Oh, qu’il est grand Mon désir saint envers toi, peuple de Ma parole d’aujourd’hui! Je viens après toi avec le désir saint de Mon Esprit, Mon fils, car autrement Je n’aurais plus de consolation venue de la terre, puisque c’est sur la terre qu’existe ce que Moi et le Père, Nous attendons dans l’Esprit Saint, Nous attendons depuis long, longtemps, et le désir saint c’est Notre douleur et Notre consolation.
J’attends avec impatience l’occasion de Me mettre avec toi à table de parole, et tout le ciel attend Ma parole du milieu de toi, d’où Moi, le Seigneur, Je viens et Je verse dans Mes jours avec toi la parole de Ma voix sur toi, pour que tu en prennes et qu’il prenne aussi celui qui entend Ma voix de ton milieu, Mon peuple. Il a soif l’homme, il a toujours soif, mais qui lui apprenne d’où vient sa soif, et avec quoi pourrai-t-on l’apaiser au temps de sa recherche continue d’apaisement, de repos, de consolation, oh, Mon peuple? L’homme a toujours en lui quelque chose à chercher, à peiner, à attendre, mais rien ne peut lui en suffire, puisque l’homme est pauvre de Dieu, pauvre de vie, le pauvre. Il s’illusionne l’homme jour par jour avec la douceur coupable du péché et avec le mensonge de la vanité qui passe avec l’homme, mais son pouvoir diminue, il ne croît pas, et il lui reste toujours l’espoir et l’attente, le désir du repos et de la paix, puisque le manque de la consolation et la peine c’est le sort de celui qui n’a pas Dieu comme l’envie de son cœur, et dans son esprit et dans son œuvre.
C’est un jour où on fait mémoire de Ma rencontre avec la femme samaritaine à la fontaine d’Israël, jour dont Mes disciples ont écrit dans Mon Evangile d’alors. Oh, c’est un jour portant le don de la foi, avec le pouvoir du repentir et avec source d’envie sainte envers Dieu ensuite, car grande a été Mon œuvre alors sur la terre! Je Me suis arrêté à la fontaine de Sychar, ville samaritaine. J’étais parti de Judée vers la Galilée, pour guérir quelqu’un de grand nom à Cana en Galilée, et montrer encore un signe, pour la foi de ceux de Cana, qui ont vu Ma grandeur en venant à Jérusalem à la fête, et Je suis allé chez eux, car en Judée, Ma patrie il n’y avait personne à Me croire, et J’ai dit que le prophète n’est pas honoré dans sa patrie, mais ils M’ont reçu et ils M’ont cru les Samaritains et les Galiléens, qui M’ont pris dans leur maison et ils M’ont donné de la consolation, et Moi, Je leur ai payé par la rémission de leurs péchés et avec la guérison, leur donnant ensuite l’œuvre de la foi, de témoigner de Moi le long de la terre aux petits et aux grands, jusqu’à ceux qui se tenaient sur les grandes chaises sur les multitudes, pour leur annoncer le Messie, l’envoyer du Père sur la terre en ce temps-là, tel qu’il était écrit dans les prophètes sur Ma venue.
J’ai quitté la Judée pour la Galilée à cause des disputes des pharisiens contre Moi et, passant par la ville de Sychar, Je Me suis arrêté pour Me reposer à la fontaine d’Israël, et J’ai demandé à la femme samaritaine, qui était venue puiser de l’eau et Je lui ai dit: «Donne-Moi à boire», car J’étais fatigué, mais en Me voyant Juif selon Mon costume, elle s’est humiliée devant Moi, sachant que les Juifs n’ont pas de relations avec les Samaritains, et, en parlant avec elle, pour qu’elle voie Dieu en Moi, elle M’a dit ensuite: «Seigneur, Tu es prophète. Je sais qu’Il vient le Messie, Celui qu’on appelle Christ, et Celui–là va nous annoncer toutes choses», et Je lui ai dit: «C’est Moi, Celui Qui parle avec toi!», et elle M’a laissé sa cruche avec de l’eau et elle est allé dans la cité pour dire à tous de venir Me voir, de voir le Messie, et ils sont venus, et Je n’ai plus eu de temps de manger ceux que les disciples avaient apporté comme nourriture, puisque Je devais faire la volonté du Père, Qui M’avait envoyé pour accomplir Son œuvre et J’ai dit aux disciples: «Voilà la moisson, et celui qui moissonne reçoit un salaire et amasse des fruits pour la vie éternelle, afin que celui qui sème et celui qui moissonne se réjouissent ensemble», et de nombreux gens de Samarie ont dit eux aussi: «Nous avons entendu nous-mêmes et nous savons que Celui–ci est vraiment le Christ, le Sauveur du monde», et Mes disciples ont entendu cela.
Oh, enfants porteurs de Dieu, c’est la même chose avec cette œuvre de parole que Je porte sur vos petites épaules, mais ils ne l’ont pas gardée tous ceux à qui Je l’ai donné par vous, et ils se sont levés d’entre eux qui ont exposé vos visages à l’esprit de fouettement, tout comme ils procédaient avec Moi en Judée les pharisiens et tous ceux qui n’ont pas voulu croire, en luttant de toute façon pour Me chercher quelque faute, pour s’égarer et ne pas croire en Mon œuvre de leur milieu. Oh, c’est ainsi qu’il arrive à ceux qui oublient qu’ils sont pécheurs et qu’ils ont besoin de Dieu. La femme étrangère des Juifs a reconnu Dieu et elle a témoigné en disant: «Nous savons qu’Il vient le Messie, Qui S’appelle Christ, et Celui-là annoncera toutes choses», mais ceux de la maison de Mon Père n’ont pas voulu savoir ni après avoir vu Ma grandeur avec puissance au milieu d’eux.
Oh, il ne faut pas beaucoup à l’homme de pécher contre Dieu et devenir malade par l’esprit de l’orgueil, et ensuite par l’incrédulité et le manque d’amour envers Dieu et envers les hommes. Ceux pleins d’orgueil et de grandeur passagère et de hautes chaises en Israël, faisaient tout leur possible pour qu’ils Me haïssent beaucoup en Judée, mais la femme samaritaine, avec laquelle J’avais parlé à la fontaine d’Israël, elle a fait celle-là tout ce qu’elle a pu pour que les Samaritains M’aiment, et plus que cela, elle est morte ensuite pour l’amour de Moi. Elle avait assez de péchés, mais elle n’avait pas l’esprit de l’orgueil cette femme, car les péchés lui provoquaient des remords intérieurs, même si elle n’avait pas force pour les affronter dans son propre corps, parce que la charge des péchés est lourde, et c’est pour cela que l’homme ressent la peur, mais à qui de lui dire cela et lui donner la délivrance? Ceux qui se sont égarés à cause de Moi en Judée parce qu’ils l’ont voulu eux-mêmes, s’ils n’ont pas considéré leurs péchés, tel que la femme samaritaine l’avait fait à sa rencontre avec Moi, mais à qui de parler aux orgueilleux du péché de leur orgueil?
Oh, fils élevés avec la parole venue du ciel, celui qui se considère meilleur et plus juste qu’un autre, celui-là est comblé d’orgueil et il insulte, humilie, accuse, diffame et il agit par ruse avec sa langue sur son prochain, mais celui humble à cause du péché lève sa voix vers le ciel et il dit avec douleurs: «Souviens-Toi de Ta miséricorde, Seigneur, car elle est éternelle, et ne Te souviens pas des péchés de ma jeunesse, et pour Ton grand nom, selon Ta bonté, pardonne mes tors, car ils sont grands. Tourne vers moi, l’abandonné et le malheureux que je suis, car l’angoisse de mon cœur a grandi, mais vois ma peine et pardonne-moi, Seigneur, et garde mon âme, car c’est en Toi que j’espère!». Oh, Mon peuple, c’est ainsi que tu dois être devant Moi et devant tes semblables, puisque l’humilité élève l’homme et elle rend miséricordieux le Seigneur envers lui, tel que Je suis allé au-devant de la samaritaine à la fontaine et Je Me suis découvert à elle pour l’humilité de son cœur, puisqu’elle voyait ses péchés et c’était à grande difficulté qu’elle les portait, mais Je suis venu en Sauveur dans sa voie et Je lui ai donné la possibilité du déchargement. Je lui ai donné l’eau de la miséricorde et ensuite l’esprit du témoignage pour avoir du travail, pour ne plus avoir de temps pour elle, mais pour Dieu, pour Son témoignage sur la terre, oh, et il y a eu beaucoup de peuple qui s’est levé vers Moi par cette femme qui témoignait du Christ, et toute sa famille s’est donnée à Moi en sacrifice de foi et d’amour, devant les incroyants et les persécuteurs de Mes fidèles.
Oh, parle toi, grande martyre de Mon nom, parle à Mon peuple, et donne-lui parole de foi, parole d’humilité pour ceux qui vont t’entendre par Ma venue avec les saints aujourd’hui sur la terre. Amen.
— Je leur parle, oh, Seigneur, je leur dis à tous, que Tu es le Sauveur de mon âme et de ma famille et de ma cité, devant lesquelles j’ai témoigné de Toi au jour où je T’ai rencontré à la fontaine d’Israël. Je les exhorte à la prière pleine d’envie sainte et de douleur pour la rémission de leurs péchés, pour leur humilité face à Toi, et qu’ils disent tous comme l’empereur David: «Un cœur pur crée en moi, Seigneur, et renouvelle en ma poitrine un esprit ferme. J’ai péché contre Toi Seul et ce qui est mal à Tes yeux je l’ai fait, mais parce que Tu aimes la vérité au fond de l’homme, dans le secret, enseigne-moi la sagesse, purifie-moi avec l’hysope et je serai pur, et rends-moi le son de la joie, pour qu’ils dansent mes os que Tu as broyés, et détourne Ta face de mes fautes et efface-les, Seigneur, et rends-moi la joie de Ton salut, et ma bouche annoncera Ta louange, car Tu ne prends pas aucun plaisir au sacrifice, mais l’esprit humilié et le cœur brisé et contrit, Seigneur, et ensuite j’enseignerai Tes voies à ceux qui les transgressent, et les pécheurs reviendront à Toi, en quittant leur péchés».
Oh, je n’ai pas d’autre parole à dire au jour où on fait mémoire de moi avec Toi à la fontaine d’Israël, mon Rédempteur. Je les stimule tous à une foi ferme, car la foi est celle qui ne tombe jamais, tout comme l’amour, Seigneur.
Oh, aimez de toutes vos forces l’œuvre de l’humilité en vous et en dehors de vous, travaillez beaucoup pour le Seigneur, le Rédempteur en ces jours, quand Il vient et se tient avec vous et Il Se donne à ceux qui viennent vers la foi à Sa voix entendue au milieu de vous! Il vient le Messie et Il vous apprend tout, tel qu’Il a dit qu’Il viendra. Les saints vous regardent et ils voient l’accomplissement de cette Ecriture du Seigneur avec vous, mais qu’elle est petite la foi sur la terre, et qu’ils sont grands les ventres et les gueules de ceux assis sur les chaises d’église sur les multitudes inconsolées et affamées! Il vient le Messie et Il vous apprend tout! Donnez à tous ce que vous avez de Lui, car l’Esprit n’est pas avec mesure! Il vient le Messie, annoncez-Le et soyez des annonciateurs, car la moisson est abondante et celui qui moissonne reçoit le payement et il amasse des fruits pour la vie éternelle, pour qu’ils se réjouissent ensemble celui qui sème et celui qui moissonne, car c’est par cela qu’elle s’avère la parole qui dit que l’un est le semeur et un autre le moissonneur, et la moisson est abondante et la récolte est mûre. Il vient le Messie! Oh, viens, Seigneur, et donne à ceux qui ont désiré de Toi et à ceux qui désirent de Toi, donne-leur le payement de l’esprit de témoignage de Ton nom! Il vient le Messie! Voilà qu’elle est nombreuse Ta venue et visible Ta grandeur, oh, Seigneur! Qu’ils se réveillent ceux qui ne T’attendent pas pour T’accueillir, oh, Seigneur! Il vient le Messie! Venez à la fontaine parce qu’Il se tient près d’elle et vous attend pour Se partager à vous le Seigneur, et pardonner vos péchés!
— Oh, Je viens et Je viens toujours, et Je viens avec Mes Saints, avec ceux qui ont témoigné de Moi, qui se sont mis sur l’autel avec leur amour pour Moi. Il vient le Messie ! Et Me voilà, en venant! Les habitants de la terre se sont faits des Juifs avec l’amour et la foi et ils n’ont pas de temps pour Mon œuvre celle venue du Père, avec laquelle Je viens toujours sur la terre pour l’accomplir, et c’est d’elle que Je t’ai donné naissance, peuple de la naissance d’en haut, maintenant, quand Je viens sur la terre pour accomplir devant le Père l’Ecriture de la naissance de nouveau du monde, et Je parle avec toi de toutes Mes choses, car Je viens chez toi et Je t’apprends tout, oh, Mon peuple, tel que Moi, le Seigneur, J’ai laissé écrit il y a deux mille ans, à savoir que Je viendrai et Je serai le Maître, et J’apprendrai tout à ceux qui, en esprit et en vérité, vont Me reconnaître et M’ouvrir pour que Je leur donne, et pour dîner avec eux. Amen.
Oh, peuple de la source, tu as des hôtes célestes à la fontaine. Tu as au milieu de toi la fontaine dont l’ange que Je t’ai donné c’est la Samaritaine, celle fêtée aujourd’hui dans le ciel et sur la terre, pour Ma rencontre avec elle à la fontaine d’Israël. Voilà fête céleste qui s’arrête dans Mes jardins avec toi, Mon fils. Oh, ouvre tes yeux et vois, Mon fils, car encore et encore Je t’appelle afin que tu prépares avec beaucoup de sagesse grand fruit pour l’œil de la foi, l’œil qui dépasse la frontière et il a la vue des invisibles de Dieu, qui attendent à la frontière, elles attendent le peuple fidèle, peuple qui ouvre à la gloire du Seigneur et fait voir le Seigneur, tout comme sur la montagne de Thabor Je Me suis montré à Mes disciples avec Ma gloire, celle du Père. Amen.
Oh, les fils, nourrissez-vous de l’esprit des saints et de leur foi et de leur chaleur pour Moi, car ils aiment beaucoup leur compagnie avec vous et la vôtre avec eux! Oh, soyez dignes de Mon amour et de le leur, les fils! Amen, amen, amen.
22-05-2011