La Parole de Dieu à la fête de la Nativité du Seigneur

Je descends avec gloire de parole sur la terre, là où J’ai la crèche de descente, J’y laisse Ma parole, Je la partage ensuite et elle va Ma nouvelle d’un bout à l’autre en mettant de la joie dans les cœurs, car J’ai la rédemption à semer dans les hommes, parce que Je suis descendu d’auprès de Mon Père Sabbaoth et Je suis né petit enfant du sein de Vierge, pour être Rédempteur, et Ma naissance a été annoncée par des anges sur la terre.

Je suis le Seigneur Jésus-Christ, Je suis Celui annoncé par des anges dans la nuit de Ma naissance sur la terre. Le roi Hérode n’a pas pu empêcher Ma venue, car Mon ange M’a accompagné partout et il a montré pas à pas Ma protection, qui s’accomplissait avec grande obéissance, et Mon Père M’a fait place par tout l’embarras existant sur la terre, puisque Je n’avais pas où M’asseoir avec Ma venue, si mystérieuse et gardée avec tant d’humilité, car Je n’étais pas de ce monde, et à cause de cela Mon royaume n’a rien de lui, et l’ange a porté Ma naissance dans une crèche près d’un arrêt, et c’est ainsi qu’on a trouvé une place pour Ma venue sur la terre, et humblement Je Me suis montré, parce qu’au ciel il y a de l’humilité et grande beauté par elle et de la gloire toujours, et les anges ont chanté pour Moi à l’ouïe et à la vue des pasteurs de moutons, et ils leur ont annoncé Ma naissance, car Mon ange s’est tenu devant eux les enveloppant en lumière et il leur a dit: «Ne soyez pas pris de peur de cette vision céleste et réjouissez-vous et tout le peuple, puisque à Bethlehem la ville de David, il vous est né aujourd’hui un Sauveur, Christ le Seigneur, et vous Le trouverez couché dans une crèche». Une grande armée céleste s’est montrée ensuite avec Mon ange et ils louaient Mon être et Ma naissance en disant: «Gloire à Dieu entre ceux de très hauts, paix sur la terre et bienveillance entre les hommes!», c’est ainsi que Mon ange a protégé Mon être et il M’a annoncé, avec une grande armée céleste, et J’ai passé ensuite trente-trois années sur la terre, et J’ai mis devant les hommes l’Ecriture de la venue du Seigneur, de Celui dont la venue était annoncée par les prophètes, et c’est ainsi que J’ai accompli la volonté de Mon Père, car c’est le Père Qui M’a envoyé après l’homme.

Mon Père M’a pris ensuite par annonce d’ange et Il M’a porté en Egypte pour Me protéger de la mort, projetée par Hérode, qui a tué alors tous les petits du moment, puis le Père M’a ramené par l’annonce de l’ange, après avoir frappé de mort Hérode, et Il M’a établi dans la ville de Nazareth, accomplissant ainsi tout ce que humblement J’avais dû accomplir selon la tradition, et Ma naissance s’est réalisée sur la terre dans tout son ordre, et J’ai eu les anges à Mon service.

Oh, Ma mère Vierge, tu as été comblée de douleur alors, car J’étais petit Enfant, et tous les soucis sont tombée sur vous, et toute l’humilité de Ma venue c’est vous qui l’avez portée. Vous erriez avec Moi, vous, ceux qui avez accompagné Ma naissance et sa persécution de la part d’Hérode, et toi et Joseph vous avez souffert errants avec Moi dans vos bras, et partout il y avait de l’embarras pour Nous.

On a fête pour Ma naissance en ce jour, oh, Ma mère Vierge, et on a le souvenir de cette nuit-là, pleine de grandeur et de gloire, lorsque vous ne trouviez pas de place d’arrêt pour mettre sur la terre Celui né de ton sein virginal, Ma mère. La joie pour Ma naissance n’a pas eu de place dans ton cœur, car ton humilité croissait en même temps avec toute la douleur venue du manque d’accueil pour toi et pour Moi, et en même temps que la persécution de la part du roi Hérode, et Nous Nous sommes dirigés vers l’Egypte, Nous en sommes rentrés ensuite, J’ai grandi à Nazareth et Je Me suis montré de temps en temps à Israël, car Je devais accomplir toutes les prophéties sur Moi, oh, Ma mère.

Le chant de Ma naissance d’alors on peut l’entendre chez beaucoup d’hommes, depuis ce temps-là et jusqu’aujourd’hui, mais Ma douleur et la tienne ne naît pas dans les cœurs, Ma mère. Oh, qu’Il est petit Dieu sur la terre, Ma mère! C’est ainsi que l’homme veut, oh, Ma mère, et il veut que le Seigneur lui serve, et toi tu pleures de pitié pour Moi, d’amour pour Moi, oh, Ma mère, puisque Je suis Le malaimé et J’en pleure dans le ciel avec toi et avec le Père, car l’homme est froid envers Dieu, oh, Ma mère.

— Oh, ne pleure pas, ne pleure pas, Enfant né à Bethlehem au temps du roi Hérode, car je veux que Tu aies des joies, puisque c’est ainsi que la mère apaise l’enfant pour qu’il ne pleure pas, pour qu’il n’ait pas de mal. Oh, Il pleure depuis deux mille ans Ton Esprit et Tu pleures privé d’amour. Oh, c’est Ton amour qui pleure, celui pour lequel Tu es né et Tu es venu pour l’établir sur la terre. Oh, elle pleure Ta longue attente, Mon Fils Jésus-Christ. J’ai toujours pleuré en silence pour Toi, Celui persécuté dès Ta naissance et jusqu’à Ton retour dans la gloire d’en haut auprès du Père Sabbaoth. Nous sommes fêtés Toi et moi, dans le ciel Nous sommes fêtés, et Nous apaisons l’un à l’autre la larme et son amour, et l’attente Nous donne des forces et de la patience et l’espoir prophétisée dans les Ecritures.

Oh, mon Fils Emmanuel, Enfant endolori et sans abri sur la terre, qui est encore chrétien pour pouvoir vraiment témoigner de Toi par sa bouche et ses faits? Sur la terre les chrétiens mènent une vie païenne, mêlée de services idolâtres, même si selon les traditions ils sont baptisés en Ton nom. Oh, comment faire pour les habituer avec les vraies joies, avec la larme celle après Toi, Fils affligé par l’homme? Le soupir de Ta naissance cette nuit-là reste tout aussi fort en moi, tout aussi écrasée, et j’essaie Te protéger des douleurs tout comme alors, car je suis mère. Oh, il viendra le temps de ne plus pleurer, car toutes les choses deviendront nouvelles, telle la beauté primordiale, lorsque l’homme ne faisait pas mal à Dieu, ce qui a duré un instant seulement, et ensuite l’homme a rendu Dieu petit et il s’est fait grand lui-même, au-dessus de toutes les choses, et c’est ainsi qu’il pense de lui depuis lors et jusqu’aujourd’hui.

Nous demandons la pitié de l’homme, Fils d’en haut. Nous demandons de l’arrêt, mais il est étroit pour Dieu le lieu dans la maison de l’homme et il est plein d’idoles comme dans la nuit de Ta naissance, et l’homme ne sera pas heureux qu’au moment où le Seigneur va l’être, car l’homme doit être au dur tout comme au bon temps selon l’image et la ressemblance de Dieu, tel que le Seigneur est obligé d’être, après que l’homme s’est élevé avec sa grandeur devant le ciel et la terre.

Nous gardons maintenant dans la mémoire la douleur de la joie que Nous avons eue au temps de Ta naissance sur la terre et espérons que la douleur aura comme fruit l’état celle d’en haut entre l’homme et Dieu, car tout est fini, et le début vient s’établir, oh, Fils bien-aimé. Amen.

— Lorsqu’il y a eu le commencement il y a eu aussi la parole, et Dieu était la Parole, oh, Ma mère, et c’étais Moi la Parole, et voilà, il s’est établi de nouveau le début, car Je Me fais parole entre le ciel et la terre et Je bâtis la Jérusalem, Ma mère, mais Je souffre à cause de l’homme et J’ai des plaies aux mains et aux pieds et à la front et Je suis serré par-dessus la plaie, et c’est ainsi que Je travaille et c’est ainsi que Je bâtis, car il n’y a pas de guérison pour le Seigneur. Quand l’homme a quelque souffrance il va vite au médecin pour la guérison, mais Ma souffrance n’a pas de remède, n’a plus de médecin, puisque c’est l’homme qui devrait être Mon guérisseur. Oh, si Je pensais à Moi un instant seulement, le ciel et la terre n’existeraient plus, mais ils s’ébranleraient et on finirait avec eux.

Oh, Ma mère, si ceux qui Me portent aujourd’hui en parole au-dessus de la terre pensaient à eux-mêmes, Je n’aurais plus de voie sur la terre, ni lieu d’arrêt, ni peuple accueillant de Dieu, ni de veille sur lui et la possibilité de bâtir avec lui sur la terre. Oh, qu’il a été difficile pour Moi il y a deux mille ans de faire tout ceux que Mon Père avait choisi pour Moi, de les faire se renoncer et Me donner leur vie, leur corps, leur marche, leur langue et leur cœur, afin que Je Me bâtisse en eux, pour le salut de beaucoup d’hommes, quand Je leur ai demandé cela et Je leur ai dit: «Moi en vous, et vous en Moi, allez en Mon nom et sauvez les hommes, car c’est le royaume des cieux qui s’est approché d’eux, et l’ouvrier sera digne de travailler pour son payement, car des signes et des miracles vous accompagneront et vous allez annoncer Mon Evangile avec vous jusqu’aux extrémités et il y auront beaucoup à s’en sauver».

Oh, peuple roumain, Mon peuple de la fin du temps, au milieu de toi J’ai bâti maintenant le Bethlehem et le Nazareth et la parole celle pour Ma deuxième venue et toute Mon œuvre celle pour la fin du temps, et depuis ton foyer Je veille et Je surveille sur toi et sur les nations par Mes anges, et Je mets Mon sceau, celui de Mon nom, sur l’acte de ta naissance par Ma parole celle d’en haut, et tu ne pourras pas te cacher de Ma face et de la face des nations avec ton origine de Moi, car depuis le commencement et jusqu’à la fin Je t’ai attendu afin que tu sois Mon pays d’aujourd’hui, là où Je viens et Je mets le trône du jugement de la créature et le royaume et le renouvellement de toutes les choses ensuite par la parole, tout comme au début, lorsqu’a Ma parole ils ont été bâtis le ciel et la terre sous le regard de Dieu et de Ses anges.

Oh, peuple roumain, tu n’as pas suffisamment compris le temps de ton examen, mais nous allons nous serrer la main de plus en plus fort et nous allons lire de hauts lieux le livre de l’amour entre Moi et toi et ils vont te chercher des peuples qui sont loin de Moi, et ils vont prendre de ton foyer ta manne cachée, et on trouvera le mystère du salut et de la rédemption, on trouvera la loi de l’amour et du pardon, car Je t’ai aimé depuis le commencement et jusqu’à la fin, Je t’ai attendu ici, à la fin du temps, J’ai Ma gloire en toi maintenant, et avec de l’amour comme le feu Je M’inscris sur ton foyer et Je prends vie dans Mon livre d’aujourd’hui, celui qui est le trône du jugement de la créature, et tout va naître dans un instant par Ma parole, qui renouvelle le monde. Oh, tu es Mon désir saint et Je veux que tu croies à Ma venue chez toi, car c’est cela que Je désire. Les rois et les maîtres te veulent le leur, puisqu’ils ont appris le secret que Je t’ai destiné, mais Je souhaite que tu sois le Mien, et Mon désir saint te retient en Moi, et Je veille sur toi avec les armées d’anges, Mon pays d’aujourd’hui. Oh, on a fête de naissance au milieu de toi, et de Ma crèche de parole Je parle au-dessus de toi et Je t’envoie pour que tu M’entendes et que tu ne vives plus comme les païens, oh, chrétien, parce-que tu passes les fêtes chrétiennes tout à fait comme les païens et il n’y a personne à te dire que tu es en faute face à Dieu, et Moi, le Seigneur, Je viens et Je te montre ta faute, et Je te dis encore que l’homme peut être plus heureux qu’avec le bonheur qu’il se fabrique sur la terre avec ses divertissements au temps des fêtes. Oh, Mon cher pays, il faut que tu souffres pour le mal de Dieu et que tu apaises Sa plaie dans les fêtes, car ce n’est pas ainsi que l’homme doit fêter, mais avec gloire céleste au milieu de lui, puisque sans le Seigneur c’est le désert et l’enfer sur la terre.

Oh, fils des hommes, oh, les fils, lorsque vous rencontrez dans votre chemin quelque chose de magnifique, d’une grande hauteur, vous, ceux aux cœurs grands et sensibles envers les choses grandioses à la vue sur la terre, vous frémissez, vous vous étonnez et vous vous réjouissez quand vous entrez dans une belle église haute et pleine d’ornements crées par une main de maître, faites pour attirer ceux qui sont de passage par là. Oh, Me voilà, Moi, le Seigneur, descendu dans votre chemin en parole pleine de force, pleine de grandeur en parole, sur la voie des nuées, allant vers vous et parlant avec vous, et vous ne tressaillez pas comme vous le faites quand vous rencontrez quelque chose de magnifique sur la terre se présentant à vos yeux. Oh, voilà ce que signifie l’homme et ce que signifie Dieu, car l’homme se réjouit, s’étonne, s’élève avec sa pensée et avec le regard de la pensée et du cœur, et le Seigneur descend, Il S’humilie et souffre, car l’homme ne tressaille plus en désirant son rencontre avec Moi, et il ne le ferait pas même si Je Me montrerais doux et humble dans sa voie, tel que Je le suis Moi et seulement Moi vraiment ainsi, car seulement Dieu est ainsi, esprit et apparence et l’homme ne l’est pas.

Ma naissance dans l’homme et le plus grand miracle, dont l’homme pourrait avoir une si grande joie, plus grande que les bergers de la colline qui ont eu devant leur hutte dans la nuit de Ma naissance des visiteurs célestes, leur apportant du ciel chanson de gloire céleste et leur annonçant la naissance du Sauveur du monde, et ils M’ont vu ensuite dans la crèche à Bethlehem.

C’est avec difficulté que Je fais Mon œuvre celle donnée du Père pour que Je l’accomplisse, difficilement, tout comme il y a deux mille ans, quand Je suis venu , J’ai grandi, J’ai choisi des disciples et Je suis allé par endroits en parsemant des signes et des miracles pour attirer au Père les hommes, oh, et qu’il a été lourd le fardeau du manque d’amour de la part de l’homme. Même les disciples M’affligeaient, pendant que Moi, Je les aimais tant et Je leur apprenais de rester près de Moi, de porter le Seigneur sur la terre, mais ils étaient froids et il y a eu d’entre eux qui M’ont donné de la peine, et J’ai dû supporter d’eux, car l’un d’eux M’a trahi et M’a livré à la mort, un autre M’a renié, un autre s’est douté de Ma résurrection, et Je leur avais dit que Mon cœur était triste jusqu’à la mort, mais ils ne savaient pas pourquoi, ils ne savaient pas que c’était d’eux qu’elle venaient Ma tristesse, car au moment où ils auraient dû veiller pour Moi, ils s’étaient couchés pour dormir, et Moi Je leur avais dit: «Dormez désormais, car le maître du monde vient Me prendre d’auprès de vous!». Je les ai envoyés se coucher, car J’étais attristé par leur manque de pouvoir et de veille pour Moi, et elle a été grande Ma douleur, et elle l’est encore maintenant, quand J’essaie prendre naissance dans l’homme, et lui il ne peut faire cela. Quand Je vois l’homme combien il peut veiller pour ses joies idolâtres sans que le sommeil le gagne, J’en ai mal, et J’essaie de le toucher et lui donner d’autres joies, de vraies joies.

Je ferai avec le Père spectacle céleste sur la terre et Je vais montrer à l’homme le bonheur et ceux qui sont dignes de lui, pour qu’ils pleurent tous les hommes de n’avoir pas voulu connaître et chercher le bonheur et ses demeures, d’où personne ne voudrait plus partir, s’il était envoyé sur la terre, tel que Je l’ai été, pour porter sur Mes épaules peine et soupir et pour renforcer par Ma souffrance la demeure des heureux et héritiers du bonheur qu’ils ont souhaité au temps de leur attente pour lui, puisque c’est seulement ceux qui sont heureux sur la terre avec de la beauté du ciel, c’est seulement eux qui apprennent et qui arrivent ensuite au lieu vers lequel ils regardent en le désirant, et là-bas il est sans fin le bonheur. Amen.

Je viens sur la terre en parole et J’appelle l’homme vers le bonheur et vers sa vérité. Je M’arrête ici, au lieu de Ma descente et Je Me tiens avec gloire de parole devant ceux qui viennent avec des Noëls en ce jour, et que Ma joie soit la leur aussi. Gloire à Dieu, au plus haut des cieux, paix sur la terre et bienveillance entre les hommes! C’est le chant des anges de Ma naissance que Je chante Moi aussi, le Seigneur, Celui né dans la crèche il y a deux mille ans, Celui glorifié des anges et de toutes les puissances célestes dans la nuit de la naissance, quand Je n’avais pas eu de place dans une maison d’arrêt, mais dehors sur la paille, réchauffé au sein de la Vierge mère et veillé par le doux Joseph et par les anges, contre la furie du roi Hérode, qui cherchait Ma vie.

Ma parole c’est Mon envoyé et c’est celui qui envoie Ma parole à ceux qui ont soif de ciel, Ma consolation pour eux en jour de fête, la fête de Ma naissance sur la terre. Amen, amen, amen.

07-01-2013