La Parole de Dieu à la Fête de la Naissance du Seigneur

Je Me fais livre sur la terre et Je M’en inscris avec toute Ma parole de ces jours, car le Père M’envoie paître ceux qu’Il Me donne à paître et les faire pasteurs de brebis, pour qu’ils paissent Mes moutons, pour leur donner de Moi, de ce que Moi Je leur donne afin d’avoir et de donner à ceux qui n’ont pas la vie du ciel en eux, naissance d’en haut, lumière sur la vie, et pour marcher en lumière ceux qui apprennent que Je viens en parole sur la terre.

Je suis le Fils de Dieu le Père et de Ma mère la Vierge. Le Père M’a envoyé il y a deux mille ans pour Me faire Homme sur laterre par Ma naissance de mère Vierge, et pour que beaucoup d’hommes viennent par Moi au Père, à la rédemption, à la délivrance, au salut, celui payé par Ma vie mise sur la croix pour effacer la faute de l’homme de la face de Dieu, et pour que l’homme vienne à Moi, à l’amour venu du ciel pour être sur la terre avec les hommes, et que les hommes apprennent l’amour celui contraire au péché qui se trouve en eux, et Me voilà paissant et appelant à Dieu ceux qui se délivrent du diable, celui qui sépare l’homme de Dieu pour faire sa volonté, pour que l’homme perde la vie éternelle avec Dieu, puisque ta vie, homme, est de Dieu, elle n’est pas de ceux qui te donnent la chair pour naître, mais elle est de Dieu, Celui Qui te donne la vie à ta naissance, et le Seigneur te donne l’âme, et tu prends du mouvement et du souffle de Lui, et voilà que Je travaille fête de naissance sur la terre en ce grand jour, qui fait souvenir de Ma naissance entre les hommes de mère Vierge il y a deux mille ans sur la terre entre les hommes.

Je suis Celui annoncé de Moïse et des prophètes que Je viendrais sur la terre avec la voix de Ma parole et Je serais le Pasteur des brebis qui Me reçoivent pour les paître. Je suis Jésus-Christ, tel que l’on M’a nommé à Ma naissance. Humble Je suis venu sur la terre et c’est ainsi que Je suis resté, humble dans Ma vie, dans Mon aspect et dans Mon travail. Il n’était pas possible que le monde d’alors Me reçoive car le monde mène sa vie mondaine, et Moi J’étais venu de la gloire céleste, qui n’a rien de mondain en elle, cette gloire n’est pas ni terrestre ni humaine.

On a trouvé un abri dans une crèche pour Ma naissance sur la terre. C’est ainsi que le Père a travaillé alors, pour que je ressemble à la gloire sainte de Dieu, au milieu de la gloire des hommes étrangers de Dieu. J’ai quitté toute Ma gloire d’en haut pour venir humblement sur la terre entre les hommes, et pour être reçu par ceux qui ont besoin de Dieu, par les pauvres, ou les souffrants et sans consolation, tristes et sans aide. Je suis Celui Qui guérit la souffrance et la tristesse et la solitude, et Je M’offre à eux pour les consoler et apaiser. C’est pour ceux-ci que Je suis venu et Je viens, puisqu’ils ont besoin de Dieu et ils Me reçoivent avec eux.

Je n’ai pas été reconnu et reçu des riches, ceux pleins de leur vie et de fortune brillante au milieu du monde. Oh, ceux-ci ne sont pas pour Moi! Pour Moi c’est la création faite de Dieu, celle belle sans limites, sans frontières, et Je ne veux point entrer dans des maisons étroites et pleines d’un amas de choses pour l’homme.

Oh, que ferais-Je avec les granges et les trônes des maisons de ceux qui amassent des richesses sur la terre? Comment entrerais-Je dans leurs palais, sur leurs chaises impériales comme des trônes? Pour Moi c’est la petite chaise à trois petits pieds, trois petits piliers, car Je suis Celui doux et humble de cœur et de figure.

Vous, hommes qui savez que Je suis venu sur la terre il y a deux mille ans pour offrir le ciel, oh, fuyez le luxe si fatigant pour une âme de chrétien qui aime Dieu, et vous aurez vous aussi le ciel et sa place faite de Dieu.Ne remplissez plus vos maisons de choses fatigantes pour le séjour de Dieu avec vous et près de vous. Le royaume des fils de Dieu n’est pas de ce monde, mais c’est en Dieu leur royaume.

L’homme a besoin de Mon appui, mais qu’il ne Me cherche pas pour être avec lui et pour lui seulement au cas d’ennui, mais que Je sois toujours avec lui, que Je puisse être avec lui, et pouvoir donner ce qui est saint de l’un à l’autre, car si l’homme ne parle pas avec Moi, c’est en vain que Je parle avec lui , et voilà, homme, tu parles trop, et trop de choses et tout le temps, oh, et c’est trop peu que tu parles avec Dieu ou pas du tout, et tu as besoin de Dieu, tu as besoin de soutien venu du ciel, et il y a sur la terre des peuples entiers sans le vrai Dieu sur eux, et ils se fabriquent eux-mêmes des dieux à leur gré, puisque l’hommene peut vivre sans joies, sans espoir, sans le désir de se délivrer des ennuis.

L’homme prend sa raison de Dieu et il en fait ce qu’il veut. Oh, pauvre homme, ne te tiens plus si étranger de Dieu avec ta pensée, ne restes plus ainsi jour après jours, mais lève-toi et vois ce qui se passe avec toi et où tu vas avec ta vie. Appelle-Moi pour que Je t’entende et que Je Me découvre avec Ma grande œuvre pour toi, pour te racheter de l’ennemi qui t’a sorti du paradis, afin de te séparer de Dieu, le Créateur du ciel et de la terre et de l’homme. Tu t’occupes de tes projets, de tes pensées, de tes souhaits, mais tu ne travailles pas pour ta liaison douce avec Moi, cela ne te passe pas par la tête de faire ce miracle saint pour ta vie. Tu dis peut-être que tu as Dieu, que tu peux être ainsi avec Lui, qu’Il peut être ainsi avec toi. Oh, tu ne peux être pour Dieu par tant de choses que tu as à faire et que tu fais selon ta raison, selon ton goût. Oh, tu as tant de choses dont tu n’as pas besoin, tant de choses que tu veux faire et les avoir, mais tu n’en as pas besoin, et tu ne t’arrêtes plus pour savoir cela. Je t’apprends la naissance de nouveau, d’en haut, et Je viens à toi avec elle. C’est cela ce que Je fais quand Je te parle de ces choses en jour de fête de naissance de ton Seigneur. Je n’ai rien amassé pour Moi sur la terre, et toi, voilà ce que tu fais! Et tu le fais parce que tu n’aimes pas Dieu, Celui Qui t’a donné la vie pour en avoir si tu es né sur la terre.

Oh, souviens-toi de Dieu, homme! Tu es très pauvre des choses du ciel. Je réjouissais beaucoup d’hommes tristes et Je les encourageais en disant: «Réjouissez-vous toujours!».

Oh, il est difficile sans joies. La joie est la nourriture de l’âme. Tant que tu vis sur la terre, cherche de partager des joies à ceux d’autour de toi. Le refus de te rendre joie pour ceux qui se trouvent autour de toi c’est un non existence de toi. Quand tu ne ressens pas l’envie de faire des joies tu es froid d’âme. Oh, cherche d’avoir envie de faire des joies, homme chrétien! Cherche de sentir besoin d’avoir des joies, d’offrir des joies, et alors on peut dire que tu aimes, que tu vis, que tu partages de la vie et de l’espoir de vie.

Partagez des joies entre vous, les fils, et prenez soin de vivre votre vie, car la vie non vécue est celle sans le fruit éternel du bonheur de la vie reconnaissante, Mes fils. Oh, ne perdez pas votre vie, ne ladormez pas, ne restez pas sur place avec son mystère qui doit travailler, mais vivez-la, les fils, car elle est de Dieu, et Dieu c’est de la vie. Evitez de vous séparer de Dieu, ayez peur de le faire, évitez tout ce que vous sépare du Seigneur et de l’obéissance à Lui! Il y a des enfants à l’école qui ne veulent point apprendre et ils passent en vain par l’école. Les saints choisissaient pour eux de très difficiles besognes, car ils savaient bien que la chair tire l’homme vers l’inactivité et le péché, vers le gaspillage de la rédemption, ils savaient que si on n’est pas plein de Dieu, on est plein d’autre chose, on est plein des choses étrangères de Dieu.

Il y a deux mille ans Je parlais du Père aux disciples et ils ne comprenaient guère, et quand Je suis parti Je leur ai dit le nom entier de Dieu, et Je les ai envoyés à travers la terre au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit, l’Unique Dieu dans Sa Trinité, et voilà, maintenant, prenez soin, Mes fils, de vivre votre vie en ce grand nom, mais apprenez bien l’œuvre de la naissance d’en haut, pour savoir ensuite la vie avec Dieu.

Les fils, les fils, faites l’aumône entre vous par des joies, pour qu’elles s’accumulent au ciel et qu’elle vous accueille cette richesse. Quand quelqu’un te donne Dieu ou de Dieu, en partageant de cette richesse éternelle, tu dois lui dire «Bogdaprosti» (Dieu remercie -slavonne)et puis remercier à Dieu pour tout cela, et ensuite il faut que tu donnes à ton tour, pour avoir toi aussi le travail qui te sera payé comme à un travailleur actif qui ne vit pas sans travail saint.

Oh, voilà, jour de fête de naissance! Moi, le petit Enfant descendu dans la crèche accueillante pour y être né, Moi, le merveilleux Seigneur, Je M’accomplisparfaitement en parole au-dessus de la terre pour qu’ils Me prennent ceux qui Me choisissent pour être leur Pasteur et se tenir près de Ma bergerie d’aujourd’hui, de Ma parole avec laquelle Je M’inscris dans Mon livre, afin de paître ceux qui le Père Me donne pour les tirer tous ensuite vers Mon Père, car J’ai dit: «Je vais tous tirer au Père», tous ceux qui veulent, et tous dont Je prends pitié, tel qu’il est écrit.

On a fête de naissance et Je bénis maintenant tous les peuples vers la découverte de Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit, et J’envoie Mes anges au-dessus de la terre pour semer la semence de la foi dans les cœurs préparés, pour qu’elle germe et donne du fruit.

Paix à vous, peuples et nations de la terre! Les anges partagés de Dieu sur les peuples et les frontières vont sonner de leurs trompettes pour provoquer au réveil à la foi sainte pour l’annonce du royaume des cieux sur la terre, car satan et les hommes de l’antéchrist causent de plus en plus grandes ennuis et ils oublient que c’est Dieu le Vainqueur, Lui et la foi en Dieu sur les peuples, et les hommes seront tous pleins de la connaissance de la Rédemption et ils connaîtront tous Dieu, comme il est écrit.

Et maintenant, paix à toi, Mon cher pays, Ma Roumanie! Nous avons fête de nativité pour Moi et pour toi, puisque Nous avons été nés en même temps par le Père, Moi pourtoi et toi pour Moi,car le peuple auquel J’étais venu ne M’a pas reçu ni pour naître, ni pour être leur Pasteur, mais Je suis venu humblement, et J’ai secrètement travaillé, jusqu’à ce que ce peuple M’a donné à la même mort que les brigands, oh, et J’ai grande pitié de ce peuple et Je lui souhaite de l’humilité et de la repentance, pour pouvoir le pardonner et le paître lui aussi vers Ma volonté, vers la foi en Ma venue, celle d’il y a deux mille ans et dans Ma parole d’aujourd’hui, par laquelle J’appelle les peuples à la table de l’amour de Dieu le Père, le Fils et le Saint-Esprit, et pour que Je leur donne Mon amour, lorsqu’il se fait parole de gloire, table céleste sur la terre.

Oh, paix à toi, en jour de fête de nativité, peuple de Ma parole! Que tu sois le tout premier à faire Ma volonté et que Je puisse te paître toujours, Mon fils, que tu croisses toujours et que tu partages la joie avec laquelle Je viens à toi pour la partager avec toi, et que Nous ayons des joies de l’un à l’autre.

Nous sommes à table de fête de nativité. Ma mère la Vierge est avec vous auprès de son Fils. Vous êtes la bergerie dans laquelle Je laisse Ma parole de naissance de nouveau du monde. Paix à vous! Demandez toujours Mon aide pour pouvoir vous tenir devant Moi, et que Moi Je puisse agir, que Dieu puisse agir sur la terre, les fils.

Je laisse sur vous l’esprit de la consolation pour vous apaiser, car Je suis doux envers vous, et tous ceux du ciel sont comme Moi pour vous, très doux, les fils, et en ce jour, allez, élever la joie, celle pour le jour de Ma naissance et chantez des noëls selon la tradition, et que la paix soit sur vous et sur Ma Roumanie, Mon pays d’aujourd’hui, le Mien et le vôtre,et à ceux qui vont l’aimer et le glorifier pour Ma grande gloire avec vous au milieu de lui, oh, les fils ! Amen, amen, amen.

07-01-2022