La Parole de Dieu du quatrième Dimanche après les Saintes Pâques, celui de l’Infirme de Bethesda

Je Me présente Moi-même comme nourriture pour l’homme, pour sa raison, pour sa conduite, pour son amour, pour la justice de toutes, oh, et Je vous ai devant Moi, fils qui écrivez Ma parole, quand elle vient pour être mise dans le livre d’aujourd’hui, livre de Ma venue sur la terre pour la deuxième fois d’auprès du Père, et vous, cherchez de peiner joyeusement pour Moi, car Je vous donne de la force pour soutenir Ma voie, afin que Je vienne, oh, les fils.

Oh, qui pourrait croire à quel grand désir et préoccupation J’attends les jours où Je puisse battre, pour que vous M’ouvriez et Me receviez et Me partagiez la parole, pour que vous partagiez le Seigneur en cadeau, pour la raison de l’homme, qui comprend si peu Dieu et Ses devoirs envers Dieu et, encore, les devoirs de Dieu envers l’homme?

Je ne dois rien à personne et vous non plus, les fils, mais l’homme à raison non formée tend la main, avance tant qu’il n’en a pas le droit, plus qu’on lui donne de Dieu ou des semblables, et ensuite il se montre mécontent et prêt à protester, comme s’il était quelqu’un de méritoire. Mais Moi, J’ai pitié de qui Je veux, c’est ainsi que J’ai dit il y a deux mille ans, et c’est ainsi que Je le dis et travaille aujourd’hui aussi. Mais l’homme est obligé envers Dieu, Duquel il a la vie et tout ce qui vient de la main de Dieu pour la vie de l’homme, et plus il pèche, plus il est obligé l’homme, car les péchés ouvrent la voie au diable vers le Seigneur, pour réclamer et demander des droits sur la vie du coupable, sur sa rédemption, puisque le péché commis par l’homme attire les souffrances de la chair et de l’esprit, attire les ténèbres sur sa raison, l’insouciance, la perte de la sagesse, oh, et quel égarement est le péché pour la marche de l’homme sur la terre!

Oh, les fils, les fils, soutenez avec joie et miséricorde Ma venue en parole chez vous et partagez avec miséricorde Ma parole, car J’ai pitié de l’égarement de l’homme puni par le péché qu’il commet, et il y a bien des gens qui pèchent avec tant de plaisir, et ils ne savent pas ceux-ci, ils ne savent pas que le péché est péché et qu’il est la malédiction attirée sur lui, par chaque homme qui n’est pas digne de Dieu, de la raison d’en haut pour sa raison.

Oh, J’ai dit que J’ai pitié de qui Je veux. Je travaille beaucoup sur la terre pour l’homme, pour lui réveiller la raison, pour qu’il s’occupe de sa vie avant qu’elle soit remplie de douleurs, des coups reçus de la part du maître noir, qui guette la vie de l’homme pour la charger de coulpe, et de désespoir ensuite, pour le repos dans l’embarras d’ici, sur la terre, et après cela, lorsque l’homme lâche le fardeau de sa vie et va devant le Seigneur, pour que sa vie et ses actions soient observées, car C’est le Seigneur qui donne la vie à l’homme.

J’allais par endroits au milieu du peuple Israël, et un jour Je suis passé près de la piscine où l’on guérissait par l’ange de la pitié, envoyé de Dieu pour ceux auxquels le Seigneur fait pitié au temps de leur souffrance. J’ai trouvé là-bas l’infirme qui y venait chaque année, jour après jour, en attendant l’instant de la guérison pour lui aussi. Lorsque J’ai vu sa persévérance dans l’espoir de tomber lui aussi juste à la venue de l’ange, Je Me suis approché et Je lui ai demandé doucement: «Veux-tu recouvrer la santé?». Je savais qu’il était malade depuis longtemps, et lui il M’a répondu d’un air paisible: «Seigneur, je n’ai personne pour me jeter dans la piscine quand l’eau est agitée, et un autre descend toujours avant moi». D’une pitié douce Je lui ai dit: «Enlève ton lit et marche!». Aussitôt il fut guéri complètement et il marcha, et c’était un jour du sabbat sa guérison.

Les Juifs se sont révoltés ensuite à la vue de ce signe merveilleux, surtout après la déclaration du guéri, qu’il était venu quelqu’un, qui lui avait dit de se lever et d’être en bonne santé. Ensuite, en allant dans le temple, Je l’ai trouvé et Je lui ai dit: «Si tu as guéri, ne pèche plus, de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pire». Oh, et il s’en alla et M’annonça aux Juifs, qui Me poursuivaient pour Me faire mourir, à cause de la violation du sabbat et parce que J’avouais que Dieu est Mon Père et que c’est de Lui que Je prends et Je travaille, pas de Moi, mais tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement, et tout comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, aussi le Fils donne la vie à qui Il veut, et tout le jugement le Père l’a remis à Son Fils.

Oh, J’ai de la miséricorde pour ceux qui Je veux, et vous de même pour ceux qui amassent des fautes, et quand vous les réprimandez pour leur conduite coupable, afin qu’elle soit redressée, les fils, oh, combien de fois avez-vous dissipé par cette remontrance le gros payement pour les fautes, la multitude des punitions, oh, les fils. Il y en a beaucoup qui regrettent et se repentissent pour les fautes, et le repentir et l’entente les purifient avant que leur coulpe et l’expiation qui s’en suit soient matérialisées.

Oh, soyez miséricordieux comme Moi, les fils! Ne cessez pas de sortir du feu ceux qui jouent avec le feu, mais prenez garde à votre rédemption lorsque vous pratiquez la guérison sur ceux insoumis à la protection sur eux, car voilà, l’homme cherche sa justice, et cela à cause de la vanité, les fils, et qu’elle est grande dans l’homme la racine de la raison malade, qui ne donne pas de l’humilité et de correction à celui qui a commis des fautes, et il en est puni ensuite. C’est pourquoi vous devez toujours exhorter tous au repentir, toujours, les fils, et ceux qui souhaitent réduire le nombre des fautes, oh, ceux-ci doivent ne pas oublier de rester dans l’esprit du repentir et de la soumission sainte, celle qui chassent les choses insensées de la raison et de la conduite de ceux qui veulent venir à Ma suite, pour l’enseignement de la vie à Mon plaisir, et c’est ainsi qu’ils se tiennent loin des douleurs, les fils, et des tristesses qui viennent des douleurs.

Oh, fils impuissant en toutes sortes, veux-tu guérir? Voilà la merveille que tu peux faire: ne commets plus de fautes, pour ne plus retrouver l’impuissance ensuite, pour qu’il ne t’arrive pas quelque chose de pire ensuite. Tout ce qui vient avec douleurs, souffrance et pression sur ton âme et ton esprit n’aura pas de guérison, comme tu l’auras lorsque tu feras avec obéissance, soumission et humilité, à tout instant, la volonté de Dieu, telle que le Seigneur te demande pour ton bonheur, pour ta guérison de la souffrance venue du péché.

Oh, soyez tendres et doux, doux par la conduite, la parole, le sentiment, et tout venant du cœur, d’un cœur humble et sans jugement, toutes pour le Seigneur, les fils, toutes et tout. L’entendez-vous?

Oh, venez, les fils, venez dans la cité, à table d’enseignement pour la guérison de la mauvaise conduite, et votre relèvement d’entre les fautes, qui vous rendent laids pour ceux du ciel et pour ceux de la terre, les fils. Oh, venez pour apprendre. Humiliez-vous et venez, car votre âme, votre conduite, votre obéissance ont plus besoin de guérison que le mal de la chair, plus lequel vous allez chez le médecin, mal qui vient sur vous par le manque de guérison de votre conduite, de votre raison, de votre âme, les fils. Oh, ne restez pas abattus. Apprenez à vous relever. Faites cette merveille devant Moi et ne commettez plus de faute ensuite, pour ne pas vous arriver quelque chose de pire, les fils.

Qu’il vous reste une seule souffrance: le désir de Dieu, les fils, car c’est ce désir qui nous lie, et il nous aide d’aller les uns vers les autres, et elle est douce la souffrance causée par ce désir de Dieu, par laquelle la chair guérit de toutes ses infirmités, les fils.

Oh, voilà, Je vous enseigne le désir de Dieu, Je vous apprends de le faire grandir en vous et entre vous, et Je vous dis que là où vous serez, oh, J’y serai Moi aussi avec vous. Le plus court chemin entre vous et Moi, le plus vrai, c’est le désir saint, l’amour saint entre nous, entre Moi et vous, entre vous et Moi, oh, et que nous nous cherchions les uns les autres par ce désir saint, par ce désir et avec ce désir saint, que nous nous cherchions toujours et toujours par amour, par ce désir saint, oh, les fils. Amen, amen, amen.

29-04-2018