C’est un jour de sainte fête dans Ma cité de parole, sur la haute colline là où montent les chrétiens toutes les fois qu’ils viennent boire de la source de Ma bouche et se consoler et apaiser leur nostalgie de Dieu, et Moi, le Seigneur, Je leur parle à l’occasion des fêtes, lorsqu’ils viennent poussés par leur désir saint de se mettre à table avec Moi et avec les saints, car c’est avec les saints que Je viens, quand Je viens.
Oh, voilà grande fête pour toi, Ma mère, et les fils qui veillent la voie de Ma venue en parole sur la terre, ils ont préparé festin doux, et les tables sont mises pour ceux qui viennent menés par le désir saint, et Je regarde le parcours du jour, Ma mère, et Je vois la consolation que Nous aurons et la beauté de la grâce qui s’installe, et voilà la grandeur des troupes de saints rangés dans les airs d’ici, car elle est tellement grande la fête pour toi, Ma mère, et Nous allons Nous offrir à eux, à ceux assemblés à la source. Je regarde tout le parcours du jour de la fête et tout sa joie, car c’est ainsi qu’ils sont les yeux qui voient, et maintenant Nous Nous asseyons, Nous laissons couler la parole sur la cité, Ma mère.
Que la paix soit sur Ma cité de parole! Merci, Je vous remercie pour la préparation de la fête, Je vous remercie avec Ma mère la Vierge et avec les apôtres fêtés aujourd’hui auprès d’elle, et avec les troupes de saints assemblés pour la fête, et encore merci à ceux qui se sont réunis par désir saint ici, à la source de parole, et qui ont parcouru long chemin pour venir, Je leur remercie d’avoir répondu à Mon appel, et par leur venue ils ont embelli la table de fête, le jardin de la rencontre et la tente blanche, assis sur de petits bancs et regardant le déroulement de la fête et sa gloire en haut et en bas, car Nous aussi, ceux d’en haut, Nous Nous sommes préparés, et Nous voilà d’en haut en bas, Nous voilà venus à ta table de parole, la parole de Dieu, de la nourriture pour les fidèles, avec leur amour, et pas seulement avec leur cœur et son œuvre.
Oh, soyez les biens venus à la fête, fils voyageurs vers le Seigneur! Prenez de la direction, les fils, prenez-en des uns aux autres comme de Dieu, pour avoir la vie avec de la veille et de l’obéissance, et voilà ce que Je vous dis: Il n’est pas chrétien selon la vérité, que celui qui se tient sous la direction avec tout son amour, animé de doux plaisir pour elle, et ceux qui n’ont pas de direction sur eux, ne peuvent pas être comptés parmi ceux qui font parti de Mon armée sur la terre. Appréciez donc les moments où vous êtes auprès des fils de Ma parole, auprès de ceux qui vivent sous Ma direction comme à l’armée, ne désertant pas au temps de la marche avec le Seigneur, car beaucoup de ceux qui ont trahi et sont partis vers les plaisirs du monde, ils voudront venir et dire: «Oh, Père, j’ai terriblement péché contre moi-même puisque j’ai pris ma vie et mes pas de Tes mains pour me conduire moi-même sur la voie, et je regrette maintenant d’être sans maître sur la terre, sans parents, ni frères des tiens, et toujours avec le monde du dehors, oh, Seigneur».
Oh, ils n’aiment pas le service militaire pas même entre les gens du monde, les soldats appelés au service militaire pour leur pays, la plus grande œuvre des fils d’une cité, mais ils aiment vivre en paix dans le pays, et voilà, ils veulent être libres, que le temps du service passe et que la liberté vienne, pour agir selon leurs vœux, mais il y en a d’autres qui restent enrôlés pour toute la vie et ils aiment la vie sous la direction et sous l’obéissance, car ceux qui donnent la direction sont ceux qui veillent la bonne marche de la cité, et au temps de guerre, ils ont devant eux celui qui est instruit, et ils vainquent, en obéissant à la parole de leurs chefs, mais de celui qui n’a pas de conseil pour les jours de sa vie, oh, que puisse sortir d’un tel homme libre, que seulement la même chose qui est sortie des fils errant, qui a voulu vivre en liberté sa vie, jusqu’à ce qu’il l’a dissipée totalement, et parmi les étrangers du Seigneur, et voilà, malheur à ceux sans guide du ciel sur les pas de leur vie, car ils tombent toujours à la main de satan, celui qui hait les hommes.
Oh, on a toujours besoin de grande veille car une chute peut arriver à tout instant, et cela parce que le péché se faufile sous l’esprit de l’innocence et sous le plaisir, auquel l’homme ne peut s’opposer, à cause de sa chute de Dieu, car le péché se découvre devant l’homme, pour qu’il le commette, et il est puissant, il a la force de l’abattre, c’est pourquoi habillez-vous, les fils, avec la puissance contre le péché, et veillez tout le temps pour ne pas tomber dans le péché, ou pour ne pas être occasion de péché à ceux de votre entourage, et tenez-vous contre le plaisir du péché, et pour cela, vous avez besoin d’une raison travailleuse, sereine, sans nuages, comme le bleu du ciel sans nuages, les fils.
Oh, Je Me tiens sur la voie avec vous et Je vous exhorte et Je vous enseigne sur le bien et sur le mal, tout comme Je le faisais avec Mes disciples, car c’est à grande peine que Je trouve des fils pour Moi, des fils habiles, et J’essaie toujours à apprendre l’homme comment mettre le pas sur Ma voie et le rendre utile. Au moment où quelqu’un veut former une troupe de danseurs, celui-là cherche beaucoup pour trouver ceux qui doivent pouvoir mettre tous à la fois le pas, ou changer les pas, ou le saut, ou la pirouette, et, il leur confectionne des vêtements pareils à tous, il cherche qu’ils se ressemblent tous entre eux, et ensuite il commence le travail, après quoi il se présente avec eux devant les hommes.
Lorsque quelqu’un veut représenter l’exemple de la vie d’un personnage qui a vécu il y a longtemps, il cherche un homme qui rappelle par son visage la figure de celui duquel on veut faire souvenir. Oh, c’est la même chose avec le peuple chrétien, il doit ressembler à Celui dont le nom il porte, et il y a là à travailler à la vie de l’homme, montrer comment on peut être chrétien selon la vérité.
Oh, qu’elle est grande ta joie, Ma mère, quand tu Me vois au jour de ta fête en enseignant celui qui cherche Dieu avec son amour, et la raison doit être assagie, Ma mère. Ils se réjouissent Mes disciples aussi, ils se réjouissent d’auprès de toi lorsqu’ils voient qu’elle est la vie de Mon église de ce temps et combien on a travaillé à la stature de ses fils, toujours, toujours, Ma mère, car de leur époque cela n’était pas possible, oh, Ma mère. Oh, quelle fête puisse être plus grande dans les cieux et sur la terre que la leçon de saint conseil pour Mon église, Ma mère?
Oh, venez, venez à Mon appel, venez quand Je vous appelle, venez et prenez de l’enseignement, oh, les fils! Dans le livre de Ma parole de ces jours on trouve tout le conseil pour la vie de chrétien agréable à Moi, et pas n’importe comment chrétien. C’est avec douceur que Je vous parle, c’est avec douceur que Je vous regarde, et J’aimerais que vous soyez doux pour Moi et pour les saints, et c’est pourquoi Je vous donne toujours du conseil et de la stimulation. Mon pays roumain est dépourvu de beau peuple avec sa vie pour Moi, et le père connaît Ma grande tristesse pour Mon pays d’aujourd’hui, puisque sans la foi et ses faits, sans le jeûne et la prière, elle ne dure pas une cité selon Ma volonté, mais, il s’affaiblit le soin pour elle, car la garde d’une cité est formée des saints qui s’y trouvent, ceux du ciel et ceux de la terre d’entre ses fils.
Oh, fils voyageurs vers la source de parole avec le pas et avec votre saint désir, oh, il est doux ici pendant les fêtes. C’est avec peine qu’on prépare l’accueil à la fête et on partage de la consolation ensuite. Oh, si Je ne vous enseignais pas tant, avec tant de beauté et consolation, il ne vous serait pas utile le pas jusqu’ici, et Moi, Je serais endolori pour le péché qui se trouve dans l’homme, et que Je frappe souvent dans son hardiesse sur l’homme, lorsque Ma voix se fait entendue d’ici, voix qui exhorte l’homme à la sainteté.
Il est tout blessé Mon Esprit à cause de l’homme qui ne veut pas avec Dieu, mais Je suis tout une joie puisque Je fais Ma venue et Je Me partage avec elle au-dessus de la terre. Oh, annoncez-Moi, fils annonceurs de Ma venue, et dites à ceux à qui vous pouvez le dire, dites-leur que Je suis venu pour guérir d’incrédulité et le manque de reconnaissance de celui qui dit qu’il est chrétien. Allumez-vous feu du feu et partagez le feu de l’amour des uns aux autres, et Moi, le Seigneur, Je vais vous remercier, les fils. Regardez comme Je travaille Moi, et prenez de Moi et annoncez le Seigneur et soyez le miroir où on voit Ma belle image, avec esprit de Pasteur, quand Je souffle et Je partage.
Oh, Ma mère, tu as été accompagnée par Mes disciples jusqu’à la limite des choses invisibles de la création de Dieu, Ma mère. J’ai ouvert le ciel en ce jour-là et Je t’ai logée à Ma droite, auprès du Père. Je t’ai offert alors Mon don, celui reçu du Père, quand Je suis monté chez Lui, après Ma souffrance sur la croix, et Moi, Je te l’ai donné au moment où tu es venue à Moi en haut, Je t’ai donné Mon cadeau: Mon pays d’aujourd’hui, avec ta veille sur lui, Ma mère. Oh, ils ne connaissent pas ni les petits ni les grands du peuple roumain, son histoire mystérieuse, et d’où pourrait-on l’apprendre, si non de Nous, Ma mère? Oh, tient tes bras tendus au-dessus de lui, et qu’il reçoive toute ta veille, car tu aimes tout ce qui M’appartient, Ma mère.
Oh, paix à toi en jour de fête, c’est cela que Je te donne, Ma mère! Un jour continuel soit Mon séjour et le tien auprès du Père et des saints, Ma mère. Nous avons à veiller d’en haut et d’en bas l’œuvre de la parole et sa marche, et ceux qui Me portent et M’aident à la porter. Oh, laisse ta consolation sur eux, et sur ceux qui se sont assemblés, auprès d’eux en ce grand jour, et voilà quelle douce festivité, et surtout la gloire invisible qui enveloppe le jour de fête pour Nous, ceux venus à la source pour toi, de la terre et des cieux, oh, Ma mère. Amen.
— Oh, ma prière pour vous, vous demande de ne pas quitter mon Fils, et de ne pas dire qu’il est difficile sur la voie avec Lui.
Les fils des hommes n’aiment pas mon Fils le Christ, mais je vous prie vous aussi, oh, fils des hommes, ne péchez plus. Il en a mal le Christ et j’en ai mal aussi. Ayez pitié ! Le Seigneur est comblé de saint désir pour vous, et elles viennent des punissions sur la terre pour ceux qui n’obéissent pas comme des fils, tel que mon Fils obéit et travaille l’œuvre du Père pour vous. Oh, soyez consolateurs, soyez doux et tendres, et vous pouvez changer dans un instant à Son doux appel pour vous.
Et vous, qui connaissez mon sentier et la source, ne quittez pas ma voie. Il n’y a pas de bonheur sur la terre, mais avec le Seigneur, c’est Sa consolation qui est le bonheur, les fils. Accumulez votre amour auprès de Lui, et il sera comme Lui, votre amour.
Oh, fils roumains, sachez que vous allez chercher le Seigneur et vous allez soupirer pour le temps de votre cœur froid. En mon jour de fête je suis toute une prière pour le peuple roumain et cela en même temps avec le ciel de saints de ce peuple, et je n’ai pas de repos avec la veille d’une frontière à l’autre partout, et tout autour avec le Père et le Fils et le Saint-Esprit toujours, toujours je veille pour cette terre et ce peuple.
Oh, Sainte Trinité céleste, prends pitié! Viens avec les nuages et tiens-Toi au-dessus de ce pays et déchire d’en haut en bas même la pensée des méchants contre lui, et tiens Ton peuple d’aujourd’hui sur Tes bras, Seigneur, pour le sortir à Ton rivage désiré, et le peuple de Ta parole rends-le semblable à ceux du ciel avec Ton conseil sur lui toujours actuel, Seigneur, pour qu’ils ne l’oublient pas, oh Seigneur ! Que la consolation soit avec vous des uns aux autres, du ciel et de la terre, et que la volonté de Ton salut soit sur le peuple roumain, Seigneur. Amen.
— Oh, rivière de pitié est ta prière, Ma mère, et elle est ta joie à ta fête. Oh, comment apaiser ton soupir pour Moi, soupir venu du manque d’amour de l’homme, Ma mère? Voilà, Nous avons des joies aussi, et elles sont chères, tant qu’elles puissent détruire Notre douleur, et tout est comme en rêve ici, à la fête pour Nous, et tout est au service de Notre gloire, Ma mère. J’ai les nouages pour monter et le vent pour aller, tel qu’il est écrit, mais J’ai aussi ceux qui portent Ma parole au-dessus de la terre, Ma mère. Nous embrassons la joie que la beauté de ta fête Me fait ici, et Nous embrassons aussi à la fin du jour, tous ceux qui se mettent au chemin de retour.
C’est avec de l’amour que Nous remercions à votre amour, fils réunis à la source. Oh, veillez sur l’amour pour qu’il croisse. C’est comme à Dieu qu’on vient ici, et Moi J’y descends avec le ciel. Qu’elle soit bénie la voie vers vos maisons! Je vous donne des compagnes du ciel sur la voie. Tous ceux du ciel s’inclinent, et il y a tant de beauté entre les choses invisibles, et ils sont enchantés Mes saints.
Le nuage de la gloire Me porte sur le vent ici, au-dessus, tout comme dans les cieux. Je vous embrasse du regard, les fils.
Paix à vous! Paix à vous! Paix à vous! Amen, amen, amen.
28-08-2016