Oh, les fils, pourquoi Moi, le Seigneur, ne suis-Je pas allé à l’école? Oh, les fils, celui qui apprends beaucoup, apprends aussi beaucoup de mauvaises choses, et il abjure, car l’esprit de la fierté et de l’amour de soi se faufilent dans les cœurs. Elles sont apparues de nombreuses écoles, mais aussi beaucoup de mauvaises choses, pour qu’on ne pense plus à Dieu et que l’homme les commette durant toute sa vie.
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Je Me mets en parole dans le livre, et Mon livre d’aujourd’hui s’appelle La Parole de Dieu, tout comme chaque livre porte le nom de celui qui le rédige. Mon livre d’aujourd’hui porte Mon nom dessus, et Moi Je porte son nom, il est Mon témoignage de la fin de temps, Ma parole d’aujourd’hui, et J’ai beaucoup de travail à dire dedans, beaucoup de parole, et dedans il y a la vie, et la vie c’est la lumière des hommes, lumière qui luit dans les ténèbres, non couverte par les ténèbres. Amen.
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Oh, à quelle difficulté J’accomplis sur l’homme l’œuvre de Ma venue du Père sur la terre maintenant! Je trouve l’homme grand en lui, et Mon conseil, avec lequel Je vais au devant de lui, cela le dérange dans la façon dont il s’est habitué à passer sa vie. Malheur à l’homme qui ne connaît pas la vie qui ne sait pas d’où vient cette connaissance, qui ne connaît pas la douceur de l’obéissance, qui ne sait pas à quoi et à qui obéir, malheur à un tel homme! Oh, mais si l’homme n’apprend pas, alors d’où peut il le savoir? L’homme se forge tout seul avec sa raison une science sur Dieu et se met ensuite à croire le Seigneur seulement le serviteur de ses demandes et désirs et de son esprit, et autre chose sur la grandeur de Dieu il ne peut avoir en lui, car le Seigneur et un Dieu effroyable, mais l’homme ne veut point savoir cela. J’ai appris mystérieusement à Mes disciples ce qu’ils doivent savoir de Dieu, et seulement après ils ont su, et après leur avoir découvert Ma perfection de vrai Dieu, venu du ciel sur la terre par naissance de mère Vierge, ils ont laissé leur foi, et ils l’ont écrite et établie mot par mot, depuis le commencement de la création du ciel et de la terre et jusqu’à la vie du siècle à venir, pour que les hommes sachent ce qu’est et ce que fait Dieu, et Je te prie, peuple aimé et beaucoup conseillé du ciel, Je te prie, Mon fils, arrête-toi sur ce livre de foi, ouvre-le bien et y plonge ton être, pour que tu puisses voir Dieu et parler de Lui aux hommes, tout comme Il a laissé aux disciples la science qui Le présente, et Son royaume sans fin aussi. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit se glorifie en toi plus que dans les prophètes de tous les temps, oh, peuple nourri du ciel, toi aussi, plonge-toi dans le livre de la foi et apprends à ceux qui viennent à la source, apprends-leur la crainte de Dieu, pour qu’ils en commencent chaque jour de travail avec l’esprit et le corps et leur foi, car c’est lumière de lumière que Je mets sur la table avec toi, pour qu’il y ait de la lumière sur la terre, et que tu la donnes pour qu’elle soit, car bientôt, bientôt, cette lumière sera utile partout, puisque autres sortes de lumières n’existeront plus nulle part. Elles s’éteignent toutes les lumières, elles s’éteignent les sciences, elles s’éteignent les ambitions, ils s’éteignent les projets des hommes et ils s’éteignent les hommes qui foulent Dieu aux pieds, et il sera grande obscurité, toujours plus grande, tel que l’homme ne verra plus sa main, et il va traverser toute l’obscurité jusqu’à Mon éclat, celui du milieu de toi et l’homme va en prendre et il verra Dieu dans cette lumière, dans cette parole, et des signes et des miracles, cette lumière va faire sur la terre, car Moi, le Seigneur, J’ai eu soin de préparer ce lieu et de travailler de son sommet, tel qu’il est écrit que l’on va travailler pour la fin du temps, puisque les deux forces travaillent l’une contre l’autre, et on voit bien cette lutte, mais Moi, le Créateur du ciel et de la terre, des visibles et les invisibles, Je serai pour l’éternité, et Je suis Celui Qui vainc avec ceux qui vainquent avec Moi. Amen.
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Beaucoup de ceux qui s’égarent croient que l’homme vit plusieurs fois sur la terre et qu’il meurt plusieurs fois, s’il vit plusieurs fois. Oh, ceux qui disent cela et croient ainsi Me donnent une profonde tristesse, même s’ils essaient de se servir de leur foi en Dieu. Oh, d’où ont-ils pris cette pensée? Ils l’ont pris de leur envie de vivre, car l’homme désire la vie. Mais quelle joie pourrait-il avoir l’homme qui vivrait plusieurs fois, s’il ne savait pas cela chaque fois, s’il avait déjà vécu et s’il revient de là-bas? Oh, quel est le profit de l’homme s’il pense et croire ainsi? Pas de bénéfice, mais grande perte pour l’âme d’un tel homme. Voilà ce qu’elle peut faire la raison de l’homme qui n’a pas de travail pour Dieu!
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Oh, Mon peuple, Je voudrais que l’homme ait de Moi la raison et Je voudrais qu’il obéisse pour sa raison, car il n’y a personne à lui donner la raison, que Dieu. On bâtit sur la terre des écoles et des livres pour que l’homme y aille et recevoir raison et connaissances. Oh, Mon peuple, qu’est que Dieu peut faire avec celui qui apprend la raison de l’école? Les incroyants se demandent et doutent de Dieu à cause de leur présomption et ils disent que l’Ecriture n’est pas vraie, et cela parce qu’il faut avoir d’abord de l’instruction et puis écrire. Je veux dire à ceux-là que ce n’est pas l’école ou le livre qui ont été bâtis d’abord, mais c’est l’homme qui a été premièrement bâti, et lorsque Je l’ai bâti il a su et a parlé avec Moi, et Moi avec lui, car J’ai su et J’ai bâti et J’ai fait que Ma création sache parler et quoi parler et quoi comprendre, puisque c’est de Dieu le Créateur que l’homme a ce qu’il a. Oh, d’où l’enfant sait-il pleurer quand il naît? C’est de la souffrance, de la douleur c’est du mal de l’enfantement qu’il le sache. Oh, et ensuite d’où sait-il parler, croître, marcher, travailler? Oh, les fils, c’est de Dieu que l’homme a la raison, et ensuite ils s’entraident et c’est de Dieu que tout existe dans les hommes, pour qu’ils puissent savoir agir. Qui a instruit Adam, qui lui a enseigné à lire et à écrire pour savoir. Par qui a été instruit Jean Baptiste, qui l’a aidé depuis son enfance jusqu’au Jourdain, pour qu’il fasse connu le Seigneur aux hommes?
Qui a appris aux prophètes d’écouter de Dieu et d’écrire ensuite? Oh, les fils, l’animal qui vit près de l’homme a eu de l’instruction? D’où sait-il aimer, consoler son maître, être aussi fidèle envers lui, qui lui a appris tout cela? Oh, ce n’est pas la mère qui apprend à l’enfant. Ce n’est pas l’animal qui apprend à l’animal ce qu’il doit savoir et faire. Oh, non, mais c’est le Seigneur, le Créateur de l’homme et de tout ce qu’il y a en lui et de tout ce qui se trouve entre le ciel et la terre, des êtres doués d’âme vive.
Oh, que de foi, que de rapprochement de Dieu le Créateur, que de reconnaissance doit savoir travailler l’homme, et tout par Dieu! Il faut que Dieu accorde à l’homme la raison en tout et toujours, ce n’est pas l’homme qui doit s’en donner et se faire. Oh, quelle merveilles se montreraient entre la terre et le ciel si l’homme comprenait qu’il fait travailler de Dieu! Voilà comment on bâtit la vie de l’homme, la vie agréable au Seigneur dans l’homme, et rangée peu à peu, tout doucement, par beaucoup de fautes, pour que l’homme puisse s’assagir pour le bien ensuite.
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Oh, Ma Virginie, qu’elle soit bénie l’œuvre de ta parole au festin d’aujourd’hui! Amen.
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Oh, Seigneur, que Ton peuple apprenne la raison du ciel, car c’est Toi la Source. L’homme ne peut avoir l’instruction des livres de la terre, car tout est en Toi, et sans Toi l’homme se gâte et il apprend de l’homme, de celui qui croit savoir, qu’il a appris pour savoir. Oh, d’où sait-il le cheval ou la brebis, d’où les animaux savent-ils paître, s’abreuver, et pleurer quand ils en manquent de Toi, oh, et Ta sagesse et Ton savoir d’où l’ont-ils? Et nous, ceux logés maintenant entre ceux du ciel, d’où savons-nous venir et parler maintenant entre ceux du ciel, d’où savons-nous venir et parler maintenant à cette table fraternelle et festive? Oh, c’est de Toi, Seigneur, que nous pouvons et savons, car c’est avec Toi que nous allons et nous travaillons.
Oh, ce n’est pas de la terre qu’il faut prendre l’instruction. Ce n’est pas de la terre qu’il a su parler l’homme bâti de Ta main et de Ton Esprit au commencement. Que les incroyants ne se demandent pas qui avait écrit Ton histoire avec l’homme dans le livre où elle s’est réunie, dans l’Ecriture, Seigneur. Oh, qui a appris à Jean Baptiste à penser, à parler, à prophétiser du Seigneur et à parler avec le Seigneur au Jourdain? Voilà, c’est Toi la science qui se trouve dans l’homme porté de Toi, et il ne doit pas s’enorgueillir l’homme sans Dieu entre les hommes sur la terre. Moi non plus, Seigneur, je n’ai pas eu, moi non plus, l’instruction de la terre, mais Tu es venu à moi et Tu as mis en moi l’esprit de la prophétie, Ton parler avec l’homme, Tu l’as mis dans ma poitrine, dans ma pensée, dans ma vue. Qu’ils s’étonnent les hommes qui ne comprennent pas le Seigneur et toutes Ses œuvres sur la terre entre les hommes, car les hommes porteurs de Dieu ont des ennemis sur la terre, puisqu’ils sont ceux qui sont tout comme Dieu, et ceux qui n’ont pas d’ennemis ils ne sont rien, mais ils sont pour la corvée et c’est tout.
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Je suis Celui Qui est, et J’ai les armées célestes dans Mon voyage entre les cieux et la terre, et les airs en tout c’est Notre maison, espace de mouvement, mystérieuse merveille, du beau travail à la vue de ceux qui voient, et pour ceux auxquels on découvre des fragments de la gloire céleste, et ensuite elles apparaissent des inquiétudes et des questions sur ceux d’en haut, car les airs sont pleins des demeures du Seigneur, les anges siègeurs, les anges regneurs, les anges maîtriseurs, les anges commenceurs, des puissances célestes de toute sorte, qui ont toutes des armées d’anges en service, oh, et que de doux service, et Moi, le Seigneur, Je passe d’une côté à l’autre et Je suis le Maître du firmament, et tous les saints venus de la terre ont des logis resplendissants, ils ont des armées en service pour eux, ils ont du repos, tel qu’il est écrit sur les splendeurs du Seigneur, préparées pour les saints en haut, qui ne montent pas à la pensée de l’homme, que par le sentiment de la joie venue d’elle, pour celles qui existent, et vers lesquelles les aimants de Dieu luttent sur la terre, pour recevoir du Seigneur leur paix dans les demeures célestes, après avoir suivi leur voie jusqu’au bout, jusqu’au Seigneur, Celui Qu’ils ont aimé et souhaité.
Oh, qu’elle est belle la gloire céleste et tous les cieux, avec toute leur beauté d’en haut, pour qu’on sache qu’ils existent les cieux et tous les saints qui les habitent, cependant les hommes qui vont sur leur voie dans les airs, avec leurs machines fabriquées de leurs mains, ils ne Nous voient pas, et s’ils voient quelque chose, ils voient des chimères, et ils viennent dire ensuite sur la terre aux hommes qu’il y a aussi d’autre lieux habités des hommes comme sur la terre, et ils ne savent pas, les pauvres, que dans les airs il y a aussi des anges désobéissants, qui au temps de leur chute sont restés sur la voie, par-ci, par-là entre le ciel et la terre, et ils s’entreposent dans le chemin de ceux qui viennent vers le ciel, pour qu’on mesure leur action, et les anges de satan vont au-devant d’eux pour les culpabiliser devant Moi, et ils luttent pour récolter pour eux, puisque ces mauvais anges cherchent toutes sortes de chicanes, selon leur mauvaise nature, et les hommes, qui volent dans les airs pour faire des recherches et le dire ensuite, oh, ils ne savent rien sur les douanes des airs, sur les diables qui font du bruit pour être remarqués, et Moi, le Seigneur, Je suis le Maître d’en haut jusqu’en bas et d’en bas jusqu’en haut, et J’ai sous Ma domination leur œuvre, et Je travaille avec les saints et les anges pour ceux qui arrivent à la balance de la vie, de peur que le diable menteur, Mon ennemi et celui de l’homme, ne puisse agir plus qu’il convient de le faire, et voilà, Je parle de la belle vue d’en haut, de la gloire du Seigneur, par laquelle Je passe lorsque Je viens sur la terre en parole, maintenant, ici, où Je Me suis préparé de l’hébergement pour pouvoir venir et parler et découvrir de plus en plus ce qu’il y a en haut, la patrie d’en haut et ses logis, dont les scientifiques parlent sur la terre, à savoir que pas seulement sur la terre il y a des habitants, et des êtres provenant d’autres lieux, vont venir pour diriger la terre et le monde. Oh, c’est la vérité qu’ils disent ceux-ci, mais ils ne savent pas comprendre ce qu’ils disent, car Moi et Mes saints, habitants des demeures célestes, Nous venons et Nous dirigeons tout sur la terre, même si les hommes croient que ce sont eux qui dirigent. Moi, le Seigneur, Je leur dis que la science que Je leur découvre c’est la bonne pour eux, et pas celle qu’ils essaient de deviner et de communiquer aux hommes, tout comme on a rependu tant d’égarements parmi les hommes sur la terre, afin que l’homme ne prenne plus de Dieu, qu’il ne regarde plus vers le Seigneur, et qu’il oublie Ses volontés.
Oh, il ne peut l’homme faire ce que Dieu peut, puisque l’home n’est qu’homme et il n’a pas de pouvoir ni pour lui-même, si seulement c’est Dieu qui le lui donne pour en avoir, mais le Seigneur a tout le pouvoir dans les cieux et sur la terre, tel qu’il est écrit, et voilà comme Je viens avec du pouvoir et de grande gloire, et comment Je partage aux hommes la parole de Ma bouche!
Oh, c’est un jour de fête, la fête de l’Epiphanie et Je Me porte sur les nuées et Je viens en parole sur la terre. Je ne Me porte pas avec des machines en fer, tel qu’il le fait l’homme dans les airs d’une côté à l’autre, mais c’est sur les nuages que Je Me porte et Je viens, et les nuages Me servent de logis et de chemise, pour Moi et pour ceux des cieux avec lesquels Je viens.
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Oh, que d’imposture dans le monde, oh, les fils! Dieu a fait les visibles et les invisibles et Il a mis frontière entre elles pour qu’on sache ce qu’il y a pour la vue des hommes, et ce qu’ils ne doivent pas voir de celles qui sont dans la possession de Dieu. Et alors, qui es-tu, celui qui te proclame homme de science, tu es le voleur qui a volé des choses appartenant à Dieu et tu mens en prétendant que tu sais. Oh , tu ne sais pas, tu sais seulement ce que Dieu t’a laissé de savoir, et tu ne peux plus que cela, n’importe quels appareils tu pourras te construire pour t’aider à voir, et avec lesquels tu surpasses Dieu par la présomption et par ton désir d’être plus que Dieu, mais non, toi tu es celui qui espionne, et tous ceux qui font comme toi sont les continuateurs de celui qui a volé de l’arbre de la connaissance, mais qui n’a pas pu apprendre que le fait qu’il était tout à fait nu devant Dieu, nu, honteux et caché en soi, mais se découvrant comme voleur, comme celui qui tend la main à ce qui ne lui appartient pas.
L’homme qui se donne le nom de scientifique ne croit pas à l’existence du Père Noël, à sa venue avec des cadeaux, car ce sont seulement les enfants qui croient cela, seulement ceux qui ont la force de croire et d’appartenir au royaume des cieux, auquel ils croient, et les grandes personnes croient en eux-mêmes et en ceux tout aussi pécheurs comme eux, par les inventions de leur pensée, mais Moi, Je renverse, en Créateur que Je suis, Je renverse ceux qui rependent les bizarreries de leur pensée, qui ne voit que des illusions imaginées par l’esprit de l’espionnage, l’esprit de satan, celui qui travaille pour supprimer Dieu de la pensée de l’homme et de la terre, puisqu’il est fâché satan contre Dieu, il est fâché à mort, car c’est la mort sa part et c’est cela seulement qu’il peut faire et rependre, la mort, mais sa lutte aveugle est faible tout comme lui, tout comme le mensonge né de lui, oh, et elle va finir cette lutte, car elle vient la lumière, elle vient Ma venue, la voilà comment et combien elle vient! Et ils viennent avec Moi les pleurs et le grincement des dents de ceux qui se sont voulu toute sorte de dieux, à toute portée, et qui trompent les hommes de la terre les poussant à s’opposer à Dieu le Créateur. Oh, non, car voilà, Il vient le Père Noël, le père Créateur, Il vient avec des dons d’en haut, Il vient avec les anges et les saints par milliers, tel qu’il est écrit de venir, et elle est magnifique Ma venue et comblée de dons et de joies d’en haut pour ceux qui pleurent sur la terre ayant la nostalgie de la vérité, et la vérité c’est Moi, oh, et qu’il est grand le mystère de la vérité, et tous ses mystères vont se dévoiler dans la lumière et il y auront des pleurs pour ceux compris dans l’obscurité, quand ils verront la lumière, et heureux sont et seront ceux qui vont se montrer avec la foi et du repentir, de la part de la lumière et de la naissance de nouveau du monde, et Je suis bien heureux de pouvoir parler et mettre sur la terre la parole de la vérité, le Saint-Esprit, Celui Qui bâtit de nouveau le monde.
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Elle est grande Ma douleur provoquée par l’homme et arrivée au ciel! Il y a quelques-uns parmi les hommes qui luttent contre eux-mêmes, ils luttent pour croire qu’il n’y a pas de Dieu. Oh, quelle raison assombrie puissent avoir de tels hommes, qui croient avoir eux la science, et Je leur dis que si Dieu n’existait pas, ni la science ne viendrait sur la terre vers les hommes, et voilà, ils ne savent pas d’où commencer à penser, et jusqu’où aller avec leur raison ingrate envers Dieu, le Créateur de la science de l’homme, et ils font eux aussi comme Adam, qui s’est enorgueilli et il n’a plus eu besoin, ni inclination face à Dieu, Celui Qui l’a bâti, et ceux qui luttent afin de croire que Dieu n’existe pas, ils vont Me rencontrer au bout de leur chemin sur la terre et, malheur à eux, Je ne dis de plus pour eux, mais Je parle de Ma grande douleur venue de l’ingratitude de ceux qui ne s’inclinent pas afin de remercier le Seigneur pour Sa patience envers eux, pour la longue attente, quelque fois aussi longue que la vie de l’homme, oh, et elle est grande Ma douleur venue d’eux et pour eux, car Je suis plein de pitié pour l’homme.
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L’homme tombé se réjouit d’avoir de la science, d’avoir la tête pleine de science, et il s’enorgueillit, l’homme voleur et errant, face à face avec Dieu. Oh, qu’il ne s’enorgueillit plus avec ce qui n’est pas de lui, mais qu’il s’humilie et qu’il s’incline pour le pardon, s’il se repentit pour sa tombée.
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