Ouvrez au Seigneur, fils veilleurs, pour Mon entrée dans la cité de Ma parole en Mon temps avec vous! Je témoigne de la gloire céleste qui M’accompagne quand Je descends pour mettre Ma parole dans Mon livre avec vous.
Paix à vous, oh, les fils! C’est l’esprit de la consolation qui Me donne du pouvoir, mais à vous aussi, afin que Je vienne en parole chez vous et que vous vous teniez devant Moi, en Me recevant pour être sur la terre en parole. La beauté céleste d’au-dessus de Ma cité avec vous toutes les fois que Je Me réunis avec les saints et avec vous à table de parole dans la cite, cette grandeur porte en elle la gloire qui va se montrer à travers de la terre bientôt, bientôt, en témoignant Mon œuvre avec vous, car elle vient la naissance de nouveau du monde, et Je vous ai comme témoins maintenant, tout aussi que J’ai comme témoins Mes disciples d’il y a deux mille ans, et qui M’ont porté le témoignage à travers le temps jusqu’aujourd’hui, car voilà, elle ne s’est plus arrêtée l’annonce de Mon Evangile et elle va sans arrêt et dépêche l’Ecriture qui dit qu’en même temps que l’annonce de Mon Evangile des extrémités aux autres extrémités, on dépêche aussi la fin des choses bâties de l’homme, qui fatigue toujours son être pour celles qui ne vont rester avant la naissance de nouveau du monde, car c’est avec vous que le Seigneur amène sur la terre cet accomplissement et vous êtes Mes témoins, les fils.
Paix à vous encore et encore, les fils! A travers la terre on fait mémoire de la fête de Ma naissance d’y il a deux mille ans, mais qui a été déplacée en arrière de son lieu dans le temps, car c’est l’homme qui est le maître sur la terre, et l’homme est Mon adversaire depuis sept mille ans, et c’est seulement ceux qui ont de Dieu la grâce de connaître et de croire, c’est seulement ceux-là qui voient et qui comprennent la lutte de l’esprit contraire face à face avec Dieu, tout comme il y a cent ans quand il a frappé terriblement le mystère de l’église ancestrale, et on a enlève alors du calendrier le lieu et le temps des fêtes célestes, et tout est resté de travers ensuite, et c’est de même qu’on va aujourd’hui aussi, car l’homme faux a du travail avec le mystère de Dieu, avec l’église que J’ai laissée sur la terre il y a deux mille ans comme début du royaume de Dieu et pour laquelle on a écrit par les Ecritures la voix de celui qui crie: «Repentez-vous, car le royaume des cieux s’est approché, le royaume de Dieu!»
J’ai avec vous et par vous Mon royaume et son œuvre, les fils. Ceux qui n’ont pas compris Dieu à cause du manque de la grâce d’en haut, ceux-là ne se sont pas donnés à Moi comme royaume, car ils n’ont pas pu renoncer à eux pour qu’ils restent avec Moi jusqu`à la fin. Oh, s’ils seraient jugés comme des gens sans sagesse! Mais cela ne sera pas possible, parce-que le jugement est selon les actions, c’est ainsi qu’il est écrit. Les bonnes actions et les mauvaises actions seront de la part, ou contre chacun de ceux qui ont appris et ont cru de Dieu, et ils sont restés ou non ensuite royaume de Dieu sur la terre.
Oh, les fils, grand et irrésistible est Mon désir de prononcer à travers la terre Ma parole. Je suis comblé de parole, et Ma parole naît de la terre et du ciel, en même temps que celles qui viennent et restent pour ou contre chacun des hommes, en même temps que celles qui viennent et qui passent, mais elles restent écrites qu’elles ont existées et qu’elles ont passées comme l’apparence, et c’est l’action qui reste et rend témoignage.
J’ai établi nouveau réveil sur la terre, sur les hommes, pour que Je puisse être juste face à la justice des choses et des faits. Je travaille aujourd’hui aussi, pour qu’ils se réveillent plus que possible, mais l’esprit contraire de l’homme antéchrist déroule pleinement son poison sur les fils des hommes et il tient esclave l’esprit humain et ses occupations. C’est seulement ceux qui s’inclinent pour travailler l’humilité ont de Dieu le réveil et l’occasion de voir que Dieu existe et appelle et assagit vers l’humilité d’esprit ceux qui restent, puisque c’est seulement Dieu Qui restera, Lui et Ses héritiers, Lui et Ses témoins, oh, et combien voudraient ceux qui ont perdu Ma voie celle d’aujourd’hui avec le peuple nourri du ciel, combien voudraient-ils témoigner de nouveau la vérité de Ma venue sur la terre en parole en ce temps lorsque Moi, le Seigneur, Je travaille durement avec toutes les puissances célestes, pour Me bâtir un peuple pour Moi et l’avoir devant le Père, maintenant, quand il s’approche le temps que Je dise et que J’écrive: «Je suis l’Alpha et l’Oméga, le commencement et la fin. Celui qui est injuste, qu’il soit injuste encore. Que celui qui est souillé qu’il se souille encore. Celui qui est juste qu’il pratique encore la justice. Celui qui est saint qu’il se sanctifie encore. Je viens bientôt et Ma rétribution est avec Moi, pour rendre à chacun selon son œuvre, et heureux ceux qui lavent leurs vêtements afin d’avoir droit à l’arbre de la vie, et d’entrer par les portes dans la cité, et dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge», et J’ai apporté maintenant pour être encore écrite cette Ecriture, que personne ne l’ouvre plus et ne la lit plus pour en prendre vie et résurrection et persévérance sainte pour celles qui resteront et vont séparer le bien du mal, la foi de l’incrédulité, et chacun recevra selon son œuvre.
Oh, les fils, l’homme passe, parce qu’il ne veut rester. Moi seul Je ne passe pas, et Je dis à l’homme cela. Oh, mais comment le lui dire s’il a ses problèmes, dont il s’occupe. Seulement à vous, seulement avec vous Je suis vivant et en plein témoignage, et Je romps de la table de chez vous et Je veux partager de Mon Esprit partout, si seulement Ma semence aura encore bon lieu pour donner du fruit, car voilà le temps du Semeur qui sème Sa semence! C’est l’œuvre de Ma parole cette semence, que Moi, le Seigneur, Je laisse à travers la terre avec vous. Mais l’esprit contraire se voit menacé et il sort lui aussi avec ses choses à la vue, il sort visiblement, pas comme Moi en secret, il sort et il place devant l’homme sa marchandise, l’appât avec lequel il charme ceux de la terre, car celui qui n’obéit pas à la parole de Dieu et ne se soumet pas avec foi et amour, un tel homme est graissé par le pouvoir des enchantements et des sortilèges avec lesquels le mauvais esprit occupe les hommes, pour les travailler et les jeter les uns sur les autres, car l’homme orgueilleux mérite le fruit de l’orgueil et ce fruit amer vient sur lui et il lui enveloppe la raison et la volonté, et l’homme fait la volonté du diable, oh, et c’est ainsi qu’il se passe avec tous ceux qui ne Me cherchent pas à tout instant pour les garder du méchant, pour les protéger du diable.
J’ai le prélat Spiridon avec son jour de fête entre les saints , celui qui témoigne de Moi devant ceux qui cherchaient à tout prix de renverser d’une certaine manière la vérité celle sur Dieu, Celui témoigné des saints, car ceux qui cherchaient de vaincre le prélat Spiridon étaient tellement liés de la terre, qu’ils ne pouvaient point regarder en haut aussi à Dieu, mais ils se présentaient comme serviteurs de Dieu et ils désiraient qu’ils soient Mes saints. Mais Moi J’avais entre eux celui qui Me servait Moi, et pas à lui-même, et Je Me suis glorifié par lui devant les incrédules habillés en prélats pour service à l’autel, oh, et c’est ce que Je conseille Moi, le Seigneur à ceux qui ont des yeux à voir, et des oreilles à entendre, et pour ceux qui n’en ont pas, oh, Je ne peux Me donner à eux, parce qu’ils ne Me voient pas, ils ne M’entendent pas, et ils restent ceux-ci avec les ennemis.
Je parle avec vous, car Je n’ai plus avec qui le faire les fils. Je parle avec vous car Je suis endolori. Je cherche de la consolation et Je n’en trouve pas car l’homme est Ma consolation c’est pour cela que Je l’ai bâti, et Je l’ai voulu semblable à Moi, tendre et doux, humble et consolateur. Oh, les fils, cherchez de comprendre Mon soupir, Mes fils. Je M’apaise quand Je peux l’avouer. Elle Me manque la consolation, il Me manque l’homme. C’est pour lui que J’ai fait toute la création au commencement. C’est pour lui que Je suis venu de nouveau sur la terre il y a deux mille ans et J’ai été mis sur la croix pour lui. Oh, c’est toujours pour lui que Je viens maintenant. J’examine la terre pour la troisième fois et Je fais cela avec la parole de Ma venue. La parole celle de Mes jours avec vous c’est Moi, et Je dois venir et Je suis venu, et il est écrit dans les Ecritures que mon nom s’appelle la Parole de Dieu. Oh, comment ne lisent-ils pas au moins les sages, qu’au moins eux lisent attentivement, pour comprendre s’ils lisent. Personne ne peut soutenir Mon parler celui de la fin de temps, celui d’aujourd’hui, personne, sauf ceux qui Me trouvent dans les Ecritures avec cette venue, mais qui est celui qui lit encore, et qu’il comprenne aussi. Il s’oppose à Moi l’orgueil de l’homme celui qui passe à cause même de l’esprit de l’orgueil.
Je cherche vers ceux grands par l’esprit de l’humilité d’esprit. Oh, quelle douleur! Le monde s’amuse dans les jours de mémoire de Dieu sur la terre. J’ai donné de la pluie sur la terre pour arrêter un peu le dévergondage des jours qui font souvenir de Dieu aux hommes. J’envoie maintenant la pluie dans ses dépenses, pour que je sorte avec vous entre les hommes et que Je rende témoignage de Moi par vous, oh, les fils.
Cela me fait mal qu’ils ne sont restés avec Moi ceux auxquels J’ai donné le ciel aussi longtemps et Je les ai élevés et tenus dans Mon amour soixante-dix années de Ma marche en parole à travers la terre. Beaucoup sont venus vers Ma source, et tout aussi nombreux M’ont quitté. Oh, pourquoi donc il a dû être comme ça? Qui pourrait Me le dire et parler avec moi de cette douleur. Je M’en console quand Je parle d’elle. C’est sur la terre roumaine que J’ai laissé cette lumière céleste et Je Me tiens avec elle devant les hommes, afin qu’ils voient Dieu et se sépare de tous pour Lui.
Je parlerais moins pour ne pas ennuyer l’homme pressé pour soi-même, oh, et Je parlerais encore plus que maintenant, pour habiller l’homme dans la sagesse de l’amour de Dieu, car Je lui ai dit: «Il faut que tu aimes Dieu de toute ton être, de tout ton esprit et ton corps, et ensuite ton prochain, et seulement ensuite toi-même, homme». Oh, c’est pour cela que Je parlerais beaucoup et toujours davantage, puisque Je suis amour, et c’est de l’amour que Je veux parler à l’homme. Je suis l’amour celui du commencement et Je prends de lui à la fin et Je le sème sur la terre grain par grain, parole par parole, et si elle vient la moisson, J’aurai Moi aussi quoi moissonner, pas seulement satan, qui a étouffe Ma semence avec son ivraie.
Je bénis votre sortie avec l’esprit de la consolation avec lequel Je vous envoie au milieu des hommes, oh, les fils! J’attends avec tout le ciel qu’il vienne le jour de gloire pour ouvrir le jardin de Maluri et que Je puisse montrer Ma voie celle de soixante-dix ans et tout ce que J’ai parlé et J’ai préparé par la parole, pour être montrée Ma peine et ceux qui ont témoigné d’auprès de Moi, et avec lesquels Je Me suis aidé sur la terre en ce temps, quand Je pleure avec la parole, oh, les fils.
Il vient le temps de la consolation, il vient, et il est venu et il vient! J’ai dit il y a deux mille ans à Mes disciples que Je serai avec eux jusqu`à la fin du temps. Je les prends avec Moi eux et ceux qui sont sortis d’eux des travailleurs avec Dieu, et Je Me montre à la fin dans leur assemblée et entre vous, les fils, et Ma cité avec vous c’est Mon arrêt et celui de Mes saints sur la terre.
Oh, J’ai la nostalgie de la Roumanie celle du commencement, celle des jours de la création, quand sur ce lopin de terre Je parlais et J’accomplissais et toutes venaient à la vue. Oh, comment ne pas parler de nouveau sur cette terre, afin qu’elles viennent à la vue les choses par Moi prononcées? Nous faisons toutes nouvelles, c’est ainsi qu’il est écrit. C’est la Nouvelle Jérusalem ce pays et son nouveau nom, comme il est écrit dans les Ecritures, à condition que l’homme ouvre le livre et qu’il en lise avec Dieu, pas seul, car malheur à celui qui travaille à son gré sur la terre, malheur à lui!
Oh, les fils, c’est ainsi que Je fête avec les saints, de cette manière, en vous parlant à Ma table avec vous et avec eux, et ils s’apaisent et ils attendent le moment inséparablement d’entre la terre et le ciel, et qu’il sera beau, quelle beauté, les fils!
Allons, car vous avez mal, allons, car vous êtes frêles, et la pression dont Je Me laisse sur vous pèse votre corps frêle d’homme, les fils. Oh, allez, car vous devez vous affermir les uns les autres et préparer en toute beauté et gloire Mon apparition avec vous entre les hommes, les fils!
Soyez l’exemple du royaume de Dieu entre le ciel et la terre, car Je veux qu’il tombe amoureux le monde égaré et qu’il cherche Dieu et la consolation venue de Lui, les fils, et en fin, soyez et restez les Miens, soyez selon Mon image et ressemblance, pour lesquelles vous devrez travailler beaucoup et toujours, beaucoup, les fils, beaucoup, car elle est grande aussi Ma venue chez vous, et c’est de vous qu’ils se consolent les saints ceux qui M’ont suivi avec leur vie sur la terre, et qui, voilà, ils vous attendent, ils attendent ceux de la fin, c’est vous qu’ils attendent, vous, oh, les fils, vous. Amen, amen, amen.
25-12-2024