Sujets


Împlinirea legii prin Hristos

Oh, Mon peuple, Je suis né il y a deux mille ans dans une crèche pauvre, dans l’étable des bœufs, pour être élevé comme l’homme, pour que satan ne sache pas que J’étais venu pour le salut de l’homme. Hérode s’est mis en colère et il est venu Me tuer, et dans son aveuglement il a tué quatorze mille petits enfants. Oh, comment aurait-il prendre Ma vie, du moment que Je suis le Maître des jours et des nuits, du moment que Je suis le Maître de la vie?


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Oh, c’est par grande foi que Ma mère la Vierge M’a pris dans son sein virginal et elle M’a donné ensuite Enfant divin au peuple juif, le peuple qui ne M’a pas reçu, et qui a eu peur de Ma venue sur la terre, et il a gardé pour lui la chaise de maître sur la terre jusqu’aujourd’hui, quant à Moi, ils M’ont laissé pour le ciel, mais voilà, le ciel est Ma chaise de Maître, et la terre Mon marchepied, et les incroyants ne savent pas cette vérité, oh, ils ne savent pas ce qu’ils font alors qu’ils essaient d’éliminer Ma trace de la terre.


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Oh, gloire à Ma naissance de ta chair virginale, Ma mère Vierge! Quelle belle, oh, qu’elle a été belle l’annonciation de l’ange pour toi, quand par lui Je t’ai demandé pour que tu sois Mon élue, que tu sois Ma voie, Ma mère! En entrant chez toi quand tu étais dans la maison de Joseph, fils de David, l’ange t’a souhaité de la joie et t’a nommée comblée de grâce, comblée de Moi, Ma mère, et il t’a dit: «Le Seigneur est avec toi, et tu es bénie entre les femmes. Sois sans crainte, que la parole de mon annonciation ne te trouble pas. Tu concevras maintenant dans ton sein et tu enfanteras un fils, Jésus, et Il s’appellera le Fils du Très-Haut, Il sera grand et Il siègera sur le trône de David, et Son royaume n’aura pas de fin sur la maison d’Israël, puisqu’à Dieu rien n’est impossible», et toi tu as répondu à l’ange en disant: «Voilà la servante du Seigneur! Qu’il m’advienne selon ta parole!». C’est alors que, par ta foi, Je Me suis ensemencé dans ton sein, Je Me suis incarné petit Enfant et Je suis né sur la terre, et ils sont venus à la crèche de Ma naissance des pasteurs et de mages, et ils ont chanté sur la terre cette nuit-là les anges du ciel, en annonçant Ma naissance, et ensuite les pasteurs ont raconté comme ils étaient venus selon l’annonciation des anges et ils M’avaient vu avec toi, Ma mère, couché dans la crèche auprès des bêtes, tel que J’ai bien voulu d’être né sur la terre, Empereur de la création, humble et étranger des choses des hommes, mais comblé d’esprit et de grâce et de parole de création de l’homme, car J’ai grandi et le Père M’a glorifié avec Ma gloire venue de Lui, Qui n’est pas comme celle des hommes, mais elle est de l’esprit de l’humilité, Ma mère, esprit qui pourrait faire tout homme naître de Dieu, tout comme Je suis né de toi, vrai Dieu de vrai Dieu, puisque toi, Ma mère, tu t’es rendue pour Moi du ciel et de la terre, ciel nouveau et terre nouvelle de l’homme construits, tel que Moi, Je veux travailler cette Ecriture avec ceux fidèles accomplie, fidèles comme tu l’as été, pour que Je puisse travailler maintenant sur la terre la naissance de Ma parole par eux, Ma verge de fer, avec laquelle J’écrase les ennemis de Ma venue, et Je bâti à leur place un peuple fidèle sur Ma voie de venue, car la parole est Ma voie, et Moi Je suis sa voie, Ma mère, et J’ai des fils fidèles, qui Me tiennent dans leur sein avec fidélité, et ils M’aident alors que Je viens en parole sur la terre, dans Mon livre d’aujourd’hui entre les hommes, maintenant, oh, Ma mère!


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Oh, Mon fils, Dieu a envoyé Jean le Baptiste sur la terre en même temps avec Moi. Moins de deux cents jours ont été entre lui et moi, pour notre naissance sur la terre. La persécution d’Hérode les a séparés, et Je parle de Zacharie et d’Elisabeth, les parents selon la chair de Jean, et de lui, le fils issu d’eux. Nous avons été dès l’enfance persécutés par Hérode, qui a envoyé des serviteurs cruels pour tuer les petits enfants pour Nous tuer Nous aussi entre eux. Mais le Père ne Nous avait pas mis sur la terre pour Hérode, mais pour Lui, et Il Nous a mis alors sous garde. Mais J’ai été porté par les parents en Egypte, et lui il est parti dans les montagnes avec Elisabeth, sa mère, et il est resté là-bas jusqu’à son apparition au Jourdain. Quand les tueurs envoyés par Hérode en courant après eux les ont pris dans les montagnes, la prière de sa mère a coupé en deux une montagne, qui les a reçu et gardé de la mort venue d’Hérode, et ensuite, dans quelques jours, Elisabeth a été prise entre les saints, et l’enfant Jean est resté petit enfant dans les montagnes, grandissant ensuite jusqu’à l’âge d’homme parfait, quand il est descendu est s’est montré au Jourdain. Oh, qui a eu soin de lui? Qui lui a appris la langue de son peuple? Personne ne l’a caressé, personne ne l’a baigné, personne ne lui a donné à manger, personne ne lui a fait des vêtements ou des sandales, personne n’a guéri les plaies et la pauvreté de cet enfant orphelin sur la terre. Après s’être montré aux hommes, personne ne l’a entendu se plaindre de sa vie, mécontent de sa charge, mais il a été juste envers le Seigneur, Qu’Hérode déshonorait trop, à cause de son long repos sur le trône de roi, d’où il poussait le peuple vers une vie avec des faiblesses pour sa vie, celle sans maître pour elle. Jean est allé au devant d’Hérode et il lui a dit de ne pas travailler des choses pas permises de la part de Dieu, mais Hérode n’a pas fait attention, grisé par le péché et le vin, et alors il a mis Jean dans le noir de la prison, le cachant à la vue des hommes, après avoir baptisé beaucoup d’entre eux, les confiant à Dieu pour le baptême avec le Saint-Esprit ensuite.

Est-ce que Jean a été un homme qui ne mérite rien de ce que les hommes ont pendant leur vie, et ils prennent de la vie sur la terre? Il a été ermite de sa vie et il habitait dans le désert avec les anges de Dieu au cœur de la montagne, qui s’est défaite pour le recevoir et le protéger de la persécution d’Hérode. Il n’a pas eu part ni de mère ni de père, pour le soigner et l’élever et le caresser, car sa mère et son père aussi ont été sacrifiés alors à Dieu, elle entre les montagnes, peu de jours après son arrivée sans le désert avec son fils tout petit, et Zacharie, son père, mis à mort entre le temple et l’autel par les tueurs du roi Hérode. C’est le désert qui a été pour Jean mère et père et tout dont il a eu besoin afin de croître pour Dieu sur la terre, jusqu’à ce qu’il s’est montré au Jourdain plein de grâce, plein de Dieu, plein de parole et de l’esprit du témoignage et de la sagesse, celle pour les hommes, celle pour la connaissance des hommes et de leurs faits. Voilà un tableau de sainteté de la vie sur la terre dans l’homme: Jean le Baptiste.

Oh, regarde Jean, Mon peuple, élevé maintenant avec Ma parole, comme Jean dans le désert, Mon fils! Ma parole sur lui l’a élevé dans le désert, dans son paradis désert d’hommes. Ma parole sur lui l’a appris à parler, et à s’assagir. C’est Moi Qui l’ai appris à parler. Ma parole a toujours été au-dessus de lui et lui a tenu la main comme un père, tout comme J’aurais dû faire avec Adam aussi en Eden, mais Adam n’a pas été né, et Jean l’a été, il a été petit enfant et il a obéi et ensuite il a grandi comme Adam en âge, jusqu’à la mesure de l’homme de trente ans accomplis, parce qu’Adam a été fait de Ma main comme l’homme à l’âge de trente ans, tel que Jean a eu sur la terre et Moi aussi, le Seigneur, quand J’ai commencé M’annoncer Moi-Même comme Messie venu du Père, né de Vierge entre les hommes, tout comme elle a été la prophétie, et ensuite, après quarante –deux mois d’annonce du royaume des cieux sur la terre, Je Me suis laissé sacrifié sous la main de l’homme ennemi de Dieu, et plein de lui-même devant les hommes, pour qu’il puisse accomplir l’Ecriture de la crucifixion, et de Ma résurrection d’entre les morts.

Voilà comme elle l’est la patience des saints, mais l’homme ne veut voir et apprendre ainsi. Moi et Jean le Baptiste Nous avons montré devant le Père de l’obéissance et de la soumission, et aux hommes Nous avons montré la patience des saints. Moi et Jean Nous sommes le modèle selon lequel l’homme devrait vivre sa vie sur la terre. Amen.


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Je mets table de parole au milieu de toi, peuple de Ma parole consolante, et avec fête des Rameaux Je Me tiens à table avec toi, Nouvelle Jérusalem, Ma cité d’aujourd’hui au milieu du peuple roumain! Je Me souviens avec toi du grand jour où Mon Père M’a glorifié au milieu des hommes avant Ma passion, après que J’eusse levé Lazare du sépulcre et quand peuple nombreux ont sorti à Ma rencontre pour avoir entendu de cette merveille, et quand les pharisiens et les scribes se disaient entre eux: «Vous voyez que vous ne gagnez rien, car voilà, le monde est allé après Lui!». Tous ceux qui étaient venus pour adorer pendant la fête voulaient Me voir, et Je leur ai dit: «L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié. Si quelqu’un Me sert, qu’il Me suive, et là où Je suis, là aussi sera Mon serviteur. Père, glorifie Ton nom!» «Je l’ai glorifié, et Je le glorifierai encore, ainsi vint la voix du ciel».


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Ta douleur Me fait mal, car Je suis en Toi, et Tu es en Moi, Mon cher Fils, mais Notre douleur est pleine de patience, elle est pleine d’amour et elle est Notre soupire après l’homme, Mon Fils. Il regarde maintenant le jour dont on fait mémoire aujourd’hui, jour où beaucoup Te chantaient Hosanna, coupant des branches de palmiers et les mettant au-devant de Toi, et lorsque toute la cité de Jérusalem a tremblé en disant: «Qui est Celui-ci?» et beaucoup d’entre eux disaient: «C’est Jésus le prophète de Nazareth en Galilée», et ils sont venus à Toi des aveugles et des boiteux et Tu les a guéris en ce moment-là, mais ils se sont attristés et indignés les principaux et les scribes à cause de ces choses merveilleuses, et les enfants qui criaient en Te chantant dans le temple Hosanna. Oh, à quelle douceur Tu leur avais parlé quand ils T’ont dit: «Entendez-vous ce qu’ils disent?», et Tu leur as répondu: «N’avez-vous jamais lu dans les prophètes que de la boche des enfants et des nourrissons le Seigneur a préparé Sa louange?» Oh, quel grand jour a été alors en Jérusalem pour ceux à cœur doux et grand, et quelle colère a-t-il provoqué dans les cœurs de ceux qui ne T’ont pas reçu de Moi, envoyé pour eux, mon cher Fils! Ils T’ont crucifié ceux-là, mais malheur pour eux, ils n’ont pas su qu’une plus grande gloire allait éclater devant eux par Toi, car la lumière de Ta résurrection les a jugés ensuite, elle les a vaincus tous, et ils sont restés impuissants sous grande coulpe, mais Tu as été plein de pitié pour eux sur la croix, et Tu M’as supplié de leur pardonner car ils ne savent ce qu’ils font. Oh, quel grand amour Tu leur as donné lorsque Tu M’as dit de les pardonner! Oh, qu’il est grand Ton amour, Mon cher Fils! Que l’homme n’oublie pas Ton amour sur la croix, Mon Fils, et que le pécheur ne perde pas son espoir, mais qu’il retourne et qu’il soit vivant, puisque Tu es mort pour chaque pécheur, pour qu’il soit vivant par son retour à Toi, à Ta miséricorde envers l’homme pécheur, Mon Fils.


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C’est un jour où on fait mémoire de Ma rencontre avec la femme samaritaine à la fontaine d’Israël, jour dont Mes disciples ont écrit dans Mon Evangile d’alors. Oh, c’est un jour portant le don de la foi, avec le pouvoir du repentir et avec source d’envie sainte envers Dieu ensuite, car grande a été Mon œuvre alors sur la terre! Je Me suis arrêté à la fontaine de Sychar, ville samaritaine. J’étais parti de Judée vers la Galilée, pour guérir quelqu’un de grand nom à Cana en Galilée, et montrer encore un signe, pour la foi de ceux de Cana, qui ont vu Ma grandeur en venant à Jérusalem à la fête, et Je suis allé chez eux, car en Judée, Ma patrie il n’y avait personne à Me croire, et J’ai dit que le prophète n’est pas honoré dans sa patrie, mais ils M’ont reçu et ils M’ont cru les Samaritains et les Galiléens, qui M’ont pris dans leur maison et ils M’ont donné de la consolation, et Moi, Je leur ai payé par la rémission de leurs péchés et avec la guérison, leur donnant ensuite l’œuvre de la foi, de témoigner de Moi le long de la terre aux petits et aux grands, jusqu’à ceux qui se tenaient sur les grandes chaises sur les multitudes, pour leur annoncer le Messie, l’envoyer du Père sur la terre en ce temps-là, tel qu’il était écrit dans les prophètes sur Ma venue.

J’ai quitté la Judée pour la Galilée à cause des disputes des pharisiens contre Moi et, passant par la ville de Sychar, Je Me suis arrêté pour Me reposer à la fontaine d’Israël, et J’ai demandé à la femme samaritaine, qui était venue puiser de l’eau et Je lui ai dit: «Donne-Moi à boire», car J’étais fatigué, mais en Me voyant Juif selon Mon costume, elle s’est humiliée devant Moi, sachant que les Juifs n’ont pas de relations avec les Samaritains, et, en parlant avec elle, pour qu’elle voie Dieu en Moi, elle M’a dit ensuite: «Seigneur, Tu es prophète. Je sais qu’Il vient le Messie, Celui qu’on appelle Christ, et Celui–là va nous annoncer toutes choses», et Je lui ai dit: «C’est Moi, Celui Qui parle avec toi!», et elle M’a laissé sa cruche avec de l’eau et elle est allé dans la cité pour dire à tous de venir Me voir, de voir le Messie, et ils sont venus, et Je n’ai plus eu de temps de manger ceux que les disciples avaient apporté comme nourriture, puisque Je devais faire la volonté du Père, Qui M’avait envoyé pour accomplir Son œuvre et J’ai dit aux disciples: «Voilà la moisson, et celui qui moissonne reçoit un salaire et amasse des fruits pour la vie éternelle, afin que celui qui sème et celui qui moissonne se réjouissent ensemble», et de nombreux gens de Samarie ont dit eux aussi: «Nous avons entendu nous-mêmes et nous savons que Celui–ci est vraiment le Christ, le Sauveur du monde», et Mes disciples ont entendu cela.


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Ceux pleins d’orgueil et de grandeur passagère et de hautes chaises en Israël, faisaient tout leur possible pour qu’ils Me haïssent beaucoup en Judée, mais la femme samaritaine, avec laquelle J’avais parlé à la fontaine d’Israël, elle a fait celle-là tout ce qu’elle a pu pour que les Samaritains M’aiment, et plus que cela, elle est morte ensuite pour l’amour de Moi. Elle avait assez de péchés, mais elle n’avait pas l’esprit de l’orgueil cette femme, car les péchés lui provoquaient des remords intérieurs, même si elle n’avait pas force pour les affronter dans son propre corps, parce que la charge des péchés est lourde, et c’est pour cela que l’homme ressent la peur, mais à qui de lui dire cela et lui donner la délivrance? Ceux qui se sont égarés à cause de Moi en Judée parce qu’ils l’ont voulu eux-mêmes, s’ils n’ont pas considéré leurs péchés, tel que la femme samaritaine l’avait fait à sa rencontre avec Moi, mais à qui de parler aux orgueilleux du péché de leur orgueil?


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Qu’elle soit bénie dans le ciel et sur la terre l’œuvre de Ma parole de ce jour de sainte fête, la fête de la Croix, sur laquelle Moi, le Seigneur Jésus-Christ, Je Me suis laissé tendu et cloué, pour donner exemple à tous, exemple de vrai Pasteur de brebis agréable à Dieu, car comme vrai Pasteur J’ai mis Ma vie pour Mes brebis, et comme brebis J’ai été sage dans le sacrifice et Je n’ai pas ouvert Ma bouche, Je ne Me suis pas débattu devant ceux qui M’ont donné au sacrifice, car J’étais né du Saint-Esprit, Duquel J’ai pris le corps, et il y a deux mille ans J’ai dit que celui né de la chair, c’est de la chair, et celui né de l’esprit, c’est de l’Esprit, et J’ai dit encore que l’homme doit être né d’en haut. Amen.


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Ma naissance de Vierge M’a amené aux hommes sur la terre, et J’ai grandi sous l’esprit doux de l’obéissance et Mon Père a fait de Moi doux pasteur d’âmes et J’ai aimé cela, puisque J’ai été né sur la terre entre les hommes pour être leur Pasteur, leur doux Pasteur. J’ai commencé sur la terre avec la naissance, et il est grand ce mystère pour ceux qui aiment Dieu et se donnent à Lui. J’ai continué ensuite avec la croissance et la douce obéissance pour elle, et, encore, il est grand aussi ce deuxième mystère et son œuvre, et ensuite J’ai instruit le peuple, Me déplaçant par endroits, après que le Père M’eût découvert, afin de choisir les douze disciples pour aller avec eux à Mes cotés, et encore soixante-dix disciples pour aller devant Nous et annoncer entre les hommes la venue du royaume des cieux, Ma venue avec lui, son perfectionnement sur la terre, car Je travaillais pour Me faire place avec Mon royaume dans les hommes, dans les cœurs de ceux qui entendaient Ma parole pleine de Saint-Esprit, et J’apprenais aux hommes le baptême au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, et il fut ainsi annoncé par Mon action pastorale le nom de Dieu: le Père, le Fils et le Saint-Esprit, et Moi J’étais la Parole, et J’ai lié le commencement et la fin, puisqu’au début c’était toujours Moi la Parole, et Dieu était la Parole, comme il est écrit.


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mais après Ma naissance ils se sont rencontrés les deux forces, la force de Dieu et celle de satan, le premier entre les armées d’anges et qui est devenu Mon adversaire, lorsque l’homme bâti de Ma main et établi en paradis a refusé d’obéir à Dieu, son Créateur, et il a entrainé dans sa désobéissance le service de la première troupe des anges de Dieu, et la désobéissance et l’ordre ébranlée ont amené l’hostilité du premier de Mes anges, ce chef, qui est devenu satan, adversaire par la désobéissance, et ensuite il s’est vengé, il est devenu la force contraire à Dieu, et l’homme est resté avec ce péché commis contre les anges de Dieu, à cause de sa désobéissance dans l’Eden. Alors les puissances célestes ont vu et elles ont eu peur, et Moi, le Seigneur, Fils du Père Sabaoth, J’ai vu satan comme l’éclair tombant du ciel et J’ai clamé sur les armées célestes, par la voix de Mon ange Michel et J’ai dit: «Tenons-nous bien, tenons-nous avec crainte et avec attention!», et elles se sont apaisés les puissances célestes et elles ont continué en paix leur œuvre au service de Dieu et de toute la création, grand service inimaginable pour l’homme, puisque s’il n’y avait pas les puissances célestes et leur œuvre, rien ne resterait en place, selon la destination accordée de Dieu par la création du ciel et de la terre, que Dieu a établis pour être, et c’est par la parole qu’Il les a établis et qu’ils existent.


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— Oh, c’est Toi la voie, c’est Toi la porte, Fils Emmanuel, mon enfant venu du Père à Bethlehem et né de mon corps virginal. C’est Toi la porte et Tu es entré dans mon corps sans que Tu aies besoin d’entrée, Tu as seulement demandé ma permission d’entrer, pour croître Enfant à naître et pour sortir ensuite, et cela a été nommé Ta naissance, car Tu es resté dans mon sein, si accueillant alors pour Ta naissance Petit Enfant, petit Agneau, puisque c’est pour être Agnelet que Tu es né. C’est Toi la porte et Tu es entré dans mon sein par mon cœur, celui plein de fidélité, et c’est toujours ainsi que Tu es sorti et Tu T’es montré et Tu es devenu vrai Dieu. Tu as usé de ma chair et de mon sang seulement pour montrer à l’homme que Tu l’as fait selon Ton image et Ta ressemblance, car Tu as grandi après Ta naissance et Tu T’es montré aux hommes selon la mesure dont Tu avais bâti Adam au commencement. Tu as usé de ma chair et mon sang pour être né du corps humain et pour que Tu puisses venir par cette voie que l’homme a choisie, mais ce n’est pas moi qui T’aie donné naissance, mais c’est Toi qui es né de ma chair au moment où Tu as pris vie de ma vie. Je n’ai pas enfanté tel que la femme enfante sur la terre, mais je T’ai seulement hébergé dans mon sein avec Ton œuvre de naissance et Tu as été l’Unique Né du Père et de ma chair ensuite, puisque c’est seulement Toi Qui es né ainsi, et Tu n’as rien gâté de mon corps, mais je suis restée telle que j’étais avant Ta naissance.

On ne peut point parler du mystère de Ta naissance entre les hommes et entre les enfants, Seigneur mon Fils, puisque ainsi Tu as été vrai Dieu avant de Te montrer Enfant né, et Tu es sans commencement et sans fin, et il n’y a pas sur terre quelqu’un avec lequel Nous puissions parler, Nous ceux du ciel, parler de ce mystère, c’est pourquoi elle n’existe pas la sagesse sainte dans l’homme pour ce mystère que Tes disciples ont dit ensuite et ils ont témoigné que c’est pour les hommes que Tu es descendu du ciel, que Tu as pris chair du Saint-Esprit et de Vierge Marie et Tu T’es fait homme. Oh, que Nous serions heureux si on pouvait parler entre la terre et le ciel de toute la profondeur divine du mystère de Ta naissance! Tu t’es fait homme Toi-Même, Toi, Celui né du Père avant tous les siècles, né et pas fait, étant de la même Nature que le Père, et par Lequel tout a été fait de ce que s’est fait ensuite. C’est la même chose que Tu fais maintenant, Tu fais de nouveau tout, inséparable du Père en cette création, celle qui restera, et qui entre les hommes pourrait bâtir la création qui sera et qui restera?


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Je témoigne de T’avoir baptisé de ma main dans l’eau du Jourdain il y a deux mille ans, lorsque j’ai dit en Te voyant venir: «Voici l’Agneau de Dieu, Qui ôte les péchés du monde!», et j’ai prophétisé Ta montée sur la croix, Seigneur, afin de mourir pour le monde, car c’est pour cela que le Père T’avait alors envoyé sur la terre. Pour le monde baigné dans le péché devait mourir Dieu, le Dieu de la miséricorde, car le monde il n’a pas voulu et ne veut pas mourir pour Lui, tel que les saints l’ont fait pour Son nom.

Il y a peu de ceux qui savent que nous avons beaucoup travaillé ensemble dans le désert Seigneur, jusqu’à Ton apparition et la mienne au Jourdain. Tu as été si humble en parole et aspect devant moi! Il a fallu que je demandasse au Père, Qui M’avait envoyé baptiser d’eau, et le Père m’a dit: «Celui sur Qui tu verras l’Esprit descendu et rester au-dessus de Lui, c’est Celui qui baptise du Saint-Esprit», et le Père était en Toi, Seigneur, et moi j’ai vu et j’ai rendu témoignage que Tu es le Fils de Dieu, pour qu’ils entendent cela mes disciples et qu’ils aillent après Lui, après Toi, Seigneur.

Tu devais Te montrer au Jourdain, Seigneur Agnelet. C’est pour cela que je suis venu moi, celui qui baptisait d’eau, et j’ai parlé de Toi aux Juifs, pour qu’il reste mon témoignage de Toi entre eux, et ils m’ont reconnu tous alors comme grand prophète, mais ceux pleins d’envie du péché avaient peur, tout comme ils l’ont eu après que nous nous soyons montrés, pour commencer l’œuvre de prêcher, alors que nous avions trente ans.


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Oh, Israël ne M’a pas reçu ni à Ma naissance, ni à Ma résurrection. Depuis Ma naissance et jusqu’à Ma mort sur la croix, et jusqu’à Ma résurrection ensuite, Israël ne M’a pas reçu, mais il M’a condamné à la croix, ce peuple. Mais J’avais fait naître d’en haut par Ma parole quelques-uns de son milieu, dont J’ai fait Mes disciples de Mon amour pour l’homme, et Je Me suis déplacé avec eux de lieu en lieu, Me frayant chemin avec des miracles hors nature sur les impuissants d’Israël, jusqu’au jour où Je Me suis laissé arrêté et conduit par ses chefs à la montagne de Golgotha, pour être cloué sur la croix et demeurer trois jours en tombeau emprunté, et pour que Je Me lève ensuite vainqueur d’entre les morts, auxquels J’ai montré dans leur demeure Qui J’étais, puisque J’étais Celui promis à Israël de venir en Rédempteur et Sauveur de l’homme, et J’ai accompli alors l’œuvre pour laquelle J’étais venu. J’ai élevé des saints à Ma suite, et de l’un à l’autre il a grandi le peuple de Mes saints, et J’ai gardé par eux d’un temps à l’autre le peuple chrétien et son troupeau fidèle à Moi, mais il y a en toujours les pasteurs payés qui ont pénétré dans le troupeau et l’ont dominé à Ma place, et ils M’ont toujours ébranlé de leur plan les règles que J’avais établies par Mes saints une fois pour toutes, et aux fidèles de Mon troupeau, pasteurs et brebis, il est arrivé la même chose qu’à Moi, ils ont été mis dehors et voués à la croix, et voilà, les grands du peuple chrétien ont fait et ils font ce qu’il a fait avec Moi le peuple Israël, pour qu’ils règnent eux-mêmes à Ma place, et que le Saint-Esprit se taise ou qu’Il ne soit pas considéré, afin que ce soit eux seuls à parler au nom du Saint-Esprit, selon leur volonté.


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Voilà, Je Me tiens au milieu de Mon église du peuple roumain avec jour de mémoire de la Sainte Croix, du chemin et de la marche de l’homme avec la croix, tel que J’ai marché Moi vers la résurrection il y a deux mille ans, lorsque J’ai porté Ma croix, sur laquelle J’ai été crucifié, pour que Je ressuscite ensuite d’entre les morts. J’ai marché au milieu d’Israël trente-trois ans avec Mon pas divin, et à Ma fin d’alors J’ai marché avec la croix et J’ai marché vers la résurrection et J’ai montré à l’homme le chemin vers la résurrection et Je lui ai dit qu’il prenne lui aussi sa croix et qu’il Me suive ainsi, s’il veut venir après Moi avec sa marche, avec sa vie donnée à Moi, et pas gardée pour lui. Je suis le Pasteur Celui avec la croix, pas celui avec des vêtements brodées en fil d’or et mitre ornée de pierres précieuses, tenue affichée devant le peuple par les prélats du monde, pour leur gloire sur la terre, et pas du tout pour Ma gloire, car J’ai rempli du sang de Mon front divin la couronne d’épines travaillée par le peuple juif, et J’ai peint ensuite la croix de Ma crucifixion avec Mon sang versé sur elle, des plaies de la crucifixion, des mains et des pieds et de Ma côte, car c’est Ma côte que le soldat a percé, et M’a aidé de rendre Mon âme, puisque J’étais venu du Père pour le rachat de l’homme qui a péché par la femme, car la femme a été prise du corps de l’homme, de la côte de l’homme, et elle a fait du mal à son mari ensuite, et Moi, Je devais guérir cette plaie faite alors et la couvrir, car il fallait que Je guérisse tout le corps de l’homme, l’homme et la femme, parce que la femme a été prise de l’homme, et Moi J’ai rendu Mon âme pour l’homme tout comme pour la femme, et Je Me suis jeté après eux dans l’enfer, par Ma mort sur la croix, par le chemin de Ma croix, sur laquelle Je Me suis laissé crucifié, et avec cette croix portée J’ai suivi le Père dans Mon obéissance, et ensuite Je suis ressuscité pour payer la résurrection de l’homme, Je Me suis établi dans le Père ensuite, et Je Me tiens à Sa droite, et Je suis Son œuvre entre le ciel et la terre, Je suis Sa Parole et Sa Main, qui travaille par Mon corps et Mon Esprit, Esprit Qui travaille du Père pour l’homme. Amen.


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Adam a été tenté et vaincu par la tentation parce qu’il n’a pas jeûné, parce qu’il n’a pas obéi de jeûner de soi-même, et Moi, le Seigneur Jésus-Christ, J’ai été tenté par satan comme un homme quarante jours, et Je n’en ai pas été vaincu parce que J’ai jeûné, parce que Je Me suis incliné devant le Père au temps de l’épreuve envoyée par Lui, et Je Me suis tenu en humilité devant le Père et devant satan en même temps, et satan ne savait pas que le Père est en Moi et Moi dans le Père, c’est pour cela que la victoire a été la Mienne, par Mon humilité devant le Père et la vigueur de Ma lutte pour Lui face à face avec satan, le tentateur.


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Au deuxième jour de dimanche après le dimanche de Ma résurrection et de ceux qui attendaient dans l’enfer le Sauveur promis à Adam, le premier bâti, Je suis entré de nouveau au milieu des disciples, fermés par peur de ceux qui les cherchaient, et Je leur ai dit: «Paix à vous!», car ils avaient besoin de grande quiétude ces cœurs brisés d’amertume. J’ai vu en ce jour entre eux le disciple Thomas, qui avait manqué le dimanche de la résurrection, lorsque Je Me suis montré à eux pour la première fois. Comme des hommes dépourvus des choses de la terre, ils s’occupaient encore de leurs affaires après Ma résurrection. Mais, Moi Je les suivais et Je Me montrais à eux, pour qu’ils comprennent leur choix et qu’ils quittent les autres préoccupations sur la terre, car Dieu les avait engagés pour Lui, et ils pouvaient encore agir autrement aussi. Mais Il est venu le Saint Esprit et Il S’est donné à eux et ils ont pu agir ensuite pour Moi seulement, avec Ma marche seulement, et J’ai eu le grand travail à réaliser et à établir sur la terre, afin d’avoir maison sur la terre avec l’homme, afin de l’avoir comme église et que J’aie un corps fait de fils fidèles, Me faisant un seul corps avec eux, par Mon corps et sang unis avec eux dans leur chair-même, pour que nous soyons un, et qu’ils soient des fils du Père tel que Je le suis, et grand a été cet amour du Père, tant qu’Il puisse nommer Mes fidèles fils de Dieu!


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Je suis le Seigneur Jésus-Christ, Je suis Celui annoncé par des anges dans la nuit de Ma naissance sur la terre. Le roi Hérode n’a pas pu empêcher Ma venue, car Mon ange M’a accompagné partout et il a montré pas à pas Ma protection, qui s’accomplissait avec grande obéissance, et Mon Père M’a fait place par tout l’embarras existant sur la terre, puisque Je n’avais pas où M’asseoir avec Ma venue, si mystérieuse et gardée avec tant d’humilité, car Je n’étais pas de ce monde, et à cause de cela Mon royaume n’a rien de lui, et l’ange a porté Ma naissance dans une crèche près d’un arrêt, et c’est ainsi qu’on a trouvé une place pour Ma venue sur la terre, et humblement Je Me suis montré, parce qu’au ciel il y a de l’humilité et grande beauté par elle et de la gloire toujours, et les anges ont chanté pour Moi à l’ouïe et à la vue des pasteurs de moutons, et ils leur ont annoncé Ma naissance, car Mon ange s’est tenu devant eux les enveloppant en lumière et il leur a dit: «Ne soyez pas pris de peur de cette vision céleste et réjouissez-vous et tout le peuple, puisque à Bethlehem la ville de David, il vous est né aujourd’hui un Sauveur, Christ le Seigneur, et vous Le trouverez couché dans une crèche». Une grande armée céleste s’est montrée ensuite avec Mon ange et ils louaient Mon être et Ma naissance en disant: «Gloire à Dieu entre ceux de très hauts, paix sur la terre et bienveillance entre les hommes!», c’est ainsi que Mon ange a protégé Mon être et il M’a annoncé, avec une grande armée céleste, et J’ai passé ensuite trente-trois années sur la terre, et J’ai mis devant les hommes l’Ecriture de la venue du Seigneur, de Celui dont la venue était annoncée par les prophètes, et c’est ainsi que J’ai accompli la volonté de Mon Père, car c’est le Père Qui M’a envoyé après l’homme.

Mon Père M’a pris ensuite par annonce d’ange et Il M’a porté en Egypte pour Me protéger de la mort, projetée par Hérode, qui a tué alors tous les petits du moment, puis le Père M’a ramené par l’annonce de l’ange, après avoir frappé de mort Hérode, et Il M’a établi dans la ville de Nazareth, accomplissant ainsi tout ce que humblement J’avais dû accomplir selon la tradition, et Ma naissance s’est réalisée sur la terre dans tout son ordre, et J’ai eu les anges à Mon service.

Oh, Ma mère Vierge, tu as été comblée de douleur alors, car J’étais petit Enfant, et tous les soucis sont tombée sur vous, et toute l’humilité de Ma venue c’est vous qui l’avez portée. Vous erriez avec Moi, vous, ceux qui avez accompagné Ma naissance et sa persécution de la part d’Hérode, et toi et Joseph vous avez souffert errants avec Moi dans vos bras, et partout il y avait de l’embarras pour Nous.

On a fête pour Ma naissance en ce jour, oh, Ma mère Vierge, et on a le souvenir de cette nuit-là, pleine de grandeur et de gloire, lorsque vous ne trouviez pas de place d’arrêt pour mettre sur la terre Celui né de ton sein virginal, Ma mère. La joie pour Ma naissance n’a pas eu de place dans ton cœur, car ton humilité croissait en même temps avec toute la douleur venue du manque d’accueil pour toi et pour Moi, et en même temps que la persécution de la part du roi Hérode, et Nous Nous sommes dirigés vers l’Egypte, Nous en sommes rentrés ensuite, J’ai grandi à Nazareth et Je Me suis montré de temps en temps à Israël, car Je devais accomplir toutes les prophéties sur Moi, oh, Ma mère.


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Oh, paix à vous, en ce grand jour de fête impériale aussi, les fils, et nous mettons dans le livre les mystères de Dieu avec les hommes et leur explication, car il est venu l’archange Gabriel chez la Vierge, qui allait Me porter en son sein pour que Je naisse petit enfant et que Je grandisse, afin que le Père puisse réaliser avec Moi Son œuvre d’il y a deux mille ans, pour le rédemption de beaucoup d’Israël, tel qu’il apparaît dans les Ecritures l’annonce et la prophétie sur Moi, oh, et elle M’a reçu la Vierge, et le Père a commencé le travail de la venue de Son Fils sur la terre entre les hommes, oh, et que de mystère, que de beauté et de grandeur a mis le Père dans ce travail, puisque la Vierge était sous la protection du vieux Joseph, descendent de David, et en entrant, l’ange s’est incliné devant la Vierge et lui a donné l’annonce de joie en disant: «Je te salue, toi à qui une grande grâce a été faite! Le Seigneur est avec toi, car tu es bénie par Lui, entre les femmes. Ne crains point, la miséricorde du Seigneur descend sur toi et tu deviendras enceinte et tu enfanteras un fils, dont le nom sera Jésus, le Fils du Très-Haut, et le Seigneur lui donnera le trône de David, Son père, pour régner sur Israël pour les siècles des siècles, et Son règne n’aura point de fin. Oh, tu ne connais pas l’homme, dis-tu, mais voilà que l’Esprit Saint et la puissance du Très-Haut descendront et te couvriront de leur ombre, c’est pourquoi le Saint Que tu vas naître sera appelé le Fils de Dieu, et il n’y a pas de parole de Dieu qui n’ait pas de puissance pour s’accomplir». Alors la Vierge s’est soumise et elle a dit à l’ange: «Qu’il soit fait selon ta parole sur la servante du Seigneur!». Ensuite Elisabeth, sa parente, enceinte avec Jean, par le même ange, lui a dit: «Heureuse toi, qui as cru, car toutes les choses annoncées de la part du Seigneur s’accompliront précisément», et l’âme de la Vierge fut comblée de soumission et de foi, et elle dit: «oh, mon âme, exalte le Seigneur, ton Rédempteur, Qui a porté Ses regards sur mon humilité, et désormais toutes les nations me diront bienheureuse, puisque le Seigneur a réalisé avec moi une grande œuvre, et Sa miséricorde s’étendra d’âge en âge sur ceux qui Le craignent».

Oh, les fils, aujourd’hui c’est un grand jour de fête entre les jours du Seigneur, car en ce jour-ci le Père a commencé l’œuvre de la venue de Son Fils sur la terre, en annonçant Ma naissance et les choses qui s’accompliront par Moi, pour le retour au Seigneur des fils d’Israël, tel qu’il était écrit, que le Seigneur élève un peuple bien préparé pour Lui, et voilà qu’en ce jour il a été inscrit dans les cieux le nom de la Vierge, qui M’a pris du Saint-Esprit dans son sein, pour Ma naissance, soigné ensuite par ceux à qui le Père M’a confié pour M’élever et Me protéger, en vue de Mon activité durant trois années et demie, juste avant Ma crucifixion et Ma résurrection d’entre les morts.

Et voilà, voilà les fils, cette année il est arrivé que la fête impériale de la divine Annonciation soit proche de la fête de Ma résurrection, les fils. Mais nous consignons dans le livre le mystère du jour d’aujourd’hui, car en ce jour-ci, il y a deux mille ans, le Père M’a annoncé par l’ange à Ma mère, la Vierge qui M’a donné naissance lorsque le Père M’a envoyé au milieu d’Israël, afin qu’Il élève un peuple préparé pour le Seigneur, tel qu’il est écrit, et de ce peuple d’Israël s’est élevé alors la troupe des premiers chrétiens, Mes disciples de ce temps-là, et ensuite beaucoup de disciples, hommes et femmes, car ils ont élevé eux aussi des disciples et des disciples des disciples, croyants au mystère de Ma venue avec le renouvellement du monde, avec le royaume des cieux sur la terre, dont le peuple ce sont les chrétiens, le peuple du Chris, peuple de la foie et de l’amour de Dieu et de la vie sainte, puisque Moi, Je suis venu sur la terre afin d’apprendre et d’aider ceux qui croient, pour se faire saints, pour qu’ils Me ressemblent, et s’ils ne le font pas, ils ne sont pas semblables à Moi, mais au monde qui est pécheur, qui est sous le péché, les fils.


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Oh, les fils, fils de la Cité de Ma parole au milieu du peuple roumain, oh, comment pourrais-Je ne pas venir dans la cité avec Mes saints, avec Ma mère la Vierge, avec Mes disciples, hommes et femmes, tous témoins de Ma résurrection il y a deux mille ans, oh, comment ne pas venir au festin de la résurrection? Oh, les fils, Je Me suis levé en sortant de la terre et J’ai appris toute la nature à chanter Ma résurrection, car si Ma crucifixion et Ma mort n’ont pas alors rempli de chuchotement toute la terre, oh, Ma résurrection ensuite a répandu partout la grande nouvelle, a rempli toute la création du chant de la résurrection , tel qu’elle s’est accomplie l’Ecriture du jour du Seigneur, car en ces jours Je suis descendu du ciel et J’ai marché sur la terre, et ils se sont écrits alors les jours du Seigneur, jours de rédemption, couronnés à leur bout du grandiose jour de Ma résurrection, suivi par Mon ascension au lieu d’où J’étais descendu, pour venir sur la terre avec Mes jours, et J’ai demeuré ensuite à la droite du Père et J’y siège encore aujourd’hui,


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Oh, les fils, les fils, J’ai dit à Mes disciples troublés par la tristesse et la peur pour Ma crucifixion et Ma résurrection ensuite, dont ils ont appris tout de suite et Je leur ai dit: «Paix à vous!». Et encore: «Recevez l’Esprit Saint, pour remettre les péchés de beaucoup ou les retenir!». Dans Ma grande économie secrète, J’ai travaillé merveilleusement l’absence de Thomas d’entre eux le jour de Mon apparition après la résurrection et ensuite, après encore huit jours lorsque Thomas est venu chez eux, Je suis venu Moi aussi à leur demeure secrète, la porte étant close, et Je leur ai dit à nouveau: «Paix à vous!» et ensuite à Thomas de porter son doigt et ses yeux sur Mes mains pénétrées des clous et sur Mon côté piqué, et de croire que c’est Moi, même si Je lui ai dit: «Ne sois pas incrédule, mais croyant, et puisque tu M’as vu, tu as cru, mais heureux ceux qui n’ont pas vu et qui ont cru que Je suis le Christ, le Fils de Dieu, et, en croyant, qu’ils aient la vie en Son nom».


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J’allais par endroits au milieu du peuple Israël, et un jour Je suis passé près de la piscine où l’on guérissait par l’ange de la pitié, envoyé de Dieu pour ceux auxquels le Seigneur fait pitié au temps de leur souffrance. J’ai trouvé là-bas l’infirme qui y venait chaque année, jour après jour, en attendant l’instant de la guérison pour lui aussi. Lorsque J’ai vu sa persévérance dans l’espoir de tomber lui aussi juste à la venue de l’ange, Je Me suis approché et Je lui ai demandé doucement: «Veux-tu recouvrer la santé?». Je savais qu’il était malade depuis longtemps, et lui il M’a répondu d’un air paisible: «Seigneur, je n’ai personne pour me jeter dans la piscine quand l’eau est agitée, et un autre descend toujours avant moi». D’une pitié douce Je lui ai dit: «Enlève ton lit et marche!». Aussitôt il fut guéri complètement et il marcha, et c’était un jour du sabbat sa guérison.

Les Juifs se sont révoltés ensuite à la vue de ce signe merveilleux, surtout après la déclaration du guéri, qu’il était venu quelqu’un, qui lui avait dit de se lever et d’être en bonne santé. Ensuite, en allant dans le temple, Je l’ai trouvé et Je lui ai dit: «Si tu as guéri, ne pèche plus, de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire». Oh, et il s’en alla et M’annonça aux Juifs, qui Me poursuivaient pour Me faire mourir, à cause de la violation du sabbat et parce que J’avouais que Dieu est Mon Père et que c’est de Lui que Je prends et Je travaille, pas de Moi, mais tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement, et tout comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, aussi le Fils donne la vie à qui Il veut, et tout le jugement le Père l’a remis à Son Fils.


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Oh, les fils, c’est un jour de sainte fête pour Moi en ce jour, et Je Me réunis avec vous et avec le souvenir de ce temps-là, quand après les quarante jours depuis Ma naissance sur la terre entre les hommes, Mes parents M’ont pris et M’ont porté au temple et M’ont consacré au Seigneur. Il M’a pris dans ses bras le vieux Siméon, celui qui attendait la consolation d’Israël par Ma naissance, puisque le Saint Esprit lui avait dit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu le Christ du Seigneur, oh, et il M’a béni, il M’a pris dans ses bras et il a demandé au Seigneur sa libération, s’il a vu de ses yeux le salut promis aux peuples, pour l’éclaircissement d’Israël et de toutes les nations ensuite, et il a dit à la Vierge Ma mère: «Voici, cet enfant est destiné à amener la chute et le relèvement de plusieurs en Israël, et Il sera le signe qui provoquera la contradiction».


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Nous nous asseyons maintenant. Oh, asseyez-vous, vous aussi, et faites s’asseoir aussi ceux venus à la fête de Ma Mère la Vierge et de l’ange annonciateur de grande joie pour elle, vu qu’en ce jour la parole du messager céleste, l’archange Gabriel, et la parole de Ma mère la Vierge, ces deux paroles merveilleuses ont mis en place Ma naissance de Mère Vierge, et c’est de la même manière que Je veux naître l’homme, le naître de nouveau, d’en haut, l’homme né de l’homme et du péché de l’homme, le naître de Ma parole et de la lui, et qu’il se soumette comme Ma mère la Vierge, et qu’il se promette au Seigneur, tel qu’elle l’a fait alors: «Voilà la servante du Seigneur!», et elle a été demandée pour Moi par Mon messager céleste et ensuite Il est apparu sur la terre le Fils de Dieu le Père, uni avec la Vierge et né d’elle Fils de l’Homme, le Fils saint, le Saint du Père, Celui promis par les prophètes de venir.


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Oh, Mon Père, allons ensemble, Toi et Moi, allons enseigner au peuple de Ma parole! C’est un jour de fête impériale en ce dimanche, auquel suit le dimanche de Ma résurrection d’entre les morts, après que, il y a deux mille ans Caïphe et ses hommes M’aient livré à la mort sur la croix, tel un homme, et Moi Je suis mort pour l’homme, pour que l’homme vive pour Moi, Mon Père, avec sa vie sur la terre.

Tu M’as envoyé sur la terre après l’homme, Mon Père, car Tu as pitié envers l’homme sans pitié envers Dieu en lui, et Tu as fait cela pour que l’homme apprenne lui aussi la pitié, oh, Mon Père. Oh, Tu as envoyé sur la terre l’amour, il est descendu avec moi, et Je l’ai mis sur la terre, afin d’être vu en œuvre entre les hommes et dans les hommes, et qu’ils l’apprennent de Dieu les hommes, oh, Mon Père. Oh, viens auprès de Moi dans le livre et allons parler de l’amour à ceux qui ne savent pas vivre par l’amour, tel que Nous aimons les hommes, Mon Père. Oh, prends-Moi dans Ta voix de Père et console Ma souffrance, puisque c’est par pitié envers l’homme que Tu M’as envoyé.

— Oh, gens de la terre, vous ceux qui aimez ou n’aimez pas Dieu, fidèles ou infidèles à Dieu, Moi, le Père Sabaoth, Je Me prononce d’auprès de Mon Fils et Je vous parle de Ma pitié de vous. C’est un seul Enfant que J’ai eu, Un seul J’ai eu et Je L’ai toujours. Je L’ai rompu de Mon sein il y a deux mille ans et Je lui ai dit que Je l’envoie après l’homme, et Il a obéi à Son Père et Il est descendu et Il c’est fait homme, et les grands sur les hommes ont puni avec la mort Mon Fils aimé, le Fils de Dieu le Père, Jésus, oh, et ils L’ont cloué sur la croix, et il a coulé le sang de Dieu sur la terre au jour de Sa mort.

Oh, Il est mort sur la croix le Fils de Dieu le Père, pour qu’ils vivent pour Lui ceux pour lesquels Il est mort outragé. Et voilà, l’homme ne vit pas pour Celui Qui est mort, afin qu’il vive l’homme, qu’il connaisse Dieu, Celui descendu du Ciel pour Se faire homme et mourir pour le salut de ceux qui sont tellement morts par le péché.

J’ai toujours pleuré avec Lui dans Sa douleur, et Je pleure aujourd’hui encore, mais J’ai tout donné pour le retour de l’homme en Eden, oh, mais l’homme ne se laisse pas rentré au bonheur préparé pour lui à la création du monde, à sa création du début. L’homme ne consent pas de donner à Dieu rien de ce qui est à lui, parce qu’il dit que tout lui appartient, et s’il a des enfants, il ne renonce pas à aucun d’eux en faveur de Dieu, car il dit qu’ils sont à lui, que c’est lui qui les a faits, que c’est lui qui les à élevés, mais tôt ou tard, il donne ses enfants, il les donne au monde, au mariage, et il les donne de toute façon, car c’est ainsi l’histoire avec l’homme, qui ne donne rien à Dieu sans demander de retour.

Oh, qu’il est heureux l’homme qui se remplit de Dieu et qui a du pouvoir sur sa voie avec Dieu! Oh, heureux l’homme qui, en ayant beaucoup d’enfants, il leur apprend à tous la voie de la croix et de la résurrection, en vivant tous pour le Seigneur, Celui Qui est mort pour que l’homme vive pour Lui sa vie sur la terre.

Oh, les fils, cherchez le Seigneur, le Rédempteur, ne cherchez pas votre rédemption. Le Seigneur a besoin de votre amour de votre recherche après Lui. Mais l’homme a son intérêt, sa rédemption et c’est tout. Ce n’est pas ainsi que l’on vit pour le Seigneur, puisque le Seigneur a du travail sur la terre, Il travaille, Il ne reste pas sur place, et si tu n’es pas préparé pour Lui, prêt à Lui suivre dans Ses œuvres, oh, comment vis-tu pour le Seigneur, oh, comment, homme, comment?


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Oh, qu’il est entêté le monde de la terre, les fils! Il y a eu alors, et il y en a maintenant aussi de grands signes avec lesquels Moi, le Seigneur, Je travaille sur les hommes pour les attirer, pour qu’ils entendent et qu’ils croient et qu’ils Me cherchent avec amour, mais l’homme s’obstine en son esprit et il s’oppose, et il ne s’arrête pas pour comprendre et connaître le Seigneur, le Maître oh, les fils. Oh, voilà ce qu’ils M’ont fait ceux d’il y a deux mille ans ! Ils M’ont trouvé, ils M’ont reconnu, ils ont vu Mon pouvoir, Ma miséricorde envers l’homme, Ma venue après l’homme, et ils se sont opposé, puisqu’ils ont compris qui suis-Je, ils ont compris chacun en son particulier, mais leur entêtement a été grand et a débordé et ils ont convenu entre eux de Me supprimer, car leur bêtise les a totalement aveuglés et les a poussés aux ténèbres les plus profondes, et ils ont procédé avec Dieu comme avec le tout dernier des mortels, et L’ont cloué sur la croix, mais la grande douleur est venue tout de suite sur eux, et le mensonge, payé et répandu alors, ne les a pas aidés contre la vérité de la résurrection, après trois jours de Mon sacrifice sur la croix, oh, et voilà combien d’entêtement sur la terre en ceux qui ne veulent pas le Seigneur sur la voie de leur vie terrestre, les fils.


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Je mets dans le livre parole de mémoire et jour de fête de résurrection, oh, les fils, fête qui dure le long de tous les jours que J’ai passés visiblement sur la terre, après avoir repris Ma vie, et jusqu’à Mon ascension à la droite du Père, d’où Je suis descendu par Ma naissance petit Enfant, tout comme l’homme qui naît de l’homme et grandit ensuite comme l’homme né sur la terre, et puis, en passant par tous les faits annoncées dans les Ecritures, comme avoir été accomplis de Moi devant le Père et les hommes, Je suis allé au Père, les fils, Je suis allé devant Lui avec accomplissement entier, avec mission accomplie, puisqu’après la mort sur la croix J’ai repris Ma vie, tel qu’il est écrit de se passer, et tous ceux qui M’ont brisé alors, ont fait cela selon les Ecritures, ils ont mis le Seigneur de la gloire au rang des hors de la loi, et ils ne savaient pas qu’ils étaient ceux qui accomplissaient les Ecritures sur le Messie, le Christ venu entre les hommes, tel qu’il était écrit, et voilà c’est ainsi qu’elles s’ accomplissent les Ecritures, tel que les hommes ne savent et ne comprennent pas, s’ils ne les lisent pas, afin de les savoir et les croire ensuite.


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Paix à vous! C’est ainsi que Je leur ai dit au soir du jour de Ma résurrection, quand Je Me suis montré brusquement entre eux, pendant qu’ils se trouvaient fermés , se cachant des Juifs révoltés, oh, et Je n’ai pas utilisé la porte pour aller dans la chambre où ils s’étaient tapis, mais Je suis entré pour leur faire comprendre les Ecritures, par lesquelles Je leur avais dit que c’est Moi la porte par laquelle Je suis entré chez eux, et par laquelle ils entrent à Moi, tout comme Moi à eux. Je leur ai dit en ce jour, vers le soir, Je leur ai dit: «Que la paix soit avec vous! Comme le Père M’a envoyé, Moi aussi Je vous envoie. Recevez le Saint-Esprit. Ceux à qui vous pardonnerez les péchés, ils seront pardonnés, et ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus!».

Oh, et s’il est arrivé que le soir du jour de Ma résurrection Thomas ne soit pas avec eux, Je suis de nouveau venu après huit jours, pour qu’il Me voie lui aussi venir de nouveau entre eux puisque les disciples lui avaient dit: «Nous avons vu le Seigneur!». Mais il a désiré de Me voir et il M’a appelé de tout son cœur et il a dit: «Je ne vous croirai pas si je ne vois pas moi aussi Ses mains et la marque des clous, pour les toucher de mon doigt, et si je ne mets pas mon doigt dans Son côté percé». C’est alors que Je suis entré à eux, Je Me suis tenu au milieu d’eux et Je leur ai dit: «Paix à vous! Et avance ici ton doigt, Thomas, et regarde Mes mains, avance aussi ta main et mets-la dans Mon côté et sois croyant, et non pas incrédule», et lui il a dit: «mon Seigneur et mon Dieu!», et Moi Je lui ai dit: «Puisque tu M’as vu, tu as cru, mais heureux, Thomas, heureux ceux qui n’ont pas vu, et qui ont cru!».

Oh, les fils, c’est le deuxième dimanche après Ma résurrection et Je viens vous dire à vous aussi: Paix à vous, et Je vous dis le Christ est ressuscité! Et Je vous dis que vous êtes heureux, vous qui croyez à Ma venue à vous sur la terre, tel que Je venais alors à eux, à Mes disciples et Je travaillais avec eux et Je leur dévoilais Mes mystères et Je laissais Mon témoignage sur la terre pour qu’il soit connu jusqu’aujourd’hui, et vous êtes ceux qui croyez que Je viens de nouveau, tel qu’il est écrit de venir et de travailler selon les Ecritures, les fils.


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Je laisse vers vous douce parole en jour de fête impériale dans les cieux et sur la terre, car Je suis Celui Merveilleux, oh, les fils, tel que Je l’ai été au jour où, en parlant à Mes disciples sur Mon travail pour eux et sur eux, Je Me suis tiré de leurs yeux d’une manière merveilleuse, céleste, les fils, et depuis lors Je Me tiens à droite du Père, Ma place depuis tous les siècles, car dans Mon ascension Je Me suis élevé sur une nuée, en promettent à Mes disciples que Je serai avec eux jusqu’à la fin du temps, et surtout jusqu’à la venue de chacun d’eux auprès de Moi et du Père, tel que Je leur avais promis, à savoir que là où Je suis, qu’ils le soient eux aussi, ceux qui M’ont cru et M’ont suivi et M’ont aimé, en travaillant à la gloire de Mon royaume sur la terre, entre les hommes et en annonçant de l’un à l’autre, pour qu’on sache à travers les siècles de la victoire des vainqueurs, car, c’est ainsi que J’ai dit: «A celui qui vaincra Je donnerai à manger de l’arbre de la vie», puisqu’ils ne se sont pas laissés vaincus, mais ce sont eux qui ont vaincu.


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va comme l’éclair Ma parole, elle entre partout et elle travaille mystérieusement et avec force, à condition que Je puisse la mettre dans le livre, et vous sur la voie ensuite, et que vous M’obéissiez tout comme Mes disciples d’alors M’ont obéi, et auxquels J’ai dit Mes paroles, leur demandant s’ils savaient qui J’étais, et Pierre M’a reconnu le Christ de Dieu, Je lui ai dit ensuite que Je le suis en vérité, et que Je serai dénié par les prêtres et les scribes et les vieillards, et Je serai crucifié et Je ressusciterai après trois jours, et Je leur ai dit encore que si quelqu’un veut Me suivre, qu’il se renonce, qu’il prenne sa croix chaque jour et qu’il Me suive, même s’il devrait perdre sa vie pour Moi, car c’est ainsi qu’il la gagnera ensuite pour Moi. Oh, et Je les ai amenés ensuite avec Moi et Je suis monté avec eux sur la montagne pour la prière, et Je priais le Père avec tant d’esprit et de feu que Je Me suis transfiguré devant eux, et Ma chemise resplendissait, et Je parlais avec Moïse et Elie au sujet de Ma croix, sur l’outrage que Je devais supporter à Jérusalem, oh, et ils ont vu Ma gloire alors, et ils ont vu la nuée de la gloire qui nous avait couverts et de laquelle le Père leur a dit: «Celui-ci est Mon Fils auquel vous devez obéir». Oh, et il est passé ce moment merveilleux pour eux et Je leur ai dit de se taire sur ce sujet, jusqu’à ce qu’il viendra le temps de pouvoir le raconter à tous, et il est resté dans la mémoire ce moment-là, les fils, tout comme Moi et Mes disciples.


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Mon Père Sabbaot est l’Empereur du ciel et de la terre, des choses vues et invisibles de la création de Dieu, et Moi, Jésus-Christ, Je suis le Fils de l’Empereur, et Nous sommes Un, Moi et le Père, et aujourd’hui c’est jour de fête pour Moi, fête impériale, car aux jours de Mon travail donné par le Père, il y a deux mille ans, au milieu du peuple Israël, Je suis devenu renommé par l’annonce de la résurrection de Lazare, et les grands du peuple se sont troublés et ils ont décidé de Me vouer à la crucifixion, pour ne pas perdre leur domination, si le peuple serait attiré vers Moi. Mais selon les prophéties des Ecritures, à savoir que J’allais entrer à Jérusalem monté sur un ânon, comme un empereur, et J’ai accompli cela un jour après la résurrection de Lazare, et le peuple est venu au-devant de Moi avec des branches à la main, et il Me chantait «Hosanna», et il disait «Béni soit l’Empereur Qui vient au nom du Seigneur!», et ils étendaient leurs vêtements sur le chemin par où Je passais vers la cité.

J’ai pleuré ensuite entre Moi et le Père, en ce jour-là, en M’approchant et en voyant la cité de Jérusalem, et Je lui disais: «Oh, si tu avais compris au moins en ce jour les choses qui auraient pu te donner la paix, choses cachées maintenant à tes yeux! Mais tu n’as pas voulu, tu n’as pas reconnu le temps où tu as été visitée».

Je pleurais, J’avais mal pour la cité, et Je pleurais sans consolation pour elle, en temps que le peuple se réjouissait et chantait à Mon entrée dans la cité, mais Moi, en sachant que dans quelques jours ils vont crier: «Qu’il soit crucifié!», Je pleurais de pitié pour la cité et pour eux, et Je M’approchais toujours de la croix, et Je suis mort ensuite sur la croix, en travaillant ensuite pour qu’elle soit le signe et l’arme protectrice des chrétiens, qui resteront sur leur voie avec Moi sur la terre.


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Je suis le Sauveur, le Messie du Père tout comme il ya a deux mille ans. Je suis le Noël de Mes chrétiens, les fils, et Je le suis pour ceux qui accomplissent le mystère de la foi et Ma volonté avec eux et sur eux sur la terre. Oh, ce n’est pas seulement une histoire la venue du Père Noël, tel que les hommes appellent la fête de Ma naissance. Il est vrai ce souvenir saint et il est resté depuis lors jusqu’aujourd’hui, car au jour de Ma naissance J’ai reçu des cadeaux à la crèche, cadeaux apportés par les mages arrivés de loin pour trouver, voir et annoncer Ma naissance, et ils étaient poussés de Mon Père dans leur chemin vers la crèche de Ma naissance, car le Père a voulu que Je reçoive des cadeaux, tel que les petits enfants reçoivent de leurs parents, et c’est de ce moment-là qu’elle eut commencé le mystère du Père Noël, et le mystère devient visible et les petits reçoivent des cadeaux au nom du Père Noël, à Mon nom, car Noël (Craciun) est Mon nom, le nom de Celui Qui a crée le ciel et la terre et l’homme, les visibles et les invisibles de la création de Dieu, et malheur et encore malheur à ceux qui mentent sous le nom de scientifiques, pour vaincre Celui Qui a été et Qui est le Créateur de tout ! Malheur à eux, à ceux qui osent mentir toujours et dire qu’ils savent, qu’ils découvrent, qu’ils sont intelligents, qu’ils connaissent les choses qui se trouvent sous le pouvoir du Seigneur Dieu!


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Je suis le Fils de Dieu le Père et de Ma mère la Vierge. Le Père M’a envoyé il y a deux mille ans pour Me faire Homme sur laterre par Ma naissance de mère Vierge, et pour que beaucoup d’hommes viennent par Moi au Père, à la rédemption, à la délivrance, au salut, celui payé par Ma vie mise sur la croix pour effacer la faute de l’homme de la face de Dieu, et pour que l’homme vienne à Moi, à l’amour venu du ciel pour être sur la terre avec les hommes, et que les hommes apprennent l’amour celui contraire au péché qui se trouve en eux, et Me voilà paissant et appelant à Dieu ceux qui se délivrent du diable, celui qui sépare l’homme de Dieu pour faire sa volonté, pour que l’homme perde la vie éternelle avec Dieu, puisque ta vie, homme, est de Dieu, elle n’est pas de ceux qui te donnent la chair pour naître, mais elle est de Dieu, Celui Qui te donne la vie à ta naissance, et le Seigneur te donne l’âme, et tu prends du mouvement et du souffle de Lui, et voilà que Je travaille fête de naissance sur la terre en ce grand jour, qui fait souvenir de Ma naissance entre les hommes de mère Vierge il y a deux mille ans sur la terre entre les hommes.

Je suis Celui annoncé de Moïse et des prophètes que Je viendrais sur la terre avec la voix de Ma parole et Je serais le Pasteur des brebis qui Me reçoivent pour les paître. Je suis Jésus-Christ, tel que l’on M’a nommé à Ma naissance. Humble Je suis venu sur la terre et c’est ainsi que Je suis resté, humble dans Ma vie, dans Mon aspect et dans Mon travail. Il n’était pas possible que le monde d’alors Me reçoive car le monde mène sa vie mondaine, et Moi J’étais venu de la gloire céleste, qui n’a rien de mondain en elle, cette gloire n’est pas ni terrestre ni humaine.

On a trouvé un abri dans une crèche pour Ma naissance sur la terre. C’est ainsi que le Père a travaillé alors, pour que je ressemble à la gloire sainte de Dieu, au milieu de la gloire des hommes étrangers de Dieu. J’ai quitté toute Ma gloire d’en haut pour venir humblement sur la terre entre les hommes, et pour être reçu par ceux qui ont besoin de Dieu, par les pauvres, ou les souffrants et sans consolation, tristes et sans aide. Je suis Celui Qui guérit la souffrance et la tristesse et la solitude, et Je M’offre à eux pour les consoler et apaiser. C’est pour ceux-ci que Je suis venu et Je viens, puisqu’ils ont besoin de Dieu et ils Me reçoivent avec eux.

Je n’ai pas été reconnu et reçu des riches, ceux pleins de leur vie et de fortune brillante au milieu du monde. Oh, ceux-ci ne sont pas pour Moi! Pour Moi c’est la création faite de Dieu, celle belle sans limites, sans frontières, et Je ne veux point entrer dans des maisons étroites et pleines d’un amas de choses pour l’homme.

Oh, que ferais-Je avec les granges et les trônes des maisons de ceux qui amassent des richesses sur la terre? Comment entrerais-Je dans leurs palais, sur leurs chaises impériales comme des trônes? Pour Moi c’est la petite chaise à trois petits pieds, trois petits piliers, car Je suis Celui doux et humble de cœur et de figure.


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En tout lieu de la terre du minuit de cette nuit et jusqu’à l’aube presque, on chante l’hymne de Ma résurrection, et Moi, le Seigneur, Je tressaille avec toutes les armées de saints et d’anges devant l’amour de Dieu, car Mon Père M’a envoyé il y a deux mille ans pour mettre sur la terre de Sa part, face à face avec les hommes, l’amour crucifié sur la colline de Golgotha, le Fils de Dieu mourant sur la croix pour Son amour incompris par l’homme, le terrible moment lorsque Dieu le Fils a été répudié et porté vers la crucifixion entre deux brigands, en supportant plein d’amour et d’envie sainte qu’Il s’élève d’entre les morts et qu’Il témoigne la vérité de Sa venue du ciel sur la terre, l’amour qui L’avait descendu d’auprès du Père de la gloire, pour Se rendre connu vrai Dieu de vrai Dieu, Celui Qui a racheté l’homme tombé d’Eden par le péché, et que l’homme tressaille lui aussi devant ce grand amour, puisque Dieu a souffert pour tous les péchés des hommes, et il ne peut plus exister un plus grand amour que celui–ci, oh, et J’ai enseigné alors à ceux qui Me suivaient, en leur disant: «Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, et vous persécutent». Voilà l’enseignement, car Je veux qu’ils Me ressemblent ceux qui viennent après Moi pour connaître l’amour et son mystère et son pouvoir, et il n’y a pas de plus grand pouvoir que celui que Dieu a écrit sur la terre avec Son propre sang, avec Son propre sacrifice, sur la colline de Golgotha, il y a deux mille ans.


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car les armées des puissances célestes et angéliques se tiennent avec gloire ici, au-dessus et elles glorifient comme au ciel le jour de Ma naissance d’il y a deux mille ans, et on se rencontre dans les chants des noëls, Ma mère.

— C’est avec l’esprit de la paix céleste que Nous Nous tenons au-dessus, Fils Petit Enfant Jésus, car Tu es venu il y a deux mille ans sur la terre comme petit enfant né de ma chair virginale, et lorsqu’il est venu le moment que Tu apparaisses par la naissance comme l’homme, le Père T’a pris dans Ses mains de mon corps, Il T’a mis devant moi, et ma chair a pleinement senti la main du Père, et ma virginité est restée intacte, oh, et il ne peut s’imaginer l’homme ce mystère saint de la naissance du Fils de Dieu sur la terre de mon corps virginal. Mais voilà, moi, la mère Vierge, je rends témoignage après deux mille ans que le Père, le Créateur a été Celui Qui T’a pris avec la main de mon corps, après neuf mois depuis que Tu avais été mis en moi par l’ange, et Dieu T’a montré sur la terre, et elles T’ont chanté alors les armées d’anges et ils se sont rencontrés le ciel avec la terre, en témoignant d’en haut et d’en bas celles cachées du mystère de Dieu pour Ta naissance entre les hommes, car ils ont témoigné les anges d’en haut, et d’en bas les mages et les pasteurs et moi et Toi et Joseph, et ensuite ceux qui T’ont porté le long de la terre par leur témoignage du Saint-Esprit, Celui Qui amène de Dieu les découvertes des mystères du ciel sur la terre, et voilà merveille de fête sainte, fête de naissance, et le frémissement d’alors témoignant dans le ciel et sur la terre, et la gloire de Ta naissance, Fils petit Enfant, enfant soumis au Père et à Son œuvre avec Toi, pour la rémission du péché de l’homme en faute!

Et il faut que l’homme entende et qu’il purifie son esprit et son corps du péché, pour te faire place avec Ta naissance, avec Ta naissance dans l’homme et avec sa rédemption, oh, cher Fils, né sur la paille dans la grotte de Bethleem, celle qui Nous a reçus quand Tu es venu du ciel sur la terre.


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Voilà un saint souvenir en ces jours, le jour où Moi, le seigneur, il y a deux mille ans, avant la semaine sainte, la semaine de Ma croix, J’ai accompli d’abord la promesse annoncée par les prophètes, et qui dit: «Réjouis-toi, fille de Sion, car Il vient ton Roi sur le petit d’une ânesse!». Oh, c’est ainsi que J’ai fait et J’ai produit la joie de l’accomplissement de cette annonce par les prophètes, mais ce si grand jour Je l’ai préparé avec grande gloire devant le peuple Israël. Et comment ai-Je travaillé?

Oh, J’ai préparé bien attentivement le peuple, pour qu’il puisse Me recevoir comme un Empereur et J’ai travaillé le départ de Lazare de Béthanie et ensuite son relèvement, sa résurrection du quatrième jour depuis sa mort, oh, et cette nouvelle c’est largement rependue et elle a provoqué une ardente foi, et J’ai annoncé Mon entrée dans la ville, et il y avait un nombre de plus grand de Juifs qui Me cherchaient, et les prêtres aiguisaient leur colère à cause de la multitude de ceux qui Me suivaient partout, aux lieux où ils entendaient que Je Me trouvais, ou que J’étais en train d’y passer, oh, et les prêtres ont décidé de Me tuer, car la peur augmentait en eux.

Le lendemain J’ai accompli l’entée à Jérusalem, monté sur le petit d’une ânesse, et une grande foule venue en ville pour la fête M’a attendu et M’a accueilli avec des chants et des branches d’arbres, en criant: «Hosanna, Il est béni celui Qui vient au nom du Seigneur, l’empereur d’Israël!».

Oh, c’est ainsi qu’elle s’est accomplie en ce jour là la prophétie, celle qui disait de Moi que J’allais réjouis Israël, en préparant ensuite la semaine de Mes passions, qui s’étaient approchées, et pour lesquelles J’étais venu d’auprès du Père sur la terre, car J’allais payer le rachat de l’homme tombé du paradis, et vaincre alors l’opposition si grande contre Moi de la part des hommes de Caiffe et des pharisiens et des scribes, qui se sentaient si grands sur la terre, aveuglés par ce péché, tant qu’ils ne pouvaient pas supporter d’entendre parler de Ma gloire, de Mes grandes miracles passés au milieu de leur peuple, et ensuite du peuple qui Me suivait en Me chantant Hosanna.

Oh, c’est ainsi qu’elles sont venus vers l’action Ma passion et Ma crucifixion, mais aussi Ma résurrection ensuite, et cela a fortement ébranlé les grands du temple et du peuple, tant qu’ils ne savaient plus ou se cacher et quoi fabriquer pour ne pas être renversés à cause de la vérité de Ma résurrection et de ceux des tombeaux, oh, et ils ont donné de l’argent pour acheter les soldats, de la garde du sépulcre, pour rependre le bruit que les disciples M’avaient dérobé et caché, mais tout cela est tombé, car J’étais vivant et J’allais et J’avérais Ma résurrection, oh, et c’est ainsi qu’elle a été vaincue l’incrédibilité, et tous ceux qui ont voulu que Je périsse, de peur que ce ne soit pas le peuple qui se perde à cause de l’égarement, mais voilà, c’était leur perte qu’ils craignaient, la perte de leur domination sur le peuple, et c’est ainsi qu’il a été ce jour-là, lorsque J’ai rassemblé le peuple pour qu’elle s’accomplisse sur lui l’Ecriture de la joie de la fille de Sion, qui accueille son Empereur en Lui chantant Hosanna, même si dans quelques jours ces voix se sont retournées contre Moi en criant à Pilate: «Crucifie-Le! Qu’Il soit crucifié!».


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Sur toute la terre de Mes chrétiens on entend en ce jour le salut de Ma résurrection: Le Christ est ressuscité! C’est ainsi qu’elle a été partagée des uns aux autres l’annonce de la joie de Ma résurrection, car ils se disaient ceux d’alors que le Christ est ressuscité, et cette annonce déchirait profondément ceux de Jérusalem qui ont travaillé et ont aidé à Ma crucifixion, pour que Je puisse ensuite montrer à tous Ma résurrection, et accomplir ce que J’avais dit par les mots laissés pour eux avant la croix, car J’ai dit: «Maintenant le maître de ce monde a été jugé», puisqu’il M’a mis sur la croix et Moi Je suis ressuscité, et elle est venue la grande peur sur lui et sur les incrédules, et ils ont essayé de se cacher sous le mensonge, à savoir que les disciples M’ont dérobé du sépulcre, oh, et ils ont donné de l’argent aux soldats gardiens du sépulcre pour qu’ils rependent le mensonge, mais ceux d’entre eux qui n’ont pas reçu d’argent ils sont partis vers leurs cités avec l’annonce de Ma résurrection, et Pilate a transmis à César que le centenier qui M’a crucifié M’annonce partout, lui et les soldats qui ont cru et témoigné de Ma résurrection, oh, et le César a promis à Pilate de l’argent, et ceux qui témoignaient du miracle passé au sépulcre de Ma résurrection ont été martyrisés, et voilà quel mauvais pouvoir a l’argent et combien de destruction produit-il à celui qui accepte de partager le mensonge payé avec de l’argent contre Dieu et contre ceux qui aiment Dieu sur la terre!


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Oh, Ma mère, elle est grande la joie entre ceux du ciel quand Nous travaillons au-dessus de la terre avec la voix de Ma parole, Ma mère! Je suis Celui immortel, et toi, Ma mère, tu l’as su durant tout ton temps avec Moi sur la terre, et c’est pour cela que tu n’as pas chancelé, tu n’es pas tombée à cause de la douleur provoquée de Ma crucifixion, et ensuite quand J’ai dû rester quelque temps dans la tombe. C’est pour l’amour de l’homme que Je l’ai fait, Ma mère. La croix et la tombe ont été pour Moi plus douces, plus reposantes que l’homme dans lequel J’entre lorsque Je Me donne à lui par la sainte communion, pour la rémission des péchés, tel que J’ai laissé se passer avec les Miens après Mon retour auprès du Père, si J’avais accompli l’œuvre pour laquelle J’étais venu pour racheter l’homme du péché, de la mort celle venue du péché, car le péché c’est la mort et c’est pour cela que l’homme meurt et il n’est pas comme Dieu, immortel.

La croix et le sépulcre ont été propres, mais le corps de l’homme n’est pas gardé propre comme celles-ci. L’homme sent mauvais, et sa bouche sent plus mauvais que son dos, car sa langue ne glorifie pas le Seigneur, Qui a donné Sa vie pour la vie de l’homme, et sa langue verse des vanités, des plaintes, des mécontentements, des murmures, de vaines paroles, des infamies de tout sorte, et voilà, c’est du feu dévorant la langue de l’homme, et elle ne porte pas Dieu par son mouvement, oh, et cela fait mal au ciel, Ma mère, on a mal venue de l’homme dans les hauteurs célestes, Ma mère.

Passé le supplice de Mon sacrifice sur la croix, le sépulcre passé aussi, Je Me suis élevé comme un vrai Dieu de vrai Dieu, et Je suis immortel, tout comme Je l’ai été au temps de Mon sacrifice pour l’homme, puisque J’ai été dans l’enfer et J’ai jugé satan, le maître du monde, et J’ai travaillé et Je n’ai pas été mort si J’ai travaillé, et ensuite J’étais partout avec les Miens, car Je n’ai rien eu que toi et Mes disciples sur la terre durant Ma vie, Ma mère, et Je Me suis découvert auprès d’eux après la résurrection, car J’étais toujours à côté d’eux dans leur trouble pour Ma croix, oh, et Je Me suis laissé visible, et Je leur ai dit: «Paix à vous!» et Je leur ai donné du travail pour l’esprit du témoignage, Ma mère.


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Je prends place avec Jean le Baptiste dans le livre en esprit d’Epiphanie, et ensuite dans son jour de fête entre les saints pour Mon jour de baptême au Jourdain il y a deux mille ans, et Je Me rappelle tendrement du temps passé en parole avec lui, et que de mystère Je partageais à ce grand prophète de Dieu. Je lui ai dit qu’Il vient l’Agneau de Dieu au Jourdain pour être baptisé par lui, et il est sorti pour L’attendre, après M’avoir demandé pour savoir comment pourrait-il Le connaître s’Il vient au baptême. Oh, Je ne lui ai pas dit seulement que le Saint-Esprit viendrait s’asseoir sur lui sous forme de colombe, mais le Père aussi a fait Son apparition au Jourdain par l’Esprit et par la parole prononcée, en disant pour Moi: «Celui–ci est Mon Fils bien-aimé, Qui a toute Ma faveur».

Oh, les fils, Jean a envoyé ses disciples vers Moi pour Me demander de lui dire: «Es-Tu Celui Qui doit venir, ou devons-nous attendre un autre?» Oh, c’était Moi, et Je leur ai dit: «Allez à Jean et dites-lui: les aveugles voient, les boiteux marchent, et la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres». J’étais heureux de réjouir le Père par l’œuvre avec laquelle Il M’avait envoyé et qui devenait de plus en plus claire avec sa lumière, oh, et il est venu ensuite le temps de Ma croix, quand J’ai vaincu tout l’incrédulité de ce temps-là par l’annonce de Ma résurrection, et depuis lors Je travaille avec les saints et avec les anges sur la terre et sur ceux aimés de Dieu, car J’ai dit à Mes disciples à Ma séparation d’eux: «Je suis avec vous jusqu’à la fin du temps!». Voilà, c’est ainsi que J’ai dit alors, oh, et comment ne pas s’accomplir cette vérité de Ma parole? Plutôt ils se sont absentés ceux sur qui Je devais être et travailler, mais du nombre de ceux-là qui ont été, J’ai été avec eux à travers tous le temps, tout comme aujourd’hui avec Mes disciples d’aujourd’hui, avec lesquels Je M’annonce au-dessus de la terre avec gloire de parole et avec le nouveau nom: la Parole de Dieu.


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Les fils, les fils, il y en a beaucoup qui sont chrétiens sur la terre, mais peu d’entre eux sont spirituels et des enfants par cela, et pour le reste ils sont des chrétiens terrestres, ils n’obéissent à quelqu’un, mais seulement à eux-mêmes de leur intérieur, et de l’extérieur en prennent selon leur plaisir, car ils sont terrestres. Moi, le Seigneur, J’ai été enfant tout le temps sur la terre, et J’ai été Enfant spirituel, car J’ai eu des parents, et Je leur ai obéi et Je n’ai pas pris de Moi, mais de Mes parents. De même, Ma Mère, la Vierge, elle aussi a toujours été enfant, puisqu’elle n’a pas travaillé d’elle-même son travail, mais tout ce qu’on lui donnait de faire par ceux qui la portaient, et encore, par les choses écrites dans la loi qui demandait d’être accomplie, et elle a pris son Enfant dans ses bras et ils sont allés se prosterner dans le temple, ils sont allés selon la loi, selon les pères ils sont allés, et elle a consacré au Seigneur son Petit Enfant et elle s’est soumise à la loi de purification d’après la naissance, et dans le temple elle a reçu les paroles pour elle et pour Moi par l’esprit de la prophétie, toutes avec une soumission enfantine, toutes rompues du royaume des cieux de son intérieur.


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