Je descends du ciel Ma voix au-dessus du jardin de Ma parole de ces jours et Je prends place dans Mon livre d’aujourd’hui avec la fête des Rameaux et Je laisse parole de consolation au milieu de toi, peuple de Ma parole, Je prends de Moi et Je mets en toi le Consolateur, Mon fils, car Moi le Seigneur Jésus-Christ, c’est ainsi que J’ai nommé le Saint-Esprit, Je L’ai nommé le Consolateur et Je L’ai promis à ceux qui croient en Moi, et J’ai dit que c’est du Mien qu’Il va prendre le Consolateur, et Il va annoncer aux fidèles, pour que Je puisse être ainsi avec eux jusqu’à la fin du temps, et ils ne veulent croire et comprendre les infidèles que Moi, le Seigneur, c’est ainsi que J’ai dit, que Je serai avec les Miens, et voilà, c’est ainsi que Je le suis et Je ne Me tais pas entre eux, car Je leur ai promis que Je serais avec eux. Amen.
Oh, paix à toi, Mon peuple! Tu as toujours besoin de ce vœu prononcé par Moi au milieu de toi, puisque ton travail avec Moi est difficile, il est intense et sans arrêt, et tu es toujours sous la charge, Mon fils. Oh, ne te fâches pas d’être toujours sous la charge, car si tu étais resté dans le monde avec les pas de ta vie, tu aurais été sous la charge du monde et personne n’aurait récompensé ta peine, qui aurait pris fin en même temps que toi, tout comme le monde, mais Moi, le Seigneur, Je t’accorde très grande récompense pour avoir porté Ma charge avec toi en ces jours.
Mais pourquoi elle est Ma charge celle que Je porte avec toi en ce temps? Tu es Mon annonciateur sur la terre et tu es le signe d’avant Ma venue, fils chargé de Ma tache. Tout ce que tu fais et tu vis sont les choses de Mon œuvre avec toi dans ces jours, car Je t’ai choisi du monde pour que tu sois Mon œuvre, parce-que c’est de Ma parole sur toi que J’ai travaillé, et Je travaille toujours, car si Je ne faisais pas toujours ainsi au milieu de toi, tu ne serais plus le Mien, mais tu serais le tien, comme tous les hommes qui travaillent eux-mêmes leur vie. Mais pour toi c’est Moi Qui travaille ta vie, et Je te prépare pour que tu travailles toi-aussi la Mienne, et qu’elle est grande notre œuvre ensemble, le monde n’arrive pas à se rendre compte, le monde qui t’entoure, ni celui qui entend de toi des pays lointains, car le monde a son monde et il se tient au milieu des choses visibles et n’a pas d’espoir le monde, puisqu’il ne se prépare rien pour avoir au moment où ce monde n’existera plus.
Oh, le monde ne sait pas ce que J’ai préparé, Moi, le Seigneur, pour ceux qui croient en Moi, en Me suivant sur la terre. Dans l’histoire des fidèles de Dieu il y a en a beaucoup qui ont quitté ce monde et qui ont préparé leur vie pour le monde invisible, dans lequel ils ont cru et où ils sont restés, et ils se sont consolés avec Moi ensuite, avec Mon Esprit, car Mon Esprit c’est le Consolateur, Celui de même adoration et gloire que le Père et le Fils et Qui parle par les fidèles, et Je parle avec eux en les consolant, telle qu’elle a été Ma promesse, et voilà, c’est du pouvoir de la foi que l’homme a besoin pour qu’il puisse Me recevoir dans sa maison avec cette parole, pour dîner avec lui, table de parole consolante dans sa maison.
Je mets table de parole au milieu de toi, peuple de Ma parole consolante, et avec fête des Rameaux Je Me tiens à table avec toi, Nouvelle Jérusalem, Ma cité d’aujourd’hui au milieu du peuple roumain! Je Me souviens avec toi du grand jour où Mon Père M’a glorifié au milieu des hommes avant Ma passion, après que J’eusse levé Lazare du sépulcre et quand peuple nombreux ont sorti à Ma rencontre pour avoir entendu de cette merveille, et quand les pharisiens et les scribes se disaient entre eux: «Vous voyez que vous ne gagnez rien, car voilà, le monde est allé après Lui!». Tous ceux qui étaient venus pour adorer pendant la fête voulaient Me voir, et Je leur ai dit: «L’heure est venue où le Fils de l’homme doit être glorifié. Si quelqu’un Me sert, qu’il Me suive, et là où Je suis, là aussi sera Mon serviteur. Père, glorifie Ton nom!» «Je l’ai glorifié, et Je le glorifierai encore, ainsi vint la voix du ciel».
Oh, pas même ainsi, pas même après tant de signes et de miracles, pas même ainsi les multitudes n’ont pas cru, et les peu nombreux qui ont cru, ne rendaient pas témoignage à cause des pharisiens, pour ne pas être chassés de la synagogue. Oh, Mon peuple, c’est la même chose aujourd’hui avec Moi et avec toi et avec Ma parole, face à face avec ceux qui aiment leur gloire plus que la gloire venue de Moi pour eux. Vois-tu, Mon fils, pourquoi Je ne fais pas par toi des miracles? Le monde aime son état et sa vie sur la terre et c’est pour cela qu’il ne peut témoigner pour Moi, tel que tu le fais avec ta vie et avec Mon œuvre au milieu de toi. C’est avec suite céleste que J’entre en toi, Ma cité de Nouvelle Jérusalem, et Mes anges chantent au moment de Mon entrée: «Hosanna, béni Celui Qui vient au nom du Seigneur!». J’entre au milieu de toi et Je Me fais parole sur ta table et Je dîne avec toi, accompagné du ciel saint à Ma table avec toi, et Ma gloire de ton milieu est mystérieuse, le fils, elle est toute une consolation, et celui qui s’incline pour en prendre en vérité, celui–là n’aime plus ce monde et il ne se dépense plus pour lui, mais il vient après Moi et il va avec Moi sur la voie , il ne va plus avec le monde, mais il reste avec Moi et soigne Ma blessure celle venue de l’homme, il apaise Ma douloureuse envie sainte envers lui, et il reste fils de Dieu, racheté par l’Esprit–Saint le Consolateur, Qui c’est du Mien qu’Il prend et Se donne à l’homme, pour qu’il se fasse ensuite une avec Dieu l’homme.
Oh, que de crainte, que de méchanceté et de tapage ont provoqué les Juifs infidèles parce que Moi, le Seigneur, J’avais levé Lazare du sépulcre! Oh, que d’incrédulité règne en ceux qui aiment la gloire des hommes, et avec quel grand mensonge et persévérance travaillent-ils pour étouffer la gloire de Dieu, quand elle se tient sur la terre en travaillant! Oh, que de méchanceté bat vers toi aussi, Mon peuple, de la part de ceux qui aiment leur gloire et ce monde! Mais le plus douloureux pour Dieu c’est quand les chrétiens tombent de Ma voie avec toi et deviennent des traîtres, Mes fils, car ils sont mécontents, et ils tombent les mécontents, ils tombent ceux qui n’aiment pas la croix et ses mystères impénétrables pour la raison de ceux peu doués d’intelligence pour Dieu, et grands pour eux-mêmes. Oh, souviens-toi de Moi, Mon fils, combien Me diffamaient à cause de leur mécontentement, de leur inconstance. Mon Esprit ne pénètre pas l’âme perfide, et c’est pour cela qu’ils ne peuvent pas tous ceux qui viennent ils ne peuvent se réjouir jusqu’à la fin de Ma venue celle d’aujourd’hui, que Je Me réjouisse d’eux jusqu’à la fin, et ils tombent ceux-là de côté, et leurs pas deviennent plus mauvais qu’avant, comme il est écrit, car c’est très grave qu’ils tombent ceux qui trahissent Dieu et ne se tiennent plus avec Lui. Oh, s’ils auraient la chance du retour avant la fin! Ils ont besoin de paix avec Moi ceux-là, mais leur raison est grande pour eux-mêmes et petite pour Mon Esprit, le Consolateur, l’Esprit Qui console les bons croyants, constants dans la foi et en amour jusqu’à la fin, l’amour pour ceux qui cherchent le salut. Amen.
Je te donne maintenant Ma bénédiction pour le jour d’annonce de Mon œuvre avec toi au milieu des hommes, Mon peuple. Je t’ai ouvert la voie, Mon fils, pour sortir entre les hommes avec la croix de la résurrection, Mon fils. Le monde aime depuis deux mille ans la croix avec Moi crucifié sur elle par de gros clous de fer, mais avec toi la croix est pleine de fleurs, Mon fils, et c’est grande consolation que tu Me procures par ton œuvre. Les anges regardent cela émerveillés et ils voient Mon Evangile avec toi, ils se tiennent en grand étonnement et ils chantent à Ma gloire avec toi les anges du ciel, Mon peuple. Oh, qu’il soit béni le travail de tes mains, avec lequel Je suis avec toi entre les hommes, pour qu’il témoigne de cette œuvre, Mon œuvre avec toi, Mon fils ! Il se console l’esprit de l’homme quand il voit la croix avec des fleurs sur elle. Il se console l’homme de Mon œuvre avec toi, car il n’a pas d’espoir l’homme, et il n’a pas de consolation s’il n’a pas d’espoir. Je sors avec toi en œuvre de Nouvelle Jérusalem au milieu des hommes, Nous sortons avec des branches, avec des fleurs sur les croix et Nous venons à la rencontre des hommes avec de la consolation, car J’ai grande pitié d’eux et ils ne le savent pas cela. Mon esprit est blessé d’envie sainte après l’homme, et c’est pour cela que Je suis venu il a deux mille ans, Je M e suis fait homme et Je Me suis laissé vers la croix et vers la mort pour Mon amour envers l’homme, oh, et c’est pour la même chose que Je suis venu maintenant et Je viens toujours en parole sur la terre et pas pour autre chose Je le fais. Je viens parce qu’il est écrit que Je vienne et pas pour autre raison. Oh, Je viens, Je viens toujours et c’est beaucoup d’incrédulité et de froideur d’âme que Je trouve dans les hommes sur la voie, et Je reviens dans le Père en soupirant et le Père Me console, Il efface Mes larmes et Il Me dit des mots de consolation Mon Père, des mots que voilà:
— Peu, peu de temps, et Tu vas les tirer tous à Moi, oh, Mon cher Fils, car c’est ainsi que Tu as dit, et Tu as sur la terre des fils fidèles, qui mettent Ta parole dans la voie des hommes, et il viendra bientôt un jour où ils chercheront tous cette consolatrice et ils courront après elle tout comme après la consolation qui manquera à tous, et elle sera chère en ce jour Ta parole, avec laquelle Tu vas aujourd’hui, comblé d’envie sainte après l’homme. Peu, peu de temps encore, Mon Cher Fils, et Notre patience va sauver beaucoup d’âmes des ceux écrits dans le Livre de la Vie.
Ta douleur Me fait mal, car Je suis en Toi, et Tu es en Moi, Mon cher Fils, mais Notre douleur est pleine de patience, elle est pleine d’amour et elle est Notre soupire après l’homme, Mon Fils. Il regarde maintenant le jour dont on fait mémoire aujourd’hui, jour où beaucoup Te chantaient Hosanna, coupant des branches de palmiers et les mettant au-devant de Toi, et lorsque toute la cité de Jérusalem a tremblé en disant: «Qui est Celui-ci?» et beaucoup d’entre eux disaient: «C’est Jésus le prophète de Nazareth en Galilée», et ils sont venus à Toi des aveugles et des boiteux et Tu les a guéris en ce moment-là, mais ils se sont attristés et indignés les principaux et les scribes à cause de ces choses merveilleuses, et les enfants qui criaient en Te chantant dans le temple Hosanna. Oh, à quelle douceur Tu leur avais parlé quand ils T’ont dit: «Entendez-vous ce qu’ils disent?», et Tu leur as répondu: «N’avez-vous jamais lu dans les prophètes que de la boche des enfants et des nourrissons le Seigneur a préparé Sa louange?» Oh, quel grand jour a été alors en Jérusalem pour ceux à cœur doux et grand, et quelle colère a-t-il provoqué dans les cœurs de ceux qui ne T’ont pas reçu de Moi, envoyé pour eux, mon cher Fils! Ils T’ont crucifié ceux-là, mais malheur pour eux, ils n’ont pas su qu’une plus grande gloire allait éclater devant eux par Toi, car la lumière de Ta résurrection les a jugés ensuite, elle les a vaincus tous, et ils sont restés impuissants sous grande coulpe, mais Tu as été plein de pitié pour eux sur la croix, et Tu M’as supplié de leur pardonner car ils ne savent ce qu’ils font. Oh, quel grand amour Tu leur as donné lorsque Tu M’as dit de les pardonner! Oh, qu’il est grand Ton amour, Mon cher Fils! Que l’homme n’oublie pas Ton amour sur la croix, Mon Fils, et que le pécheur ne perde pas son espoir, mais qu’il retourne et qu’il soit vivant, puisque Tu es mort pour chaque pécheur, pour qu’il soit vivant par son retour à Toi, à Ta miséricorde envers l’homme pécheur, Mon Fils.
Je parle avec Toi avant le jour de fête de Ta crucifixion et Ta résurrection par la croix, cher Fils. On va faire mémoire de Ta crucifixion, Mon Fils, et dès demain se déroule le souvenir de la semaine de Tes amères souffrances, cher Fils. Nous sortons avec des fleurs sur les croix au milieu des hommes et Nous Nous tenons ainsi avec eux jusqu’au jour de la résurrection et Nous parsemons dans les hommes le parfum de Ton amour pour les pécheurs, afin qu’ils viennent vers l’humilité et la repentance, Mon Fils. Nous avons des fils qui témoignent et qui annoncent aux hommes Ta parole d’aujourd’hui, celle qui a sa racine en Nous, cher Fils. Elle frémisse toute la création à Ta voix d’aujourd’hui, mais l’homme dort dans l’incrédulité, en temps que Tu Te donnes la peine de le relever à Ta voix, et peut-être entendras-t-il et il T’ouvrira pour qu’il connaisse Celui Qui bat.
Dans sept jours ils chanteront les fidèles et les infidèles le chant de Ta résurrection: le Christ est ressuscité! Nous l’entendrons du ciel et Nous regarderons sur la terre partout. Le monde veut se réjouir à l’occasion de Nos fêtes, mais on ne se réjouit pas pour Nous, oh, non, Mon cher Fils, souffrant comme Ton Père. Ceux qui se réjouissent avec Nous, ce n’est pas ainsi qu’ils le font, mais le monde ne connaît pas le mystère de la joie, le monde ne sait ce que c’est l’amour et ce qu’il fait avec son action et avec sa grandeur. Oh, J’ai pitié de Toi, J’ai grande pitié de Toi, Mon Fils, et Je Te console en parlant avec Toi, Moi, le Père, au milieu de Ton peuple d’aujourd’hui, Cher Fils, car c’est parmi les Roumains que Nous avons trouvé maison, maintenant à Ta venue de la fin de temps.
Je dis à tous, Je dis aux hommes pour qu’ils comprennent de Moi, le Père Céleste, et qu’ils entendent l’explication de Ton nom Alpha et Oméga.
Oh, Mon Fils Jésus-Christ est venu alors, au commencement de Son corps, et Il est venu maintenant, à la fin de Son travail, car Il est le début et la fin de toute chose du Seigneur sur la terre et au ciel. Il a commencé l’œuvre de Son corps il y a deux mille ans et Il vient maintenant pour la finir, et c’est ainsi que Dieu travaille Son ouvrage entièrement établi. Lui, Mon Fils, Il est l’Alpha et l’Oméga, Lui, Celui Qui a été, Celui Qui est et Celui Qui vient, et à force triple Il a travaillé et Il travaille Son œuvre, car c’est ainsi à Dieu, et Moi Je Le glorifie et Je Me glorifie en Lui et Je dis : Celui–ci c’est Mon Fils et Ma Parole. C’est Lui Qui est l’Alpha et l’Oméga. Il est Celui Qui a été, Celui Qui est, Celui Qui vient, et Le voilà, Il vient, car l’Esprit et la mariée disent: «Viens, Seigneur!», et c’est pour cela qu’Il vient. Amen.
— Oh, Mon Père Sabaoth, oh, Mon Père, Je Me tiens au milieu du peuple de Ma parole d’aujourd’hui et Je fais toujours Ma venue. C’est l’Evangile de Ma venue que Je travaille au milieu de ce petit peuple, et ils Me haïssent les prélats et les érudits tout comme il y a deux mille ans, et ils s’occupent toujours de leurs affaires, oh, Mon Père. Je suis l’Alpha et l’Oméga, le début de la fin, mais ils ne veulent savoir cela sur l’ouvrage que J’ai à travailler de Ta part sur la terre jusqu’à son entier, pour pouvoir Te dire ensuite, Mon Père, que J’ai accompli Mon œuvre. Oh, gloire à Toi pour M’avoir glorifié en parole en ce jour ! Je suis entré en parole à Jérusalem, à Mon peuple celui d’aujourd’hui, et Je suis entré avec Toi, Mon Père. Dans sept jours Je vais Me glorifier entre eux avec la fête de Ma Résurrection et Je serai avec eux à table de parole, Mon Père. Mon œuvre avec eux est très grande et il ne peut s’imaginer l’homme la profondeur de son mystère. Les choses que l’œil n’a pas vu et la raison de l’homme ne peut s’imaginer, voilà ce que Je travaille et Je prépare pour ceux qui M’aiment, et Je travaille cela avec le peuple de Ma parole d’aujourd’hui, Mon Père.
Oh, Mon peuple, le Père et le Fils se sont glorifiés en parole au milieu de toi en ce jour de fête sainte lorsque Moi, le Seigneur, Je suis entré sur l’ânon de l’ânesse dans la cité de Jérusalem il y a deux mille ans. J’ai dit au Saint-Esprit, Je Lui ai dit le Consolateur pour que Je fasse de Lui l’œuvre de la Consolation, sur les fidèles. Oh, va, Mon peuple, va avec Mon mystère et annonce-le aux hommes, pour qu’ils voient Mon Esprit travaillant, par toi sur la terre! Porte Mon message de ton milieu aux hommes, Mon fils, et Moi, le Seigneur, Je vais les consoler en grand secret par Mon œuvre avec toi, par Mon secret levain, que Je travaille par toi pour le renouvellement du monde, pour le nouveau monde, celui qui sera, celui qui restera, oh, Mon peuple. Amen, amen, amen.
17-04-2011