensant que nous faisons du bon service».

Et moi, serviteur céleste auprès du Seigneur, je vous dis qu’il vous serait facile de vous clarifier tous seuls, car il est écrit pour les mauvais et pour les bons «vous allez les reconnaître d’après leurs fruits», et vous savez qu’on ne lance pas de pierres dans l’arbre sans fruits, mais si vous laissez de côté la pensée, celle selon Dieu, voilà ce qu’il vous arrive, car vous commettez le péché de la diffamation contre ceux qui travaillent durement pour le Seigneur, et voilà encore, vous allez aux carrefours trouver d’autres gens et les nourrir de poison, d’incrédulité, oh, fils désobéissants à Dieu.

Moi, Seigneur, j’oblige satan par des menaces, de sortir avec l’œuvre de l’incrédulité de ceux faibles avec la foi et son action, mais s’ils le tiennent par la queue, c’est cela leur châtiment. Et Toi, fortifie Ta venue et le peuple, oh, Seigneur, parce qu’il est grand Ton travail et il doit être gardé, et apprends aux Tiens comment se défendre et comment se tenir sous Ta garde, car ils sont petits sous la pression de ceux qui sont forts dans l’incrédulité, et ils ont besoin de consolation, oh, Seigneur. Amen.

— Moi, le Seigneur, Je suis comblé avec tout le ciel, de la douceur que J’ai pour vous, enfants de Ma parole. Soyez fidèles et patients jusqu’à la fin, les fils, puisque seulement ceux qui supportent sans se plaindre jusqu’à la fin reçoivent la récompense pour leur patience. Moi, le Seigneur, et Mes saints, Nous connaissons bien ceux qui vous diffament et vous frappent avec leur infidélité. Je pourrais les faire se taire tout de suite, mais Je ne Me mesure pas avec les déraisonnables, qui croient pouvoir berner le Seigneur Lui-Même. Oh, même si l’homme dit ce qu’il veut dire de lui-même, ou se montrer meilleur par ses dires, plus juste que ceux diffamés par lui devant Dieu et les hommes, Moi, le Seigneur, Je mets Ma sagesse face aux paroles de l’homme, qui ne croit pas que Je le connais mieux que lui-même, et tout aussi Je vois, mieux que lui, son être et son œuvre de chaque instant, dedans et en dehors de lui. Oh, si Je procédais comme eux, si vous aussi procédiez comme eux, nous serions comme eux, mais nous devons être comme Dieu, oh, les fils.

Oh, ceux qui sont partis et frappent en arrière, ils étourdissent totalement les faibles, mais cet étourdissement est le châtiment du mécontentement de l’homme avec Moi, et Je dis maintenant que Je ne dois rien à personne, et vous non plus, fils porteurs de travail saint que Je vous ai confié, afin de partager Dieu à travers la terre, et pourquoi s’en prennent-ils à vous ceux qui ont rebroussé chemin, après avoir été eux aussi avec vous auprès de Dieu, et ensuite ils se sont élevés avec des mécontentements, comme si Moi ou vous, nous leur devons quelque chose, ou eux à nous, s’ils s’agit de quelque devoir d’une part ou de l’autre ? L’embranchement formé par ceux qui sont partis, et qui tissent des lianes sur ceux qui sont prêts à tomber, cela c’est une mauvaise œuvre. Il arrive de rencontrer quelqu’ individu qui fait des aveux sur lui ou sur son prochain en tachant le visage de celui porté par des paroles d’une côté à l’autre, pour qu’il se procure pour lui une figure plus propre, face à celui qui se trouve plus bas que lui par sa stature. Oh, quelle pensée stupide, quelle raison de femme stupide, oh, quel dommage! Et Moi, le Seigneur, Je dis cela: sur la voie chrétienne le chrétien ne doit pas oublier que les péchés doivent être confessés devant un prêtre capable, et pas portés de-ci, de-là, car cela pourrait être nuisible à la raison et au pouvoir de ceux touchés par cette mauvaise œuvre, aux impuissances de ceux qui se trouvent sur la voie de la croix et des épreuves venues sur les hommes en chair, et l’homme spirituel doit être spirituel et qu’il travaille spirituellement sur l’homme, et voilà, il ne faut aucunement que chacun se permette de rependre des bruits sur leurs semblables pour leur tacher la figure, car ceci n’est pas leur devoir, et ce n’est pas de cette façon que Dieu a dit que l’on travaille dans le troupeau chrétien, mais il y a un ordre venu des cieux, pour montrer où doivent arriver les fautes des pécheurs, pour qu’elles arrivent avec de la prière adressée à Dieu pour leurs pardon et remise, et pas en les frappant du mépris des gens qui se trouvent tout autour.

Il aura de grands ennuis devant Moi celui qui a la mauvaise habitude de porter ses semblables de-ci, de-là par des dénigrements. Voilà donc, elles ne sont pas bonnes les confessions faites n’importe où par les hommes, confessions concernant eux-mêmes ou leurs semblables, car cela ne va pas protéger l’âme de celui qui les fait, mais son âme aura une difficile réponse à donner pour cette mauvaise action. Oh, voilà pourquoi Je vous ai appris, les fils, de ne pas se retirer deux à deux pour discuter, si vous êtes venus être les Miens, car cette habitude vient du monde, et elle s’appelle mauvais présage. Les voilà ce qui ont travaillé ainsi, qu’ils se sont éloignés et cachés comme Adam, de la face de Dieu, et ils n’ont plus le pouvoir de regarder aux yeux de ceux qu’ils ont dénigrés en les portant de-ci, de-là, avec de mauvais noms. Oh, si tu es meilleur, alors dis, c’est ainsi qu’ils procèdent ceux qui sont bons ?

Oh, vous, ceux qui vous croyez aussi justes et autorisés de blâmer, attention de ne pas vous arriver de blâmer le Saint-Esprit-Même, en croyant frapper les égarés qui se font passés pour la Parole de Dieu, vous dites, et qui vous ont trompés comme des sorciers, tel qu’ils disent les grands, le long temps, sur ceux tués par eux, pour le pouvoir de Dieu trouvé en eux, dans ceux qui M’étaient fidèles à travers le temps. Oh, faites attention de ne pas vous trouver inscrits par les anges de Dieu près de ceux qui traitaient de menteurs et de sorciers ceux qui faisaient des signes et des miracles avec Mon nom devant les païens, et ceux qui témoignaient de Moi n’échappaient pas à leur gaffes, même si ces infidèles voyaient les signes de Dieu faites par les fidèles. Je vous rappelle, pour qu’il reste écrit, ce qui s’est passé avec l’évêque infidèle de Targoviste, celui qui a lutté pendant sept années contre Ma parole et contre les fils de Ma parole, en prononçant de sa propre bouche de mauvaises paroles, à savoir que même s’il perdait ses deux pieds, il ne croirait pas que c’est Dieu cette parole, et après une lutte de sept ans, ses pieds ne sont plus restés à leur place, mais ils ont été séparés de lui, s’il a secoué la poussière de ses pieds devant la cité de Ma parole, présageant la dissipation de ce lieu, cependant le lieu ne s’est pas dissipé, mais lui, il s’est fait mal avec ses propres mots, et ensuite il s’est reconnu vaincu, et il a été purifié de son incrédulité par la souffrance.

Oh, peut-être ceux qui font maintenant cette opposition, essaient d’oublier ces grands signes, eux qui à l’époque étaient les fils de Ma cité d’ici, mais ils se sont séparés et ils ont oublié le pouvoir de Dieu manifesté dans cet établissement.

J’ai parlé de la douleur venue de ceux qui ne peuvent tenir leur langue et qui ont perdu totalement leur vêtement, ils sont nus et ils ne saisissent leur nudité et l’absence de l’habit, et voilà, ils n’ont pas honte de compromettre ceux qui sont fidèles et inclinés vers l’humilité et le doux repentir devant Moi, tel qu’il sied au chrétien d’être et de se maintenir.

Et maintenant Je bénis, oh, Je bénis le voyage de ceux qui viennent ici, à la fête de l’Epiphanie, et Je prépare leur accueil. Que les armées célestes les accompagnent, et qu’ils viennent portés sur les ailes de l’amour justement, et nous allons passer du bien doux temps dans la cité de Ma parole, et Nous allons sanctifier à partir d’ici la terre et les airs et l’homme, et tous les sentiers de ceux qui honorent beaucoup le Seigneur et Ses œuvres pour l’homme.

Oh, dans cinq jours le Jourdain retournera vers ses sources comme signe céleste de la fête de l’Epiphanie, mais les hommes ne s’arrêtent pas pour comprendre et avoir peur pour leur errance sans Dieu et sans des pasteurs pour eux sur la terre.

Oh, écoutez, vous, peuples incrédules! Recevez le signe de Dieu et corrigez votre foi, vous, ceux qui essayez de changer celles une fois établies et qui parlent et témoignent du temps des saintes fêtes, car voilà, le Jourdain retourne et montre que c’est la fête de l’Epiphanie. Amen, amen, vous dis-Je, retournez vers les parents, retournez vers la foi, vers la foi celle des parents, puisque les peuples incrédules se préparent de vous tromper et voler de vos cœurs la foi et la constance envers la foi.

Et toi, Mon peuple d’aujourd’hui, soutiens-Moi, Mon fils. Tout petit que tu sois, soutiens Ton Dieu, car il sera beau le jour de la victoire, qui va porter avec lui ceux qui vont se retourner des idoles à Dieu, et sur la terre restera la victoire du Seigneur, Ma victoire avec vous, pour tous ceux de la terre, oh, les fils. Amen, amen, amen.

14-01-2016